veranderen van geslacht of vermoord worden!

colargo · 18 mei 2006, 21:37

Velen zullen zich storen aan de franse tekst!
Maar voor diegene die te taal kennen zal het wel geen probleem zijn.
Op A2 mooie reportage over de ayatholla's die transexuelen kunnen 'aanvaarden" omdat het een ziekte is! Maar homo's moeten opgehangen worden!!!Daarom dat er velen kiezen om zich laten om te bouwen .

engelse links zelfde onderwerp.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/programme...ht/4115535.stm

http://www.atsnn.com/story/182797.html

Iran : changer de sexe ou mourir

Un reportage de Stephan Villeneuve

L'Iran n'est pas �* un paradoxe près. C'est le seul pays musulman qui a légalisé le changement de sexe. En 1979, une fatwa lancée par l'Ayatollah Khomeiny a autorisé les opérations chirurgicales pour permettre de soigner ce que la République Islamique qualifie de "maladie identitaire". Dans un pays où parler de sexe en public est interdit, où être une femme est souvent intolérable et où les homosexuels sont condamnés, au mieux aux coups de fouet et �* la pendaison en cas de récidive, plus d'un millier d'Iraniens, hommes ou femmes, ont changé de sexe ces dernières années. C'est plus qu'en France.

Stephan Villeneuve a plongé dans l'univers très fermé de ces jeunes transexuels iraniens. Il les a suivi dans leurs démarches et leur vie quotidienne. Il a pu rencontrer Sayeh, 25 ans, un ex-garçon en cours de transformation. Sayeh partage aujourd'hui sa vie avec Afshin, 35 ans, ancienne étudiante en cinéma et en cours de devenir un garçon. Le couple vit �* Téhéran, toujours sur le qui-vive, épié par la police, ou les voisins. Tous deux peinent �* réunir les 3 000 euros nécessaires pour se faire opérer. Mais la salle d'attente du docteur Bahram Mir-Jalali, �* Téhéran, est souvent comble. Des silhouettes parfois mal définies. Consultations pré-opératoire ou suivi d'anciens patients, le chirurgien, formé en France, a opéré plus de 350 iraniens ces dix dernières années. C'est Mohamad Mehdi Kariminia, théologien chiite de Qom et auteur d'une thèse alliant le transexualisme et la Charia, qui consulte les "candidats" �* l'opération. Il donne son accord et permet la validation du dossier.

Reportage dans un univers interdit, celui des transexuels iraniens, un an après le retour des conservateurs au pouvoir, en plein durcissement du régime

18 mei 2006, 21:37	#1
colargo Banneling Geregistreerd: 8 oktober 2005 Berichten: 1.623	veranderen van geslacht of vermoord worden! Velen zullen zich storen aan de franse tekst! Maar voor diegene die te taal kennen zal het wel geen probleem zijn. Op A2 mooie reportage over de ayatholla's die transexuelen kunnen 'aanvaarden" omdat het een ziekte is! Maar homo's moeten opgehangen worden!!!Daarom dat er velen kiezen om zich laten om te bouwen . engelse links zelfde onderwerp. http://news.bbc.co.uk/2/hi/programme...ht/4115535.stm http://www.atsnn.com/story/182797.html Iran : changer de sexe ou mourir Un reportage de Stephan Villeneuve L'Iran n'est pas �* un paradoxe près. C'est le seul pays musulman qui a légalisé le changement de sexe. En 1979, une fatwa lancée par l'Ayatollah Khomeiny a autorisé les opérations chirurgicales pour permettre de soigner ce que la République Islamique qualifie de "maladie identitaire". Dans un pays où parler de sexe en public est interdit, où être une femme est souvent intolérable et où les homosexuels sont condamnés, au mieux aux coups de fouet et �* la pendaison en cas de récidive, plus d'un millier d'Iraniens, hommes ou femmes, ont changé de sexe ces dernières années. C'est plus qu'en France. Stephan Villeneuve a plongé dans l'univers très fermé de ces jeunes transexuels iraniens. Il les a suivi dans leurs démarches et leur vie quotidienne. Il a pu rencontrer Sayeh, 25 ans, un ex-garçon en cours de transformation. Sayeh partage aujourd'hui sa vie avec Afshin, 35 ans, ancienne étudiante en cinéma et en cours de devenir un garçon. Le couple vit �* Téhéran, toujours sur le qui-vive, épié par la police, ou les voisins. Tous deux peinent �* réunir les 3 000 euros nécessaires pour se faire opérer. Mais la salle d'attente du docteur Bahram Mir-Jalali, �* Téhéran, est souvent comble. Des silhouettes parfois mal définies. Consultations pré-opératoire ou suivi d'anciens patients, le chirurgien, formé en France, a opéré plus de 350 iraniens ces dix dernières années. C'est Mohamad Mehdi Kariminia, théologien chiite de Qom et auteur d'une thèse alliant le transexualisme et la Charia, qui consulte les "candidats" �* l'opération. Il donne son accord et permet la validation du dossier. Reportage dans un univers interdit, celui des transexuels iraniens, un an après le retour des conservateurs au pouvoir, en plein durcissement du régime