Politics.be
3 mei 2012, 20:00
Le Sénateur PS Ahmed LAAOUEJ veut revoir la taxation des stocks options.Les stocks options, ce sont ces avantages salariaux indirects donnés par les entreprises �* leurs employés, et en particulier �* leurs administrateurs et cadres dirigeants.
Ils leur permettent d’acheter des actions de leur société pendant une certaine période, �* un prix fixé aujourd’hui (le cours de bourse actuel). Si le cours grimpe, ils peuvent faire une importante plus-value (en achetant puis en revendant immédiatement).
Grâce �* ce système, certains dirigeants perçoivent des montants exorbitants.
Ces stocks options poussent aussi parfois les managers des grandes sociétés �* faire des choix qui dopent le cours de bourse �* court terme, plutôt que des choix économiques durables pour l’entreprise et les travailleurs.
Sur le plan fiscal, les plus-values réalisées grâce aux stocks options sont exonérées car elles ne sont pas considérées comme un revenu professionnel. Pour l’instant, seul un montant forfaitaire peu élevé, calculé sur la valeur de l’action (au départ), est imposé.
Pour Ahmed LAAOUEJ, il s’agit pourtant bel et bien d’une forme de rémunération ! Car c’est bien en raison ou �* l’occasion de l’activité professionnelle que ces avantages sont perçus.
Pour le Sénateur PS, il est indispensable de revoir la fiscalité des stocks options.
« Je considère qu’il s’agit d’une rémunération �* part entière. Rien ne justifie qu’elle puisse bénéficier d’une quelconque exception » explique Ahmed LAAOUEJ. « De plus, �* cette injustice fiscale s’ajoute une injustice économique puisque ce sont surtout les hauts dirigeants de sociétés qui engrangent de gros montants de stocks options » termine-t-il.
Le Sénateur socialiste propose que les plus-values sur actions réalisées grâces �* des stocks options soient imposées comme des revenus professionnels.
+ d’info ? Carl-Eric Alexis
Bron: politics.be (http://www.politics.be/persmededelingen/32434/)
Ils leur permettent d’acheter des actions de leur société pendant une certaine période, �* un prix fixé aujourd’hui (le cours de bourse actuel). Si le cours grimpe, ils peuvent faire une importante plus-value (en achetant puis en revendant immédiatement).
Grâce �* ce système, certains dirigeants perçoivent des montants exorbitants.
Ces stocks options poussent aussi parfois les managers des grandes sociétés �* faire des choix qui dopent le cours de bourse �* court terme, plutôt que des choix économiques durables pour l’entreprise et les travailleurs.
Sur le plan fiscal, les plus-values réalisées grâce aux stocks options sont exonérées car elles ne sont pas considérées comme un revenu professionnel. Pour l’instant, seul un montant forfaitaire peu élevé, calculé sur la valeur de l’action (au départ), est imposé.
Pour Ahmed LAAOUEJ, il s’agit pourtant bel et bien d’une forme de rémunération ! Car c’est bien en raison ou �* l’occasion de l’activité professionnelle que ces avantages sont perçus.
Pour le Sénateur PS, il est indispensable de revoir la fiscalité des stocks options.
« Je considère qu’il s’agit d’une rémunération �* part entière. Rien ne justifie qu’elle puisse bénéficier d’une quelconque exception » explique Ahmed LAAOUEJ. « De plus, �* cette injustice fiscale s’ajoute une injustice économique puisque ce sont surtout les hauts dirigeants de sociétés qui engrangent de gros montants de stocks options » termine-t-il.
Le Sénateur socialiste propose que les plus-values sur actions réalisées grâces �* des stocks options soient imposées comme des revenus professionnels.
+ d’info ? Carl-Eric Alexis
Bron: politics.be (http://www.politics.be/persmededelingen/32434/)