cello
27 augustus 2006, 16:49
Actualité (Dimanche 16 Juillet 2006)
Poursuite des bombardements sur Beyrouth
18 Libanais dont 9 enfants brûlés vifs
Par : Rédaction de Liberte
Lu : (1362 fois)
Alors que ses chefs militaires parlent de frappes chirurgicales,
l’aviation israélienne tue des innocents un peu partout au Liban. Le
nombre de victimes avoisine désormais la centaine.
L'armée israélienne a effectué, hier, de nouvelles frappes sur le sud,
l'est et le nord du Liban, tuant une trentaine de civils, dont dix-huit
brûlés vifs en fuyant leur village du sud du Liban. Ainsi, dix-huit
civils, dont neuf enfants, ont été brûlés vifs dans un bombardement
israélien sur des habitants qui fuyaient leur village au Liban-Sud,
près de la ville de Tyr, selon la Force intérimaire des Nations unies
(Finul) et des sources hospitalières. “Une équipe logistique a dégagé
treize corps et est en train de les évacuer vers l'hôpital�, a indiqué
un officier de la Finul. Les corps carbonisés d'un père de famille et
de ses quatre enfants avaient auparavant été évacués par des
secouristes de la Défense civile, un organisme étatique, vers l'hôpital
gouvernemental de Tyr. Cette poursuite de l’offensive militaire
israélienne intervient au lendemain d'un discours du chef du Hezbollah
déclarant ouvertement la guerre �* Israël. Les frappes israéliennes ont
tué une centaine de personnes, pour la plupart des civils. L'armée
israélienne a indiqué, hier, qu'elle avait frappé quelque cent
cinquante objectifs au Liban depuis le début de l'offensive, dont une
dizaine seulement liés directement au Hezbollah. L'immeuble de neuf
étages, qui abrite le quartier général du chef du Hezbollah libanais,
Hassan Nasrallah, dans la banlieue sud de Beyrouth, a été entièrement
détruit dans un bombardement aérien israélien, a annoncé l'agence
officielle d'information ANI, citant la police.
De son côté, le Hezbollah a tiré, au début de la journée d’hier, une
trentaine de roquettes sur le nord d'Israël, blessant légèrement
plusieurs personnes. Un drone bourré d’explosifs a touché, vendredi
passé, un navire de guerre israélien au large de Beyrouth. Israël a
confirmé que quatre de ses marins étaient portés disparus après une
frappe du Hezbollah. La télévision israélienne a annoncé que le corps
de l'un des quatre marins avait été retrouvé.
La Résistance islamique, branche armée du Hezbollah libanais, a
revendiqué, hier, dans un communiqué, le bombardement de Tibériade, le
premier contre cette ville du nord-est d'Israël. Des roquettes tirées �*
partir du Liban ont atteint, en effet, pour la première fois, la ville
de Tibériade, faisant plusieurs blessés, a-t-on annoncé de sources
militaires. Au moins trois roquettes ont explosé �* Tibériade, un des
sites les plus sacrés du christianisme, notamment près d'un hôtel,
a-t-on ajouté de mêmes sources, sans être en mesure de donner des
précisions sur le nombre de personnes blessées et la gravité de leur
état. Pendant ce temps, l’exode se poursuit. Fuyant les bombardements
israéliens et les énormes destructions, des milliers de déplacés du
Liban s'entassent chez des proches ou dans les écoles de régions
épargnées, en attendant des jours meilleurs.
Un peu partout au Liban, nombre d'écoles ont accueilli les réfugiés. Il
en est ainsi dans les montagnes du Chouf, �* majorité druze, sur ordre
du chef druze, Walid Joumblatt. Israël a sommé, vendredi soir, la
population frontalière d'évacuer ses maisons. Objectif : créer une zone
tampon du côté libanais pour éviter les tirs de roquettes du Hezbollah
contre le nord d'Israël. Dans l'est, vers la ville estivale d’Aley, les
écoles accueillaient d'autres déplacés de Baalbeck et de la région de
la Bekaa. Les ambassades, notamment européennes et américaine, ont
installé des antennes afin d'organiser l'évacuation de leurs
ressortissants, éventuellement par voie maritime, vers la Syrie et
Chypre.
K. A./Agences
http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=61179
--
cello
Le blasphème est le fondement de la démocratie". elle ne peut
s'accomoder de son interdiction.On devrait écrire cette sentence en
lettres d'or au fronton de toutes les écoles.
Poursuite des bombardements sur Beyrouth
18 Libanais dont 9 enfants brûlés vifs
Par : Rédaction de Liberte
Lu : (1362 fois)
Alors que ses chefs militaires parlent de frappes chirurgicales,
l’aviation israélienne tue des innocents un peu partout au Liban. Le
nombre de victimes avoisine désormais la centaine.
L'armée israélienne a effectué, hier, de nouvelles frappes sur le sud,
l'est et le nord du Liban, tuant une trentaine de civils, dont dix-huit
brûlés vifs en fuyant leur village du sud du Liban. Ainsi, dix-huit
civils, dont neuf enfants, ont été brûlés vifs dans un bombardement
israélien sur des habitants qui fuyaient leur village au Liban-Sud,
près de la ville de Tyr, selon la Force intérimaire des Nations unies
(Finul) et des sources hospitalières. “Une équipe logistique a dégagé
treize corps et est en train de les évacuer vers l'hôpital�, a indiqué
un officier de la Finul. Les corps carbonisés d'un père de famille et
de ses quatre enfants avaient auparavant été évacués par des
secouristes de la Défense civile, un organisme étatique, vers l'hôpital
gouvernemental de Tyr. Cette poursuite de l’offensive militaire
israélienne intervient au lendemain d'un discours du chef du Hezbollah
déclarant ouvertement la guerre �* Israël. Les frappes israéliennes ont
tué une centaine de personnes, pour la plupart des civils. L'armée
israélienne a indiqué, hier, qu'elle avait frappé quelque cent
cinquante objectifs au Liban depuis le début de l'offensive, dont une
dizaine seulement liés directement au Hezbollah. L'immeuble de neuf
étages, qui abrite le quartier général du chef du Hezbollah libanais,
Hassan Nasrallah, dans la banlieue sud de Beyrouth, a été entièrement
détruit dans un bombardement aérien israélien, a annoncé l'agence
officielle d'information ANI, citant la police.
De son côté, le Hezbollah a tiré, au début de la journée d’hier, une
trentaine de roquettes sur le nord d'Israël, blessant légèrement
plusieurs personnes. Un drone bourré d’explosifs a touché, vendredi
passé, un navire de guerre israélien au large de Beyrouth. Israël a
confirmé que quatre de ses marins étaient portés disparus après une
frappe du Hezbollah. La télévision israélienne a annoncé que le corps
de l'un des quatre marins avait été retrouvé.
La Résistance islamique, branche armée du Hezbollah libanais, a
revendiqué, hier, dans un communiqué, le bombardement de Tibériade, le
premier contre cette ville du nord-est d'Israël. Des roquettes tirées �*
partir du Liban ont atteint, en effet, pour la première fois, la ville
de Tibériade, faisant plusieurs blessés, a-t-on annoncé de sources
militaires. Au moins trois roquettes ont explosé �* Tibériade, un des
sites les plus sacrés du christianisme, notamment près d'un hôtel,
a-t-on ajouté de mêmes sources, sans être en mesure de donner des
précisions sur le nombre de personnes blessées et la gravité de leur
état. Pendant ce temps, l’exode se poursuit. Fuyant les bombardements
israéliens et les énormes destructions, des milliers de déplacés du
Liban s'entassent chez des proches ou dans les écoles de régions
épargnées, en attendant des jours meilleurs.
Un peu partout au Liban, nombre d'écoles ont accueilli les réfugiés. Il
en est ainsi dans les montagnes du Chouf, �* majorité druze, sur ordre
du chef druze, Walid Joumblatt. Israël a sommé, vendredi soir, la
population frontalière d'évacuer ses maisons. Objectif : créer une zone
tampon du côté libanais pour éviter les tirs de roquettes du Hezbollah
contre le nord d'Israël. Dans l'est, vers la ville estivale d’Aley, les
écoles accueillaient d'autres déplacés de Baalbeck et de la région de
la Bekaa. Les ambassades, notamment européennes et américaine, ont
installé des antennes afin d'organiser l'évacuation de leurs
ressortissants, éventuellement par voie maritime, vers la Syrie et
Chypre.
K. A./Agences
http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=61179
--
cello
Le blasphème est le fondement de la démocratie". elle ne peut
s'accomoder de son interdiction.On devrait écrire cette sentence en
lettres d'or au fronton de toutes les écoles.