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D'Iberville
27 augustus 2006, 17:27
"ll y a dix ans, disparaissaient Julie et Melissa… Dix années durant
lesquelles on pourrait croire que Marc Dutroux rumine dans son coin. En
réalité, il passe son temps �* se plaindre. De tout, de rien. De ses
conditions de détention, de sa nourriture, de ses transferts vers le
tribunal. Comme il le dit lui-même : “Je ne comprends pas, je ne suis
quand même pas un gangster.” Juste un tueur d’enfants !

Un assassin qui serait un adepte de l’odeur naturelle “Il se lave quand
il a envie. S’il ne veut pas prendre de douche pendant une semaine, eh
bien, il ne le fait pas !”

Mais par ces chaleurs, l’odeur est tellement incommodante que les
douches lui sont imposées. Toujours �* l’affût d’une ruse, Dutroux ne se
prive pas… “On l’emmenait aux douches en lui disant : allez, maintenant,
lave-toi. On entendait l’eau couler.” Certes, l’eau coulait mais pas sur
Dutroux. “On s’est posé des questions puisqu’il sentait toujours et que
ses cheveux étaient secs.” Le lendemain, les gardiens ont voulu en avoir
le cœur net. Ils sont entrés dans la douche. “L’eau coulait, mais
Dutroux attendait tranquillement �* côté.”

Dutroux se plaint également de la nourriture. “Avant, �* Arlon, il avait
droit �* un régime de faveur. Ici, c’est fini.” On le savait fan de
Nuttela, mais visiblement, il ne semble plus trop l’apprécier. Par
contre, il est fou des frites. “Chez nous, c’est le mercredi et le
dimanche. Il exige d’en avoir plus souvent, mais c’est non.” Dutroux
aime également les bananes. Un prétexte de plus pour montrer son
caractère. Un jour, il a râlé car il n’y avait pas six bananes comme
dans sa commande mais seulement cinq !

Décidé �* n’être satisfait de rien, l’assassin de Julie et Melissa
déplore ses conditions de détention. Sa cellule est trop petite. Il est
vrai qu’�* Arlon, il avait droit �* une double cellule, bien isolée. Ici,
�* Ittre, c’est la même que les autres détenus. “Il n’a pas de traitement
de faveur. C’est un détenu comme les autres.” Il a une télévision et une
PlayStation.
http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=153216

--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".

noel leon
27 augustus 2006, 17:27
Dans quelques années, il va sortir un livre, enfin je suppose que ce sera
son fils ou son avocat ou son chanteur car ça m'étonnerait qu'on lui laisse
signer ce livre?

nole
"D'Iberville" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> "ll y a dix ans, disparaissaient Julie et Melissa… Dix années durant
> lesquelles on pourrait croire que Marc Dutroux rumine dans son coin. En
> réalité, il passe son temps �* se plaindre. De tout, de rien. De ses
> conditions de détention, de sa nourriture, de ses transferts vers le
> tribunal. Comme il le dit lui-même : “Je ne comprends pas, je ne suis
> quand même pas un gangster.” Juste un tueur d’enfants !
>
> Un assassin qui serait un adepte de l’odeur naturelle “Il se lave quand il
> a envie. S’il ne veut pas prendre de douche pendant une semaine, eh bien,
> il ne le fait pas !”
>
> Mais par ces chaleurs, l’odeur est tellement incommodante que les douches
> lui sont imposées. Toujours �* l’affût d’une ruse, Dutroux ne se prive pas…
> “On l’emmenait aux douches en lui disant : allez, maintenant, lave-toi. On
> entendait l’eau couler.” Certes, l’eau coulait mais pas sur Dutroux. “On s’est
> posé des questions puisqu’il sentait toujours et que ses cheveux étaient
> secs.” Le lendemain, les gardiens ont voulu en avoir le cœur net. Ils sont
> entrés dans la douche. “L’eau coulait, mais Dutroux attendait
> tranquillement �* côté.”
>
> Dutroux se plaint également de la nourriture. “Avant, �* Arlon, il avait
> droit �* un régime de faveur. Ici, c’est fini.” On le savait fan de
> Nuttela, mais visiblement, il ne semble plus trop l’apprécier. Par contre,
> il est fou des frites. “Chez nous, c’est le mercredi et le dimanche. Il
> exige d’en avoir plus souvent, mais c’est non.” Dutroux aime également les
> bananes. Un prétexte de plus pour montrer son caractère. Un jour, il a
> râlé car il n’y avait pas six bananes comme dans sa commande mais
> seulement cinq !
>
> Décidé �* n’être satisfait de rien, l’assassin de Julie et Melissa déplore
> ses conditions de détention. Sa cellule est trop petite. Il est vrai qu’�*
> Arlon, il avait droit �* une double cellule, bien isolée. Ici, �* Ittre, c’est
> la même que les autres détenus. “Il n’a pas de traitement de faveur. C’est
> un détenu comme les autres.” Il a une télévision et une PlayStation.
> http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=153216
>
> --
> Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
> sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
> "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".

27 augustus 2006, 17:28
noel leon a écrit :

> Dans quelques années, il va sortir un livre, enfin je suppose que ce sera
> son fils ou son avocat ou son chanteur car ça m'étonnerait qu'on lui laisse
> signer ce livre?


Sans être certaine, je ne pense pas qu'il existe une loi lui
interdisant de signer un livre. Et s'il le fait, je suis certaine qu'il
aura du succès.
Ca me rappelle l'histoire d'Issei Sagawa, l'étudiant japonais
cannibale qui avait dévoré une jeune femme néerlandaise. Il a écrit
de nombreux livres qui se sont très bien vendus. Il a même fait de la
pub pour des restaurants de viande.
Bon, ça se passe au Japon aussi...

Sinon Dutroux, bah oui, il ne pense qu'�* sa petite personne et n'a
aucun sursaut de conscience. Cet état de fait ne changera pas, jamais.
Il est nourri et logé correctement ? Parfait, nous sommes des
personnes civilisées. La seule chose que l'on exige, c'est qu'il
ne sorte plus jamais.

D'Iberville
27 augustus 2006, 17:28
[email protected] a écrit :
> noel leon a écrit :
>
>> Dans quelques années, il va sortir un livre, enfin je suppose que ce sera
>> son fils ou son avocat ou son chanteur car ça m'étonnerait qu'on lui laisse
>> signer ce livre?
>
>
> Sans être certaine, je ne pense pas qu'il existe une loi lui
> interdisant de signer un livre. Et s'il le fait, je suis certaine qu'il
> aura du succès.
> Ca me rappelle l'histoire d'Issei Sagawa, l'étudiant japonais
> cannibale qui avait dévoré une jeune femme néerlandaise. Il a écrit
> de nombreux livres qui se sont très bien vendus. Il a même fait de la
> pub pour des restaurants de viande.
> Bon, ça se passe au Japon aussi...
>
> Sinon Dutroux, bah oui, il ne pense qu'�* sa petite personne et n'a
> aucun sursaut de conscience. Cet état de fait ne changera pas, jamais.
> Il est nourri et logé correctement ? Parfait, nous sommes des
> personnes civilisées. La seule chose que l'on exige, c'est qu'il
> ne sorte plus jamais.
>
Dans 10 ans, il est dehors...

--
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Ermite
27 augustus 2006, 17:28
Le Tue, 01 Aug 2006 17:51:02 -0400, D'Iberville <[email protected]>
a écrit :

>[email protected] a écrit :

>> Sinon Dutroux, bah oui, il ne pense qu'�* sa petite personne et n'a
>> aucun sursaut de conscience. Cet état de fait ne changera pas, jamais.
>> Il est nourri et logé correctement ? Parfait, nous sommes des
>> personnes civilisées. La seule chose que l'on exige, c'est qu'il
>> ne sorte plus jamais.
>>
>Dans 10 ans, il est dehors...

Quoique connaissant vos arguments, je prends le pari qu'il ne sortira
pas avant 2026 (voyez mes héritiers, je ne serai probablement plus
l�*).

--
Ermite

strixbubo
27 augustus 2006, 17:28
On Tue, 01 Aug 2006 06:30:12 -0400, D'Iberville <[email protected]>
wrote:

>"ll y a dix ans, disparaissaient Julie et Melissa… Dix années durant
>lesquelles on pourrait croire que Marc Dutroux rumine dans son coin. En
>réalité, il passe son temps �* se plaindre. De tout, de rien. De ses
>conditions de détention, de sa nourriture, de ses transferts vers le
>tribunal. Comme il le dit lui-même : “Je ne comprends pas, je ne suis
>quand même pas un gangster.” Juste un tueur d’enfants !
>
>Un assassin qui serait un adepte de l’odeur naturelle “Il se lave quand
>il a envie. S’il ne veut pas prendre de douche pendant une semaine, eh
>bien, il ne le fait pas !”
>
>Mais par ces chaleurs, l’odeur est tellement incommodante que les
>douches lui sont imposées. Toujours �* l’affût d’une ruse, Dutroux ne se
>prive pas… “On l’emmenait aux douches en lui disant : allez, maintenant,
>lave-toi. On entendait l’eau couler.” Certes, l’eau coulait mais pas sur
>Dutroux. “On s’est posé des questions puisqu’il sentait toujours et que
>ses cheveux étaient secs.” Le lendemain, les gardiens ont voulu en avoir
>le cœur net. Ils sont entrés dans la douche. “L’eau coulait, mais
>Dutroux attendait tranquillement �* côté.”
>
>Dutroux se plaint également de la nourriture. “Avant, �* Arlon, il avait
>droit �* un régime de faveur. Ici, c’est fini.” On le savait fan de
>Nuttela, mais visiblement, il ne semble plus trop l’apprécier. Par
>contre, il est fou des frites. “Chez nous, c’est le mercredi et le
>dimanche. Il exige d’en avoir plus souvent, mais c’est non.” Dutroux
>aime également les bananes. Un prétexte de plus pour montrer son
>caractère. Un jour, il a râlé car il n’y avait pas six bananes comme
>dans sa commande mais seulement cinq !
>
>Décidé �* n’être satisfait de rien, l’assassin de Julie et Melissa
>déplore ses conditions de détention. Sa cellule est trop petite. Il est
>vrai qu’�* Arlon, il avait droit �* une double cellule, bien isolée. Ici,
>�* Ittre, c’est la même que les autres détenus. “Il n’a pas de traitement
>de faveur. C’est un détenu comme les autres.” Il a une télévision et une
>PlayStation.
>http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=153216

Il faudrait le faire travailler. Pourquoi les travaux forcés �*
perpétuité ont-ils disparu ? L'oisiveté est la mère de tous les vices,
pas vrai ? En tout cas c'est un proverbe et les proverbes ne mentent
pas toujours. Et on sait que la prison devient trop souvent l'école
non pas seulement du "vice" mais carrément du crime. Pas difficile de
comprendre pourquoi.

D'Iberville
27 augustus 2006, 17:28
strixbubo a écrit :
> On Tue, 01 Aug 2006 06:30:12 -0400, D'Iberville <[email protected]>
> wrote:
>
>> "ll y a dix ans, disparaissaient Julie et Melissa… Dix années durant
>> lesquelles on pourrait croire que Marc Dutroux rumine dans son coin. En
>> réalité, il passe son temps �* se plaindre. De tout, de rien. De ses
>> conditions de détention, de sa nourriture, de ses transferts vers le
>> tribunal. Comme il le dit lui-même : “Je ne comprends pas, je ne suis
>> quand même pas un gangster.” Juste un tueur d’enfants !
>>
>> Un assassin qui serait un adepte de l’odeur naturelle “Il se lave quand
>> il a envie. S’il ne veut pas prendre de douche pendant une semaine, eh
>> bien, il ne le fait pas !”
>>
>> Mais par ces chaleurs, l’odeur est tellement incommodante que les
>> douches lui sont imposées. Toujours �* l’affût d’une ruse, Dutroux ne se
>> prive pas… “On l’emmenait aux douches en lui disant : allez, maintenant,
>> lave-toi. On entendait l’eau couler.” Certes, l’eau coulait mais pas sur
>> Dutroux. “On s’est posé des questions puisqu’il sentait toujours et que
>> ses cheveux étaient secs.” Le lendemain, les gardiens ont voulu en avoir
>> le cœur net. Ils sont entrés dans la douche. “L’eau coulait, mais
>> Dutroux attendait tranquillement �* côté.”
>>
>> Dutroux se plaint également de la nourriture. “Avant, �* Arlon, il avait
>> droit �* un régime de faveur. Ici, c’est fini.” On le savait fan de
>> Nuttela, mais visiblement, il ne semble plus trop l’apprécier. Par
>> contre, il est fou des frites. “Chez nous, c’est le mercredi et le
>> dimanche. Il exige d’en avoir plus souvent, mais c’est non.” Dutroux
>> aime également les bananes. Un prétexte de plus pour montrer son
>> caractère. Un jour, il a râlé car il n’y avait pas six bananes comme
>> dans sa commande mais seulement cinq !
>>
>> Décidé �* n’être satisfait de rien, l’assassin de Julie et Melissa
>> déplore ses conditions de détention. Sa cellule est trop petite. Il est
>> vrai qu’�* Arlon, il avait droit �* une double cellule, bien isolée. Ici,
>> �* Ittre, c’est la même que les autres détenus. “Il n’a pas de traitement
>> de faveur. C’est un détenu comme les autres.” Il a une télévision et une
>> PlayStation.
>> http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=153216
>
> Il faudrait le faire travailler. Pourquoi les travaux forcés �*
> perpétuité ont-ils disparu ? L'oisiveté est la mère de tous les vices,
> pas vrai ? En tout cas c'est un proverbe et les proverbes ne mentent
> pas toujours. Et on sait que la prison devient trop souvent l'école
> non pas seulement du "vice" mais carrément du crime. Pas difficile de
> comprendre pourquoi.

Euh... et dans la mesure où la peine de mort n'existe plus, les
châtiments corporels non plus, et où Dutroux a déj�* été condamné au
maximum prévu par la Loi belge, comment comptez-vous le contraindre �*
travailler ?

--
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"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".

MH
27 augustus 2006, 17:30
"D'Iberville" a écrit dans le message de news:
> strixbubo a écrit :
>> On Tue, 01 Aug 2006 06:30:12 -0400, D'Iberville wrote:
>>
>>> "ll y a dix ans, disparaissaient Julie et Melissa… Dix années durant
>>> lesquelles on pourrait croire que Marc Dutroux rumine dans son coin. En
>>> réalité, il passe son temps �* se plaindre. De tout, de rien. De ses
>>> conditions de détention, de sa nourriture, de ses transferts vers le
>>> tribunal. Comme il le dit lui-même : “Je ne comprends pas, je ne suis
>>> quand même pas un gangster.” Juste un tueur d’enfants !
>>>
>>> Un assassin qui serait un adepte de l’odeur naturelle “Il se lave quand
>>> il a envie. S’il ne veut pas prendre de douche pendant une semaine, eh
>>> bien, il ne le fait pas !”
>>>
>>> Mais par ces chaleurs, l’odeur est tellement incommodante que les
>>> douches lui sont imposées. Toujours �* l’affût d’une ruse, Dutroux ne se
>>> prive pas… “On l’emmenait aux douches en lui disant : allez, maintenant,
>>> lave-toi. On entendait l’eau couler.” Certes, l’eau coulait mais pas sur
>>> Dutroux. “On s’est posé des questions puisqu’il sentait toujours et que
>>> ses cheveux étaient secs.” Le lendemain, les gardiens ont voulu en avoir
>>> le cœur net. Ils sont entrés dans la douche. “L’eau coulait, mais
>>> Dutroux attendait tranquillement �* côté.”
>>>
>>> Dutroux se plaint également de la nourriture. “Avant, �* Arlon, il avait
>>> droit �* un régime de faveur. Ici, c’est fini.” On le savait fan de
>>> Nuttela, mais visiblement, il ne semble plus trop l’apprécier. Par
>>> contre, il est fou des frites. “Chez nous, c’est le mercredi et le
>>> dimanche. Il exige d’en avoir plus souvent, mais c’est non.” Dutroux
>>> aime également les bananes. Un prétexte de plus pour montrer son
>>> caractère. Un jour, il a râlé car il n’y avait pas six bananes comme
>>> dans sa commande mais seulement cinq !
>>>
>>> Décidé �* n’être satisfait de rien, l’assassin de Julie et Melissa
>>> déplore ses conditions de détention. Sa cellule est trop petite. Il est
>>> vrai qu’�* Arlon, il avait droit �* une double cellule, bien isolée. Ici,
>>> �* Ittre, c’est la même que les autres détenus. “Il n’a pas de traitement
>>> de faveur. C’est un détenu comme les autres.” Il a une télévision et une
>>> PlayStation.
>>> http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=153216
>>
>> Il faudrait le faire travailler. Pourquoi les travaux forcés �*
>> perpétuité ont-ils disparu ? L'oisiveté est la mère de tous les vices,
>> pas vrai ? En tout cas c'est un proverbe et les proverbes ne mentent
>> pas toujours. Et on sait que la prison devient trop souvent l'école
>> non pas seulement du "vice" mais carrément du crime. Pas difficile de
>> comprendre pourquoi.
>
> Euh... et dans la mesure où la peine de mort n'existe plus, les châtiments
> corporels non plus, et où Dutroux a déj�* été condamné au maximum prévu par
> la Loi belge, comment comptez-vous le contraindre �* travailler ?

Pour payer son Nutella.
MH

MH
27 augustus 2006, 17:30
"strixbubo" a écrit dans le message de news:
> On Tue, 01 Aug 2006 06:30:12 -0400, D'Iberville wrote:
>
>>"ll y a dix ans, disparaissaient Julie et Melissa. Dix années durant
>>lesquelles on pourrait croire que Marc Dutroux rumine dans son coin. En
>>réalité, il passe son temps �* se plaindre. De tout, de rien. De ses
>>conditions de détention, de sa nourriture, de ses transferts vers le
>>tribunal. Comme il le dit lui-même : "Je ne comprends pas, je ne suis
>>quand même pas un gangster." Juste un tueur d'enfants !
>>
>>Un assassin qui serait un adepte de l'odeur naturelle "Il se lave quand
>>il a envie. S'il ne veut pas prendre de douche pendant une semaine, eh
>>bien, il ne le fait pas !"
>>
>>Mais par ces chaleurs, l'odeur est tellement incommodante que les
>>douches lui sont imposées. Toujours �* l'affût d'une ruse, Dutroux ne se
>>prive pas. "On l'emmenait aux douches en lui disant : allez, maintenant,
>>lave-toi. On entendait l'eau couler." Certes, l'eau coulait mais pas sur
>>Dutroux. "On s'est posé des questions puisqu'il sentait toujours et que
>>ses cheveux étaient secs." Le lendemain, les gardiens ont voulu en avoir
>>le cour net. Ils sont entrés dans la douche. "L'eau coulait, mais
>>Dutroux attendait tranquillement �* côté."
>>
>>Dutroux se plaint également de la nourriture. "Avant, �* Arlon, il avait
>>droit �* un régime de faveur. Ici, c'est fini." On le savait fan de
>>Nuttela, mais visiblement, il ne semble plus trop l'apprécier. Par
>>contre, il est fou des frites. "Chez nous, c'est le mercredi et le
>>dimanche. Il exige d'en avoir plus souvent, mais c'est non." Dutroux
>>aime également les bananes. Un prétexte de plus pour montrer son
>>caractère. Un jour, il a râlé car il n'y avait pas six bananes comme
>>dans sa commande mais seulement cinq !
>>
>>Décidé �* n'être satisfait de rien, l'assassin de Julie et Melissa
>>déplore ses conditions de détention. Sa cellule est trop petite. Il est
>>vrai qu'�* Arlon, il avait droit �* une double cellule, bien isolée. Ici,
>>�* Ittre, c'est la même que les autres détenus. "Il n'a pas de traitement
>>de faveur. C'est un détenu comme les autres." Il a une télévision et une
>>PlayStation.
>>http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=153216
>
> Il faudrait le faire travailler. Pourquoi les travaux forcés �*
> perpétuité ont-ils disparu ? L'oisiveté est la mère de tous les vices,
> pas vrai ? En tout cas c'est un proverbe et les proverbes ne mentent
> pas toujours. Et on sait que la prison devient trop souvent l'école
> non pas seulement du "vice" mais carrément du crime. Pas difficile de
> comprendre pourquoi.

C'est, entre autre, avec ce genre de client que le Tsar de toutes les
Russies, et ensuite les petits pères des peuples, ont construit tous leurs
ouvrages pharaoniques. On pourrait peut-être étudier les cas de récidives
de l'époque et d'aujourd'hui?
MH