wen.kroy
28 augustus 2006, 18:35
"Dialogue" lettre N° 3,
mercredi 23 août 2006
Une lettre de Louisa Hanoune, député au parlement algérien.
Cher(s) ami(e)s,
Le 5 août, les agences humanitaires de l'ONU ont dans un communiqué lancé un
cri d'alarme « alors que l'attention de
la communauté internationale est portée sur le Liban, la tragédie �* Gaza est
oubliée (...). Profondément alarmées face �*
l'impact de la poursuite de la violence contre les civils et les
infrastructures civiles �* Gaza » 175 palestiniens, dont 40
enfants, ont été tués, �* Gaza depuis le 28 juin et le début des opérations
israéliennes, affirment elles. Le quotidien algérien
El Watan, de son côté titre « Faire oublier le Liban en massacrant le
palestiniens » et explique « Meurtres en série lors
d'incursions sanglantes dans différents endroits des territoires où lors de
raids aériens "ciblés", destruction des
infrastructures de base, démolition des maisons, embargo féroce,
arrestations �* tous les niveaux (...) ».
L'arrêt des hostilités entre l'armée israélienne et la résistance libanaise
lundi 14 août 2006, révèle l'ampleur
du désastre au Liban suite aux bombardements israéliens : alors que des
corps sont encore ensevelis sous les
décombres, près de 1300 morts, destruction quasi-totale des infrastructures
de base dont le coût est évalué
�* près de 6 milliards de dollars. La guerre a coûté 5,7 milliards au
gouvernement israélien en matériel militaire.
Mais pourquoi ? Alors qu'�* 1'intérieur même d'Israël des voix s'élèvent de
plus en plus nombreuses pour
condamner la politique guerrière du gouvernement israélien, celui-ci en
intensifiant les raids sur Gaza et les
assassinats, qui n'ont au demeurant pas cessé durant les 33 jours
d'agression au Liban, confirme ce que le
responsable de la sécurité intérieure israélienne avait déclaré « nous
devons poursuivre nos objectifs au
Liban pour que les palestiniens voient ». La liste des victimes s'allonge
chaque jour.
Plus de 200 personnes, dont de nombreux enfants ont été tuées dans les
territoires palestiniens occupés,
totalement assiégés par l'armée israélienne, depuis le 28 juin. Les
correspondants de la presse algérienne
rapportent le 9 août dans le quotidien Liberté « Ne parlons pas des raids
opérés de façon sporadique
avec leur lot de destruction. Conjugué �* l'asphyxie financière qui étouffe
le gouvernement, autant
dire donc qu'on est face �* une véritable tragédie qui ne dit pas son nom. Si
l'autre tragédie, celle du Liban,
dans laquelle la communauté internationale semble s'embourber, peut
expliquer en partie "l'oubli",
l'indifférence manifestée au peuple palestinien participe au mieux d'un
"crime", au pire, de "non assistance
�* peuple en danger"» et le 14 août, dans le quotidien l'Expression « il
apparaît clairement, un an après le
départ des forces israéliennes, que l'occupation se poursuit. Israël exerce
toujours un contrôle total sur tous
les aspects de la vie des habitant. Le bouclage de Gaza, mis en place en
mars, est total. Le seul point de
passage avec l'extérieur, le terminal de Rafah, dans le sud, vers Égypte,
est fermé de façon quasi permanente.
"Aujourd'hui, la bande de Gaza s'apparente �* une grande prison dont il est
impossible de sortir ou
de rentrer sans l'autorisation des israéliens" insiste Younès Al Jarou. "La
situation économique
est noire", explique l'avocat, "Les travailleurs palestiniens ne peuvent se
rendre en Israël,
les fonctionnaires ne sont pas payés, alors que le potentiel économique de
bande de Gaza est
très faible, sans ressources naturelles ni industrie" ». De son coté l'AFP
décrit la situation �*
Rafah (sud de Gaza) dans ses éditions du 6 août : « Mais ces attaques
frappent aussi les
infrastructures civiles. Dans les quartiers Est de Rafah, plusieurs maisons
ont été endommagées.
les routes de terre ont été défoncées et un grand nombre de champs ont été
entièrement dévastés.
(.) Atif-al-Akhraz, 44 ans, contremaître d'une exploitation agricole
détruite, s'est précipité
hier pour évaluer les dégâts. "Ici, il y avait des serres", affirme-t-il, en
montrant les tiges de fer
tordues et les morceaux de plastique qui émergent de terre retournée par les
bulldozers.
"On cultivait des tomates mais aussi de la vigne et des agrumes", dit-il.
"Il ne reste plus rien." Selon
lui, les pertes se chiffrent �* plusieurs dizaines de milliers de dollars,
mais surtout, souligne-t-il, il
faudra des années pour relancer l'exploitation alors que les arbres étaient
vieux de 10 ans (...).
Un peu plus loin, Soubhi-al-Kharaz, 48 ans, tente d'évaluer les dégâts
infligés �* sa maison.
Les soldats israéliens en ont fait leur quartier général pendant trois
jours, Ils ont renvoyé ses
enfants, mais lui ont ordonné de rester avec sa femme (...). L'allée qui
mène �* son domicile
n'est plus qu'une succession de monticules et de crevasses, la clôture a été
arrachée, et un
hangar a été gravement endommagé. "Tout a été détruit par les bulldozers et
les chars", dit-il
(..) Eid Salman Hijazi, 43 ans, est le propriétaire de plusieurs
exploitations agricoles détruites. II affirme
que c'est la troisième fois que des terres lui appartenant sont la cible des
incursions israéliennes.
"Ici, dit-il, 200 personnes vivaient des revenu de cette terre. Que vont-ils
devenir �* présent ?"
demande-t-il ». Même si les destructions et les assassinat perpétrés par
l'année israélienne dans
les territoires palestiniens n'ont pas cessé depuis l'an 2000, et qu'il est
désormais avéré que
l'invasion du Liban a été planifiée la même année, le gouvernement israélien
prétend que son
offensive contre Gaza et la guerre qu'il a déclenché contre le Liban visent
�* libérer les soldats
israéliens enlevés.
Du point de vue de la démocratie, des droits humains les plus élémentaires,
les hommes ne sont-il
pas censés être tous égaux indépendamment de la race, la religion et la
langue ?
Alors en quoi la vie d'un soldat israélien, serait-elle supérieure �* celle
de plus de 10 000 palestiniens
enlevés, emprisonnés et torturés dont 400 femmes et enfants et 63 élus,
députés et ministres ?
En quoi la libération de deux soldats israéliens serait elle plus fondée que
celles de plusieurs milliers
de libanais emprisonnés depuis 20 ans ? Et peut elle justifier l'assassinat
de plus de 1200 personnes,
dont 30% sont des enfants, et la destruction totale d'un pays ? Et quel est
donc ce « droit international »
qui légitime une telle discrimination ?
Et n'est ce pas un acte de terrorisme d'Etat de piraterie que d'enlever le
président du Conseil Législatif, et
le vice-premier ministre palestiniens ? A l'occasion de la 11ème biennale
des cinémas arabes, des femmes
cinéastes palestiniennes ont présenté des films impressionnants, qui
relatent toutes les formes de
discrimination exercées par le gouvernement israélien �* l'encontre du peuple
palestinien, tant dans
les villes, sous lois israéliennes, que dans les 12% qui restent encore
comme territoires pour les
Palestiniens. J'ai écouté leurs témoignages sur la chaîne de télévision
algérienne ce vendredi 18 août,
les faits réels qu'elles rapportent illustrent un apartheid érigé en
système.
Intervenant sur la chaîne satellitaire palestinienne vendredi 11 août, un
prêtre palestinien qui rendait
visite avec une délégation �* un camp d'été pour enfants palestiniens �* Beit
Lahya - où la population
arabe venait de manifester après le massacre d'une famille entière par des
tirs de canon de la marine
israélienne - expliquait la sauvagerie des violations de l'intégrité des
femmes et enfants palestiniens
par l'armée israélienne : « lorsqu'une femme est dans sa maison aucun
étranger n'a le droit d'y
entrer sans son accord. C'est une question d'intégrité. Or regardez cette
maison. Un char israélien
est entré dedans pour la démolir, alors qu'une femme et ses enfants étaient
�* l'intérieur. Des soldats
sont sortis du char, ils étaient accompagnés de chiens affamés. Alors qu'ils
leur ont donné �* manger
de la viande qu'ils avaient apportée avec eux �* dessein. Les chiens se sont
jetés sur la viande devant
les enfants qui n'avaient pas mangé depuis 6 jours, puis un soldat s'est mis
�* fouiller un enfant de
deux ans comme s'il pouvait porter une kalachnikov. »
Et le même jour, des femmes palestiniennes habitant le nord d'Israël ciblé
par les missiles de la résistance
libanaise, expliquaient : « nous ne pouvons pas quitter le quartier. Nous
n'avons
pas où aller. Il n'y a
même pas d'abris dans nos maisons �* la différence des quartiers juifs où les
familles ont trouvé refuge
dans les abris aménagés ».
La presse internationale a relevé cette discrimination. Tout comme elle a
relevé que les bombardements
israéliens, après le vote de la résolution 1701 de l'ONU, samedi 12 août,
ont pris pour cibles des camps
de réfugiés palestiniens parmi les plus peuplés, Nabatiya et Ein Héloué au
Liban, qui eux aussi ne
pouvaient fuir nulle part de par la précarité de leur statut.
Une femme algérienne, révoltée par les massacres commis par l'armée
israélienne, m'a écrit en ces
termes : « ça sera avec une grande fierté que je signerai la pétition
dénonçant la ségrégation et
l'oppression subies par la femme et l'enfant palestinien. De même que je me
mets entièrement �* la
disposition de la manifestation que vous avez appelé. Je n'ai pas j'habitude
d'adhérer aux
manifestations "pour manifester", mais je sais que ce que vous entreprenez
est authentique et
vrai. Je vous fais confiance et j'espère que vous ferez appel �* ma
contribution. Je m'appelle
Sedika, je suis diplômée d'une licence en sciences politiques (1977), j'ai
fait des études supérieures
en relations internationales. Je suis mère de trois enfants (adultes). Donc
je dispose d'assez de
temps pour oeuvrer efficacement �* obliger les tortionnaires �* lever leurs
mains sur les peuples
du monde. Je maîtrise les deux langues (arabe et français) et je veux
apporter ma contribution de
quelque manière que ce soit ». Des personnalités algériennes de différents
horizons, des femmes et
des hommes de culture, (écrivains, poètes, comédiens...) des responsables
syndicaux, des journalistes.
Des parlementaires, des dirigeants politiques soutiennent la tenue de la
conférence internationale
en soutien aux femmes palestiniennes �* Alger. Nombreux parmi eux sont celles
et ceux qui ont proposé
leur contribution au succès de la rencontre.
Chers amis,
Comme vous le savez, du 12 juillet au 14 août, la mobilisation pour un
cessez-le-feu immédiat Liban a été
la priorité pour les femmes et les hommes épris de paix dans le monde, dont
les signataires de l'appel
des femmes palestiniennes. Cela n'a pas pour autant, ralenti notre campagne.
Au contraire, car par
del�* les actions de solidarité immédiate avec le Liban, il n'échappe �*
personne, qu'�* l'origine des
développements tragiques se trouve le sort qui est fait au peuple
palestinien. Mais nous devons
accélérer les rythmes durant le mois de septembre d'autant que le mois de
ramadhan intervenant
dès le 25 ou 26 septembre, l'activité connaîtra un ralentissement pendant un
mois dans tous les pays
musulmans.
Il est donc, �* mon avis, urgent de transmettre �* "Dialogue" les propositions
en matière de
participation et de contribution pour que je puisse les intégrer.
Meilleures salutations :
Louisa Hanoune, le 22 août 2006
Une lettre de Nazareth :
Le 20 août 2006,
LETTRE OUVERTE EN REPONSE A L'INITIATIVE D'UNE CONFERENCE
INTERNATIONALE DE SOLIDARITE AVEC LES FEMMES PALESTINIENNES,
ORGANISEE A ALGER EN NOVEMBRE 2006
Chers amis,
Alors que nous nous sommes engagés dans le recensement et la réponse aux
besoins de notre communauté,
besoins causés par le conflit violent en Israël, au Liban et �* Gaza, un
message hautement encourageant nous a
atteint :
Mme Louisa Hanoune, parlementaire élue �* "l'Assemblée Populaire Nationale"
et secrétaire générale du
Parti des Travailleurs algériens, a suggéré aux autorités de son pays
d'organiser une conférence en solidarité des
femmes palestiniennes. Elle a ensuite informé la revue Dialogue,
destinataire de sa lettre, que le président de la
République ainsi que le président de l'Assemblée Nationale avaient autorisé
l'organisation de cette manifestation
�* Alger. La situation des femmes arabes �* Nazareth fait explicitement partie
du programme de la conférence.
- Nous, en tant que femmes, que travailleurs, que palestiniens, qu'arabes,
en tant qu'êtres humains, soutenons
fermement l'initiative d'une conférence internationale de solidarité avec
les femmes palestiniennes, et nous
sommes honorés d'être considérés comme partie intégrante de cet effort
mondial.
- Nous saluons cette initiative parce que nous estimons que notre lutte pour
les droits de l'homme et l'égalité
�* Nazareth est inséparable de celle de nos soeurs et de nos frères de Gaza,
du Liban, et de bien d'autres parties
du monde.
- Nous croyons qu'il est maintenant temps de regrouper les forces solidaires
et de combattre tous ensemble
- arabes et juifs, et tout autre, pour mettre fin �* la pauvreté, �* la
discrimination, �* l'exploitation, et �* l'occupation,
où qu'elle ait lieu.
-Nous envoyons nos plus sincères salutations �* tous les signataires de cet
appel, publié en notre nom, ainsi
qu'�* tous ceux qui s'impliquent dans l'organisation de cette conférence, en
particulier aux initiateurs de cette
manifestation.
- Nous discuterons des possibilités de contribution �* cette conférence avec
notre base.
Solidairement, la Commission Femmes de Sawt el-Amel et Wehbe Badarne,
directeur général.
Ils mènent la campagne des signatures :
D'Espagne :
Madrid, 3 août 2006,
Au Comité de Rédaction de la revue Dialogue
Cher(e)s ami(e)s,
Nous avons fait connaître l'appel des femmes de Nazareth et la lettre de
Louisa Hanoune proposant une
Conférence �* Alger.
Cette initiative reçoit un bon accueil. Nous comptons déj�* les signatures de
25 dirigeants et personnalités
et 100 autres signatures de travailleurs et jeunes. Nous traduirons en
espagnol et publierons toutes
les lettres de préparation de la conférence d'Alger, et �* cet effet nous
vous demandons de nous les
faire parvenir dans les plus brefs délais au fur et �* mesure de leur
disponibilité.
Nous envisageons la possibilité de participer avec une délégation �* cette
Conférence.
Pour cela nous voulons compter sur l'appui des syndicats (UGT et CCOO). En
septembre nous
aurons une entrevue avec la direction de l'UGT pour traiter de ce sujet.
Nous voulons aussi vous informer que la CCOO de Madrid a envoyé l'appel de
Nazareth �* ses délégués,
ce qui nous ouvre de grandes perspectives d'extension de la campagne dans ce
syndicat.
Nous voulons également étendre la campagne �* d'autres collectifs, comme
celui des cinéastes
et intellectuels, qui dans notre pays ont joué un rôle important contre la
guerre et l'occupation
de l'Irak.
Pour cela la lettre des cinéastes juifs aux cinéastes palestiniens que vous
avez publiée
dans la lettre nº 2 peut être d'une grande utilité. Nous vous tiendrons
ponctuellement informés
de notre travail et de nos résultats. Confiants que, ensemble, nous serons
capables de mettre fin
�* cette terrible tuerie et destruction de peuples innocents, recevez un
chaleureux salut,
Isabel Cerdá, abonnée �* Dialogue, signataire de l'appel.
************************************************** *****************
DE TURQUIE :
Cher(e)s ami(e)s de Dialogue,
Voici les premières signatures en provenance de Turquie, en soutien �*
l'appel
des
femmes de Nazareth (voir liste ci-après). Nous vous en ferons parvenir
prochainement bien plus,
de syndicats et du mouvement ouvrier, de partis politiques.
Dans un premier temps, nous allons préparer un appel en langue turque pour
présenter
l'appel et annoncer la conférence d'Alger.
Nous prévoyons de rassembler sur notre appel écrit des signatures de
dirigeants
syndicaux, en particulier de femmes membres de comités exécutifs mais aussi
de dirigeants
de partis politiques et de mouvements sociaux, etc. En donnant la priorité
aux femmes.
Nous aimerions d'abord tenir une petite réunion avec ces organisations qui
ont signé
notre appel et ensuite, nous prévoyons de tenir une réunion plus importante
dans une
salle plus grande �* laquelle nous pourrions également inviter la presse et
les télévisions.
Nous prévoyons de constituer une délégation avec des personnes d'autres
organisations
que l'IKP, et nous prévoyons de désigner les noms après l'organisation de
cette réunion.
Nous aimerions faire une présentation du problème de la Palestine aussi
détaillée que possible.
Il nous serait très utile que vous nous envoyiez du matériel visuel, des
photos...
Nous pourrions préparer quelque chose avec des diapositives où nous
pourrions montrer les
cartes de la Palestine historique, la situation actuelle.
C'est pourquoi des éléments visuels et des références précises nous
aideraient �* la fois �* mieux
comprendre et �* mieux présenter la situation de la Palestine aujourd'hui.
Nous-vous tiendrons
informés régulièrement des résultats de la campagne.
Fraternelles salutations,
Pinar Ekol, pour le Parti de la fraternité des travailleurs (IKP).
************************************************** **********************
Article de Mohamed El-Ouahed, publié dans La Nouvelle République (Algérie),
le 08 août 2006 :
Conférence internationale de solidarité avec les femmes palestiniennes :
Nous venons d'apprendre que Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT, va
organiser, dans la première quinzaine du
mois de novembre, une conférence internationale de solidarité avec les
femmes palestiniennes. En effet, la revue Dialogue est une
revue de discussion entre militants arabes et juifs de Palestine, pour le
droit au retour et pour un seul Etat sur tout le territoire de la Palestine
historique. Son objectif est, par la libre discussion, de faire prévaloir
les intérêts démocratiques fondamentaux de tous les peuples qui
vivent sur le territoire de la Palestine historique. La revue Dialogue a
reçu une lettre émanent de Louisa Hanoune dans laquelle elle
explique que le sort des femmes travailleuses palestiniennes de Nazareth,
par la cruauté qui leur est fait, se suffit �* lui-même.
En effet, dans une déclaration, les femmes palestiniennes de Nazareth font
état d'une véritable ségrégation de l'Etat sioniste.
Ainsi, on peu lire dans cette déclaration que «depuis le début août 2005,
l'organisation
de défense des droits des travailleurs arabes �*
l'intérieur de l'Etat d'Israël, Sawt El-Amel (La voix du travailleur), dont
le siège est �* Nazareth, a pris l'initiative d'une campagne publique
et de manifestations contre la mise en oeuvre du plan du gouvernement
israélien appelé Wisconsin.
Le plan Wisconsin ne crée aucun nouvel emploi. Il vise �* exclure des
milliers de chômeurs de leurs droits aux allocations en les
plaçant dans n'importe quel poste de travail. A Nazareth, il affecte en
majorité les femmes palestiniennes. En 2002, elles
représentaient plus de 15% de la population féminine en âge de travailler
dans l'Etat d'Israël mais n'occupaient que 5% des emplois
féminins. Elles constituent la partie la plus exploitée et opprimée des
travailleurs victimes du plan Wisconsin.
Ainsi, la femme arabe est la principale victime de l'application du plan
Wisconsin, parmi les chômeurs.
Comment est-il possible de traiter des femmes de la sorte ?
Le 6 janvier dernier, les policiers israéliens ont utilisé la violence
contre la manifestation appelée par l'organisation Sawt El-Amel.
Elle se déroulait pourtant dans le calme. Un manifestant, qui est intervenu
pour empêcher qu'une femme soit battue par les policiers,
a été lui-même roué de coups et arrêté par la police. La compagnie privée
Agam Mehalev, chargée d'appliquer le plan Wisconsin �*
Nazareth, a annulé le droit aux allocations de chacune des femmes chômeuses
qui avait participé �* cette manifestation.
Non seulement elle exclut les femmes chômeuses de tout emploi, mais elle use
de manoeuvres et de subterfuges pour
supprimer leurs allocations de survie. Elle les plonge ainsi dans la misère
la plus extrême.
Par del�* les opinions de chacun, qui peut accepter des traitements aussi
inhumains ?
Le 8 mars 2006, plus de 300 femmes palestiniennes manifestaient �* l'appel de
l'organisation Sawt El-Amel �* l'occasion de la journée
internationale des femmes. Elles agitaient des drapeaux noirs et des
portraits de Kheir Khaleïli, un jeune ouvrier palestinien,
première victime du plan Wisconsin, décédé le 3 mars. Kheir Khaleïli
souffrait de graves problèmes de santé.
Les travailleurs étaient confinés, huit heures durant, dans des conditions
insupportables.
Il avait supplié la compagnie Agam Mehalev de le laisser partir. En vain.
Peu après, en revenant chez lui,
il s'est effondré, mort.
************************************************** ***************
UN TERRIFIANT CONSTAT :
L'escalade des attaques des forces d'occupations israéliennes (FOI) sur les
civils
palestiniens et les biens dans les territoires palestiniens occupés (TPO).
- 6 palestiniens, dont deux enfants et un vieil homme, ont été tués par les
FOI.
- Un civil palestinien de Jénine est mort d'une blessure reçue précédemment.
- 36 civils palestiniens, dont 4 enfants et 3 femmes, ont été blessés par
des coups
de feu des FOI.
- Les FOI ont lancé une série d'attaque aérienne sur des maisons dans la
bande
de Gaza.
- 6 maisons ont été détruites, et une 7ième brûlée dans la bande de Gaza.
- Les FOI ont mené 40 incursions dans les communautés palestiniennes de la
Cisjordanie, et 4 autres dans la bande de Gaza.
- Les FOI ont arrêté 48 civils palestiniens en Cisjordanie, et 5 autres dans
la bande
de Gaza.
- 4 maisons ont été démolies en Cisjordanie.
- Les FOI ont attaqué 3 hôpitaux �* Hébron.
Les FOI ont continué �* imposer un siège complet des TPO ; les FOI ont imposé
un
siège renforcé sur la bande de Gaza et il y a eu de nouvelles ruptures de
stock d'aliments
et de carburant ; les FOI positionnés �* divers point de contrôle en
Cisjordanie ont arrêté
8 civils palestiniens, dont deux filles.
Les FOI ont continué �* construire le Mur d'Annexion en Cisjordanie ; ils ont
rasé de
nouvelles zones de terres agricoles dans le Qalqilya et ont utilisé la force
pour disperser
une manifestation pacifique contre la construction du mur dans le village de
Bal A'Ein, �*
l'ouest de Ramallah.
Les colons israéliens ont poursuivi leurs attaques contre les civils
palestiniens et
les biens dans les TPO ; les colons ont célébré un mariage juif �*
l'intérieur de la
Mosquée Ibrahimi d'Hébron.
Comme la communauté internationale est restée silencieuse, les FOI ont
poursuivi
l'offensive de grande échelle contre le peuple palestinien, particulièrement
dans
la bande de Gaza. Pendant la période considérée, les FOI ont poursuivi leur
opération Criquet : ils entrent dans une certaine région, y commettent des
crimes,
puis se redéploient hors de la région. Ensuite, ils pénètrent dans une autre
région
pour agir de même. Des centaines de familles palestiniennes ont été obligées
de quitter leurs maisons �* cause du pilonnage des FOI.
Le PCHR, surveillant avec la plus grande attention les développements de
cette
offensive, en appelle �* la communauté internationale, en particulier aux
signataires
des Conventions de Genève de 1949 et aux Nations Unis, pour qu'ils
interviennent
pour obliger les FOI �* arrêter cette offensive et laisser le flux de
nourriture,
de fournitures médicales et de carburants entrer dans la bande de Gaza.
Les crimes commis par les FOI depuis le 25 juin 2006 :
- 207 palestiniens, principalement des civils, dont 46 enfants et 10 femmes,
ont
été tués par les FOI.
- Au moins 815 civils palestiniens, dont 232 enfants et 27 femmes, ont été
blessés par
des coups de feu des FOI.
- Au moins 217 missiles air-sol et des centaines de bombes ont été tirés sur
des
cibles civiles et militaires palestiniennes dans la bande de Gaza.
- Des bâtiments du Ministère Palestinien de l'Intérieur, du Ministère des
Affaires
Etrangères, et du Ministère de l'Economie Nationale, le bureau du Premier
Ministre
Palestinien et de nombreuses institutions d'enseignement ont été détruites.
- L'usine de production d'électricité qui fournit 45% de l'électricité de la
bande de Gaza,
a été détruite et les réseaux d'électricité ainsi que les transformateurs
ont été attaqués
�* plusieurs reprises.
- 6 ponts entre Gaza et le centre de la bande de Gaza et de nombreuses
routes
ont été détruites.
- Des centaines de donums de terres agricoles et des douzaines de maisons
ont été détruites.
- Des centaines de civils palestiniens, dont 8 ministres et 27 membres du
Conseil Législatif Palestinien (CLP), dont son porte-parole et son vice
porte-parole
ont été arrêtés.
Le Ministre des Affaires des Prisonniers, le Ministre du Travail et le
vice-porte-parole
du CLP ont été libérés.
- Le complexe gouvernemental palestinien de Nablus a été détruite.
- De nombreuses familles de Rafah, de Beit Hanoun et de Beit Lahya ont été
obligées de quitter leurs maisons.
- Les services de renseignement des FOI ont téléphoné �* des civils
palestiniens
de la bande de Gaza pour leur demander d'évacuer leurs maisons qui allaient
être
attaquées.
- 25 maisons appartenant �* des militants de factions palestiniennes ont été
détruites
par des avions de combat des FOI.
- Les FOI ont imposé un siège strict sur les TPO et ont isolé la bande de
Gaza du
monde extérieur.
Rapport hebdomadaire sur les violations des droits
de l'homme du Centre Palestinien pour les Droits de
l'Homme (PCHR), 17 août 2006.
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La guerre israélienne au Liban et en Palestine
par Salah Salah *, le 16 / 08 /2006 :
Liban
Les parties en présence maintiennent encore résolument l'arrêt des
hostilités en cette seconde journée, cependant cette paix
vigilante est accompagnée du retour des réfugiés au sud et dans la banlieue
sud avec des avertissements faits aux réfugiés de
tous côtés via les médias de ne pas approcher les cadavres inconnus ou les
bombes qui n'ont pas explosé, lesquelles ont causé
la mort et des blessures �* de nombreuses personnes, bien après le
cessez-le-feu.
Les militaires et dirigeants politiques israéliens ont déclaré le siège
continu du Liban, par les voies aériennes et maritimes,
tandis que le gouvernement libanais essaie continuellement de faire lever ce
siège par des communications intensives avec les
5 pays permanents du Conseil de Sécurité.
Dans un des rapports américains qui ont filtré �* un organe de la presse, on
peut lire les points suivants :
.. Le nombre de soldats israéliens morts au combat, du 12 juillet au 7 août,
atteint le nombre de 343, tandis que le nombre
de blessés est de 617 personnes.
.. 48 tanks Merkava furent détruits par la résistance, ainsi que 96 véhicules
( des jeeps, des camions et des bulldozers)
.. Le rapport affirme qu'Israël a utilisé �* peu près 90 % de ses munitions au
cours de la guerre du Liban ce qui a incité ses
dirigeants �* rouvrir les dépôts de réserve de munitions qui furent fermés il
y a dix ans.
Le nombre réel des soldats israéliens qui ont combattu la résistance au
Liban a atteint les 40 000 soldats. On peut aussi noter
que des pilotes américains ont participé dans les attaques aériennes au
Liban.
Un autre rapport, présenté par le journal israélien Yediot Ahronot, révèle
que le coût de la guerre israélienne au Liban est le
suivant :
.. 156 Israéliens tués
.. 25 milliards de Shekel dépensés
.. 33 jours de combat
.. 3 970 roquettes
.. participation de 30 000 soldats israéliens �* la guerre
.. 15 000 attaques aériennes
.. 800 heures de navigation
.. 7 000 cibles attaquées
.. 126 plates-formes détruites
.. 4 hélicoptères et avions de combat détruits, 1 hélicoptère touché par la
résistance.
Le Premier Ministre a admis en session que la résistance avait porté des
coups durs �* Israël et que les adversaires de droite ( ?)
en avaient profité.
La Palestine :
Trois Palestiniens furent tués et trois autres blessés dans un bombardement
de leur maison �* Beit Hanoun dans la Bande de
Gaza. De plus, les soldats israéliens ont arrêté 5 Palestiniens �* Ramallah
et Hébron en Cisjordanie. A cause des attaques aériennes
continuelles sur la Bande de Gaza, 15 Palestiniens furent blessés ; une
maison fut prise pour cible et complètement
détruite �* Jabalia, tandis que deux autres immeubles furent détruits dans un
camp de réfugiés en Cisjordanie.
Lundi, Israël a relâché le Ministre du Travail palestinien, Mr Mohammed al
Barghouty qui, �* son tour, a transmis le message
d'un officiel israélien, �* savoir que le reste des élus palestiniens ( les
ministres et les membres du Conseil Législatif, y compris
le Président du Conseil Législatif) resteront en prison jusqu'�* la
libération du soldat israélien qui fut fait prisonnier le 25 Juin.
Le Premier Ministre palestinien, M. Ismael Haniyeh a prévenu qu'une attaque
israélienne sur la Bande de Gaza était possible,
pour qu'Israël parvienne �* donner l'illusion de la victoire, quoique sur des
gens désarmés, après leur échec au Liban.
Des hommes armés non-identifiés ont enlevé deux journalistes étrangers qui
travaillent pour la Fox Agency, ce qui a été
condamné par les officiels palestiniens : ce n'est pas la tendance politique
palestinienne.
IL EST VRAI QUE LA GUERRE EST FINIE AU LIBAN MAIS ELLE CONTINUE DE
MANIERE ATROCE EN PALESTINE.
* Réfugié palestinien au Liban, chassé en 1948, �* l'âge de 12 ans de
Tibériade. - Membre du Front
populaire de Libération de la Palestine, représentant des réfugiés
palestiniens au Conseil National
Palestinien. - Directeur de Ajial, association palestinienne qui travaille
avec les jeunes réfugiés
palestiniens dans les camps du Liban.
Première liste de signataires et soutiens :
AFRIQUE DU SUD :
Sadie Forman, Fort Hare Women.
ALGÉRIE :
Mohamed Abdoun, journaliste ; Hamza Abdelkader, palestinien ; Mohamed
Abouafif, palestinien ; Mossabe Abouassi, palestinien ;
Bachir Aboubaker, réprésentant du Front Palestinien de Libération ; Mamdouh
Aboudika, palestinien ; Abdelkarim Aboudraz, palestinien ;
Ahmed Abougheliouze, palestinien ; Mohamed Abouharnate, palestinien ; Ali
Abouhilale, palestinien ; Charif Abouhira, palestinien ;
Chaieb Aboukhatir, palestinien ; Wahnia Abounasr, palestinienne ; Nacéra
Abraze, poète ; Mohamed Achraf, palestinien ;
Mohamed Adel, palestinien ; Djouher Akrour, moudjahida, ancienne condamnée �*
mort, membre fondatrice de SOS femmes en
détresse ; Mohamed Ali Hadj, palestinien; Ihab Alouane, palestinien ; Nader
Alqaissi, palestinien ; Karim Aoudia, journaliste ;
Abderahmane Arfoutni, député du Parti des travailleurs ; Mohamed Assi,
palestinien ; Amdjed Ayah, palestinien ; Wassila Benbalil,
palestinienne ; Rahima Benbalil, palestinienne ; Salah Bey, journaliste ;
Bilal Ben Salem, photographe ; Ibrahim Betka ;
Djillali Biskri, écrivain ; Hamid Boubeghla ; Sarah Boudjemaa, palestinienne
; Fatiha Bouhired, moudjahida ; Nacera Boulahouache,
écrivain et journaliste ; Siham Bounabi, journaliste ; Soumaya Bouzidani,
palestinienne ; Imane Chaat, palestinienne ; Rami
Chahine, palestinien ; Rami Chatoura ; Ahmad Chritah, palestinien ; Tahar
Dahmani, journaliste ; Rabia Djelti, poète ;
Zineb Djoudi, palestinienne ; Djelloul Djoudi, député du Parti des
travailleurs ; Halam Damdoum, palestinienne ; Nadia Dridi,
présidente de l'association nationale pour la protection et la promotion de
la femme ; Hacène Elabadla, palestinien ; Fadi Elbayoumi, palestinien ;
Ismail Eladjouri, palestinien ; Nadi Elbayoumi, palestinien ; watan Elghoul,
palestinien ; Nahid Elkadra Chaat, palestinien ; Mohamed Elilmi
Essaihi, écrivain ; Samir Elmnaama, palestinien ; Amine Ezzaoui, directeur
de la bibliothèque nationale d'El Hama, écrivain ; Ahmed Elmadloume,
palestinien ; Mohamed Elmili, écrivain ; Karam Ezowidi, palestinien ; Amna
Ezzahar, palestinienne ; Maha Ezzahar, palestinienne ; Raoula Ezzahar,
palestinienne ; Rasmia Ezzahar, palestinienne ; Saad Ezzahar, palestinien ;
Sahar Ezzahar, palestinien ; Walla Ezzahar, palestinienne ; Charifa Fayçal
Abouzmirou, palestinienne ; Madjed Fodil, palestinien ; Malika Gazouli,
universtaire ; Nourreddine Gazouli, universitaire ; Amel Gouraya,
journaliste ; Mohamed Haboub ; Nawel Hadjermi, photographe ; Mohamed
Hamiche, acteur ; Louiza Hanoune, députée du Parti des travailleurs ;
Saida Ben Hbiles, ancienne Ministre ; Mohamed Hocène, palestinien ; Sabrina
Hdioua, journaliste ; Rabah Houadef, journaliste ; Mohamed Houssam,
palestinien ; Kaci Tizi Ouzou, comédien ; Ahmed Karboune, palestinien ;
Ismail Kasdi ; Yacine Khader, palestinien ; Zoubida Kherbache, députée du
Parti des travailleurs ; Kamila Kherich, étudiante ; Ghania Larbi Cherif,
enseignante ; Karim Lapchri, député du Parti des travailleurs ; Faiza Malek,
Moudjahida ; Kaced Mekbel, fonctionnaire �* l'ambassade de Palestine ; Mehlab
Lamia ; Mohamed Mezaher, palestinien ; Selmane Miloud ; Nawel
Mokhtar, enseignante ; Fazia Mokrani, parti des travailleurs ; Mohamed
Moslim, palestinien ; Abdelhalim Mouhou, journaliste ; Tatiana Nidale,
palestinienne ; Chahada Ouail, palestinienne ; Rabiha Oughlas, enseignante ;
Abdelhamid Rabia, acteur, vice président de l'APC Alger centre ; Akila
Rabhi, journaliste ; Ihab Saïd, palestinien ; Mohamed Salah, représentant du
FPLP en Algérie ; Hala Salah, palestinien ; Radouane Salah,
palestinienne ; Saadia Salah, palestinienne ; Abid Salama, palestinien ;
Naamane Ben Saraa ; Lynda Selam, comédienne ; Abdelmadjid Sidi Saïd,
Secrétaire Général de l'UGTA* ainsi que la totalité des membres de la
commission exécutive de l'UGTA ; Houria Sinya, photographe ; Abdelmadjid
Ben Soltane, avocat et moudjahid ; Mohamed Tahayna, palestinien ; Nourredine
Taïbi, homme de lettres ; Sakina Tebhi, enseignante ; Fatma Smati,
membre de l'Assemblée de la Wilaya d'Alger ; Rachid Zarat, député du Parti
des travailleurs ; Djamel Zerout,journaliste ; Ounissi Zhor, ancienne
Ministre, députée et écrivain ; Abdelouahid Zighem, écrivain.
ALLEMAGNE :
Henning Frey ; Claudia Karas, Aktionsbündnis für einen gerechten Frieden in
Palästina ; H.W. Schuster.
AUSTRALIE :
Debbie Brennan, Radical Women ; Ian Bray, Syndicat Maritime d'Australie*.
BANGLADESH :
Tafazzul Hussein, Président de la Fédération Nationale des travailleurs du
Bangladesh ; Mashuda Khatum Shefali, Alliance des
travailleurs du vetêment (BGWPA).
BARHEIN :
Jamal Ateeq, Fédération Générale des Syndicats de Barhein* ; Abdun,
syndicaliste.
BELGIQUE :
Roberto Giarrocco ; Joëlle Van Hoeck, syndicaliste ; Micheline Wattiez ;
Paul Wattiez, syndicaliste; Yves Eeckman,
syndicaliste FGTB, Philippe De Menten, syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB)
; Eric Bayet, syndicaliste ; Nadine Negleman,
syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB) ; Jacques-Ivan Duchesne, musicien ;
Olivier Horman, syndicaliste FGTB Services publics ;
Anne Vanesse, mandataire municipale de Saint Gilles, militante socialiste.
BELIZE :
Omitade Adediran.
BÉNIN :
Gaston Azoua, Secrétaire général de la CSTB* ; Paul Essé Iko, CSTB* ;
Constant Sinzogan, CSTB*. BRÉSIL : Gilda Almeida -
CUT São Paulo* ; Maria Ednalva Bezerra - CUT, Secrétaire nationale de la
commission Femmes* ; Misa Boito, membre de la direction du PT
dansl'Etat de Sao Paulo ; Tamam Daaroul, TV Siria Internacional ; Maria
Goretti L. Cabral (SINTTEL/PB) ; Hiobrahim A. Hammoud, membre de la
Jeunesse Arabe ; Chico Leite, Député du district de Brazilia ; Luzenira
Linhares (SINTTEL/PB) ; Wallace Pereira (SINTTEL/PB) ; Julio Turra,
Directeur exécutif de la CUT* ; D�*lson Peixoto - Conseiller municipal de
Recife et President du PT dans l'Etat de Pernambouc; Paulo Valença - Maire
adjoint d'Olinda, membre de l'Exécutif du PT-PE ; José Múcio Magalhães -
Secrétaire du Cabinet du Maire de Recife, membre de l'Exécutif de PT-PE ;
Conceição Nascimento, membre de l'executif du PT, Secrétaire Nationale des
Femmes ; Anne Paula C. de Pontes, Exécutif de l'Etat de Pernambouc ;
Soraya Smaïli, présidente de l'Institut de la Culture Arabe.
BURKINA-FASO : Tolé Sagnon, Secrétaire général de la CGT-B*.
BURUNDI : Mathias Ruvari, Secrétaire général de la Confédération Libre du
Burundi* ; Paul Nkunzimana, pour le
Syndicat Libre des Travailleurs de l'Université du Burundi (STUB).
CAMEROUN :
Louis Sombes, Secrétaire exécutif CSAC*.
CANADA :
B. Ross Ashley ; Mira Khazzam, PAJU (Palestinian and jewish unity) ; Smadar
Carmon, Coalition for Just peace in Palestine.
CISA (Conf. Internationale des Syndicats Arabes) : Hacène Djeman, Secrétaire
Général*.
CÔTE D'IVOIRE :
N'guessan Nyamien Messou, Secrétaire Général de la fédération des Syndicats
Autonomes de Côte d'Ivoire - FESAC* ;
Maurice Zehia, AGPE* ; François Yao, Secrétaire général du SYNASEG*. CUBA :
Oviedo de la Torre, CTC (Centrale du travail de Cuba)* ; Celia
Hart Santamaria, écrivain. EGYPTE : Mostafa Rostom, ETUF (Fédération des
syndicats égyptiens)*.
ESPAGNE :
150 signatures annoncées, parmi lesquelles Mercè Adrové Ariño ; Rafael
Aguilera, UGT-FSP, comité fédéral* ;
José Almeida, UGT ; Jesus Béjjar, CCOO, secrétaire �* l'action syndicale,
région Sud* ; Manuel Bonmatti, UGT*;
Araceli Beltrán Cuesta ; Angel Campabadal, UGT-FES, commission exécutive
fédérale* ; Isabel Cedar Martin ;
Francisco Cepeda, CCOO Madrid, secteur Dessin* ; Carmen Chacon Roldar, CCOO,
commission CE confédérale ; Daniel
Cuadrado, CCOO* ; Oriol Fort i Marrugat, conseiller municipal de Mollet del
Vallès ; Pablo Garcia-Cano, CCOO John Deere* ;
Javier Gimeno Perelló, Président de la bibliothèque pour la paix (Madrid) ;
Luis Gonzales, CCOO secteur Santé, secrétaire général de
la province de Seville* ; Mikel Gonzalez, IO, Bilbao ; Lidia Just i Calpe,
UGT Barcelona* ; José Luis Martinez, CCOO ; Blas Ortega,
UGT ; José Antonio Perez, écrivain ; José Sanchez, UGT, Mairie de Léganes* ;
José Luis Sanchez, CCOO, Métro* ; Roberto
Tornamira, UGT-FES, secrétaire �* l'organisation, CE de Madrid* ;
ETATS-UNIS :
Jess Ghannam, pour l'Association Al Awda ; Zehra Arat, Professeur au
Purchase College ; Alan Benjamin, Editeyr du journal The
Organizer ; Margaret Breslau, Coalition for Justice; Jack Chernos, militant
pour les droits ouvriers, San Francisco, Californie ; Larry Duncan,
Coproducteur, The Labor Beat cable-tv series*; Greg Durka, militant pour les
droits ouvriers, West Keansburg, New Jersey ; Pat Gowens, Welfare
Warriors, Milwaukee, Wisconsin; Norma JF Harrisson, Membre, du comité
central du Parti Vert, Berkeley, California* ; Amber Heintzberger ; Laura
Herrera, Co-coordinatrice de la Mobilisation pour la liberation de Mumia
Abu-Jamal, San Francisco, Californie* ; Krista Husar, Revue Dialogue ;
Phoebe Jones-Schellenberg, Global Women's strike ; Basem Khader, militant
des droits de l'homme ; Nada Khader, directeur exécutif, WESPAC
Foundation, White Plains, New York ; Megan McNamara Abed ; Jamillah Mufdi ;
Henry Noble, Freedom Socialist Party, Secrétaire National, U.S.
Section ; Millie Phillips, Comité National de Socialist Organizer, San
Francisco, California ; Margaret Prescod, Les Femmes de Couleur, dans Global
Women's Strike ; Mazin Qumsiyeh, PhD ; Radical Women, San Francisco; Marc
Rich, syndicat des enseignants, Los Angeles ; Francesca Rosa,
Membre, SEIU Local 535, et membre, du comité des travailleurs pour la paix
et la justice, San Francisco, Californie* ; Eddie Rosario, Coordinateur
adjoint de l'OWC ; Rodger Scott , Past President, AFT Local 2121, San
Francisco, Californie*; Evelyn C. Sibilio, syndicaliste enseignant
retraitée,
Philadelphia, Pennsylvanie ; Anne Slater, Organizer Radical Women, U.S.
Section ; Timothy Stinson, Militant pour les droits ouvriers, Albany,
Oregon ; James E. Vann, fondateur Oakland Tenants Union, Oakland,
Californie*. FINLANDE : Kamal Aranki.
FRANCE :
Plus de 1000 signatures annoncées, parmi lesquelles, Mohamed Abbes ; Mickaël
Anders, journaliste ; Danièle Antoine ; Luc Arrignon ;
Sam Ayache ; Jean Louis Bainvelzweig ; Michel Barbe, Libre penseur ; Jean
Pierre Barrois, revue Dialogue ; Louis Benicheti ;
Emmanuelle Bidaux ; Isabelle Boudid ; Jean Marc Bourcier ; Martine Boussel ;
Samira Brahmi ; Farid Brikci ; Françoise Brunet ;
Monique Cadot ; Yveline Calais ; Eric Cavaterra ; Marie-Claude Collay,
enseignante, syndicaliste FSU (Loire) ; Anne Chanrond ;
Jean Chanrond ; Isabella Checcaglini ; Gustavo Conza ; Simon Costa, Libre
penseur ; Cristel Coste, syndicaliste ; François Cousyn ;
Maïté Dayan ; Elisabeth Delpuech ; Claudine Denier ; Nadia Djaïl ; François
Dominique, écrivain ; Katia Dorey ; Yves Dorey ;
Olivier Doriane, Entente Internationale des Travailleurs ; Alice Dumourier ;
Jeanne Ferandin ; Jean Pierre Fitoussi ;
Jeanne Florence ; Nicole Florence-Ponturo ; Christian Florentin ; Dominique
François ; Michèle Fuma ; Pierre Garino ;
André Garry ; Daniel Gautier ; Dominique Gheno ; Daniel Gluckstein,
Coordinateur de l'Entente Internationale des Travailleurs ;
André Grasset ; Groppi Claude, syndicaliste ; Micheline Guillemette ; Franck
Guilbert, comédien ; Hassani Mourad, cheminot ;
Samy Hayon, revue Dialogue ; Daniel Hermange ; Gérard Iltis ; Jean-Gabriel
Jacquemond, Conseiller municipal ; Reine Jauffret,
journaliste ; Sabine Jeanjean ; Salah-Eddine Kadi ; Jean Philippe Katz ;
Edith Kosmanek, Docteur en mathématiques, universitaire
retraitée ; Didier Kryn ; Pierre Lambert, directeur de publication de la
revue Dialogue ; Louis Lanteri ; Renée Laurent ; François Lazar,
revue Dialogue ; Michel Leblanc ; Brigitte Léridon ; Josette Logereau ;
Danièle Mansin ; Mohamed-Anis Mansouri ; Joëlle Masseboeuf ;
Victoria Melgar, traductrice, militante des droits de l'Homme ; Sylvie
Midavaine ; Jannick Moal ; Bertrand Monache ; Moschetti ;
Maïté Nahyr, comédienne ; Bernard Noël ; Michèle Noël ; Maurice Novel ;
Victor Novel ; Arièle Nugon, Marseille ; Jean Pierre Page,
syndicaliste ; Alain Pecel, Conseiller Général PCF de la Loire ; Eric Pelaro
; Michel Pérou, La Roche sur Yon ; Jean Pierre Plisson ;
Brigitte Quenet ; Alain Quiquerel ; Pierre Quirin ; Claudine Redon ; Jean
Rémi ; Nicole Renevier ; Danielle Roy, militante pacifiste
internationaliste ; Pierre Roy, président de la Libre Pensée de la Loire ;
Bernard Ruhaud, syndicaliste, éducateur spécialisé ; Josiane
Ruhaud, syndicaliste, enseignante ; Aimé Savy, Marie adjoint MRC d'Ivry Sur
Seine ; Frédéric Ruyer ; Claudine Savy, chercheur
scientifique, Paris 13 ; Daniel Shapira, Entente Internationale des
Travailleurs ; Marie Claude Schidlower, Commission Femme de
l'Entente Internationale des Travailleurs ; Claude Senes, Maire de Thoard ;
Chantal Sibille ; Geneviève Sifflet ; Marie Stagliano ;
Emmanuèle Stochl, comédienne ; Frédéric Stohl, musicien ; Muriel Sybelin,
libre penseuse ; Yannick Sybelin, syndicaliste ;
Marie Claude Tabar Nouval; Serge Taguet ; Brigitte Talon ; Patrick Valchera
; Henri Van Damme ; Isabelle Vestlé ; Dominique
Vincenot, EIT ; André Warnet ; Claudine Warnet ; Saïd Zulficar.
GRANDE BRETAGNE :
Zarina Bhatia ; Sue Blackwell, Université de Birmingham ; Robert Boyce,
London School of Economics; Mark Burton,
NHS / Manchester Metropolitan Université ; Victoria Brittain, journaliste,
Patricia Bryden, Amnesty, Femmes
en Noir Scottish Friends of Palestine, Palestinain Forum ; Stefan Cholewka,
Journal The Link ; Dr Clark-Lowes, Palestine
Solidarity Campaign ; Christine Coulouris , groupe pour la paix du Mid
Sussex ; Professeur Elizabeth Cowie Université du Kent;
Claudine Dauphin, Professeur honoraire en Archéologie et Théologie,
Université du Pays de Galles, Lampeter ; Jeanette Findlay,
Université de Glasgow, Ecosse ; Jay Ginn, National Pensioners Convention;
Fawcett Society; Women's Budget Group ; Dr. R. Hasan, Maître de
conférence, Université du Sussex ; Bill Holdsworth, Londres ; Jim House,
Université de Leeds ; Selma James, Global Women Strike, UK ; Sami
Joseph ; Dr Michael Loughlin, Manchester Metropolitan Université ; Martha
Mundy, lecteur en Anthropologie, London school of Economics ;
Frans Maathuis, Université de York ; Joanne Massey, professeur en
criminologie, Dept. de Sociologie, MMU ; Dr Ghazala Mir, Chercheur,
Directeur
du réseau Ethnicity Training, Centre de Recherche médecine, Université de
Leeds ; Michal Nahman, PhD Department de Sociologie, Université de
Lancaster ; Bahadur Najak, School of Economics, Finance and Business, Queens
Campus, Université de Durham ; James Nick, Université et College
Union ; Michael Paris, Université du Central Lancashire ; Helen Peters,
London Metropolitan Université ; Nick Phillips ; Dr. N.M. Queen, Université
de Birmingham ; Dr Shupikai Rinomhota, Université de Leeds ; Professeur
Hilary Rose, Londres ; Andrew Sayer, Professeur, departement de
Sociologie, Université du Lancaster ; Dr Janet Shapiro, professeur retraité,
London Metropolitan ; Professeur David Seddon, Université de East
Anglia ; Martha Wörsching, Loughborough Université.
GUINÉE :
Keïta Nagbé Bangoura, Secrétaire Général Confédération des Syndicats Libres
de Guinée (CGSL)*.
HONG-KONG :
Elisabeth Tang, Secrétaire general de la Confédération syndicale de Hong
Kong.
INDE : H. Mahadevan, secrétaire général adjoint AITUC* ; Anita Cheria,
Bangalore ; Daniel Edwin, Bangalore.
ITALIE :
Lorenzo Varaldo ; Guido Montanari.
IRLANDE :
Maggie Ronayne,Global Women's strike ; Ronit Lentin , Trinity College
Dublin. .JORDANIE : Anis F. Kassim,
Law Firm ; Sabri Amarneh, Ingénieur retraité.
LIBAN :
Gassan Ghosn, Président CGT-L* ; Association Aïdoun ; Mahmud Al Ali, Aïdoun
; Rawan Al Bash ; Haider Haidoura, journaliste
et politologue .
MALAISIE:
Dr S. Husin Ali, Malaysian People's Justice Party, Deputy President.
MALI :
Guindo Hamadoun Amion, Secrétaire Général Confédération Syndicale des
Travailleurs du Mali*.
MAROC : Benjalloun Andaloussi, président de l'association Marocaine de
soutien �* la lutte palestinienne (AMSLP) ;
Mostapha Brahma, CDT confédération démocratique du travail* ; Lucile Daumas,
Attac Maroc ; Khadija Rhamiri,
secrétaire générale de l'UMT-Rabat-salé. MAURITANIE : Mohamed El Habib
Ould-Ahmed, Secrétaire Général de
l'Union Nationale des Travailleurs de Mauritanie (UNTM)*. NEPAL : Umesh
Upadhyaya, Affaires internationales,
Fédération des syndicats du Népal (GEFONT).
NORVÈGE :
Moussa El Jeries, LO (Confédération des Syndicats de Norvège)*. OMAN : Saud
Aljabri, Main Committee for Workers*.
PAKISTAN :
Nabeela Ahmed, juriste, WWO ; Fareed Awan, Secrétaire général, APTUF-Sind ;
Zahoor Awan, Secrétaire général All Pakistan
Federation of Labor (APFOL) ; Shehar Bano, Journaliste, Daily Dawn ; Gulzar
Ahmed Chowdhury Secrétaire general APTUF*; Sajida Fareed,
Membre WWO ; Salma Fayyaz, Travailleuses de la santé, Health Workers
Association ; Shaida Hasan, Secrétaire commission Femmes,
APFOL ; Rubina Jamil, Organisation des Femmes travailleuses* ; Dilawar
Khawaja, juriste du movement ouvrier; Ahmed Khurshid, Pakistan
Workers Federation* ; Aima Mahmood , WWO* ; Yasmin Rasool, Association des
enseignants du Punjab* ; Meena Rehman,
Présidente, Women Action Forum ; Huma Saeed, secretaire, APFTU ; Fakhra
Tehreem, Journaliste, Daily Jang ; Fazal-e-Wahid,
Président, syndicat des travailleurs du rail* ; Mohammad Yaqoob, Président,
Fédération des travailleurs du Pakistan. .
PALESTINE - ETAT D'ISRAËL :
Lubna Abdeljawwad (Nazareth) ; Dalia Altouri, Haïfa; Maha Abu Alwan
(Nazareth); Muna Abu Tayye (Nazareth); Eli Aminov,
Revue Dialogue ; Nitza Aminov ; Manal Awwad (Nazareth) ; Marie Badarne, La
voix du travailleur ; Wehbe Badarne, La voix
du Travailleur ; Shiri Barr ; Ronnen Ben-Arieh ; Leïla Britan, Ramallah ;
Areen Bsul (Nazareth) ; Réseau Coalition des
Femmes pour la paix ; Uri Davis, responsable Al-Beit, Association pour la
défense des droits Humains en Israël ; Micky Fisher ; Fatma Ghazzawi
(Nazareth) ; Manar Hassan ; Sana' Ibrahim (Nazareth) ; Ghada Irshed
(Nazareth) ; Yehuda Kupferman, Revue Dialogue ; Rania Madi ; Ameer
Makhoul, Secrétaire general d'Ittijah, Union des Associations Arabes ; Rémy
Mendelzweig, syndicat des enseignants du secondaire* ; Hiyam Misleh
(Nazareth); Norma Musih ; Jibran Nadaf (Nazareth) ; Dorothy Naor ; Sahar
Nijm (Nazareth); Fatma Odeh (Nazareth) ; Maria Ofir ; Ilan Pappe,
historien, Université de Haifa ; Tanya Reinhart, Universitaire, écrivain ;
Hussein Saleh (Nazareth) ; Auni Shihadat (Nazareth) ; Fatma Siadeh
(Nazareth) ; Bilha Sündermann Golan ; Gila Svirsky ; Marselo Svirsky
responsible de l'association "Une voix alternative en Galilée; Lily
Traubmann ; Shlomo Weinberg, syndicat des enseignants du secondaire*;
Mohammad Yakoub, refugié en France,
org. "Mémoires d'Exilés"; Tamar Yaron.
PAYS BAS :
Dr. Willem Meijs (ABVAKABO), Hoorn*.
SÉNÉGAL : Fatoumata Bitou Yafa, Présidente du Comité des Femmes de la CNTS
(Confédération nationale des travailleurs du Sénégal)* ;
Abdoulaye Diouf, Secrétaire Général Adj. CDTS (Confédération démocratique
des travailleurs du Sénégal )* ; Ibrahima Diagne, Secrétaire
Nationale Chargée des relations Internationales - FGTS (Fédération Générale
des travailleurs du Sénégal )* ; Malick Diop, Secrétaire
Général du syndicat autonome des travailleurs de l'hôtellerie de l'UNSAS (
Union Nationale des syndicats Autonomes du
Sénégal)* ; Thierno Mahi Diop, Secrétaire Général du syndicat autonome des
travailleurs du port UNSAS ( Union Nationale des
syndicats Autonomes du Sénégal )* ; Nomath Ndiaye, Secrétaire Général du
Syndicat des travailleurs du Port Autonome de Dakar - UNTS* ;
Babacar Touré, Secrétaire National Chargé de la coopération
décentralisée-FGTS* ; Fatou Ba-Ndiaye, CDSL Coordination démocratique des
Syndicats Libres du Sénégal* ; Anna Zaat.
SOUDAN :
Osman El Hassan, Union des syndicats des Travailleurs du Soudan (USTS)* ;
Souad Farouk, ISTU.
SRI LANKA : Upali Magedaragamage, Réseau asiatique pour la culture et le
développement. SUÈDE : Jan Erik Gustafsson ;
Robert Johanson, LO*.
SUISSE :
Albert Anor , syndicaliste SSP*; Catherine Anor ; Claudie Barriera ; Lydia
Barriera, étudainte ; Gabrielle Barriera ; Danielle
Bleitrach, retraitée ; Jacqueline Berenstein-Wavre ; Luis Blanco, secrétaire
syndical UNIA* ; Professeur Claude Calame ; Charles
Casagrande, syndicaliste ; François Courvoisier, musicien ; Luc Deley,
syndicaliste SSP* ; Paul Germanotta, chercheur et
syndicaliste ; Michel Gindrat ; Simone Girodo, syndicaliste SSP* ; Antonio
Herranz, syndicaliste SSP* ; Sylviane Herranz,
journaliste ; Daniel Hofer, militant socialiste ; Claude Iseli, syndicaliste
SSP* ; Pierrette Iseli,, conseillère municipale PSN* ;
George A. Kouchakji ; Rania Madi ; Georges Meylan, syndicaliste SSP* ;
Véronique Landry, syndicaliste SSP* ; Eric Perruchoud,
syndicaliste SSP* ; André Schüssel, syndicaliste ; Jean Spielmann,
conseiller national PdT* ; Marie-France Spielmann,
cons.municipale PdT* Max Robert, syndicaliste enseignant ; Martine Sümi,
conseillère municipale PSG*.
THAILANDE :
Lee Seihwa, Coordinatrice du Comité des Femmes Asiatiques (CAW).
TUNISIE :
Mohamed Trabelsi, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Générale Tunisienne
du Travail, Chargé des relations
arabes et de l'immigration UGTT* ; Ridha Bouzriba, UGTT* ; Moncef Yacoubi,
UGTT* ; Abdelhamid Achour,
syndicaliste ; Abbdelmagid Sahraoui, USTMA* ; Abdennour Meddahi, UGTT* ; Ali
Ben-Romdhane, UGTT*.
TURQUIE :
Cumhur Altay, President du comité executive de l'IKP (Parti de la fratenité
des travailleurs) �* Istanboul ; Engin Bodur,
Secrétaire general au nom du Comité executive de l'IKP ; Zeki Kilicaslan,
President de l'IKP ; Pinar Erol, Secrétaire du
comité exécutif de l'IKP-Istanboul.
ZIMBABWE :
Wellington Chibebe, Congress of TU (ZCTU)* ; Lovemore Matombo, Congress of
TU (ZCTU)*.
* Signature �* titre personnel.
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mercredi 23 août 2006
Une lettre de Louisa Hanoune, député au parlement algérien.
Cher(s) ami(e)s,
Le 5 août, les agences humanitaires de l'ONU ont dans un communiqué lancé un
cri d'alarme « alors que l'attention de
la communauté internationale est portée sur le Liban, la tragédie �* Gaza est
oubliée (...). Profondément alarmées face �*
l'impact de la poursuite de la violence contre les civils et les
infrastructures civiles �* Gaza » 175 palestiniens, dont 40
enfants, ont été tués, �* Gaza depuis le 28 juin et le début des opérations
israéliennes, affirment elles. Le quotidien algérien
El Watan, de son côté titre « Faire oublier le Liban en massacrant le
palestiniens » et explique « Meurtres en série lors
d'incursions sanglantes dans différents endroits des territoires où lors de
raids aériens "ciblés", destruction des
infrastructures de base, démolition des maisons, embargo féroce,
arrestations �* tous les niveaux (...) ».
L'arrêt des hostilités entre l'armée israélienne et la résistance libanaise
lundi 14 août 2006, révèle l'ampleur
du désastre au Liban suite aux bombardements israéliens : alors que des
corps sont encore ensevelis sous les
décombres, près de 1300 morts, destruction quasi-totale des infrastructures
de base dont le coût est évalué
�* près de 6 milliards de dollars. La guerre a coûté 5,7 milliards au
gouvernement israélien en matériel militaire.
Mais pourquoi ? Alors qu'�* 1'intérieur même d'Israël des voix s'élèvent de
plus en plus nombreuses pour
condamner la politique guerrière du gouvernement israélien, celui-ci en
intensifiant les raids sur Gaza et les
assassinats, qui n'ont au demeurant pas cessé durant les 33 jours
d'agression au Liban, confirme ce que le
responsable de la sécurité intérieure israélienne avait déclaré « nous
devons poursuivre nos objectifs au
Liban pour que les palestiniens voient ». La liste des victimes s'allonge
chaque jour.
Plus de 200 personnes, dont de nombreux enfants ont été tuées dans les
territoires palestiniens occupés,
totalement assiégés par l'armée israélienne, depuis le 28 juin. Les
correspondants de la presse algérienne
rapportent le 9 août dans le quotidien Liberté « Ne parlons pas des raids
opérés de façon sporadique
avec leur lot de destruction. Conjugué �* l'asphyxie financière qui étouffe
le gouvernement, autant
dire donc qu'on est face �* une véritable tragédie qui ne dit pas son nom. Si
l'autre tragédie, celle du Liban,
dans laquelle la communauté internationale semble s'embourber, peut
expliquer en partie "l'oubli",
l'indifférence manifestée au peuple palestinien participe au mieux d'un
"crime", au pire, de "non assistance
�* peuple en danger"» et le 14 août, dans le quotidien l'Expression « il
apparaît clairement, un an après le
départ des forces israéliennes, que l'occupation se poursuit. Israël exerce
toujours un contrôle total sur tous
les aspects de la vie des habitant. Le bouclage de Gaza, mis en place en
mars, est total. Le seul point de
passage avec l'extérieur, le terminal de Rafah, dans le sud, vers Égypte,
est fermé de façon quasi permanente.
"Aujourd'hui, la bande de Gaza s'apparente �* une grande prison dont il est
impossible de sortir ou
de rentrer sans l'autorisation des israéliens" insiste Younès Al Jarou. "La
situation économique
est noire", explique l'avocat, "Les travailleurs palestiniens ne peuvent se
rendre en Israël,
les fonctionnaires ne sont pas payés, alors que le potentiel économique de
bande de Gaza est
très faible, sans ressources naturelles ni industrie" ». De son coté l'AFP
décrit la situation �*
Rafah (sud de Gaza) dans ses éditions du 6 août : « Mais ces attaques
frappent aussi les
infrastructures civiles. Dans les quartiers Est de Rafah, plusieurs maisons
ont été endommagées.
les routes de terre ont été défoncées et un grand nombre de champs ont été
entièrement dévastés.
(.) Atif-al-Akhraz, 44 ans, contremaître d'une exploitation agricole
détruite, s'est précipité
hier pour évaluer les dégâts. "Ici, il y avait des serres", affirme-t-il, en
montrant les tiges de fer
tordues et les morceaux de plastique qui émergent de terre retournée par les
bulldozers.
"On cultivait des tomates mais aussi de la vigne et des agrumes", dit-il.
"Il ne reste plus rien." Selon
lui, les pertes se chiffrent �* plusieurs dizaines de milliers de dollars,
mais surtout, souligne-t-il, il
faudra des années pour relancer l'exploitation alors que les arbres étaient
vieux de 10 ans (...).
Un peu plus loin, Soubhi-al-Kharaz, 48 ans, tente d'évaluer les dégâts
infligés �* sa maison.
Les soldats israéliens en ont fait leur quartier général pendant trois
jours, Ils ont renvoyé ses
enfants, mais lui ont ordonné de rester avec sa femme (...). L'allée qui
mène �* son domicile
n'est plus qu'une succession de monticules et de crevasses, la clôture a été
arrachée, et un
hangar a été gravement endommagé. "Tout a été détruit par les bulldozers et
les chars", dit-il
(..) Eid Salman Hijazi, 43 ans, est le propriétaire de plusieurs
exploitations agricoles détruites. II affirme
que c'est la troisième fois que des terres lui appartenant sont la cible des
incursions israéliennes.
"Ici, dit-il, 200 personnes vivaient des revenu de cette terre. Que vont-ils
devenir �* présent ?"
demande-t-il ». Même si les destructions et les assassinat perpétrés par
l'année israélienne dans
les territoires palestiniens n'ont pas cessé depuis l'an 2000, et qu'il est
désormais avéré que
l'invasion du Liban a été planifiée la même année, le gouvernement israélien
prétend que son
offensive contre Gaza et la guerre qu'il a déclenché contre le Liban visent
�* libérer les soldats
israéliens enlevés.
Du point de vue de la démocratie, des droits humains les plus élémentaires,
les hommes ne sont-il
pas censés être tous égaux indépendamment de la race, la religion et la
langue ?
Alors en quoi la vie d'un soldat israélien, serait-elle supérieure �* celle
de plus de 10 000 palestiniens
enlevés, emprisonnés et torturés dont 400 femmes et enfants et 63 élus,
députés et ministres ?
En quoi la libération de deux soldats israéliens serait elle plus fondée que
celles de plusieurs milliers
de libanais emprisonnés depuis 20 ans ? Et peut elle justifier l'assassinat
de plus de 1200 personnes,
dont 30% sont des enfants, et la destruction totale d'un pays ? Et quel est
donc ce « droit international »
qui légitime une telle discrimination ?
Et n'est ce pas un acte de terrorisme d'Etat de piraterie que d'enlever le
président du Conseil Législatif, et
le vice-premier ministre palestiniens ? A l'occasion de la 11ème biennale
des cinémas arabes, des femmes
cinéastes palestiniennes ont présenté des films impressionnants, qui
relatent toutes les formes de
discrimination exercées par le gouvernement israélien �* l'encontre du peuple
palestinien, tant dans
les villes, sous lois israéliennes, que dans les 12% qui restent encore
comme territoires pour les
Palestiniens. J'ai écouté leurs témoignages sur la chaîne de télévision
algérienne ce vendredi 18 août,
les faits réels qu'elles rapportent illustrent un apartheid érigé en
système.
Intervenant sur la chaîne satellitaire palestinienne vendredi 11 août, un
prêtre palestinien qui rendait
visite avec une délégation �* un camp d'été pour enfants palestiniens �* Beit
Lahya - où la population
arabe venait de manifester après le massacre d'une famille entière par des
tirs de canon de la marine
israélienne - expliquait la sauvagerie des violations de l'intégrité des
femmes et enfants palestiniens
par l'armée israélienne : « lorsqu'une femme est dans sa maison aucun
étranger n'a le droit d'y
entrer sans son accord. C'est une question d'intégrité. Or regardez cette
maison. Un char israélien
est entré dedans pour la démolir, alors qu'une femme et ses enfants étaient
�* l'intérieur. Des soldats
sont sortis du char, ils étaient accompagnés de chiens affamés. Alors qu'ils
leur ont donné �* manger
de la viande qu'ils avaient apportée avec eux �* dessein. Les chiens se sont
jetés sur la viande devant
les enfants qui n'avaient pas mangé depuis 6 jours, puis un soldat s'est mis
�* fouiller un enfant de
deux ans comme s'il pouvait porter une kalachnikov. »
Et le même jour, des femmes palestiniennes habitant le nord d'Israël ciblé
par les missiles de la résistance
libanaise, expliquaient : « nous ne pouvons pas quitter le quartier. Nous
n'avons
pas où aller. Il n'y a
même pas d'abris dans nos maisons �* la différence des quartiers juifs où les
familles ont trouvé refuge
dans les abris aménagés ».
La presse internationale a relevé cette discrimination. Tout comme elle a
relevé que les bombardements
israéliens, après le vote de la résolution 1701 de l'ONU, samedi 12 août,
ont pris pour cibles des camps
de réfugiés palestiniens parmi les plus peuplés, Nabatiya et Ein Héloué au
Liban, qui eux aussi ne
pouvaient fuir nulle part de par la précarité de leur statut.
Une femme algérienne, révoltée par les massacres commis par l'armée
israélienne, m'a écrit en ces
termes : « ça sera avec une grande fierté que je signerai la pétition
dénonçant la ségrégation et
l'oppression subies par la femme et l'enfant palestinien. De même que je me
mets entièrement �* la
disposition de la manifestation que vous avez appelé. Je n'ai pas j'habitude
d'adhérer aux
manifestations "pour manifester", mais je sais que ce que vous entreprenez
est authentique et
vrai. Je vous fais confiance et j'espère que vous ferez appel �* ma
contribution. Je m'appelle
Sedika, je suis diplômée d'une licence en sciences politiques (1977), j'ai
fait des études supérieures
en relations internationales. Je suis mère de trois enfants (adultes). Donc
je dispose d'assez de
temps pour oeuvrer efficacement �* obliger les tortionnaires �* lever leurs
mains sur les peuples
du monde. Je maîtrise les deux langues (arabe et français) et je veux
apporter ma contribution de
quelque manière que ce soit ». Des personnalités algériennes de différents
horizons, des femmes et
des hommes de culture, (écrivains, poètes, comédiens...) des responsables
syndicaux, des journalistes.
Des parlementaires, des dirigeants politiques soutiennent la tenue de la
conférence internationale
en soutien aux femmes palestiniennes �* Alger. Nombreux parmi eux sont celles
et ceux qui ont proposé
leur contribution au succès de la rencontre.
Chers amis,
Comme vous le savez, du 12 juillet au 14 août, la mobilisation pour un
cessez-le-feu immédiat Liban a été
la priorité pour les femmes et les hommes épris de paix dans le monde, dont
les signataires de l'appel
des femmes palestiniennes. Cela n'a pas pour autant, ralenti notre campagne.
Au contraire, car par
del�* les actions de solidarité immédiate avec le Liban, il n'échappe �*
personne, qu'�* l'origine des
développements tragiques se trouve le sort qui est fait au peuple
palestinien. Mais nous devons
accélérer les rythmes durant le mois de septembre d'autant que le mois de
ramadhan intervenant
dès le 25 ou 26 septembre, l'activité connaîtra un ralentissement pendant un
mois dans tous les pays
musulmans.
Il est donc, �* mon avis, urgent de transmettre �* "Dialogue" les propositions
en matière de
participation et de contribution pour que je puisse les intégrer.
Meilleures salutations :
Louisa Hanoune, le 22 août 2006
Une lettre de Nazareth :
Le 20 août 2006,
LETTRE OUVERTE EN REPONSE A L'INITIATIVE D'UNE CONFERENCE
INTERNATIONALE DE SOLIDARITE AVEC LES FEMMES PALESTINIENNES,
ORGANISEE A ALGER EN NOVEMBRE 2006
Chers amis,
Alors que nous nous sommes engagés dans le recensement et la réponse aux
besoins de notre communauté,
besoins causés par le conflit violent en Israël, au Liban et �* Gaza, un
message hautement encourageant nous a
atteint :
Mme Louisa Hanoune, parlementaire élue �* "l'Assemblée Populaire Nationale"
et secrétaire générale du
Parti des Travailleurs algériens, a suggéré aux autorités de son pays
d'organiser une conférence en solidarité des
femmes palestiniennes. Elle a ensuite informé la revue Dialogue,
destinataire de sa lettre, que le président de la
République ainsi que le président de l'Assemblée Nationale avaient autorisé
l'organisation de cette manifestation
�* Alger. La situation des femmes arabes �* Nazareth fait explicitement partie
du programme de la conférence.
- Nous, en tant que femmes, que travailleurs, que palestiniens, qu'arabes,
en tant qu'êtres humains, soutenons
fermement l'initiative d'une conférence internationale de solidarité avec
les femmes palestiniennes, et nous
sommes honorés d'être considérés comme partie intégrante de cet effort
mondial.
- Nous saluons cette initiative parce que nous estimons que notre lutte pour
les droits de l'homme et l'égalité
�* Nazareth est inséparable de celle de nos soeurs et de nos frères de Gaza,
du Liban, et de bien d'autres parties
du monde.
- Nous croyons qu'il est maintenant temps de regrouper les forces solidaires
et de combattre tous ensemble
- arabes et juifs, et tout autre, pour mettre fin �* la pauvreté, �* la
discrimination, �* l'exploitation, et �* l'occupation,
où qu'elle ait lieu.
-Nous envoyons nos plus sincères salutations �* tous les signataires de cet
appel, publié en notre nom, ainsi
qu'�* tous ceux qui s'impliquent dans l'organisation de cette conférence, en
particulier aux initiateurs de cette
manifestation.
- Nous discuterons des possibilités de contribution �* cette conférence avec
notre base.
Solidairement, la Commission Femmes de Sawt el-Amel et Wehbe Badarne,
directeur général.
Ils mènent la campagne des signatures :
D'Espagne :
Madrid, 3 août 2006,
Au Comité de Rédaction de la revue Dialogue
Cher(e)s ami(e)s,
Nous avons fait connaître l'appel des femmes de Nazareth et la lettre de
Louisa Hanoune proposant une
Conférence �* Alger.
Cette initiative reçoit un bon accueil. Nous comptons déj�* les signatures de
25 dirigeants et personnalités
et 100 autres signatures de travailleurs et jeunes. Nous traduirons en
espagnol et publierons toutes
les lettres de préparation de la conférence d'Alger, et �* cet effet nous
vous demandons de nous les
faire parvenir dans les plus brefs délais au fur et �* mesure de leur
disponibilité.
Nous envisageons la possibilité de participer avec une délégation �* cette
Conférence.
Pour cela nous voulons compter sur l'appui des syndicats (UGT et CCOO). En
septembre nous
aurons une entrevue avec la direction de l'UGT pour traiter de ce sujet.
Nous voulons aussi vous informer que la CCOO de Madrid a envoyé l'appel de
Nazareth �* ses délégués,
ce qui nous ouvre de grandes perspectives d'extension de la campagne dans ce
syndicat.
Nous voulons également étendre la campagne �* d'autres collectifs, comme
celui des cinéastes
et intellectuels, qui dans notre pays ont joué un rôle important contre la
guerre et l'occupation
de l'Irak.
Pour cela la lettre des cinéastes juifs aux cinéastes palestiniens que vous
avez publiée
dans la lettre nº 2 peut être d'une grande utilité. Nous vous tiendrons
ponctuellement informés
de notre travail et de nos résultats. Confiants que, ensemble, nous serons
capables de mettre fin
�* cette terrible tuerie et destruction de peuples innocents, recevez un
chaleureux salut,
Isabel Cerdá, abonnée �* Dialogue, signataire de l'appel.
************************************************** *****************
DE TURQUIE :
Cher(e)s ami(e)s de Dialogue,
Voici les premières signatures en provenance de Turquie, en soutien �*
l'appel
des
femmes de Nazareth (voir liste ci-après). Nous vous en ferons parvenir
prochainement bien plus,
de syndicats et du mouvement ouvrier, de partis politiques.
Dans un premier temps, nous allons préparer un appel en langue turque pour
présenter
l'appel et annoncer la conférence d'Alger.
Nous prévoyons de rassembler sur notre appel écrit des signatures de
dirigeants
syndicaux, en particulier de femmes membres de comités exécutifs mais aussi
de dirigeants
de partis politiques et de mouvements sociaux, etc. En donnant la priorité
aux femmes.
Nous aimerions d'abord tenir une petite réunion avec ces organisations qui
ont signé
notre appel et ensuite, nous prévoyons de tenir une réunion plus importante
dans une
salle plus grande �* laquelle nous pourrions également inviter la presse et
les télévisions.
Nous prévoyons de constituer une délégation avec des personnes d'autres
organisations
que l'IKP, et nous prévoyons de désigner les noms après l'organisation de
cette réunion.
Nous aimerions faire une présentation du problème de la Palestine aussi
détaillée que possible.
Il nous serait très utile que vous nous envoyiez du matériel visuel, des
photos...
Nous pourrions préparer quelque chose avec des diapositives où nous
pourrions montrer les
cartes de la Palestine historique, la situation actuelle.
C'est pourquoi des éléments visuels et des références précises nous
aideraient �* la fois �* mieux
comprendre et �* mieux présenter la situation de la Palestine aujourd'hui.
Nous-vous tiendrons
informés régulièrement des résultats de la campagne.
Fraternelles salutations,
Pinar Ekol, pour le Parti de la fraternité des travailleurs (IKP).
************************************************** **********************
Article de Mohamed El-Ouahed, publié dans La Nouvelle République (Algérie),
le 08 août 2006 :
Conférence internationale de solidarité avec les femmes palestiniennes :
Nous venons d'apprendre que Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT, va
organiser, dans la première quinzaine du
mois de novembre, une conférence internationale de solidarité avec les
femmes palestiniennes. En effet, la revue Dialogue est une
revue de discussion entre militants arabes et juifs de Palestine, pour le
droit au retour et pour un seul Etat sur tout le territoire de la Palestine
historique. Son objectif est, par la libre discussion, de faire prévaloir
les intérêts démocratiques fondamentaux de tous les peuples qui
vivent sur le territoire de la Palestine historique. La revue Dialogue a
reçu une lettre émanent de Louisa Hanoune dans laquelle elle
explique que le sort des femmes travailleuses palestiniennes de Nazareth,
par la cruauté qui leur est fait, se suffit �* lui-même.
En effet, dans une déclaration, les femmes palestiniennes de Nazareth font
état d'une véritable ségrégation de l'Etat sioniste.
Ainsi, on peu lire dans cette déclaration que «depuis le début août 2005,
l'organisation
de défense des droits des travailleurs arabes �*
l'intérieur de l'Etat d'Israël, Sawt El-Amel (La voix du travailleur), dont
le siège est �* Nazareth, a pris l'initiative d'une campagne publique
et de manifestations contre la mise en oeuvre du plan du gouvernement
israélien appelé Wisconsin.
Le plan Wisconsin ne crée aucun nouvel emploi. Il vise �* exclure des
milliers de chômeurs de leurs droits aux allocations en les
plaçant dans n'importe quel poste de travail. A Nazareth, il affecte en
majorité les femmes palestiniennes. En 2002, elles
représentaient plus de 15% de la population féminine en âge de travailler
dans l'Etat d'Israël mais n'occupaient que 5% des emplois
féminins. Elles constituent la partie la plus exploitée et opprimée des
travailleurs victimes du plan Wisconsin.
Ainsi, la femme arabe est la principale victime de l'application du plan
Wisconsin, parmi les chômeurs.
Comment est-il possible de traiter des femmes de la sorte ?
Le 6 janvier dernier, les policiers israéliens ont utilisé la violence
contre la manifestation appelée par l'organisation Sawt El-Amel.
Elle se déroulait pourtant dans le calme. Un manifestant, qui est intervenu
pour empêcher qu'une femme soit battue par les policiers,
a été lui-même roué de coups et arrêté par la police. La compagnie privée
Agam Mehalev, chargée d'appliquer le plan Wisconsin �*
Nazareth, a annulé le droit aux allocations de chacune des femmes chômeuses
qui avait participé �* cette manifestation.
Non seulement elle exclut les femmes chômeuses de tout emploi, mais elle use
de manoeuvres et de subterfuges pour
supprimer leurs allocations de survie. Elle les plonge ainsi dans la misère
la plus extrême.
Par del�* les opinions de chacun, qui peut accepter des traitements aussi
inhumains ?
Le 8 mars 2006, plus de 300 femmes palestiniennes manifestaient �* l'appel de
l'organisation Sawt El-Amel �* l'occasion de la journée
internationale des femmes. Elles agitaient des drapeaux noirs et des
portraits de Kheir Khaleïli, un jeune ouvrier palestinien,
première victime du plan Wisconsin, décédé le 3 mars. Kheir Khaleïli
souffrait de graves problèmes de santé.
Les travailleurs étaient confinés, huit heures durant, dans des conditions
insupportables.
Il avait supplié la compagnie Agam Mehalev de le laisser partir. En vain.
Peu après, en revenant chez lui,
il s'est effondré, mort.
************************************************** ***************
UN TERRIFIANT CONSTAT :
L'escalade des attaques des forces d'occupations israéliennes (FOI) sur les
civils
palestiniens et les biens dans les territoires palestiniens occupés (TPO).
- 6 palestiniens, dont deux enfants et un vieil homme, ont été tués par les
FOI.
- Un civil palestinien de Jénine est mort d'une blessure reçue précédemment.
- 36 civils palestiniens, dont 4 enfants et 3 femmes, ont été blessés par
des coups
de feu des FOI.
- Les FOI ont lancé une série d'attaque aérienne sur des maisons dans la
bande
de Gaza.
- 6 maisons ont été détruites, et une 7ième brûlée dans la bande de Gaza.
- Les FOI ont mené 40 incursions dans les communautés palestiniennes de la
Cisjordanie, et 4 autres dans la bande de Gaza.
- Les FOI ont arrêté 48 civils palestiniens en Cisjordanie, et 5 autres dans
la bande
de Gaza.
- 4 maisons ont été démolies en Cisjordanie.
- Les FOI ont attaqué 3 hôpitaux �* Hébron.
Les FOI ont continué �* imposer un siège complet des TPO ; les FOI ont imposé
un
siège renforcé sur la bande de Gaza et il y a eu de nouvelles ruptures de
stock d'aliments
et de carburant ; les FOI positionnés �* divers point de contrôle en
Cisjordanie ont arrêté
8 civils palestiniens, dont deux filles.
Les FOI ont continué �* construire le Mur d'Annexion en Cisjordanie ; ils ont
rasé de
nouvelles zones de terres agricoles dans le Qalqilya et ont utilisé la force
pour disperser
une manifestation pacifique contre la construction du mur dans le village de
Bal A'Ein, �*
l'ouest de Ramallah.
Les colons israéliens ont poursuivi leurs attaques contre les civils
palestiniens et
les biens dans les TPO ; les colons ont célébré un mariage juif �*
l'intérieur de la
Mosquée Ibrahimi d'Hébron.
Comme la communauté internationale est restée silencieuse, les FOI ont
poursuivi
l'offensive de grande échelle contre le peuple palestinien, particulièrement
dans
la bande de Gaza. Pendant la période considérée, les FOI ont poursuivi leur
opération Criquet : ils entrent dans une certaine région, y commettent des
crimes,
puis se redéploient hors de la région. Ensuite, ils pénètrent dans une autre
région
pour agir de même. Des centaines de familles palestiniennes ont été obligées
de quitter leurs maisons �* cause du pilonnage des FOI.
Le PCHR, surveillant avec la plus grande attention les développements de
cette
offensive, en appelle �* la communauté internationale, en particulier aux
signataires
des Conventions de Genève de 1949 et aux Nations Unis, pour qu'ils
interviennent
pour obliger les FOI �* arrêter cette offensive et laisser le flux de
nourriture,
de fournitures médicales et de carburants entrer dans la bande de Gaza.
Les crimes commis par les FOI depuis le 25 juin 2006 :
- 207 palestiniens, principalement des civils, dont 46 enfants et 10 femmes,
ont
été tués par les FOI.
- Au moins 815 civils palestiniens, dont 232 enfants et 27 femmes, ont été
blessés par
des coups de feu des FOI.
- Au moins 217 missiles air-sol et des centaines de bombes ont été tirés sur
des
cibles civiles et militaires palestiniennes dans la bande de Gaza.
- Des bâtiments du Ministère Palestinien de l'Intérieur, du Ministère des
Affaires
Etrangères, et du Ministère de l'Economie Nationale, le bureau du Premier
Ministre
Palestinien et de nombreuses institutions d'enseignement ont été détruites.
- L'usine de production d'électricité qui fournit 45% de l'électricité de la
bande de Gaza,
a été détruite et les réseaux d'électricité ainsi que les transformateurs
ont été attaqués
�* plusieurs reprises.
- 6 ponts entre Gaza et le centre de la bande de Gaza et de nombreuses
routes
ont été détruites.
- Des centaines de donums de terres agricoles et des douzaines de maisons
ont été détruites.
- Des centaines de civils palestiniens, dont 8 ministres et 27 membres du
Conseil Législatif Palestinien (CLP), dont son porte-parole et son vice
porte-parole
ont été arrêtés.
Le Ministre des Affaires des Prisonniers, le Ministre du Travail et le
vice-porte-parole
du CLP ont été libérés.
- Le complexe gouvernemental palestinien de Nablus a été détruite.
- De nombreuses familles de Rafah, de Beit Hanoun et de Beit Lahya ont été
obligées de quitter leurs maisons.
- Les services de renseignement des FOI ont téléphoné �* des civils
palestiniens
de la bande de Gaza pour leur demander d'évacuer leurs maisons qui allaient
être
attaquées.
- 25 maisons appartenant �* des militants de factions palestiniennes ont été
détruites
par des avions de combat des FOI.
- Les FOI ont imposé un siège strict sur les TPO et ont isolé la bande de
Gaza du
monde extérieur.
Rapport hebdomadaire sur les violations des droits
de l'homme du Centre Palestinien pour les Droits de
l'Homme (PCHR), 17 août 2006.
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La guerre israélienne au Liban et en Palestine
par Salah Salah *, le 16 / 08 /2006 :
Liban
Les parties en présence maintiennent encore résolument l'arrêt des
hostilités en cette seconde journée, cependant cette paix
vigilante est accompagnée du retour des réfugiés au sud et dans la banlieue
sud avec des avertissements faits aux réfugiés de
tous côtés via les médias de ne pas approcher les cadavres inconnus ou les
bombes qui n'ont pas explosé, lesquelles ont causé
la mort et des blessures �* de nombreuses personnes, bien après le
cessez-le-feu.
Les militaires et dirigeants politiques israéliens ont déclaré le siège
continu du Liban, par les voies aériennes et maritimes,
tandis que le gouvernement libanais essaie continuellement de faire lever ce
siège par des communications intensives avec les
5 pays permanents du Conseil de Sécurité.
Dans un des rapports américains qui ont filtré �* un organe de la presse, on
peut lire les points suivants :
.. Le nombre de soldats israéliens morts au combat, du 12 juillet au 7 août,
atteint le nombre de 343, tandis que le nombre
de blessés est de 617 personnes.
.. 48 tanks Merkava furent détruits par la résistance, ainsi que 96 véhicules
( des jeeps, des camions et des bulldozers)
.. Le rapport affirme qu'Israël a utilisé �* peu près 90 % de ses munitions au
cours de la guerre du Liban ce qui a incité ses
dirigeants �* rouvrir les dépôts de réserve de munitions qui furent fermés il
y a dix ans.
Le nombre réel des soldats israéliens qui ont combattu la résistance au
Liban a atteint les 40 000 soldats. On peut aussi noter
que des pilotes américains ont participé dans les attaques aériennes au
Liban.
Un autre rapport, présenté par le journal israélien Yediot Ahronot, révèle
que le coût de la guerre israélienne au Liban est le
suivant :
.. 156 Israéliens tués
.. 25 milliards de Shekel dépensés
.. 33 jours de combat
.. 3 970 roquettes
.. participation de 30 000 soldats israéliens �* la guerre
.. 15 000 attaques aériennes
.. 800 heures de navigation
.. 7 000 cibles attaquées
.. 126 plates-formes détruites
.. 4 hélicoptères et avions de combat détruits, 1 hélicoptère touché par la
résistance.
Le Premier Ministre a admis en session que la résistance avait porté des
coups durs �* Israël et que les adversaires de droite ( ?)
en avaient profité.
La Palestine :
Trois Palestiniens furent tués et trois autres blessés dans un bombardement
de leur maison �* Beit Hanoun dans la Bande de
Gaza. De plus, les soldats israéliens ont arrêté 5 Palestiniens �* Ramallah
et Hébron en Cisjordanie. A cause des attaques aériennes
continuelles sur la Bande de Gaza, 15 Palestiniens furent blessés ; une
maison fut prise pour cible et complètement
détruite �* Jabalia, tandis que deux autres immeubles furent détruits dans un
camp de réfugiés en Cisjordanie.
Lundi, Israël a relâché le Ministre du Travail palestinien, Mr Mohammed al
Barghouty qui, �* son tour, a transmis le message
d'un officiel israélien, �* savoir que le reste des élus palestiniens ( les
ministres et les membres du Conseil Législatif, y compris
le Président du Conseil Législatif) resteront en prison jusqu'�* la
libération du soldat israélien qui fut fait prisonnier le 25 Juin.
Le Premier Ministre palestinien, M. Ismael Haniyeh a prévenu qu'une attaque
israélienne sur la Bande de Gaza était possible,
pour qu'Israël parvienne �* donner l'illusion de la victoire, quoique sur des
gens désarmés, après leur échec au Liban.
Des hommes armés non-identifiés ont enlevé deux journalistes étrangers qui
travaillent pour la Fox Agency, ce qui a été
condamné par les officiels palestiniens : ce n'est pas la tendance politique
palestinienne.
IL EST VRAI QUE LA GUERRE EST FINIE AU LIBAN MAIS ELLE CONTINUE DE
MANIERE ATROCE EN PALESTINE.
* Réfugié palestinien au Liban, chassé en 1948, �* l'âge de 12 ans de
Tibériade. - Membre du Front
populaire de Libération de la Palestine, représentant des réfugiés
palestiniens au Conseil National
Palestinien. - Directeur de Ajial, association palestinienne qui travaille
avec les jeunes réfugiés
palestiniens dans les camps du Liban.
Première liste de signataires et soutiens :
AFRIQUE DU SUD :
Sadie Forman, Fort Hare Women.
ALGÉRIE :
Mohamed Abdoun, journaliste ; Hamza Abdelkader, palestinien ; Mohamed
Abouafif, palestinien ; Mossabe Abouassi, palestinien ;
Bachir Aboubaker, réprésentant du Front Palestinien de Libération ; Mamdouh
Aboudika, palestinien ; Abdelkarim Aboudraz, palestinien ;
Ahmed Abougheliouze, palestinien ; Mohamed Abouharnate, palestinien ; Ali
Abouhilale, palestinien ; Charif Abouhira, palestinien ;
Chaieb Aboukhatir, palestinien ; Wahnia Abounasr, palestinienne ; Nacéra
Abraze, poète ; Mohamed Achraf, palestinien ;
Mohamed Adel, palestinien ; Djouher Akrour, moudjahida, ancienne condamnée �*
mort, membre fondatrice de SOS femmes en
détresse ; Mohamed Ali Hadj, palestinien; Ihab Alouane, palestinien ; Nader
Alqaissi, palestinien ; Karim Aoudia, journaliste ;
Abderahmane Arfoutni, député du Parti des travailleurs ; Mohamed Assi,
palestinien ; Amdjed Ayah, palestinien ; Wassila Benbalil,
palestinienne ; Rahima Benbalil, palestinienne ; Salah Bey, journaliste ;
Bilal Ben Salem, photographe ; Ibrahim Betka ;
Djillali Biskri, écrivain ; Hamid Boubeghla ; Sarah Boudjemaa, palestinienne
; Fatiha Bouhired, moudjahida ; Nacera Boulahouache,
écrivain et journaliste ; Siham Bounabi, journaliste ; Soumaya Bouzidani,
palestinienne ; Imane Chaat, palestinienne ; Rami
Chahine, palestinien ; Rami Chatoura ; Ahmad Chritah, palestinien ; Tahar
Dahmani, journaliste ; Rabia Djelti, poète ;
Zineb Djoudi, palestinienne ; Djelloul Djoudi, député du Parti des
travailleurs ; Halam Damdoum, palestinienne ; Nadia Dridi,
présidente de l'association nationale pour la protection et la promotion de
la femme ; Hacène Elabadla, palestinien ; Fadi Elbayoumi, palestinien ;
Ismail Eladjouri, palestinien ; Nadi Elbayoumi, palestinien ; watan Elghoul,
palestinien ; Nahid Elkadra Chaat, palestinien ; Mohamed Elilmi
Essaihi, écrivain ; Samir Elmnaama, palestinien ; Amine Ezzaoui, directeur
de la bibliothèque nationale d'El Hama, écrivain ; Ahmed Elmadloume,
palestinien ; Mohamed Elmili, écrivain ; Karam Ezowidi, palestinien ; Amna
Ezzahar, palestinienne ; Maha Ezzahar, palestinienne ; Raoula Ezzahar,
palestinienne ; Rasmia Ezzahar, palestinienne ; Saad Ezzahar, palestinien ;
Sahar Ezzahar, palestinien ; Walla Ezzahar, palestinienne ; Charifa Fayçal
Abouzmirou, palestinienne ; Madjed Fodil, palestinien ; Malika Gazouli,
universtaire ; Nourreddine Gazouli, universitaire ; Amel Gouraya,
journaliste ; Mohamed Haboub ; Nawel Hadjermi, photographe ; Mohamed
Hamiche, acteur ; Louiza Hanoune, députée du Parti des travailleurs ;
Saida Ben Hbiles, ancienne Ministre ; Mohamed Hocène, palestinien ; Sabrina
Hdioua, journaliste ; Rabah Houadef, journaliste ; Mohamed Houssam,
palestinien ; Kaci Tizi Ouzou, comédien ; Ahmed Karboune, palestinien ;
Ismail Kasdi ; Yacine Khader, palestinien ; Zoubida Kherbache, députée du
Parti des travailleurs ; Kamila Kherich, étudiante ; Ghania Larbi Cherif,
enseignante ; Karim Lapchri, député du Parti des travailleurs ; Faiza Malek,
Moudjahida ; Kaced Mekbel, fonctionnaire �* l'ambassade de Palestine ; Mehlab
Lamia ; Mohamed Mezaher, palestinien ; Selmane Miloud ; Nawel
Mokhtar, enseignante ; Fazia Mokrani, parti des travailleurs ; Mohamed
Moslim, palestinien ; Abdelhalim Mouhou, journaliste ; Tatiana Nidale,
palestinienne ; Chahada Ouail, palestinienne ; Rabiha Oughlas, enseignante ;
Abdelhamid Rabia, acteur, vice président de l'APC Alger centre ; Akila
Rabhi, journaliste ; Ihab Saïd, palestinien ; Mohamed Salah, représentant du
FPLP en Algérie ; Hala Salah, palestinien ; Radouane Salah,
palestinienne ; Saadia Salah, palestinienne ; Abid Salama, palestinien ;
Naamane Ben Saraa ; Lynda Selam, comédienne ; Abdelmadjid Sidi Saïd,
Secrétaire Général de l'UGTA* ainsi que la totalité des membres de la
commission exécutive de l'UGTA ; Houria Sinya, photographe ; Abdelmadjid
Ben Soltane, avocat et moudjahid ; Mohamed Tahayna, palestinien ; Nourredine
Taïbi, homme de lettres ; Sakina Tebhi, enseignante ; Fatma Smati,
membre de l'Assemblée de la Wilaya d'Alger ; Rachid Zarat, député du Parti
des travailleurs ; Djamel Zerout,journaliste ; Ounissi Zhor, ancienne
Ministre, députée et écrivain ; Abdelouahid Zighem, écrivain.
ALLEMAGNE :
Henning Frey ; Claudia Karas, Aktionsbündnis für einen gerechten Frieden in
Palästina ; H.W. Schuster.
AUSTRALIE :
Debbie Brennan, Radical Women ; Ian Bray, Syndicat Maritime d'Australie*.
BANGLADESH :
Tafazzul Hussein, Président de la Fédération Nationale des travailleurs du
Bangladesh ; Mashuda Khatum Shefali, Alliance des
travailleurs du vetêment (BGWPA).
BARHEIN :
Jamal Ateeq, Fédération Générale des Syndicats de Barhein* ; Abdun,
syndicaliste.
BELGIQUE :
Roberto Giarrocco ; Joëlle Van Hoeck, syndicaliste ; Micheline Wattiez ;
Paul Wattiez, syndicaliste; Yves Eeckman,
syndicaliste FGTB, Philippe De Menten, syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB)
; Eric Bayet, syndicaliste ; Nadine Negleman,
syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB) ; Jacques-Ivan Duchesne, musicien ;
Olivier Horman, syndicaliste FGTB Services publics ;
Anne Vanesse, mandataire municipale de Saint Gilles, militante socialiste.
BELIZE :
Omitade Adediran.
BÉNIN :
Gaston Azoua, Secrétaire général de la CSTB* ; Paul Essé Iko, CSTB* ;
Constant Sinzogan, CSTB*. BRÉSIL : Gilda Almeida -
CUT São Paulo* ; Maria Ednalva Bezerra - CUT, Secrétaire nationale de la
commission Femmes* ; Misa Boito, membre de la direction du PT
dansl'Etat de Sao Paulo ; Tamam Daaroul, TV Siria Internacional ; Maria
Goretti L. Cabral (SINTTEL/PB) ; Hiobrahim A. Hammoud, membre de la
Jeunesse Arabe ; Chico Leite, Député du district de Brazilia ; Luzenira
Linhares (SINTTEL/PB) ; Wallace Pereira (SINTTEL/PB) ; Julio Turra,
Directeur exécutif de la CUT* ; D�*lson Peixoto - Conseiller municipal de
Recife et President du PT dans l'Etat de Pernambouc; Paulo Valença - Maire
adjoint d'Olinda, membre de l'Exécutif du PT-PE ; José Múcio Magalhães -
Secrétaire du Cabinet du Maire de Recife, membre de l'Exécutif de PT-PE ;
Conceição Nascimento, membre de l'executif du PT, Secrétaire Nationale des
Femmes ; Anne Paula C. de Pontes, Exécutif de l'Etat de Pernambouc ;
Soraya Smaïli, présidente de l'Institut de la Culture Arabe.
BURKINA-FASO : Tolé Sagnon, Secrétaire général de la CGT-B*.
BURUNDI : Mathias Ruvari, Secrétaire général de la Confédération Libre du
Burundi* ; Paul Nkunzimana, pour le
Syndicat Libre des Travailleurs de l'Université du Burundi (STUB).
CAMEROUN :
Louis Sombes, Secrétaire exécutif CSAC*.
CANADA :
B. Ross Ashley ; Mira Khazzam, PAJU (Palestinian and jewish unity) ; Smadar
Carmon, Coalition for Just peace in Palestine.
CISA (Conf. Internationale des Syndicats Arabes) : Hacène Djeman, Secrétaire
Général*.
CÔTE D'IVOIRE :
N'guessan Nyamien Messou, Secrétaire Général de la fédération des Syndicats
Autonomes de Côte d'Ivoire - FESAC* ;
Maurice Zehia, AGPE* ; François Yao, Secrétaire général du SYNASEG*. CUBA :
Oviedo de la Torre, CTC (Centrale du travail de Cuba)* ; Celia
Hart Santamaria, écrivain. EGYPTE : Mostafa Rostom, ETUF (Fédération des
syndicats égyptiens)*.
ESPAGNE :
150 signatures annoncées, parmi lesquelles Mercè Adrové Ariño ; Rafael
Aguilera, UGT-FSP, comité fédéral* ;
José Almeida, UGT ; Jesus Béjjar, CCOO, secrétaire �* l'action syndicale,
région Sud* ; Manuel Bonmatti, UGT*;
Araceli Beltrán Cuesta ; Angel Campabadal, UGT-FES, commission exécutive
fédérale* ; Isabel Cedar Martin ;
Francisco Cepeda, CCOO Madrid, secteur Dessin* ; Carmen Chacon Roldar, CCOO,
commission CE confédérale ; Daniel
Cuadrado, CCOO* ; Oriol Fort i Marrugat, conseiller municipal de Mollet del
Vallès ; Pablo Garcia-Cano, CCOO John Deere* ;
Javier Gimeno Perelló, Président de la bibliothèque pour la paix (Madrid) ;
Luis Gonzales, CCOO secteur Santé, secrétaire général de
la province de Seville* ; Mikel Gonzalez, IO, Bilbao ; Lidia Just i Calpe,
UGT Barcelona* ; José Luis Martinez, CCOO ; Blas Ortega,
UGT ; José Antonio Perez, écrivain ; José Sanchez, UGT, Mairie de Léganes* ;
José Luis Sanchez, CCOO, Métro* ; Roberto
Tornamira, UGT-FES, secrétaire �* l'organisation, CE de Madrid* ;
ETATS-UNIS :
Jess Ghannam, pour l'Association Al Awda ; Zehra Arat, Professeur au
Purchase College ; Alan Benjamin, Editeyr du journal The
Organizer ; Margaret Breslau, Coalition for Justice; Jack Chernos, militant
pour les droits ouvriers, San Francisco, Californie ; Larry Duncan,
Coproducteur, The Labor Beat cable-tv series*; Greg Durka, militant pour les
droits ouvriers, West Keansburg, New Jersey ; Pat Gowens, Welfare
Warriors, Milwaukee, Wisconsin; Norma JF Harrisson, Membre, du comité
central du Parti Vert, Berkeley, California* ; Amber Heintzberger ; Laura
Herrera, Co-coordinatrice de la Mobilisation pour la liberation de Mumia
Abu-Jamal, San Francisco, Californie* ; Krista Husar, Revue Dialogue ;
Phoebe Jones-Schellenberg, Global Women's strike ; Basem Khader, militant
des droits de l'homme ; Nada Khader, directeur exécutif, WESPAC
Foundation, White Plains, New York ; Megan McNamara Abed ; Jamillah Mufdi ;
Henry Noble, Freedom Socialist Party, Secrétaire National, U.S.
Section ; Millie Phillips, Comité National de Socialist Organizer, San
Francisco, California ; Margaret Prescod, Les Femmes de Couleur, dans Global
Women's Strike ; Mazin Qumsiyeh, PhD ; Radical Women, San Francisco; Marc
Rich, syndicat des enseignants, Los Angeles ; Francesca Rosa,
Membre, SEIU Local 535, et membre, du comité des travailleurs pour la paix
et la justice, San Francisco, Californie* ; Eddie Rosario, Coordinateur
adjoint de l'OWC ; Rodger Scott , Past President, AFT Local 2121, San
Francisco, Californie*; Evelyn C. Sibilio, syndicaliste enseignant
retraitée,
Philadelphia, Pennsylvanie ; Anne Slater, Organizer Radical Women, U.S.
Section ; Timothy Stinson, Militant pour les droits ouvriers, Albany,
Oregon ; James E. Vann, fondateur Oakland Tenants Union, Oakland,
Californie*. FINLANDE : Kamal Aranki.
FRANCE :
Plus de 1000 signatures annoncées, parmi lesquelles, Mohamed Abbes ; Mickaël
Anders, journaliste ; Danièle Antoine ; Luc Arrignon ;
Sam Ayache ; Jean Louis Bainvelzweig ; Michel Barbe, Libre penseur ; Jean
Pierre Barrois, revue Dialogue ; Louis Benicheti ;
Emmanuelle Bidaux ; Isabelle Boudid ; Jean Marc Bourcier ; Martine Boussel ;
Samira Brahmi ; Farid Brikci ; Françoise Brunet ;
Monique Cadot ; Yveline Calais ; Eric Cavaterra ; Marie-Claude Collay,
enseignante, syndicaliste FSU (Loire) ; Anne Chanrond ;
Jean Chanrond ; Isabella Checcaglini ; Gustavo Conza ; Simon Costa, Libre
penseur ; Cristel Coste, syndicaliste ; François Cousyn ;
Maïté Dayan ; Elisabeth Delpuech ; Claudine Denier ; Nadia Djaïl ; François
Dominique, écrivain ; Katia Dorey ; Yves Dorey ;
Olivier Doriane, Entente Internationale des Travailleurs ; Alice Dumourier ;
Jeanne Ferandin ; Jean Pierre Fitoussi ;
Jeanne Florence ; Nicole Florence-Ponturo ; Christian Florentin ; Dominique
François ; Michèle Fuma ; Pierre Garino ;
André Garry ; Daniel Gautier ; Dominique Gheno ; Daniel Gluckstein,
Coordinateur de l'Entente Internationale des Travailleurs ;
André Grasset ; Groppi Claude, syndicaliste ; Micheline Guillemette ; Franck
Guilbert, comédien ; Hassani Mourad, cheminot ;
Samy Hayon, revue Dialogue ; Daniel Hermange ; Gérard Iltis ; Jean-Gabriel
Jacquemond, Conseiller municipal ; Reine Jauffret,
journaliste ; Sabine Jeanjean ; Salah-Eddine Kadi ; Jean Philippe Katz ;
Edith Kosmanek, Docteur en mathématiques, universitaire
retraitée ; Didier Kryn ; Pierre Lambert, directeur de publication de la
revue Dialogue ; Louis Lanteri ; Renée Laurent ; François Lazar,
revue Dialogue ; Michel Leblanc ; Brigitte Léridon ; Josette Logereau ;
Danièle Mansin ; Mohamed-Anis Mansouri ; Joëlle Masseboeuf ;
Victoria Melgar, traductrice, militante des droits de l'Homme ; Sylvie
Midavaine ; Jannick Moal ; Bertrand Monache ; Moschetti ;
Maïté Nahyr, comédienne ; Bernard Noël ; Michèle Noël ; Maurice Novel ;
Victor Novel ; Arièle Nugon, Marseille ; Jean Pierre Page,
syndicaliste ; Alain Pecel, Conseiller Général PCF de la Loire ; Eric Pelaro
; Michel Pérou, La Roche sur Yon ; Jean Pierre Plisson ;
Brigitte Quenet ; Alain Quiquerel ; Pierre Quirin ; Claudine Redon ; Jean
Rémi ; Nicole Renevier ; Danielle Roy, militante pacifiste
internationaliste ; Pierre Roy, président de la Libre Pensée de la Loire ;
Bernard Ruhaud, syndicaliste, éducateur spécialisé ; Josiane
Ruhaud, syndicaliste, enseignante ; Aimé Savy, Marie adjoint MRC d'Ivry Sur
Seine ; Frédéric Ruyer ; Claudine Savy, chercheur
scientifique, Paris 13 ; Daniel Shapira, Entente Internationale des
Travailleurs ; Marie Claude Schidlower, Commission Femme de
l'Entente Internationale des Travailleurs ; Claude Senes, Maire de Thoard ;
Chantal Sibille ; Geneviève Sifflet ; Marie Stagliano ;
Emmanuèle Stochl, comédienne ; Frédéric Stohl, musicien ; Muriel Sybelin,
libre penseuse ; Yannick Sybelin, syndicaliste ;
Marie Claude Tabar Nouval; Serge Taguet ; Brigitte Talon ; Patrick Valchera
; Henri Van Damme ; Isabelle Vestlé ; Dominique
Vincenot, EIT ; André Warnet ; Claudine Warnet ; Saïd Zulficar.
GRANDE BRETAGNE :
Zarina Bhatia ; Sue Blackwell, Université de Birmingham ; Robert Boyce,
London School of Economics; Mark Burton,
NHS / Manchester Metropolitan Université ; Victoria Brittain, journaliste,
Patricia Bryden, Amnesty, Femmes
en Noir Scottish Friends of Palestine, Palestinain Forum ; Stefan Cholewka,
Journal The Link ; Dr Clark-Lowes, Palestine
Solidarity Campaign ; Christine Coulouris , groupe pour la paix du Mid
Sussex ; Professeur Elizabeth Cowie Université du Kent;
Claudine Dauphin, Professeur honoraire en Archéologie et Théologie,
Université du Pays de Galles, Lampeter ; Jeanette Findlay,
Université de Glasgow, Ecosse ; Jay Ginn, National Pensioners Convention;
Fawcett Society; Women's Budget Group ; Dr. R. Hasan, Maître de
conférence, Université du Sussex ; Bill Holdsworth, Londres ; Jim House,
Université de Leeds ; Selma James, Global Women Strike, UK ; Sami
Joseph ; Dr Michael Loughlin, Manchester Metropolitan Université ; Martha
Mundy, lecteur en Anthropologie, London school of Economics ;
Frans Maathuis, Université de York ; Joanne Massey, professeur en
criminologie, Dept. de Sociologie, MMU ; Dr Ghazala Mir, Chercheur,
Directeur
du réseau Ethnicity Training, Centre de Recherche médecine, Université de
Leeds ; Michal Nahman, PhD Department de Sociologie, Université de
Lancaster ; Bahadur Najak, School of Economics, Finance and Business, Queens
Campus, Université de Durham ; James Nick, Université et College
Union ; Michael Paris, Université du Central Lancashire ; Helen Peters,
London Metropolitan Université ; Nick Phillips ; Dr. N.M. Queen, Université
de Birmingham ; Dr Shupikai Rinomhota, Université de Leeds ; Professeur
Hilary Rose, Londres ; Andrew Sayer, Professeur, departement de
Sociologie, Université du Lancaster ; Dr Janet Shapiro, professeur retraité,
London Metropolitan ; Professeur David Seddon, Université de East
Anglia ; Martha Wörsching, Loughborough Université.
GUINÉE :
Keïta Nagbé Bangoura, Secrétaire Général Confédération des Syndicats Libres
de Guinée (CGSL)*.
HONG-KONG :
Elisabeth Tang, Secrétaire general de la Confédération syndicale de Hong
Kong.
INDE : H. Mahadevan, secrétaire général adjoint AITUC* ; Anita Cheria,
Bangalore ; Daniel Edwin, Bangalore.
ITALIE :
Lorenzo Varaldo ; Guido Montanari.
IRLANDE :
Maggie Ronayne,Global Women's strike ; Ronit Lentin , Trinity College
Dublin. .JORDANIE : Anis F. Kassim,
Law Firm ; Sabri Amarneh, Ingénieur retraité.
LIBAN :
Gassan Ghosn, Président CGT-L* ; Association Aïdoun ; Mahmud Al Ali, Aïdoun
; Rawan Al Bash ; Haider Haidoura, journaliste
et politologue .
MALAISIE:
Dr S. Husin Ali, Malaysian People's Justice Party, Deputy President.
MALI :
Guindo Hamadoun Amion, Secrétaire Général Confédération Syndicale des
Travailleurs du Mali*.
MAROC : Benjalloun Andaloussi, président de l'association Marocaine de
soutien �* la lutte palestinienne (AMSLP) ;
Mostapha Brahma, CDT confédération démocratique du travail* ; Lucile Daumas,
Attac Maroc ; Khadija Rhamiri,
secrétaire générale de l'UMT-Rabat-salé. MAURITANIE : Mohamed El Habib
Ould-Ahmed, Secrétaire Général de
l'Union Nationale des Travailleurs de Mauritanie (UNTM)*. NEPAL : Umesh
Upadhyaya, Affaires internationales,
Fédération des syndicats du Népal (GEFONT).
NORVÈGE :
Moussa El Jeries, LO (Confédération des Syndicats de Norvège)*. OMAN : Saud
Aljabri, Main Committee for Workers*.
PAKISTAN :
Nabeela Ahmed, juriste, WWO ; Fareed Awan, Secrétaire général, APTUF-Sind ;
Zahoor Awan, Secrétaire général All Pakistan
Federation of Labor (APFOL) ; Shehar Bano, Journaliste, Daily Dawn ; Gulzar
Ahmed Chowdhury Secrétaire general APTUF*; Sajida Fareed,
Membre WWO ; Salma Fayyaz, Travailleuses de la santé, Health Workers
Association ; Shaida Hasan, Secrétaire commission Femmes,
APFOL ; Rubina Jamil, Organisation des Femmes travailleuses* ; Dilawar
Khawaja, juriste du movement ouvrier; Ahmed Khurshid, Pakistan
Workers Federation* ; Aima Mahmood , WWO* ; Yasmin Rasool, Association des
enseignants du Punjab* ; Meena Rehman,
Présidente, Women Action Forum ; Huma Saeed, secretaire, APFTU ; Fakhra
Tehreem, Journaliste, Daily Jang ; Fazal-e-Wahid,
Président, syndicat des travailleurs du rail* ; Mohammad Yaqoob, Président,
Fédération des travailleurs du Pakistan. .
PALESTINE - ETAT D'ISRAËL :
Lubna Abdeljawwad (Nazareth) ; Dalia Altouri, Haïfa; Maha Abu Alwan
(Nazareth); Muna Abu Tayye (Nazareth); Eli Aminov,
Revue Dialogue ; Nitza Aminov ; Manal Awwad (Nazareth) ; Marie Badarne, La
voix du travailleur ; Wehbe Badarne, La voix
du Travailleur ; Shiri Barr ; Ronnen Ben-Arieh ; Leïla Britan, Ramallah ;
Areen Bsul (Nazareth) ; Réseau Coalition des
Femmes pour la paix ; Uri Davis, responsable Al-Beit, Association pour la
défense des droits Humains en Israël ; Micky Fisher ; Fatma Ghazzawi
(Nazareth) ; Manar Hassan ; Sana' Ibrahim (Nazareth) ; Ghada Irshed
(Nazareth) ; Yehuda Kupferman, Revue Dialogue ; Rania Madi ; Ameer
Makhoul, Secrétaire general d'Ittijah, Union des Associations Arabes ; Rémy
Mendelzweig, syndicat des enseignants du secondaire* ; Hiyam Misleh
(Nazareth); Norma Musih ; Jibran Nadaf (Nazareth) ; Dorothy Naor ; Sahar
Nijm (Nazareth); Fatma Odeh (Nazareth) ; Maria Ofir ; Ilan Pappe,
historien, Université de Haifa ; Tanya Reinhart, Universitaire, écrivain ;
Hussein Saleh (Nazareth) ; Auni Shihadat (Nazareth) ; Fatma Siadeh
(Nazareth) ; Bilha Sündermann Golan ; Gila Svirsky ; Marselo Svirsky
responsible de l'association "Une voix alternative en Galilée; Lily
Traubmann ; Shlomo Weinberg, syndicat des enseignants du secondaire*;
Mohammad Yakoub, refugié en France,
org. "Mémoires d'Exilés"; Tamar Yaron.
PAYS BAS :
Dr. Willem Meijs (ABVAKABO), Hoorn*.
SÉNÉGAL : Fatoumata Bitou Yafa, Présidente du Comité des Femmes de la CNTS
(Confédération nationale des travailleurs du Sénégal)* ;
Abdoulaye Diouf, Secrétaire Général Adj. CDTS (Confédération démocratique
des travailleurs du Sénégal )* ; Ibrahima Diagne, Secrétaire
Nationale Chargée des relations Internationales - FGTS (Fédération Générale
des travailleurs du Sénégal )* ; Malick Diop, Secrétaire
Général du syndicat autonome des travailleurs de l'hôtellerie de l'UNSAS (
Union Nationale des syndicats Autonomes du
Sénégal)* ; Thierno Mahi Diop, Secrétaire Général du syndicat autonome des
travailleurs du port UNSAS ( Union Nationale des
syndicats Autonomes du Sénégal )* ; Nomath Ndiaye, Secrétaire Général du
Syndicat des travailleurs du Port Autonome de Dakar - UNTS* ;
Babacar Touré, Secrétaire National Chargé de la coopération
décentralisée-FGTS* ; Fatou Ba-Ndiaye, CDSL Coordination démocratique des
Syndicats Libres du Sénégal* ; Anna Zaat.
SOUDAN :
Osman El Hassan, Union des syndicats des Travailleurs du Soudan (USTS)* ;
Souad Farouk, ISTU.
SRI LANKA : Upali Magedaragamage, Réseau asiatique pour la culture et le
développement. SUÈDE : Jan Erik Gustafsson ;
Robert Johanson, LO*.
SUISSE :
Albert Anor , syndicaliste SSP*; Catherine Anor ; Claudie Barriera ; Lydia
Barriera, étudainte ; Gabrielle Barriera ; Danielle
Bleitrach, retraitée ; Jacqueline Berenstein-Wavre ; Luis Blanco, secrétaire
syndical UNIA* ; Professeur Claude Calame ; Charles
Casagrande, syndicaliste ; François Courvoisier, musicien ; Luc Deley,
syndicaliste SSP* ; Paul Germanotta, chercheur et
syndicaliste ; Michel Gindrat ; Simone Girodo, syndicaliste SSP* ; Antonio
Herranz, syndicaliste SSP* ; Sylviane Herranz,
journaliste ; Daniel Hofer, militant socialiste ; Claude Iseli, syndicaliste
SSP* ; Pierrette Iseli,, conseillère municipale PSN* ;
George A. Kouchakji ; Rania Madi ; Georges Meylan, syndicaliste SSP* ;
Véronique Landry, syndicaliste SSP* ; Eric Perruchoud,
syndicaliste SSP* ; André Schüssel, syndicaliste ; Jean Spielmann,
conseiller national PdT* ; Marie-France Spielmann,
cons.municipale PdT* Max Robert, syndicaliste enseignant ; Martine Sümi,
conseillère municipale PSG*.
THAILANDE :
Lee Seihwa, Coordinatrice du Comité des Femmes Asiatiques (CAW).
TUNISIE :
Mohamed Trabelsi, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Générale Tunisienne
du Travail, Chargé des relations
arabes et de l'immigration UGTT* ; Ridha Bouzriba, UGTT* ; Moncef Yacoubi,
UGTT* ; Abdelhamid Achour,
syndicaliste ; Abbdelmagid Sahraoui, USTMA* ; Abdennour Meddahi, UGTT* ; Ali
Ben-Romdhane, UGTT*.
TURQUIE :
Cumhur Altay, President du comité executive de l'IKP (Parti de la fratenité
des travailleurs) �* Istanboul ; Engin Bodur,
Secrétaire general au nom du Comité executive de l'IKP ; Zeki Kilicaslan,
President de l'IKP ; Pinar Erol, Secrétaire du
comité exécutif de l'IKP-Istanboul.
ZIMBABWE :
Wellington Chibebe, Congress of TU (ZCTU)* ; Lovemore Matombo, Congress of
TU (ZCTU)*.
* Signature �* titre personnel.
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