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View Full Version : Le "devoir de mémoire c'est dès aujourd'hui !"


wen.kroy
28 augustus 2006, 18:35
"Dialogue" lettre N° 3,

mercredi 23 août 2006

Une lettre de Louisa Hanoune, député au parlement algérien.

Cher(s) ami(e)s,

Le 5 août, les agences humanitaires de l'ONU ont dans un communiqué lancé un
cri d'alarme « alors que l'attention de

la communauté internationale est portée sur le Liban, la tragédie �* Gaza est
oubliée (...). Profondément alarmées face �*

l'impact de la poursuite de la violence contre les civils et les
infrastructures civiles �* Gaza » 175 palestiniens, dont 40

enfants, ont été tués, �* Gaza depuis le 28 juin et le début des opérations
israéliennes, affirment elles. Le quotidien algérien

El Watan, de son côté titre « Faire oublier le Liban en massacrant le
palestiniens » et explique « Meurtres en série lors

d'incursions sanglantes dans différents endroits des territoires où lors de
raids aériens "ciblés", destruction des

infrastructures de base, démolition des maisons, embargo féroce,
arrestations �* tous les niveaux (...) ».

L'arrêt des hostilités entre l'armée israélienne et la résistance libanaise
lundi 14 août 2006, révèle l'ampleur

du désastre au Liban suite aux bombardements israéliens : alors que des
corps sont encore ensevelis sous les

décombres, près de 1300 morts, destruction quasi-totale des infrastructures
de base dont le coût est évalué

�* près de 6 milliards de dollars. La guerre a coûté 5,7 milliards au
gouvernement israélien en matériel militaire.

Mais pourquoi ? Alors qu'�* 1'intérieur même d'Israël des voix s'élèvent de
plus en plus nombreuses pour

condamner la politique guerrière du gouvernement israélien, celui-ci en
intensifiant les raids sur Gaza et les

assassinats, qui n'ont au demeurant pas cessé durant les 33 jours
d'agression au Liban, confirme ce que le

responsable de la sécurité intérieure israélienne avait déclaré « nous
devons poursuivre nos objectifs au

Liban pour que les palestiniens voient ». La liste des victimes s'allonge
chaque jour.

Plus de 200 personnes, dont de nombreux enfants ont été tuées dans les
territoires palestiniens occupés,

totalement assiégés par l'armée israélienne, depuis le 28 juin. Les
correspondants de la presse algérienne

rapportent le 9 août dans le quotidien Liberté « Ne parlons pas des raids
opérés de façon sporadique

avec leur lot de destruction. Conjugué �* l'asphyxie financière qui étouffe
le gouvernement, autant

dire donc qu'on est face �* une véritable tragédie qui ne dit pas son nom. Si
l'autre tragédie, celle du Liban,

dans laquelle la communauté internationale semble s'embourber, peut
expliquer en partie "l'oubli",

l'indifférence manifestée au peuple palestinien participe au mieux d'un
"crime", au pire, de "non assistance

�* peuple en danger"» et le 14 août, dans le quotidien l'Expression « il
apparaît clairement, un an après le

départ des forces israéliennes, que l'occupation se poursuit. Israël exerce
toujours un contrôle total sur tous

les aspects de la vie des habitant. Le bouclage de Gaza, mis en place en
mars, est total. Le seul point de

passage avec l'extérieur, le terminal de Rafah, dans le sud, vers Égypte,
est fermé de façon quasi permanente.

"Aujourd'hui, la bande de Gaza s'apparente �* une grande prison dont il est
impossible de sortir ou

de rentrer sans l'autorisation des israéliens" insiste Younès Al Jarou. "La
situation économique

est noire", explique l'avocat, "Les travailleurs palestiniens ne peuvent se
rendre en Israël,

les fonctionnaires ne sont pas payés, alors que le potentiel économique de
bande de Gaza est

très faible, sans ressources naturelles ni industrie" ». De son coté l'AFP
décrit la situation �*

Rafah (sud de Gaza) dans ses éditions du 6 août : « Mais ces attaques
frappent aussi les

infrastructures civiles. Dans les quartiers Est de Rafah, plusieurs maisons
ont été endommagées.

les routes de terre ont été défoncées et un grand nombre de champs ont été
entièrement dévastés.

(.) Atif-al-Akhraz, 44 ans, contremaître d'une exploitation agricole
détruite, s'est précipité

hier pour évaluer les dégâts. "Ici, il y avait des serres", affirme-t-il, en
montrant les tiges de fer

tordues et les morceaux de plastique qui émergent de terre retournée par les
bulldozers.

"On cultivait des tomates mais aussi de la vigne et des agrumes", dit-il.
"Il ne reste plus rien." Selon

lui, les pertes se chiffrent �* plusieurs dizaines de milliers de dollars,
mais surtout, souligne-t-il, il

faudra des années pour relancer l'exploitation alors que les arbres étaient
vieux de 10 ans (...).

Un peu plus loin, Soubhi-al-Kharaz, 48 ans, tente d'évaluer les dégâts
infligés �* sa maison.

Les soldats israéliens en ont fait leur quartier général pendant trois
jours, Ils ont renvoyé ses

enfants, mais lui ont ordonné de rester avec sa femme (...). L'allée qui
mène �* son domicile

n'est plus qu'une succession de monticules et de crevasses, la clôture a été
arrachée, et un

hangar a été gravement endommagé. "Tout a été détruit par les bulldozers et
les chars", dit-il

(..) Eid Salman Hijazi, 43 ans, est le propriétaire de plusieurs
exploitations agricoles détruites. II affirme

que c'est la troisième fois que des terres lui appartenant sont la cible des
incursions israéliennes.

"Ici, dit-il, 200 personnes vivaient des revenu de cette terre. Que vont-ils
devenir �* présent ?"

demande-t-il ». Même si les destructions et les assassinat perpétrés par
l'année israélienne dans

les territoires palestiniens n'ont pas cessé depuis l'an 2000, et qu'il est
désormais avéré que

l'invasion du Liban a été planifiée la même année, le gouvernement israélien
prétend que son

offensive contre Gaza et la guerre qu'il a déclenché contre le Liban visent
�* libérer les soldats

israéliens enlevés.

Du point de vue de la démocratie, des droits humains les plus élémentaires,
les hommes ne sont-il

pas censés être tous égaux indépendamment de la race, la religion et la
langue ?

Alors en quoi la vie d'un soldat israélien, serait-elle supérieure �* celle
de plus de 10 000 palestiniens

enlevés, emprisonnés et torturés dont 400 femmes et enfants et 63 élus,
députés et ministres ?

En quoi la libération de deux soldats israéliens serait elle plus fondée que
celles de plusieurs milliers

de libanais emprisonnés depuis 20 ans ? Et peut elle justifier l'assassinat
de plus de 1200 personnes,

dont 30% sont des enfants, et la destruction totale d'un pays ? Et quel est
donc ce « droit international »

qui légitime une telle discrimination ?

Et n'est ce pas un acte de terrorisme d'Etat de piraterie que d'enlever le
président du Conseil Législatif, et

le vice-premier ministre palestiniens ? A l'occasion de la 11ème biennale
des cinémas arabes, des femmes

cinéastes palestiniennes ont présenté des films impressionnants, qui
relatent toutes les formes de

discrimination exercées par le gouvernement israélien �* l'encontre du peuple
palestinien, tant dans

les villes, sous lois israéliennes, que dans les 12% qui restent encore
comme territoires pour les

Palestiniens. J'ai écouté leurs témoignages sur la chaîne de télévision
algérienne ce vendredi 18 août,

les faits réels qu'elles rapportent illustrent un apartheid érigé en
système.

Intervenant sur la chaîne satellitaire palestinienne vendredi 11 août, un
prêtre palestinien qui rendait

visite avec une délégation �* un camp d'été pour enfants palestiniens �* Beit
Lahya - où la population

arabe venait de manifester après le massacre d'une famille entière par des
tirs de canon de la marine

israélienne - expliquait la sauvagerie des violations de l'intégrité des
femmes et enfants palestiniens

par l'armée israélienne : « lorsqu'une femme est dans sa maison aucun
étranger n'a le droit d'y

entrer sans son accord. C'est une question d'intégrité. Or regardez cette
maison. Un char israélien

est entré dedans pour la démolir, alors qu'une femme et ses enfants étaient
�* l'intérieur. Des soldats

sont sortis du char, ils étaient accompagnés de chiens affamés. Alors qu'ils
leur ont donné �* manger

de la viande qu'ils avaient apportée avec eux �* dessein. Les chiens se sont
jetés sur la viande devant

les enfants qui n'avaient pas mangé depuis 6 jours, puis un soldat s'est mis
�* fouiller un enfant de

deux ans comme s'il pouvait porter une kalachnikov. »

Et le même jour, des femmes palestiniennes habitant le nord d'Israël ciblé
par les missiles de la résistance

libanaise, expliquaient : « nous ne pouvons pas quitter le quartier. Nous
n'avons
pas où aller. Il n'y a

même pas d'abris dans nos maisons �* la différence des quartiers juifs où les
familles ont trouvé refuge

dans les abris aménagés ».

La presse internationale a relevé cette discrimination. Tout comme elle a
relevé que les bombardements

israéliens, après le vote de la résolution 1701 de l'ONU, samedi 12 août,
ont pris pour cibles des camps

de réfugiés palestiniens parmi les plus peuplés, Nabatiya et Ein Héloué au
Liban, qui eux aussi ne

pouvaient fuir nulle part de par la précarité de leur statut.

Une femme algérienne, révoltée par les massacres commis par l'armée
israélienne, m'a écrit en ces

termes : « ça sera avec une grande fierté que je signerai la pétition
dénonçant la ségrégation et

l'oppression subies par la femme et l'enfant palestinien. De même que je me
mets entièrement �* la

disposition de la manifestation que vous avez appelé. Je n'ai pas j'habitude
d'adhérer aux

manifestations "pour manifester", mais je sais que ce que vous entreprenez
est authentique et

vrai. Je vous fais confiance et j'espère que vous ferez appel �* ma
contribution. Je m'appelle

Sedika, je suis diplômée d'une licence en sciences politiques (1977), j'ai
fait des études supérieures

en relations internationales. Je suis mère de trois enfants (adultes). Donc
je dispose d'assez de

temps pour oeuvrer efficacement �* obliger les tortionnaires �* lever leurs
mains sur les peuples

du monde. Je maîtrise les deux langues (arabe et français) et je veux
apporter ma contribution de

quelque manière que ce soit ». Des personnalités algériennes de différents
horizons, des femmes et

des hommes de culture, (écrivains, poètes, comédiens...) des responsables
syndicaux, des journalistes.

Des parlementaires, des dirigeants politiques soutiennent la tenue de la
conférence internationale

en soutien aux femmes palestiniennes �* Alger. Nombreux parmi eux sont celles
et ceux qui ont proposé

leur contribution au succès de la rencontre.

Chers amis,

Comme vous le savez, du 12 juillet au 14 août, la mobilisation pour un
cessez-le-feu immédiat Liban a été

la priorité pour les femmes et les hommes épris de paix dans le monde, dont
les signataires de l'appel

des femmes palestiniennes. Cela n'a pas pour autant, ralenti notre campagne.
Au contraire, car par

del�* les actions de solidarité immédiate avec le Liban, il n'échappe �*
personne, qu'�* l'origine des

développements tragiques se trouve le sort qui est fait au peuple
palestinien. Mais nous devons

accélérer les rythmes durant le mois de septembre d'autant que le mois de
ramadhan intervenant

dès le 25 ou 26 septembre, l'activité connaîtra un ralentissement pendant un
mois dans tous les pays

musulmans.

Il est donc, �* mon avis, urgent de transmettre �* "Dialogue" les propositions
en matière de

participation et de contribution pour que je puisse les intégrer.

Meilleures salutations :

Louisa Hanoune, le 22 août 2006

Une lettre de Nazareth :

Le 20 août 2006,

LETTRE OUVERTE EN REPONSE A L'INITIATIVE D'UNE CONFERENCE

INTERNATIONALE DE SOLIDARITE AVEC LES FEMMES PALESTINIENNES,

ORGANISEE A ALGER EN NOVEMBRE 2006

Chers amis,

Alors que nous nous sommes engagés dans le recensement et la réponse aux
besoins de notre communauté,

besoins causés par le conflit violent en Israël, au Liban et �* Gaza, un
message hautement encourageant nous a

atteint :

Mme Louisa Hanoune, parlementaire élue �* "l'Assemblée Populaire Nationale"
et secrétaire générale du

Parti des Travailleurs algériens, a suggéré aux autorités de son pays
d'organiser une conférence en solidarité des

femmes palestiniennes. Elle a ensuite informé la revue Dialogue,
destinataire de sa lettre, que le président de la

République ainsi que le président de l'Assemblée Nationale avaient autorisé
l'organisation de cette manifestation

�* Alger. La situation des femmes arabes �* Nazareth fait explicitement partie
du programme de la conférence.

- Nous, en tant que femmes, que travailleurs, que palestiniens, qu'arabes,
en tant qu'êtres humains, soutenons

fermement l'initiative d'une conférence internationale de solidarité avec
les femmes palestiniennes, et nous

sommes honorés d'être considérés comme partie intégrante de cet effort
mondial.

- Nous saluons cette initiative parce que nous estimons que notre lutte pour
les droits de l'homme et l'égalité

�* Nazareth est inséparable de celle de nos soeurs et de nos frères de Gaza,
du Liban, et de bien d'autres parties

du monde.

- Nous croyons qu'il est maintenant temps de regrouper les forces solidaires
et de combattre tous ensemble

- arabes et juifs, et tout autre, pour mettre fin �* la pauvreté, �* la
discrimination, �* l'exploitation, et �* l'occupation,

où qu'elle ait lieu.

-Nous envoyons nos plus sincères salutations �* tous les signataires de cet
appel, publié en notre nom, ainsi

qu'�* tous ceux qui s'impliquent dans l'organisation de cette conférence, en
particulier aux initiateurs de cette

manifestation.

- Nous discuterons des possibilités de contribution �* cette conférence avec
notre base.

Solidairement, la Commission Femmes de Sawt el-Amel et Wehbe Badarne,
directeur général.

Ils mènent la campagne des signatures :

D'Espagne :

Madrid, 3 août 2006,

Au Comité de Rédaction de la revue Dialogue

Cher(e)s ami(e)s,

Nous avons fait connaître l'appel des femmes de Nazareth et la lettre de
Louisa Hanoune proposant une

Conférence �* Alger.

Cette initiative reçoit un bon accueil. Nous comptons déj�* les signatures de
25 dirigeants et personnalités

et 100 autres signatures de travailleurs et jeunes. Nous traduirons en
espagnol et publierons toutes

les lettres de préparation de la conférence d'Alger, et �* cet effet nous
vous demandons de nous les

faire parvenir dans les plus brefs délais au fur et �* mesure de leur
disponibilité.

Nous envisageons la possibilité de participer avec une délégation �* cette
Conférence.

Pour cela nous voulons compter sur l'appui des syndicats (UGT et CCOO). En
septembre nous

aurons une entrevue avec la direction de l'UGT pour traiter de ce sujet.

Nous voulons aussi vous informer que la CCOO de Madrid a envoyé l'appel de
Nazareth �* ses délégués,

ce qui nous ouvre de grandes perspectives d'extension de la campagne dans ce
syndicat.

Nous voulons également étendre la campagne �* d'autres collectifs, comme
celui des cinéastes

et intellectuels, qui dans notre pays ont joué un rôle important contre la
guerre et l'occupation

de l'Irak.

Pour cela la lettre des cinéastes juifs aux cinéastes palestiniens que vous
avez publiée

dans la lettre nº 2 peut être d'une grande utilité. Nous vous tiendrons
ponctuellement informés

de notre travail et de nos résultats. Confiants que, ensemble, nous serons
capables de mettre fin

�* cette terrible tuerie et destruction de peuples innocents, recevez un
chaleureux salut,

Isabel Cerdá, abonnée �* Dialogue, signataire de l'appel.

************************************************** *****************

DE TURQUIE :

Cher(e)s ami(e)s de Dialogue,

Voici les premières signatures en provenance de Turquie, en soutien �*
l'appel
des

femmes de Nazareth (voir liste ci-après). Nous vous en ferons parvenir
prochainement bien plus,

de syndicats et du mouvement ouvrier, de partis politiques.

Dans un premier temps, nous allons préparer un appel en langue turque pour
présenter

l'appel et annoncer la conférence d'Alger.

Nous prévoyons de rassembler sur notre appel écrit des signatures de
dirigeants

syndicaux, en particulier de femmes membres de comités exécutifs mais aussi
de dirigeants

de partis politiques et de mouvements sociaux, etc. En donnant la priorité
aux femmes.

Nous aimerions d'abord tenir une petite réunion avec ces organisations qui
ont signé

notre appel et ensuite, nous prévoyons de tenir une réunion plus importante
dans une

salle plus grande �* laquelle nous pourrions également inviter la presse et
les télévisions.

Nous prévoyons de constituer une délégation avec des personnes d'autres
organisations

que l'IKP, et nous prévoyons de désigner les noms après l'organisation de
cette réunion.

Nous aimerions faire une présentation du problème de la Palestine aussi
détaillée que possible.

Il nous serait très utile que vous nous envoyiez du matériel visuel, des
photos...

Nous pourrions préparer quelque chose avec des diapositives où nous
pourrions montrer les

cartes de la Palestine historique, la situation actuelle.

C'est pourquoi des éléments visuels et des références précises nous
aideraient �* la fois �* mieux

comprendre et �* mieux présenter la situation de la Palestine aujourd'hui.
Nous-vous tiendrons

informés régulièrement des résultats de la campagne.

Fraternelles salutations,

Pinar Ekol, pour le Parti de la fraternité des travailleurs (IKP).

************************************************** **********************

Article de Mohamed El-Ouahed, publié dans La Nouvelle République (Algérie),

le 08 août 2006 :

Conférence internationale de solidarité avec les femmes palestiniennes :

Nous venons d'apprendre que Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT, va
organiser, dans la première quinzaine du

mois de novembre, une conférence internationale de solidarité avec les
femmes palestiniennes. En effet, la revue Dialogue est une

revue de discussion entre militants arabes et juifs de Palestine, pour le
droit au retour et pour un seul Etat sur tout le territoire de la Palestine

historique. Son objectif est, par la libre discussion, de faire prévaloir
les intérêts démocratiques fondamentaux de tous les peuples qui

vivent sur le territoire de la Palestine historique. La revue Dialogue a
reçu une lettre émanent de Louisa Hanoune dans laquelle elle

explique que le sort des femmes travailleuses palestiniennes de Nazareth,
par la cruauté qui leur est fait, se suffit �* lui-même.

En effet, dans une déclaration, les femmes palestiniennes de Nazareth font
état d'une véritable ségrégation de l'Etat sioniste.

Ainsi, on peu lire dans cette déclaration que «depuis le début août 2005,
l'organisation
de défense des droits des travailleurs arabes �*

l'intérieur de l'Etat d'Israël, Sawt El-Amel (La voix du travailleur), dont
le siège est �* Nazareth, a pris l'initiative d'une campagne publique

et de manifestations contre la mise en oeuvre du plan du gouvernement
israélien appelé Wisconsin.

Le plan Wisconsin ne crée aucun nouvel emploi. Il vise �* exclure des
milliers de chômeurs de leurs droits aux allocations en les

plaçant dans n'importe quel poste de travail. A Nazareth, il affecte en
majorité les femmes palestiniennes. En 2002, elles

représentaient plus de 15% de la population féminine en âge de travailler
dans l'Etat d'Israël mais n'occupaient que 5% des emplois

féminins. Elles constituent la partie la plus exploitée et opprimée des
travailleurs victimes du plan Wisconsin.

Ainsi, la femme arabe est la principale victime de l'application du plan
Wisconsin, parmi les chômeurs.

Comment est-il possible de traiter des femmes de la sorte ?

Le 6 janvier dernier, les policiers israéliens ont utilisé la violence
contre la manifestation appelée par l'organisation Sawt El-Amel.

Elle se déroulait pourtant dans le calme. Un manifestant, qui est intervenu
pour empêcher qu'une femme soit battue par les policiers,

a été lui-même roué de coups et arrêté par la police. La compagnie privée
Agam Mehalev, chargée d'appliquer le plan Wisconsin �*

Nazareth, a annulé le droit aux allocations de chacune des femmes chômeuses
qui avait participé �* cette manifestation.

Non seulement elle exclut les femmes chômeuses de tout emploi, mais elle use
de manoeuvres et de subterfuges pour

supprimer leurs allocations de survie. Elle les plonge ainsi dans la misère
la plus extrême.

Par del�* les opinions de chacun, qui peut accepter des traitements aussi
inhumains ?

Le 8 mars 2006, plus de 300 femmes palestiniennes manifestaient �* l'appel de
l'organisation Sawt El-Amel �* l'occasion de la journée

internationale des femmes. Elles agitaient des drapeaux noirs et des
portraits de Kheir Khaleïli, un jeune ouvrier palestinien,

première victime du plan Wisconsin, décédé le 3 mars. Kheir Khaleïli
souffrait de graves problèmes de santé.

Les travailleurs étaient confinés, huit heures durant, dans des conditions
insupportables.

Il avait supplié la compagnie Agam Mehalev de le laisser partir. En vain.
Peu après, en revenant chez lui,

il s'est effondré, mort.

************************************************** ***************

UN TERRIFIANT CONSTAT :

L'escalade des attaques des forces d'occupations israéliennes (FOI) sur les
civils

palestiniens et les biens dans les territoires palestiniens occupés (TPO).

- 6 palestiniens, dont deux enfants et un vieil homme, ont été tués par les
FOI.

- Un civil palestinien de Jénine est mort d'une blessure reçue précédemment.

- 36 civils palestiniens, dont 4 enfants et 3 femmes, ont été blessés par
des coups

de feu des FOI.

- Les FOI ont lancé une série d'attaque aérienne sur des maisons dans la
bande

de Gaza.

- 6 maisons ont été détruites, et une 7ième brûlée dans la bande de Gaza.

- Les FOI ont mené 40 incursions dans les communautés palestiniennes de la

Cisjordanie, et 4 autres dans la bande de Gaza.

- Les FOI ont arrêté 48 civils palestiniens en Cisjordanie, et 5 autres dans
la bande

de Gaza.

- 4 maisons ont été démolies en Cisjordanie.

- Les FOI ont attaqué 3 hôpitaux �* Hébron.

Les FOI ont continué �* imposer un siège complet des TPO ; les FOI ont imposé
un

siège renforcé sur la bande de Gaza et il y a eu de nouvelles ruptures de
stock d'aliments

et de carburant ; les FOI positionnés �* divers point de contrôle en
Cisjordanie ont arrêté

8 civils palestiniens, dont deux filles.

Les FOI ont continué �* construire le Mur d'Annexion en Cisjordanie ; ils ont
rasé de

nouvelles zones de terres agricoles dans le Qalqilya et ont utilisé la force
pour disperser

une manifestation pacifique contre la construction du mur dans le village de
Bal A'Ein, �*

l'ouest de Ramallah.

Les colons israéliens ont poursuivi leurs attaques contre les civils
palestiniens et

les biens dans les TPO ; les colons ont célébré un mariage juif �*
l'intérieur de la

Mosquée Ibrahimi d'Hébron.

Comme la communauté internationale est restée silencieuse, les FOI ont
poursuivi

l'offensive de grande échelle contre le peuple palestinien, particulièrement
dans

la bande de Gaza. Pendant la période considérée, les FOI ont poursuivi leur

opération Criquet : ils entrent dans une certaine région, y commettent des
crimes,

puis se redéploient hors de la région. Ensuite, ils pénètrent dans une autre
région

pour agir de même. Des centaines de familles palestiniennes ont été obligées

de quitter leurs maisons �* cause du pilonnage des FOI.

Le PCHR, surveillant avec la plus grande attention les développements de
cette

offensive, en appelle �* la communauté internationale, en particulier aux
signataires

des Conventions de Genève de 1949 et aux Nations Unis, pour qu'ils
interviennent

pour obliger les FOI �* arrêter cette offensive et laisser le flux de
nourriture,

de fournitures médicales et de carburants entrer dans la bande de Gaza.

Les crimes commis par les FOI depuis le 25 juin 2006 :

- 207 palestiniens, principalement des civils, dont 46 enfants et 10 femmes,
ont

été tués par les FOI.

- Au moins 815 civils palestiniens, dont 232 enfants et 27 femmes, ont été
blessés par

des coups de feu des FOI.

- Au moins 217 missiles air-sol et des centaines de bombes ont été tirés sur
des

cibles civiles et militaires palestiniennes dans la bande de Gaza.

- Des bâtiments du Ministère Palestinien de l'Intérieur, du Ministère des
Affaires

Etrangères, et du Ministère de l'Economie Nationale, le bureau du Premier
Ministre

Palestinien et de nombreuses institutions d'enseignement ont été détruites.

- L'usine de production d'électricité qui fournit 45% de l'électricité de la
bande de Gaza,

a été détruite et les réseaux d'électricité ainsi que les transformateurs
ont été attaqués

�* plusieurs reprises.

- 6 ponts entre Gaza et le centre de la bande de Gaza et de nombreuses
routes

ont été détruites.

- Des centaines de donums de terres agricoles et des douzaines de maisons

ont été détruites.

- Des centaines de civils palestiniens, dont 8 ministres et 27 membres du

Conseil Législatif Palestinien (CLP), dont son porte-parole et son vice
porte-parole

ont été arrêtés.

Le Ministre des Affaires des Prisonniers, le Ministre du Travail et le
vice-porte-parole

du CLP ont été libérés.

- Le complexe gouvernemental palestinien de Nablus a été détruite.

- De nombreuses familles de Rafah, de Beit Hanoun et de Beit Lahya ont été

obligées de quitter leurs maisons.

- Les services de renseignement des FOI ont téléphoné �* des civils
palestiniens

de la bande de Gaza pour leur demander d'évacuer leurs maisons qui allaient
être

attaquées.

- 25 maisons appartenant �* des militants de factions palestiniennes ont été
détruites

par des avions de combat des FOI.

- Les FOI ont imposé un siège strict sur les TPO et ont isolé la bande de
Gaza du

monde extérieur.

Rapport hebdomadaire sur les violations des droits

de l'homme du Centre Palestinien pour les Droits de

l'Homme (PCHR), 17 août 2006.

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La guerre israélienne au Liban et en Palestine

par Salah Salah *, le 16 / 08 /2006 :

Liban

Les parties en présence maintiennent encore résolument l'arrêt des
hostilités en cette seconde journée, cependant cette paix

vigilante est accompagnée du retour des réfugiés au sud et dans la banlieue
sud avec des avertissements faits aux réfugiés de

tous côtés via les médias de ne pas approcher les cadavres inconnus ou les
bombes qui n'ont pas explosé, lesquelles ont causé

la mort et des blessures �* de nombreuses personnes, bien après le
cessez-le-feu.

Les militaires et dirigeants politiques israéliens ont déclaré le siège
continu du Liban, par les voies aériennes et maritimes,

tandis que le gouvernement libanais essaie continuellement de faire lever ce
siège par des communications intensives avec les

5 pays permanents du Conseil de Sécurité.

Dans un des rapports américains qui ont filtré �* un organe de la presse, on
peut lire les points suivants :

.. Le nombre de soldats israéliens morts au combat, du 12 juillet au 7 août,
atteint le nombre de 343, tandis que le nombre

de blessés est de 617 personnes.

.. 48 tanks Merkava furent détruits par la résistance, ainsi que 96 véhicules
( des jeeps, des camions et des bulldozers)

.. Le rapport affirme qu'Israël a utilisé �* peu près 90 % de ses munitions au
cours de la guerre du Liban ce qui a incité ses

dirigeants �* rouvrir les dépôts de réserve de munitions qui furent fermés il
y a dix ans.

Le nombre réel des soldats israéliens qui ont combattu la résistance au
Liban a atteint les 40 000 soldats. On peut aussi noter

que des pilotes américains ont participé dans les attaques aériennes au
Liban.

Un autre rapport, présenté par le journal israélien Yediot Ahronot, révèle
que le coût de la guerre israélienne au Liban est le

suivant :

.. 156 Israéliens tués

.. 25 milliards de Shekel dépensés

.. 33 jours de combat

.. 3 970 roquettes

.. participation de 30 000 soldats israéliens �* la guerre

.. 15 000 attaques aériennes

.. 800 heures de navigation

.. 7 000 cibles attaquées

.. 126 plates-formes détruites

.. 4 hélicoptères et avions de combat détruits, 1 hélicoptère touché par la
résistance.

Le Premier Ministre a admis en session que la résistance avait porté des
coups durs �* Israël et que les adversaires de droite ( ?)

en avaient profité.

La Palestine :

Trois Palestiniens furent tués et trois autres blessés dans un bombardement
de leur maison �* Beit Hanoun dans la Bande de

Gaza. De plus, les soldats israéliens ont arrêté 5 Palestiniens �* Ramallah
et Hébron en Cisjordanie. A cause des attaques aériennes

continuelles sur la Bande de Gaza, 15 Palestiniens furent blessés ; une
maison fut prise pour cible et complètement

détruite �* Jabalia, tandis que deux autres immeubles furent détruits dans un
camp de réfugiés en Cisjordanie.

Lundi, Israël a relâché le Ministre du Travail palestinien, Mr Mohammed al
Barghouty qui, �* son tour, a transmis le message

d'un officiel israélien, �* savoir que le reste des élus palestiniens ( les
ministres et les membres du Conseil Législatif, y compris

le Président du Conseil Législatif) resteront en prison jusqu'�* la
libération du soldat israélien qui fut fait prisonnier le 25 Juin.

Le Premier Ministre palestinien, M. Ismael Haniyeh a prévenu qu'une attaque
israélienne sur la Bande de Gaza était possible,

pour qu'Israël parvienne �* donner l'illusion de la victoire, quoique sur des
gens désarmés, après leur échec au Liban.

Des hommes armés non-identifiés ont enlevé deux journalistes étrangers qui
travaillent pour la Fox Agency, ce qui a été

condamné par les officiels palestiniens : ce n'est pas la tendance politique
palestinienne.

IL EST VRAI QUE LA GUERRE EST FINIE AU LIBAN MAIS ELLE CONTINUE DE

MANIERE ATROCE EN PALESTINE.

* Réfugié palestinien au Liban, chassé en 1948, �* l'âge de 12 ans de
Tibériade. - Membre du Front

populaire de Libération de la Palestine, représentant des réfugiés
palestiniens au Conseil National

Palestinien. - Directeur de Ajial, association palestinienne qui travaille
avec les jeunes réfugiés

palestiniens dans les camps du Liban.

Première liste de signataires et soutiens :

AFRIQUE DU SUD :

Sadie Forman, Fort Hare Women.

ALGÉRIE :

Mohamed Abdoun, journaliste ; Hamza Abdelkader, palestinien ; Mohamed
Abouafif, palestinien ; Mossabe Abouassi, palestinien ;

Bachir Aboubaker, réprésentant du Front Palestinien de Libération ; Mamdouh
Aboudika, palestinien ; Abdelkarim Aboudraz, palestinien ;

Ahmed Abougheliouze, palestinien ; Mohamed Abouharnate, palestinien ; Ali
Abouhilale, palestinien ; Charif Abouhira, palestinien ;

Chaieb Aboukhatir, palestinien ; Wahnia Abounasr, palestinienne ; Nacéra
Abraze, poète ; Mohamed Achraf, palestinien ;

Mohamed Adel, palestinien ; Djouher Akrour, moudjahida, ancienne condamnée �*
mort, membre fondatrice de SOS femmes en

détresse ; Mohamed Ali Hadj, palestinien; Ihab Alouane, palestinien ; Nader
Alqaissi, palestinien ; Karim Aoudia, journaliste ;

Abderahmane Arfoutni, député du Parti des travailleurs ; Mohamed Assi,
palestinien ; Amdjed Ayah, palestinien ; Wassila Benbalil,

palestinienne ; Rahima Benbalil, palestinienne ; Salah Bey, journaliste ;
Bilal Ben Salem, photographe ; Ibrahim Betka ;

Djillali Biskri, écrivain ; Hamid Boubeghla ; Sarah Boudjemaa, palestinienne
; Fatiha Bouhired, moudjahida ; Nacera Boulahouache,

écrivain et journaliste ; Siham Bounabi, journaliste ; Soumaya Bouzidani,
palestinienne ; Imane Chaat, palestinienne ; Rami

Chahine, palestinien ; Rami Chatoura ; Ahmad Chritah, palestinien ; Tahar
Dahmani, journaliste ; Rabia Djelti, poète ;

Zineb Djoudi, palestinienne ; Djelloul Djoudi, député du Parti des
travailleurs ; Halam Damdoum, palestinienne ; Nadia Dridi,

présidente de l'association nationale pour la protection et la promotion de
la femme ; Hacène Elabadla, palestinien ; Fadi Elbayoumi, palestinien ;

Ismail Eladjouri, palestinien ; Nadi Elbayoumi, palestinien ; watan Elghoul,
palestinien ; Nahid Elkadra Chaat, palestinien ; Mohamed Elilmi

Essaihi, écrivain ; Samir Elmnaama, palestinien ; Amine Ezzaoui, directeur
de la bibliothèque nationale d'El Hama, écrivain ; Ahmed Elmadloume,

palestinien ; Mohamed Elmili, écrivain ; Karam Ezowidi, palestinien ; Amna
Ezzahar, palestinienne ; Maha Ezzahar, palestinienne ; Raoula Ezzahar,

palestinienne ; Rasmia Ezzahar, palestinienne ; Saad Ezzahar, palestinien ;
Sahar Ezzahar, palestinien ; Walla Ezzahar, palestinienne ; Charifa Fayçal

Abouzmirou, palestinienne ; Madjed Fodil, palestinien ; Malika Gazouli,
universtaire ; Nourreddine Gazouli, universitaire ; Amel Gouraya,

journaliste ; Mohamed Haboub ; Nawel Hadjermi, photographe ; Mohamed
Hamiche, acteur ; Louiza Hanoune, députée du Parti des travailleurs ;

Saida Ben Hbiles, ancienne Ministre ; Mohamed Hocène, palestinien ; Sabrina
Hdioua, journaliste ; Rabah Houadef, journaliste ; Mohamed Houssam,

palestinien ; Kaci Tizi Ouzou, comédien ; Ahmed Karboune, palestinien ;
Ismail Kasdi ; Yacine Khader, palestinien ; Zoubida Kherbache, députée du

Parti des travailleurs ; Kamila Kherich, étudiante ; Ghania Larbi Cherif,
enseignante ; Karim Lapchri, député du Parti des travailleurs ; Faiza Malek,

Moudjahida ; Kaced Mekbel, fonctionnaire �* l'ambassade de Palestine ; Mehlab
Lamia ; Mohamed Mezaher, palestinien ; Selmane Miloud ; Nawel

Mokhtar, enseignante ; Fazia Mokrani, parti des travailleurs ; Mohamed
Moslim, palestinien ; Abdelhalim Mouhou, journaliste ; Tatiana Nidale,

palestinienne ; Chahada Ouail, palestinienne ; Rabiha Oughlas, enseignante ;
Abdelhamid Rabia, acteur, vice président de l'APC Alger centre ; Akila

Rabhi, journaliste ; Ihab Saïd, palestinien ; Mohamed Salah, représentant du
FPLP en Algérie ; Hala Salah, palestinien ; Radouane Salah,

palestinienne ; Saadia Salah, palestinienne ; Abid Salama, palestinien ;
Naamane Ben Saraa ; Lynda Selam, comédienne ; Abdelmadjid Sidi Saïd,

Secrétaire Général de l'UGTA* ainsi que la totalité des membres de la
commission exécutive de l'UGTA ; Houria Sinya, photographe ; Abdelmadjid

Ben Soltane, avocat et moudjahid ; Mohamed Tahayna, palestinien ; Nourredine
Taïbi, homme de lettres ; Sakina Tebhi, enseignante ; Fatma Smati,

membre de l'Assemblée de la Wilaya d'Alger ; Rachid Zarat, député du Parti
des travailleurs ; Djamel Zerout,journaliste ; Ounissi Zhor, ancienne

Ministre, députée et écrivain ; Abdelouahid Zighem, écrivain.

ALLEMAGNE :

Henning Frey ; Claudia Karas, Aktionsbündnis für einen gerechten Frieden in
Palästina ; H.W. Schuster.

AUSTRALIE :

Debbie Brennan, Radical Women ; Ian Bray, Syndicat Maritime d'Australie*.

BANGLADESH :

Tafazzul Hussein, Président de la Fédération Nationale des travailleurs du
Bangladesh ; Mashuda Khatum Shefali, Alliance des

travailleurs du vetêment (BGWPA).

BARHEIN :

Jamal Ateeq, Fédération Générale des Syndicats de Barhein* ; Abdun,
syndicaliste.

BELGIQUE :

Roberto Giarrocco ; Joëlle Van Hoeck, syndicaliste ; Micheline Wattiez ;
Paul Wattiez, syndicaliste; Yves Eeckman,

syndicaliste FGTB, Philippe De Menten, syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB)
; Eric Bayet, syndicaliste ; Nadine Negleman,

syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB) ; Jacques-Ivan Duchesne, musicien ;
Olivier Horman, syndicaliste FGTB Services publics ;

Anne Vanesse, mandataire municipale de Saint Gilles, militante socialiste.

BELIZE :

Omitade Adediran.

BÉNIN :

Gaston Azoua, Secrétaire général de la CSTB* ; Paul Essé Iko, CSTB* ;
Constant Sinzogan, CSTB*. BRÉSIL : Gilda Almeida -

CUT São Paulo* ; Maria Ednalva Bezerra - CUT, Secrétaire nationale de la
commission Femmes* ; Misa Boito, membre de la direction du PT

dansl'Etat de Sao Paulo ; Tamam Daaroul, TV Siria Internacional ; Maria
Goretti L. Cabral (SINTTEL/PB) ; Hiobrahim A. Hammoud, membre de la

Jeunesse Arabe ; Chico Leite, Député du district de Brazilia ; Luzenira
Linhares (SINTTEL/PB) ; Wallace Pereira (SINTTEL/PB) ; Julio Turra,

Directeur exécutif de la CUT* ; D�*lson Peixoto - Conseiller municipal de
Recife et President du PT dans l'Etat de Pernambouc; Paulo Valença - Maire

adjoint d'Olinda, membre de l'Exécutif du PT-PE ; José Múcio Magalhães -
Secrétaire du Cabinet du Maire de Recife, membre de l'Exécutif de PT-PE ;

Conceição Nascimento, membre de l'executif du PT, Secrétaire Nationale des
Femmes ; Anne Paula C. de Pontes, Exécutif de l'Etat de Pernambouc ;

Soraya Smaïli, présidente de l'Institut de la Culture Arabe.

BURKINA-FASO : Tolé Sagnon, Secrétaire général de la CGT-B*.

BURUNDI : Mathias Ruvari, Secrétaire général de la Confédération Libre du
Burundi* ; Paul Nkunzimana, pour le

Syndicat Libre des Travailleurs de l'Université du Burundi (STUB).

CAMEROUN :

Louis Sombes, Secrétaire exécutif CSAC*.

CANADA :

B. Ross Ashley ; Mira Khazzam, PAJU (Palestinian and jewish unity) ; Smadar
Carmon, Coalition for Just peace in Palestine.

CISA (Conf. Internationale des Syndicats Arabes) : Hacène Djeman, Secrétaire
Général*.

CÔTE D'IVOIRE :

N'guessan Nyamien Messou, Secrétaire Général de la fédération des Syndicats
Autonomes de Côte d'Ivoire - FESAC* ;

Maurice Zehia, AGPE* ; François Yao, Secrétaire général du SYNASEG*. CUBA :
Oviedo de la Torre, CTC (Centrale du travail de Cuba)* ; Celia

Hart Santamaria, écrivain. EGYPTE : Mostafa Rostom, ETUF (Fédération des
syndicats égyptiens)*.

ESPAGNE :

150 signatures annoncées, parmi lesquelles Mercè Adrové Ariño ; Rafael
Aguilera, UGT-FSP, comité fédéral* ;

José Almeida, UGT ; Jesus Béjjar, CCOO, secrétaire �* l'action syndicale,
région Sud* ; Manuel Bonmatti, UGT*;

Araceli Beltrán Cuesta ; Angel Campabadal, UGT-FES, commission exécutive
fédérale* ; Isabel Cedar Martin ;

Francisco Cepeda, CCOO Madrid, secteur Dessin* ; Carmen Chacon Roldar, CCOO,
commission CE confédérale ; Daniel

Cuadrado, CCOO* ; Oriol Fort i Marrugat, conseiller municipal de Mollet del
Vallès ; Pablo Garcia-Cano, CCOO John Deere* ;

Javier Gimeno Perelló, Président de la bibliothèque pour la paix (Madrid) ;
Luis Gonzales, CCOO secteur Santé, secrétaire général de

la province de Seville* ; Mikel Gonzalez, IO, Bilbao ; Lidia Just i Calpe,
UGT Barcelona* ; José Luis Martinez, CCOO ; Blas Ortega,

UGT ; José Antonio Perez, écrivain ; José Sanchez, UGT, Mairie de Léganes* ;
José Luis Sanchez, CCOO, Métro* ; Roberto

Tornamira, UGT-FES, secrétaire �* l'organisation, CE de Madrid* ;

ETATS-UNIS :

Jess Ghannam, pour l'Association Al Awda ; Zehra Arat, Professeur au
Purchase College ; Alan Benjamin, Editeyr du journal The

Organizer ; Margaret Breslau, Coalition for Justice; Jack Chernos, militant
pour les droits ouvriers, San Francisco, Californie ; Larry Duncan,

Coproducteur, The Labor Beat cable-tv series*; Greg Durka, militant pour les
droits ouvriers, West Keansburg, New Jersey ; Pat Gowens, Welfare

Warriors, Milwaukee, Wisconsin; Norma JF Harrisson, Membre, du comité
central du Parti Vert, Berkeley, California* ; Amber Heintzberger ; Laura

Herrera, Co-coordinatrice de la Mobilisation pour la liberation de Mumia
Abu-Jamal, San Francisco, Californie* ; Krista Husar, Revue Dialogue ;

Phoebe Jones-Schellenberg, Global Women's strike ; Basem Khader, militant
des droits de l'homme ; Nada Khader, directeur exécutif, WESPAC

Foundation, White Plains, New York ; Megan McNamara Abed ; Jamillah Mufdi ;
Henry Noble, Freedom Socialist Party, Secrétaire National, U.S.

Section ; Millie Phillips, Comité National de Socialist Organizer, San
Francisco, California ; Margaret Prescod, Les Femmes de Couleur, dans Global

Women's Strike ; Mazin Qumsiyeh, PhD ; Radical Women, San Francisco; Marc
Rich, syndicat des enseignants, Los Angeles ; Francesca Rosa,

Membre, SEIU Local 535, et membre, du comité des travailleurs pour la paix
et la justice, San Francisco, Californie* ; Eddie Rosario, Coordinateur

adjoint de l'OWC ; Rodger Scott , Past President, AFT Local 2121, San
Francisco, Californie*; Evelyn C. Sibilio, syndicaliste enseignant
retraitée,

Philadelphia, Pennsylvanie ; Anne Slater, Organizer Radical Women, U.S.
Section ; Timothy Stinson, Militant pour les droits ouvriers, Albany,

Oregon ; James E. Vann, fondateur Oakland Tenants Union, Oakland,
Californie*. FINLANDE : Kamal Aranki.

FRANCE :

Plus de 1000 signatures annoncées, parmi lesquelles, Mohamed Abbes ; Mickaël
Anders, journaliste ; Danièle Antoine ; Luc Arrignon ;

Sam Ayache ; Jean Louis Bainvelzweig ; Michel Barbe, Libre penseur ; Jean
Pierre Barrois, revue Dialogue ; Louis Benicheti ;

Emmanuelle Bidaux ; Isabelle Boudid ; Jean Marc Bourcier ; Martine Boussel ;
Samira Brahmi ; Farid Brikci ; Françoise Brunet ;

Monique Cadot ; Yveline Calais ; Eric Cavaterra ; Marie-Claude Collay,
enseignante, syndicaliste FSU (Loire) ; Anne Chanrond ;

Jean Chanrond ; Isabella Checcaglini ; Gustavo Conza ; Simon Costa, Libre
penseur ; Cristel Coste, syndicaliste ; François Cousyn ;

Maïté Dayan ; Elisabeth Delpuech ; Claudine Denier ; Nadia Djaïl ; François
Dominique, écrivain ; Katia Dorey ; Yves Dorey ;

Olivier Doriane, Entente Internationale des Travailleurs ; Alice Dumourier ;
Jeanne Ferandin ; Jean Pierre Fitoussi ;

Jeanne Florence ; Nicole Florence-Ponturo ; Christian Florentin ; Dominique
François ; Michèle Fuma ; Pierre Garino ;

André Garry ; Daniel Gautier ; Dominique Gheno ; Daniel Gluckstein,
Coordinateur de l'Entente Internationale des Travailleurs ;

André Grasset ; Groppi Claude, syndicaliste ; Micheline Guillemette ; Franck
Guilbert, comédien ; Hassani Mourad, cheminot ;

Samy Hayon, revue Dialogue ; Daniel Hermange ; Gérard Iltis ; Jean-Gabriel
Jacquemond, Conseiller municipal ; Reine Jauffret,

journaliste ; Sabine Jeanjean ; Salah-Eddine Kadi ; Jean Philippe Katz ;
Edith Kosmanek, Docteur en mathématiques, universitaire

retraitée ; Didier Kryn ; Pierre Lambert, directeur de publication de la
revue Dialogue ; Louis Lanteri ; Renée Laurent ; François Lazar,

revue Dialogue ; Michel Leblanc ; Brigitte Léridon ; Josette Logereau ;
Danièle Mansin ; Mohamed-Anis Mansouri ; Joëlle Masseboeuf ;

Victoria Melgar, traductrice, militante des droits de l'Homme ; Sylvie
Midavaine ; Jannick Moal ; Bertrand Monache ; Moschetti ;

Maïté Nahyr, comédienne ; Bernard Noël ; Michèle Noël ; Maurice Novel ;
Victor Novel ; Arièle Nugon, Marseille ; Jean Pierre Page,

syndicaliste ; Alain Pecel, Conseiller Général PCF de la Loire ; Eric Pelaro
; Michel Pérou, La Roche sur Yon ; Jean Pierre Plisson ;

Brigitte Quenet ; Alain Quiquerel ; Pierre Quirin ; Claudine Redon ; Jean
Rémi ; Nicole Renevier ; Danielle Roy, militante pacifiste

internationaliste ; Pierre Roy, président de la Libre Pensée de la Loire ;
Bernard Ruhaud, syndicaliste, éducateur spécialisé ; Josiane

Ruhaud, syndicaliste, enseignante ; Aimé Savy, Marie adjoint MRC d'Ivry Sur
Seine ; Frédéric Ruyer ; Claudine Savy, chercheur

scientifique, Paris 13 ; Daniel Shapira, Entente Internationale des
Travailleurs ; Marie Claude Schidlower, Commission Femme de

l'Entente Internationale des Travailleurs ; Claude Senes, Maire de Thoard ;
Chantal Sibille ; Geneviève Sifflet ; Marie Stagliano ;

Emmanuèle Stochl, comédienne ; Frédéric Stohl, musicien ; Muriel Sybelin,
libre penseuse ; Yannick Sybelin, syndicaliste ;

Marie Claude Tabar Nouval; Serge Taguet ; Brigitte Talon ; Patrick Valchera
; Henri Van Damme ; Isabelle Vestlé ; Dominique

Vincenot, EIT ; André Warnet ; Claudine Warnet ; Saïd Zulficar.

GRANDE BRETAGNE :

Zarina Bhatia ; Sue Blackwell, Université de Birmingham ; Robert Boyce,
London School of Economics; Mark Burton,

NHS / Manchester Metropolitan Université ; Victoria Brittain, journaliste,
Patricia Bryden, Amnesty, Femmes

en Noir Scottish Friends of Palestine, Palestinain Forum ; Stefan Cholewka,
Journal The Link ; Dr Clark-Lowes, Palestine

Solidarity Campaign ; Christine Coulouris , groupe pour la paix du Mid
Sussex ; Professeur Elizabeth Cowie Université du Kent;

Claudine Dauphin, Professeur honoraire en Archéologie et Théologie,
Université du Pays de Galles, Lampeter ; Jeanette Findlay,

Université de Glasgow, Ecosse ; Jay Ginn, National Pensioners Convention;
Fawcett Society; Women's Budget Group ; Dr. R. Hasan, Maître de

conférence, Université du Sussex ; Bill Holdsworth, Londres ; Jim House,
Université de Leeds ; Selma James, Global Women Strike, UK ; Sami

Joseph ; Dr Michael Loughlin, Manchester Metropolitan Université ; Martha
Mundy, lecteur en Anthropologie, London school of Economics ;

Frans Maathuis, Université de York ; Joanne Massey, professeur en
criminologie, Dept. de Sociologie, MMU ; Dr Ghazala Mir, Chercheur,
Directeur

du réseau Ethnicity Training, Centre de Recherche médecine, Université de
Leeds ; Michal Nahman, PhD Department de Sociologie, Université de

Lancaster ; Bahadur Najak, School of Economics, Finance and Business, Queens
Campus, Université de Durham ; James Nick, Université et College

Union ; Michael Paris, Université du Central Lancashire ; Helen Peters,
London Metropolitan Université ; Nick Phillips ; Dr. N.M. Queen, Université

de Birmingham ; Dr Shupikai Rinomhota, Université de Leeds ; Professeur
Hilary Rose, Londres ; Andrew Sayer, Professeur, departement de

Sociologie, Université du Lancaster ; Dr Janet Shapiro, professeur retraité,
London Metropolitan ; Professeur David Seddon, Université de East

Anglia ; Martha Wörsching, Loughborough Université.

GUINÉE :

Keïta Nagbé Bangoura, Secrétaire Général Confédération des Syndicats Libres
de Guinée (CGSL)*.

HONG-KONG :

Elisabeth Tang, Secrétaire general de la Confédération syndicale de Hong
Kong.

INDE : H. Mahadevan, secrétaire général adjoint AITUC* ; Anita Cheria,
Bangalore ; Daniel Edwin, Bangalore.

ITALIE :

Lorenzo Varaldo ; Guido Montanari.

IRLANDE :

Maggie Ronayne,Global Women's strike ; Ronit Lentin , Trinity College
Dublin. .JORDANIE : Anis F. Kassim,

Law Firm ; Sabri Amarneh, Ingénieur retraité.

LIBAN :

Gassan Ghosn, Président CGT-L* ; Association Aïdoun ; Mahmud Al Ali, Aïdoun
; Rawan Al Bash ; Haider Haidoura, journaliste

et politologue .

MALAISIE:

Dr S. Husin Ali, Malaysian People's Justice Party, Deputy President.

MALI :

Guindo Hamadoun Amion, Secrétaire Général Confédération Syndicale des
Travailleurs du Mali*.

MAROC : Benjalloun Andaloussi, président de l'association Marocaine de
soutien �* la lutte palestinienne (AMSLP) ;

Mostapha Brahma, CDT confédération démocratique du travail* ; Lucile Daumas,
Attac Maroc ; Khadija Rhamiri,

secrétaire générale de l'UMT-Rabat-salé. MAURITANIE : Mohamed El Habib
Ould-Ahmed, Secrétaire Général de

l'Union Nationale des Travailleurs de Mauritanie (UNTM)*. NEPAL : Umesh
Upadhyaya, Affaires internationales,

Fédération des syndicats du Népal (GEFONT).

NORVÈGE :

Moussa El Jeries, LO (Confédération des Syndicats de Norvège)*. OMAN : Saud
Aljabri, Main Committee for Workers*.

PAKISTAN :

Nabeela Ahmed, juriste, WWO ; Fareed Awan, Secrétaire général, APTUF-Sind ;
Zahoor Awan, Secrétaire général All Pakistan

Federation of Labor (APFOL) ; Shehar Bano, Journaliste, Daily Dawn ; Gulzar
Ahmed Chowdhury Secrétaire general APTUF*; Sajida Fareed,

Membre WWO ; Salma Fayyaz, Travailleuses de la santé, Health Workers
Association ; Shaida Hasan, Secrétaire commission Femmes,

APFOL ; Rubina Jamil, Organisation des Femmes travailleuses* ; Dilawar
Khawaja, juriste du movement ouvrier; Ahmed Khurshid, Pakistan

Workers Federation* ; Aima Mahmood , WWO* ; Yasmin Rasool, Association des
enseignants du Punjab* ; Meena Rehman,

Présidente, Women Action Forum ; Huma Saeed, secretaire, APFTU ; Fakhra
Tehreem, Journaliste, Daily Jang ; Fazal-e-Wahid,

Président, syndicat des travailleurs du rail* ; Mohammad Yaqoob, Président,
Fédération des travailleurs du Pakistan. .

PALESTINE - ETAT D'ISRAËL :

Lubna Abdeljawwad (Nazareth) ; Dalia Altouri, Haïfa; Maha Abu Alwan
(Nazareth); Muna Abu Tayye (Nazareth); Eli Aminov,

Revue Dialogue ; Nitza Aminov ; Manal Awwad (Nazareth) ; Marie Badarne, La
voix du travailleur ; Wehbe Badarne, La voix

du Travailleur ; Shiri Barr ; Ronnen Ben-Arieh ; Leïla Britan, Ramallah ;
Areen Bsul (Nazareth) ; Réseau Coalition des

Femmes pour la paix ; Uri Davis, responsable Al-Beit, Association pour la
défense des droits Humains en Israël ; Micky Fisher ; Fatma Ghazzawi

(Nazareth) ; Manar Hassan ; Sana' Ibrahim (Nazareth) ; Ghada Irshed
(Nazareth) ; Yehuda Kupferman, Revue Dialogue ; Rania Madi ; Ameer

Makhoul, Secrétaire general d'Ittijah, Union des Associations Arabes ; Rémy
Mendelzweig, syndicat des enseignants du secondaire* ; Hiyam Misleh

(Nazareth); Norma Musih ; Jibran Nadaf (Nazareth) ; Dorothy Naor ; Sahar
Nijm (Nazareth); Fatma Odeh (Nazareth) ; Maria Ofir ; Ilan Pappe,

historien, Université de Haifa ; Tanya Reinhart, Universitaire, écrivain ;
Hussein Saleh (Nazareth) ; Auni Shihadat (Nazareth) ; Fatma Siadeh

(Nazareth) ; Bilha Sündermann Golan ; Gila Svirsky ; Marselo Svirsky
responsible de l'association "Une voix alternative en Galilée; Lily

Traubmann ; Shlomo Weinberg, syndicat des enseignants du secondaire*;
Mohammad Yakoub, refugié en France,

org. "Mémoires d'Exilés"; Tamar Yaron.

PAYS BAS :

Dr. Willem Meijs (ABVAKABO), Hoorn*.

SÉNÉGAL : Fatoumata Bitou Yafa, Présidente du Comité des Femmes de la CNTS
(Confédération nationale des travailleurs du Sénégal)* ;

Abdoulaye Diouf, Secrétaire Général Adj. CDTS (Confédération démocratique
des travailleurs du Sénégal )* ; Ibrahima Diagne, Secrétaire

Nationale Chargée des relations Internationales - FGTS (Fédération Générale
des travailleurs du Sénégal )* ; Malick Diop, Secrétaire

Général du syndicat autonome des travailleurs de l'hôtellerie de l'UNSAS (
Union Nationale des syndicats Autonomes du

Sénégal)* ; Thierno Mahi Diop, Secrétaire Général du syndicat autonome des
travailleurs du port UNSAS ( Union Nationale des

syndicats Autonomes du Sénégal )* ; Nomath Ndiaye, Secrétaire Général du
Syndicat des travailleurs du Port Autonome de Dakar - UNTS* ;

Babacar Touré, Secrétaire National Chargé de la coopération
décentralisée-FGTS* ; Fatou Ba-Ndiaye, CDSL Coordination démocratique des

Syndicats Libres du Sénégal* ; Anna Zaat.

SOUDAN :

Osman El Hassan, Union des syndicats des Travailleurs du Soudan (USTS)* ;
Souad Farouk, ISTU.

SRI LANKA : Upali Magedaragamage, Réseau asiatique pour la culture et le
développement. SUÈDE : Jan Erik Gustafsson ;

Robert Johanson, LO*.

SUISSE :

Albert Anor , syndicaliste SSP*; Catherine Anor ; Claudie Barriera ; Lydia
Barriera, étudainte ; Gabrielle Barriera ; Danielle

Bleitrach, retraitée ; Jacqueline Berenstein-Wavre ; Luis Blanco, secrétaire
syndical UNIA* ; Professeur Claude Calame ; Charles

Casagrande, syndicaliste ; François Courvoisier, musicien ; Luc Deley,
syndicaliste SSP* ; Paul Germanotta, chercheur et

syndicaliste ; Michel Gindrat ; Simone Girodo, syndicaliste SSP* ; Antonio
Herranz, syndicaliste SSP* ; Sylviane Herranz,

journaliste ; Daniel Hofer, militant socialiste ; Claude Iseli, syndicaliste
SSP* ; Pierrette Iseli,, conseillère municipale PSN* ;

George A. Kouchakji ; Rania Madi ; Georges Meylan, syndicaliste SSP* ;
Véronique Landry, syndicaliste SSP* ; Eric Perruchoud,

syndicaliste SSP* ; André Schüssel, syndicaliste ; Jean Spielmann,
conseiller national PdT* ; Marie-France Spielmann,

cons.municipale PdT* Max Robert, syndicaliste enseignant ; Martine Sümi,
conseillère municipale PSG*.

THAILANDE :

Lee Seihwa, Coordinatrice du Comité des Femmes Asiatiques (CAW).

TUNISIE :

Mohamed Trabelsi, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Générale Tunisienne
du Travail, Chargé des relations

arabes et de l'immigration UGTT* ; Ridha Bouzriba, UGTT* ; Moncef Yacoubi,
UGTT* ; Abdelhamid Achour,

syndicaliste ; Abbdelmagid Sahraoui, USTMA* ; Abdennour Meddahi, UGTT* ; Ali
Ben-Romdhane, UGTT*.

TURQUIE :

Cumhur Altay, President du comité executive de l'IKP (Parti de la fratenité
des travailleurs) �* Istanboul ; Engin Bodur,

Secrétaire general au nom du Comité executive de l'IKP ; Zeki Kilicaslan,
President de l'IKP ; Pinar Erol, Secrétaire du

comité exécutif de l'IKP-Istanboul.

ZIMBABWE :

Wellington Chibebe, Congress of TU (ZCTU)* ; Lovemore Matombo, Congress of
TU (ZCTU)*.

* Signature �* titre personnel.

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Jean Guernon
28 augustus 2006, 23:35
La responsabilité de toutes les victimes civiles dans ces deux conflits ne
repose que sur les épaules des terroristes musulmans qui se servent des
enclaves civiles pour mener leurs opérations militaires, contrairement aux
lois de la guerre de la Convention de Genève,.

Cette lettre comme toutes les manifestations qui accusent l'état Hébreu de
cibler les civils par exprès sont de la propagande merdique. Israël n,a pas
le choix que de se défendre et essaie d'éviter les victimes civiles lors de
ses actions contre les enragés qui n'ont de cesse de l'attaquer et de se
servir des civils comme base d'opération.

Les petites braillardes comme cette Algérienne sont endoctrinées par la
propagande terroriste que les médias tels Al Jazirah ne cessent de répandre
dans leurs pays.

Ça ne change pas la réalité. Israël s'était retiré de gaza et du Liban pour
subir 10 fois plus d'attaques. Il n'y a rien �* faire avec les barbares
musulmans, que de les éliminer quand ils ciblent des civils par exprès
contrairement �* la convention de Genève. Et s'ils se servent de civils ou de
leurs infrastructures pour opérer, illégalement encore une fois, il faut
faire attention �* ces derniers, quand c'est faisable. Mais une chose est
sûre, dans cet état de fait, les victimes civiles des deux côtés du conflit
sont toutes causées par ces chiens de musulmans qui les ciblent et qui s'en
servent pour se cacher sous leurs jupes pour comploter et lancer leurs
attaques.

Tant que la propagande va laver le cerveau des populations comme cette
chialeuse, les empêchant de voir qu'ils soutiennent des ordures seuls
responsables de la mort de leurs enfants, ceux-ci vont continuer �* opérer
impunément.

Et toute votre propagande ne change rien �* cela.

J.

"wen.kroy" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
>
> "Dialogue" lettre N° 3,
>
> mercredi 23 août 2006
>
> Une lettre de Louisa Hanoune, député au parlement algérien.
>
> Cher(s) ami(e)s,
>
> Le 5 août, les agences humanitaires de l'ONU ont dans un communiqué lancé
> un
> cri d'alarme « alors que l'attention de
>
> la communauté internationale est portée sur le Liban, la tragédie �* Gaza
> est
> oubliée (...). Profondément alarmées face �*
>
> l'impact de la poursuite de la violence contre les civils et les
> infrastructures civiles �* Gaza » 175 palestiniens, dont 40
>
> enfants, ont été tués, �* Gaza depuis le 28 juin et le début des opérations
> israéliennes, affirment elles. Le quotidien algérien
>
> El Watan, de son côté titre « Faire oublier le Liban en massacrant le
> palestiniens » et explique « Meurtres en série lors
>
> d'incursions sanglantes dans différents endroits des territoires où lors
> de
> raids aériens "ciblés", destruction des
>
> infrastructures de base, démolition des maisons, embargo féroce,
> arrestations �* tous les niveaux (...) ».
>
> L'arrêt des hostilités entre l'armée israélienne et la résistance
> libanaise
> lundi 14 août 2006, révèle l'ampleur
>
> du désastre au Liban suite aux bombardements israéliens : alors que des
> corps sont encore ensevelis sous les
>
> décombres, près de 1300 morts, destruction quasi-totale des
> infrastructures
> de base dont le coût est évalué
>
> �* près de 6 milliards de dollars. La guerre a coûté 5,7 milliards au
> gouvernement israélien en matériel militaire.
>
> Mais pourquoi ? Alors qu'�* 1'intérieur même d'Israël des voix s'élèvent de
> plus en plus nombreuses pour
>
> condamner la politique guerrière du gouvernement israélien, celui-ci en
> intensifiant les raids sur Gaza et les
>
> assassinats, qui n'ont au demeurant pas cessé durant les 33 jours
> d'agression au Liban, confirme ce que le
>
> responsable de la sécurité intérieure israélienne avait déclaré « nous
> devons poursuivre nos objectifs au
>
> Liban pour que les palestiniens voient ». La liste des victimes s'allonge
> chaque jour.
>
> Plus de 200 personnes, dont de nombreux enfants ont été tuées dans les
> territoires palestiniens occupés,
>
> totalement assiégés par l'armée israélienne, depuis le 28 juin. Les
> correspondants de la presse algérienne
>
> rapportent le 9 août dans le quotidien Liberté « Ne parlons pas des raids
> opérés de façon sporadique
>
> avec leur lot de destruction. Conjugué �* l'asphyxie financière qui étouffe
> le gouvernement, autant
>
> dire donc qu'on est face �* une véritable tragédie qui ne dit pas son nom.
> Si
> l'autre tragédie, celle du Liban,
>
> dans laquelle la communauté internationale semble s'embourber, peut
> expliquer en partie "l'oubli",
>
> l'indifférence manifestée au peuple palestinien participe au mieux d'un
> "crime", au pire, de "non assistance
>
> �* peuple en danger"» et le 14 août, dans le quotidien l'Expression « il
> apparaît clairement, un an après le
>
> départ des forces israéliennes, que l'occupation se poursuit. Israël
> exerce
> toujours un contrôle total sur tous
>
> les aspects de la vie des habitant. Le bouclage de Gaza, mis en place en
> mars, est total. Le seul point de
>
> passage avec l'extérieur, le terminal de Rafah, dans le sud, vers Égypte,
> est fermé de façon quasi permanente.
>
> "Aujourd'hui, la bande de Gaza s'apparente �* une grande prison dont il est
> impossible de sortir ou
>
> de rentrer sans l'autorisation des israéliens" insiste Younès Al Jarou.
> "La
> situation économique
>
> est noire", explique l'avocat, "Les travailleurs palestiniens ne peuvent
> se
> rendre en Israël,
>
> les fonctionnaires ne sont pas payés, alors que le potentiel économique de
> bande de Gaza est
>
> très faible, sans ressources naturelles ni industrie" ». De son coté l'AFP
> décrit la situation �*
>
> Rafah (sud de Gaza) dans ses éditions du 6 août : « Mais ces attaques
> frappent aussi les
>
> infrastructures civiles. Dans les quartiers Est de Rafah, plusieurs
> maisons
> ont été endommagées.
>
> les routes de terre ont été défoncées et un grand nombre de champs ont été
> entièrement dévastés.
>
> (.) Atif-al-Akhraz, 44 ans, contremaître d'une exploitation agricole
> détruite, s'est précipité
>
> hier pour évaluer les dégâts. "Ici, il y avait des serres", affirme-t-il,
> en
> montrant les tiges de fer
>
> tordues et les morceaux de plastique qui émergent de terre retournée par
> les
> bulldozers.
>
> "On cultivait des tomates mais aussi de la vigne et des agrumes", dit-il.
> "Il ne reste plus rien." Selon
>
> lui, les pertes se chiffrent �* plusieurs dizaines de milliers de dollars,
> mais surtout, souligne-t-il, il
>
> faudra des années pour relancer l'exploitation alors que les arbres
> étaient
> vieux de 10 ans (...).
>
> Un peu plus loin, Soubhi-al-Kharaz, 48 ans, tente d'évaluer les dégâts
> infligés �* sa maison.
>
> Les soldats israéliens en ont fait leur quartier général pendant trois
> jours, Ils ont renvoyé ses
>
> enfants, mais lui ont ordonné de rester avec sa femme (...). L'allée qui
> mène �* son domicile
>
> n'est plus qu'une succession de monticules et de crevasses, la clôture a
> été
> arrachée, et un
>
> hangar a été gravement endommagé. "Tout a été détruit par les bulldozers
> et
> les chars", dit-il
>
> (..) Eid Salman Hijazi, 43 ans, est le propriétaire de plusieurs
> exploitations agricoles détruites. II affirme
>
> que c'est la troisième fois que des terres lui appartenant sont la cible
> des
> incursions israéliennes.
>
> "Ici, dit-il, 200 personnes vivaient des revenu de cette terre. Que
> vont-ils
> devenir �* présent ?"
>
> demande-t-il ». Même si les destructions et les assassinat perpétrés par
> l'année israélienne dans
>
> les territoires palestiniens n'ont pas cessé depuis l'an 2000, et qu'il
> est
> désormais avéré que
>
> l'invasion du Liban a été planifiée la même année, le gouvernement
> israélien
> prétend que son
>
> offensive contre Gaza et la guerre qu'il a déclenché contre le Liban
> visent
> �* libérer les soldats
>
> israéliens enlevés.
>
> Du point de vue de la démocratie, des droits humains les plus
> élémentaires,
> les hommes ne sont-il
>
> pas censés être tous égaux indépendamment de la race, la religion et la
> langue ?
>
> Alors en quoi la vie d'un soldat israélien, serait-elle supérieure �* celle
> de plus de 10 000 palestiniens
>
> enlevés, emprisonnés et torturés dont 400 femmes et enfants et 63 élus,
> députés et ministres ?
>
> En quoi la libération de deux soldats israéliens serait elle plus fondée
> que
> celles de plusieurs milliers
>
> de libanais emprisonnés depuis 20 ans ? Et peut elle justifier
> l'assassinat
> de plus de 1200 personnes,
>
> dont 30% sont des enfants, et la destruction totale d'un pays ? Et quel
> est
> donc ce « droit international »
>
> qui légitime une telle discrimination ?
>
> Et n'est ce pas un acte de terrorisme d'Etat de piraterie que d'enlever le
> président du Conseil Législatif, et
>
> le vice-premier ministre palestiniens ? A l'occasion de la 11ème biennale
> des cinémas arabes, des femmes
>
> cinéastes palestiniennes ont présenté des films impressionnants, qui
> relatent toutes les formes de
>
> discrimination exercées par le gouvernement israélien �* l'encontre du
> peuple
> palestinien, tant dans
>
> les villes, sous lois israéliennes, que dans les 12% qui restent encore
> comme territoires pour les
>
> Palestiniens. J'ai écouté leurs témoignages sur la chaîne de télévision
> algérienne ce vendredi 18 août,
>
> les faits réels qu'elles rapportent illustrent un apartheid érigé en
> système.
>
> Intervenant sur la chaîne satellitaire palestinienne vendredi 11 août, un
> prêtre palestinien qui rendait
>
> visite avec une délégation �* un camp d'été pour enfants palestiniens �*
> Beit
> Lahya - où la population
>
> arabe venait de manifester après le massacre d'une famille entière par des
> tirs de canon de la marine
>
> israélienne - expliquait la sauvagerie des violations de l'intégrité des
> femmes et enfants palestiniens
>
> par l'armée israélienne : « lorsqu'une femme est dans sa maison aucun
> étranger n'a le droit d'y
>
> entrer sans son accord. C'est une question d'intégrité. Or regardez cette
> maison. Un char israélien
>
> est entré dedans pour la démolir, alors qu'une femme et ses enfants
> étaient
> �* l'intérieur. Des soldats
>
> sont sortis du char, ils étaient accompagnés de chiens affamés. Alors
> qu'ils
> leur ont donné �* manger
>
> de la viande qu'ils avaient apportée avec eux �* dessein. Les chiens se
> sont
> jetés sur la viande devant
>
> les enfants qui n'avaient pas mangé depuis 6 jours, puis un soldat s'est
> mis
> �* fouiller un enfant de
>
> deux ans comme s'il pouvait porter une kalachnikov. »
>
> Et le même jour, des femmes palestiniennes habitant le nord d'Israël ciblé
> par les missiles de la résistance
>
> libanaise, expliquaient : « nous ne pouvons pas quitter le quartier. Nous
> n'avons
> pas où aller. Il n'y a
>
> même pas d'abris dans nos maisons �* la différence des quartiers juifs où
> les
> familles ont trouvé refuge
>
> dans les abris aménagés ».
>
> La presse internationale a relevé cette discrimination. Tout comme elle a
> relevé que les bombardements
>
> israéliens, après le vote de la résolution 1701 de l'ONU, samedi 12 août,
> ont pris pour cibles des camps
>
> de réfugiés palestiniens parmi les plus peuplés, Nabatiya et Ein Héloué au
> Liban, qui eux aussi ne
>
> pouvaient fuir nulle part de par la précarité de leur statut.
>
> Une femme algérienne, révoltée par les massacres commis par l'armée
> israélienne, m'a écrit en ces
>
> termes : « ça sera avec une grande fierté que je signerai la pétition
> dénonçant la ségrégation et
>
> l'oppression subies par la femme et l'enfant palestinien. De même que je
> me
> mets entièrement �* la
>
> disposition de la manifestation que vous avez appelé. Je n'ai pas
> j'habitude
> d'adhérer aux
>
> manifestations "pour manifester", mais je sais que ce que vous entreprenez
> est authentique et
>
> vrai. Je vous fais confiance et j'espère que vous ferez appel �* ma
> contribution. Je m'appelle
>
> Sedika, je suis diplômée d'une licence en sciences politiques (1977), j'ai
> fait des études supérieures
>
> en relations internationales. Je suis mère de trois enfants (adultes).
> Donc
> je dispose d'assez de
>
> temps pour oeuvrer efficacement �* obliger les tortionnaires �* lever leurs
> mains sur les peuples
>
> du monde. Je maîtrise les deux langues (arabe et français) et je veux
> apporter ma contribution de
>
> quelque manière que ce soit ». Des personnalités algériennes de différents
> horizons, des femmes et
>
> des hommes de culture, (écrivains, poètes, comédiens...) des responsables
> syndicaux, des journalistes.
>
> Des parlementaires, des dirigeants politiques soutiennent la tenue de la
> conférence internationale
>
> en soutien aux femmes palestiniennes �* Alger. Nombreux parmi eux sont
> celles
> et ceux qui ont proposé
>
> leur contribution au succès de la rencontre.
>
> Chers amis,
>
> Comme vous le savez, du 12 juillet au 14 août, la mobilisation pour un
> cessez-le-feu immédiat Liban a été
>
> la priorité pour les femmes et les hommes épris de paix dans le monde,
> dont
> les signataires de l'appel
>
> des femmes palestiniennes. Cela n'a pas pour autant, ralenti notre
> campagne.
> Au contraire, car par
>
> del�* les actions de solidarité immédiate avec le Liban, il n'échappe �*
> personne, qu'�* l'origine des
>
> développements tragiques se trouve le sort qui est fait au peuple
> palestinien. Mais nous devons
>
> accélérer les rythmes durant le mois de septembre d'autant que le mois de
> ramadhan intervenant
>
> dès le 25 ou 26 septembre, l'activité connaîtra un ralentissement pendant
> un
> mois dans tous les pays
>
> musulmans.
>
> Il est donc, �* mon avis, urgent de transmettre �* "Dialogue" les
> propositions
> en matière de
>
> participation et de contribution pour que je puisse les intégrer.
>
> Meilleures salutations :
>
> Louisa Hanoune, le 22 août 2006
>
> Une lettre de Nazareth :
>
> Le 20 août 2006,
>
> LETTRE OUVERTE EN REPONSE A L'INITIATIVE D'UNE CONFERENCE
>
> INTERNATIONALE DE SOLIDARITE AVEC LES FEMMES PALESTINIENNES,
>
> ORGANISEE A ALGER EN NOVEMBRE 2006
>
> Chers amis,
>
> Alors que nous nous sommes engagés dans le recensement et la réponse aux
> besoins de notre communauté,
>
> besoins causés par le conflit violent en Israël, au Liban et �* Gaza, un
> message hautement encourageant nous a
>
> atteint :
>
> Mme Louisa Hanoune, parlementaire élue �* "l'Assemblée Populaire Nationale"
> et secrétaire générale du
>
> Parti des Travailleurs algériens, a suggéré aux autorités de son pays
> d'organiser une conférence en solidarité des
>
> femmes palestiniennes. Elle a ensuite informé la revue Dialogue,
> destinataire de sa lettre, que le président de la
>
> République ainsi que le président de l'Assemblée Nationale avaient
> autorisé
> l'organisation de cette manifestation
>
> �* Alger. La situation des femmes arabes �* Nazareth fait explicitement
> partie
> du programme de la conférence.
>
> - Nous, en tant que femmes, que travailleurs, que palestiniens, qu'arabes,
> en tant qu'êtres humains, soutenons
>
> fermement l'initiative d'une conférence internationale de solidarité avec
> les femmes palestiniennes, et nous
>
> sommes honorés d'être considérés comme partie intégrante de cet effort
> mondial.
>
> - Nous saluons cette initiative parce que nous estimons que notre lutte
> pour
> les droits de l'homme et l'égalité
>
> �* Nazareth est inséparable de celle de nos soeurs et de nos frères de
> Gaza,
> du Liban, et de bien d'autres parties
>
> du monde.
>
> - Nous croyons qu'il est maintenant temps de regrouper les forces
> solidaires
> et de combattre tous ensemble
>
> - arabes et juifs, et tout autre, pour mettre fin �* la pauvreté, �* la
> discrimination, �* l'exploitation, et �* l'occupation,
>
> où qu'elle ait lieu.
>
> -Nous envoyons nos plus sincères salutations �* tous les signataires de cet
> appel, publié en notre nom, ainsi
>
> qu'�* tous ceux qui s'impliquent dans l'organisation de cette conférence,
> en
> particulier aux initiateurs de cette
>
> manifestation.
>
> - Nous discuterons des possibilités de contribution �* cette conférence
> avec
> notre base.
>
> Solidairement, la Commission Femmes de Sawt el-Amel et Wehbe Badarne,
> directeur général.
>
> Ils mènent la campagne des signatures :
>
> D'Espagne :
>
> Madrid, 3 août 2006,
>
> Au Comité de Rédaction de la revue Dialogue
>
> Cher(e)s ami(e)s,
>
> Nous avons fait connaître l'appel des femmes de Nazareth et la lettre de
> Louisa Hanoune proposant une
>
> Conférence �* Alger.
>
> Cette initiative reçoit un bon accueil. Nous comptons déj�* les signatures
> de
> 25 dirigeants et personnalités
>
> et 100 autres signatures de travailleurs et jeunes. Nous traduirons en
> espagnol et publierons toutes
>
> les lettres de préparation de la conférence d'Alger, et �* cet effet nous
> vous demandons de nous les
>
> faire parvenir dans les plus brefs délais au fur et �* mesure de leur
> disponibilité.
>
> Nous envisageons la possibilité de participer avec une délégation �* cette
> Conférence.
>
> Pour cela nous voulons compter sur l'appui des syndicats (UGT et CCOO). En
> septembre nous
>
> aurons une entrevue avec la direction de l'UGT pour traiter de ce sujet.
>
> Nous voulons aussi vous informer que la CCOO de Madrid a envoyé l'appel de
> Nazareth �* ses délégués,
>
> ce qui nous ouvre de grandes perspectives d'extension de la campagne dans
> ce
> syndicat.
>
> Nous voulons également étendre la campagne �* d'autres collectifs, comme
> celui des cinéastes
>
> et intellectuels, qui dans notre pays ont joué un rôle important contre la
> guerre et l'occupation
>
> de l'Irak.
>
> Pour cela la lettre des cinéastes juifs aux cinéastes palestiniens que
> vous
> avez publiée
>
> dans la lettre nº 2 peut être d'une grande utilité. Nous vous tiendrons
> ponctuellement informés
>
> de notre travail et de nos résultats. Confiants que, ensemble, nous serons
> capables de mettre fin
>
> �* cette terrible tuerie et destruction de peuples innocents, recevez un
> chaleureux salut,
>
> Isabel Cerdá, abonnée �* Dialogue, signataire de l'appel.
>
> ************************************************** *****************
>
> DE TURQUIE :
>
> Cher(e)s ami(e)s de Dialogue,
>
> Voici les premières signatures en provenance de Turquie, en soutien �*
> l'appel
> des
>
> femmes de Nazareth (voir liste ci-après). Nous vous en ferons parvenir
> prochainement bien plus,
>
> de syndicats et du mouvement ouvrier, de partis politiques.
>
> Dans un premier temps, nous allons préparer un appel en langue turque pour
> présenter
>
> l'appel et annoncer la conférence d'Alger.
>
> Nous prévoyons de rassembler sur notre appel écrit des signatures de
> dirigeants
>
> syndicaux, en particulier de femmes membres de comités exécutifs mais
> aussi
> de dirigeants
>
> de partis politiques et de mouvements sociaux, etc. En donnant la priorité
> aux femmes.
>
> Nous aimerions d'abord tenir une petite réunion avec ces organisations qui
> ont signé
>
> notre appel et ensuite, nous prévoyons de tenir une réunion plus
> importante
> dans une
>
> salle plus grande �* laquelle nous pourrions également inviter la presse et
> les télévisions.
>
> Nous prévoyons de constituer une délégation avec des personnes d'autres
> organisations
>
> que l'IKP, et nous prévoyons de désigner les noms après l'organisation de
> cette réunion.
>
> Nous aimerions faire une présentation du problème de la Palestine aussi
> détaillée que possible.
>
> Il nous serait très utile que vous nous envoyiez du matériel visuel, des
> photos...
>
> Nous pourrions préparer quelque chose avec des diapositives où nous
> pourrions montrer les
>
> cartes de la Palestine historique, la situation actuelle.
>
> C'est pourquoi des éléments visuels et des références précises nous
> aideraient �* la fois �* mieux
>
> comprendre et �* mieux présenter la situation de la Palestine aujourd'hui.
> Nous-vous tiendrons
>
> informés régulièrement des résultats de la campagne.
>
> Fraternelles salutations,
>
> Pinar Ekol, pour le Parti de la fraternité des travailleurs (IKP).
>
> ************************************************** **********************
>
> Article de Mohamed El-Ouahed, publié dans La Nouvelle République
> (Algérie),
>
> le 08 août 2006 :
>
> Conférence internationale de solidarité avec les femmes palestiniennes :
>
> Nous venons d'apprendre que Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT, va
> organiser, dans la première quinzaine du
>
> mois de novembre, une conférence internationale de solidarité avec les
> femmes palestiniennes. En effet, la revue Dialogue est une
>
> revue de discussion entre militants arabes et juifs de Palestine, pour le
> droit au retour et pour un seul Etat sur tout le territoire de la
> Palestine
>
> historique. Son objectif est, par la libre discussion, de faire prévaloir
> les intérêts démocratiques fondamentaux de tous les peuples qui
>
> vivent sur le territoire de la Palestine historique. La revue Dialogue a
> reçu une lettre émanent de Louisa Hanoune dans laquelle elle
>
> explique que le sort des femmes travailleuses palestiniennes de Nazareth,
> par la cruauté qui leur est fait, se suffit �* lui-même.
>
> En effet, dans une déclaration, les femmes palestiniennes de Nazareth font
> état d'une véritable ségrégation de l'Etat sioniste.
>
> Ainsi, on peu lire dans cette déclaration que «depuis le début août 2005,
> l'organisation
> de défense des droits des travailleurs arabes �*
>
> l'intérieur de l'Etat d'Israël, Sawt El-Amel (La voix du travailleur),
> dont
> le siège est �* Nazareth, a pris l'initiative d'une campagne publique
>
> et de manifestations contre la mise en oeuvre du plan du gouvernement
> israélien appelé Wisconsin.
>
> Le plan Wisconsin ne crée aucun nouvel emploi. Il vise �* exclure des
> milliers de chômeurs de leurs droits aux allocations en les
>
> plaçant dans n'importe quel poste de travail. A Nazareth, il affecte en
> majorité les femmes palestiniennes. En 2002, elles
>
> représentaient plus de 15% de la population féminine en âge de travailler
> dans l'Etat d'Israël mais n'occupaient que 5% des emplois
>
> féminins. Elles constituent la partie la plus exploitée et opprimée des
> travailleurs victimes du plan Wisconsin.
>
> Ainsi, la femme arabe est la principale victime de l'application du plan
> Wisconsin, parmi les chômeurs.
>
> Comment est-il possible de traiter des femmes de la sorte ?
>
> Le 6 janvier dernier, les policiers israéliens ont utilisé la violence
> contre la manifestation appelée par l'organisation Sawt El-Amel.
>
> Elle se déroulait pourtant dans le calme. Un manifestant, qui est
> intervenu
> pour empêcher qu'une femme soit battue par les policiers,
>
> a été lui-même roué de coups et arrêté par la police. La compagnie privée
> Agam Mehalev, chargée d'appliquer le plan Wisconsin �*
>
> Nazareth, a annulé le droit aux allocations de chacune des femmes
> chômeuses
> qui avait participé �* cette manifestation.
>
> Non seulement elle exclut les femmes chômeuses de tout emploi, mais elle
> use
> de manoeuvres et de subterfuges pour
>
> supprimer leurs allocations de survie. Elle les plonge ainsi dans la
> misère
> la plus extrême.
>
> Par del�* les opinions de chacun, qui peut accepter des traitements aussi
> inhumains ?
>
> Le 8 mars 2006, plus de 300 femmes palestiniennes manifestaient �* l'appel
> de
> l'organisation Sawt El-Amel �* l'occasion de la journée
>
> internationale des femmes. Elles agitaient des drapeaux noirs et des
> portraits de Kheir Khaleïli, un jeune ouvrier palestinien,
>
> première victime du plan Wisconsin, décédé le 3 mars. Kheir Khaleïli
> souffrait de graves problèmes de santé.
>
> Les travailleurs étaient confinés, huit heures durant, dans des conditions
> insupportables.
>
> Il avait supplié la compagnie Agam Mehalev de le laisser partir. En vain.
> Peu après, en revenant chez lui,
>
> il s'est effondré, mort.
>
> ************************************************** ***************
>
> UN TERRIFIANT CONSTAT :
>
> L'escalade des attaques des forces d'occupations israéliennes (FOI) sur
> les
> civils
>
> palestiniens et les biens dans les territoires palestiniens occupés (TPO).
>
> - 6 palestiniens, dont deux enfants et un vieil homme, ont été tués par
> les
> FOI.
>
> - Un civil palestinien de Jénine est mort d'une blessure reçue
> précédemment.
>
> - 36 civils palestiniens, dont 4 enfants et 3 femmes, ont été blessés par
> des coups
>
> de feu des FOI.
>
> - Les FOI ont lancé une série d'attaque aérienne sur des maisons dans la
> bande
>
> de Gaza.
>
> - 6 maisons ont été détruites, et une 7ième brûlée dans la bande de Gaza.
>
> - Les FOI ont mené 40 incursions dans les communautés palestiniennes de la
>
> Cisjordanie, et 4 autres dans la bande de Gaza.
>
> - Les FOI ont arrêté 48 civils palestiniens en Cisjordanie, et 5 autres
> dans
> la bande
>
> de Gaza.
>
> - 4 maisons ont été démolies en Cisjordanie.
>
> - Les FOI ont attaqué 3 hôpitaux �* Hébron.
>
> Les FOI ont continué �* imposer un siège complet des TPO ; les FOI ont
> imposé
> un
>
> siège renforcé sur la bande de Gaza et il y a eu de nouvelles ruptures de
> stock d'aliments
>
> et de carburant ; les FOI positionnés �* divers point de contrôle en
> Cisjordanie ont arrêté
>
> 8 civils palestiniens, dont deux filles.
>
> Les FOI ont continué �* construire le Mur d'Annexion en Cisjordanie ; ils
> ont
> rasé de
>
> nouvelles zones de terres agricoles dans le Qalqilya et ont utilisé la
> force
> pour disperser
>
> une manifestation pacifique contre la construction du mur dans le village
> de
> Bal A'Ein, �*
>
> l'ouest de Ramallah.
>
> Les colons israéliens ont poursuivi leurs attaques contre les civils
> palestiniens et
>
> les biens dans les TPO ; les colons ont célébré un mariage juif �*
> l'intérieur de la
>
> Mosquée Ibrahimi d'Hébron.
>
> Comme la communauté internationale est restée silencieuse, les FOI ont
> poursuivi
>
> l'offensive de grande échelle contre le peuple palestinien,
> particulièrement
> dans
>
> la bande de Gaza. Pendant la période considérée, les FOI ont poursuivi
> leur
>
> opération Criquet : ils entrent dans une certaine région, y commettent des
> crimes,
>
> puis se redéploient hors de la région. Ensuite, ils pénètrent dans une
> autre
> région
>
> pour agir de même. Des centaines de familles palestiniennes ont été
> obligées
>
> de quitter leurs maisons �* cause du pilonnage des FOI.
>
> Le PCHR, surveillant avec la plus grande attention les développements de
> cette
>
> offensive, en appelle �* la communauté internationale, en particulier aux
> signataires
>
> des Conventions de Genève de 1949 et aux Nations Unis, pour qu'ils
> interviennent
>
> pour obliger les FOI �* arrêter cette offensive et laisser le flux de
> nourriture,
>
> de fournitures médicales et de carburants entrer dans la bande de Gaza.
>
> Les crimes commis par les FOI depuis le 25 juin 2006 :
>
> - 207 palestiniens, principalement des civils, dont 46 enfants et 10
> femmes,
> ont
>
> été tués par les FOI.
>
> - Au moins 815 civils palestiniens, dont 232 enfants et 27 femmes, ont été
> blessés par
>
> des coups de feu des FOI.
>
> - Au moins 217 missiles air-sol et des centaines de bombes ont été tirés
> sur
> des
>
> cibles civiles et militaires palestiniennes dans la bande de Gaza.
>
> - Des bâtiments du Ministère Palestinien de l'Intérieur, du Ministère des
> Affaires
>
> Etrangères, et du Ministère de l'Economie Nationale, le bureau du Premier
> Ministre
>
> Palestinien et de nombreuses institutions d'enseignement ont été
> détruites.
>
> - L'usine de production d'électricité qui fournit 45% de l'électricité de
> la
> bande de Gaza,
>
> a été détruite et les réseaux d'électricité ainsi que les transformateurs
> ont été attaqués
>
> �* plusieurs reprises.
>
> - 6 ponts entre Gaza et le centre de la bande de Gaza et de nombreuses
> routes
>
> ont été détruites.
>
> - Des centaines de donums de terres agricoles et des douzaines de maisons
>
> ont été détruites.
>
> - Des centaines de civils palestiniens, dont 8 ministres et 27 membres du
>
> Conseil Législatif Palestinien (CLP), dont son porte-parole et son vice
> porte-parole
>
> ont été arrêtés.
>
> Le Ministre des Affaires des Prisonniers, le Ministre du Travail et le
> vice-porte-parole
>
> du CLP ont été libérés.
>
> - Le complexe gouvernemental palestinien de Nablus a été détruite.
>
> - De nombreuses familles de Rafah, de Beit Hanoun et de Beit Lahya ont été
>
> obligées de quitter leurs maisons.
>
> - Les services de renseignement des FOI ont téléphoné �* des civils
> palestiniens
>
> de la bande de Gaza pour leur demander d'évacuer leurs maisons qui
> allaient
> être
>
> attaquées.
>
> - 25 maisons appartenant �* des militants de factions palestiniennes ont
> été
> détruites
>
> par des avions de combat des FOI.
>
> - Les FOI ont imposé un siège strict sur les TPO et ont isolé la bande de
> Gaza du
>
> monde extérieur.
>
> Rapport hebdomadaire sur les violations des droits
>
> de l'homme du Centre Palestinien pour les Droits de
>
> l'Homme (PCHR), 17 août 2006.
>
> ----------------------------------------------------------------------
>
> La guerre israélienne au Liban et en Palestine
>
> par Salah Salah *, le 16 / 08 /2006 :
>
> Liban
>
> Les parties en présence maintiennent encore résolument l'arrêt des
> hostilités en cette seconde journée, cependant cette paix
>
> vigilante est accompagnée du retour des réfugiés au sud et dans la
> banlieue
> sud avec des avertissements faits aux réfugiés de
>
> tous côtés via les médias de ne pas approcher les cadavres inconnus ou les
> bombes qui n'ont pas explosé, lesquelles ont causé
>
> la mort et des blessures �* de nombreuses personnes, bien après le
> cessez-le-feu.
>
> Les militaires et dirigeants politiques israéliens ont déclaré le siège
> continu du Liban, par les voies aériennes et maritimes,
>
> tandis que le gouvernement libanais essaie continuellement de faire lever
> ce
> siège par des communications intensives avec les
>
> 5 pays permanents du Conseil de Sécurité.
>
> Dans un des rapports américains qui ont filtré �* un organe de la presse,
> on
> peut lire les points suivants :
>
> . Le nombre de soldats israéliens morts au combat, du 12 juillet au 7
> août,
> atteint le nombre de 343, tandis que le nombre
>
> de blessés est de 617 personnes.
>
> . 48 tanks Merkava furent détruits par la résistance, ainsi que 96
> véhicules
> ( des jeeps, des camions et des bulldozers)
>
> . Le rapport affirme qu'Israël a utilisé �* peu près 90 % de ses munitions
> au
> cours de la guerre du Liban ce qui a incité ses
>
> dirigeants �* rouvrir les dépôts de réserve de munitions qui furent fermés
> il
> y a dix ans.
>
> Le nombre réel des soldats israéliens qui ont combattu la résistance au
> Liban a atteint les 40 000 soldats. On peut aussi noter
>
> que des pilotes américains ont participé dans les attaques aériennes au
> Liban.
>
> Un autre rapport, présenté par le journal israélien Yediot Ahronot, révèle
> que le coût de la guerre israélienne au Liban est le
>
> suivant :
>
> . 156 Israéliens tués
>
> . 25 milliards de Shekel dépensés
>
> . 33 jours de combat
>
> . 3 970 roquettes
>
> . participation de 30 000 soldats israéliens �* la guerre
>
> . 15 000 attaques aériennes
>
> . 800 heures de navigation
>
> . 7 000 cibles attaquées
>
> . 126 plates-formes détruites
>
> . 4 hélicoptères et avions de combat détruits, 1 hélicoptère touché par la
> résistance.
>
> Le Premier Ministre a admis en session que la résistance avait porté des
> coups durs �* Israël et que les adversaires de droite ( ?)
>
> en avaient profité.
>
> La Palestine :
>
> Trois Palestiniens furent tués et trois autres blessés dans un
> bombardement
> de leur maison �* Beit Hanoun dans la Bande de
>
> Gaza. De plus, les soldats israéliens ont arrêté 5 Palestiniens �* Ramallah
> et Hébron en Cisjordanie. A cause des attaques aériennes
>
> continuelles sur la Bande de Gaza, 15 Palestiniens furent blessés ; une
> maison fut prise pour cible et complètement
>
> détruite �* Jabalia, tandis que deux autres immeubles furent détruits dans
> un
> camp de réfugiés en Cisjordanie.
>
> Lundi, Israël a relâché le Ministre du Travail palestinien, Mr Mohammed al
> Barghouty qui, �* son tour, a transmis le message
>
> d'un officiel israélien, �* savoir que le reste des élus palestiniens ( les
> ministres et les membres du Conseil Législatif, y compris
>
> le Président du Conseil Législatif) resteront en prison jusqu'�* la
> libération du soldat israélien qui fut fait prisonnier le 25 Juin.
>
> Le Premier Ministre palestinien, M. Ismael Haniyeh a prévenu qu'une
> attaque
> israélienne sur la Bande de Gaza était possible,
>
> pour qu'Israël parvienne �* donner l'illusion de la victoire, quoique sur
> des
> gens désarmés, après leur échec au Liban.
>
> Des hommes armés non-identifiés ont enlevé deux journalistes étrangers qui
> travaillent pour la Fox Agency, ce qui a été
>
> condamné par les officiels palestiniens : ce n'est pas la tendance
> politique
> palestinienne.
>
> IL EST VRAI QUE LA GUERRE EST FINIE AU LIBAN MAIS ELLE CONTINUE DE
>
> MANIERE ATROCE EN PALESTINE.
>
> * Réfugié palestinien au Liban, chassé en 1948, �* l'âge de 12 ans de
> Tibériade. - Membre du Front
>
> populaire de Libération de la Palestine, représentant des réfugiés
> palestiniens au Conseil National
>
> Palestinien. - Directeur de Ajial, association palestinienne qui travaille
> avec les jeunes réfugiés
>
> palestiniens dans les camps du Liban.
>
> Première liste de signataires et soutiens :
>
> AFRIQUE DU SUD :
>
> Sadie Forman, Fort Hare Women.
>
> ALGÉRIE :
>
> Mohamed Abdoun, journaliste ; Hamza Abdelkader, palestinien ; Mohamed
> Abouafif, palestinien ; Mossabe Abouassi, palestinien ;
>
> Bachir Aboubaker, réprésentant du Front Palestinien de Libération ;
> Mamdouh
> Aboudika, palestinien ; Abdelkarim Aboudraz, palestinien ;
>
> Ahmed Abougheliouze, palestinien ; Mohamed Abouharnate, palestinien ; Ali
> Abouhilale, palestinien ; Charif Abouhira, palestinien ;
>
> Chaieb Aboukhatir, palestinien ; Wahnia Abounasr, palestinienne ; Nacéra
> Abraze, poète ; Mohamed Achraf, palestinien ;
>
> Mohamed Adel, palestinien ; Djouher Akrour, moudjahida, ancienne condamnée
> �*
> mort, membre fondatrice de SOS femmes en
>
> détresse ; Mohamed Ali Hadj, palestinien; Ihab Alouane, palestinien ;
> Nader
> Alqaissi, palestinien ; Karim Aoudia, journaliste ;
>
> Abderahmane Arfoutni, député du Parti des travailleurs ; Mohamed Assi,
> palestinien ; Amdjed Ayah, palestinien ; Wassila Benbalil,
>
> palestinienne ; Rahima Benbalil, palestinienne ; Salah Bey, journaliste ;
> Bilal Ben Salem, photographe ; Ibrahim Betka ;
>
> Djillali Biskri, écrivain ; Hamid Boubeghla ; Sarah Boudjemaa,
> palestinienne
> ; Fatiha Bouhired, moudjahida ; Nacera Boulahouache,
>
> écrivain et journaliste ; Siham Bounabi, journaliste ; Soumaya Bouzidani,
> palestinienne ; Imane Chaat, palestinienne ; Rami
>
> Chahine, palestinien ; Rami Chatoura ; Ahmad Chritah, palestinien ; Tahar
> Dahmani, journaliste ; Rabia Djelti, poète ;
>
> Zineb Djoudi, palestinienne ; Djelloul Djoudi, député du Parti des
> travailleurs ; Halam Damdoum, palestinienne ; Nadia Dridi,
>
> présidente de l'association nationale pour la protection et la promotion
> de
> la femme ; Hacène Elabadla, palestinien ; Fadi Elbayoumi, palestinien ;
>
> Ismail Eladjouri, palestinien ; Nadi Elbayoumi, palestinien ; watan
> Elghoul,
> palestinien ; Nahid Elkadra Chaat, palestinien ; Mohamed Elilmi
>
> Essaihi, écrivain ; Samir Elmnaama, palestinien ; Amine Ezzaoui, directeur
> de la bibliothèque nationale d'El Hama, écrivain ; Ahmed Elmadloume,
>
> palestinien ; Mohamed Elmili, écrivain ; Karam Ezowidi, palestinien ; Amna
> Ezzahar, palestinienne ; Maha Ezzahar, palestinienne ; Raoula Ezzahar,
>
> palestinienne ; Rasmia Ezzahar, palestinienne ; Saad Ezzahar, palestinien
> ;
> Sahar Ezzahar, palestinien ; Walla Ezzahar, palestinienne ; Charifa Fayçal
>
> Abouzmirou, palestinienne ; Madjed Fodil, palestinien ; Malika Gazouli,
> universtaire ; Nourreddine Gazouli, universitaire ; Amel Gouraya,
>
> journaliste ; Mohamed Haboub ; Nawel Hadjermi, photographe ; Mohamed
> Hamiche, acteur ; Louiza Hanoune, députée du Parti des travailleurs ;
>
> Saida Ben Hbiles, ancienne Ministre ; Mohamed Hocène, palestinien ;
> Sabrina
> Hdioua, journaliste ; Rabah Houadef, journaliste ; Mohamed Houssam,
>
> palestinien ; Kaci Tizi Ouzou, comédien ; Ahmed Karboune, palestinien ;
> Ismail Kasdi ; Yacine Khader, palestinien ; Zoubida Kherbache, députée du
>
> Parti des travailleurs ; Kamila Kherich, étudiante ; Ghania Larbi Cherif,
> enseignante ; Karim Lapchri, député du Parti des travailleurs ; Faiza
> Malek,
>
> Moudjahida ; Kaced Mekbel, fonctionnaire �* l'ambassade de Palestine ;
> Mehlab
> Lamia ; Mohamed Mezaher, palestinien ; Selmane Miloud ; Nawel
>
> Mokhtar, enseignante ; Fazia Mokrani, parti des travailleurs ; Mohamed
> Moslim, palestinien ; Abdelhalim Mouhou, journaliste ; Tatiana Nidale,
>
> palestinienne ; Chahada Ouail, palestinienne ; Rabiha Oughlas, enseignante
> ;
> Abdelhamid Rabia, acteur, vice président de l'APC Alger centre ; Akila
>
> Rabhi, journaliste ; Ihab Saïd, palestinien ; Mohamed Salah, représentant
> du
> FPLP en Algérie ; Hala Salah, palestinien ; Radouane Salah,
>
> palestinienne ; Saadia Salah, palestinienne ; Abid Salama, palestinien ;
> Naamane Ben Saraa ; Lynda Selam, comédienne ; Abdelmadjid Sidi Saïd,
>
> Secrétaire Général de l'UGTA* ainsi que la totalité des membres de la
> commission exécutive de l'UGTA ; Houria Sinya, photographe ; Abdelmadjid
>
> Ben Soltane, avocat et moudjahid ; Mohamed Tahayna, palestinien ;
> Nourredine
> Taïbi, homme de lettres ; Sakina Tebhi, enseignante ; Fatma Smati,
>
> membre de l'Assemblée de la Wilaya d'Alger ; Rachid Zarat, député du Parti
> des travailleurs ; Djamel Zerout,journaliste ; Ounissi Zhor, ancienne
>
> Ministre, députée et écrivain ; Abdelouahid Zighem, écrivain.
>
> ALLEMAGNE :
>
> Henning Frey ; Claudia Karas, Aktionsbündnis für einen gerechten Frieden
> in
> Palästina ; H.W. Schuster.
>
> AUSTRALIE :
>
> Debbie Brennan, Radical Women ; Ian Bray, Syndicat Maritime d'Australie*.
>
> BANGLADESH :
>
> Tafazzul Hussein, Président de la Fédération Nationale des travailleurs du
> Bangladesh ; Mashuda Khatum Shefali, Alliance des
>
> travailleurs du vetêment (BGWPA).
>
> BARHEIN :
>
> Jamal Ateeq, Fédération Générale des Syndicats de Barhein* ; Abdun,
> syndicaliste.
>
> BELGIQUE :
>
> Roberto Giarrocco ; Joëlle Van Hoeck, syndicaliste ; Micheline Wattiez ;
> Paul Wattiez, syndicaliste; Yves Eeckman,
>
> syndicaliste FGTB, Philippe De Menten, syndicaliste, CGSP-enseignant
> (FGTB)
> ; Eric Bayet, syndicaliste ; Nadine Negleman,
>
> syndicaliste, CGSP-enseignant (FGTB) ; Jacques-Ivan Duchesne, musicien ;
> Olivier Horman, syndicaliste FGTB Services publics ;
>
> Anne Vanesse, mandataire municipale de Saint Gilles, militante socialiste.
>
> BELIZE :
>
> Omitade Adediran.
>
> BÉNIN :
>
> Gaston Azoua, Secrétaire général de la CSTB* ; Paul Essé Iko, CSTB* ;
> Constant Sinzogan, CSTB*. BRÉSIL : Gilda Almeida -
>
> CUT São Paulo* ; Maria Ednalva Bezerra - CUT, Secrétaire nationale de la
> commission Femmes* ; Misa Boito, membre de la direction du PT
>
> dansl'Etat de Sao Paulo ; Tamam Daaroul, TV Siria Internacional ; Maria
> Goretti L. Cabral (SINTTEL/PB) ; Hiobrahim A. Hammoud, membre de la
>
> Jeunesse Arabe ; Chico Leite, Député du district de Brazilia ; Luzenira
> Linhares (SINTTEL/PB) ; Wallace Pereira (SINTTEL/PB) ; Julio Turra,
>
> Directeur exécutif de la CUT* ; D�*lson Peixoto - Conseiller municipal de
> Recife et President du PT dans l'Etat de Pernambouc; Paulo Valença - Maire
>
> adjoint d'Olinda, membre de l'Exécutif du PT-PE ; José Múcio Magalhães -
> Secrétaire du Cabinet du Maire de Recife, membre de l'Exécutif de PT-PE ;
>
> Conceição Nascimento, membre de l'executif du PT, Secrétaire Nationale des
> Femmes ; Anne Paula C. de Pontes, Exécutif de l'Etat de Pernambouc ;
>
> Soraya Smaïli, présidente de l'Institut de la Culture Arabe.
>
> BURKINA-FASO : Tolé Sagnon, Secrétaire général de la CGT-B*.
>
> BURUNDI : Mathias Ruvari, Secrétaire général de la Confédération Libre du
> Burundi* ; Paul Nkunzimana, pour le
>
> Syndicat Libre des Travailleurs de l'Université du Burundi (STUB).
>
> CAMEROUN :
>
> Louis Sombes, Secrétaire exécutif CSAC*.
>
> CANADA :
>
> B. Ross Ashley ; Mira Khazzam, PAJU (Palestinian and jewish unity) ;
> Smadar
> Carmon, Coalition for Just peace in Palestine.
>
> CISA (Conf. Internationale des Syndicats Arabes) : Hacène Djeman,
> Secrétaire
> Général*.
>
> CÔTE D'IVOIRE :
>
> N'guessan Nyamien Messou, Secrétaire Général de la fédération des
> Syndicats
> Autonomes de Côte d'Ivoire - FESAC* ;
>
> Maurice Zehia, AGPE* ; François Yao, Secrétaire général du SYNASEG*. CUBA
> :
> Oviedo de la Torre, CTC (Centrale du travail de Cuba)* ; Celia
>
> Hart Santamaria, écrivain. EGYPTE : Mostafa Rostom, ETUF (Fédération des
> syndicats égyptiens)*.
>
> ESPAGNE :
>
> 150 signatures annoncées, parmi lesquelles Mercè Adrové Ariño ; Rafael
> Aguilera, UGT-FSP, comité fédéral* ;
>
> José Almeida, UGT ; Jesus Béjjar, CCOO, secrétaire �* l'action syndicale,
> région Sud* ; Manuel Bonmatti, UGT*;
>
> Araceli Beltrán Cuesta ; Angel Campabadal, UGT-FES, commission exécutive
> fédérale* ; Isabel Cedar Martin ;
>
> Francisco Cepeda, CCOO Madrid, secteur Dessin* ; Carmen Chacon Roldar,
> CCOO,
> commission CE confédérale ; Daniel
>
> Cuadrado, CCOO* ; Oriol Fort i Marrugat, conseiller municipal de Mollet
> del
> Vallès ; Pablo Garcia-Cano, CCOO John Deere* ;
>
> Javier Gimeno Perelló, Président de la bibliothèque pour la paix (Madrid)
> ;
> Luis Gonzales, CCOO secteur Santé, secrétaire général de
>
> la province de Seville* ; Mikel Gonzalez, IO, Bilbao ; Lidia Just i Calpe,
> UGT Barcelona* ; José Luis Martinez, CCOO ; Blas Ortega,
>
> UGT ; José Antonio Perez, écrivain ; José Sanchez, UGT, Mairie de Léganes*
> ;
> José Luis Sanchez, CCOO, Métro* ; Roberto
>
> Tornamira, UGT-FES, secrétaire �* l'organisation, CE de Madrid* ;
>
> ETATS-UNIS :
>
> Jess Ghannam, pour l'Association Al Awda ; Zehra Arat, Professeur au
> Purchase College ; Alan Benjamin, Editeyr du journal The
>
> Organizer ; Margaret Breslau, Coalition for Justice; Jack Chernos,
> militant
> pour les droits ouvriers, San Francisco, Californie ; Larry Duncan,
>
> Coproducteur, The Labor Beat cable-tv series*; Greg Durka, militant pour
> les
> droits ouvriers, West Keansburg, New Jersey ; Pat Gowens, Welfare
>
> Warriors, Milwaukee, Wisconsin; Norma JF Harrisson, Membre, du comité
> central du Parti Vert, Berkeley, California* ; Amber Heintzberger ; Laura
>
> Herrera, Co-coordinatrice de la Mobilisation pour la liberation de Mumia
> Abu-Jamal, San Francisco, Californie* ; Krista Husar, Revue Dialogue ;
>
> Phoebe Jones-Schellenberg, Global Women's strike ; Basem Khader, militant
> des droits de l'homme ; Nada Khader, directeur exécutif, WESPAC
>
> Foundation, White Plains, New York ; Megan McNamara Abed ; Jamillah Mufdi
> ;
> Henry Noble, Freedom Socialist Party, Secrétaire National, U.S.
>
> Section ; Millie Phillips, Comité National de Socialist Organizer, San
> Francisco, California ; Margaret Prescod, Les Femmes de Couleur, dans
> Global
>
> Women's Strike ; Mazin Qumsiyeh, PhD ; Radical Women, San Francisco; Marc
> Rich, syndicat des enseignants, Los Angeles ; Francesca Rosa,
>
> Membre, SEIU Local 535, et membre, du comité des travailleurs pour la paix
> et la justice, San Francisco, Californie* ; Eddie Rosario, Coordinateur
>
> adjoint de l'OWC ; Rodger Scott , Past President, AFT Local 2121, San
> Francisco, Californie*; Evelyn C. Sibilio, syndicaliste enseignant
> retraitée,
>
> Philadelphia, Pennsylvanie ; Anne Slater, Organizer Radical Women, U.S.
> Section ; Timothy Stinson, Militant pour les droits ouvriers, Albany,
>
> Oregon ; James E. Vann, fondateur Oakland Tenants Union, Oakland,
> Californie*. FINLANDE : Kamal Aranki.
>
> FRANCE :
>
> Plus de 1000 signatures annoncées, parmi lesquelles, Mohamed Abbes ;
> Mickaël
> Anders, journaliste ; Danièle Antoine ; Luc Arrignon ;
>
> Sam Ayache ; Jean Louis Bainvelzweig ; Michel Barbe, Libre penseur ; Jean
> Pierre Barrois, revue Dialogue ; Louis Benicheti ;
>
> Emmanuelle Bidaux ; Isabelle Boudid ; Jean Marc Bourcier ; Martine Boussel
> ;
> Samira Brahmi ; Farid Brikci ; Françoise Brunet ;
>
> Monique Cadot ; Yveline Calais ; Eric Cavaterra ; Marie-Claude Collay,
> enseignante, syndicaliste FSU (Loire) ; Anne Chanrond ;
>
> Jean Chanrond ; Isabella Checcaglini ; Gustavo Conza ; Simon Costa, Libre
> penseur ; Cristel Coste, syndicaliste ; François Cousyn ;
>
> Maïté Dayan ; Elisabeth Delpuech ; Claudine Denier ; Nadia Djaïl ;
> François
> Dominique, écrivain ; Katia Dorey ; Yves Dorey ;
>
> Olivier Doriane, Entente Internationale des Travailleurs ; Alice Dumourier
> ;
> Jeanne Ferandin ; Jean Pierre Fitoussi ;
>
> Jeanne Florence ; Nicole Florence-Ponturo ; Christian Florentin ;
> Dominique
> François ; Michèle Fuma ; Pierre Garino ;
>
> André Garry ; Daniel Gautier ; Dominique Gheno ; Daniel Gluckstein,
> Coordinateur de l'Entente Internationale des Travailleurs ;
>
> André Grasset ; Groppi Claude, syndicaliste ; Micheline Guillemette ;
> Franck
> Guilbert, comédien ; Hassani Mourad, cheminot ;
>
> Samy Hayon, revue Dialogue ; Daniel Hermange ; Gérard Iltis ; Jean-Gabriel
> Jacquemond, Conseiller municipal ; Reine Jauffret,
>
> journaliste ; Sabine Jeanjean ; Salah-Eddine Kadi ; Jean Philippe Katz ;
> Edith Kosmanek, Docteur en mathématiques, universitaire
>
> retraitée ; Didier Kryn ; Pierre Lambert, directeur de publication de la
> revue Dialogue ; Louis Lanteri ; Renée Laurent ; François Lazar,
>
> revue Dialogue ; Michel Leblanc ; Brigitte Léridon ; Josette Logereau ;
> Danièle Mansin ; Mohamed-Anis Mansouri ; Joëlle Masseboeuf ;
>
> Victoria Melgar, traductrice, militante des droits de l'Homme ; Sylvie
> Midavaine ; Jannick Moal ; Bertrand Monache ; Moschetti ;
>
> Maïté Nahyr, comédienne ; Bernard Noël ; Michèle Noël ; Maurice Novel ;
> Victor Novel ; Arièle Nugon, Marseille ; Jean Pierre Page,
>
> syndicaliste ; Alain Pecel, Conseiller Général PCF de la Loire ; Eric
> Pelaro
> ; Michel Pérou, La Roche sur Yon ; Jean Pierre Plisson ;
>
> Brigitte Quenet ; Alain Quiquerel ; Pierre Quirin ; Claudine Redon ; Jean
> Rémi ; Nicole Renevier ; Danielle Roy, militante pacifiste
>
> internationaliste ; Pierre Roy, président de la Libre Pensée de la Loire ;
> Bernard Ruhaud, syndicaliste, éducateur spécialisé ; Josiane
>
> Ruhaud, syndicaliste, enseignante ; Aimé Savy, Marie adjoint MRC d'Ivry
> Sur
> Seine ; Frédéric Ruyer ; Claudine Savy, chercheur
>
> scientifique, Paris 13 ; Daniel Shapira, Entente Internationale des
> Travailleurs ; Marie Claude Schidlower, Commission Femme de
>
> l'Entente Internationale des Travailleurs ; Claude Senes, Maire de Thoard
> ;
> Chantal Sibille ; Geneviève Sifflet ; Marie Stagliano ;
>
> Emmanuèle Stochl, comédienne ; Frédéric Stohl, musicien ; Muriel Sybelin,
> libre penseuse ; Yannick Sybelin, syndicaliste ;
>
> Marie Claude Tabar Nouval; Serge Taguet ; Brigitte Talon ; Patrick
> Valchera
> ; Henri Van Damme ; Isabelle Vestlé ; Dominique
>
> Vincenot, EIT ; André Warnet ; Claudine Warnet ; Saïd Zulficar.
>
> GRANDE BRETAGNE :
>
> Zarina Bhatia ; Sue Blackwell, Université de Birmingham ; Robert Boyce,
> London School of Economics; Mark Burton,
>
> NHS / Manchester Metropolitan Université ; Victoria Brittain, journaliste,
> Patricia Bryden, Amnesty, Femmes
>
> en Noir Scottish Friends of Palestine, Palestinain Forum ; Stefan
> Cholewka,
> Journal The Link ; Dr Clark-Lowes, Palestine
>
> Solidarity Campaign ; Christine Coulouris , groupe pour la paix du Mid
> Sussex ; Professeur Elizabeth Cowie Université du Kent;
>
> Claudine Dauphin, Professeur honoraire en Archéologie et Théologie,
> Université du Pays de Galles, Lampeter ; Jeanette Findlay,
>
> Université de Glasgow, Ecosse ; Jay Ginn, National Pensioners Convention;
> Fawcett Society; Women's Budget Group ; Dr. R. Hasan, Maître de
>
> conférence, Université du Sussex ; Bill Holdsworth, Londres ; Jim House,
> Université de Leeds ; Selma James, Global Women Strike, UK ; Sami
>
> Joseph ; Dr Michael Loughlin, Manchester Metropolitan Université ; Martha
> Mundy, lecteur en Anthropologie, London school of Economics ;
>
> Frans Maathuis, Université de York ; Joanne Massey, professeur en
> criminologie, Dept. de Sociologie, MMU ; Dr Ghazala Mir, Chercheur,
> Directeur
>
> du réseau Ethnicity Training, Centre de Recherche médecine, Université de
> Leeds ; Michal Nahman, PhD Department de Sociologie, Université de
>
> Lancaster ; Bahadur Najak, School of Economics, Finance and Business,
> Queens
> Campus, Université de Durham ; James Nick, Université et College
>
> Union ; Michael Paris, Université du Central Lancashire ; Helen Peters,
> London Metropolitan Université ; Nick Phillips ; Dr. N.M. Queen,
> Université
>
> de Birmingham ; Dr Shupikai Rinomhota, Université de Leeds ; Professeur
> Hilary Rose, Londres ; Andrew Sayer, Professeur, departement de
>
> Sociologie, Université du Lancaster ; Dr Janet Shapiro, professeur
> retraité,
> London Metropolitan ; Professeur David Seddon, Université de East
>
> Anglia ; Martha Wörsching, Loughborough Université.
>
> GUINÉE :
>
> Keïta Nagbé Bangoura, Secrétaire Général Confédération des Syndicats
> Libres
> de Guinée (CGSL)*.
>
> HONG-KONG :
>
> Elisabeth Tang, Secrétaire general de la Confédération syndicale de Hong
> Kong.
>
> INDE : H. Mahadevan, secrétaire général adjoint AITUC* ; Anita Cheria,
> Bangalore ; Daniel Edwin, Bangalore.
>
> ITALIE :
>
> Lorenzo Varaldo ; Guido Montanari.
>
> IRLANDE :
>
> Maggie Ronayne,Global Women's strike ; Ronit Lentin , Trinity College
> Dublin. .JORDANIE : Anis F. Kassim,
>
> Law Firm ; Sabri Amarneh, Ingénieur retraité.
>
> LIBAN :
>
> Gassan Ghosn, Président CGT-L* ; Association Aïdoun ; Mahmud Al Ali,
> Aïdoun
> ; Rawan Al Bash ; Haider Haidoura, journaliste
>
> et politologue .
>
> MALAISIE:
>
> Dr S. Husin Ali, Malaysian People's Justice Party, Deputy President.
>
> MALI :
>
> Guindo Hamadoun Amion, Secrétaire Général Confédération Syndicale des
> Travailleurs du Mali*.
>
> MAROC : Benjalloun Andaloussi, président de l'association Marocaine de
> soutien �* la lutte palestinienne (AMSLP) ;
>
> Mostapha Brahma, CDT confédération démocratique du travail* ; Lucile
> Daumas,
> Attac Maroc ; Khadija Rhamiri,
>
> secrétaire générale de l'UMT-Rabat-salé. MAURITANIE : Mohamed El Habib
> Ould-Ahmed, Secrétaire Général de
>
> l'Union Nationale des Travailleurs de Mauritanie (UNTM)*. NEPAL : Umesh
> Upadhyaya, Affaires internationales,
>
> Fédération des syndicats du Népal (GEFONT).
>
> NORVÈGE :
>
> Moussa El Jeries, LO (Confédération des Syndicats de Norvège)*. OMAN :
> Saud
> Aljabri, Main Committee for Workers*.
>
> PAKISTAN :
>
> Nabeela Ahmed, juriste, WWO ; Fareed Awan, Secrétaire général, APTUF-Sind
> ;
> Zahoor Awan, Secrétaire général All Pakistan
>
> Federation of Labor (APFOL) ; Shehar Bano, Journaliste, Daily Dawn ;
> Gulzar
> Ahmed Chowdhury Secrétaire general APTUF*; Sajida Fareed,
>
> Membre WWO ; Salma Fayyaz, Travailleuses de la santé, Health Workers
> Association ; Shaida Hasan, Secrétaire commission Femmes,
>
> APFOL ; Rubina Jamil, Organisation des Femmes travailleuses* ; Dilawar
> Khawaja, juriste du movement ouvrier; Ahmed Khurshid, Pakistan
>
> Workers Federation* ; Aima Mahmood , WWO* ; Yasmin Rasool, Association des
> enseignants du Punjab* ; Meena Rehman,
>
> Présidente, Women Action Forum ; Huma Saeed, secretaire, APFTU ; Fakhra
> Tehreem, Journaliste, Daily Jang ; Fazal-e-Wahid,
>
> Président, syndicat des travailleurs du rail* ; Mohammad Yaqoob,
> Président,
> Fédération des travailleurs du Pakistan. .
>
> PALESTINE - ETAT D'ISRAËL :
>
> Lubna Abdeljawwad (Nazareth) ; Dalia Altouri, Haïfa; Maha Abu Alwan
> (Nazareth); Muna Abu Tayye (Nazareth); Eli Aminov,
>
> Revue Dialogue ; Nitza Aminov ; Manal Awwad (Nazareth) ; Marie Badarne, La
> voix du travailleur ; Wehbe Badarne, La voix
>
> du Travailleur ; Shiri Barr ; Ronnen Ben-Arieh ; Leïla Britan, Ramallah ;
> Areen Bsul (Nazareth) ; Réseau Coalition des
>
> Femmes pour la paix ; Uri Davis, responsable Al-Beit, Association pour la
> défense des droits Humains en Israël ; Micky Fisher ; Fatma Ghazzawi
>
> (Nazareth) ; Manar Hassan ; Sana' Ibrahim (Nazareth) ; Ghada Irshed
> (Nazareth) ; Yehuda Kupferman, Revue Dialogue ; Rania Madi ; Ameer
>
> Makhoul, Secrétaire general d'Ittijah, Union des Associations Arabes ;
> Rémy
> Mendelzweig, syndicat des enseignants du secondaire* ; Hiyam Misleh
>
> (Nazareth); Norma Musih ; Jibran Nadaf (Nazareth) ; Dorothy Naor ; Sahar
> Nijm (Nazareth); Fatma Odeh (Nazareth) ; Maria Ofir ; Ilan Pappe,
>
> historien, Université de Haifa ; Tanya Reinhart, Universitaire, écrivain ;
> Hussein Saleh (Nazareth) ; Auni Shihadat (Nazareth) ; Fatma Siadeh
>
> (Nazareth) ; Bilha Sündermann Golan ; Gila Svirsky ; Marselo Svirsky
> responsible de l'association "Une voix alternative en Galilée; Lily
>
> Traubmann ; Shlomo Weinberg, syndicat des enseignants du secondaire*;
> Mohammad Yakoub, refugié en France,
>
> org. "Mémoires d'Exilés"; Tamar Yaron.
>
> PAYS BAS :
>
> Dr. Willem Meijs (ABVAKABO), Hoorn*.
>
> SÉNÉGAL : Fatoumata Bitou Yafa, Présidente du Comité des Femmes de la CNTS
> (Confédération nationale des travailleurs du Sénégal)* ;
>
> Abdoulaye Diouf, Secrétaire Général Adj. CDTS (Confédération démocratique
> des travailleurs du Sénégal )* ; Ibrahima Diagne, Secrétaire
>
> Nationale Chargée des relations Internationales - FGTS (Fédération
> Générale
> des travailleurs du Sénégal )* ; Malick Diop, Secrétaire
>
> Général du syndicat autonome des travailleurs de l'hôtellerie de l'UNSAS (
> Union Nationale des syndicats Autonomes du
>
> Sénégal)* ; Thierno Mahi Diop, Secrétaire Général du syndicat autonome des
> travailleurs du port UNSAS ( Union Nationale des
>
> syndicats Autonomes du Sénégal )* ; Nomath Ndiaye, Secrétaire Général du
> Syndicat des travailleurs du Port Autonome de Dakar - UNTS* ;
>
> Babacar Touré, Secrétaire National Chargé de la coopération
> décentralisée-FGTS* ; Fatou Ba-Ndiaye, CDSL Coordination démocratique des
>
> Syndicats Libres du Sénégal* ; Anna Zaat.
>
> SOUDAN :
>
> Osman El Hassan, Union des syndicats des Travailleurs du Soudan (USTS)* ;
> Souad Farouk, ISTU.
>
> SRI LANKA : Upali Magedaragamage, Réseau asiatique pour la culture et le
> développement. SUÈDE : Jan Erik Gustafsson ;
>
> Robert Johanson, LO*.
>
> SUISSE :
>
> Albert Anor , syndicaliste SSP*; Catherine Anor ; Claudie Barriera ; Lydia
> Barriera, étudainte ; Gabrielle Barriera ; Danielle
>
> Bleitrach, retraitée ; Jacqueline Berenstein-Wavre ; Luis Blanco,
> secrétaire
> syndical UNIA* ; Professeur Claude Calame ; Charles
>
> Casagrande, syndicaliste ; François Courvoisier, musicien ; Luc Deley,
> syndicaliste SSP* ; Paul Germanotta, chercheur et
>
> syndicaliste ; Michel Gindrat ; Simone Girodo, syndicaliste SSP* ; Antonio
> Herranz, syndicaliste SSP* ; Sylviane Herranz,
>
> journaliste ; Daniel Hofer, militant socialiste ; Claude Iseli,
> syndicaliste
> SSP* ; Pierrette Iseli,, conseillère municipale PSN* ;
>
> George A. Kouchakji ; Rania Madi ; Georges Meylan, syndicaliste SSP* ;
> Véronique Landry, syndicaliste SSP* ; Eric Perruchoud,
>
> syndicaliste SSP* ; André Schüssel, syndicaliste ; Jean Spielmann,
> conseiller national PdT* ; Marie-France Spielmann,
>
> cons.municipale PdT* Max Robert, syndicaliste enseignant ; Martine Sümi,
> conseillère municipale PSG*.
>
> THAILANDE :
>
> Lee Seihwa, Coordinatrice du Comité des Femmes Asiatiques (CAW).
>
> TUNISIE :
>
> Mohamed Trabelsi, Secrétaire Général Adjoint de l'Union Générale
> Tunisienne
> du Travail, Chargé des relations
>
> arabes et de l'immigration UGTT* ; Ridha Bouzriba, UGTT* ; Moncef Yacoubi,
> UGTT* ; Abdelhamid Achour,
>
> syndicaliste ; Abbdelmagid Sahraoui, USTMA* ; Abdennour Meddahi, UGTT* ;
> Ali
> Ben-Romdhane, UGTT*.
>
> TURQUIE :
>
> Cumhur Altay, President du comité executive de l'IKP (Parti de la
> fratenité
> des travailleurs) �* Istanboul ; Engin Bodur,
>
> Secrétaire general au nom du Comité executive de l'IKP ; Zeki Kilicaslan,
> President de l'IKP ; Pinar Erol, Secrétaire du
>
> comité exécutif de l'IKP-Istanboul.
>
> ZIMBABWE :
>
> Wellington Chibebe, Congress of TU (ZCTU)* ; Lovemore Matombo, Congress of
> TU (ZCTU)*.
>
> * Signature �* titre personnel.
>
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