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17 september 2006, 04:05
De Paul Reiter, directeur �* l'Institut Pasteur
Ma discipline ne compte qu’un très petit nombre de spécialistes et nous
sommes en contact permanent.
Il y a une dizaine d’années, nous avons commencé �* voir apparaître un
nombre grandissant d’articles traitant de notre discipline mais écrits
par des gens que nous ne connaissions pas. Ces articles reposaient sur
un thème commun : le « réchauffement global » est une menace pour la
santé humaine ; il génère des augmentations majeures dans la
transmission des maladies véhiculées par les moustiques ; les maladies
vont se répandre �* de nouvelles latitudes et altitudes partout
dans le monde ; et le processus �* déj�* commencé.
Presque tous ces articles reposent sur de fausses idées : les maladies
transmises par les moustiques sont « tropicales » ; un temps chaud et de
fortes pluies signifient plus de moustiques ; les moustiques meurent par
temps froid et plus de moustiques amènent plus d’infections.
C’est une absurdité alarmiste qui provient de l’ignorance l’ignorance
car les moustiques communs sécrètent un anti-gel naturel qui les protège
durant l’hiver. La seule étude qui existe dans ce domaine est celle que
j’ai réalisée. Lors des hivers de 1981-1982 et 1982-1983, j’ai arpenté
chaque semaine un égout, dans une zone délimitée, pour compter les
moustiques qui s’y abritaient. Je les avais marqués, �* l’automne, avec
des poudres fluorescentes.
suite ici :
http://www.revuefusion.com/images/Art_998_17.pdf
Ma discipline ne compte qu’un très petit nombre de spécialistes et nous
sommes en contact permanent.
Il y a une dizaine d’années, nous avons commencé �* voir apparaître un
nombre grandissant d’articles traitant de notre discipline mais écrits
par des gens que nous ne connaissions pas. Ces articles reposaient sur
un thème commun : le « réchauffement global » est une menace pour la
santé humaine ; il génère des augmentations majeures dans la
transmission des maladies véhiculées par les moustiques ; les maladies
vont se répandre �* de nouvelles latitudes et altitudes partout
dans le monde ; et le processus �* déj�* commencé.
Presque tous ces articles reposent sur de fausses idées : les maladies
transmises par les moustiques sont « tropicales » ; un temps chaud et de
fortes pluies signifient plus de moustiques ; les moustiques meurent par
temps froid et plus de moustiques amènent plus d’infections.
C’est une absurdité alarmiste qui provient de l’ignorance l’ignorance
car les moustiques communs sécrètent un anti-gel naturel qui les protège
durant l’hiver. La seule étude qui existe dans ce domaine est celle que
j’ai réalisée. Lors des hivers de 1981-1982 et 1982-1983, j’ai arpenté
chaque semaine un égout, dans une zone délimitée, pour compter les
moustiques qui s’y abritaient. Je les avais marqués, �* l’automne, avec
des poudres fluorescentes.
suite ici :
http://www.revuefusion.com/images/Art_998_17.pdf