Victal
14 oktober 2006, 13:25
Gilmo wrote:
> chval@lier a écrit :
>> ....ca s'donne pas a tous et nous n'avons pas la gestapo
>> academique pour son imposition pour diriger l'orchestre.
>>
>> La seule facon de l'apprendre est d'ecouter des Quebecois
>> en vivant parmi et avec eux. Pour les malfortunes du monde
>> a qui cette ecole ne serait pas disponible, ou par malheur
>> pas survivable, ils peuvent toujours ecouter Gaston Lepage
>> ou Falardeau. Et pour des exercises de l'ecrite y'a toujours
>> les articles de Gilmo ...qu'un jour je commencerai a
>> plagiariser avec encore moins de reserve de culpabilite.
>>
>> Et que ceux pour qui l'inspiration s'absenterait en lisant
>> ceci ou chroniquement, puisse-t-elle ne plus revenir du
>> tout, amen.
>
> Tiens, Chevalier, si jamais tu veux aider les Couzins de Frônce
> �* mieux nous comprendre, ou du moins �* nous comprendre un
> brin tu pourrais leurs coller ce qui suit si té ben d'accord avec !
>
Les vraies expressions de chez nous sont les canadianisme c'est �* dire ces
mots (anglais mais aussi amérindiens ou de vieux francais ) que l'on a
adapté �* pour les circonstances �* nos besoins jusqu'�* leur donner un autre
sens parfois
Ainsi l'expression: « je suis resté » ( fatigué) nous vient de:l'anglais
« to rest » ( reposé )
L'expression passer la malle ou aller chercher la malle nous vient du terme
anglais « mail »
On dit aussi « je restais » �* cet endroit pour signifier habiter quelques
part
Ou le mot « pitoune » nous vient de l'expression anglaise « happy town » Ces
petits villages nouvelles construits ( en bois rond) prés des chantier que
les bucherons visitaient parfois lorsqu'ils sortaient des chantiers
Le mot « Becosse» nous vient de l,anglais « Back house » cette petite
cabane derrière la maison où les gens se rendaient faire leur besoin
Si l'on dit qu'une ligne téléphoniquie est « engagée » du terme anglais «
engage » nous signifions qu'.elle est occupée
parfois les canadianismes ( commun.ément appelé « joual» de « cheval » sont
des abrégés ( comme la langue anglais excelle �* le faire ) d'expression plus
longue
ainsi ; « Pantoute » veut dire « pas du tout »
« Le Bonhomme sept heures » nous vient de l'anglais « Bones setter » (
souvent après leur journée de travails des foregeron ou des boulangers des
villages s'improvisaient ramencheurs ( autre canadianisme)et visitaient les
maison pour remettre une chevielle ou une épaule en place lors d'accident.
La plupart du temps les enfants étaient couché lors de leur visite mais ca
ne les empêchait pas d'entendre les cris de douleurs de ceux et de celles
qu'Ils tentaient de remettre debout
Quand les parents voulaient faire peur aux enfants lorsqu'ils devenaient
trop tannants ( canadianisme venant du vieux francais signifiant turbulant)
ils leurs disaient que le bonhomme sept heure viendrait les voir la nuit...
Faire « la drave » nous vient de l'anglais « to drive » et signifiait
conduire les pitounes par flottages sur les rivières jusqu'aux scieries ou
aux moulins les utilisant comme matière première
nous avons aussi « binnes au lard » qui nous viennent de l'anglais «
beans »
Quans les gens disent que « ca ne vaut pas de la colle » ca vient de
l,anglais « Cull » ( choisir cueillir)
quand il y a du « frasil » le matin dehors ca vient du terme anglais «
Frost »
on dit aussi faire « du millage » qui nous vient évidemment de « Miles »
voici quelques mots du vieux francais qui sont �* leur facon des
canadianismes puisqu'ils ne sont plus utilisé qu'au canada
Abrier : mettre �* l'abri, s'abriter. En français moderne, on
utilise plutôt le verbe couvrir.
Achaler : On dit que ce verbe viendrait du mot chaleur. En
effet, la chaleur peut parfois être achalante! De nos jours, on dit plutôt
ennuyer, importuner ou fatiguer.
Asteure : On l'aura deviné, cet adverbe est la contraction de la
locution �* cette heure. Cet adverbe, qui nous vient du vieux français, est
encore vivant en Picardie. En français moderne, on utilise plutôt les
adverbes et locutions adverbiales maintenant, aujourd'hui et de nos jours.
Avant-midi : Presque partout dans la francophonie, on utilise
plutôt les mots matin et matinée. Avant-midi est encore très vivant en
Belgique. Il est toutefois intéressant de noter que l�*-bas le mot avant-midi
désigne plus précisément la période comprise entre dix heures et midi.
Barrer : On utilise encore le verbe barrer dans le sens de
fermer ou de verrouiller dans certains départements de l'ouest de la France.
Bébelle : Chez nous, on utilise le mot bébelle (parfois prononcé
bebelle) pour désigner des jouets, des objets un peu clinquants ou des
articles de mauvaise qualité. En Touraine, une bébelle est un jouet pour un
petit enfant, alors qu'en Bourgogne ce mot désigne un petit objet.
Bec : Chez nous, on se donne des becs. Dans le reste de la
francophonie, on se donne des baisers. Le mot bécot (qui est synonyme de
baiser, dans la langue familière) vient du mot bec.
Fafiner : Selon la région, ce verbe peut vouloir dire faire la
fine gueule, faire le difficile, tergiverser ou plaisanter. Dans certaines
régions de France, notamment en Normandie, ce verbe existe toujours. Il
signifie manger du bout des dents ou ne pas avoir trop d'appétit pour
certaines choses.
Le temps est cru : Un temps cru est un temps humide et frais.
Cette expression est encore utilisée dans les départements du nord de la
France.
Maringouin : Maringouin est une déformation du mot mbarigui, mot
de la langue tupi-guarani parlée par certains autochtones du Brésil. Le
petit cousin français de notre maringouin s'appelle justement cousin! On
utilise toujours le mot maringouin en Normandie.
Mouiller : Le verbe mouiller (utilisé dans le sens de pleuvoir)
est encore utilisé dans certaines régions de l'ouest de la France. L�*-bas,
les enfants chantent cette petite comptine : Il pleut, il mouille, c'est la
fête �* la grenouille!
Poquer : Dans la région de Lyon, on risque de faire poquer sa
voiture dans les embouteillages. Comme chez nous, poquer signifie donner des
coups, heurter, faire des bosses.
Rôties : Même �* Paris, on mange des toasts! Par contre, dans
quelques régions de France, on mange aussi des rôties. Dans la région de
Lyon, certaines personnes considèrent le mot rôtie comme un synonyme de
tartine.
Serein : Comme nous, les Bretons utilisent le mot serein pour
désigner la fraîcheur du soir. Ce mot nous vient du latin serenum, qui
signifie ciel clair et serein.
Sorteux : Évidemment, un sorteux est une personne qui aime
sortir. On dit parfois : Venez nous voir, on n'est pas sorteux! Ce terme
sympathique est encore utilisé en Normandie.
Source : Infolangue, numéro de l'été 1998. Infolangue est la
revue trimestrielle d'information sur le français de l'Office de la langue
française. Les exemples cités dans cet article ont été tirés de l'ouvrage
intitulé Les mots des régions de France (Belin, 1992), du linguiste français
Loïc Depecker.
pour terminer voici d,autres mots ( canadianisme ) propre �* notre language
claque , napkin, enfarger, pitonnage, charger, ouaouaron, mitaine, bordée
( de neige), ouananiche, prélart, caler, s'adonner, barrer,vadrouille,
greyer,orignal, pichou, maskinongé, taloudi, atoca, , achigan, micouène.
panache ( bois d'orignal) abattis
bon je coupe notre langue est trop riche en mots et en expressions pour en
faire le tour sur ce forum
je termine par cette réflexion qui je l'espère fera réfléchir plus d'un
« Nous somme le seul peuple sur terre �* avoir honte de sa langue tout en
proclamant haut et fort que nous voulons un pays pour la protéger »
--
Ce ne sont pas tous les musulmans qui sont des criminels et qui
mentent, haïssent et tuent aveuglément l'infidèle. Par contre tous
croient en Allah qui leur demande expressément de le faire. Ce qui
force un constat : Les musulmans, qui désirent être parmi les meilleurs
et qui sont parmi les plus pieux d'entre eux, sont tous des assassins
en puissance"
Extrait de Sous-Bois d'A.G.
> chval@lier a écrit :
>> ....ca s'donne pas a tous et nous n'avons pas la gestapo
>> academique pour son imposition pour diriger l'orchestre.
>>
>> La seule facon de l'apprendre est d'ecouter des Quebecois
>> en vivant parmi et avec eux. Pour les malfortunes du monde
>> a qui cette ecole ne serait pas disponible, ou par malheur
>> pas survivable, ils peuvent toujours ecouter Gaston Lepage
>> ou Falardeau. Et pour des exercises de l'ecrite y'a toujours
>> les articles de Gilmo ...qu'un jour je commencerai a
>> plagiariser avec encore moins de reserve de culpabilite.
>>
>> Et que ceux pour qui l'inspiration s'absenterait en lisant
>> ceci ou chroniquement, puisse-t-elle ne plus revenir du
>> tout, amen.
>
> Tiens, Chevalier, si jamais tu veux aider les Couzins de Frônce
> �* mieux nous comprendre, ou du moins �* nous comprendre un
> brin tu pourrais leurs coller ce qui suit si té ben d'accord avec !
>
Les vraies expressions de chez nous sont les canadianisme c'est �* dire ces
mots (anglais mais aussi amérindiens ou de vieux francais ) que l'on a
adapté �* pour les circonstances �* nos besoins jusqu'�* leur donner un autre
sens parfois
Ainsi l'expression: « je suis resté » ( fatigué) nous vient de:l'anglais
« to rest » ( reposé )
L'expression passer la malle ou aller chercher la malle nous vient du terme
anglais « mail »
On dit aussi « je restais » �* cet endroit pour signifier habiter quelques
part
Ou le mot « pitoune » nous vient de l'expression anglaise « happy town » Ces
petits villages nouvelles construits ( en bois rond) prés des chantier que
les bucherons visitaient parfois lorsqu'ils sortaient des chantiers
Le mot « Becosse» nous vient de l,anglais « Back house » cette petite
cabane derrière la maison où les gens se rendaient faire leur besoin
Si l'on dit qu'une ligne téléphoniquie est « engagée » du terme anglais «
engage » nous signifions qu'.elle est occupée
parfois les canadianismes ( commun.ément appelé « joual» de « cheval » sont
des abrégés ( comme la langue anglais excelle �* le faire ) d'expression plus
longue
ainsi ; « Pantoute » veut dire « pas du tout »
« Le Bonhomme sept heures » nous vient de l'anglais « Bones setter » (
souvent après leur journée de travails des foregeron ou des boulangers des
villages s'improvisaient ramencheurs ( autre canadianisme)et visitaient les
maison pour remettre une chevielle ou une épaule en place lors d'accident.
La plupart du temps les enfants étaient couché lors de leur visite mais ca
ne les empêchait pas d'entendre les cris de douleurs de ceux et de celles
qu'Ils tentaient de remettre debout
Quand les parents voulaient faire peur aux enfants lorsqu'ils devenaient
trop tannants ( canadianisme venant du vieux francais signifiant turbulant)
ils leurs disaient que le bonhomme sept heure viendrait les voir la nuit...
Faire « la drave » nous vient de l'anglais « to drive » et signifiait
conduire les pitounes par flottages sur les rivières jusqu'aux scieries ou
aux moulins les utilisant comme matière première
nous avons aussi « binnes au lard » qui nous viennent de l'anglais «
beans »
Quans les gens disent que « ca ne vaut pas de la colle » ca vient de
l,anglais « Cull » ( choisir cueillir)
quand il y a du « frasil » le matin dehors ca vient du terme anglais «
Frost »
on dit aussi faire « du millage » qui nous vient évidemment de « Miles »
voici quelques mots du vieux francais qui sont �* leur facon des
canadianismes puisqu'ils ne sont plus utilisé qu'au canada
Abrier : mettre �* l'abri, s'abriter. En français moderne, on
utilise plutôt le verbe couvrir.
Achaler : On dit que ce verbe viendrait du mot chaleur. En
effet, la chaleur peut parfois être achalante! De nos jours, on dit plutôt
ennuyer, importuner ou fatiguer.
Asteure : On l'aura deviné, cet adverbe est la contraction de la
locution �* cette heure. Cet adverbe, qui nous vient du vieux français, est
encore vivant en Picardie. En français moderne, on utilise plutôt les
adverbes et locutions adverbiales maintenant, aujourd'hui et de nos jours.
Avant-midi : Presque partout dans la francophonie, on utilise
plutôt les mots matin et matinée. Avant-midi est encore très vivant en
Belgique. Il est toutefois intéressant de noter que l�*-bas le mot avant-midi
désigne plus précisément la période comprise entre dix heures et midi.
Barrer : On utilise encore le verbe barrer dans le sens de
fermer ou de verrouiller dans certains départements de l'ouest de la France.
Bébelle : Chez nous, on utilise le mot bébelle (parfois prononcé
bebelle) pour désigner des jouets, des objets un peu clinquants ou des
articles de mauvaise qualité. En Touraine, une bébelle est un jouet pour un
petit enfant, alors qu'en Bourgogne ce mot désigne un petit objet.
Bec : Chez nous, on se donne des becs. Dans le reste de la
francophonie, on se donne des baisers. Le mot bécot (qui est synonyme de
baiser, dans la langue familière) vient du mot bec.
Fafiner : Selon la région, ce verbe peut vouloir dire faire la
fine gueule, faire le difficile, tergiverser ou plaisanter. Dans certaines
régions de France, notamment en Normandie, ce verbe existe toujours. Il
signifie manger du bout des dents ou ne pas avoir trop d'appétit pour
certaines choses.
Le temps est cru : Un temps cru est un temps humide et frais.
Cette expression est encore utilisée dans les départements du nord de la
France.
Maringouin : Maringouin est une déformation du mot mbarigui, mot
de la langue tupi-guarani parlée par certains autochtones du Brésil. Le
petit cousin français de notre maringouin s'appelle justement cousin! On
utilise toujours le mot maringouin en Normandie.
Mouiller : Le verbe mouiller (utilisé dans le sens de pleuvoir)
est encore utilisé dans certaines régions de l'ouest de la France. L�*-bas,
les enfants chantent cette petite comptine : Il pleut, il mouille, c'est la
fête �* la grenouille!
Poquer : Dans la région de Lyon, on risque de faire poquer sa
voiture dans les embouteillages. Comme chez nous, poquer signifie donner des
coups, heurter, faire des bosses.
Rôties : Même �* Paris, on mange des toasts! Par contre, dans
quelques régions de France, on mange aussi des rôties. Dans la région de
Lyon, certaines personnes considèrent le mot rôtie comme un synonyme de
tartine.
Serein : Comme nous, les Bretons utilisent le mot serein pour
désigner la fraîcheur du soir. Ce mot nous vient du latin serenum, qui
signifie ciel clair et serein.
Sorteux : Évidemment, un sorteux est une personne qui aime
sortir. On dit parfois : Venez nous voir, on n'est pas sorteux! Ce terme
sympathique est encore utilisé en Normandie.
Source : Infolangue, numéro de l'été 1998. Infolangue est la
revue trimestrielle d'information sur le français de l'Office de la langue
française. Les exemples cités dans cet article ont été tirés de l'ouvrage
intitulé Les mots des régions de France (Belin, 1992), du linguiste français
Loïc Depecker.
pour terminer voici d,autres mots ( canadianisme ) propre �* notre language
claque , napkin, enfarger, pitonnage, charger, ouaouaron, mitaine, bordée
( de neige), ouananiche, prélart, caler, s'adonner, barrer,vadrouille,
greyer,orignal, pichou, maskinongé, taloudi, atoca, , achigan, micouène.
panache ( bois d'orignal) abattis
bon je coupe notre langue est trop riche en mots et en expressions pour en
faire le tour sur ce forum
je termine par cette réflexion qui je l'espère fera réfléchir plus d'un
« Nous somme le seul peuple sur terre �* avoir honte de sa langue tout en
proclamant haut et fort que nous voulons un pays pour la protéger »
--
Ce ne sont pas tous les musulmans qui sont des criminels et qui
mentent, haïssent et tuent aveuglément l'infidèle. Par contre tous
croient en Allah qui leur demande expressément de le faire. Ce qui
force un constat : Les musulmans, qui désirent être parmi les meilleurs
et qui sont parmi les plus pieux d'entre eux, sont tous des assassins
en puissance"
Extrait de Sous-Bois d'A.G.