D'Iberville
16 oktober 2006, 10:45
.... les pertes encourues lors de l'année précédente avaient contraint
Hitler �* puiser dans ses réserves et �* faire largement appel �* des
combattants plus ou moins volontaires recrutés dans les pays conquis, et
notamment en France ou en Hollande
(http://photos1.blogger.com/blogger/5471/452/1600/Volontaires.jpg).
Elles l'avaient également amené �* solliciter - et �* obtenir -
l'assistance militaire des alliés et vassaux de l'Allemagne, comme
l'Italie, la Roumanie ou la Hongrie.
Bien qu'impressionnant sur le papier, cet appui n'en avait pas moins ses
limites : le niveau des soldats étrangers étant généralement très
inférieur �* celui des soldats allemands proprement dits.
"Quand il [Hitler] parlait en termes glorieusement ampoulés des
Troisième et Quatrième Armées roumaines, de la Deuxième Armée hongroise
et de la Huitième Armée italienne, les responsables militaires savaient
parfaitement bien que celles-ci n'équivalaient pas �* un corps d'Armée
allemand et encore moins �* une armée, ne fut-ce que par leur manque de
matériel antichar.
Certains généraux allemands partageaient aussi l'opinion du maréchal von
Runstedt sur cette armée "digne de la Société des Nations" comprenant
des Roumains (dont les officiers et sous-officiers "défiaient toute
description"), des Italiens ("épouvantables personnages") et des
Hongrois ("n'aspirant qu'�* rentrer chez eux au plus vite"). A
l'exception des Slovaques ("combattants de premier ordre") et des
troupes de montagne roumaines, Runstedt et beaucoup de ses collègues
considéraient ces troupes alliées comme mal équipées, mal armées, mal
entraînées et totalement impropres �* la guerre sur l'Ost-front" (1)
(1) Beevor, page 122
--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".
Hitler �* puiser dans ses réserves et �* faire largement appel �* des
combattants plus ou moins volontaires recrutés dans les pays conquis, et
notamment en France ou en Hollande
(http://photos1.blogger.com/blogger/5471/452/1600/Volontaires.jpg).
Elles l'avaient également amené �* solliciter - et �* obtenir -
l'assistance militaire des alliés et vassaux de l'Allemagne, comme
l'Italie, la Roumanie ou la Hongrie.
Bien qu'impressionnant sur le papier, cet appui n'en avait pas moins ses
limites : le niveau des soldats étrangers étant généralement très
inférieur �* celui des soldats allemands proprement dits.
"Quand il [Hitler] parlait en termes glorieusement ampoulés des
Troisième et Quatrième Armées roumaines, de la Deuxième Armée hongroise
et de la Huitième Armée italienne, les responsables militaires savaient
parfaitement bien que celles-ci n'équivalaient pas �* un corps d'Armée
allemand et encore moins �* une armée, ne fut-ce que par leur manque de
matériel antichar.
Certains généraux allemands partageaient aussi l'opinion du maréchal von
Runstedt sur cette armée "digne de la Société des Nations" comprenant
des Roumains (dont les officiers et sous-officiers "défiaient toute
description"), des Italiens ("épouvantables personnages") et des
Hongrois ("n'aspirant qu'�* rentrer chez eux au plus vite"). A
l'exception des Slovaques ("combattants de premier ordre") et des
troupes de montagne roumaines, Runstedt et beaucoup de ses collègues
considéraient ces troupes alliées comme mal équipées, mal armées, mal
entraînées et totalement impropres �* la guerre sur l'Ost-front" (1)
(1) Beevor, page 122
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Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".