D'Iberville
5 november 2006, 13:35
.... stratégique au départ, Stalingrad avait fini par devenir un objectif
avant tout symbolique : s'emparer de cette ville qui portait le nom de
Staline, c'était porter un coup mortel �* Staline lui-même.
C'était aussi l'occasion pour Hitler d'entrer définitivement au Panthéon
des plus grands héros de l'Allemagne.
A vrai dire, le Führer fulminait de plus en plus �* la lecture des
dépêches en provenance du Front. Dépêches qui n'annonçaient que des
gains de plus en plus minimes, obtenus au prix de pertes de plus en plus
lourdes.
Même l'opinion publique allemande, qui pourtant lui demeurait largement
acquise, se prenait �* douter, et comprenait de moins en moins comment
cette ville - dont la propagande ne cessait d'annoncer la reddition
imminente - continuait �* résister.
A Stalingrad, une équipe de cinéastes du Ministère de la Propagande se
préparait depuis des jours �* immortaliser le grand défilé de la
Victoire. En Allemagne-même, les journalistes avaient déj�* rédigé des
articles dithyrambiques dépeignant la chute de la ville, et
n'attendaient plus que l'autorisation du Docteur Goebbels pour les publier.
Mais cette autorisation n'arrivait toujours pas...
--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".
avant tout symbolique : s'emparer de cette ville qui portait le nom de
Staline, c'était porter un coup mortel �* Staline lui-même.
C'était aussi l'occasion pour Hitler d'entrer définitivement au Panthéon
des plus grands héros de l'Allemagne.
A vrai dire, le Führer fulminait de plus en plus �* la lecture des
dépêches en provenance du Front. Dépêches qui n'annonçaient que des
gains de plus en plus minimes, obtenus au prix de pertes de plus en plus
lourdes.
Même l'opinion publique allemande, qui pourtant lui demeurait largement
acquise, se prenait �* douter, et comprenait de moins en moins comment
cette ville - dont la propagande ne cessait d'annoncer la reddition
imminente - continuait �* résister.
A Stalingrad, une équipe de cinéastes du Ministère de la Propagande se
préparait depuis des jours �* immortaliser le grand défilé de la
Victoire. En Allemagne-même, les journalistes avaient déj�* rédigé des
articles dithyrambiques dépeignant la chute de la ville, et
n'attendaient plus que l'autorisation du Docteur Goebbels pour les publier.
Mais cette autorisation n'arrivait toujours pas...
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Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".