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11 november 2006, 18:15
Alléché par un titre de Libé ("Bruckner dérape", ça donc donc être
raisonnable pour emmerder les gardiens de la foi immigrationniste et du
"métissage" toujours enrichissant), j'ai lu cette excellente nouvelle.
Rarement �* court d'un mot polémique, l'essayiste français Pascal
Bruckner a défendu, dans une interview �* l'édition dominicale du Matin
de Lausanne, fin octobre, le durcissement des lois suisses sur
l'immigration, approuvé fin septembre par référendum. Durcissement qui
met pratiquement fin �* toute possibilité de regroupement familial et
verrouille le droit d'asile. «La Suisse montre la voie �* l'Europe,
estime Pascal Bruckner. C'est une question de bons sens. Commençons par
intégrer nos immigrés, par [...] en faire de vrais Suisses, de vrais
Français ou de vrais Espagnols, avant d'en laisser entrer d'autres.» La
réforme, qualifiée d' «insulte aux droits humains les plus élémentaires»
par la gauche, était un des grands projets du ministre de la Justice et
de la Police, Christoph Blocher, l'homme fort des populistes de l'Union
démocratique du centre, devenue en 2003 le premier parti du pays.
raisonnable pour emmerder les gardiens de la foi immigrationniste et du
"métissage" toujours enrichissant), j'ai lu cette excellente nouvelle.
Rarement �* court d'un mot polémique, l'essayiste français Pascal
Bruckner a défendu, dans une interview �* l'édition dominicale du Matin
de Lausanne, fin octobre, le durcissement des lois suisses sur
l'immigration, approuvé fin septembre par référendum. Durcissement qui
met pratiquement fin �* toute possibilité de regroupement familial et
verrouille le droit d'asile. «La Suisse montre la voie �* l'Europe,
estime Pascal Bruckner. C'est une question de bons sens. Commençons par
intégrer nos immigrés, par [...] en faire de vrais Suisses, de vrais
Français ou de vrais Espagnols, avant d'en laisser entrer d'autres.» La
réforme, qualifiée d' «insulte aux droits humains les plus élémentaires»
par la gauche, était un des grands projets du ministre de la Justice et
de la Police, Christoph Blocher, l'homme fort des populistes de l'Union
démocratique du centre, devenue en 2003 le premier parti du pays.