D'Iberville
3 januari 2007, 01:36
.... une semaine après celui de Pitomnik, l'aérodrome de Goumrak tomba �*
son tout aux mains des Soviétiques. Dans ce qui restait du Kessel, il
n'y avait désormais plus aucun terrain susceptible d'accueillir les gros
avions de transport.
A ce stade, il était évident que la VIème Armée ne tiendrait plus que
quelques jours.
Le 22 janvier, Paulus sollicita l'autorisation d'entamer des pourparlers
de capitulation. Cette fois, Manstein appuya pleinement la demande de
son subordonné, et pria personnellement Hitler d'autoriser cette reddition.
Pour Manstein, la VIème Armée avait pleinement joué son rôle, qui
consistait �* immobiliser le plus longtemps possible le plus grand nombre
de divisions soviétiques possible, lui permettant pour sa part de
stabiliser le Front et d'empêcher que la retraite des forces allemandes
du Caucase - que Hitler avait autorisée le 27 décembre - ne se termine
en déroute.
Cet objectif ayant été atteint, et la VIème Armée ne "fixant" désormais
plus qu'un petit nombre de troupes soviétiques, Manstein, en bon
militaire pragmatique, considérait �* présent que la contraindre �*
combattre jusqu'au dernier homme
(http://bp2.blogger.com/_VsNSi_tHDW4/RZModV5go-I/AAAAAAAAAFA/tOTJ3nOahY0/s1600-h/cadavres.jpg)
et jusqu'�* la dernière cartouche n'avait aucun sens et ne répondait plus
�* aucun objectif militaire.
Mais, en parfait idéologue, Le Führer refusa pourtant la demande de
Manstein, tout comme il avait refusé celle de Paulus. Il ne pouvait être
question de capitulation. Ce n'était pas une question militaire, c'était
une "question d'honneur"...
--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".
son tout aux mains des Soviétiques. Dans ce qui restait du Kessel, il
n'y avait désormais plus aucun terrain susceptible d'accueillir les gros
avions de transport.
A ce stade, il était évident que la VIème Armée ne tiendrait plus que
quelques jours.
Le 22 janvier, Paulus sollicita l'autorisation d'entamer des pourparlers
de capitulation. Cette fois, Manstein appuya pleinement la demande de
son subordonné, et pria personnellement Hitler d'autoriser cette reddition.
Pour Manstein, la VIème Armée avait pleinement joué son rôle, qui
consistait �* immobiliser le plus longtemps possible le plus grand nombre
de divisions soviétiques possible, lui permettant pour sa part de
stabiliser le Front et d'empêcher que la retraite des forces allemandes
du Caucase - que Hitler avait autorisée le 27 décembre - ne se termine
en déroute.
Cet objectif ayant été atteint, et la VIème Armée ne "fixant" désormais
plus qu'un petit nombre de troupes soviétiques, Manstein, en bon
militaire pragmatique, considérait �* présent que la contraindre �*
combattre jusqu'au dernier homme
(http://bp2.blogger.com/_VsNSi_tHDW4/RZModV5go-I/AAAAAAAAAFA/tOTJ3nOahY0/s1600-h/cadavres.jpg)
et jusqu'�* la dernière cartouche n'avait aucun sens et ne répondait plus
�* aucun objectif militaire.
Mais, en parfait idéologue, Le Führer refusa pourtant la demande de
Manstein, tout comme il avait refusé celle de Paulus. Il ne pouvait être
question de capitulation. Ce n'était pas une question militaire, c'était
une "question d'honneur"...
--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".