wen.kroy
13 januari 2007, 00:43
Pour information :
Dans « Informations Ouvrières » (journal du Parti des Travailleurs –France-
cette semaine (11 au 17 janvier 2007) :
************************************************** ***************************
Derrière le drame des SDF…
LE SCANDALE DE LA DESTRUCTION DES HLM
imposée par l’Union européenne
_ 100 000 personnes vivent dans la rue
_ 100 000 vivent dans un camping ou un mobile home
_ 50 000 vivent dans une chambre d’hôtel
_3 200 000 personnes sont mal logées (logements vétustes,
sur occupés)
_1 300 000 demandes de logement HLM ne sont pas satisfaites
_ M. Borloo annonce triomphalement la mise en chantier de 430 000 logements en
2006. Mais il « oublie » de dire que sur les 408 300 logements construits en 2005, il n’y a
que 54 550 HLM… Et de préciser que, de janvier �* septembre 2006, la part des
logements sociaux a baissé de 46% par rapport �* 2005 !
_ En réalité, il démolit les HLM. Le plan de l’Agence nationale de rénovation urbaine
(ANRU) précipite la catastrophe en décidant la destruction de 250 000 logements HLM ;
_ Le 31 décembre, Jacques Chirac, dans ses voeux, annonce qu’il propose une loi sur
le « droit au logement opposable ». Jean-Louis Borloo annonce aussitôt qu’il avait déj�*
chargé Xavier Emmanuelli, président du Haut Comité pour le logement des personnes
défavorisées, d’élaborer un texte précis pouvant servir de base �* une loi sur le « droit au
logement opposable ». Le 1er janvier 2007, Xavier Emmanuelli s’exclame : « Tout le
monde s’est prononcé pour. » Mais pour quoi, au fait ? Qui peut nous expliquer ? Il n’y
aurait pas, officiellement, 100 000 personnes �* la rue, ce serait simplement risible.
Le « droit au logement opposable » devrait, selon ses initiateurs, permettre aux citoyens
privés de logement d’exiger réparation devant les tribunaux. Comme le souligne un
spécialiste, « l’obligation ne résout pas la pénurie. ». « Qui sera responsable : l’Etat, le
département, la commune, le HLM ? Aucune de ces questions n’a reçu de réponse. »
Toute cette mise en scène pour camoufler que le drame de la question du logement,
dont les SDF sont l’expression la plus terrible, a été méticuleusement organisé depuis
trente ans par les gouvernements successifs pour doper la spéculation et se conformer
aux exigences de l’Union européenne. Une honte !
_ Est-il possible de régler la question du logement sans exiger des pouvoirs
publics un plan de construction massif de HLM, le retour aux organismes HLM
des années 1960, le retour �* l’aide �* la pierre, et donc la rupture avec
Maastricht ? Faut-il le dire, oui ou non ?
C’est bel et bien Bruxelles qui impose la privatisation du logement HLM
Bruxelles a longtemps voulu faire croire que le logement n’entrait pas
dans ses compétences. Mensonge !
Au nom du principe de la libre concurrence, fer de lance de l’offensive contre les
services publics, l’existence des organismes HLM est directement remise en cause.
« Informations Ouvrières » publie des extraits d’une lettre de l’UEPC
(Union Européenne des Promoteurs Constructeurs) adressée �* la commission
européenne le 5 octobre 2004.
L’UEPC proteste contre la « concurrence déloyale » que représenteraient les aides
publiques accordées aux sociétés publiés de HLM. Elle «estime que la
construction de "logements sociaux" par des organismes �* statut public ou
parapublic est contraire aux principes de la libre concurrence dans l’Union
européenne. »
Pour nous défendre, défendre nos conditions de vie, nos droits,
il n’est qu’un moyen de battre la droite aux prochaines élections :
rompre avec l’Union européenne, ses plans, ses directives
Parce que cela doit être dit, le Parti des travailleurs soutient
Gérard Schivardi, maire de Mailhac et conseiller général de l’Aude,
désigné par des maires comme candidat �* l’élection présidentielle
POUR LA RUPTURE AVEC L’UNION EUROPEENNE.
PARTI DES TRAVAILLEURS,
87, rue du Fbg-St-Denis
75010 PARIS
Tél. : 01.48.01.88.29 - Fax : 01.48.01.89.22 - [email protected]
************************************************** *************************
Pour l'abrogation du Traité de Maastricht,
Pour le retrait immédiat de la République Française de cette Union Européenne :
wen
Dans « Informations Ouvrières » (journal du Parti des Travailleurs –France-
cette semaine (11 au 17 janvier 2007) :
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Derrière le drame des SDF…
LE SCANDALE DE LA DESTRUCTION DES HLM
imposée par l’Union européenne
_ 100 000 personnes vivent dans la rue
_ 100 000 vivent dans un camping ou un mobile home
_ 50 000 vivent dans une chambre d’hôtel
_3 200 000 personnes sont mal logées (logements vétustes,
sur occupés)
_1 300 000 demandes de logement HLM ne sont pas satisfaites
_ M. Borloo annonce triomphalement la mise en chantier de 430 000 logements en
2006. Mais il « oublie » de dire que sur les 408 300 logements construits en 2005, il n’y a
que 54 550 HLM… Et de préciser que, de janvier �* septembre 2006, la part des
logements sociaux a baissé de 46% par rapport �* 2005 !
_ En réalité, il démolit les HLM. Le plan de l’Agence nationale de rénovation urbaine
(ANRU) précipite la catastrophe en décidant la destruction de 250 000 logements HLM ;
_ Le 31 décembre, Jacques Chirac, dans ses voeux, annonce qu’il propose une loi sur
le « droit au logement opposable ». Jean-Louis Borloo annonce aussitôt qu’il avait déj�*
chargé Xavier Emmanuelli, président du Haut Comité pour le logement des personnes
défavorisées, d’élaborer un texte précis pouvant servir de base �* une loi sur le « droit au
logement opposable ». Le 1er janvier 2007, Xavier Emmanuelli s’exclame : « Tout le
monde s’est prononcé pour. » Mais pour quoi, au fait ? Qui peut nous expliquer ? Il n’y
aurait pas, officiellement, 100 000 personnes �* la rue, ce serait simplement risible.
Le « droit au logement opposable » devrait, selon ses initiateurs, permettre aux citoyens
privés de logement d’exiger réparation devant les tribunaux. Comme le souligne un
spécialiste, « l’obligation ne résout pas la pénurie. ». « Qui sera responsable : l’Etat, le
département, la commune, le HLM ? Aucune de ces questions n’a reçu de réponse. »
Toute cette mise en scène pour camoufler que le drame de la question du logement,
dont les SDF sont l’expression la plus terrible, a été méticuleusement organisé depuis
trente ans par les gouvernements successifs pour doper la spéculation et se conformer
aux exigences de l’Union européenne. Une honte !
_ Est-il possible de régler la question du logement sans exiger des pouvoirs
publics un plan de construction massif de HLM, le retour aux organismes HLM
des années 1960, le retour �* l’aide �* la pierre, et donc la rupture avec
Maastricht ? Faut-il le dire, oui ou non ?
C’est bel et bien Bruxelles qui impose la privatisation du logement HLM
Bruxelles a longtemps voulu faire croire que le logement n’entrait pas
dans ses compétences. Mensonge !
Au nom du principe de la libre concurrence, fer de lance de l’offensive contre les
services publics, l’existence des organismes HLM est directement remise en cause.
« Informations Ouvrières » publie des extraits d’une lettre de l’UEPC
(Union Européenne des Promoteurs Constructeurs) adressée �* la commission
européenne le 5 octobre 2004.
L’UEPC proteste contre la « concurrence déloyale » que représenteraient les aides
publiques accordées aux sociétés publiés de HLM. Elle «estime que la
construction de "logements sociaux" par des organismes �* statut public ou
parapublic est contraire aux principes de la libre concurrence dans l’Union
européenne. »
Pour nous défendre, défendre nos conditions de vie, nos droits,
il n’est qu’un moyen de battre la droite aux prochaines élections :
rompre avec l’Union européenne, ses plans, ses directives
Parce que cela doit être dit, le Parti des travailleurs soutient
Gérard Schivardi, maire de Mailhac et conseiller général de l’Aude,
désigné par des maires comme candidat �* l’élection présidentielle
POUR LA RUPTURE AVEC L’UNION EUROPEENNE.
PARTI DES TRAVAILLEURS,
87, rue du Fbg-St-Denis
75010 PARIS
Tél. : 01.48.01.88.29 - Fax : 01.48.01.89.22 - [email protected]
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Pour l'abrogation du Traité de Maastricht,
Pour le retrait immédiat de la République Française de cette Union Européenne :
wen