Victal
22 februari 2007, 15:01
Extrait : La chute d'Allah
Jamais on ne trouve dans le Coran ou la vie de Mahomet de discussion
spirituelle, hormis des slogans assommants. Jamais on ne trouve de
préoccupations mystiques, pour s'accorder avec un code moral supérieur �*
soi-même. Jamais on n'évoque le renoncement aux illusions et aux passions.
Jamais on ne s'interroge sur la fin dernière de l'humanité. Le pardon est
dispensé selon les caprices d'Allah ; la rémission des péchés ne provient
pas d'une transmutation intérieure, mais d'une déclaration de foi mécanique,
d'autant plus affirmée qu'elle ne se concrétise pas dans les oeuvres. On n'y
trouve que la folle fragilité d'un Allah inquiet que ses sujets osent
remercier une divinité subalterne, qu'il a pourtant créée. On n'y clame que
le tragique désespoir d'un Dieu unique, tuant ses créatures après leur avoir
envoyé Satan pour les faire douter ; obligé de massacrer pour obliger �* la
prosternation. On n'y constate que la vertigineuse chute d'Allah dans
l'absolu néant, en guerre contre sa Création, n'ayant pour satisfaction que
des gens serviles, robots sans conscience et sans liberté. On n'y lit que
des plaisirs diaboliques, des menaces et des vengeances.
Les droits de la créature humaine sont bafoués, la trahison est sanctifiée ;
l'abus de confiance est recommandé ; la cruauté, la bassesse, la possession,
la cupidité, sont encouragées ; le mensonge et la dissimulation sont
revendiqués.
La psalmodie fait office de piété, les récitations servent de réflexion, les
litanies remplacent l'élévation. Et le tout, scandé jusqu'�* la transe, pour
oublier, l'espace d'une heure, la tragique condamnation pour le péché, non
celui d'Adam, mais pire encore, pour le péché de vivre. Car qu'un humain
vive insupporte Allah, jaloux de ne pas exister.
Acculé �* subir un destin « attaché �* son cou » dont il ignore la fin, voil�*
l'être humain surveillé pour effectuer des rituels vides de sens, pleurer de
rage et d'amertume devant ce mépris de la création divine et
l'incompréhension ontologique du monde. Qu'elle se soumette, cette engeance
toujours prête �* entrer en rébellion contre Allah, afin qu'il « envoie des
messagers pour les avertir » et éprouver le plaisir de les détruire: « Il
n'est de cité que nous ne ferions périr ou tourmenter d'un fort tourment
avant le Jour de la Résurrection. Cela était tracé dans l'Ecriture. »
(17,58)
L'être se croyait libre : il n'est qu'un étranger sur la terre, esclave
prosterné. Mais, dans sa malédiction, il devra aussi se méfier de son
meilleur ami, peut-être habité par un djinn ; ou de son fils, qui ne le
jugera pas assez croyant et le vouera aux gémonies. Et il devra voir sa mère
ou sa soeur humiliée et frappée, elle, la douce et belle, l'aimante, la
consolatrice, elle seule qui mérite les beaux noms d'Allah. Comme elle est
difficile, l'exigence coranique qui apprend �* mépriser la femme ; �*
transformer la mère, divinité de notre enfance, en créature inférieure,
attendant de peupler l'enfer
Et, pour couronner le tout, le fondement même de la spiritualité -la
compassion- est absente du Coran. La pitié, l'amour, l'élan du coeur vers
celui qui souffre, la sollicitude envers l'âme qui cherche, sont remplacées
par des vociférations sinistres. Sans cesse, Allah est appelé miséricordieux
; mais jamais il n'accorde miséricorde. Sous la plume de rédacteurs
ignorants, il est devenu un être vaniteux et cruel. Tout au plus consent-il
�* accepter la servilité comme gage de soumission ; et son pardon ne concerne
que les doutes sur son existence, puisque les actes sont secondaires. Enfin,
ivre de lui-même, Allah tombe dans le péché suprême d'orgueil, sans aucune
compassion pour sa dramatique destinée de roi brûlant. Ainsi aveuglé par sa
gloire, Allah remplace Lucifer. Il a dépassé ses semblables, Odin, Kâlî,
Shiva, Nergal, Yahvé, Satan, et se retrouve seul au monde.
Le Coran, c'est finalement, sous prétexte de soumission absolue, le meurtre
de Dieu, en le rejetant hors de l'humanité.
Ainsi les légendistes ont été les déclencheurs d'innombrables crimes contre
Allah. Voil�* pourquoi le Coran se reçoit selon la technique du gavage ; la
foi n'est pas nécessaire, car la foi est un choix, et seule la soumission
est tolérée. On peut noter que la fin du débat théologique dans l'islam, au
quatorzième siècle, entraîna une régression durable de cette culture qui
avait su, en traduisant les auteurs grecs et perses, atteindre des sommets
de civilisation.
L'avis d'un lecteur :
Je viens de finir Un Juif nommé Mahomet. Passionnant. Je ne m'étais pas
spécialement penché sur la question de l'existence de Mahomet. Je croyais, �*
lire quelques biographies du personnage, qu'il n'y avait pas de doutes même
si des additions de légendistes avaient forcément pu polluer le récit. Comme
cela venait de l'an 600, donc plus jeune que le Christ, je n'avais pas
creusé la question. Pour le Christ et la Bible, je savais : pas de preuves
concernant Jésus, et des preuves de plagiat pour la Bible. J'avais conclu :
Mahomet était un mauvais qui a pondu un livre en copiant la Bible �* la sauce
arabe.
Erreur.
Je comprends que votre livre ait été refusé. Il y a tant et tant d'arguments
que, forcément, l'un ou l'autre va faire mouche sur le lecteur. Et par
ricochet, d'ailleurs, porter atteinte au personnage du Christ. Donc
problèmes avec les fous dangereux d'Allah et courroux du Vatican.
Dans le genre "comment se faire des ennemis" votre livre est un best-seller
potentiel !
Je vais vous dire l'argument qui m'a définitivement convaincu, genre le
dernier coup de marteau qui enfonce le clou déj�* solidement planté : le
fossé de Médine. J'ai participé �* des fouilles de villas gallo-romaines,
dans un site PLUS ANCIEN que le site potentiel de Médine. Je n'ai rien
trouvé de plus que des bouts de poteries dont le plus grand lot formait au
mieux un fond de vase. En avion, j'ai vu des vestiges de maisons pouvant
remonter jusqu'aux Romains. Je sais qu'il suffit de gratter sous un �* deux
mètres de terre, parfois plus mais pas tant que ça, pour retrouver des
traces remontant �* des époques faramineusement lointaines. 2000 ans ce n'est
rien. 1400 ans encore moins, surtout pour un personnage qui aurait creusé un
fossé suffisamment profond pour être infranchissable �* des fantassins, et
suffisamment large pour être difficilement franchissable �* un cheval. Or, il
est TOTALEMENT évident, que ce fameux fossé de la bataille de Médine
devrait toujours exister ! Comblé, certes, mais toujours l�*. Il est censé
avoir été creusé dans la roche par endroits : la roche n'a pas pu se
reformer (quoique, Allah est grand...) Et le fossé ne pouvait qu'encercler
la ville, plus petite qu'actuellement. Sinon il suffisait de passer par
l'endroit où il n'y avait pas de fossé ! Donc on creuse une tranchée depuis
l'extérieur de la mosquée vers n'importe quelle direction et,
mathématiquement, on coupe le fossé �* un moment ou �* un autre.
[Note du webmaster : en fait ce fameux fossé se serait situé seulement au
nord-ouest de Médine. Les autres directions auraient été fortifiées par des
palmiers empêchant les chevaux de passer. Ce détail mis �* part, le
raisonnement est correct : on devrait effectivement trouver trace de ce
fameux fossé, s'il a existé.]
En plus, quand on fait un fossé, on fait un rempart, au minimum un remblai,
avec les déblais : or le récit ne parle pas de rempart ni de remblai. Si je
me rappelle bien, il y a un duel entre un adepte de Mahomet et un cavalier
qui réussit �* sauter le fossé, et les combattants sont visibles des deux
côtés du fossé, encouragés par leurs armées respectives. Le terrain est donc
�* découvert des deux côtés du fossé. N'importe quoi. J'avais trouvé le
détail bizarre : si un cavalier passe, tous passent ; si on peut voir le
duel, on peut tirer des flèches sur les duellistes, or personne ne bouge.
Les duels qui se déroulent devant deux armées passives, ça n'existe pas.
[Note du webmaster : selon Savary, le fossé est creusé autour des remparts
mais rien n'indique si c'est au pied ou éloigné. Le duel dont il est
question, entre Ali et Amrou, se déroule bien devant les deux armées, et il
n'est pas question de remblais. Le récit n'est effectivement pas très
cohérent tant en ce qui concerne les fortifications qu'en ce qui concerne le
déroulement des combats, d'autant qu'en plus Ali descend dans le fossé pour
tuer un ennemi. Le problème avec ce détail c'est qu'on est en droit de se
demander comment Ali ressort du fossé si ce fossé est infranchissable par
les ennemis...]
Dès que l'on se met �* réfléchir, ça saute aux yeux, oui mais voil�* le
"merveilleux" du récit berce l'intelligence qui s'endort, et la grosse
couleuvre s'avale comme une cuillère de confiture même quand on n'est pas
musulman. Alors ceux qui sont passés par les écoles coraniques, ils ne
risquent pas de réfléchir.
C'est évident, comme vous l'écrivez : deux �* trois mois de fouilles, et
c'est fini, les musulmans sont débarrassés de l'islam.
C'est ahurissant comme c'est simple, et encore plus ahurissant que l'on n'y
pense pas. Voil�* qui montre �* quel point cette manipulation de l'islam est
psychologiquement bien conçue. En fait TOUTES les techniques de la
manipulation sont utilisées dans l'islam, absolument toutes : le lavage de
cerveau par mantras, la démonstration publique de soumission, la pression du
groupe, les non-dits, l'intrumentalisation de la sexualité, la paralysie de
l'intelligence par la double contrainte etc... Moi qui me targue d'être du
genre "on ne me la fait pas !" hé bien je me suis fait "couillonné" par l'
"argument d'autorité" : il existe des livres qui racontent les aventures de
Mahomet, donc Mahomet a existé. Ben non : il existe aussi les aventures de
Tintin, et il n'a jamais existé !
L'archéologie explique de surcroît cette interdiction faite aux
non-musulmans d'aller dans les villes de La Mecque et de Médine. Il faut
absolument que les gens allant dans ces endroits soient aveugles,
psychologiquement parlant, donc musulmans convaincus, et ils ne doivent pas
avoir le temps de réfléchir quand ils viennent. Donc on leur impose des
rituels compliqués, il font ça, et ils repartent. Point. Pas de réflexion,
pas de visite des alentours. Surtout pas ! On retrouve un peu la même chose
dans le pèlerinage au volcan de Lassolas pour l'histoire de Raël. Et le
pèlerinage �* Arès, pour la révélation d'Arès du frère Michel Potay.
Je me demande si de simples photos par satellite ne pourraient pas révéler
l'absence de ce fameux fossé, en comparant avec des photos de sites
similaires connus pour avoir eu des fossés avérés, datant de la même époque,
maintenant comblés mais toujours visibles sur des vues aériennes. Alors qu'a
Médine, rien.
Il y a juste un point sur lequel votre livre est muet. Vous ne dites
absolument rien des reliques de Mahomet. On a son manteau, son turban, ses
épées (�* Topkapi je crois). Quid de ces reliques ? Certes, il ne doit pas y
avoir eu d'études sur le sujet, vu qu'il y a toutes les chances pour que ces
objets soient des faux ne datant même pas de l'époque correcte, et même en
prouvant que ces reliques sont des faux cela ne changerait rien vu que des
études faites sur le suaire de Turin ont démontré qu'il n'avait pas 2000
ans, sans que cela change quoi que ce soit �* la superstition. Mais peut-être
un paragraphe sur votre site pour évacuer le problème des reliques de
Mahomet vous éviterait des critiques sur ce point." (J.D)
A propos du problème des reliques de (et plus généralement : des preuves
http://www.coranix.com/biblio/raquin.htm
--
« Il n'existe pas de nuit assez profonde pour arrêter un rayon de lumière
et pourtant le vide ne s'éclaire pas;
la lumière ne prend corps que dans l'oil qui la reçoit »
Extrait de sous-Bois d'A.G.
Jamais on ne trouve dans le Coran ou la vie de Mahomet de discussion
spirituelle, hormis des slogans assommants. Jamais on ne trouve de
préoccupations mystiques, pour s'accorder avec un code moral supérieur �*
soi-même. Jamais on n'évoque le renoncement aux illusions et aux passions.
Jamais on ne s'interroge sur la fin dernière de l'humanité. Le pardon est
dispensé selon les caprices d'Allah ; la rémission des péchés ne provient
pas d'une transmutation intérieure, mais d'une déclaration de foi mécanique,
d'autant plus affirmée qu'elle ne se concrétise pas dans les oeuvres. On n'y
trouve que la folle fragilité d'un Allah inquiet que ses sujets osent
remercier une divinité subalterne, qu'il a pourtant créée. On n'y clame que
le tragique désespoir d'un Dieu unique, tuant ses créatures après leur avoir
envoyé Satan pour les faire douter ; obligé de massacrer pour obliger �* la
prosternation. On n'y constate que la vertigineuse chute d'Allah dans
l'absolu néant, en guerre contre sa Création, n'ayant pour satisfaction que
des gens serviles, robots sans conscience et sans liberté. On n'y lit que
des plaisirs diaboliques, des menaces et des vengeances.
Les droits de la créature humaine sont bafoués, la trahison est sanctifiée ;
l'abus de confiance est recommandé ; la cruauté, la bassesse, la possession,
la cupidité, sont encouragées ; le mensonge et la dissimulation sont
revendiqués.
La psalmodie fait office de piété, les récitations servent de réflexion, les
litanies remplacent l'élévation. Et le tout, scandé jusqu'�* la transe, pour
oublier, l'espace d'une heure, la tragique condamnation pour le péché, non
celui d'Adam, mais pire encore, pour le péché de vivre. Car qu'un humain
vive insupporte Allah, jaloux de ne pas exister.
Acculé �* subir un destin « attaché �* son cou » dont il ignore la fin, voil�*
l'être humain surveillé pour effectuer des rituels vides de sens, pleurer de
rage et d'amertume devant ce mépris de la création divine et
l'incompréhension ontologique du monde. Qu'elle se soumette, cette engeance
toujours prête �* entrer en rébellion contre Allah, afin qu'il « envoie des
messagers pour les avertir » et éprouver le plaisir de les détruire: « Il
n'est de cité que nous ne ferions périr ou tourmenter d'un fort tourment
avant le Jour de la Résurrection. Cela était tracé dans l'Ecriture. »
(17,58)
L'être se croyait libre : il n'est qu'un étranger sur la terre, esclave
prosterné. Mais, dans sa malédiction, il devra aussi se méfier de son
meilleur ami, peut-être habité par un djinn ; ou de son fils, qui ne le
jugera pas assez croyant et le vouera aux gémonies. Et il devra voir sa mère
ou sa soeur humiliée et frappée, elle, la douce et belle, l'aimante, la
consolatrice, elle seule qui mérite les beaux noms d'Allah. Comme elle est
difficile, l'exigence coranique qui apprend �* mépriser la femme ; �*
transformer la mère, divinité de notre enfance, en créature inférieure,
attendant de peupler l'enfer
Et, pour couronner le tout, le fondement même de la spiritualité -la
compassion- est absente du Coran. La pitié, l'amour, l'élan du coeur vers
celui qui souffre, la sollicitude envers l'âme qui cherche, sont remplacées
par des vociférations sinistres. Sans cesse, Allah est appelé miséricordieux
; mais jamais il n'accorde miséricorde. Sous la plume de rédacteurs
ignorants, il est devenu un être vaniteux et cruel. Tout au plus consent-il
�* accepter la servilité comme gage de soumission ; et son pardon ne concerne
que les doutes sur son existence, puisque les actes sont secondaires. Enfin,
ivre de lui-même, Allah tombe dans le péché suprême d'orgueil, sans aucune
compassion pour sa dramatique destinée de roi brûlant. Ainsi aveuglé par sa
gloire, Allah remplace Lucifer. Il a dépassé ses semblables, Odin, Kâlî,
Shiva, Nergal, Yahvé, Satan, et se retrouve seul au monde.
Le Coran, c'est finalement, sous prétexte de soumission absolue, le meurtre
de Dieu, en le rejetant hors de l'humanité.
Ainsi les légendistes ont été les déclencheurs d'innombrables crimes contre
Allah. Voil�* pourquoi le Coran se reçoit selon la technique du gavage ; la
foi n'est pas nécessaire, car la foi est un choix, et seule la soumission
est tolérée. On peut noter que la fin du débat théologique dans l'islam, au
quatorzième siècle, entraîna une régression durable de cette culture qui
avait su, en traduisant les auteurs grecs et perses, atteindre des sommets
de civilisation.
L'avis d'un lecteur :
Je viens de finir Un Juif nommé Mahomet. Passionnant. Je ne m'étais pas
spécialement penché sur la question de l'existence de Mahomet. Je croyais, �*
lire quelques biographies du personnage, qu'il n'y avait pas de doutes même
si des additions de légendistes avaient forcément pu polluer le récit. Comme
cela venait de l'an 600, donc plus jeune que le Christ, je n'avais pas
creusé la question. Pour le Christ et la Bible, je savais : pas de preuves
concernant Jésus, et des preuves de plagiat pour la Bible. J'avais conclu :
Mahomet était un mauvais qui a pondu un livre en copiant la Bible �* la sauce
arabe.
Erreur.
Je comprends que votre livre ait été refusé. Il y a tant et tant d'arguments
que, forcément, l'un ou l'autre va faire mouche sur le lecteur. Et par
ricochet, d'ailleurs, porter atteinte au personnage du Christ. Donc
problèmes avec les fous dangereux d'Allah et courroux du Vatican.
Dans le genre "comment se faire des ennemis" votre livre est un best-seller
potentiel !
Je vais vous dire l'argument qui m'a définitivement convaincu, genre le
dernier coup de marteau qui enfonce le clou déj�* solidement planté : le
fossé de Médine. J'ai participé �* des fouilles de villas gallo-romaines,
dans un site PLUS ANCIEN que le site potentiel de Médine. Je n'ai rien
trouvé de plus que des bouts de poteries dont le plus grand lot formait au
mieux un fond de vase. En avion, j'ai vu des vestiges de maisons pouvant
remonter jusqu'aux Romains. Je sais qu'il suffit de gratter sous un �* deux
mètres de terre, parfois plus mais pas tant que ça, pour retrouver des
traces remontant �* des époques faramineusement lointaines. 2000 ans ce n'est
rien. 1400 ans encore moins, surtout pour un personnage qui aurait creusé un
fossé suffisamment profond pour être infranchissable �* des fantassins, et
suffisamment large pour être difficilement franchissable �* un cheval. Or, il
est TOTALEMENT évident, que ce fameux fossé de la bataille de Médine
devrait toujours exister ! Comblé, certes, mais toujours l�*. Il est censé
avoir été creusé dans la roche par endroits : la roche n'a pas pu se
reformer (quoique, Allah est grand...) Et le fossé ne pouvait qu'encercler
la ville, plus petite qu'actuellement. Sinon il suffisait de passer par
l'endroit où il n'y avait pas de fossé ! Donc on creuse une tranchée depuis
l'extérieur de la mosquée vers n'importe quelle direction et,
mathématiquement, on coupe le fossé �* un moment ou �* un autre.
[Note du webmaster : en fait ce fameux fossé se serait situé seulement au
nord-ouest de Médine. Les autres directions auraient été fortifiées par des
palmiers empêchant les chevaux de passer. Ce détail mis �* part, le
raisonnement est correct : on devrait effectivement trouver trace de ce
fameux fossé, s'il a existé.]
En plus, quand on fait un fossé, on fait un rempart, au minimum un remblai,
avec les déblais : or le récit ne parle pas de rempart ni de remblai. Si je
me rappelle bien, il y a un duel entre un adepte de Mahomet et un cavalier
qui réussit �* sauter le fossé, et les combattants sont visibles des deux
côtés du fossé, encouragés par leurs armées respectives. Le terrain est donc
�* découvert des deux côtés du fossé. N'importe quoi. J'avais trouvé le
détail bizarre : si un cavalier passe, tous passent ; si on peut voir le
duel, on peut tirer des flèches sur les duellistes, or personne ne bouge.
Les duels qui se déroulent devant deux armées passives, ça n'existe pas.
[Note du webmaster : selon Savary, le fossé est creusé autour des remparts
mais rien n'indique si c'est au pied ou éloigné. Le duel dont il est
question, entre Ali et Amrou, se déroule bien devant les deux armées, et il
n'est pas question de remblais. Le récit n'est effectivement pas très
cohérent tant en ce qui concerne les fortifications qu'en ce qui concerne le
déroulement des combats, d'autant qu'en plus Ali descend dans le fossé pour
tuer un ennemi. Le problème avec ce détail c'est qu'on est en droit de se
demander comment Ali ressort du fossé si ce fossé est infranchissable par
les ennemis...]
Dès que l'on se met �* réfléchir, ça saute aux yeux, oui mais voil�* le
"merveilleux" du récit berce l'intelligence qui s'endort, et la grosse
couleuvre s'avale comme une cuillère de confiture même quand on n'est pas
musulman. Alors ceux qui sont passés par les écoles coraniques, ils ne
risquent pas de réfléchir.
C'est évident, comme vous l'écrivez : deux �* trois mois de fouilles, et
c'est fini, les musulmans sont débarrassés de l'islam.
C'est ahurissant comme c'est simple, et encore plus ahurissant que l'on n'y
pense pas. Voil�* qui montre �* quel point cette manipulation de l'islam est
psychologiquement bien conçue. En fait TOUTES les techniques de la
manipulation sont utilisées dans l'islam, absolument toutes : le lavage de
cerveau par mantras, la démonstration publique de soumission, la pression du
groupe, les non-dits, l'intrumentalisation de la sexualité, la paralysie de
l'intelligence par la double contrainte etc... Moi qui me targue d'être du
genre "on ne me la fait pas !" hé bien je me suis fait "couillonné" par l'
"argument d'autorité" : il existe des livres qui racontent les aventures de
Mahomet, donc Mahomet a existé. Ben non : il existe aussi les aventures de
Tintin, et il n'a jamais existé !
L'archéologie explique de surcroît cette interdiction faite aux
non-musulmans d'aller dans les villes de La Mecque et de Médine. Il faut
absolument que les gens allant dans ces endroits soient aveugles,
psychologiquement parlant, donc musulmans convaincus, et ils ne doivent pas
avoir le temps de réfléchir quand ils viennent. Donc on leur impose des
rituels compliqués, il font ça, et ils repartent. Point. Pas de réflexion,
pas de visite des alentours. Surtout pas ! On retrouve un peu la même chose
dans le pèlerinage au volcan de Lassolas pour l'histoire de Raël. Et le
pèlerinage �* Arès, pour la révélation d'Arès du frère Michel Potay.
Je me demande si de simples photos par satellite ne pourraient pas révéler
l'absence de ce fameux fossé, en comparant avec des photos de sites
similaires connus pour avoir eu des fossés avérés, datant de la même époque,
maintenant comblés mais toujours visibles sur des vues aériennes. Alors qu'a
Médine, rien.
Il y a juste un point sur lequel votre livre est muet. Vous ne dites
absolument rien des reliques de Mahomet. On a son manteau, son turban, ses
épées (�* Topkapi je crois). Quid de ces reliques ? Certes, il ne doit pas y
avoir eu d'études sur le sujet, vu qu'il y a toutes les chances pour que ces
objets soient des faux ne datant même pas de l'époque correcte, et même en
prouvant que ces reliques sont des faux cela ne changerait rien vu que des
études faites sur le suaire de Turin ont démontré qu'il n'avait pas 2000
ans, sans que cela change quoi que ce soit �* la superstition. Mais peut-être
un paragraphe sur votre site pour évacuer le problème des reliques de
Mahomet vous éviterait des critiques sur ce point." (J.D)
A propos du problème des reliques de (et plus généralement : des preuves
http://www.coranix.com/biblio/raquin.htm
--
« Il n'existe pas de nuit assez profonde pour arrêter un rayon de lumière
et pourtant le vide ne s'éclaire pas;
la lumière ne prend corps que dans l'oil qui la reçoit »
Extrait de sous-Bois d'A.G.