Bamako sur Seine
24 februari 2007, 03:51
http://www.thefirstpost.co.uk/index.php?menuID=1&subID=1155
Mettons de côté quelques instants le débat sur la réalité du
changement climatique, son origine humaine - vs. par exemple une
origine "solaire", ou ses conséquences (cf. la révision �* la baisse
des prévisions du GIEC mais avec plus de certitude).
Le magazine en-ligne anglais The First Post, plutôt marqué au centre
gauche, nous propose un article rafraichissant sur les
conséquences ... positives dudit changement !
En vrac, le magazine évoque les conséquences suivantes :
* nouvelles terres cultivables, par exemple au Canada, en Russie
ou en Angleterre, selon le climatologiste Bjorn Lomberg. Par ailleurs
le réchauffement facilitera les cultures, et devrait en général
améliorer les rendements.
* baisse de la mortalité due aux "maladies du froid", dont la
grippe.
* baisse de la consommation énergétique grâce �* des températures
plus élevées, libération de ressources, dont énergétique, par la fonte
partielle des glaces.
* pour les pays en développement, assèchement de certaines zones
humides, alors que paradoxalement certaines zones victimes de
sècheresse devraient bénéficier de pluie supplémentaire.
Selon Benny Peiser, socio-anthropologue �* l'université John Moores de
Liverpool, l'humanité a plus prospéré et mieux vécu pendant les
périodes chaudes que les périodes froides.
" From a purely evolutionary point of view, warm periods have been
exceptionally good to mankind. Cold periods have been the troublesome
ages."
Voila une approche qui me plait, celle du pragmatisme face au
grotesque et mensonger catastrophisme nourri par les médias français
et leurs égéries Nicolas Hulot ou Mr. Arthus-Bertrand. Mensonger, car
lorsqu'on prétend qu'il faut "sauver la planète", on est dans le
domaine de la blague. La planète ne risque rien, c'est le "troupeau
humain" et les écosystèmes qu'il a créé autour de lui depuis des
millénaires qui devront s'adapter.
Mettons de côté quelques instants le débat sur la réalité du
changement climatique, son origine humaine - vs. par exemple une
origine "solaire", ou ses conséquences (cf. la révision �* la baisse
des prévisions du GIEC mais avec plus de certitude).
Le magazine en-ligne anglais The First Post, plutôt marqué au centre
gauche, nous propose un article rafraichissant sur les
conséquences ... positives dudit changement !
En vrac, le magazine évoque les conséquences suivantes :
* nouvelles terres cultivables, par exemple au Canada, en Russie
ou en Angleterre, selon le climatologiste Bjorn Lomberg. Par ailleurs
le réchauffement facilitera les cultures, et devrait en général
améliorer les rendements.
* baisse de la mortalité due aux "maladies du froid", dont la
grippe.
* baisse de la consommation énergétique grâce �* des températures
plus élevées, libération de ressources, dont énergétique, par la fonte
partielle des glaces.
* pour les pays en développement, assèchement de certaines zones
humides, alors que paradoxalement certaines zones victimes de
sècheresse devraient bénéficier de pluie supplémentaire.
Selon Benny Peiser, socio-anthropologue �* l'université John Moores de
Liverpool, l'humanité a plus prospéré et mieux vécu pendant les
périodes chaudes que les périodes froides.
" From a purely evolutionary point of view, warm periods have been
exceptionally good to mankind. Cold periods have been the troublesome
ages."
Voila une approche qui me plait, celle du pragmatisme face au
grotesque et mensonger catastrophisme nourri par les médias français
et leurs égéries Nicolas Hulot ou Mr. Arthus-Bertrand. Mensonger, car
lorsqu'on prétend qu'il faut "sauver la planète", on est dans le
domaine de la blague. La planète ne risque rien, c'est le "troupeau
humain" et les écosystèmes qu'il a créé autour de lui depuis des
millénaires qui devront s'adapter.