PDA

View Full Version : De nieuwe Sorel heet: Soral


Volksstormer
11 april 2007, 17:59
De campagne van Jean-Marie Le Pen wordt sedert enkele maanden gesteund door de marxistische socioloog en schrijver Alain Soral. Deze nationaal-populist of linkse nationalist staat bekend als een opposant van het neoliberalisme, het communautarisme, het atlantisme, het zionisme... Kortom, van alles wat het kernprogramma vormt van de "rechtse" Sarközy en misschien in iets minder mate van zijn "linkse" pendant Royal.

Soral plaatste het antineoliberale nationalisme/gaullisme van Le Pen in een radio-interview (http://www.youtube.com/watch?v=7qyTQ_f-4mc) op dezelfde lijn als dat van Chavez of Castro. Dat was dan nog een van zijn meer gematigde uitspraken.

Bij de Europese verkiezingen van 2004 steunde hij nog de Lijst Euro-Palestine van de zwarte cabaretier Diedonné M'bala M'bala, die ondertussen ook het FN steunt.

Le Pen slaagt er stilaan in een brede oppositie - over de grenzen van religie of afkomst heen - rond zich te verenigen van allen die de ondermijning van Frankrijk door het neoliberalisme, het multiculturalisme, het neoconservatisme afwijzen.

http://lesnationalistesaveclepen.blogspot.com/2007/03/de-soral-sorel-le-nationalisme-de.html

Metternich
11 april 2007, 19:04
Le Pen slaagt er stilaan in een brede oppositie - over de grenzen van religie of afkomst heen -Of hoe ook Le Pen aan een verruimingsbeweging begint. Multiculturaliteit, ook bij het FN...

Volksstormer
11 april 2007, 20:19
Of hoe ook Le Pen aan een verruimingsbeweging begint. Multiculturaliteit, ook bij het FN...

Hoe wil je afrekenen met een door internationale 'consensus' (pressie) in stand gehouden maatschappijmodel? Toverstokjes bestaan niet, hé! Trouwens, een immigrant van de derde of vierde generatie heeft er ook niet om gevraagd hier te leven en heeft dikwijls evenzeer de pest aan dit 'model' als de autochtone Fransman.

Neen, vermenging en identiteitsverlies aanprijzen onder het mom van "diversiteit" is de merde van deze tijd. Partijen die "assimilatie" en "islamofobie" aanprijzen als alternatief zijn evenzeer merde. Het enige wat ze daarmee in feite aanmoedigen, is de sympathie van gecastreerd Europa voor het Israëlisch-Amerikaanse condominium, de hoeders van de internationale 'consensus' en het internationale status-quo.

Net zoals "Rooie Danny" in mei '68 een Amerikaanse agent* was, zijn de "communautaristen" dat nu. Beiden beogen immers de "gaullistische" en anti-atlantistische erfenis kapot te maken. Het gaullisme was immers een ideologie die het potentieel had om de Europese as Parijs-Berlijn-Moskou te verwezenlijken.
* President Pompidou heeft later binnenskamers verklaard om die reden Cohn-Bendit het land te hebben uitgezet.

West-Europese landen en hun maatschappijen destabiliseren door lobbyisme, communautarisme, pluralisme, mensenrechtenactivisme, enz. is de verborgen agenda van de VSA. De plan voor een NAVO-interventie liggen al klaar bij de Veiligheidsraad voor het geval er zich etnische onlusten in West-Europa zouden voordien.
Stel: de NAVO intervenieert in Vlaanderen-België, dan zal de vraag voor de nationalist niet meer zijn "Vlaanderen of België?", maar een "VN-protectoraat of niet?". Het geval "Kosovo" is nog niet zo lang geleden en het is ook niet zo bijster ver van hier...

Neen, het multiculturele vraagstuk oplossen vereist tact en inzicht en Le Pen heeft dat. Als hij erin slaagt om de moslims uit te spelen tegen de VSA, dan neutraliseert hij de dreiging van het "communautarisme" en neutraliseert hij dus de bedoelingen van de VSA.

Volksstormer
13 april 2007, 10:35
De Franse presidentsverkiezingen in het licht van de internationale politiek:

Interview de Rivarol 6 avril 2007 mis en ligne sur le site d’Alain Soral

Agé de 48 ans et ancien militant du Parti communiste, l’écrivain Alain Soral qui dispose sur le net d’un site très bien fait, et �* qui l’on doit plusieurs essais - ” Chute ! “, ” Eloge de la disgrâce ” (2006), ” Sociologie du dragueur ” (2004), ” Misères du désir ” (2004), ” Socrate �* Saint-Tropez ” (2003), ” Jusqu’où va-t-on descendre ? ” (2002), ” La Vie d’un vaurien ” (2001), ” Vers la féminisation ” (1999) et ” Les mouvements de mode expliqués aux parents ” (1984) - a rejoint l’année dernière l’Union patriotique dans le cadre de la campagne électorale. Il est l’un des conseillers politiques de Jean-Marie Le Pen et livre une analyse pour le moins originale de la présidentielle.

RIVAROL : Pour vous, les Américains jouent un rôle majeur dans le scrutin présidentiel. Pourquoi interviennent-ils dans cette élection ?

ALAIN SORAL : Reprenons les événements dans l’ordre chronologique : il y a eu le coup de semonce du 21 avril 2002 avec la présence de Le Pen au second tour. L’année suivante, les Français refusent de participer �* la seconde guerre d’Irak, de sorte que les Américains doivent y aller sans le tampon de l’ONU, et donc �* leurs frais (au lieu des 30 % payés lors de la première guerre du Golfe en 1991, ils doivent verser 100 %, ce qui est beaucoup plus cher). Dès lors, commencent �* paraître des écrits néo-conservateurs dans lesquels la France est présentée comme LE problème en Europe, c’est-�*-dire comme l’obstacle majeur �* la domination de l’Europe par les Américains. Puis le vrai moment décisif, c’est en 2005 le non �* la Constitution européenne. Chirac organise un référendum parce qu’il est convaincu qu’avec la puissance médiatique la victoire du oui est assurée. Le non l’emporte en France puis aux Pays-Bas �* la grande fureur des Etats-Unis car l’Europe de Monnet et Cassin est depuis 1945 un projet américain.

Le pouvoir US voyant se profiler la présidentielle de 2007 craint cette continuation de l’incontrôlable. Les Etats-Unis décident alors �* leur manière, maladroite et brutale, de changer le jeu électoral français. Puisque c’est �* cause de la multiplicité des petits candidats qu’en 2002 LePen s’est hissé au second tour, il faut assurer en 2007 la finale avec les deux duettistes pré-sélectionnés et sous contrôle. D’où le financement massif des deux candidats du système UMPS dans une logique démocrates contre républicains, Kerry contre Bush, bonnet blanc blanc bonnet. Deux candidats proposant exactement la même gestion avec quelques nuances sociétales pour masquer que ces choix se situent toujours en dehors du sérieux que sont laquestion des peuples et le rapport capital-travail.

R. : Mais comment, concrètement, les Etats-Unis pilotent-ils ces élections ?

A.S. : La société de communication démocrate qui soutenait Clinton aide �* la création du phénomène Ségolène, création qui, dans la logique américaine, va jusqu’au remodelage chirurgical ! Tout cela a été planifié, fait suffisamment tôt pour qu’on ait aujourd’hui une Royal �* la mâchoire modifiée, aux dents blanchies, �* la peau retendue. Tout ça dans le silence assourdissant des grands media, alors que ces modifications assez visibles auraient pu faire d’excellents sujets… ce qui prouve leur complicité.

Quant �* Sarkozy, est-il besoin d’y insister, c’est un pur agent néo-conservateur, le candidat des républicains en partie financé par de puissants lobbies américains. N’est-il pas allé �* New York rencontrer les dirigeants de l’AIPAC (American-Israël Political Action Committee) et de l’American Jewish Committee ? Rappelons aussi qu’aussitôt élu �* la tête de l’ UMP, il a fait entonner ” La Marseillaise ” par la chanteuse Shirel, qui a choisi la nationalité israélienne, en duo c’est vrai avec une beurette fille de harkie, quel beau symbole ! Son premier voyage officiel après cette prise de pouvoir fut aussi pour l’Etat d’Israël. Sans compter les nominations récurrentes du très légitime et très crédible Arno Klarsfeld, lui-même réserviste dans l’armée israélienne !

Avec Sarko et Royal, les démocrates d’un côté et les néo-conservateurs américains de l’autre ont mis en oeuvre �* peu près la même stratégie qu’ils avaient employée pour faire réélire Eltsine en Russie : compenser la médiocrité objective de ces candidats - aucun des deux n’ayant la stature de chef d’ Etat - par beaucoup d’argent et de paillettes ! Mais pour que cette opération réussisse, il fallait aussi empêcher les petits candidats d’ obtenir leurs cinq cents parrainages. Il existe ainsi des témoignages de plusieurs prétendants �* qui l’on a volé des promesses de signatures, des ordinateurs qui ont été victimes de piratages informatiques, probablement avec le relais d’officines proches d’un certain ministère… Il fallait abolir le premier tour de deux manières : d’une part réserver la qualification �* quatre ou cinq candidats sous contrôle et, pour compenser l’ appauvrissement du spectacle, instituer dans les deux grands partis des primaires. Aussi le PS a-t-il organisé des primaires �* l’américaine, aussi spectaculaires qu’inutiles, avec la juxtaposition de trois monologues, sans aucun affrontement entre Ségolène et deux faire-valoir, Strauss-Kahn et Fabius.

Ce qui est amusant, c’est que Ségolène, qui est adoubée en externe par les démocrates américains, a été promue en interne par quelques milliers de retraités de l’enseignement public, lesquels ont voulu porter une femme au pouvoir parce qu’ils pensent que c’est moderne, alors que cette idée, phare il y a 20 ans, est aujourd’hui totalement périmée. Les gens, face �* la crise de l’ordre, voulant au contraire de l’autorité, du phallus. C’est dire la totale ringardise des militants socialistes !

R. : Mais justement Ségolène Royal prétend défendre ” l’ordre juste ” et rétablir l’autorité…

A.S. : Ségolène, il est vrai, est un monstre hybride : elle est fille de militaire, une partie de sa famille est de sensibilité frontiste, affectivement, par son éducation, par ses origines, elle est profondément de droite. En mettant en scène sa candidature, ses mentors ont joué la carte -illisible - d’une femme-homme politique de gauche-droite qui peut prendre la défense des illégaux un jour et affirmer le lendemain que tous les Français devraient avoir chez eux le drapeau tricolore et le brandir �* leur fenêtre chaque 14-Juillet. Même Le Pen n’oserait pas demander un tel débordement de patriotisme. Avec Ségolène �* sa tête, la gauche PS, réduite au féminin, va achever ce déclin amorcé il y a 5 ans et boire le calice jusqu’�* la lie. Ça va être la fin, enfin, de la génération 68.

Pendant ce temps, de l’autre côté, la droite postchiraquienne, qui sent le vent tourner, pille sans vergogne les thèmes du Front national. Preuve que les problématiques de nation, d’enracinement, d’identité, les dangers du communautarisme sont devenus incontournables face �* des Français qui se posent de plus en plus la question de leur avenir en tant que peuple et en tant que nation.

Face �* ce retour �* des préoccupations nationales, Sarko n’est pas seulement le candidat de l’étranger. C’est un candidat étranger �* la France et �* ce qu’elle incarne. C’est pourquoi, des trois rivaux de Le Pen pour le deuxième tour, c’est en réalité, et contrairement aux apparences, le plus éloigné. Car s’il aborde les mêmes sujets : l’immigration, la sécurité, il est l�* pour liquider notre exception française, la plier au modèle anglo-saxon. A la manière des USA dans les Balkans, Sarko promeut �* la fois l’islam, en proposant le financement étatique de mosquées cathédrales, tout en stigmatisant les musulmans, pour en faire les boucs émissaires de l’Occident judéo-chrétien, selon la stratégie des néo-cons américains. Enfin, ce qui rend Sarko encore plus antipathique que les autres candidats, c’est ce mépris affiché pour la grandeur française, comme quand il va �* Washington fustiger l’” arrogance française ” en politique étrangère ! Autant dire que sitôt élu, il liquidera ce qu’il reste du Quai d’Orsay et de sa politique relativement équilibrée au Moyen-Orient.

R. : Ce que François Léotard appelle dans ” Tribune juive ” l’antisémitisme du Quai-d’Orsay…

A.S : Oui. Un positionnement explicite qui ne lui a finalement pas rapporté ! Ni �* Madelin non plus d’ailleurs, autre membre de la bande des quadras, lui aussi quasiment disparu de la politique. Il est �* noter que ces politiques qui ont fait allégeance �* la même puissance, croyant ainsi favoriser leur carrière, sont pratiquement tous tombés dans l’oubli. Regardez Villiers, qui a fait récemment le même choix en contradiction avec son électorat, le voil�* lui aussi qui dégringole dans les sondages jusqu’�* pratiquement disparaître ! Comme quoi, en politique, le soutien de puissants réseaux ne suffit pas si en échange, on s’aliène son électorat. Finalement, le seul personnage public �* avoir refusé systématiquement de se soumettre aux puissances depuis cinquante ans, c’est Le Pen, et lui est l�* et bien l�* ! De manière subliminale, les Français le respectent pour sa capacité de résistance. Ils ne savent pas trop �* quoi il résiste, mais ils le sentent…

A force de harcèlement médiatique, ils ont aussi fini par comprendre que le seul moyen de vérifier qu’un candidat est réellement indépendant du Système, c’est de voir s’il est ou non diabolisé par les media. Le Pen est dans le collimateur permanent des journalistes, Besancenot ne l’est pas… L’un est internationaliste, donc mondialiste, plaide pour la régularisation des sans-papiers comme Berlusconi et Zapatero, l’autre pas ! Et malgré cette injuste inégalité de traitement, cet acharnement, infiniment plus d’ouvriers français votent pour le FN que pour la LCR. Finalement le peuple français n’ est pas si bête !

R. : Comment analyser le phénomène Bayrou ?

A.S. : Voyant que le duo �* l’américaine Ségo-Sarko commençait �* lasser les Français et que Le Pen était clairement le troisième homme, nos metteurs en scène hollywoodiens ont poussé Bayrou, afin qu’il nous rejoue le rôle dévolu �* Chevènement il y a cinq ans. Le Béarnais est un rival médiatique du président du FN, puisqu’il lui dérobe la place du troisième homme dans ces mêmes media - c’est son rôle objectif - mais il n’est pas un rival politique : Bayrou prend des voix aux deux principaux candidats du Système, d’abord Ségolène, ensuite Sarko, mais pas �* Le Pen. Les vrais anti-Système, ceux qui ont voté non au référendum sur la Constitution européenne, savent que Bayrou n’est pas crédible puisque de tous, c’est le plus européiste. Des trois candidats promus, il est même celui qui va le plus loin dans le désir d’ erreur, puisqu’il ose se réclamer de Jacques Delors, l’incarnation parfaite de cette Europe technocratique et mondialiste dont les Français ne veulent plus !

En terme de blocage politique, Bayrou est sans doute aussi ce qui peut nous arriver de plus catastrophique : le retour �* cette cohabitation qui a paralysé la France et qui consiste �* prendre le pire de la droite et le pire de la gauche pour continuer �* regarder, impuissant, le pays dégringoler. Avec ça comme programme, ça ne m’étonnerait pas qu’il finisse par redégringoler lui aussi dans les sondages !

De toute façon, que ce soit Sarko, Ségo ou Bayrou qui soit élu le 6 mai, la France qui vient sera ingouvernable…

R. : Que voulez-vous dire ?

A.S. : Ecoutez, quoi qu’il arrive, je suis convaincu d’une chose : la France va exploser dans les deux ans qui viennent. On se dirige vers des conflits politiques et sociaux extrêmement durs. Même si le Système se survit �* lui-même en plaçant l’un de ses trois candidats, comme de toute façon Bayrou, Ségo ou Sarko sont l�* pour continuer �* faire la même politique euro-mondialiste refusée par les Français auxquels elle cause tant de souffrances, l’explosion est inévitable. Nous ne sommes plus dans le schéma des Trente Glorieuses où ce qui était issu du CNR, de Yalta et du Plan Marshall était globalement profitable au peuple français, en termes d’élévation du niveau de vie, de sorte que nos compagnons pouvaient accepter de collaborer �* cette américanisation de leur cadre de vie malgré les soumissions que cela imposait sur les plans culturels et éthiques…

Aujourd’hui, au contraire, cette soumission appauvrit notre peuple sur tous les plans, matériels et spirituels. Et cette situation, clairement identifiée depuis le non au référendum, ne peut donc plus durer très longtemps, surtout quand les classes moyennes sont �* leur tour touchées de plein fouet. L’Etablissement n’ayant ni le désir ni les moyens de faire une autre politique, il est comme l’entreprise capitaliste : il navigue �* vue, truque ses bilans pour retarder la faillite et sait qu’il n’aura plus d’autre choix ensuite qu’entre la prison et le banditisme, ce qui se traduit en politique par la révolution ou le passage en force !

En toute logique, si le peuple ne gagne pas demain ce combat, nous allons assister en France �* la mise en place d’un discret mais efficace Etat policier. Une dictature orwellienne où pour notre bien-être, notre santé, il devient interdit de boire, de fumer, de se réunir, de conduire sa voiture comme un homme, un pays où les infos ne parlent plus que de la météo et des soldes, pendant que nos soldats de métiers s’en iront mourir contre nos intérêts en Iran et que la généralisation du vote électronique achèvera de régler la pénible incertitude des élections pour ceux qui les financent !

D’où la nécessité impérieuse de voter Le Pen, vite, avant que nous basculions dans un monde où l’existence même de ce genre de personnage incontrôlable et hors normes aura été rendue impossible !

Propos recueillis par Jérôme Bourdon

http://fr.altermedia.info/general/alain-soral-sur-les-presidentielles_10633.html

Praetorian
13 april 2007, 10:52
Sorel was een anarcho-syndicalist, geen fascist. Gelieve zijn gedachtegoed niet te verkrachten zoals ze dat in de jaren '30 deden.

Volksstormer
13 april 2007, 10:58
Sorel was een anarcho-syndicalist, geen fascist. Gelieve zijn gedachtegoed niet te verkrachten zoals ze dat in de jaren '30 deden.
Het is nochtans Zeev Sternhell die daarmee begonnen is. :-P

Maar goed, het gaat hier om Alain Soral.

Praetorian
13 april 2007, 11:38
Het is nochtans Zeev Sternhell die daarmee begonnen is. :-P

Maar goed, het gaat hier om Alain Soral.Bedankt voor de referentie (even google gebruikt).
Maar heb jij nu al eens Sorel zelf gelezen?

Volksstormer
13 april 2007, 14:11
Bedankt voor de referentie (even google gebruikt).
Maar heb jij nu al eens Sorel zelf gelezen?
Neen, ik heb mij beperkt tot de betere tijdschriftlectuur over Sorel (TeKoS, Vouloir, enz.). Voorlopig is hij geen prioriteit op mijn lectuurlijst.