Micele |
26 november 2013 11:19 |
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Oorspronkelijk geplaatst door Micele
(Bericht 6902551)
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btw omstreeks "Roswell"
Citaat:
http://www.meessen.net/AMeessen/Ufologie/
Inforespace: 101, décembre 2000, 4-56. Internet: février 2001
Où en sommes-nous en ufologie ?
A. Meessen, professeur émérite �* l'U.C.L.
1.
2.
3. La psychosociologie humaine
-La difficulté des changements de paradigme
...
- Le crash de Roswell et ses conséquences
Comme toute personne qui a étudié le dossier de Roswell d'une manière approfondie, Guérin est convaincu que ce crash a été �* l'origine d'une vaste opération de désinformation du public de la part des autorités politiques et militaires des Etats-Unis. Ce sujet a éte traité en particulier par Kevin Randle et Donald Schmitt [49]. Le premier auteur est capitaine de l'US Air Force et le second, est le directeur des investigations spéciales du CUFOS. Je recommande tout spécialement le petit livre [50] lucide et bien documenté du Commandant Jean-Gabriel Gressé. Il présente certains faits dans un ordre chronologique différent de celui auquel on s'était habitué. Puisque le crash de Roswell fournit la clef pour comprendre l'attitude que les pouvoirs politiques et militaires des Etats-Unis ont adoptée par rapport au phénomène ovni, j'exposerai brièvement cette dernière version, en tenant compte aussi d'autres données.
Les Services secrets américains avaient déj�* été alertés en 1946 par les observations faites en Europe (Suède, Portugal et Grèce) et encore plus par celles qu'on fit en juin et au début de juillet 1947 près des grandes bases militaires et au-dessus de centres de recherches nucléaires ultra-secrets des Etats-Unis. Un de ces objets s'est craché au cours de la nuit du 2 au 3 juillet 1947. En fait, on ne peut pas exclure qu'il ait été abattu. En tout cas, puisque les radars étaient en alerte, on a pu déterminer très rapidement le point de chute. Le 4 juillet 1947, les militaires ont récupéré l'épave, des cadavres et probablement un survivant dans le plus grand secret, mais des années plus tard, on a quand même trouvé des témoins.
Le 3 juillet 1947, le rancher Mac Brazel avait cependant découvert sur ses terres d'étranges débris, éparpillés dans un couloir d'environ 90 m sur 1200 m. Ayant constaté qu'ils « ne ressemblaient �* rien de connu »,il apporta le dimanche 6 juillet quelques-unes de ces pièces �* Roswell. Il les présenta au chérif, dans l'espoir d'obtenir une récompense. Le chérif avertit la base militaire de Roswell et le 7 juillet, celle-ci organisa la récupération de ces débris, sans laisser la moindre trace. Puisque Mac Brazel en avait parlé en ville et puisque cette trouvaille était peu révélatrice par rapport �* l'autre, on décida sur la base de Roswell de reconnaître que ces débris venaient d'une « soucoupe volante ». On lança un communiqué de presse, publié le 8 juillet par le Roswell Daily Record. Le journal The News de San Francisco annonça le même jour que « des officiers de la base disent que le "disque" a été transporté en superforteresse vers des quartiers supérieurs, non divulgués ».
[...]
Conclusions
Pour arriver �* sortir la communauté scientifique de sa léthargie intellectuelle, qui a déj�* duré plus que 50 ans, il est surtout nécessaire d'étudier les aspects physiques du phénomène ovni pour établir un lien entre le connu et l'inconnu. On doit cependant veiller �* ne pas perdre de vue les aspects qui concernent la psychosociologie des extraterrestres.
L'étude des enlèvements a été particulièrement révélatrice. L'examen médical de tout le corps et le scanning mental des enlevés ne sont que des procédures préparatoires, en vue d'un prélèvement d'ovules ou de sperme. Après des fertilisations in vitro, pouvant comporter des manipulations génétiques, les extraterrestres procèdent aux implantations d'embryons et après environ six semaines, au prélèvement du foetus. La gestation est poursuivie dans des récipients contenant un liquide et reliés �* une machine. Le nombre des enlèvements pratiqués par le groupe des extraterrestres qu'on appelle les « petits gris » démontre que ceux-ci sont engagés dans un programme d'hybridation de grande ampleur. On peut envisager des effets purement mentaux, mais ils ne tiennent pas compte de tous les faits : des cicatrices et des saignements de nez anormaux, le fait que les enlevés se réveillent parfois dans un lit qui n'est pas le leur ou qu'ils ont �* ce moment des vêtements ou des bijoux qu'ils ne portent jamais de cette manière. En outre, il peut y avoir des témoignages d'autres personnes, ayant vu l'enlèvement.
Le « mind scan » est, vécu comme un viol de la personnalité, encore plus grave que les manipulations génétiques. Les autres procèdent également �* des tests psychiques, souvent terrifiants, mais tout cela continue dans un climat d'indifférence totale de la part des autorités publiques et de la communauté scientifique.
Les extraterrestres du groupe des petits gris ne communiquent pas acoustiquement, mais de manière télépathique. Comprendre les mécanismes de ce mode de communication est un problème scientifique, �* la fois fondamental et concret. J'ai proposé une solution, basée sur l'idée d'une modulation nerveuse de l'intensité de la lumière renvoyée par les cellules photosensibles de la rétine. Cela permettrait aussi de comprendre le scanning mental.
Il apparaît, par ailleurs, que toute une série de phénomènes bizarres ont un dénominateur commun. Ce sont des expériences psychosociologiques menées par les extraterrestres pour tester notre degré de maturité et plus spécifiquement, pour tester notre crédulité et notre soumission aux autorités.
Que cela nous plaise ou non, le phénomène ovni nous place devant un problème. C'est même le problème scientifique et humain le plus important auquel l'humanité ait jamais été confronté !
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Enz... punten 1. 2. enz... tot het einde zijn ook interessant (pour les Flamands la même chose ;-) ) en voor de kindergarten hier zijn er een paar schetsen/tekeningen van aliens, weet je (gemiddelde) tekeningen hoe de getuigen het steeds weer opnieuw gezien hebben kan men niet vervalsen. :-)
Citaat:
Figure 1: La tête des petits gris, d'après de nombreuses descriptions de témoins
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Le phénomène des « chupacabras » est récent et très particulier. Ce terme veut dire « suceurs de chèvres » en espagnol. Les premiers rapports émanaient en effet de Puerto Rico, en décembre 1994 et surtout 1995. On n'y avait pas seulement constaté les dégâts, mais également observé le coupable. C'est un animal d'environ 1,20 m de haut, doté d'une tête effrayante et de grands yeux rouges allongés (figure 2). Il marche ou court debout et peut faire des sauts d'environ 3 m, ses jambes étant très musclées. Les mains et les pieds portent trois doigts. Les bras avant sont reliés au corps par une membrane, qui permet apparemment des sauts planés. Sa peau peut changer de couleur, comme celle d'un caméléon. Elle est brun-noire pendant la nuit et verte dans la végétation pendant la journée. On n'avait encore jamais vu un animal de ce genre !
Figure 2. Le dessin d'un chupacabras
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De vele tekeningen van vooral véél verscheidener kinderen over de ganse wereld ga ik hier niet plaatsen, want dat was zeker een wereldcomplot zeker ondereen afgesproken met hun nieuwe Iphones, zelfs tot in de bossen van Zimbabwe, die kinderen van 8 jaar tegenwoordig die hebben echt alles.... ;-)
Veel leesplezier (al de refertes staan onderaan)
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