=?ISO-8859-1?Q?Re=3A_Une_piste_pour_faire_gagner_un_?==?ISO-8859-1?Q?milliard_=E0_la_secu?=
 

Dixit a écrit:
> "D'Iberville" <[email protected]> schreef in bericht
> news:[email protected]...
>
>>On Tue, 14 Sep 2004 11:56:16 +0200, "Duraton" <[email protected]>
>>wrote:
>>
>>
>>>"George Orwell" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
>>>[email protected].. .
>>>
>>>
>>>>Le déficit du budget de l'assurance-maladie se monte �* un milliard,
>>>
> dont
>
>>>>200 �* 300 millions d'euros rien que dans le secteur des médicaments.
>>>
>>>Le jour où on apposera la photo du titulaire sur sa carte sys, la sécu
>>>économisera quelques millions.
>>
>>Ne croyez pas cela : la photo figure sur les cartes
>>d'assurance-maladie du Québec, et ça n'empêche pas les déficits ;-)
>
>
> C'est déj�* une bonne protection contre les falsifications d'identité.
> J'aime cette histoire de ce Marocain "néerlandais" qui s'est fait enlever
> son appendix, car son cousin a emprunté sa carte SIS. L'appendix du vrai
> propriétaire de la carte était impec, bien entendu !
>
> Si la carte SIS est encore falsifiable, faisons demander une carte
> d'identité au bureau d'accueil de l'hôpital. Comme c'est obligatoire en
> Belgique de la porter, cette mesure sera très facile �* prendre (sauf dans un
> cas d'urgence... si quelqu'un a été battu pour son portefeuille...).
>
> En ce qui concerne la mésure proposée par George: la Sécu peut payer le prix
> du médicament générique le moins cher et si le patient désire une vraie
> marque, il en paie le reste. Si les médecins continuent �* prescrire les
> médicaments trop chers, les clients les obligeront vite de changer leur
> comportement de prescription.
> Qu'est-ce que le médecin de SCB en pense ? Fusti ?

Il reste �* prouver que les génériques et les médicaments de marque
soient toujours interchangeables. Une étude récente démontre que ce
n'est pas le cas pour la cryptosporine, un immunosuppresseur utilisé
après greffe rénale : nettement plus d'échecs et de complications avec
le produit générique. Le problème c'est que les études ont été
exécutées avec le médicament de marque et que personne ne peut garantir
que les procédés de fabrication des génériques soient identiques. Cela
dit les médecins prescrivent de plus en plus les génériques pour faire
faire des économies au patient, mais même si le produit est valable, la
biodisponibilité peut être différente, et cela pose parfois, notamment
en cardiologie, de délicat problèmes d'ajustement de doses. Je pense
qu'il y a une lacune dans la législation. Il ne suffit pas de faire des
études scientifiques sur une molécule, il faudrait aussi tester les
formes commerciales, toutes les formes commerciales et autoriser une
information comparative.


>>Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
>>sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
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