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snoodaard 3 november 2004 18:32

Asielzoeker-verkrachter
 
Een smeerlap van een asielzoeker uit Kameroen die met HIV besmet was heeft in Ternat een 78-jarige buurvrouw van het asielcentrum verkracht.Wanneer word dergelijke beesten eens duidelijk gemaakt dat hun broesegedrag misschien normaal is in hun apeland maar dat ze hier niet thuishoren!

Het Skill Effect 3 november 2004 18:40

[size=4]Blanke pedofiel die gehandicapten verkrachtte na lange tijd pas voor gerecht ![/size]

Émile Louis réfute en bloc l'acte d'accusation

Emile Louis, qui comparaît depuis ce matin devant la cour d'assises de l'Yonne, accusé de l'assassinat de sept jeunes femmes dans la région d'Auxerre �* la fin des années 70, a contesté dans l'après-midi tous les faits qui lui sont reprochés. «Je conteste, Monsieur le président, l'intégralité des faits», a déclaré M. Louis d'une voix légèrement chevrotante. La cour venait d'écouter pendant environ 1h30 la lecture de l'acte d'accusation, qui détaille les charges pesant contre l'accusé dans chacune des sept disparitions. Après cette courte déclaration de l'accusé, l'audience a été suspendue. Elle devait reprendre peu après, avec l'examen de la personnalité de M. Louis, en commençant par l'évocation de son enfance.
Avec AFP

Stéphane Durand-Souffland
[03 novembre 2004]


Au milieu des années 70, l'autocar des Rapides de Bourgogne sillonnait les routes vallonnées de l'Auxerrois. Au volant, seul maître �* bord, le chauffeur conduisait des adolescentes affligées d'un léger handicap mental vers leur institution spécialisée. Élégant, l'oeil pétillant, l'accent gourmand du pays de Colette, Émile Louis était très apprécié de ses jeunes passagères. Certaines s'empressaient pour goûter le privilège de voyager �* ses côtés. Qu'importe s'il avait parfois la main baladeuse, le verbe égrillard.





Les experts psychologues ont dressé un portrait glaçant d'Emile Louis, qui comparait aujourd'hui au palais de justice d'Auxerre. Celui d'un individu privé d'affects, empli de haine, pétri de perversion.
(Photo AFP)


Autres voyages, autre décor : les berges de la rivière Serein, une nuit de pleine lune. Émile Louis n'est plus le même : une «bestiole» s'est emparée de lui, qui le force �* «faire du mal». Il a attiré une jeune fille sous un fallacieux prétexte. Après l'avoir contrainte �* une relation sexuelle brutale, le Charon de l'Yonne emmenait sa proie sur l'autre rive, celle d'où l'on ne revient pas.


C'est du moins ce qui ressort de ses aveux, passés en décembre 2002. Émile Louis se dépeignait alors lui-même en loup-garou débordé par ses «pulsions», homme �* femmes qui parfois, sans savoir pourquoi, tuait ses conquêtes. Il conduira les enquêteurs l�* où, disait-il, il avait enseveli les corps : ceux de Jacqueline Weis et Madeleine Dejust furent exhumés sur ses indications. Le «loup-garou», toutefois, gardait le sens des réalités. Il ne se laissa aller aux confidences que parce qu'il pensait que les faits étaient prescrits. Peu après, il se rétracta. Il se présente aujourd'hui devant les assises en clamant son innocence, épaulé par Mes Thuault et Fraitag. A la télévision, ce dernier présentait récemment son client comme un «brave pépé» victime d'un complot. Les avocats n'expliquent pas vraiment comment il savait que deux des disparues étaient inhumées �* cet endroit précis, mais notent que cinq autres n'ont pas été retrouvées. Bien qu'aucune ne se soit manifestée depuis 1979, elles seraient vivantes, laissent-ils entendre. Par surcroît, la défense soutient que les faits sont prescrits.


Le «loup-garou» autoproclamé, donc, avoua en croyant pouvoir s'abriter sous le Code pénal ; ses conseils demanderont aujourd'hui le renvoi du procès au motif qu'ils ont saisi la Cour européenne des droits de l'homme du problème de la prescription – pourtant purgé par la Cour de cassation, grâce �* un providentiel acte de procédure de 1993. Au risque d'émettre un message ambigu : le «brave pépé» n'a rien fait et, en plus, c'est prescrit. En face, écoeurées, les parties civiles attendent, depuis près de trente ans, une vérité judiciaire (nos éditions d'hier).


Ce n'est pas, bien sûr, le tueur de la pleine lune, le possédé des berges du Serein, qui est jugé, mais un homme accusé de sept assassinats. Un homme au parcours jalonné de condamnations pour des crimes et délits sexuels. La dernière – la plus lourde – remonte au 26 mars : vingt ans de réclusion pour viols accompagnés d'actes de torture et de barbarie sur sa seconde épouse, et agressions sur sa belle-fille, commis dans le Var.


L'intéressé se décrit comme un séducteur. D'autres parlent d'un obsédé. Il aime �* se faire passer pour une victime en série : de l'Assistance publique – il n'a pas connu ses parents –, de sa mère adoptive, de compagnes vindicatives, de jeunes filles «vicieuses» et, in fine, d'un complot ourdi contre lui par des notables pervers de l'Yonne désireux de dissimuler les turpitudes d'un réseau organisé �* leur profit.


Il est vrai que les errements de l'enquête laissent pantois et qu'on peine �* croire que la justice puisse, �* ce point, manquer d'�*-propos. Le dossier des disparues de l'Yonne est une succession de non-lieux hâtifs, de pièces égarées, d'enquêtes bâclées. Parce que les victimes qui, toutes, avaient approché Émile Louis, étaient d'origine modeste ? Parce qu'elles étaient handicapées ? Peu importe : les négligences pointées au sein du tribunal d'Auxerre apparaissent d'autant plus choquantes que les procureurs concernés se sont défendus avec morgue jusque devant le Conseil supérieur de la magistrature, en mars 2002, rejetant au besoin sur des secrétaires la responsabilité des dysfonctionnements.


Pour autant, rien de sérieux n'est venu étayer la piste des réseaux. Mais il aura fallu l'obstination de deux personnalités atypiques – de celles qui hérissent l'institution ronronnante – pour que l'affaire aboutisse �* un procès. L'adjudant-chef Christian Jambert d'abord, qui, dès le début des années 80, s'intéressa �* Émile Louis et dont les travaux se sont avérés précieux pour les parties civiles. Il est mort en 1997. Officiellement, il s'est suicidé. Mais une instruction a été ouverte a posteriori, une forte suspicion de meurtre ayant été mise au jour.

Le second protagoniste se nomme Pierre Monnoir, fondateur de l'Association de défense des handicapés de l'Yonne (ADHY). Désespéré par l'inertie de la justice, il tente sa chance auprès de Jacques Pradel, animateur, sur TF 1, de l'émission «Perdu de vue». Ce n'est qu'en 1996, sous la pression médiatique, que de véritables investigations sont ouvertes. Au centre du procès d'Auxerre : la personnalité d'Émile Louis. Les experts psychologues en ont dressé un portrait glaçant. Celui d'un individu privé d'affects, empli de haine, pétri de perversion, qui, si sa culpabilité était établie, aurait choisi ses victimes parmi des jeunes femmes particulièrement vulnérables. Pas un loup-garou, un homme, mais un homme fondamentalement bestial, revêtu d'un costume bien repassé de brave type. Un homme qui, tout-puissant au volant de son autocar, sélectionnait tranquillement ses proies dans le rétroviseur.



Moet er voor elke scheet een topic geopend worden? :roll:

snoodaard 3 november 2004 18:50

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Het Skill Effect
[size=4]Blanke pedofiel die gehandicapten verkrachtte na lange tijd pas voor gerecht ![/size]

Émile Louis réfute en bloc l'acte d'accusation

Emile Louis, qui comparaît depuis ce matin devant la cour d'assises de l'Yonne, accusé de l'assassinat de sept jeunes femmes dans la région d'Auxerre �* la fin des années 70, a contesté dans l'après-midi tous les faits qui lui sont reprochés. «Je conteste, Monsieur le président, l'intégralité des faits», a déclaré M. Louis d'une voix légèrement chevrotante. La cour venait d'écouter pendant environ 1h30 la lecture de l'acte d'accusation, qui détaille les charges pesant contre l'accusé dans chacune des sept disparitions. Après cette courte déclaration de l'accusé, l'audience a été suspendue. Elle devait reprendre peu après, avec l'examen de la personnalité de M. Louis, en commençant par l'évocation de son enfance.
Avec AFP

Stéphane Durand-Souffland
[03 novembre 2004]


Au milieu des années 70, l'autocar des Rapides de Bourgogne sillonnait les routes vallonnées de l'Auxerrois. Au volant, seul maître �* bord, le chauffeur conduisait des adolescentes affligées d'un léger handicap mental vers leur institution spécialisée. Élégant, l'oeil pétillant, l'accent gourmand du pays de Colette, Émile Louis était très apprécié de ses jeunes passagères. Certaines s'empressaient pour goûter le privilège de voyager �* ses côtés. Qu'importe s'il avait parfois la main baladeuse, le verbe égrillard.





Les experts psychologues ont dressé un portrait glaçant d'Emile Louis, qui comparait aujourd'hui au palais de justice d'Auxerre. Celui d'un individu privé d'affects, empli de haine, pétri de perversion.
(Photo AFP)


Autres voyages, autre décor : les berges de la rivière Serein, une nuit de pleine lune. Émile Louis n'est plus le même : une «bestiole» s'est emparée de lui, qui le force �* «faire du mal». Il a attiré une jeune fille sous un fallacieux prétexte. Après l'avoir contrainte �* une relation sexuelle brutale, le Charon de l'Yonne emmenait sa proie sur l'autre rive, celle d'où l'on ne revient pas.


C'est du moins ce qui ressort de ses aveux, passés en décembre 2002. Émile Louis se dépeignait alors lui-même en loup-garou débordé par ses «pulsions», homme �* femmes qui parfois, sans savoir pourquoi, tuait ses conquêtes. Il conduira les enquêteurs l�* où, disait-il, il avait enseveli les corps : ceux de Jacqueline Weis et Madeleine Dejust furent exhumés sur ses indications. Le «loup-garou», toutefois, gardait le sens des réalités. Il ne se laissa aller aux confidences que parce qu'il pensait que les faits étaient prescrits. Peu après, il se rétracta. Il se présente aujourd'hui devant les assises en clamant son innocence, épaulé par Mes Thuault et Fraitag. A la télévision, ce dernier présentait récemment son client comme un «brave pépé» victime d'un complot. Les avocats n'expliquent pas vraiment comment il savait que deux des disparues étaient inhumées �* cet endroit précis, mais notent que cinq autres n'ont pas été retrouvées. Bien qu'aucune ne se soit manifestée depuis 1979, elles seraient vivantes, laissent-ils entendre. Par surcroît, la défense soutient que les faits sont prescrits.


Le «loup-garou» autoproclamé, donc, avoua en croyant pouvoir s'abriter sous le Code pénal ; ses conseils demanderont aujourd'hui le renvoi du procès au motif qu'ils ont saisi la Cour européenne des droits de l'homme du problème de la prescription – pourtant purgé par la Cour de cassation, grâce �* un providentiel acte de procédure de 1993. Au risque d'émettre un message ambigu : le «brave pépé» n'a rien fait et, en plus, c'est prescrit. En face, écoeurées, les parties civiles attendent, depuis près de trente ans, une vérité judiciaire (nos éditions d'hier).


Ce n'est pas, bien sûr, le tueur de la pleine lune, le possédé des berges du Serein, qui est jugé, mais un homme accusé de sept assassinats. Un homme au parcours jalonné de condamnations pour des crimes et délits sexuels. La dernière – la plus lourde – remonte au 26 mars : vingt ans de réclusion pour viols accompagnés d'actes de torture et de barbarie sur sa seconde épouse, et agressions sur sa belle-fille, commis dans le Var.


L'intéressé se décrit comme un séducteur. D'autres parlent d'un obsédé. Il aime �* se faire passer pour une victime en série : de l'Assistance publique – il n'a pas connu ses parents –, de sa mère adoptive, de compagnes vindicatives, de jeunes filles «vicieuses» et, in fine, d'un complot ourdi contre lui par des notables pervers de l'Yonne désireux de dissimuler les turpitudes d'un réseau organisé �* leur profit.


Il est vrai que les errements de l'enquête laissent pantois et qu'on peine �* croire que la justice puisse, �* ce point, manquer d'�*-propos. Le dossier des disparues de l'Yonne est une succession de non-lieux hâtifs, de pièces égarées, d'enquêtes bâclées. Parce que les victimes qui, toutes, avaient approché Émile Louis, étaient d'origine modeste ? Parce qu'elles étaient handicapées ? Peu importe : les négligences pointées au sein du tribunal d'Auxerre apparaissent d'autant plus choquantes que les procureurs concernés se sont défendus avec morgue jusque devant le Conseil supérieur de la magistrature, en mars 2002, rejetant au besoin sur des secrétaires la responsabilité des dysfonctionnements.


Pour autant, rien de sérieux n'est venu étayer la piste des réseaux. Mais il aura fallu l'obstination de deux personnalités atypiques – de celles qui hérissent l'institution ronronnante – pour que l'affaire aboutisse �* un procès. L'adjudant-chef Christian Jambert d'abord, qui, dès le début des années 80, s'intéressa �* Émile Louis et dont les travaux se sont avérés précieux pour les parties civiles. Il est mort en 1997. Officiellement, il s'est suicidé. Mais une instruction a été ouverte a posteriori, une forte suspicion de meurtre ayant été mise au jour.

Le second protagoniste se nomme Pierre Monnoir, fondateur de l'Association de défense des handicapés de l'Yonne (ADHY). Désespéré par l'inertie de la justice, il tente sa chance auprès de Jacques Pradel, animateur, sur TF 1, de l'émission «Perdu de vue». Ce n'est qu'en 1996, sous la pression médiatique, que de véritables investigations sont ouvertes. Au centre du procès d'Auxerre : la personnalité d'Émile Louis. Les experts psychologues en ont dressé un portrait glaçant. Celui d'un individu privé d'affects, empli de haine, pétri de perversion, qui, si sa culpabilité était établie, aurait choisi ses victimes parmi des jeunes femmes particulièrement vulnérables. Pas un loup-garou, un homme, mais un homme fondamentalement bestial, revêtu d'un costume bien repassé de brave type. Un homme qui, tout-puissant au volant de son autocar, sélectionnait tranquillement ses proies dans le rétroviseur.



Moet er voor elke scheet een topic geopend worden? :roll:

Pour les flamands la meme chose zeker.Als er een bosaap met aids uw moeder verkracht is dat dan ook een scheet?

Het Skill Effect 3 november 2004 19:16

Als de pedofiel die u als gehandicapte kind heeft verkracht is dat ook hetzelfde.

snoodaard 3 november 2004 19:30

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Het Skill Effect
Als de pedofiel die u als gehandicapte kind heeft verkracht is dat ook hetzelfde.

Pedofielen moeten de doodstraf krijgen en dienen niet om het gedrag van onderontwikkelde bavianen te vergoeilijken.:evil:

witenzwart 4 november 2004 11:39

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door snoodaard
Een smeerlap van een asielzoeker uit Kameroen die met HIV besmet was heeft in Ternat een 78-jarige buurvrouw van het asielcentrum verkracht.Wanneer word dergelijke beesten eens duidelijk gemaakt dat hun broesegedrag misschien normaal is in hun apeland maar dat ze hier niet thuishoren!

Ik stel voor om de beestmens-asielzoekers gewoon in de zoo op te sluiten tussen de gorilla's waar ze thuishoren!

Bobke 4 november 2004 11:52

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Het Skill Effect
Als de pedofiel die u als gehandicapte kind heeft verkracht is dat ook hetzelfde.

Natuurlijk, maar moeten we er daarom nog meer importeren ?
België telt net iets meer inwoners dan een asielcentrum.
Als de Belgen in verhouding evenveel verkrachters telde zou dat hier nogal een gang gaan.

Jampie 4 november 2004 12:00

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Bobke
Natuurlijk, maar moeten we er daarom nog meer importeren ?
België telt net iets meer inwoners dan een asielcentrum.
Als de Belgen in verhouding evenveel verkrachters telde zou dat hier nogal een gang gaan.

Inderdaad, wij Belgen verkrachten véél minder. wij nemen het vliegtuig naar Thailand en betalen daar 5 Euro om een kind...... Als je betaald is dat waarschijnlijk geen verkrachting maar ontwikkelingshulp.

doggy 4 november 2004 12:08

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Jampie
Inderdaad, wij Belgen verkrachten véél minder. wij nemen het vliegtuig naar Thailand en betalen daar 5 Euro om een kind...... Als je betaald is dat waarschijnlijk geen verkrachting maar ontwikkelingshulp.

niet als ze naar polen of roemenië gaan: dat scheelt een pak in de reiskosten, en je bent zó weer thuis...

:?

Vlaanderen Boven 4 november 2004 13:05

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Het Skill Effect
[size=4]Blanke pedofiel die gehandicapten verkrachtte na lange tijd pas voor gerecht ![/size]

Émile Louis réfute en bloc l'acte d'accusation

Tja...zo zijn die Walen nu eenmaal, he.

Jampie 4 november 2004 13:13

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Vlaanderen Boven
Tja...zo zijn die Walen nu eenmaal, he.

't Is niet eens een Waal. Maar toch zéééér goed geargumenteerd.

Weisse Wolf 4 november 2004 18:23

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door snoodaard
Pedofielen moeten de doodstraf krijgen en dienen niet om het gedrag van onderontwikkelde bavianen te vergoeilijken.:evil:

Die zit! :-)

snoodaard 4 november 2004 18:45

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Jampie
Inderdaad, wij Belgen verkrachten véél minder. wij nemen het vliegtuig naar Thailand en betalen daar 5 Euro om een kind...... Als je betaald is dat waarschijnlijk geen verkrachting maar ontwikkelingshulp.

Spreek voor u zelf hee.

MT 4 november 2004 22:59

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Jampie
Inderdaad, wij Belgen verkrachten véél minder. wij nemen het vliegtuig naar Thailand en betalen daar 5 Euro om een kind...... Als je betaald is dat waarschijnlijk geen verkrachting maar ontwikkelingshulp.

Volgens mij ben je nogal goed op de hoogte. Kom vertel ons eens wat meer over je ziekelijke avontuurtjes.8O

Ps; "Wij Belgen" over wie heb je het dan? Ik ben namelijk een Vlaming.8)

VlaamseBelg 9 november 2004 11:14

Snoodaard, ga je ook een topic openen voor elke asielzoeker die zich koest houdt? Eerlijk is eerlijk he.

Bobke 9 november 2004 11:27

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door VlaamseBelg
Snoodaard, ga je ook een topic openen voor elke asielzoeker die zich koest houdt? Eerlijk is eerlijk he.

Staan de kranten dan vol over Belgen die zich koest houden?

Bobke 9 november 2004 11:39

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Jampie
Inderdaad, wij Belgen verkrachten véél minder. wij nemen het vliegtuig naar Thailand en betalen daar 5 Euro om een kind...... Als je betaald is dat waarschijnlijk geen verkrachting maar ontwikkelingshulp.

Volgens sommigen wel denk ik.
Waarom zou hier anders prostitutie toegelaten worden en tiert de mensensmokkel zo welig.
En kom mij niet vertellen dat die gasten op het blok stemmen hé. 8)

humble 9 november 2004 12:31

troots U binnen enkele jaren schaft men de asielcentra af en zet en draad rond België, dit land zal dan nog één groot asielcentrum zijn.
Het zal bestaan uit een meerderheid gewezen asielzoekers en 9 miljoen gedoogde en bekeerde autochtonen die asiel krijgen van de nieuwe meesters.

VlaamseBelg 9 november 2004 12:41

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Bobke
Staan de kranten dan vol over Belgen die zich koest houden?

Nee, maar er wordt ook geen link gelegd tussen een vlaams stuk crapuul en de hele vlaamse bevolking.

Bobke 9 november 2004 15:22

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door VlaamseBelg
Nee, maar er wordt ook geen link gelegd tussen een vlaams stuk crapuul en de hele vlaamse bevolking.

Waar zag je de link staan ?


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