De schoofzak |
12 december 2016 08:44 |
Porno op de bureau van Jan Jambon !
Voorwoordje: dit is een politiek forum. Schoofken vindt dan wel dat zelfs de rubriek 'kalveren en koeien' maar gevuld kan worden met bla bla die toch ergens een politieke link heeft.
Dat linkje is hier duidelijk twee keer aanwezig:
- het gaat om kantoren van binnenlandse zakken
- madammeke kiest als haar advocaat: de man van Onkeldinges.
Allez, wie de artiestennaam van de gevierde vindt, en foto's of filmpjes van haar, krijgt een pluim.
Want alleen door dat te zien, kunnen wij oordelen of de prestaties voldoende van kwaliteit waren om ze buiten te sjotten.
titel: Une actrice porno chez Jan Jambon!
link: http://www.dhnet.be/actu/faits/une-a...709a48787c5aad
Citaat:
Des shootings érotiques ont eu lieu dans les bureaux et ascenseurs du ministère de l’Intérieur.
Le SPF Intérieur a démasqué une fonctionnaire qui avait pour autre activité de participer, en tant que mannequin, �* des séances photos pornographiques et n’hésitait pas �* réaliser des prises de vue �* l’intérieur du ministère, dans les services du ministre Jan Jambon (N-VA).
"C’est ma vie privée", a réagi la jeune fonctionnaire en apprenant qu’une procédure était lancée. Samedi, l’avocat Marc Uyttendale nous a confié : "L’affaire est confidentielle".
Sa cliente travaille �* l’Intérieur depuis dix ans. Les ennuis ont commencé le 10 novembre �* très précisément 9 h 15 : un directeur la convoquait pour un entretien officiel.
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Il avait �* lui notifier qu’on venait de découvrir qu’elle se livrait �* des activités pornographiques rémunérées et participait �* des shootings érotiques.
Le directeur demandait �* la jeune femme de remettre son ordinateur portable et son badge d’accès aux bâtiments. Il lui notifiait qu’elle était dispensée de service jusqu’�* nouvel ordre. La jeune femme, qui n’a pas nié, tenait �* préciser que l’activité relevait selon elle de sa seule vie privée.
Le directeur répliquait que des photos pornographiques d’elle postées sur Twitter montraient que des prises de vue avaient été réalisées au 76 boulevard de Waterloo, dans les ascenseurs du bâtiment et un des bureaux d’une des directions générales du ministère installée au 5e étage.
Il lui a demandé de "rester �* la maison", il ne s’agissait pas �* ce moment de la sanctionner mais de préparer "dans la sérénité" une éventuelle procédure visant �* la suspendre. Car tourner des scènes de sexe au ministère de l’Intérieur et poster des prises de vue sur Twitter peut porter atteinte �* la réputation de la fonction et du service, et susciter une perte de confiance dans l’opinion.
La fonctionnaire a fait choix de l’avocat Uyttendaele. Elle maintient que l’activité relève de sa seule vie privée et qu’en décidant de la mettre "en quarantaine", Jan Jambon a pris �* son endroit une "mesure vexatoire" qui "atteint gravement �* sa réputation professionnelle" et l’expose �* l’opprobre de ses collègues. Des collègues, dit-elle, qui la soutiennent et n’ont qu’éloges pour ses qualités professionnelles, que personne ne conteste. Une phrase : "Je suis traitée comme une pestiférée".
À ce stade, le Conseil d’État ne remet pas en cause la décision de M. Jambon de la dispenser de service.
Si atteinte �* la réputation il y a, dit la décision, celle-ci découle des activités pornographiques auxquelles (la fonctionnaire) se livre, n’hésitant pas �* utiliser son lieu de travail pour des prises de vue ni �* exposer de telles activités sur des réseaux sociaux, prenant le risque de ternir elle-même sa réputation auprès de ses collègues et de son employeur.
Entre-temps, le SPF Intérieur a dû décider de la suspendre (ou non). L’a-t-il fait ? "Je ne réponds pas �* vos questions et agirai en responsabilité contre tout article qui nuirait �* la cliente", nous a répondu Marc Uyttendaele samedi matin.
Aux fins de ne pas dévoiler son identité, le Conseil d’État, qui rejette sa demande, mentionne anonymement la star du X sous les lettres… XXXX.
L’avis de Frank Hendrickx (droit du travail)
"Si les fonctionnaires bénéficient en général d’une très bonne protection sociale, la collaboratrice risque, dans le cas présent, le licenciement" , réagit Frank Hendrickx, professeur de droit du travail �* la KUL. "S’il est exact que les juges sont très attentifs �* protéger leur vie privée face �* l’employeur, ils insistent sur la nécessité d’une bonne entente dans la relation de travail, d’une bonne collaboration et de la qualité des prestations."
Le professeur Hendrickx donne raison �* la collaboratrice quand celle-ci estime que sa vie sexuelle relève de sa vie privée.
Mais il n’en va de même, selon le spécialiste, si la fonctionnaire a de telles activités sur son lieu de travail. M. Hendrickx parle d’atteinte �* la relation de travail et �* la qualité des prestations, d’atteinte aussi �* la réputation de l’employeur.
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