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The Economist : =?windows-1252?Q?r=E9gime_de_Kagame_est_?==?windows-1252?Q?la_dictature_militaire_la_plus_r=E9pressive _?==?windows-1252?Q?en_Afrique?=
http://www.burundirealite.org/burund...f.cfm?loc=1301
http://www.lcr94.org/breve.php3?id_breve=524 (Traduction pas de moi) Peter Erlinder, l’Avocat en chef de la défense au Tribunal Pénal International pour le Rwanda avertit le gouvernement du Canada : Paul Kagame est un criminel de guerre Source:Peter Erlinder/Traduction : Burundi Réalités Hon. Stephen Harper Bureau du premier Ministre Gouvernement du Canada Ottawa CANADA Avril 6, 2006 re: Lettre ouverte au premier Ministre Harper. Concernant la visite d'état du président actuel du Rwanda Cher M. premier ministre, J’écris du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) �* Arusha en Tanzanie en ce 12e anniversaire de l'assassinat du Président Habyarimana du Rwanda, qui a précédé les massacres terribles qui se sont produits après son assassinat du 6 avril. J'ai appris que votre gouvernement a accepté d'accueillir de manière officielle le président actuel du Rwanda, M. Paul Kagamé. Pour vous empêcher de futurs embarras, �* vous et �* votre gouvernement, et pour se conformer aux principes moraux auxquels je suis lié en tant qu'officier de la cour du TPIR, je suis obligé d'apporter �* votre connaissance les plus récents développements récents au TPIR. Comme toile de fond, je vous prie de noter que le numéro de mars-avril 2004 de l’Economist a fait un reportage pour le10ème anniversaire des événements terrifiants au Rwanda en notant que le régime de Kagamé est la dictature militaire la plus répressive en Afrique. À ce moment-l�*, l'identité de ceux qui ont effectué « l’assassinat par le missile » en abattant l’avion de l'ancien Président Habyarimana le 6 avril 1994 (ce qui, tout le monde en convient, a déclenché des massacres civils massifs d’avril �* juillet 1994) n'était pas encore connue. Cependant, cette circonstance a changé pendant le mois passé au TPIR qui a vu de témoins multiples, y compris un prêtre catholique « africaniste » et un historien qui a habité au Rwanda pendant 18 années; d’anciens officiers de FPR/APR [de Kagamé] qui étaient l'un ou l'autre présents quand les missiles ont été mis le feu ou présents au QG du FPR/APR en 1993 -94; aussi bien que de nombreux documents de l’ONU qui n’ont jamais été révélés auparavant au public et qui confirment ce qui suit : 1. Le FPR/ Armée Patriotique Rwandaise (APR) avait un avantage en termes de forces militaires de 3 �* 4 contre 1, avantage connu par le général �* l’époque Kagamé - au moins dès février 1993 quand le FPR/APR a violé le cessez-le-feu d'Arusha et a presque capturé la capitale, le RPF/APR avait la puissance militaire suffisante pour prendre le pouvoir au Rwanda quand il le voulait. C’est le 1000 000 de déplacés, des réfugiés brutalisés qui devinrent une force ingouvernable qui plus tard s'est engagée dans des massacres contre des civils. 2. Entre février 1993 et avril 1994, tout en feignant négocier un accord de partage du pouvoir dans le cadre des Accords d'Arusha, le gén. Kagamé a ouvertement déclaré aux troupes de l’Armée patriotique rwandaise qu'ils devraient se préparer �* la guerre et il a également menacé la guerre �* plusieurs reprises tout en parlant avec l'ONU et les délégations internationales début 1994, comme il apparaît clairement dans les documents contemporains de l'ONU. 3. Pendant cette même période, des centaines de tonnes d'armements et de munitions ont été illégalement introduites au Rwanda en vue de l'assaut final pour prendre le pouvoir et entreposé dans de nombreuses "caches d’armes " dans le pays. 4. En mars 1994, les documents de l'ONU prouvent que les forces du gouvernement rwandais force (FGR) avait été décimé par la guerre de quatre ans d’invasion par des éléments des militaires ougandais, soutenu par le gouvernement et l’armée ougandaise, et n’avaient NI la capacité militaire pour résister �* un envahisseur armé NI pour arrêter les massacres civils par d'autres civils. 5. L'ancien ambassadeur des États-Unis au Rwanda, Hon. Robert Flaten, a témoigné en juin 2005 qu'il a personnellement averti le général Kagamé et le président Habyarimana que si l'un ou l'autre reprenait la guerre en violant les cessez-le-feu des accords d’Arusha, ils seraient responsables de milliers de morts de civils massacrés en représailles et que des documents du département d’État des États-Unis prédisaient que si la guerre reprenait on assisterait �* des massacres semblables �* ceux qui ont balayé le Burundi/Rwanda en 1988. 6. Mars 9-10, 2006 et encore avril 3-6, 2006 le président de TPIR ont entendu le témoignage, avec l’appui des documents des Nations Unies et autres , que le général Kagamé a ordonné l'assassinat du Président Habyarimana pour déstabiliser son ennemi, et qu'il a ordonné l'assaut final dans les minutes suivant les informations que l’attaque au missile avait réussi....longtemps AVANT tous les massacres de représailles de civils s'étaient produits n'importe où au Rwanda. 7. Les preuves, confirmées dans les documents originaux de l'Onu, montre également qu’ entre le avril 6, 1994 et la victoire militaire du FPR en mi-juillet 1994, le gouvernement rwandais et le FGR ont demandé, �* plusieurs reprises, un cessez-le-feu sans conditions pour permettre au peu de troupes endurcies en sa possession d’ employer la force pour arrêter les massacres. Quand le FGR [opposant �* Kagamé] a déclaré qu'il manquait de moyens pour arrêter les massacres sans cessez-le-feu, les documents de l'Onu ont confirmé que ceci était connu pour être vrai par Gen. Dallaire et Gen. Kagame en mars 1994, avant l'assassinat du Président Habyarimana. 8. Le Général canadien Dallaire a témoigné en janvier 2004 que: (a) que les FGR ne disposaient que d’environ 5.000 troupes sûres; (b) le première obligation de toutes les armées, y compris l'armée canadienne et le FGR, est de défendre la "sécurité de la patrie;" (c) et, il était militairement impossible que les FGR /Gendarmes combattent une guerre de l'invasion ET arrêtent des représailles et des massacres entre civils prévus de longue date. 9. Entre avril 1994 et juillet 1994, le FPR [de Kagamé] était la seule force militaire au Rwanda militairement capable d'arrêter les massacres, avec ou sans cessez-le-feu, cependant, �* de nombreuses occasions Gen. Kagamé a spécifiquement ordonné des officiers sur le terrain de ne pas employer des troupes "pour sauver des civils pendant que les soldats du FPR meurent" et, comme Gen. Dallaire a témoigné sous serment, le Gen. Kagamé lui disait que les massacres civils étaient des "dommages collatéraux" dans son plan de guerre. 10. Selon un témoignage assermenté au TPIR, Gen. Kagame a spécifiquement ordonné la création des unités particulières responsables « du nettoyage » des civils des secteurs commandés par le RPF et était personnellement présent pendant que des dizaines de milliers de civils étaient leurrés au stade de Byumba en avril 1994 et massacrés par des troupes du FPR sous son commandement, entre autres atrocités. 11. Beaucoup de cette information peut être trouvée dans: L'histoire secrète du Rwanda par l'ancien officier Abdul Joshua Ruzibiza du FPR, récemment publiée �* Paris; le rapport de Serge Desouter au TPIR, un historien de la mission belge « pères blancs », une mission séculaire au Rwanda; les transcriptions publiques et fermées au TPIR; et, documents originaux de l'Onu présentés dans le premier cas militaire (Bagasora et autres) au TPIR. 12, En juillet 2003, Carla del Ponte, le procureur �* l’époque du TPIR, a annoncé qu'elle avait découvert assez de preuves pour poursuivre LES DEUX côtés dans la guerre rwandaise. Cependant, sous peu après, le président Kagamé a réclamé sa démission, de même que Colin Powell et Kofi Annan. Elle a été remplacée deux mois plus tard et, �* cette date, pas UNE personne liée �* la prise de pouvoir réussie du Gen. Kagamé n’a était appelée pour rendre compte au TPIR (�* la différence du TPIY dans lequel des chefs liés �* tous les acteurs principaux ont été inculpés). 13. À la lumière des preuves maintenant dans le domaine public du tribunal, on prépare une motion formelle qui demande au président du tribunal, et au bureau du procureur de rédiger l'acte d'accusation contre Paul Kagamé pour le meurtre, la conspiration pour commettre le meurtre, les divers crimes de guerre et les crimes contre l'humanité et la conspiration pour commettre de tels crimes, tout commis par lui, et les troupes qu'il a commandées au Rwanda en 1994. 14. Les motions pour écarter les accusations actuellement en attendant contre d'anciens officiers de FGR pour des actions correctement attribuées aux vainqueurs de la guerre d’accession au pouvoir du FPR en 1994 . Puisque le TPIR n'a pas été bien couvert dans les médias occidentaux, je n'ai aucun doute que vous et vos conseillers n'avez pas été mis au courant de ce qui précède avant de donner l'invitation �* l’actuel président rwandais. Cependant, puisque cette information est déj�* dans le domaine public, et davantage est accumulé quotidiennement, je ne pourrais pas permettre �* un accusé criminel de guerre, dans le même ordre que le président Charles Taylor récemment arrêté, de recevoir l'approbation du gouvernement canadien, sans mettre les faits en avant .... et sans mettre l’affaire devant votre gouvernement pour l'évaluation. Je serais heureux de guider votre personnel vers le matériel approprié dans le domaine public au TPIR, si cela est commode au gouvernement canadien. Respectueusement, Prof. Peter Erlinder, Avocat en chef de la défense, TPIR Ancien Président de l’Ordre national des avocats, New York, États-Unis Wm. Mitchell College of Law 875. Summit Av. St Paul, MN 55105 (651) 290-6384 [email protected] ONU (212) 963-2850 (poste 5073) |
=?iso-8859-1?q?Re:_The_Economist_:_r=E9gime_de_Kagame_est_la_ dictature_militaire_la_plus_r=E9pressive?=
Réjean Laflamme wrote: > http://www.burundirealite.org/burund...f.cfm?loc=1301 > http://www.lcr94.org/breve.php3?id_breve=524 (...) > 4. En mars 1994, les documents de l'ONU prouvent que les forces du > gouvernement rwandais force (FGR) avait été décimé par la guerre de > quatre ans d'invasion par des éléments des militaires ougandais, soutenu > par le gouvernement et l'armée ougandaise, et n'avaient NI la capacité > militaire pour résister �* un envahisseur armé NI pour arrêter les > massacres civils par d'autres civils. > > 5. L'ancien ambassadeur des États-Unis au Rwanda, Hon. Robert Flaten, a > témoigné en juin 2005 qu'il a personnellement averti le général Kagamé > et le président Habyarimana que si l'un ou l'autre reprenait la guerre > en violant les cessez-le-feu des accords d'Arusha, ils seraient > responsables de milliers de morts de civils massacrés en représailleset > que des documents du département d'État des États-Unis prédisaient que > si la guerre reprenait on assisterait �* des massacres semblables �* ceux > qui ont balayé le Burundi/Rwanda en 1988. > > 6. Mars 9-10, 2006 et encore avril 3-6, 2006 le président de TPIR ont > entendu le témoignage, avec l'appui des documents des Nations Unies et > autres , que le général Kagamé a ordonné l'assassinat du Président > Habyarimana pour déstabiliser son ennemi, et qu'il a ordonné l'assaut > final dans les minutes suivant les informations que l'attaque au missile > avait réussi....longtemps AVANT tous les massacres de représailles de > civils s'étaient produits n'importe où au Rwanda. > > 7. Les preuves, confirmées dans les documents originaux de l'Onu, montre > également qu' entre le avril 6, 1994 et la victoire militaire du FPR en > mi-juillet 1994, le gouvernement rwandais et le FGR ont demandé, �* > plusieurs reprises, un cessez-le-feu sans conditions pour permettre au > peu de troupes endurcies en sa possession d' employer la force pour > arrêter les massacres. Quand le FGR [opposant �* Kagamé] a déclaré qu'il > manquait de moyens pour arrêter les massacres sans cessez-le-feu, les > documents de l'Onu ont confirmé que ceci était connu pour être vraipar > Gen. Dallaire et Gen. Kagame en mars 1994, avant l'assassinat du > Président Habyarimana. Ce Dallaire quel incapable ! pas étonnant qu'il ait sombré dans la "maladie" par la suite. > > 8. Le Général canadien Dallaire a témoigné en janvier 2004 que: (a) que > les FGR ne disposaient que d'environ 5.000 troupes sûres; (b) le > première obligation de toutes les armées, y compris l'armée canadienne > et le FGR, est de défendre la "sécurité de la patrie;" (c) et, il était > militairement impossible que les FGR /Gendarmes combattent une guerre de > l'invasion ET arrêtent des représailles et des massacres entre civils > prévus de longue date. > > 9. Entre avril 1994 et juillet 1994, le FPR [de Kagamé] était la seule > force militaire au Rwanda militairement capable d'arrêter les massacres, > avec ou sans cessez-le-feu, cependant, �* de nombreuses occasions Gen. > Kagamé a spécifiquement ordonné des officiers sur le terrain de ne pas > employer des troupes "pour sauver des civils pendant que les soldats du > FPR meurent" et, comme Gen. Dallaire a témoigné sous serment, le Gen. > Kagamé lui disait que les massacres civils étaient des "dommages > collatéraux" dans son plan de guerre. Tiens, on n'entend pas souvent parler dans nos grands quotidiens qui se sont tellement mouillés en répétant les fables de Kagame de ce genre d'aveux. Comme c'est bizarre ! L'anti-France en veut tellement que la France ait été la seule puissance �* s'opposer �* la prise de pouvoir du Rwanda (et du Congo) par des impérialistes ougandais et rwandais soutenus par les États-Unis. Une fois de plus l'anti-France se range du côté de l'impuissance, des meurtres et des génocides par haine. Aide de la France et de Mitterand -- pourtant pas un homme de gauche et donc pas un politicien que je porte dans mon coeur -- pour un pays sans richesse (pas de pétrole soudanais ici, cf. Darfour et le Sud soudanais chrétien) et d'une pauvreté extrême (le budget entier du Rwanda est inférieur aux dépenses pour les sapeurs-pompiers et la lutte contre le feu �* Los Angeles !). |
Re: The Economist : =?ISO-8859-1?Q?r=E9gime_de_Kagame_est_?==?ISO-8859-1?Q?la_dictature_militaire_la_plus_r=E9pressive?=
Falloujah mon amour a écrit :
> Réjean Laflamme wrote: > >>9. Entre avril 1994 et juillet 1994, le FPR [de Kagamé] était la seule >>force militaire au Rwanda militairement capable d'arrêter les massacres, >>avec ou sans cessez-le-feu, cependant, �* de nombreuses occasions Gen. >>Kagamé a spécifiquement ordonné des officiers sur le terrain de ne pas >>employer des troupes "pour sauver des civils pendant que les soldats du >>FPR meurent" et, comme Gen. Dallaire a témoigné sous serment, le Gen. >>Kagamé lui disait que les massacres civils étaient des "dommages >>collatéraux" dans son plan de guerre. > > > Tiens, on n'entend pas souvent parler dans nos grands quotidiens qui se > sont tellement mouillés en répétant les fables de Kagame de ce genre > d'aveux. Comme c'est bizarre ! L'anti-France en veut tellement que la > France ait été la seule puissance �* s'opposer �* la prise de pouvoir > du Rwanda (et du Congo) par des impérialistes ougandais et rwandais > soutenus par les États-Unis. Une fois de plus l'anti-France se range > du côté de l'impuissance, des meurtres et des génocides par haine. > > Aide de la France et de Mitterand -- pourtant pas un homme de gauche et Mitter*R*and était de gauche, sombre ignare. > donc pas un politicien que je porte dans mon coeur -- pour un pays sans > richesse (pas de pétrole soudanais ici, cf. Darfour et le Sud > soudanais chrétien) et d'une pauvreté extrême (le budget entier du > Rwanda est inférieur aux dépenses pour les sapeurs-pompiers et la > lutte contre le feu �* Los Angeles !). > |
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Flanagan wrote: > Falloujah mon amour a écrit : > > Réjean Laflamme wrote: > > > > >>9. Entre avril 1994 et juillet 1994, le FPR [de Kagamé] était la seule > >>force militaire au Rwanda militairement capable d'arrêter les massacres, > >>avec ou sans cessez-le-feu, cependant, �* de nombreuses occasions Gen. > >>Kagamé a spécifiquement ordonné des officiers sur le terrain de ne pas > >>employer des troupes "pour sauver des civils pendant que les soldats du > >>FPR meurent" et, comme Gen. Dallaire a témoigné sous serment, le Gen. > >>Kagamé lui disait que les massacres civils étaient des "dommages > >>collatéraux" dans son plan de guerre. > > > > > > Tiens, on n'entend pas souvent parler dans nos grands quotidiens qui se > > sont tellement mouillés en répétant les fables de Kagame de ce genre > > d'aveux. Comme c'est bizarre ! L'anti-France en veut tellement que la > > France ait été la seule puissance �* s'opposer �* la prise de pouvoir > > du Rwanda (et du Congo) par des impérialistes ougandais et rwandais > > soutenus par les États-Unis. Une fois de plus l'anti-France se range > > du côté de l'impuissance, des meurtres et des génocides par haine. > > > > Aide de la France et de Mitterand -- pourtant pas un homme de gauche et > > > Mitter*R*and était de gauche, sombre ignare. Désolé deux coquilles, je sais bien que Miterrand était de gauche (du moins vers sa fin, puisque je dis ne pas le porter dans mon coeur), il fallait lire "pourtant pa*r* un homme de gauche". > > > donc pas un politicien que je porte dans mon coeur -- pour un pays sans > > richesse (pas de pétrole soudanais ici, cf. Darfour et le Sud > > soudanais chrétien) et d'une pauvreté extrême (le budget entier du > > Rwanda est inférieur aux dépenses pour les sapeurs-pompiers et la > > lutte contre le feu �* Los Angeles !). Rien sur le fond ? Vous n'allez quand même pas virer en une Anne, la pinailleuse nana neuneu, nulle, et nuisible ? |
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