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2) la suite viu qu'ils ont pas arrete, apres on recommencera au 0) EN BOUCLE JUSQU A CREVER connard qui a la doigt sur le boutoN LE PRI9SONNIER EST PLUS FORT/ IL VOUS BALNCE? IL VOUS DENONCE - JUSQU A CE QUE VOUS LACHIEZ OU QUE VOUS FINISSIEZ a L ASI
cc: fr.sci psychanalyse ^pour les connards qui croient que ca se passe
l�*. il y a de plus en plus de gens qui viennent gueueler dans ma rue, ca me concerne ou ils ont bu ? c'est les vacances scolaires ils ont que ca �* faire de se bourrer la gueuele on peut pas tout deviner ... vous n'avez qu'�* vous montrer OU LACHE LE MORCEAU ou vous faire enfermer et me dire "on t'aime et on veut que tu sois plus fort " !!!!!!!!!!!!!!! pauvres crapules, plus fort que quoi ... que de vivre dans un loft pirate �* perpétuité. Mon adresse dans le prochainemessage, de toutes facon elle est déj�* parue, légumes vous averz peur d'intervenir pour me faire évacuer, vous croyez �* de fausses promesses alors que vous CONSTATEZ qu'ils jouent le dernier mot depuis quatre pour ne aps arrêter, quand ca va on en refout jusque ca aille pluqs et rebelotte, etc etc etc. Crevez, malades de votre radio hyoperfrequences et de votre prison aux cameras thermiques, votre bld en est truffé (ca c'est pour tout le monde), MALADES MENTAUX. la suite ... deuxiemme partie de la premiere parti e de la psychanalyse d'une secte:: re: inextricable * De tous les temps du loftage de ma prison, l’ensemble des prémices puis du contenu ont été trouvés en inextricable, non- d’énonçable, non- extériorisable, non- avouable, non- justiciable. Il serait bon que cette affaire finisse mal pour que nous n’ayons tous �* vivre en schizophrénie, moi déficiente par le non-dit, handicapé par le mensonge ambiant, pathologique de chercher réponses, taxé de psychopathe par des paranoïaques; analytique correct de la situation où celui qui fait peur fait peur �* qui a peur qu’il ne découvre les raisons pour lesquelles il fait peur. +++++++++++ deuxeimme partie: +++++++++++ Menaces du jour: * que je ne sorte pas de cette prison tant que [dvc², le secret] y sera identifiable, puis tant que la famille ne sera pas désignée autrement que pour une secte, alors elle ne doit pas être citée dans ce cas ce document ne doit pas éxister, la boucle est faite. * Il n’est pas possible de dire autre chose qu’elle m’a pendant vingt ans présenté comme un malade et fatigué �* qui on cherche une pathos pour justifier de ce qu’on le prétend malade et fatigué - chimiqué et chimiqué sont les termes exacts. Faits de Staline père menteur assassin du foetus de mon jumeau, me trouvant surnuméraire et me le disant en face �* l’âge pré ado, dixit suivi du conseil d’écouter la petite voix qu’il suggérait se trouver dans ma tête. Père Staline peut-être cocu il suffit �* qui veut s’en assurer de faire test génétique de paternité. * On ne veut peut-être pas que je corrige et précise et rende lisible ce document - je le posterai sur Usenet si on recommence �* me situationer en loft publique, en film, ou autres salopperies. On me garde la pression �* n’en plus pouvoir, ils ne risquent QUE de voir ceci balancé sur Internet ou sur Usenet, terminé ou pas, corrigé ou pas. Qu’ils fassent corée-du-nord avec Google et ne manquent pas de faire savoir �* Monde qu’ils vivent dans / (se) font un Film ... Fous. * Vu les menaces et pression exactions cras(se) que je reçois tout le temps que je n’ai pas le doigt sur le clavier ou le bic en main - et on commence �* m’empêcher de corriger en m’annonçant qu’il va falloir supprimer de plus en plus de choses, il ne restera plus rien puisque tout le contenu est interdit et que toutes les analyses famille aboutissent �* constat dégueulasse sauf pour qui pas citée mais qui juste avant sa période cortisone en sniffettes pour soigner maladie osseuse(!) (devenue junkie présénile devant témoin père Staline approbateur de sa défonce) était devenue sectaire �* parlotte subliminales de m’annoncer que j’allais être acteur, �* qui on a réussi �* faire prendre initiative de me dire qu’ils n’avaient “pas de testament” ... ° On m’en a gardé pour la fin: ... comprenant probablement que ma garde allait durer trop longtemps; mais se faisant alors, je dois le conclure, �* l’idée de ne jamais parler. A considérer leurs attitudes ils avaient peut-être déj�* fait deuil de me revoir - pouvant prévisionner qu’une psychanalyse de moi ou par moi allait révéler de l’inadmissible .. �* profusion et pas grand chose d’autre en récupération. Qui m’aura méchamment glissé l’idée d’en “faire un livre et de mettre mon prix dessus” l’aura conscientisé de la même façon, aura comme �* son habitude tracé mon horoscope et placé ses analyses de ce qu’il sait de moi dans les oreilles de ses parents, fâcheuse habitude de toujours, aux non moins fâcheuses conséquences de et pour toujours. ° En outre, le même avait-il connaissance de [dvc²] en termes de moyens de production, et pensait-il que j’allais inclure tout le relat de mes connaissances acquises �* ce propos dans ce rapport ? Si oui il descend dans mon estime �* avoir pu me soupsconner de faire plus de divulguation que son évocation, ce qui est déj�* trop mais indispensable �* donner quelque idée de l’insupportable et de l’injonctionnel que l’on me fait subir. Prend-moi pour un con je ne te dirai pas qui je suis. ° Tant bien que mal ce document est en lui-même auto- doublé d’une version barrée incluant [dvd², le secret]. ° Pour mettre un frein d’autres passages sont également barrés, ils sont verve et / ou considérations personnelles �* destination d’individus. ° On m’en a gardé pour la fin: une autre idée m’a été dialoguée de façon subliminale, c’était celle de la precription, de quoi, mais c’est bien sûr, celle des faits d’empoisonnement par abus de médication chimique �* l’âge ado., pourquoi m’adresser cette idée de prescription, mais c’est bien sûr, par erreur ou pas c’est un aveux de leur prise de conscience de son caractère abusif. Cette évocation supplémentaire en préliminaires et toujours subliminale démontre la préparation de ma psychanalyse ou le savoir qu’elle allait m’être faite, mais cette évocation ne pouvait être reçue par moi que comme dédain de leur part et annonce de non- inquiétude �* l’idée que l’on pourrait l’évoquer, de tout le potentiel de ma (alors future) dénonciation qui dans leur esprit préparatoire ne pouvait qu’être présente, comme risque pour eux ou l’ex- psychiatre; par de l�* (au del�*) c’est évidemment mon côtoiement de la psychiatrie qui est �* leur reprocher. *Je n’ai que foutre de faire un papier sur ce qui - et seulement ce qui - convient �* qui ne veut rien savoir, il n’y a rien �* dire qui ne gênera personne. ===== On me connaît = Je suis épié au moins depuis fin 2000, je vis en appartement surveillé depuis fin 2001, devant caméras thermiques depuis une date que j’ai oublié (vers 2002), lofté activement depuis 2003, même les témoins passifs cad. la population, le voisinage, ont sûrement oublié les dates précises; en réalité pisté totalement et partout depuis fin 2001 (par personnes annexes de police, de psychiatrie, de père de qui, de je ne sais qui d’autres peut-être bandits auto- bombardés cinéastes). =On connaît de moi la quasi (je cherche ce qu’on ne sait pas de moi, j’en trouve peu) stricte totalité de ma vie depuis le berceau en passant par tous les événements de ma vie, tous les lieux que j’ai fréquenté, toutes les personnes que j’ai côtoyé de tous temps. =Tous les gens que j’ai rencontré dans ma vie m’ont été suggéré témoins actifs ou passifs durant ce loft, ont été interviewés pour citer / apporter des éléments relatant ma vie; je peux supposer ... je sais ... que je ne suis pas en mesure de comprendre qui a fait et comment on a fait ca. Téhéran * Si besoin de me protéger je veux bien finir �* Téhéran ou chez famille Saoud. �* passer le reste de ma vie sous protection, pour travailler, en aucun cas pour faire nabab - s’attendre �* retour de bâton par la version complète de tout ce qui est �* dire de tout le contenu de ce loftage, de famille, hypothèses dgse (humour) des premiers et de la guerre qu’ils ont foutu au peuple. * Je reçois menace que je ne sortirai pas tant que [dvc², le secret] sera évoqué. C’est presque impossible, comment lofter ainsi, comment rédiger sous cette contrainte. “A moi de trouver”, dixit un emmerdeur. On me lave la tête et on me lofte depuis l’an débile 2000. Plus réalistement je dois conclure que l’on désire me voir corriger cet écrit et le modifier �* fins de le divulguer �* ma sortie Cela instaure possibilité tout �* la fois crainte de moi pouvoir, ou d’avoir �*, le divulguer moi-même, je crains �* nouveau les prolongations, pré- dénoncées hystériques. * Verve: La merdasse papier qui est en train (mais voir plus bas, il y en a pour tout le monde) de ressortir de cette dégueulasse prison loft va finir par correspondre �* cette subliminale et saloppe parole expectative faite par frère - membre émérite de la secte de son patronyme - avant le loft de me voir écrire UN LIVRE de la prison-domiciliaire qu’on allait me faire ou de ce qu’ils (“ils”comme dans un film communiste et psychologique pas vu de .. 09/2006) ont saloppé en utilisant des clefs volées / soudoyées au père (Staline): anxiolytiques, coke et Viagra dans le café en début de loftage actif; rajouté de la suggestion que je n’aurais plus qu’�* mettre mon prix dessus - + que je finirai peut-être �* “Charleroi” [NDR le bled le plus pauvre et le plus �* l’écart] dixit texto de son subliminal, conversation avec ses copains, compris bien sur qu’il s’agissait évidemment de moi; pathologique crédule de la psychologie, dépressif perpétuel, jaloux depuis mon berceau de l’aveu détaillé de sa mère, pédologue, il est chômeur et fait sa vie ... Qu’il se fasse scientologue comme on me l’a maintes fois évoqué il sera ré éducateur, alors pathos descendant spirituel de son père Staline, sera abattu quand il viendra me visiter handicapé devenu VIPPO dans un hôpital ou sera attendu invité �* Téhéran s’il ose s’y rendre. * Aux menaces je rétorque par ma menace de postage sur Usenet, photocopies et distribution en boites aux lettres, on me bourre le crâne pour m’amener �* le faire tout �* la fois m’en empêcher, des gens sont en guerre, celle de la dénonciation qu’il faut pour calmer tous et clore le tout transformer et limiter en/ �* celle de la divulgation - de qui, de quoi, chacun son truc; je dois m’attacher �* tout dire tout en fabriquant confondance cachottière, supplémentaire difficulté. ° Ce document signé de mon pseudonyme Abekar; kar .. parce que, Abe, homonyme du personnage de Abe’s Exode, jeu video dans lequel sa destinée est d’organiser libération de (travailleurs) séquestrés, préparation �* l’exode. Psychanalyse(s) = On ne psychanalyse pas ses proches, on ne se fait pas analyser en public. Durant ce loft il n’aura jamais été question, ou si peu, de la mienne, mais bien de celle de quelques personnes, pour des points me concernant directement; = des gens �* qui j’ai toujours explicitement fait savoir que je rejetais leur frénésie pour la psychologie, situationniste et légumisante, conformisante �* des normes fabulatrices, par définition du frénétique: hypnôtisante. = Eux et leurs relations, personnages de la psychologie, éminents tout au plus de la chimie cérébralo- lavante et neuro- engourdissante ont probablement de tous temps ignoré l’existence de la psychanalyse qu’ils eurent bien fait d’appliquer �* eux-mêmes pour introspecter leur positionnement �* mon égard, moi devenu leur sujet d’étude. En contradiction de quoi ils se sont contentés de me contempler pour mieux ne pas communiquer. ===== Ne manque que les références le patronyme de la famille __________ , secte, salops lobotomistes sise en principal (______________; ________; ________), des employés de la société (_______, _________________), le père de qui j’ai prétendument abusé début 2001 (____________, ______________), des inconnus __________ premiers propriétaires / fabricants / importateurs / ... cinéastes, agents secrets, etc. * Finiront avec eux en la secte qui sera chassée et traquée ad vitam pour foutage de guerre tout ceux qui prétendront encore �* légumiser le peuple pour l’injonctionner au silence et le faire vivre sous la menace; * située secte dont sans ce document on eu pu que craindre (en espérant que ceci suffise �* en dissuader quiconque) les voir réitérer �* fins d’étude et d’abus de potentiellement tout un chacun, par et dans de nouveaux [dvc²] ainsi que par / augmentée de (pour qui victime aurait compris) l’instauration du silence qu’ils ont utilisé en menace �* l’encontre de qui dévoilant serait dit responsable de divulgation publique; * gardons pour d’autres, positivistes et progressistes, les projections purement scientifiques ou médicales protectionnistes du potentiel acquis et non de manipulation et destruction psychologique que l’on a appris �* perpétrer en se servant de moi comme cobaye (périodiquement) depuis six an; * * Ils finiront derrière des grilles, derrière un mur entourant leur domicile, leur rue, leur bled ou le pays qu’ils se créeront, future république de Psychiatrie, contrée lobotomiste néo- communiste digne des pires régimes que le monde ai déj�* connu, en plaira �* leur démagogie et �* leur mysticisme, pathologies dont ils auront prouvé qu’ils sont porteurs �* n’en démordre quitte �* foutre la guerre, ce qu’ils ont fait. * Des tarrés qui sans qu’on s’en émeuve finiront acteurs ad vitam de ce qu’ils ont fabriqué, instauré, prétendu et injonctionné �* chacun de considérer pour ce qu’ils appellent un film, des tarrés qu’on dénoncera et qu’on étudiera pour leur frénésie �* se complaire dans la pathologie du foutage de merde et de la tentative de lobotomie de leurs semblables �* qui ils disent qu’ils sont acteurs de cinéma. * Tout normalement constitué se défendra bien sur de cet attribut et participera sinon approuvera �* les enfermer dans la vie qu’ils ont voulu faire vivre, ils prennent ce document en punition d’avoir tenté de l’instaurer �* tout qui �* eu connaissance de cette affaire, de leurs pratiques. * A l’encontre de tout qui �* compris leur pathologie du néo- stalinisme, presque du post-hitlérisme, pour ne citer la mythologie qu’ils ne manqueront pas �* l’avenir de nous faire nous remémorer, de nous rejouer, de reproduire, ils ont installé un climat de guerre, ils doivent en retour être conscrits �* leur personne, �* leurs sympathisants. ===== * Ils ne peuvent admettre ce qu’ils ont fait, ils ont infligé un climat qui se perpétuera ad vitam de leurs activités, accompagnés de ceux qu’ils parviendront �* convaincre d’un bien fondé de leur état d’esprit, de leurs activités, de leurs projets tant qu’ils n’en auront d’autres que celui de refuser de reconnaître les faits et les perpétuer. * Version quelque peu paranoïaque mais réaliste et simples conclusions considératoires �* des faits réels; nonobstant tout possible revirement de leurs sentiments qu’on taxera de schizophrénie pour leur rappeler leur actes, les faits, rappel et non interprétation ni considération dont ils se complaisent de toutes façon et depuis toujours �* les contempler puis �* les rejeter pour en demander d’autres, incapables de les accepter encore moins de les analyser toujours obtus en attente d’autres dénonciations de leurs agissements; * salops lobotomistes de ma personne, famille dégénérée et leurs complices, la part de salops et de fous d’entre les activistes de ma prison loft dans laquelle on me fait vivre depuis 2001. ===== * Ce document est une contribution de multiples intervenants, il est aussi la retranscription reformulée de notes manuscrites elles même participées. Contre ma volonté je suis amené pour je ne sais encore quel usage il en sera fait, �* prendre part �* sa rédaction, �* titre principal puisque je suis le sujet de ce qui y est relaté, il est rédigé in situ de son objet: mon domicile prison. ° Les évocations redondantes ne sont pas contradictoires mais complémentaires et autant que possible leur temporalisation est indiquée par un signe précédent chaque paragraphe - ils pourront rester pour simplifier la lecture de l’ensemble. Temporalisation: il est des analyses, des prises de conscience, pas des revirements de sentiments mais la prise en compte de préalables �* diffusion, qui complètent ou précisent au fil du temps de rédaction le contenu de ce document. * Si ceci est un accusatoire il l’est �* l’encontre des responsables d’une guerre que nous avons vécu, que nous vivons encore, semble-t-il qu’on utilise les derniers jours de ma prison pour me le faire relater in situ. * Des gens qui auront tenté le passage en force pour faire passer pour des acteurs de cinéma une foultitude d’acteurs qui ne le sont qu’an sens du terme de témoins, de participants, par bonne volonté ou par implication dans une situation qui leur a été soumise de fait. * Ni eux ni d’autres ne pourront encore se protéger derrière une prétendue activité cinématographique car, si telle prétention, ils sont ici dénoncés pour qui instigateurs, pour qui guerriers au sens hostile du terme, pour qui encore apprentis �* en instiguer d’autres et �* les entretenir. * Accusatoire ceci pourrait le devenir - il suffira d’y mettre le titre - pour défendre des victimes, pour faire punir des (irr-) responsables. A charge de qui prétendra �* la farce, de qui prétendra �* de la pure cinématographie. * Il est insulte de prétendre de qui ne le revendiquerait pas qu’il serait acteur d’un film de cinéma que d’aucuns exacteurs l’auront fabriqué pour non pas les y faire jouer un rôle mais pour les y faire vivre; remarque générale objet partiel de ce relat. ======= Il vit / Il vivra dans un trip La secte - famille de mon patronyme (désolé pour les homonymes) rajoutée de leurs complices - , est mytho- démago, elle me voulait acteur pour ce qu’elle allait (constater qu’on allait) me faire, suite �* ses propres exactions et �* celles d’autres imbéciles et salops parasites: accusation perpétuelle de déficience mentale, tentative de rééducation, de re- conditionnement, exaction situationniste �* prétendre �* ma fausse perception de la réalité tout en prétendant me faire - et en me sketchant du bon �* faire - un film !, en me faisant vivre dans leur film - extrême exaction psychologique et destruction par sectarisme. ======= * Ceci peut être lu pour un accusatoire, certainement pas pour le livre qu’attendait qui membre de la secte. Au cas où j’aurais �* le divulguer je le signerai de son patronyme qui sera encore le mien si d’ici l�* l’administration ne m’en a pas décrété un autre. J’aurai existé et tant qu’on ne m’aura pas tué je serai celui qui l’a vécu, en principal. * Qu’on me libère de cette prison et qu’on ne vienne plus m’emmerder, qu’on ne me taxe plus jamais d’acteur ni de déficient ni de quelqu’un qui vit en trip - je n’apprécie d’autre conso que celle du chanvre pur. * Que l’on saisisse �* qui m’a peut-être déj�* fait des films son matériel de production, que des recettes soit fait usage social et bien publique, que se défendent en se donnant au public qui m’aura vu dedans les malfaisants qui m’auront fait ces films pirates qu’on m’évoque. Qu’ils se servent ensuite de leurs biens propres pour payer leur procès .. leur psychanalyse. * Je pourrais tout nier cependant que je pourrais le réécrire en bien pire et plus complet, ceci devenant base de travail, quand j’aurai pris connaissance de tout ce que je ne sais pas. Toujours �* charge de la démagogie, de la perversité et de l’imbécillité, respectant autant que possible le principe analytique, �* destination du bien publique, de l’anti- légumisation �* contrario / en parallèle de la psychologie. * coupé: Au moins depuis fin de l’an 2000, * Cela ne devait être de leurs aveux ultérieurs qu’un jeu de découverte de [dvc²], alors qu’ils pratiquaient ni plus ni moins que manipulations visant �* suggérer, �* induire et contrôler mes faits, gestes, et activités. * Ils étudiaient le moyen de régir �* ma place, eux en place de ma personne, mes modes de pensée et de réflexion. * �* l’évidence et ce fut le cas, activité apte �* placer quelqu’un dans un état proche d’une hypnose inconsciente ou inconscientisante, contrôlé et par définition du fait de l’accaparation, déficienté, voir pire et pour conclusion en termes justes, �* l’extrême pour qui victime resterait dans l’inconnu de ces agissements, dans un état proche de lobotomisé tant que dure cette activité; * faits que qui ou de leurs complices ou récupérateurs ont ensuite tenté de camoufler en prétendant �* l’idée d’avoir voulu / de vouloir me faire un film, * en fait ou ce qui est devenu de me faire vivre dans un film, taxé d’handicapé, activité camouflée ou récupérée par celle du situationnisme, jeu militaire ou psychologique visant �* suggérer et �* étudier les réactions, ici de me faire vivre et m’étudier, d’analyser conjointement le tout cela des années durant incluant / précédé de ma psychanalyse totale et redondante; * activité pseudo- cinématographique complétée de la prétention par d’historiques profanateurs de ma personne et de mes facultés intellectuelles, que, tel que vivant dans un trip, je vivais une réalité qui m’était propre, comme si je vivais constament sous effet de trip chimique - ou que je fus victime de retours sporadiques d’antérieures consommations, ou simplement vivant - ou sporadiquement - dans la perception tronquée de la réalité de façon naturelle par débilité ou maladie mentale; * ci-dessous �* corriger et conciser, lancé de-pierres �* détracteurs et profanateurs: * en fait de retours de trips on a trouvé que la prétention �* leur potentielle existance en moi, potentiel déchiré par l’absurde, par la démonstration, qui a consisté �* me re- confronter aux produits incriminés puis �* me mettre en situations de vie réelles puis fictives (par pur situationnisme) susceptibles de faire partir quiconque en trip. Il en est ressorti que l’on ne fait pas de retours d’acides neuroleptiques, il en ressort aussi que les neuroleptiques ne sont pas des trips mais des produits qui rendent psychotique. * Il en ressort que qui m’a historiquement taxé d’handicapé m’a en fait taxé en principal de psychotique, pathologie qui si avérée et imputable �* consos. aurait été mise �* la charge de lui conseiller témoin et de son père l’administrateur de ces produits �* moi en âge d’ado. * Est laissé �* appréciation: le fondement de cette prétention �* potentiels retours de ce produit, tout comme celle de moi �* potentiel de retours de, en supplément car ceci fut déchiré par les mêmes occasions et tout au long de ma garde prison où l’on a démontré mon potentiel et ma personnalité - de toujours - �* ne pas céder au déstabilisant de facon générale - et �* le contrer / le dénoncer quand il est volontairement induit - ce qui a d’ailleurs autorisé �* moultes exagérations et débordements le plus souvent par mon contrage et en dénonciation de ces éxagérations, d’exactions. * Est enfin laissée �* appréciation libre mais �* charge des feu- détracteurs et accusateurs, ma non-affectation de facon générale du point de vue de ma perception de la réalité De consomations faibles jusqu’�* bien des exces, même au cumul de diverses drogues telles que nicotine, alcool, chanvre et dérivés opiacés jusqu’�* champignons, coke et acides neuroleptiques ou trips pseudo- pharmaceutiques, la normalité est que tout un chacun “fait” ( ) �* ces conso de par sa volonté ou non n’en est que au fil du temps d’autant moins (dés-) situationnables, cad. susceptible de perdre le contact avec la réalité. * Tout au plus peut-on me reprocher quelques énervements mais il a été démontré par les mêmes occasions et durant tous les loftages salops crapuleux et hostiles qu’ils étaient auto- protection et contrage par la dénonciation jusqu’�* prise sa en compte et arrêt de véritables ignominies, dont une partie ont été faites pour me mener �* bout, visiblement pour étudier les conséquences strictement normales du pousse �* bout. Cela aussi pour démonter les accusations de famille secte m’ayant historiquement taxé, très contradictoirement, de nerveux, de fatigué, de dépressif et de psychotique, mon tout étant un handicapé, suprême dont j’ai du me défendre conscientisant pertinemment et constamment l’abus et l’agression colonialiste et ingérente qu’elle représentait, sans avoir personne �* qui ni les moyens verbaux et dialectiques de dénoncer l’accaparation qu’ils faisaient de moi. * Démonstrations donc, en fait quelques faibles empoisonnements visant �* me faire remémorer et �* extérioriser par observation de moi puis par mes commentaires leur action in situ et surtout le subie pré-ado, âge auquel le prétendant �* retours avait au moins induit leur usage abusif et constaté catastrophiques et crapuleux effets sur ma personne. Le même est dénoncé de ne s’être émus de voir pré- sénilisé qui devenue consommatrice de cortisone en toute absurdité pour tous soins médicaux pour le moins incompréhensibles, c’est de morphine qu’il eu pu s’agir et non de ce remède de chevaux si le but était de calmer des douleurs en attente de soins plus pertinents .. ils sont tarrés, rendent des gens séniles pour leur cacher que pendant ce temps ils font suggestion �* qui veut l’entendre que d’autres seraient malades - ou restent en expectative; le mal fait, quand on se contente d’attendre il faut .. s’attendre �* des retours sur (investissement de) prétentions. * Tout cela dit pour situer mon aversion, ma répugnance �* la prétention de recherches en moi de pathologies quelconques, de faiblesses ou propension. * Cela pour toute réponse et pour rétorque, pour défense et pour vengeance, par le seul moyen qui m’est offert et raisonnable. ===== * Il doit être considéré par tous que aussi grosse la rétorque puisse-t-elle paraître elle est psychanalytique et théorisante plus que évocatrice ou dénonciatrice, si elle est extériorisée ce ne sera que collatéral �* ce que l’on m’a fait vivre depuis toujours et au subis de ma prison inclue psychanalyse publique - subissance exacerbante en redondance / et redondante; qui réalise cela considerera que les proportions sont gardées et que chacun concerné de près ou de loin ainsi que témoins ou lecteurs le devenant feront le mieux en intériorisant toutes considérations et réactions. ===== * Nonobstant le “gag” qu’il me serait obligé de leur faire en cas de non- ouverture de ma prison qui serait de renommer ceci en un accusatoire et de leur suggérer de faire encore un film, celui de leur procès, le vrais, comme ils ont fait celui de ma vraie vie, comme ils m’ont fait le vrais procès de toute ma vie. ===== $ Écrire et relater tout ca n’est pas plus agréable que de l’avoir vécu, il est difficile de sauver le pire autrement qu’en invoquant encore et toujours l’analytique, le parfois récupérable pour bien publique par théorisation, cette prison analytique tente de récupérer tout le monde par l’analyse et donc oblige �* l’expression de tous ses tenants et contenu. $ Le mensonge et le non-dit, le faire semblant, l’outrance dans le laissé- passer est responsable de tout l’évoqué. Il est le fondement même de la psychanalyse tant invoquée et trouvée seul exutoire pour tous, que de citer, d’expliquer, de tenter de comprendre, ce qui n’implique pas de l’accepter, toute et rien que la réalité. Sinon .. on finira tous schizophrènes et dépressifs, psychotiques ou psychopathes. Sans faire dans la littérature. A chacun la charge de trouver psychologie pour assumer, pour s’assumer. ===== * Quand ce fut le cas de parvenir �* me déstabiliser ce fut bien sûr uniquement du fait de l’inconnu de ma situation de séquestré - non informé de vivre tel un prisonnier de droit commun en liberté surveillée et accompagnée - et pour cause de fabrication d’évènements que l’on m’a fait vivre sous prétention de situationnisme; * suggestion de déficience par qui pré- cité avait alors la crainte que je ne découvre le passé, que je puisse trop me l’expliquer: utilisateurs de psychiatrie et administrateurs de produits chimiques, actes auxquels ils cherchent depuis toujours justification dans des livres nauséabonds de la neuropsychiatrie et de la psychologie, ceux-l�* même qui les auront amené quand pas protégés, �* me chimiquer. ° Pour en finir avec la déstabilisation il faut évoquer qu’en réponses �* toutes situ dangereuses pour eux, cad. mettant en péril le silence, même �* situ de douces pousses humoristiques �* leur suggérer de retomber de leur pied d’estalle, ils ont toujours répondu par menaces, par autoritarisme, ou par pétages dialectico- littéraires; allant jusqu’�* mener ç mon encontre et �* mes frais plusieurs procédures en justice et conseils / demandes de ma médicalisation, cela dénoncant leur mauvaise foi �* la fois leur incompétence et manque de savoir vivre, d’honnêteté, cela dénoncent leur peur panique �* être découverts et expliqués. En guise de toute fin de non- me re(ce)voir ils ont induit psychanalyse mais d’abord demandé vie en appartement thérapeutique ce qui pour des raisons suppléantes �* leur volonté �* été fait mais sous forme d’une prison loft pirate. Si �* procédure normalisée j’avais été contraint j’aurais fais exode, exile psychiatrique, rajouté de procès pour demande de punition et réponses �* mes questions concernant qui prétendument abusée ! ===== Faits de neuro- chimie, de psychiatrisation rapide 1989 ? $ Moi en âge d’adolescence, père Staline induit par son fils alors en prémices de s’empêtrer dans des études de psychologie, s’est entêté de me faire psychologiser pour des raisons d’encombrement et de recherches en moi pour de leurs raisons imaginées (par eux seuls), de maladies tout aussi inconnues que je ne comprenais cet entêtement �* m’en supposer. $ Cette prétention �* aboutis �* ma mise en observation psychiatrique en milieu hospitalier; pour toute observation il s’est agit de me faire consommer une quantité faramineuse de psychotropes �* effets multiples et variés: anti- dépresseurs, anxiolytiques, anti- épileptiques, anti- parkinson, psychotropes, et autres ignominies de la pseudo- pharmacie cérébralo- lavante. $ Après quinze jours de garde et une quantité que j’estime �* quelque trois cents pilules ou gélules et autres comprimés neuro/psycho-actifs et talqués j’ai un jour cru mourir de ne plus pouvoir pisser, épris de douleurs effrayantes je n’ai même pas osé m’adresser au personnel soignant de peur de me voir médicaliser supplémentairement pour cette “pathologie mésocomiale” dont le psychiatre prescripteur que je jugeais déj�* pour ni plus ni moins qu’un laborantin était, sans que je n’en eu le moindre doute, seul responsable. ===== 2001 * La vraie raison de ma prison loft s’est révélée et progressivement précisée au cours de son existence, elle était protection de ma personne en accord commun de plusieurs autorités (je n’en ai pas été informé, je dois concevoir cette évidence) * de récupérer une situation, le constat des conséquences de ces manipulations (cf. rencontre prolongée avec qui mineure), situation au coeur de laquelle les premiers (doux bandits) n’auront pas stoppé encore moins dévoilé leurs agissements, outre de l’avoir supervisée (épiée) ils l’ont activement complémentée par quelques manipulations �* d’entre mes faits et gestes, même si pas très conséquents. * situation: �* savoir ma rencontre avec la fille plus que mineure d’une haute personnalité. Il apparaît que cette rencontre a pu être fabriquée au moins induite, peu importe de savoir si les précurseurs de [dvc²] étaient complices ou si cette entremise était le fait ou l’accident de seules autres personnes désirant si malfaisantes me voir accusé de faits criminels ou psychiatriques au seul but alors envisageable de me faire enfermer, dans ce cas probablement �* but de me donner �* disponibilité .. de prisonniers de droit, sinon psychiatrisé donné �* [dvc²]; mais cette boucle en hypothèses avec [dvc²] n’est pas �* faire, sous peine d’en reprendre pour un tour d’analyses qui ont été menées mais qui n’aboutissent pas, je n’ai pas d’éléments corroborants, j’ai au contraire pour refuser cette hypothèse une forte suspicion d’évènements fabriqués mais croisés, les faits de plusieurs groupes activistes conscients ou pas du potentiel de conséquences. * Il ressort de ce que l’on m’a communiqué / il ne parait pas possible autrement mais trop peu d’éléments me permettent de le certifier plusieurs années plus tard après tout le vécu et toutes les manipulations subies rajoutées au fait que l’on réfléchis encore / qu’on me laisse encore �* réfléchir * que probablement des caméras pirates auront été placées en mon domicile avant ma rencontre avec qui mineure, puisque on me relate notre vie commune dans ses plus stricts détails; a-t-elle sinon relaté si précisément nos moments communs, cette hypothèse fantasmagorique au vu des détails évoqués, impartiaux et autres en notre faveur commune, m’est suggérée par qui de mes correspondants, sans que je ne puisse le certifier (mieux vaut ne pas pouvoir in situ et ce n’est de toutes façons qu’un détail); * cette prison loft pour m’éviter une procédure judiciaire et/ou psychiatrique; complémentairement permettant la recherche des buts et des actes et de leurs conséquences, des premiers précurseurs de [dvc²] ainsi de rechercher comment pourquoi et qui avait induit ma rencontre avec qui mineure précitée, éventuellement faire le rapprochement ou découvrir coïncidence; * si cette rencontre était fortuite il est aussi le constat que plus que mineure elle a été, fut-ce par inconscience, entraînée �* fréquenter �* des heures incompatibles avec sa minorité des endroits inappropriés (boites de nuit jusqu’�* fermeture, afters après fermeture des boites, activité professionnelle dont j’ai conclus plus tard qu’elle ne devait exister que le temps de vacances, etc...). [dvc²] était l�* avant, �* assisté puis �* disparu. * coupé: Les premières ... ===== * Je n’ai pas plus fuis �* l’étranger comme me l’a suggéré mon père sans me dire pourquoi, qu’on ne m’aura jamais mis en prison ni qu’on ne m’aura informé de quelque procédure qu’il fut, il n’en a pas été menée d’autre que celle objet du présent récit donc sans implications administratives, en toute discrétion et en toute clandestinité; prémisse et parallèle �* ma vie en prison loft, sans qu’elle ne fut jamais déclarée �* moi autrement que �* distance, non sur papier mais par dires et jamais en clair ni en face; * période de vie �* considérer principalement pour des lofts pirates parfois amis parfois hostiles parfois simulateurs dits du situationnisme, avérés prison domiciliaire ou encore, et c’est une constante, présentée sous le jour de la psychanalyse et �* but de ma protection, probablement aussi celle d’autres, les clandestins précurseurs; * qui, dont j’ai appris plus tard que je l’aurais abusé du fait de son jeune âge, aurait envie de me retrouver lors de sa majorité que cette quasi séquestration lui évitera de me voir sortir de prison - de l’une de celles faites de murs et de barreaux; pas plus que n’auront eu lieu officiellement ni injonction ni prise en charge thérapeutique ou psychiatrique ni judiciaire de qui que ce soit des précurseurs et opportunistes ou complices, bien que assurément et pour ma protection, pour ma défense, j’aurai été suivi de tout temps par des instances médicales et surtout (psych-)analytiques sans qu’elles ne se soient identifiées, se laissant deviner et constater; * j’ai contacté moi-même avant et durant mon temps de garde, des intervenants sociaux et de la psychiatrie, pour poser des questions et expliquer quelque peu une situation qui s’était déroulée quelques mois plus tôt; quelques visites médicales et court séjour en psychiatrie pour me reposer de subissances physiques plus que psychiques, concrètement pistages et loftages et faits de drogues de mon insu, me faire examiner et demander quelques soins médicaux. * Une rencontre de quelques jours avec qui l’on m’a un jour indiquée être fille d’une importante autorité, se gardant mais il était de toute façon trop tard de me dire qu’elle était bien plus jeune que je ne le pensais, il m’est apparu beaucoup plus tard lors de psychanalyse que cette rencontre �* peut-être été fabriquée, induite pour se servir de moi en m’attirant des ennuis, devenu taxable d’abus sur mineure de plus pas sur n’importe qui ce qui m’a peut-être sauvé; plusieurs groupes de personnes se sont-ils croisés lors de ces prémices �* ma prison, d’aucuns soupçonnés de fabrication sont-ils peut-être simples témoins ou actifs entremetteurs, d’autres placés devant le constat d’une relation entamée qui n’aurait alors (temporel) pas du exister. * De toute évidence des instances psy et médicales ont assisté et participé �* tout ou partie du temps que j’aurai passé en cette prison loft, sans s’identifier plus que par leurs agissement (psych-)analytiques poussés jusqu’�* un écolage de moi �* cette pratique. Cela ressemble �* un semblant de deal - entre un écolage �* mon profit et un sujet d’études offert ou récupéré, accepté, �* / par des pratiquants des professions de l’analyse et de la psychologie jusqu’�* la psychiatrie conjointement de médecine au sens large, écolage corroborant �* mes pré- dispositions �* l’analyse au sens large jusqu’alors appliquée concrètement au seul domaine informatique. ===== * En collaboration via cette instaurée téléconférence fondamentale au loftage, nous avons dénoué et débusqué presque tous les éléments et intervenants, �* la fois des prémices et du contenu �* / de ma prison loft: on trouve avant et pendant du crapuleux et du scénarisé, du banditisme, du sectarisme, du réel et du situationné, voir de l’auto- situationnisme suite �* de réels débordements dû �* la durée de ma séquestration. * Séquestré en toute clandestinité pour des faits de moeurs prétendument répréhensibles conscientisés plus tard mon seul passage en hôpital le fut pour repos suite aux exactions des premiers lofteurs pirates -des tarrés qui se sont chargés de me faire peur et provoquer tachycardie (aléas cardiaques) jusqu’�* ce que je quitte provisoirement mon nouveau logement, propriété familiale, pour aller me reposer d’eux et des préliminaires interrogatoires subliminaux actes de ma famille alors secte peut-être manipulé mais pas moins complice, ainsi que de quelques abus de substances psychotropes et exténuantes, qu’elles eurent été mélangées �* mes fumes anodines et naturelles par des voyous invoquant ou suggérant ensuite de peu scrupuleux dealers de beuh ou qu’elles furent truffées, en plus ou pour tout et comme ce fut le cas encore plus tard durant le loftage, au contenu de mon moulin �* café - en clair il s’agissait de coke, speed, viagra et anxiolytiques - . Ils se faufilaient dans les vides techniques de mon immeuble, certains y ont pénétrés avec des clefs; “tu sais bien qui est l�*” dixit le hamster * plus tard on a placé chez moi du matériel de surveillance: caméras thermiques et micros, cela apparemment pour le compte et sur la commenditation de et en la présence du père de qui prétendument abusée sinon de celle d’un autre meneur de l’épopée du dit placement, alors le hamster �* qui est attribuée la citation ci-dessus en titre, pourquoi pas le père a pu être le hamster, visiteur caché en voisinage les week-ends et travailleur de ses heures fériées �* venir m’examiner; * hypothèse peu probable et non- décrite ici sur l’identité du hamster s’il ne fut pas le papa, abandonnée faute d’autres éléments corroborants �* identifier cet animal terrier - terrier car il utilisait des locaux et leurs accès aux vides techniques pour communiquer avec moi par effets de voisinage [a été étudié mais ne trouve pas confirmation, voir la citation du (hamster), les hypothèses et analyses �* ce sujet n’aboutissent pas; �* savoir que elle et moi aurions été cinégraphiés en prémices �* ma prison par quelqu’un d’autre de son entourage; * travail de truffage de cet appartement, ma prison loft, exécuté par qui pour partie et indubitablement identifiés lors de leurs tests du matériel; ils testaient la première caméra thermique probablement fixée sur une paroi dans l’intérieur d’un vide technique; * peut-être l’installateur est-il soupçonné par moi �* tord d’avoir au préalable du loft prison utilisé �* mauvais escient ce même matériel, sinon il aura mentis �* ses accompagnateurs de ce jour l�* et / ou ce groupe de personnes n’était-il pas uni dans ses sentiments et intentions �* mon égard. Les personnes présentes parfaitement identifiées ne seront pas citées, leur présence et connivence m’intrigue encore. * Au moyen de ce matériel et avant l’arrivée / le retour de [dvc²] on m’a fait de multiples loftages croisés et partagés en tranches horaires, depuis un voisinage direct de mon studio- appartement, depuis un appartement probablement sous-loué partiellement aux occupants réguliers. Prémices * Il m’est rapidement apparu qu’il est plus que probable que les faits incriminés concernant fille de qui ont été partiellement au moins induits si pas totalement fabriqués par manipulation de moi ou de nous deux, par un ou deux groupes de personnes dont l’un - de ses amis - aura été l’entremetteur et l’autre aura éré [dvc²], de toute façon présents et actifs depuis et durant plusieurs mois de façon subliminale et parcimonieuse; * [dvc²] �* pris bien garde de me dévoiler son existence en agissant qu’avec parcimonie, �* ce stade des révélations et analyses - le reste je l’apprendrai de visu et en privé après ma prison loft, il ne sera pas relaté - il n’apparaît pas de réponse �* la question de savoir ce qu’ils projetaient; * la suggestion d’un gag sous forme de pré tests ne trouve pas mon approbation, dû au caractère malsain, insultant, de leurs agissements: il n’apparaît pas autre chose qu’ils ont tenté de me diminuer psychiquement jusqu’�* me déficienter intellectuellement, difficile pour eux ensuite de faire valoir �* un gag durant lequel ils se seraient entraînés �* l’objet et responsable de batailles et non- plus de jeux durant toute ma séquestration en marge de ma psychanalyse. ===== Terrain de guerres * Ma prison fut un lieu de guerres - l’endroit et le moyen étant les téléconférences, impliquant plusieurs bureaux et auditoires ou salles de conférences, d’autres intervenant depuis leur domicile; pour partie des lieux isolés pour partie accédés par un certain public:ou des groupes de personnes dont on en dit, et j’en ai constaté, de mes amis, famille, anciennes relations de travail ou autres connaissances, on y trouve aussi autorités �* l’évidence au moins médicales, des inconnus protecteurs ou accompagnateurs positivistes, des personnes privées et des professionnels de la (psych-)analyse; * ainsi que d’autres ayant appris au fil du temps l’existence de ma prison et celle de blah ... quand pas suite �* indiscrétion ou sur invitation. Pour bon nombre [dvc²] prend le dessus sur ma personne, mais il n’a du échapper �* personne ou pas longtemps que si je suis comme on le constate contraint de vivre cette situation, elle existe par et pour le fait de [dvc²] poussé �* un incommensurable point et niveau de subissance plus tard après psychanalyse. -- la suite quand ils n'auront pas arrêté. |
3) la suite de ce qu'ils m'ont tracé depuis le berceau
y'a toujours pas d'acteurs puisque je creve dedans, la suite tant
qu'ils auront pas arrêté LEUR EMETTEUR. A part ca ils coupent (quoi, la diffusion pirate d'une prison loft pirate ???????????????? et où ? sur quelle chaine ? C'est endemol peut-être ? Non c'est LA BELGIQUE et des employes informatique avec comme QG principal la boite de mon ex employeur QUE QUELQU UN TRAVAILLE A FAIRE DENONDER - ILS VOUS AIMENT PAS TOUS et de toute facon ils sont en guerre interne contre qui �* truffé leur entreprise en 2000-2001 ! ! ! ! ! en 2000-2001 ! ! ! ! ! en 2000-2001 ! ! ! ! ! ... donc un doux-animal pretend encore qu'ils coupent que "QUAND JE ME BRANLE", c'est donc pour que je me branle pas qu'ils me choppent dès l'ouverture des yeux JUSQU A obtenir SCORE ET DENONCIATION; après quoi je retourne me coucher ET JE ME BRANLE SI JE VEUX. Ca fait cinq ans que les enculés qui m'ont fait ca ne sont pas montrés, MES """""amis""""" qui allaient me faire sortir de cette merde dans UN FILM. CONNARDS, ces gens sont des porcs, pervers(doux?) sexuels(beaucoups), leur entreprise a-t-e-lle été démentelée comme cel�* a été suggestionné (situationne) en "situa/tionn°-isme" �* tres juste titre ? ? Il y en a qui continuent JUSQUA obtenir denonciation, tant qu'ils ont pas ils arretent PAS et de toute facopn J AI PAS A VIVRE DANS UN LOFT PIRATE DERRIERE DES CAMERAS THERMIQUES CACHEES. OK ? ? ? OK ? ? ? OK ? ? ? OK ? ? ? PAKI tu dois comprendre ca et les laisser me sortir de l�*. Le but de celui qui m'a fait ca était QUE de se faire, sous couvert d'une prison pirate, UN ACTEUR QUI SE BRANLE DANS UN LOFT et qu'on sacrifie (merci la secte famille de-chiottes-gelaere) �* l'étude de l'éléctronique. Ces SALES MYTHOS ont cru que j'allais les EN SORTIR apres qu'ils aient constaté l'ECHEC de la TENTATIVE de me REFORMATTER le cerveau ! Sinon bien sur m'y faire laver et finir perché, prendre plaisir �* croire avoir fait un film lors de ma prison pour pseudo abus d'une mineure qu'on veut que j'attende pour marriage (si elle veut plus elle va se venger ... parce qu'elle a été actrice de cul dans le loft pirate qui a été fait CHEZ ELLE avant chez moi !!! !!!! sinonj on se barre et on va se marrier �* CUBA, merde in fransse et ailleurs et qu'on en finisse. Alors la princesse vous l'avez suicidée ? Vous vous êtes bien branlé sur la pédographie de l'actrice ? Faut parfois remettre l'eglise au milieu du village. Donc j'allais prendre plaisir �* croire avoir fait un film, il faut pas demander si celui qui m'a fait ca est CON SALE ET PERVERS. pour y avoir cru, freudoliens et pedo-branlo-graphes allez mourrir svp ! ... quelques dutruc totalement extérieurs �* ca se fendant la gueule en me le disant dans le dos quand ils me croisent dans la rue .. pauvres gosses de comunistes, que la lecture de ceci vous dissuade de recommencer et réfléchissez un peu �* votre réaction de fendage de gueule apres prononcitation des paroles comme celles que vous m'avez envoyé ... est-ce vraiment naturel ? Pas toujours. Pourquoi les politiques belges n'arretent-ils pas ca ? SALOPS. LEGUMES ! [ QUI vient dire pour la dixieme fois depuis 4 jours: "sales bougnoules" ? Sale juif sioniste va t'enterrer dans ton kibutz et te finir au sol-sol ! Cetrel vous allez finir au missile ! +++++++++++++++++++++++++++++++++ Suicidez vous comme HITLER !!!!!! STALINIENS !!!!!! ++c'est pour rire on veut pas vraiment votre mort++ +++++++++++++++++++++++++++++++++ interlude]..... Il y a un juge qui a le doigt dessus, c'est pas MOI dedans et �* distance de ces gens l�* qui vais faire fermer CA. DEMERDEZ VOUS BANDE DE LEGUMES pour me sortir de l�*. ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Il y a qui se marrent, ils m'observent rédiger, ils m'en soufflent la moitié. mais ils viendraient pas sonner �* ma porte, oh couillons ? ! ? 3); sans résumé de l'épisode précédent parce que c'est pas un feuilleton pour les neurasthéniques de la rtb--"sa frange social-communiste la colonne des psychologistes brancardiers d'un coup détat", nous on tirera sur les ambu. la 3ieme partie donc ... 3) ne doit pas être plus précis: * Dans cette fabrication, dans ce situationnisme de batailles, je suis le protégé, préservé d’un enfermement judiciaire et �* la fois de qui aurait (eu) griefs �* mon égard, rapport aux tout premiers qui ont joué et auront mis du temps �* être découvert, �* s’expliquer pleinement de leurs activités. Rapport �* qui ensuite aurait induit rencontre peut-être �* mauvais escient (de me voir finir en prison pour abus sur mineure) et enfin aux troisièmes, fussent-ils des premiers qu’ils auront eu d’autant plus de choses �* cacher. ne doit pas être plus précis: * Cette tentative voir cet amusement de me déficienter, ajouté / suivi de loftage actif agressif, et de quelques autres fabrications abjectes et dégueulasses qu’on aurait ensuite voulu camoufler par une prétendue activité de cinématographie dont j’aurais été l’acteur, acteur en termes de cinéma, volontaire ou volontarisé. * Da ma prison je suis libre - et contraint - de sorties ne fut-ce que pour mes fournitures et mes formalités administratives, je suis aussi séquestré dans cette constante permanente et quotidienne depuis longtemps téléconférence active accompagnatrice de chaque instant des 24 heures de chaque jour, depuis plusieures années au moment de la rédaction de ce récit, je suis aussi séquestré dans l’organisation ou le constat de ma paupérisation. Depuis longtemps sans plus de moyens financiers que pour m’assurer subsistance, je vis du strict minimum. * Enfin je suis prisonnier du bien fondé de ma relation avec qui alors mineure dont l’on me soutient depuis que le loftage est effectif que je pourrais être amené �* la retrouver après ma “libération”; le cas échéant que j’aurai par cette peine été punis - d’une relation de quelques jours ou quelques semaines -. Ca a toujours été pour moi non pas une hypothèse mais une évidente probabilité, peut-être m’attend-elle injonctionnée �* ne pas se montrer et entourée de qui me lofte en protection, cette partie des intervenants qui ne font pas de situationnisme mais qui me font attendre ma sortie et m’aident quelque peu �* supporter l’ensemble des autres participants non complaisants; * prisonnier aussi de mes questions auxquelles personne n’a jamais prétendu s’intéresser encore moins me répondre, concernant �* la fois qui précitée, et ce loft (ces loftages) dont il m’aura fallu plusieures années de réflexion pour dater et retrouver les premières activités et au sujet de laquelle il apparaît aussi qu’on a pas voulu tout savoir trop vite; * on a fait durer les chose, ce faisant des événements ont été oubliés, puis rapportés ou retrouvés par analyses recoupantes, par hypnose remémorante, par réflexion des mois durant, par des aveux probablement, ainsi que par étude des backups d’activités et de mon pistage et manipulations préalables �* ma rencontre incriminée, complémenté de la cinégraphie plusieurs fois en son domicile plusieurs fois en le mien alors ma propriété, du temps passé avec qui, incluant le trouvé réprimandable. * Et donc est constaté �* charge des premiers observateurs mes suggérés amis le fait répété de pédo- cinégraphie; d’intrusion domiciliaire, en résumé de doux- banditisme; on nous a, me permet-on de comprendre, filmé �* de multiples reprises, ces enregistrements ont été retrouvés et m’ont été précisément évoqués, relatés par détails des plus précis, ils contiennent la totalité des faits incriminés; s’ils existent ... * Assurément c’est pour toutes ces raisons entremêlées que l’on ne m’a jamais clairement informé de cette réalité qu’est l’existence de ma prison: �* la fois pour trouver tout et tout le monde, pour faire passer ma peine ou pour attendre la majorité [non plus sexuelle(cet humour m’est suggéré)] mais civile de qui, et me faire vivre ce semblant de guerre au situationnisme, typiquement un jeu militaire psychologique consistant �* suggestionner une réalité et �* inviter les participants �* réfléchir et �* s’exprimer, placés quand c’est un jeu en situation fictive. Mais dans notre contexte nous n’étudions quasiment que des faits réels et des hypothèses amenant �* recouper, �* trouver, �* démontrer, �* expliquer, le passé, ajouté du présent. [si nous jouions au situationnisme l’énoncé en serait: une téléconférence imposée in situ d’un loft prison pirate] ===== Staline, stalinisme * Ma famille �* manqué de me détruire en me déficience par faits de psychologisme de psychiatrie et de chimiothérapies légumisantes et lobotomisantes, hypnotisante dans le sens où elles ont aboutis �* me faire non pas comprendre mais rester - et vivre - sur le constat d’un dénigrement, d’une quasi garde domiciliaire de ma personne étant mineur. * Pour ainsi dire je vivais dans un loft vaquant comme bon me semblait mais sous la surveillance, plus que en vie commune, de membres familiaux qui m’ont perpétuellement cherché des maladies et laissé supposé �* leur entourage que j’en serais porteur, victime; j’étais prétendument toujours malade ou fatigué, en fait je vivais entouré de silence et de non-dits, le fait de personnes trouvées plus tard comme menteurs pathologiques devenus paranoïaques et staliniens, de personnes qui m’ont depuis cette période toujours considéré pour déficient psychique ou mental, ne reconnaissant jamais mener / avoir mené une vie de silences exacerbants. * Toute ma psychanalyse faite - presque une année durant et quasiment non-stop, bouclante et redondante - sans plus de complaisance que la bonne foi ne l’imposait s’est trouvée toujours et sans cesse aboutir points après points �* ma décharge et souvent �* charge de personnes historiquement dénigrantes aujourd’hui accablées des faits trouvés et reprochés. Ils avaient été prévenus qu’il ne fallait pas me la faire, ils l’ont immiscée et induite en toute cachotterie, ils se seront ainsi fait faire la leur. * La fin d’un rébus égrainé et de son analyse progressive, dont la seconde partie énoncée tout �* la fin, boucle le jeu de piste psychanalytique qui dure depuis plusieurs années dans ma séquestration, est l’affirmation métaphorique qui vient suggérer que mon père ce Stalinien aura refusé de voir naître des jumeaux et que je serais le rescapé de cette ignome décision, paranoïaque mesquinerie psychopathe d’un devenu menteur pathologique. * Le rébus m’a été soumis en ces termes: “il y en avait deux”, suivi de “il n’en aura qu’un �* la fois”. * Entre ces deux bribes se sont incrustées plusieurs informations dont j’avais connaissance de par mes observations, d’attitudes et de bribes de conversations passées; laissant paraître pour qui membre de ma famille un manque traduisible par une absence, de quelqu’un dont on cita même le prénom qu’il n’a pas porté s’il n’est pas né, qu’il porte ou a porté dans le cas, mais analytiquement trouvé non probable, où il serait né; bribes de débuts de conversations de suite et abruptement closes par le père paranoïaque. * Déj�* supposé cocufié, qui ne serait donc pas mon père il aurait fait supprimer par soucis matérialiste la moitié résultante de ma conception: moi surnuméraire je serais en plus le rescapé d’une double fécondation. Si �* sa mort il n’a toujours pas parlé j’annonce �* qui l’entend que sur sa tombe je pourrais aller graver la question “Staline - cocu - a-t-il tué le foetus de mon jumeau, son second beau-fils ?” * Mais, comme pour corser, le doute m’a été laissé qu’il eu s’agit pour la première partie de ce rébus d’une suggestion visant �* me faire croire ou admettre que sous l’effet d’hypnose et de produits et ce in situ des circonstances d’alors [dvc²] j’aurais rencontré et pu avoir relation, en quelque sorte �* mon insu, avec deux personnes différentes, fille de qui prenant aux premiers faits incriminés la place de qui d’autre, qui d’autre n’a bien sûr jamais existé, il s’agit de situationnisme psychanalytique. * On m’en a suggéré une autre d’acabit non moins grossier, qui était l’affirmation comme quoi j’aurais, mineur, violé ma soeur. Dans cette hypothèse on devrait commencer par inverser les rôles et profaner qu’elle m’aurait abusé, ensuite et pour en finir tout de suite je n’ai aucune bribes de souvenirs de tels faits, tout ce que je peux dire est qu’en la période suggérée elle emplissait ses armoires de publications encyclopédiques sur le sujet du sexe; abonnée �* un mens(tr)uel littéraire et très photographique détaillant au fil des épisodes tout le kamasutra, illustré par un couple d’acteurs photographiés dans les poses sujets d’études, photos qui ne laissaient pour seul doute au lecteur que de savoir si oui ou non les acteurs pratiquaient pénétration. Hystérie, sectarisme, mensonge pathologique et mégalomanie +++++ �* rédiger court, seconde familles royale (+ loin) Loft * En parallèle d’un temps mort passé dans cet appartement durant lequel on m’a laissé tout seul sans communications, sans loftage actif ni accompagnement, sans rien d’autre que quelques anormales manifestations de voisinage qui semblaient quand ils laissaient passer quelques bribes de conversations, s’intéresser parfois plus �* ma vie qu’�* la leur, ce que je considérais comme déplacé et l’intérêt d’un voisinage indiscret. Période durant laquelle je passais le plus clair de mon temps �* consulter Internet et �* participer sous anonymat �* quelques conférences technologiques et psychanalytiques avec un intérêt mesuré mais me doutant que quelques uns tout aussi camouflés que moi s’adonnaient �* la pratique d’analyser par métaphores, jamais en clair, ma vie passée, conversations entremêlées de discussions sur tout et rien comme il en est coutume sur les fora. * En parallèle �* ce temps mort quelqu’un faisait enquête sur moi, tracant ma vie de fond en comble, suite �* quoi et durant près d’un an pour situer grosso modo la durée des discussions psychanalytiques l’on me présenta méthodiquement, plus ou moins chronologiquement, chaque fait de vie, chaque personne, chaque situation, que j’ai pu vivre ou rencontrer tout au fil de ma vie, plusieures décennies ont ainsi été relatées sans que plus que rarement ce ne soit moi qui amène eau au moulin de cet interminable et méticuleux déballage de moi et des personnes rencontrées depuis tout temps. * En plus du fait qu’un membre proche ou interne �* ma famille �* remonté �* la façon journalistique ma vie entière il dut y avoir extériorisation de ma situation pour que autant de gens et de faits soient évoqués ou relatés, de quelle façon a-t-on fait cela, le plus probable est que chaque personne contactée aura amené son lot de relats et de personnes ayant eu �* me côtoyer ou �* me rencontrer durant les décennies évoquées; [je ne trouve pas le déclencheur de cet agissement, de ce sauvetage psychanalytique] * sans que jamais je ne puisse me rendre compte que par exemple un appel aurait été lancé �* tout qui m’aurait connu au cours de sa vie pour être invité �* participer, sans que jamais personne ne me contacte ni ne m’avoue lorsque moi je contactais quelqu’un ce qu’il en était de ma situation et de ce que l’on avait pu leur en dire ou les questions qu’on leur aurait posé, l’invitation qu’ils auraient reçu �* participer. * A la façon de journalistes quelqu’un �* donc réussi �* tracer ma vie sans que jamais je ne m’en appercoive, pendant ce temps l’on me pistait en extérieur par le truffage de ma voiture; un jour un suiveur m’a maladroitement révélé sa présence sans se laisser plus identifier que dans un doute qui ne m’a bien sur jamais quitté. Il s’agissait de la suite ou de prémices �* un loftage par d’ex-fréquentatiosn qui m’apprirent plus tard me lofter en vue de me voir revenir en leur sein, de ceux qui sont trouvés soupsconnés [dvc²] aux tout prémisses. Sinon s’agissait-il tout simplement de jeunes flics qui auront voulu me signaler leur existence. * Je n’en ai jamais beaucoup tenu compte ayant déj�* conclu au préalable que ma voiture avait été truffée de quelques babioles électroniques comme, très probablement, un gsm �* réception automatique, un gps pour me localiser et / ou des caméras radio endoscopiques ou dôme jamais découvertes dont quelques bribes d’interventions vocales maladroites ou / puis volontaires m’avaient laissé supposer la présence; interventions probablement via un gsm avec ou sans micro-enceinte ou repiquage vers les enceintes de ma voiture dont le circuit d’autoradio n’a jamais fonctionné correctement ce qui étayait mes doutes sur un piratage par un sauvage bricoleur. * Devant cette certitude de truffage de chez moi et de ma voiture j’ai toujours conclus que je pouvais chercher aussi qu’il me plairait, je ne découvrirais peut-être jamais le matériel, moi-même bricoleur et plein d’imagination je devançais toute exploration par la réflexion que soit j’arriverais trop tard pour mettre la main sur le truffage, soit il serait si bien caché ou camouflé que je le découvrirais pas. A refaire je ne désosserais pas ma voiture pour y chercher du matériel pirate, j’en changerais; d’ailleurs �* l’avenir je me contenterai de locations pour me faciliter la vie. * Conclusion, j’ai laissé faire, devinant que quelque chose clochait dans mon proche passé et qu’il ne pouvait s’agir que du sujet de cette rencontre avec qui mineure et fille de qui; j’attendais que quelqu’un se manifeste pour m’expliquer la situation, vivant quotidiennement aussi lors de chaque déplacement cette certitude d’être au moins pisté, il s’est avéré que j’étais en plus minutieusement épié. ===== N’a pas existé * Ceci n’est pas du vécu, ne doit pas avoir existé, n’a pas le droit d’avoir existé, ce n’est ni littérature mais analyse, ni roman puisque tout est vrais, ni science fiction puisque tout est réel et que nous y sommes, ni délire nous sommes tous normalement constitués et conscients, même pas drogués ni même pour ma part de simples pétards que par manque d’argent je ne peux plus me procurer que très exceptionnellement, ni imagination ni fabulation, ceci était une guerre mais je ne l’ai pas vécue je l’ai subie. J’étais le prisonnier, comme un juif dans un ghetto en 1940 �* qui l’on vient en SS casser la gueule par plaisir ou commenditation, chez qui on vient périodiquement mettre le feu, qu’on salis et dénonce auprès de son voisinage, qu’on tortionne pour expérimentation, qu’on séquestre pour mieux recommencer, ad vitam, comme �* la guerre et sans échappatoire. Père-Noël * Ils m’ont lofté par un pièce mitoyenne de mon studio acoustiquement pas isolé, presque amplifié de facon naturelle par la qualité excecrable des matériaux de construction et / ou artificielle par le déjointoyage, ont-ils creusés ou perforé les matériaux pour parfaire la communication, au début du premier loftage purement pirate et hostile en voisinnage, aérienne et phonique. Peut-être déj�* visuelle par leurs intrusions dans les vides techniques. Expulsion domiciliaire * C’étaient des malades d’une pathologie inconnue, de ceux que l’on attrape lors d’une de leurs visites �* la façon du père-noël, que l’on attrapé pour leur faire le coup de Pulp-Fiction: séquestration et punition avant de les livrer �* la justice ou �* la psychiatrie, ou simplement de les abandonner. En réponse trois ans plus tard �* cela et �* ses suites ce studio �* été entièrement ravagé, taggé et gravé pour y écrire l’accusatoire contre les membres de la secte, leur chimie et les pirates m’ayant lofté en hostiles, pour dénonciation de mon expulsion sans que rien ne me soit divulgué de toute ma prison vécue l�* jusqu’�* cette date. Dans l’inconnu le plus total, dans la crainte de ne voir jamais dévoilée ma prison j’ai séquestré l’appartement en garantie de sa future dénonciation, �* la fois en vendetta du fait que tout le monde inclus famille savait et que celle-ci purement et simplement m’expulsait. * Le serrurier intervenu après mon expulsion - procédure judiciaire �* mes frais, le fait de père Staline - �* pu constater que le studio sois disant mis en vente n’allait pas l’être de si tôt; on aurait pu me demander les clefs, tanpis pour le propriétaire et les salops m’ayant lofté en prétendus amis mais ne s’étant jamais montré et n’ayant eu aucunes limites dans la connerie et dans l’abject. Je n’ai pas d’amis pour me faire ca, des gens pareils n’ont pas d’amis. * Protégé par l’existence du non- dénoncable ni réparable laissé sur place, j’attendrai et finirai par savoir de qui il s’agissait, par aveux, dénonciation ou par constat d’absence de communication le jour où ma prison, déplacée par ce fait d’expulsion domiciliaire, sera fermée, en son nouveau local, un studio loué dans le privé. Il doit parraître évident mais le situationnisme maintenu est que l’on ne me permet pas de le comprendre, que l’on me sortira d’ici dans peu de temps pour une destination inconnue, ma vie re- deviendra privée. * En ce moment de rédaction, déplacé depuis près d’un an vers un autre logement, mon domicile actuel. A la différence du précédent je paye le loyer au prix fort du marché, la secte ma famille pensionnée pleine aux as ne s’émeut pas de ma paupérisation. ===== Un Avion * En milieu de nuit un avion petit cargo ou militaire tourne en rond au dessus de la ville, une dizaine de fois, il est peu probable qu’�* cette heure il y ait eu engorgement des aéroports civiles ou militaires de la proximité. Le bruit des réacteurs, le chemin circulaire parcouru �* la verticale des zones les plus habitées de l’agglomération, la multitude de ses passages �* une fréquence régulière, est-ce un avertissement �* une ville �* qui on ferait film (cf. cette idée de la secte de me faire vivre dans un film) ou est-ce du sketch, sont-ce comme suggéré des scientologues ou “les américains” ? Humour rapport �* [dvc²]. On ne peut pas ne pas penser �* une tentative d’intimidation sur la population, par une méthode qui se rapproche de l’hypnose, on ne peut que penser aux plus faibles, aux plus impressionnables, ne fut-ce que par le fait de l’heure tardive �* laquelle presque tout le monde dort, beaucoup auront été réveillé par ce manège pour le moins étrange. Il est interdit de mener telle pratique aérienne, les avions en attente ne restent jamais sur la ville. Acide neuroleptique, pluie d’ -. * Le lendemain et les jours suivants, pour faire croire peut-être dans le contexte de tout le délire situationné d’une guerre des scientologues et cette idée de pluie de neuroleptique qu’on m’a si bien suggérée, les pharmaciens et, on ne peut que les supposer tels, les pères et chef de familles d’enfants turbulents se sont débarrassés sur leurs trottoirs de leurs fonds de fioles ou de stocks (non, ce n’est pas de l’avion qu’a été jeté ce produit chimique, imbéciles cons prétendus cinéastes qui auront voulu (m’)y faire croire) de l’un des plus terribles produits pseudo pharmaceutiques et chimiques, un acide neuroleptique - parfois mêlé �* l’eau de lavage des dites officines, acide connu de moi car utilisé par père Staline lorsque que j’étais mineur et encombrant. * Quand il s’agit d’acide l’odeur ne trompe pas, elle est puissante et reconnaissable entre mille; un autre acide a été utilisé �* mes dépends peut-être (pas) �* seules fins de tester mes réactions au cours de ce loft, de l’acide trip, un de ceux qui mettent la claque et speedent tout �* la fois, lui aussi est repérable, par tout un chacun aussi facilement qu’un chien détecte la présence de drogue tellement l’odeur en est forte. * Ces produits sont très volatiles, une goûte suffit �* ne pouvoir en rater la présence. La molécule olfactive de (en tout cas de ces deux l�*) ces acides est la molécule active, en percevoir l’odeur indique qu’on a inhalé de facto le produit actif et qu’on risque d’en subir les effets, ici neuroleptique de rigidifier, de rendre comme du carton les nerfs et les muscles dont les mouvements deviennent saccadés et non- plus fluides, l’action cérébrale est sensée retirer toute envie de se mouvoir et amenuise activité cérébrale et réflexion, le blocage, le figement neuro- musculaire doit être contré avec force et volonté de la victime (donc en principe la personne médicalisée et prétendument médicamentée) qui déciderait de ne pas rester fixe au lit ou dans un fauteuil tel un amorphe légume. * Quand il est “consommé” comme dans l’exemple vécu cité ici en terrorisme et dans la rue, de façon générale il convient simplement d’en avertir et de rester entouré de qui proche ou familiers, au besoin services de secours ou de protection et de patienter tout en essayant d’expliquer qu’on est probablement victime d’empoisonnement �* l’acide, neuroleptique ou autre semblant de trip pseudo pharmaceutique. Si trop pris par les effets psychiques et physiques paniquants de se faire assister de services médicaux qui ne devront amha ne faire que strictement rien, seulement attendre, contrer un acide par médication me semble erratique, mais c’est un avis personnel et complément d’aversion �* la médication chimique et l’expérience que j’en ai qui me fait préférer ne pas l’utiliser sauf stricte nécessité et certitude du produit. * J’ai appris �* m’en prémunir, surtout �* le comprendre et ainsi �* être moins réceptif, suite �* la répétition de ce genre d’agissements perpétrés autour de moi et souvent décelables m’avoir été destinés, il en a été ainsi un bon nombre de fois au cours de ma prison - de véritables tarrés malades et cons ont joué �* en jeter sur les trottoirs et dans des transports en commun, ou �* proximité de si pas sur ma voiture durant des temps de parking, doublement salops car outre moi d’autres personnes en auront fait les frais, en auront subis quelques désagréments neuro- musculaires ou angoisses, incommodés qu’ils auront été par l’action de ces produits * qui modifient, empêchent la bonne expression orale, physique et psychique - articulation physique jusqu’�* orale (bucales) et expression dialectique sont corrompues, en clair les nerfs les muscles et les idées sont plus ou moins niqué(e)s. * J’ai du me résoudre �* risquer de détruire certains de mes vetements (en cuir) dans un séche-linge seule solution définitive _conststée �* chasser les emmanations, toujours actives tant que présence de la moindre trace. La peur, l’angoisse, liées �* la subissance corporelle et intellectuele de ces acides sont communément contrée par d’autres produits psychotropes ou hypnotisants quand le neuroleptique est prescrit en cocktails par un docteur en médecine, que je me préfere �* désigner chimiste laborentin ou communiste; les - typiquement -pères de famille qui ces jours l�* se sont débarrassés de leurs fonds de fioles en seront épargnés de se voir taxés de staliniens par leurs enfants consomateurs, qu’ils n’oublient pas de ne pas s’acharner au mensonge et aux silences. * cf. ce loft �* ce moment l�* psychanalytique dont on me soutenait, et presque démontrait par bruits de trottoir qu’il était diffusé �* un certain public. Donné au public cela peut expliquer aussi bien cet agissement alors complice de se débarrasser des fonds de fioles et des stocks d’officines pharmaceutiques comme cela peut expliquer le terrorisme de saloppards qui en ont maculés une partie de mes vêtements (très certainement par intrusion chez moi avec des clefs) doublés de ceux qui en ont jetés le plus souvent de très petites quantités �* ma proximité, dans la rue, dans les transports, jusqu’�* l’intérieur de l’un ou l’autre magasin �* plusieurs périodes autres que celle de cet avion prétendument venu nous faire la pluie. ===== “ Pluie de neuroleptiques, ce sont les scientologues, tu es en guerre avec les scientologues” m’a-t-on suggéré Qui a fait ca, qui a voulu faire peur �* qui ? L’évènement s’est déroulé �* l’échelle de la ville ou du moins, pour l’odeur, �* celle des lieux que j’ai fréquenté les jours suivants le manège de cet avion; a-t-on voulu me faire un sketch situationniste complément de la psychanalyse en cours, en fait on a parfois mélangé volontairement psychanalyse et situationnisme pour cacher quelques probables vrais faits proches du criminel, de peut-être vengeance de qui j’aurai trop bien trouvé et par l�* dénoncé ou pointé sans vraiment le savoir. * A-t-on voulu et peut-être réussi �* me faire oublier quelque chose, a-t-on voulu me mettre en trip; les neuroleptiques peuvent participer �* faire perdre partiellement conscience de la réalité par la peur accaparante qu’ils installent chez ceux en ayant consommé. En subir les conséquences neurologiques n’a rien pour rassurer, pourtant il faut tenter d’en tirer profit par esprit de prévoyance, comme un apprentissage �* un risque qu’on doit pourtant refuser de garder �* l’esprit, il est inacceptable, il est peu probable. * Même si les effets ne sont pas �* négliger, les avoir déj�* subis doit faire garder �* l’esprit que l’on constate par la suite qu’ils ne laissent pas de séquelles, l’état de choc est limité temporellement �* l’action du produit, plus précisément une fatigue résultante peut-elle être subie durant l’amenuisement et la disparition alors rapide de l’effet global; la durée des effets n’est pas très longue (quelques heures), il n’y a pas plus de demi-vie que celle qu’on peut (qu’on doit) invoquer �* l’alcool - pour exemple simple. Le raisonnement, les facultés et la mémoire qui enregistrent le souvenir du vécu présent sont déficientés par les acides, la peur l’angoisse et les situations anormales ou stressantes augmentent leur permissivité. Cela en conclusion mais comparé �* l’alcool ils sont plus désagréables et incommodants, pas beaucoup plus dangereux, c’est le subis qui diffère. ===== Sommeils chimiques (inclu quelques redondances utiles et volontaires) * Deux décennies plus tard quand je commençais �* me souvenir et �* accuser pertinemment les injonctionneurs et les prescripteurs de produits chimio- lavants- thérapeutiques de moi mineur, on a donc tenté de me faire croire �* une attaque de “scientologues” contre ma personne, en référence �* qui membre de ma famille dont d’une part on a tenté de me faire croire ou m’informer qu’il était devenu scientologue, qui d’autre part est soupsconné de m’avoir empoisonné et être par l�* responsable du premier des cauchemards en hypnôse trouvée chimique dont je n’ai pu me réveiller qu’�* grands fracas .. $ .. de débattements: j’étais conscient mais empêché de me réveiller, hypnotisé par le cauchemard mais et parce que comme livré ou donné �* lui par - “probablement” mais nous avons dans ma prison étudié cela et l’avons trouvé en “certainement” - une chimie bloquante, une chimie empêchant le réveil malgré mes débattements jusqu’�* devoir frapper les murs et le meuble du lit pour me faire mal et _ainsi m’éveiller, stupéfait de n’avoir pu m’éveiller bien que conscient qu’il le fallait pour quitter mon cauchemard, bien plus inquieté par le fait d’avoir eu �* me faire mal et conscient que c’est cela qui m’a réveillé .. $ .. réveillé dans la peur du contenu du cauchemar tout de suite évacuée sachant pertinemment qu’il ne s’agissait que d’un rêve désagréable, resté interloqué d’avoir eu tant de difficulté �* m’extraire de lui / de mon sommeil. Cet étonnement par la suite immédiate supplanté par le constat, d’après le lever, d’une fatigue musculaire et généralisée. $ L’hypnose intra- sommeil est le fait naturel du cauchemar ou du rêve, typiquement c’est la chimie bloquante qui autorise une accaparation telle qu’elle devient erronément qualifiable d’hypnose prenante, de par sa durée elle peut s’auto- alimentér par le contenu du cauchemar ou du rêve - en réalité c’est le c. ou le rêve qui est autorisé �* se prolonger, l’hypnôse est une mauvaise apellation de cet état de fait . la boucle reste fermée et ce n’est pas l’hypnose (mal nommée) qui s’emplifie mais le cauchemar qui se prolonge et dont éventuelement le contenu fait monter la peur ou l’angoisse, celle-ci peut se compléter par celle conséquente du fait de l’impossibilité de se réveiller, impossibilité dont l’on prend pleine conscience ce qui rajoute �* l’angoissant contenu du mauvais rêve. $ Tant qu’on ne surmonte pas jusqu’�* réveil la force qui l’empêche, la force qui, elle, est le fait de la chimie - il ne s’agit pas de contrer son cauchemar, il s’agit de se s’attacher �* provoquer le réveil, tout en subissant le contenu du cauchemar, lui partielement et faussement désigné hypnotique. Choses que j’ai, depuis, découvert et comprises par, in situ de ma prison, longue réflexion sur la période de moi pré- ado. $ On doit se libérer en force de l’hypnose (mieux dit: de l’angoisse) d’un cauchemar tout comme on peut se laisse aller �* celle (en fait, au cocooning) d’un rêve agréable. Si le réveil en force est trop contrarié il faut suspecter chimie. $ Encore faut-il avant d’accuser l’entourage (médical par exemple) que celui-ci soit conscient du mécanisme ici relaté, qu’il pose les bonnes questions et agisse en conséquence de réponses qui corroboreraient l’hypothèse. La victime, en l’occurrence moi enfant, ne peut être affublée de méconnaissance sur le sommeil, le rêve, l’hypnose, la chimie, etc. $ Cela amene �* penser �* la boucle induite par une chimiecalisation �* répétition, �* conséquence d’empêchement de complètes et bonnes capacités de réflexion. * L’on peut être accaparé par une hypnose - celle qui est le fait du contenu d’un rêve ou d’un cauchemar pour exemple le plus commun, mais celle-l�* �* elle seule ne provoque qu’un blocage léger, dans cette situ la chimie provoque blocage en force et non hypnose, même si l’hypnose du rêve / du cauchemar parfois plus _que moins accaparante. * Cette forme d’hypnose se produit pendant les cauchemars en fin nuits, typiquement ceux d’enfants d’une dizaine d’années �* qui des cons racontent des histoires stupides comme celle de loups qui mangent les enfants de nuit dans des forêts toutes aussi noires; bien sur pas des loups chiens mais des créatures fantasmagoriques et spectaculaires se confondant avec les branches d’arbres morts ou effeuillés. * Ces cauchemars ont été récupérés et m’ont valu d’être soupçonné porteur de maladie neuro-cérébrale - on a jamais trouvé laquelle et pour cause. Qui alors pas encore père chimique aura-t-il craint cause �* effet du suggestionné psychotisme - insensé - sans soupçonner présence chimique. Cela s’est reproduit sporadiquement, un bon nombre de fois durant une période de pré adolescence, on a jamais expliqué pourquoi je ne parvenais pas �* me réveiller. * On m’en a fait �* nouveau subir au cours de ma prison cette fois plus que probablement pour me faire étudier cette impossibilité de réveil que j’avais évoqué demandant quel produit chimique était susceptible d’avoir fait que je n’ai pu me réveiller du tout premier de ces cauchemars, ensuite de bon nombre d’autres, accessoirement plus ou moins répétitifs dans leur contenu ce qui peut - typiquement - contribuer �* l’exacerbation par le fait du re- vécu et de l’intérêt qu’on peut y porter �* vouloir y progresser, �* découvrir, �* comprendre un rêve ou c. répétitif, dérive en hypnose; l’objet de la question était la présence d’hypnose intra- sommeil rendant le réveil impossible. * Comme je le relate ailleurs d’aucuns se seront attardés �* en étudier le déroulement et les solutions que j’ai trouvé pour y faire face, cad. jusqu’�* pouvoir m’en réveiller de facon volontaire et consciement �* force d’expérience de l’hypnôse intra- sommeil. Qui a fait quoi �* l’origine des épisodes pré-ado, comment quand et pourquoi est évident et ressort plus ou moins de ce document, ce qui n’y parait pas est privé mais est de toute facon connu. ===== imprécis, methode de réveil ===== ===== * On me situe donc que le trouvé responsable du premier voir de bien d’autres de ces cauchemars dont je ne me réveillais pas serait passée de freudien et doltesque, désabusé dépressif, �* scientologue ... en guerre contre moi du fait que je l’ai trouvé et demandé des comptes par le loft, alors analytique, interposé, du fait de son passé de pédologue mis en relation par sa paranoïa et son aversion �* ma délégumisation �* cette rencontre avec qui mineure, qui je n’aurai eu le temps de lui présenter avant qu’un événement resté mystérieux n’interrompe notre relation. Mais dans l’inconnu je ne peux y voir que du situationnisme: typiquement un stupide et con jeu psychiatrique ou exercice militaire dangereux lorsque il déborde comme tout au long de ma vie en loft sur la population; la personne en question �* peut-être eu ses phases aux conséquences pas très positives mais le croire addict d’une fausse religion sectariste accaparente et avide d’argent est un pas que je ne franchis pas, * De toutes façons il ne m’apparaît pas qu’il puisse être volontaire �* exercer pour le compte d’une telle organisation, il n’est ni trop avide d’argent ni n’a profondément vocation �* la manipulation de plus faibles que lui, pas que je sache en dehors de faits psychanalysés comme ils se devaient de l’être; ensuite il n’et lui-même ni très fort ni argenté - même si d’aucuns sont rémunérés pour leurs activités au sein de l’organisation il est plus le souvent le cas qu’ils y laissent leurs biens et finances personnel(le)s, chose que son entourage pour ce que j’en connais ne lui laisserait pas faire, pas plus qu’il ne le laisserait se faire accaparer outre mesure par des activités ou études �* caractère en l’occurrence pseudo religieux et psychologiquement déstabilisateur; ses expériences en rapport �* la psychologie ne m’ont pas mené bien loin, il est probable qu’il trouvera d’autres secteurs ou formes d’activités pour assurer �* l’avenir sa subsistance. * J’en reste �* croire que durant un temps de loftage �* la façon sectaire voir terroriste on m’aura joué la déstabilisation, pour tentative expérimentale de me mettre en trip et de me rendre psychotique / de me faire analyser le psychotisme quitte �* me faire constater tel par qui étranger �* cette affaire de loft ou par qui complice, hostile s’il en fut c’est possible, Mais surtout et dans le contexte d’une (conjointe) garde protectrice apparemment jamais abandonnée je ne m’en suis et ne m’en émeut pas plus que ca. * On m’a joué plusieurs semblants de guerres toujours plus vraies que nature. De personnalité ouverte �* tout, par esprit scientifique et analytique j’ai préfère m’en tenir �* m’amuser des situations ainsi fabriquées et �* en extraire pour moi et le public ou les professionnels participants distants des conclusions et apprentissages constructifs et partager les conclusions même si issues de faits �* priori répréhensibles ou aux conséquences potentielles qu’il déplairait d’évoquer même si cela fut fait pour partie, parfois laissé au stade de constats et de dénonciations sans plus de suites �* ma connaissance, les codes de bonnes conduites civils et judiciaires ont été déchirés dans ce contexte de loftage �* la façon du situationnisme, j’ai été tant berné, utilisé, durant toute ma vie que je n’attend plus rien de la part de qui a été trouvé dans toutes les analyses pour ce qu’il m’a été fait; je ne suis pas le doux déficient qu’une secte aura tenté de récupérer taxé d’acteur psychotique qu’il faut protéger ad vitam en son sein, ils sont sectes et je les intitule ainsi pour toutes les raisons évoquées dans ce document, si’ils parvenaient �* manipuler qui pour que je retourne les côtoyer re- vivre le mensonge et leurs faux sentiments je les dénoncerai ouvertement pour secte pure et dure. Avec plus de cinq ans de retard sur mes projets de quitter cette vie bourgeoise et capitaliste que je me refuse �* reprendre. ===== * Suite �* la “pluie de neuroleptiques” évoquée plus haut, voulait-on mon avis et réactions sur ce produit, quelqu’un voulait-il m’endormir, m’hypnotiser, me mettre en trip, me déstabiliser par ce sketch et ce situationnisme rapport aux scientologues que l’on me prétendait “en guerre” contre ma personne surtout contre mon potentiel et en retour de dénonciations d’agissements de quelques psychologues aux méthodes que j’avais trouvé pernicieuses, peut-être ces personnages étaient-ils scientologues je ne m’en suis jamais que pris, et bien annodinement, �* leurs méthodes d’observation et d’étude d’autrui, rien de plus. * Lier mes critiques �* l’encontre de la psychologie, du freudisme et du doltesque pédologisme que je dénonce comme addiction d’une bourgeoisie égoïste, �* mon passé de chimiqué psychologisé de force presque légumisé au moins �* demi hypnotisé, �* des activités prétendument de scientologues qui auraient pris la mouche contre moi, �* ma connaissance ils étaient psychologues l’une ou l’autre fois rencontrés que je n’ai pas désiré fréquenter et que j’aurai heurté par quelque mensonge cyniques de ma part qui n’avaient d’autre but que de les éloigner, n’a �* mon sens d’autre caractère qu’analytique et autre but que dés-hypnotisaton en me confrontant tout au long du loft �* des situations extrapolées de ce que l’on m’a fait vivre entre mineur et jeune adulte, extrapolées au plus haut point par fabriquation de situations bien réeles même si en quelque sortes scénarisées, rejoint �* mon sens le situationnisme * et est partie intégrante de cette fabrication, récupérée par qui en aura eu vent de par mes analyses dénonciatrices et tout au long du temps passé sous surveillance. C’est une menace préalable �* ma prison qui a été maintenue en évocation tout au long de mon loftage, que j’ai trouvé comme volonté de qui, je ne le sais, de me faire vivre et de me faire monter dans un trip qui aurait aboutis �* me faire déclarer handicapé récupéré par de faux cinéastes dans un faux film. * Le rapport �* l’hypnose de façon générale dans ma séquestration m’�* été proposé - aura été invoqué par les analysants distants comme un exutoire, elle aura été utilisée pour me remémorer, pour (me faire) comprendre et expliquer ma vie passée, surtout mineur, celle-ci ayant débouché sur ma presque légumisation au cours des deux décennies durant. * Rapport bien sur �* ma famille, dans une vie d’incompréhension entouré de gens qui ne m’ont jamais parlé, que j’ai côtoyé en cercle familial parfois augmenté d’instances médicales, tous ces gens qui presque jamais ne se sont adressés �* moi d’autre façon qu’en indifférence ou que s’ils cotoyaiant un déficient mental; �* savoir qu’au final ils sont trouvés avoir été déficientaires, handicapeurs. * Légumisé toujours prétendu malade et fatigué en lieu et place de potentiel �* des études qui n’ont pu avoir lieu, conséquence directe et concrète du dénigrement que deux décennies plus tard on m’amene �* comprendre par l’analyse et �* relater dans le présent récit quitte �* froisser un entourage disparu, caché depuis le début de ma prison, ayant pété son dernier câble par mon expulsion domiciliaire d’une de leurs propriétés immobilières. * Dans le contexte de ma psychanalyse dont je dois soupçonner qu’elle était alors via mon loftage donnée �* un certain public, cette famille trouvée en secte démagogique avait été prévenue que me forcer �* faire ma psychanalyse ne ferait que extérioriser le fait qu’ils m’ont fait vivre en un semblant d’hypnose durant plusieures périodes entrecoupées de prises de conscience prestement cassées par leurs silences et leurs renvois de moi vers la psychologie et vers la psychiatrie; des gens qui ne m’ont, passé l’âge d’enfant, plus jamais côtoyé volontairement mais par contrainte sans jamais n’en avoir d’autre réaction que de m’observer et de me reléguer au rang de presque handicapé ou d’encombrant qui ne doit pas apprendre ni comprendre. * Famille au patriarche menteur pathologique et injonctionneur de tous les silences, famille qui au fil du temps s’est trouvée �* côtoyer qui elle n’a plus voulu reconnaître autrement qu’en un légume écervelé. Situation d’avant loft, plus personne ne s’est montré depuis, ce qui n’est pas présage mais constat. $ L’après mort du père de famille pourrait très bien faire reprendre raison, conscience ou indépendance �* ceux qui ont constaté ma progressive dégénérescence et trouveront dans la lecture de ces pages explications et analyse �* ce qui leur est plus trouvé que reproché. Coupé: Père Staline Coupé; Déficientage ===== VIPPO * Depuis, révélée mineure beaucoup plus jeune que moi, on m’a conseillé en ce temps de me faire déclarer handicapé, pour me protéger - sans me le dire - de cette rencontre jugée inacceptable du fait de son trop jeune âge et de la différence avec le mien bien que cela non plus n’ai jamais été dit puisque personne ne m’a jamais fait part d’en avoir pris connaissance mais, et connaissant ou non l’existence de [dvc²] je ne le sais pas mais les deux prétextes etaient in situ,: pour faire passer cette rencontre sous le compte d’une fantasmagorique et prétendue déficience mienne; et ne pas chercher pour ne pas trouver / ou le temps de trouver, on me m’en a rien dit avant de me faire ce loft, par qui et comment cette rencontre avait pu être fabriquée au moins induite et pour quelles raisons, peut-être mise �* disposition de [dvc²] et d’une bande de cons ou simplement comme viande taxée du pire, ni ce que [dvc²] avait déj�* pu faire de moi, peut-être d’elle, fille de qui, �* son insu obligatoirement, manipulée peut-être, elle fille d’une personnalité d’une des plus hautes autorités parmis les plus hautes sphères. ===== Groupes d’intervenants * Peut-être sept groupes de personnes augmentés (parfois incluant) des arrivants en cours de loft sont-ils responsables ou inducteurs de la création de ma prison loft trouvée par la suite, après enquête non avouée telle �* moi mais présentée sous le jour de la psychanalyse puis du situationnisme, d’abord du loft pirate hostile puis protecteur, tout �* la fois pénitencier et protecteur. * Les ensembles de personnes sont pour partie �* géométrie variable, plus ou moins parfois se sont mélangés partiellement rejoints, le lecteur ne pourra bien souvent s’y retrouver qu’au final de l’étude de ce récit sachant que l’on ne peut pas divulguer, que je me dois de ne pas permettre au lecteur de situer précisément, d’identifier, des intervenants; ils ne seront jamais connus que de leur entourage activiste ou témoin de leurs interventions dans ce qui nous aura occupés, ou de �* qui ils décideront de dévoiler leur y présence jusque l�* camouflée. * Bien sur certains interviennent dans un contexte d’activités para- professionnelles et ont collègues et supérieurs, il tient �* l’ensemble de ces gens de ne pas dévoiler leurs activités, il est évident que dans un contexte de clandestinité chacun aura pour responsabilité de ne pas incommoder ses semblables, cela dépassant les rapports hiérarchiques, débordant en communautaires. * Si des groupes ou des personnes sont situables de par ce récit, elles doivent savoir que la rédaction de celui-ci m’est imposée et que nous aurons veillé �* tenter de ne dénoncer personne, que si le cas existe de permettre �* des lecteurs de les identifier il n’est pas dans les intentions de faire publier ce document [tant qu’on ne m’y obligera pas ou qu’on ne le fera pas �* ma place] ni �* le laisser circuler, du moins �* destination d’un public autre que celui ayant déj�* eu vent de l’existence de cette affaire et qui sait tout, qui sait tout de moi, qui en sait plus moi. * Le cas échéant c’est une fois de plus la quasi totalité de mon historique de vie et tout de ma personne qui seraient mise en place publique. Bien que je commence �* en avoir l’habitude je m’en suis toujours défendu, je l’ai toujours refusé, je ne désire aucunement être divulgué. En cas de divulgation de ma part autre que par remise de ceci �* des (ex-) proches ou autorités, dans ce cas non- censuré des paragraphes barrés, je ne pourrais le signer en toute raison que de mon pseudonyme Abekar ... $ pseudo expliqué plus haut dans ce document, pseudo et document �* partir duquel seules les personnes ayant déj�* connaissance de (tout) ceci pourraient faire un rapprochement avec moi, mon identité, mes ex-relations et ma famille - cela est depuis le premier jours du premier loft, pirate ou pas pirate. $ Il est idiot de ne pas comprendre que �* partir du moment ou une telle situation a été extériorisée, est connue de quelque voisinage qu’il soit, il est probable qu’elle le soit rapidement - donc depuis très longtemps - de “Monde”. En évoquation de qui a prétendu me faire “loft Monde”. $ Réponse rapide et facile mais réaliste et dé- légumisante �* l’attention de l’hystérique démagogie qui me voulait acteur. Ils sont maintenant célèbres, peut-être, je le suis et en toute raison et refus d’ingérence, de démagogie, de mythomanie, d’injonction surréaliste devant faits accomplis, je m’y refuse et le dénonce et le dénigre. Je l’aurais fermement refusé si l’on m’en avait parlé. On avait qu’�* dire �* “Monde” que j’allais _peut-être_ devenir cette .. chose .. , LEUR chose. Si c’est trop tard pour moi aussi c’est trop tard, j’aurais et j’ai toujours refusé cette idée mais je suis célèbre quand même, le fait est, j’ai été et suis placé devant l’accomplis, je ne m’y soumet pourtant / donc pas. ===== ° Libre �* qui veut de se complaire de sa célébrité, j’assume la mienne et ferai ma vie, par définition _Privée_, en privé, me réservant comme tout le monde ma part d’extériorisation pour relations personnelles et professionnelles. Je n’ai pas été et ne serai pas cette chose qu’on nomme l’Acteur, je m’en défend ici et l’on me fait rédiger ceci in situ pour ne plus avoir �* le faire après. Seuls de vrais amis pourraient me récupérer pour ayant fait du cinéma ... blah .. blah .. mais pas en tant qu’acteur. Ca fait quand même six ans qu’on me tourne autour, quatre si pas bien plus qu’on me lofte, inclus des mois de cassage de gueule au situationnisme et �* l’étude comportementale jusqu’�* presque finir handicapé par séquelles du subis dans ce qu’on voudrait faire passer pour avoir été le tournage d’un film ! On délire grave chez la secte, mytho-démago toujours par procuration, jamais capable de s’assumer, toujours �* se décharger et �* fabriquer la vie des autres. $ On oubliera pas que mon dernier “sketch” en la propriété familliale principal lieu de ma prison devrait se bien- nommer “in the wall” si l’on voulait en faire un film, en hommage �* tout le taggage et le déchirage de murs derrière lesquels j’ai cherché le matériel ... avant de me faire jeter, préalablement injonctionné par procédure judiciare �* quitter les lieux. $ Je fais aversion depuis toujours et toujours plus �* la divulgation de ma personne et de ma vie, trouvée �* titre personnel en démagogie de qui �* mon encontre, en parasitisme récupérateur intrinsequement en abus - ils se cachent et prétenderaient .. �* récupérer le coup en me bombardant beau, grand et fort, �* leur profit de stimulateurs alors qu’ils sont insensibles, et dénonciateurs - fallas puisque sans objet, de ma personne handicapée. S’ils sont choqués de ceci c’est dans l’abstract et le progressisme qu’ils trouveront leur salut. $ Retour de Psychanalyse, une contrée non- républicaine, antipodaire de l’esprit binaire injonctionnel et colonialiste des ingérents de mon psychique. ===== Les écritures n’ont pas toutes été séquentielles, l’ordre des paragraphes et des chapitres pourrait être modifié, des redondances pourraient être concisées. $ Jamais on ne m’a fait savoir encore moins montré si j’ai fais l’objet d’un film, d’une diffusion quelconque; le loft était protection. Si film il y a eu il ne m’en a rien été dit, si quelque bénéfice il �* pu rapporter je n’en percevrai le fruit qu’après ma libération, on ne peut pas omettre de comprendre que personne n’est en droit de faire bénéfice de l’utilisation cachée d’autrui, que m’avoir fait ca pour enrichissement post-séquestration ne pourrait que se voir rétorquer: que si je n’avais survécu aux cinq années passées c’est �* titre posthume que j’en aurais perçu le bénéfice. Personne n’ayant eu vent de cette affaire n’a jamais cru ni n’aurait accepté me voir affublé du sobriquet de simulateur. $ Cela dans le cas ou le cinéaste aurait vraiment été bandit injonctionnant qui par sa fabulation situationnsite �* me voir finir acteur; cela dit pour cet acharnement psychologique �* me faire admettre que pour mille raisons dans lesquelles faire mon choix il aurait fallu que je le sois; celle de mon choix se serait traduite en celle qui m’eut envoyé me faire tuer par le papa de qui mineure qui m’aurait cru me cachant par la simulation de moi-même ou tentant de passer pour débile. Le cinéaste, lui, est-il un con ou un salop ? $ De ce loft protectionniste analytique enquête de ses prémices je retire satisfaction �* faire aversion aux mots “acteur” et “situationnisme”, ignominies désignant pour qui légumes, pour qui légumisants nababs auto- satisfaits, in situ une insulte, une mise sous pression que j’aurai subis en vie réelle positiviste écolage analytique mais simulacre cinématographique, exaction drill psychologique; $ harassante psychanalyse et analyse policière de ma vraie vie entière rajoutée de ma question permanente de presque tous les instants de savoir qui, comment et où se trouvent les coulisses et activistes et témoins de ma séquestration, et celle de �* chaque instant savoir qui fait quoi et �* quelles fins, pour qui ou �* la demande / �* l’injonction / quand pas et presque constament �* but de réhabilitation de qui; $ harrassante solitude accompagnée d’invisibles et introuvables correspondants parfois salops parfois tarrés parfois amis parfois sketcheurs parfois analystes psychologues ou autorités, ou éminences de quelles professions je ne peux que intérieurement l’expecter, l’imaginer, le souhaiter, qui aura duré des années de chaque instant de chaque jour sans aucune interruption. Le(s) cinéaste(s) nous feront leur film $ A charge du cinéaste qui ne mérite plus qu’on s’attarde in situ �* le (faire) comprendre de (me) dédommager par l’absurde et en nature en monologuant dans son prochain film sur son entreprise de me voir finir acteur après ma peine. $ Des imbécillités aux exactions ayant influencé, détruit et consommé une partie de ma vie, autant avant que par le fait de cette prison loft. Je suis en son enceinte �* payer toute la connerie humaine que j’ai subie, inclus ce que je ne sais pas, inclue celle qui aurait du - qui �* aboutis �* - me victimiser. $ Qui �* fabriqué prémices aura quelques difficultés �* faire prendre pour suffisance toute projection préalable de récupération, il a induit l’inextricable - délibérément ou par imbécillité / par inconscience. ===== Comprendre, pas admettre $ La constante invocation, par les intervenants constructifs, d’un contexte psychanalytique sur lequel on a basé mon temps de réclusion n’a pas pour but comme le dit la définition du terme de faire accepter quoi que ce soit mais de comprendre et de tenter d’expliquer tout et tout le monde impliqué inclus les in situ pour qui on se laisse quand même �* déraper �* quelque psychologie vu le contexte en principal qui fut ma protection, pimentée de drill, complétée d’écolage, devenue épreuve dans une impossible subissance, cloturée - il faut l’éspérer - par la rédaction tout aussi pénible et compliquée que son contenu. $ Si d’aucuns sont violemment décrits c’est le plus souvent de façon analytique, ils sont trouvés pour ce qu’ils ont faits et non pour ce qu’ils sont; �* de très rares exceptions près par quelques autorisations que je me fais de les insulter, rarement de les agresser. Subissance $ La constante invocation, par les intervenants oppressifs, d’un contexte accessoire de drill psychologique comme si ne suffisait pas tout le reste du constant subis. Mettable en relation avec la notion de punition, mais aussi (c’est une récupération) d’un désir compréhensible de la part de plein de gens, de faire opportunisme de ma séquestration �*, même si je n’étais pas faible avant, me voir plus fort �* ma sortie; plus fort que l’ensemble du stupide, du mesquin, du situationnisme, de l’hypnotique, de l’agressif, du .. dangereux qui fut le contenu et le destructeur de ma vie passée; $ de savoir en moi �* ma sortie un potentiel de résistance, acquis sérurisant, rassurant, aussi cadeau - mais souvent constat - de ces multiples écolages; $ gardée �* l’esprit cette projection de toute potentielle - possible, pas impossible - union civile avec qui fille de qui par évidence est considérable d’être justiciable au moins en droit d’exiger pénitence, par humanisme ou préservation d’accepter /de désirer cette part d’écolage - ne pas oublier qu’on trouve moult cobayage -, il faut percevoir et se satisfaire de cette équivalence. $ Trouvé comme part d’écolage la complémentation de mes aptitudes �* la dialectique analytique, en plaise aux acharnés participants co- rédacteurs de ce document tous par évidence en profit, probablement du résultat puisque tant participé, constamment accompagné, très certainement de notre pratique du méthodisme aboutissant �* la présente étude. Insultes * La seule insulte et accusation directe que je fais va �* l’encontre d’un père prétendu mien, rapport �* qui je me suis cherché quelque point commun qu’il soit sans en trouver aucun, et dont on me fait comprendre et me soutient et m’explique en me faisant analyser notre vie commune dans ses moindres détails qu’il aurait choisi avant ma naissance de ne me faire vivre qu’un(), s’érigeant au summum de l’abject il aurait choisi de ne pas faire naître mon jumeau; si ca n’est pas vrais tout le reste l’est, de la chimio- lobotomie �* la perpétuelle prétention de me chercher des maladies imaginaires, inexistantes jusque dans quelque livre de médecine soit-il qu’il ai été donné de lire �* qui que ce soit depuis la nuit des temps modernes, d’aucuns sales et cons m’en trouveront peut-être dans ceci qui ne se veut pas en être un. * Dans le contexte clandestin de ma prison et de son contenu qui dépasse et balaye les conventions et nombre de codes de bonne conduite, extériorisé(e) de par leur existence même (le secret d’un loft pirate n’est pas tenable, celui d’une prison domiciliaire loftée ne l’est pas dans un contexte de loftage actif hostile non- déclaré �* moi-même dégénérant en subissances et exactions), et leurs débordements ne fut-ce que par le nombre d’intervenants et de témoins, dans un contexte environnemental qui est le monde autour de notre activité de (pseudo)situationnisme y pratiquée. * Dans le contexte qui est que ma prison ne m’a jamais été dévoilée, en contraste �* une vie paisible �* laquelle tout un chacun �* le droit de prétendre et peut revendiquer sachant que nous ne vivons ni en communisme, encore moins en stalinisme ni en esclavage ou sous un régime de ségrégation ou d’oppression, dans un monde qui se veut / que nous voulons libre et rassurant voir protecteur pour tout un chacun, cela est dit car notre activité de situationnisme nous a fait vivre des conflits réels par débordements comme le veut la théorie de ce jeu psychologique qui se pratique en principe .. �* huis clos et dans des lieux adaptés, pas �* domicile quand il est sujet �* débordements. Coupé; *On serait bien �* mal ... ===== Huit groupes d’intervenants Dans l’ordre chronologique supposé de leur apparition ou intervention on trouve: * 1 des inconnus qui sont venus [dvc²] me tourner autour, chez moi, en déplacements et au travail du moins �* ses alentours, par la suite ils se sont situés en cinéastes désirant me voir acteur pour cacher leurs faits, handicapé mental pour être les sauveurs de ma déficience et de mon fabriqué ou prétendu passé d’accusé d’abus sur mineure; je n’ai jamais manqué de les soupçonner pour leurs premières activités suivies de ces loftages par de jeunes et cons commandités tels que jouant avec un bout de viande dans son appartement loft pirate; * 2 des loftants, ex-relations, supposés commandités par père de qui, mais peut-être étaient-ils déj�* en activité avant leur relation avec autorité père qui les aura commandités �* lofter ma prison loft; * 3 ma famille devenue secte avant mon déménagement vers ma première prison loft, suspecte et menteuse, silencieuse, elle s’est laissé convaincre par les premiers que j’allais peut-être devenir Acteur, que j’avais abusé de qui; elle �* donné ou s’est fait voler sans le dénoncer un exemplaire des clefs de mon domicile puis de leur propriété que j’allais occuper, elle n’a jamais reconnu ni tenu compte des évidences que je lui ai présenté ni pris acte des questions et demandes d’aide ou de conseils que je lui ai formulé; enfin elle m’a fait expulser par voies judiciaires de sa propriété, ridicule studio que j’ai occupé plusieures années et dont elle savait pertinemment qu’il était une prison loftée; * 4 un cercle d’inconnus dont m&s, m’ayant repéré d’une façon que je n’ai pas mise �* jour, peut-être contactés, rencontrés, par qui hystérique familiale aura (me dit-on) été de la suggestion de me faire vivre une prison loft plutôt que de projeter un procès avec probable prison �* barreaux �* la clef; Même avec l’aide de fille de qui, eut-elle été �* mes côté, cela n’aurait suffit �* faire accepter les faits, l’on aurait non plus pu éclairer les suspicions d’entremettage et [dvc²] m’était alors inconnue, tout laisse �* penser que cela aurait tourné très court avec condamnation pénale probablement. Ce cercle d’inconnus a été concerné semble-t-il au préalable de mon séjour de repos en milieu hospitalier qui �* certainement été complémentaire �* l’étude de cette suggestion faite par, m’a-t-on suggéré, ce membre interne �* ma famille mais qui ne s’est jamais révélé; * 5 voisins directs de mon appartement qu’on peut situer remplacés par une sous-location et par une multitude d’occupants pour des périodes de durée variables, pour partie des tarrés venus me lofter en hostiles; ils furent au début, avant le retour de [dvc²], �* états d’esprit et agissements multiples et se succédant dans une pratique de lofts croisés, parfois se succédant en tranches horaires; je garderai le bon ton de ne pas m’étendre en analyse et considérations de personnes physiques occupants réguliers d’un logement privé qui leur aura été quelque peu squatté en plus de l’incommodation supplémentaire par la présence voisine de ma prison séquestration; * 6 (psych-) analystes, intervenants du médical ou paramédical et social, observateurs ou impliqués �* ma surveillance et �* ma protection ou �* titre de témoins, d’observateurs impartiaux; * complétés des publics inconnus et autres personnes ramenées �* la concernance du loft par l’enquête “journalistique”, venus participer �* ma psychanalyse, me réconforter dans l’inconnu total de ma situation et me faire garder raison dans l’attente interminable d’explications; * complétés aussi de groupes de personnes ayant pratiqué tests et développement, études et drill de ma personne et de celle de bien d’autres concernant [dvc²] et cette inventée méthode psychologique, ses performances et son potentiel, des méthodes psychologiques qui ont viré �* exactions de par acharnement �* étudier �* la fois les méthodes et ma personne; * dans ce groupe d’analystes on trouve une prétention suggestionnée de me voir progresser par une sorte d’écolage distant dans mes capacités d’analyses, mes capacités préalables ont fait que malgré les périodes de chimio- thérapies et de relations abusives avec la psychiatrie j’ai pu tout seul me remettre, jeune adulte, mener �* bien de post-études pour rattraper une quasi inexistante scolarité, laisser des traces dans les dossiers de l’administration en faisant valoir de mes convictions et exigeant le remplacement de mes obligations militaires par une prestation de substitution dans le secteur social, prestation durement accomplie avant la reprise de mes études; * on trouve dans ces groupes de personnes ou en marge �* la fois le public étranger, le familier, l’indifférent et le protecteur, les autorités mises devant un fait accomplis qui est celui de ma garde dans cette prison d’un type nouveau en lieu et place d’une vraie prison ou d’une injonction thérapeutique, on peut y supposer tout le monde allant des autorités politiques, policières, judiciaires, médicales, on y trouve la population ayant eu vent de l’existence de ma personne et/ou de [dvc²], toutes les personnes intervenantes ou non, �* buts analytiques de moi et de [dvc²] pour mon compte ou leur compte personnel ou professionnel; * on peut y trouver tout un chacun en observateur ou en témoin de la chose que représente cette prison d’un type jamais pratiqué dont on peut fortement douter qu’il sera reproduit un jour, du moins dans de telles conditions de clandestinité et de subissance; * 7 autorité(s) dont père de qui, lui-même de profession de l’Autorité, accompagné ce n’est que supposé, �* titre inconnu et strictement confidentiel de ses propres collègues, de ses relations et plus probablement de groupes de personnes ou institutions ayant eu �* craindre de l’utilisation qu’il pouvait avoir été faite de [dvc²] en marge ou en parallèle de celle qu’il en fut faite sur moi; * ils auront traqué et questionné les premiers utilisateurs, enquêté sur mon compte concernant les manipulations dont j’ai pu être (par évidence) victime en ma vie privée ou professionnelle, l’une obligatoirement proche de l’autre bien que j’ai toujours tenté de scinder les deux, et de fait mes derniers temps de travail ont été parsemés de doutes et de constats d’éloignement de la part d’une partie des membres du personnel de mon employeur; Coupé: $ le père de qui aura découvert que * 8 on peut situer un huitième ensemble de personnes: les intervenants situationneurs, les drilleurs, les développeurs. * Les situationneurs (me) l’ont joué mais l’ont aussi vécue �* la façon d’une guerre, ils ont joué le situationnisme de deux façons entremêlées, tout comme le jeu militaire dont le terme est issu; qui consiste �* faire croire ou �* suggestionner, �* suggérer aux participants une situation possible, probable, ou totalement fictive et imaginative. Dans la vraie vie que nous vivons de par ma prison loft il y eu moult débordements, de par ma subissance extrême et extériorisée �* un large public par téléconférences mais aussi par effets de voisinage. * D’aucuns du public se sont ainsi attachés �* faire baisser, �* tenter de stopper la pression qu’il m’était donné de vivre, sans échappatoire puisque vivant chez moi, seul, menant une vie ordinaire comme tout un chacun mais sans personne �* qui demander quelque explication qu’il soit sur ce qu’on me fai(sai)t vivre, prison et situationnisme, drill �* la psychologie comme recherches de vérités sur mon passé proche ni mes questions de savoir ce qu’il en est ou en a été si elle ne se sent plus concernée par moi de qui fille de qui (que je me refuse �* désigner autrement dans ce récit); * incluant aussi quelques exacteurs trouvés tels de par leurs abus limite psychopathes et staliniens dignes d’une psychiatrie rééducatrice par la lobotomie et l’exaction psychique et intellectuelle rajoutée d’un accaparement constant occupant chaque instant perpétuellement ce qui a pour conséquence de quasiment empêcher toute réflexion non initiée ou accompagnée voir entièrement menée par les intervenants. * Les premiers tentaient de penser pour moi, ce qui peut fonctionner dans une certaine mesure, surtout sur qui ne sait rien de ces agissements sur sa personne. A la fois imbéciles et sales, ils ont depuis été rattrapés par les autorités et par la population devenue témoin. * Il en est suffisamment pour m’avoir étudié et analysé et d’une certaine façon côtoyé via cette prison-loft, pour d’autres maintes fois par voisinage ou dans mes déplacements, pour savoir que je ne suis que victime d’une machination de petits bandits; voir de gros nazes de services secrets qui auraient voulu m’enrôler dans des activités [dvc²], prévisionnant mais on ne peut qu’en douter - de me les révéler, si fille de qui n’était apparue dans ma vie, cela contrariant leur projet d’étude sur ma personne mais qui fut perpétué durant le loftage passif par qui aura découvert, mais comment, leurs activités �* moins qu’ils ne se soient dénoncés, perpétuer par du loftage ainsi re- débuté un an plus tard dans un appartement propriété familiale devenu mon domicile, suite �* une apparemment organisée chasse de chez moi pour m’éloigner géographiquement, en profitant car sachant qu’un point de chute m’était disponible en cette propriété pour me rapprocher d’intervenants de la psychiatrie et de la psychanalyse, faisant bonne coïncidence avec le fait que je revenais �* mes origines géographiques quittées pour raisons professionnelles une petite dizaine d’années auparavant. la suite dans le 4) |
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