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-   -   2) la suite viu qu'ils ont pas arrete, apres on recommencera au 0) EN BOUCLE JUSQU A CREVER connard qui a la doigt sur le boutoN LE PRI9SONNIER EST PLUS FORT/ IL VOUS BALNCE? IL VOUS DENONCE - JUSQU A CE QUE VOUS LACHIEZ OU QUE VOUS FINISSIEZ a L ASI (https://forum.politics.be/showthread.php?t=86528)

situationnisme 31 maart 2007 18:09

2) la suite viu qu'ils ont pas arrete, apres on recommencera au 0) EN BOUCLE JUSQU A CREVER connard qui a la doigt sur le boutoN LE PRI9SONNIER EST PLUS FORT/ IL VOUS BALNCE? IL VOUS DENONCE - JUSQU A CE QUE VOUS LACHIEZ OU QUE VOUS FINISSIEZ a L ASI
 
cc: fr.sci psychanalyse ^pour les connards qui croient que ca se passe
l�*.

il y a de plus en plus de gens qui viennent gueueler dans ma rue, ca
me concerne ou ils ont bu ? c'est les vacances scolaires ils ont que
ca �* faire de se bourrer la gueuele on peut pas tout deviner ...

vous n'avez qu'�* vous montrer OU LACHE LE MORCEAU ou vous faire
enfermer et me dire "on t'aime et on veut que tu sois plus fort "
!!!!!!!!!!!!!!!

pauvres crapules, plus fort que quoi ... que de vivre dans un loft
pirate �* perpétuité.

Mon adresse dans le prochainemessage, de toutes facon elle est déj�*
parue, légumes vous averz peur d'intervenir pour me faire évacuer,
vous croyez �* de fausses promesses alors que vous CONSTATEZ qu'ils
jouent le dernier mot depuis quatre pour ne aps arrêter, quand ca va
on en refout jusque ca aille pluqs et rebelotte, etc etc etc.

Crevez, malades de votre radio hyoperfrequences et de votre prison aux
cameras thermiques,

votre bld en est truffé (ca c'est pour tout le monde),

MALADES MENTAUX.

la suite ... deuxiemme partie de la premiere parti e de la
psychanalyse d'une secte::

re: inextricable

* De tous les temps du loftage de ma prison, l’ensemble des prémices
puis du contenu ont été trouvés en inextricable, non- d’énonçable,
non- extériorisable, non- avouable, non- justiciable. Il serait bon
que cette affaire finisse mal pour que nous n’ayons tous �* vivre en
schizophrénie, moi déficiente par le non-dit, handicapé par le
mensonge ambiant, pathologique de chercher réponses, taxé de
psychopathe par des paranoïaques; analytique correct de la situation
où celui qui fait peur fait peur �* qui a peur qu’il ne découvre les
raisons pour lesquelles il fait peur.

+++++++++++
deuxeimme partie:
+++++++++++


Menaces du jour:

* que je ne sorte pas de cette prison tant que [dvc², le secret] y
sera identifiable, puis tant que la famille ne sera pas désignée
autrement que pour une secte, alors elle ne doit pas être citée dans
ce cas ce document ne doit pas éxister, la boucle est faite.

* Il n’est pas possible de dire autre chose qu’elle m’a pendant vingt
ans présenté comme un malade et fatigué �* qui on cherche une pathos
pour justifier de ce qu’on le prétend malade et fatigué - chimiqué et
chimiqué sont les termes exacts. Faits de Staline père menteur
assassin du foetus de mon jumeau, me trouvant surnuméraire et me le
disant en face �* l’âge pré ado, dixit suivi du conseil d’écouter la
petite voix qu’il suggérait se trouver dans ma tête. Père Staline
peut-être cocu il suffit �* qui veut s’en assurer de faire test
génétique de paternité.

* On ne veut peut-être pas que je corrige et précise et rende lisible
ce document - je le posterai sur Usenet si on recommence �* me
situationer en loft publique, en film, ou autres salopperies. On me
garde la pression �* n’en plus pouvoir, ils ne risquent QUE de voir
ceci balancé sur Internet ou sur Usenet, terminé ou pas, corrigé ou
pas. Qu’ils fassent corée-du-nord avec Google et ne manquent pas de
faire savoir �* Monde qu’ils vivent dans / (se) font un Film ... Fous.

* Vu les menaces et pression exactions cras(se) que je reçois tout le
temps que je n’ai pas le doigt sur le clavier ou le bic en main - et
on commence �* m’empêcher de corriger en m’annonçant qu’il va falloir
supprimer de plus en plus de choses, il ne restera plus rien puisque
tout le contenu est interdit et que toutes les analyses famille
aboutissent �* constat dégueulasse sauf pour qui pas citée mais qui
juste avant sa période cortisone en sniffettes pour soigner maladie
osseuse(!) (devenue junkie présénile devant témoin père Staline
approbateur de sa défonce) était devenue sectaire �* parlotte
subliminales de m’annoncer que j’allais être acteur, �* qui on a réussi
�* faire prendre initiative de me dire qu’ils n’avaient “pas de
testament” ...

° On m’en a gardé pour la fin: ... comprenant probablement que ma
garde allait durer trop longtemps; mais se faisant alors, je dois le
conclure, �* l’idée de ne jamais parler. A considérer leurs attitudes
ils avaient peut-être déj�* fait deuil de me revoir - pouvant
prévisionner qu’une psychanalyse de moi ou par moi allait révéler de
l’inadmissible .. �* profusion et pas grand chose d’autre en
récupération. Qui m’aura méchamment glissé l’idée d’en “faire un livre
et de mettre mon prix dessus” l’aura conscientisé de la même façon,
aura comme �* son habitude tracé mon horoscope et placé ses analyses de
ce qu’il sait de moi dans les oreilles de ses parents, fâcheuse
habitude de toujours, aux non moins fâcheuses conséquences de et pour
toujours.

° En outre, le même avait-il connaissance de [dvc²] en termes de
moyens de production, et pensait-il que j’allais inclure tout le relat
de mes connaissances acquises �* ce propos dans ce rapport ? Si oui il
descend dans mon estime �* avoir pu me soupsconner de faire plus de
divulguation que son évocation, ce qui est déj�* trop mais
indispensable �* donner quelque idée de l’insupportable et de
l’injonctionnel que l’on me fait subir. Prend-moi pour un con je ne te
dirai pas qui je suis.

° Tant bien que mal ce document est en lui-même auto- doublé d’une
version barrée incluant [dvd², le secret].

° Pour mettre un frein d’autres passages sont également barrés, ils
sont verve et / ou considérations personnelles �* destination
d’individus.

° On m’en a gardé pour la fin: une autre idée m’a été dialoguée de
façon subliminale, c’était celle de la precription, de quoi, mais
c’est bien sûr, celle des faits d’empoisonnement par abus de
médication chimique �* l’âge ado., pourquoi m’adresser cette idée de
prescription, mais c’est bien sûr, par erreur ou pas c’est un aveux de
leur prise de conscience de son caractère abusif. Cette évocation
supplémentaire en préliminaires et toujours subliminale démontre la
préparation de ma psychanalyse ou le savoir qu’elle allait m’être
faite, mais cette évocation ne pouvait être reçue par moi que comme
dédain de leur part et annonce de non- inquiétude �* l’idée que l’on
pourrait l’évoquer, de tout le potentiel de ma (alors future)
dénonciation qui dans leur esprit préparatoire ne pouvait qu’être
présente, comme risque pour eux ou l’ex- psychiatre; par de l�* (au
del�*) c’est évidemment mon côtoiement de la psychiatrie qui est �* leur
reprocher.

*Je n’ai que foutre de faire un papier sur ce qui - et seulement ce
qui - convient �* qui ne veut rien savoir, il n’y a rien �* dire qui ne
gênera personne.

=====

On me connaît

= Je suis épié au moins depuis fin 2000, je vis en appartement
surveillé depuis fin 2001, devant caméras thermiques depuis une date
que j’ai oublié (vers 2002), lofté activement depuis 2003, même les
témoins passifs cad. la population, le voisinage, ont sûrement oublié
les dates précises; en réalité pisté totalement et partout depuis fin
2001 (par personnes annexes de police, de psychiatrie, de père de qui,
de je ne sais qui d’autres peut-être bandits auto- bombardés
cinéastes).

=On connaît de moi la quasi (je cherche ce qu’on ne sait pas de moi,
j’en trouve peu) stricte totalité de ma vie depuis le berceau en
passant par tous les événements de ma vie, tous les lieux que j’ai
fréquenté, toutes les personnes que j’ai côtoyé de tous temps.

=Tous les gens que j’ai rencontré dans ma vie m’ont été suggéré
témoins actifs ou passifs durant ce loft, ont été interviewés pour
citer / apporter des éléments relatant ma vie; je peux supposer ... je
sais ... que je ne suis pas en mesure de comprendre qui a fait et
comment on a fait ca.

Téhéran

* Si besoin de me protéger je veux bien finir �* Téhéran ou chez
famille Saoud. �* passer le reste de ma vie sous protection, pour
travailler, en aucun cas pour faire nabab - s’attendre �* retour de
bâton par la version complète de tout ce qui est �* dire de tout le
contenu de ce loftage, de famille, hypothèses dgse (humour) des
premiers et de la guerre qu’ils ont foutu au peuple.

* Je reçois menace que je ne sortirai pas tant que [dvc², le secret]
sera évoqué. C’est presque impossible, comment lofter ainsi, comment
rédiger sous cette contrainte. “A moi de trouver”, dixit un emmerdeur.
On me lave la tête et on me lofte depuis l’an débile 2000. Plus
réalistement je dois conclure que l’on désire me voir corriger cet
écrit et le modifier �* fins de le divulguer �* ma sortie Cela instaure
possibilité tout �* la fois crainte de moi pouvoir, ou d’avoir �*, le
divulguer moi-même,

je crains �* nouveau les prolongations, pré- dénoncées hystériques.

* Verve: La merdasse papier qui est en train (mais voir plus bas, il
y en a pour tout le monde) de ressortir de cette dégueulasse prison
loft va finir par correspondre �* cette subliminale et saloppe parole
expectative faite par frère - membre émérite de la secte de son
patronyme - avant le loft de me voir écrire UN LIVRE de la
prison-domiciliaire qu’on allait me faire ou de ce qu’ils (“ils”comme
dans un film communiste et psychologique pas vu de .. 09/2006) ont
saloppé en utilisant des clefs volées / soudoyées au père (Staline):
anxiolytiques, coke et Viagra dans le café en début de loftage actif;
rajouté de la suggestion que je n’aurais plus qu’�* mettre mon prix
dessus - + que je finirai peut-être �* “Charleroi” [NDR le bled le plus
pauvre et le plus �* l’écart] dixit texto de son subliminal,
conversation avec ses copains, compris bien sur qu’il s’agissait
évidemment de moi; pathologique crédule de la psychologie, dépressif
perpétuel, jaloux depuis mon berceau de l’aveu détaillé de sa mère,
pédologue, il est chômeur et fait sa vie ... Qu’il se fasse
scientologue comme on me l’a maintes fois évoqué il sera ré éducateur,
alors pathos descendant spirituel de son père Staline, sera abattu
quand il viendra me visiter handicapé devenu VIPPO dans un hôpital ou
sera attendu invité �* Téhéran s’il ose s’y rendre.

* Aux menaces je rétorque par ma menace de postage sur Usenet,
photocopies et distribution en boites aux lettres, on me bourre le
crâne pour m’amener �* le faire tout �* la fois m’en empêcher, des gens
sont en guerre, celle de la dénonciation qu’il faut pour calmer tous
et clore le tout transformer et limiter en/ �* celle de la divulgation
- de qui, de quoi, chacun son truc; je dois m’attacher �* tout dire
tout en fabriquant confondance cachottière, supplémentaire difficulté.

° Ce document signé de mon pseudonyme Abekar; kar .. parce que, Abe,
homonyme du personnage de Abe’s Exode, jeu video dans lequel sa
destinée est d’organiser libération de (travailleurs) séquestrés,
préparation �* l’exode.

Psychanalyse(s)

= On ne psychanalyse pas ses proches, on ne se fait pas analyser en
public. Durant ce loft il n’aura jamais été question, ou si peu, de la
mienne, mais bien de celle de quelques personnes, pour des points me
concernant directement;

= des gens �* qui j’ai toujours explicitement fait savoir que je
rejetais leur frénésie pour la psychologie, situationniste et
légumisante, conformisante �* des normes fabulatrices, par définition
du frénétique: hypnôtisante.

= Eux et leurs relations, personnages de la psychologie, éminents tout
au plus de la chimie cérébralo- lavante et neuro- engourdissante ont
probablement de tous temps ignoré l’existence de la psychanalyse
qu’ils eurent bien fait d’appliquer �* eux-mêmes pour introspecter leur
positionnement �* mon égard, moi devenu leur sujet d’étude. En
contradiction de quoi ils se sont contentés de me contempler pour
mieux ne pas communiquer.

=====
Ne manque que les références

le patronyme de la famille __________ , secte, salops lobotomistes

sise en principal (______________; ________; ________),

des employés de la société (_______, _________________),

le père de qui j’ai prétendument abusé début 2001 (____________,
______________),

des inconnus __________ premiers propriétaires / fabricants /
importateurs / ... cinéastes, agents secrets, etc.

* Finiront avec eux en la secte qui sera chassée et traquée ad vitam
pour foutage de guerre tout ceux qui prétendront encore �* légumiser le
peuple pour l’injonctionner au silence et le faire vivre sous la
menace;

* située secte dont sans ce document on eu pu que craindre (en
espérant que ceci suffise �* en dissuader quiconque) les voir réitérer
�* fins d’étude et d’abus de potentiellement tout un chacun, par et
dans de nouveaux [dvc²] ainsi que par / augmentée de (pour qui victime
aurait compris) l’instauration du silence qu’ils ont utilisé en
menace �* l’encontre de qui dévoilant serait dit responsable de
divulgation publique;

* gardons pour d’autres, positivistes et progressistes, les
projections purement scientifiques ou médicales protectionnistes du
potentiel acquis et non de manipulation et destruction psychologique
que l’on a appris �* perpétrer en se servant de moi comme cobaye
(périodiquement) depuis six an;

*

* Ils finiront derrière des grilles, derrière un mur entourant leur
domicile, leur rue, leur bled ou le pays qu’ils se créeront, future
république de Psychiatrie, contrée lobotomiste néo- communiste digne
des pires régimes que le monde ai déj�* connu, en plaira �* leur
démagogie et �* leur mysticisme, pathologies dont ils auront prouvé
qu’ils sont porteurs �* n’en démordre quitte �* foutre la guerre, ce
qu’ils ont fait.

* Des tarrés qui sans qu’on s’en émeuve finiront acteurs ad vitam de
ce qu’ils ont fabriqué, instauré, prétendu et injonctionné �* chacun de
considérer pour ce qu’ils appellent un film, des tarrés qu’on
dénoncera et qu’on étudiera pour leur frénésie �* se complaire dans la
pathologie du foutage de merde et de la tentative de lobotomie de
leurs semblables �* qui ils disent qu’ils sont acteurs de cinéma.

* Tout normalement constitué se défendra bien sur de cet attribut et
participera sinon approuvera �* les enfermer dans la vie qu’ils ont
voulu faire vivre, ils prennent ce document en punition d’avoir tenté
de l’instaurer �* tout qui �* eu connaissance de cette affaire, de leurs
pratiques.

* A l’encontre de tout qui �* compris leur pathologie du néo-
stalinisme, presque du post-hitlérisme, pour ne citer la mythologie
qu’ils ne manqueront pas �* l’avenir de nous faire nous remémorer, de
nous rejouer, de reproduire, ils ont installé un climat de guerre, ils
doivent en retour être conscrits �* leur personne, �* leurs
sympathisants.

=====

* Ils ne peuvent admettre ce qu’ils ont fait, ils ont infligé un
climat qui se perpétuera ad vitam de leurs activités, accompagnés de
ceux qu’ils parviendront �* convaincre d’un bien fondé de leur état
d’esprit, de leurs activités, de leurs projets tant qu’ils n’en auront
d’autres que celui de refuser de reconnaître les faits et les
perpétuer.

* Version quelque peu paranoïaque mais réaliste et simples conclusions
considératoires �* des faits réels; nonobstant tout possible revirement
de leurs sentiments qu’on taxera de schizophrénie pour leur rappeler
leur actes, les faits, rappel et non interprétation ni considération
dont ils se complaisent de toutes façon et depuis toujours �* les
contempler puis �* les rejeter pour en demander d’autres, incapables de
les accepter encore moins de les analyser toujours obtus en attente
d’autres dénonciations de leurs agissements;

* salops lobotomistes de ma personne, famille dégénérée et leurs
complices, la part de salops et de fous d’entre les activistes de ma

prison loft

dans laquelle on me fait vivre depuis 2001.

=====

* Ce document est une contribution de multiples intervenants, il est
aussi la retranscription reformulée de notes manuscrites elles même
participées. Contre ma volonté je suis amené pour je ne sais encore
quel usage il en sera fait, �* prendre part �* sa rédaction, �* titre
principal puisque je suis le sujet de ce qui y est relaté, il est
rédigé in situ de son objet: mon domicile prison.

° Les évocations redondantes ne sont pas contradictoires mais
complémentaires et autant que possible leur temporalisation est
indiquée par un signe précédent chaque paragraphe - ils pourront
rester pour simplifier la lecture de l’ensemble. Temporalisation: il
est des analyses, des prises de conscience, pas des revirements de
sentiments mais la prise en compte de préalables �* diffusion, qui
complètent ou précisent au fil du temps de rédaction le contenu de ce
document.

* Si ceci est un accusatoire il l’est �* l’encontre des responsables
d’une guerre que nous avons vécu, que nous vivons encore, semble-t-il
qu’on utilise les derniers jours de ma prison pour me le faire relater
in situ.

* Des gens qui auront tenté le passage en force pour faire passer pour
des acteurs de cinéma une foultitude d’acteurs qui ne le sont qu’an
sens du terme de témoins, de participants, par bonne volonté ou par
implication dans une situation qui leur a été soumise de fait.

* Ni eux ni d’autres ne pourront encore se protéger derrière une
prétendue activité cinématographique car, si telle prétention, ils
sont ici dénoncés pour qui instigateurs, pour qui guerriers au sens
hostile du terme, pour qui encore apprentis �* en instiguer d’autres et
�* les entretenir.

* Accusatoire ceci pourrait le devenir - il suffira d’y mettre le
titre - pour défendre des victimes, pour faire punir des (irr-)
responsables. A charge de qui prétendra �* la farce, de qui prétendra �*
de la pure cinématographie.

* Il est insulte de prétendre de qui ne le revendiquerait pas qu’il
serait acteur d’un film de cinéma que d’aucuns exacteurs l’auront
fabriqué pour non pas les y faire jouer un rôle mais pour les y faire
vivre; remarque générale objet partiel de ce relat.

=======

Il vit / Il vivra dans un trip

La secte - famille de mon patronyme (désolé pour les homonymes)
rajoutée de leurs complices - , est mytho- démago, elle me voulait
acteur pour ce qu’elle allait (constater qu’on allait) me faire, suite
�* ses propres exactions et �* celles d’autres imbéciles et salops
parasites: accusation perpétuelle de déficience mentale, tentative de
rééducation, de re- conditionnement, exaction situationniste �*
prétendre �* ma fausse perception de la réalité tout en prétendant me
faire - et en me sketchant du bon �* faire - un film !, en me faisant
vivre dans leur film - extrême exaction psychologique et destruction
par sectarisme.

=======

* Ceci peut être lu pour un accusatoire, certainement pas pour le
livre qu’attendait qui membre de la secte. Au cas où j’aurais �* le
divulguer je le signerai de son patronyme qui sera encore le mien si
d’ici l�* l’administration ne m’en a pas décrété un autre. J’aurai
existé et tant qu’on ne m’aura pas tué je serai celui qui l’a vécu, en
principal.

* Qu’on me libère de cette prison et qu’on ne vienne plus m’emmerder,
qu’on ne me taxe plus jamais d’acteur ni de déficient ni de quelqu’un
qui vit en trip - je n’apprécie d’autre conso que celle du chanvre
pur.

* Que l’on saisisse �* qui m’a peut-être déj�* fait des films son
matériel de production, que des recettes soit fait usage social et
bien publique, que se défendent en se donnant au public qui m’aura vu
dedans les malfaisants qui m’auront fait ces films pirates qu’on
m’évoque. Qu’ils se servent ensuite de leurs biens propres pour payer
leur procès .. leur psychanalyse.

* Je pourrais tout nier cependant que je pourrais le réécrire en bien
pire et plus complet, ceci devenant base de travail, quand j’aurai
pris connaissance de tout ce que je ne sais pas. Toujours �* charge de
la démagogie, de la perversité et de l’imbécillité, respectant autant
que possible le principe analytique, �* destination du bien publique,
de l’anti- légumisation �* contrario / en parallèle de la psychologie.

* coupé: Au moins depuis fin de l’an 2000,

* Cela ne devait être de leurs aveux ultérieurs qu’un jeu de
découverte de [dvc²], alors qu’ils pratiquaient ni plus ni moins que
manipulations visant �* suggérer, �* induire et contrôler mes faits,
gestes, et activités.

* Ils étudiaient le moyen de régir �* ma place, eux en place de ma
personne, mes modes de pensée et de réflexion.

* �* l’évidence et ce fut le cas, activité apte �* placer quelqu’un dans
un état proche d’une hypnose inconsciente ou inconscientisante,
contrôlé et par définition du fait de l’accaparation, déficienté, voir
pire et pour conclusion en termes justes, �* l’extrême pour qui victime
resterait dans l’inconnu de ces agissements, dans un état proche de
lobotomisé tant que dure cette activité;

* faits que qui ou de leurs complices ou récupérateurs ont ensuite
tenté de camoufler en prétendant �* l’idée d’avoir voulu / de vouloir
me faire un film,

* en fait ou ce qui est devenu de me faire vivre dans un film, taxé
d’handicapé, activité camouflée ou récupérée par celle du
situationnisme, jeu militaire ou psychologique visant �* suggérer et �*
étudier les réactions, ici de me faire vivre et m’étudier, d’analyser
conjointement le tout cela des années durant incluant / précédé de ma
psychanalyse totale et redondante;

* activité pseudo- cinématographique complétée de la prétention par
d’historiques profanateurs de ma personne et de mes facultés
intellectuelles, que, tel que vivant dans un trip, je vivais une
réalité qui m’était propre, comme si je vivais constament sous effet
de trip chimique - ou que je fus victime de retours sporadiques
d’antérieures consommations, ou simplement vivant - ou sporadiquement
- dans la perception tronquée de la réalité de façon naturelle par
débilité ou maladie mentale;

* ci-dessous �* corriger et conciser, lancé de-pierres �* détracteurs
et profanateurs:

* en fait de retours de trips on a trouvé que la prétention �* leur
potentielle existance en moi, potentiel déchiré par l’absurde, par la
démonstration, qui a consisté �* me re- confronter aux produits
incriminés puis �* me mettre en situations de vie réelles puis fictives
(par pur situationnisme) susceptibles de faire partir quiconque en
trip. Il en est ressorti que l’on ne fait pas de retours d’acides
neuroleptiques, il en ressort aussi que les neuroleptiques ne sont pas
des trips mais des produits qui rendent psychotique.

* Il en ressort que qui m’a historiquement taxé d’handicapé m’a en
fait taxé en principal de psychotique, pathologie qui si avérée et
imputable �* consos. aurait été mise �* la charge de lui conseiller
témoin et de son père l’administrateur de ces produits �* moi en âge
d’ado.

* Est laissé �* appréciation: le fondement de cette prétention �*
potentiels retours de ce produit, tout comme celle de moi �* potentiel
de retours de, en supplément car ceci fut déchiré par les mêmes
occasions et tout au long de ma garde prison où l’on a démontré mon
potentiel et ma personnalité - de toujours - �* ne pas céder au
déstabilisant de facon générale - et �* le contrer / le dénoncer quand
il est volontairement induit - ce qui a d’ailleurs autorisé �* moultes
exagérations et débordements le plus souvent par mon contrage et en
dénonciation de ces éxagérations, d’exactions.

* Est enfin laissée �* appréciation libre mais �* charge des feu-
détracteurs et accusateurs, ma non-affectation de facon générale du
point de vue de ma perception de la réalité De consomations faibles
jusqu’�* bien des exces, même au cumul de diverses drogues telles que
nicotine, alcool, chanvre et dérivés opiacés jusqu’�* champignons, coke
et acides neuroleptiques ou trips pseudo- pharmaceutiques, la
normalité est que tout un chacun “fait” ( ) �* ces conso de par sa
volonté ou non n’en est que au fil du temps d’autant moins (dés-)
situationnables, cad. susceptible de perdre le contact avec la
réalité.

* Tout au plus peut-on me reprocher quelques énervements mais il a été
démontré par les mêmes occasions et durant tous les loftages salops
crapuleux et hostiles qu’ils étaient auto- protection et contrage par
la dénonciation jusqu’�* prise sa en compte et arrêt de véritables
ignominies, dont une partie ont été faites pour me mener �* bout,
visiblement pour étudier les conséquences strictement normales du
pousse �* bout. Cela aussi pour démonter les accusations de famille
secte m’ayant historiquement taxé, très contradictoirement, de
nerveux, de fatigué, de dépressif et de psychotique, mon tout étant un
handicapé, suprême dont j’ai du me défendre conscientisant
pertinemment et constamment l’abus et l’agression colonialiste et
ingérente qu’elle représentait, sans avoir personne �* qui ni les
moyens verbaux et dialectiques de dénoncer l’accaparation qu’ils
faisaient de moi.

* Démonstrations donc, en fait quelques faibles empoisonnements visant
�* me faire remémorer et �* extérioriser par observation de moi puis par
mes commentaires leur action in situ et surtout le subie pré-ado, âge
auquel le prétendant �* retours avait au moins induit leur usage abusif
et constaté catastrophiques et crapuleux effets sur ma personne. Le
même est dénoncé de ne s’être émus de voir pré- sénilisé qui devenue
consommatrice de cortisone en toute absurdité pour tous soins médicaux
pour le moins incompréhensibles, c’est de morphine qu’il eu pu s’agir
et non de ce remède de chevaux si le but était de calmer des douleurs
en attente de soins plus pertinents .. ils sont tarrés, rendent des
gens séniles pour leur cacher que pendant ce temps ils font suggestion
�* qui veut l’entendre que d’autres seraient malades - ou restent en
expectative; le mal fait, quand on se contente d’attendre il faut ..
s’attendre �* des retours sur (investissement de) prétentions.

* Tout cela dit pour situer mon aversion, ma répugnance �* la
prétention de recherches en moi de pathologies quelconques, de
faiblesses ou propension.

* Cela pour toute réponse et pour rétorque, pour défense et pour
vengeance, par le seul moyen qui m’est offert et raisonnable.

=====

* Il doit être considéré par tous que aussi grosse la rétorque
puisse-t-elle paraître elle est psychanalytique et théorisante plus
que évocatrice ou dénonciatrice, si elle est extériorisée ce ne sera
que collatéral �* ce que l’on m’a fait vivre depuis toujours et au
subis de ma prison inclue psychanalyse publique - subissance
exacerbante en redondance / et redondante; qui réalise cela
considerera que les proportions sont gardées et que chacun concerné de
près ou de loin ainsi que témoins ou lecteurs le devenant feront le
mieux en intériorisant toutes considérations et réactions.

=====

* Nonobstant le “gag” qu’il me serait obligé de leur faire en cas de
non- ouverture de ma prison qui serait de renommer ceci en un
accusatoire et de leur suggérer de faire encore un film, celui de leur
procès, le vrais, comme ils ont fait celui de ma vraie vie, comme ils
m’ont fait le vrais procès de toute ma vie.

=====

$ Écrire et relater tout ca n’est pas plus agréable que de l’avoir
vécu, il est difficile de sauver le pire autrement qu’en invoquant
encore et toujours l’analytique, le parfois récupérable pour bien
publique par théorisation, cette prison analytique tente de récupérer
tout le monde par l’analyse et donc oblige �* l’expression de tous ses
tenants et contenu.

$ Le mensonge et le non-dit, le faire semblant, l’outrance dans le
laissé- passer est responsable de tout l’évoqué. Il est le fondement
même de la psychanalyse tant invoquée et trouvée seul exutoire pour
tous, que de citer, d’expliquer, de tenter de comprendre, ce qui
n’implique pas de l’accepter, toute et rien que la réalité. Sinon ..
on finira tous schizophrènes et dépressifs, psychotiques ou
psychopathes. Sans faire dans la littérature. A chacun la charge de
trouver psychologie pour assumer, pour s’assumer.

=====

* Quand ce fut le cas de parvenir �* me déstabiliser ce fut bien sûr
uniquement du fait de l’inconnu de ma situation de séquestré - non
informé de vivre tel un prisonnier de droit commun en liberté
surveillée et accompagnée - et pour cause de fabrication d’évènements
que l’on m’a fait vivre sous prétention de situationnisme;

* suggestion de déficience par qui pré- cité avait alors la crainte
que je ne découvre le passé, que je puisse trop me l’expliquer:
utilisateurs de psychiatrie et administrateurs de produits chimiques,
actes auxquels ils cherchent depuis toujours justification dans des
livres nauséabonds de la neuropsychiatrie et de la psychologie,
ceux-l�* même qui les auront amené quand pas protégés, �* me chimiquer.

° Pour en finir avec la déstabilisation il faut évoquer qu’en réponses
�* toutes situ dangereuses pour eux, cad. mettant en péril le silence,
même �* situ de douces pousses humoristiques �* leur suggérer de
retomber de leur pied d’estalle, ils ont toujours répondu par menaces,
par autoritarisme, ou par pétages dialectico- littéraires; allant
jusqu’�* mener ç mon encontre et �* mes frais plusieurs procédures en
justice et conseils / demandes de ma médicalisation, cela dénoncant
leur mauvaise foi �* la fois leur incompétence et manque de savoir
vivre, d’honnêteté, cela dénoncent leur peur panique �* être découverts
et expliqués. En guise de toute fin de non- me re(ce)voir ils ont
induit psychanalyse mais d’abord demandé vie en appartement
thérapeutique ce qui pour des raisons suppléantes �* leur volonté �* été
fait mais sous forme d’une prison loft pirate. Si �* procédure
normalisée j’avais été contraint j’aurais fais exode, exile
psychiatrique, rajouté de procès pour demande de punition et réponses
�* mes questions concernant qui prétendument abusée !

=====

Faits de neuro- chimie, de psychiatrisation
rapide
1989 ?

$ Moi en âge d’adolescence, père Staline induit par son fils alors en
prémices de s’empêtrer dans des études de psychologie, s’est entêté de
me faire psychologiser pour des raisons d’encombrement et de
recherches en moi pour de leurs raisons imaginées (par eux seuls), de
maladies tout aussi inconnues que je ne comprenais cet entêtement �*
m’en supposer.

$ Cette prétention �* aboutis �* ma mise en observation psychiatrique en
milieu hospitalier; pour toute observation il s’est agit de me faire
consommer une quantité faramineuse de psychotropes �* effets multiples
et variés: anti- dépresseurs, anxiolytiques, anti- épileptiques, anti-
parkinson, psychotropes, et autres ignominies de la pseudo- pharmacie
cérébralo- lavante.

$ Après quinze jours de garde et une quantité que j’estime �* quelque
trois cents pilules ou gélules et autres comprimés neuro/psycho-actifs
et talqués j’ai un jour cru mourir de ne plus pouvoir pisser, épris de
douleurs effrayantes je n’ai même pas osé m’adresser au personnel
soignant de peur de me voir médicaliser supplémentairement pour cette
“pathologie mésocomiale” dont le psychiatre prescripteur que je
jugeais déj�* pour ni plus ni moins qu’un laborantin était, sans que je
n’en eu le moindre doute, seul responsable.

=====

2001

* La vraie raison de ma prison loft s’est révélée et progressivement
précisée au cours de son existence, elle était protection de ma
personne en accord commun de plusieurs autorités (je n’en ai pas été
informé, je dois concevoir cette évidence)

* de récupérer une situation, le constat des conséquences de ces
manipulations (cf. rencontre prolongée avec qui mineure), situation au
coeur de laquelle les premiers (doux bandits) n’auront pas stoppé
encore moins dévoilé leurs agissements, outre de l’avoir supervisée
(épiée) ils l’ont activement complémentée par quelques manipulations �*
d’entre mes faits et gestes, même si pas très conséquents.

* situation: �* savoir ma rencontre avec la fille plus que mineure
d’une haute personnalité. Il apparaît que cette rencontre a pu être
fabriquée au moins induite, peu importe de savoir si les précurseurs
de [dvc²] étaient complices ou si cette entremise était le fait ou
l’accident de seules autres personnes désirant si malfaisantes me voir
accusé de faits criminels ou psychiatriques au seul but alors
envisageable de me faire enfermer, dans ce cas probablement �* but de
me donner �* disponibilité .. de prisonniers de droit, sinon
psychiatrisé donné �* [dvc²]; mais cette boucle en hypothèses avec
[dvc²] n’est pas �* faire, sous peine d’en reprendre pour un tour
d’analyses qui ont été menées mais qui n’aboutissent pas, je n’ai pas
d’éléments corroborants, j’ai au contraire pour refuser cette
hypothèse une forte suspicion d’évènements fabriqués mais croisés, les
faits de plusieurs groupes activistes conscients ou pas du potentiel
de conséquences.

* Il ressort de ce que l’on m’a communiqué / il ne parait pas possible
autrement mais trop peu d’éléments me permettent de le certifier
plusieurs années plus tard après tout le vécu et toutes les
manipulations subies rajoutées au fait que l’on réfléchis encore /
qu’on me laisse encore �* réfléchir

* que probablement des caméras pirates auront été placées en mon
domicile avant ma rencontre avec qui mineure, puisque on me relate
notre vie commune dans ses plus stricts détails; a-t-elle sinon relaté
si précisément nos moments communs, cette hypothèse fantasmagorique au
vu des détails évoqués, impartiaux et autres en notre faveur commune,
m’est suggérée par qui de mes correspondants, sans que je ne puisse le
certifier (mieux vaut ne pas pouvoir in situ et ce n’est de toutes
façons qu’un détail);

* cette prison loft pour m’éviter une procédure judiciaire et/ou
psychiatrique; complémentairement permettant la recherche des buts et
des actes et de leurs conséquences, des premiers précurseurs de [dvc²]
ainsi de rechercher comment pourquoi et qui avait induit ma rencontre
avec qui mineure précitée, éventuellement faire le rapprochement ou
découvrir coïncidence;

* si cette rencontre était fortuite il est aussi le constat que plus
que mineure elle a été, fut-ce par inconscience, entraînée �*
fréquenter �* des heures incompatibles avec sa minorité des endroits
inappropriés (boites de nuit jusqu’�* fermeture, afters après fermeture
des boites, activité professionnelle dont j’ai conclus plus tard
qu’elle ne devait exister que le temps de vacances, etc...). [dvc²]
était l�* avant, �* assisté puis �* disparu.

* coupé: Les premières ...

=====

* Je n’ai pas plus fuis �* l’étranger comme me l’a suggéré mon père
sans me dire pourquoi, qu’on ne m’aura jamais mis en prison ni qu’on
ne m’aura informé de quelque procédure qu’il fut, il n’en a pas été
menée d’autre que celle objet du présent récit donc sans implications
administratives, en toute discrétion et en toute clandestinité;
prémisse et parallèle �* ma vie en prison loft, sans qu’elle ne fut
jamais déclarée �* moi autrement que �* distance, non sur papier mais
par dires et jamais en clair ni en face;

* période de vie �* considérer principalement pour des lofts pirates
parfois amis parfois hostiles parfois simulateurs dits du
situationnisme, avérés prison domiciliaire ou encore, et c’est une
constante, présentée sous le jour de la psychanalyse et �* but de ma
protection, probablement aussi celle d’autres, les clandestins
précurseurs;

* qui, dont j’ai appris plus tard que je l’aurais abusé du fait de son
jeune âge, aurait envie de me retrouver lors de sa majorité que cette
quasi séquestration lui évitera de me voir sortir de prison - de l’une
de celles faites de murs et de barreaux; pas plus que n’auront eu lieu
officiellement ni injonction ni prise en charge thérapeutique ou
psychiatrique ni judiciaire de qui que ce soit des précurseurs et
opportunistes ou complices, bien que assurément et pour ma protection,
pour ma défense, j’aurai été suivi de tout temps par des instances
médicales et surtout (psych-)analytiques sans qu’elles ne se soient
identifiées, se laissant deviner et constater;

* j’ai contacté moi-même avant et durant mon temps de garde, des
intervenants sociaux et de la psychiatrie, pour poser des questions et
expliquer quelque peu une situation qui s’était déroulée quelques mois
plus tôt; quelques visites médicales et court séjour en psychiatrie
pour me reposer de subissances physiques plus que psychiques,
concrètement pistages et loftages et faits de drogues de mon insu, me
faire examiner et demander quelques soins médicaux.

* Une rencontre de quelques jours avec qui l’on m’a un jour indiquée
être fille d’une importante autorité, se gardant mais il était de
toute façon trop tard de me dire qu’elle était bien plus jeune que je
ne le pensais, il m’est apparu beaucoup plus tard lors de psychanalyse
que cette rencontre �* peut-être été fabriquée, induite pour se servir
de moi en m’attirant des ennuis, devenu taxable d’abus sur mineure de
plus pas sur n’importe qui ce qui m’a peut-être sauvé; plusieurs
groupes de personnes se sont-ils croisés lors de ces prémices �* ma
prison, d’aucuns soupçonnés de fabrication sont-ils peut-être simples
témoins ou actifs entremetteurs, d’autres placés devant le constat
d’une relation entamée qui n’aurait alors (temporel) pas du exister.

* De toute évidence des instances psy et médicales ont assisté et
participé �* tout ou partie du temps que j’aurai passé en cette prison
loft, sans s’identifier plus que par leurs agissement
(psych-)analytiques poussés jusqu’�* un écolage de moi �* cette
pratique. Cela ressemble �* un semblant de deal - entre un écolage �*
mon profit et un sujet d’études offert ou récupéré, accepté, �* / par
des pratiquants des professions de l’analyse et de la psychologie
jusqu’�* la psychiatrie conjointement de médecine au sens large,
écolage corroborant �* mes pré- dispositions �* l’analyse au sens large
jusqu’alors appliquée concrètement au seul domaine informatique.

=====

* En collaboration via cette instaurée téléconférence fondamentale au
loftage, nous avons dénoué et débusqué presque tous les éléments et
intervenants, �* la fois des prémices et du contenu �* / de ma prison
loft: on trouve avant et pendant du crapuleux et du scénarisé, du
banditisme, du sectarisme, du réel et du situationné, voir de l’auto-
situationnisme suite �* de réels débordements dû �* la durée de ma
séquestration.

* Séquestré en toute clandestinité pour des faits de moeurs
prétendument répréhensibles conscientisés plus tard mon seul passage
en hôpital le fut pour repos suite aux exactions des premiers lofteurs
pirates -des tarrés qui se sont chargés de me faire peur et provoquer
tachycardie (aléas cardiaques) jusqu’�* ce que je quitte provisoirement
mon nouveau logement, propriété familiale, pour aller me reposer d’eux
et des préliminaires interrogatoires subliminaux actes de ma famille
alors secte peut-être manipulé mais pas moins complice, ainsi que de
quelques abus de substances psychotropes et exténuantes, qu’elles
eurent été mélangées �* mes fumes anodines et naturelles par des voyous
invoquant ou suggérant ensuite de peu scrupuleux dealers de beuh ou
qu’elles furent truffées, en plus ou pour tout et comme ce fut le cas
encore plus tard durant le loftage, au contenu de mon moulin �* café -
en clair il s’agissait de coke, speed, viagra et anxiolytiques - . Ils
se faufilaient dans les vides techniques de mon immeuble, certains y
ont pénétrés avec des clefs;

“tu sais bien qui est l�*” dixit le hamster

* plus tard on a placé chez moi du matériel de surveillance: caméras
thermiques et micros, cela apparemment pour le compte et sur la
commenditation de et en la présence du père de qui prétendument abusée
sinon de celle d’un autre meneur de l’épopée du dit placement, alors
le hamster �* qui est attribuée la citation ci-dessus en titre,
pourquoi pas le père a pu être le hamster, visiteur caché en voisinage
les week-ends et travailleur de ses heures fériées �* venir m’examiner;

* hypothèse peu probable et non- décrite ici sur l’identité du hamster
s’il ne fut pas le papa, abandonnée faute d’autres éléments
corroborants �* identifier cet animal terrier - terrier car il
utilisait des locaux et leurs accès aux vides techniques pour
communiquer avec moi par effets de voisinage [a été étudié mais ne
trouve pas confirmation, voir la citation du (hamster), les hypothèses
et analyses �* ce sujet n’aboutissent pas; �* savoir que elle et moi
aurions été cinégraphiés en prémices �* ma prison par quelqu’un d’autre
de son entourage;

* travail de truffage de cet appartement, ma prison loft, exécuté par
qui pour partie et indubitablement identifiés lors de leurs tests du
matériel; ils testaient la première caméra thermique probablement
fixée sur une paroi dans l’intérieur d’un vide technique;

* peut-être l’installateur est-il soupçonné par moi �* tord d’avoir au
préalable du loft prison utilisé �* mauvais escient ce même matériel,
sinon il aura mentis �* ses accompagnateurs de ce jour l�* et / ou ce
groupe de personnes n’était-il pas uni dans ses sentiments et
intentions �* mon égard. Les personnes présentes parfaitement
identifiées ne seront pas citées, leur présence et connivence
m’intrigue encore.

* Au moyen de ce matériel et avant l’arrivée / le retour de [dvc²] on
m’a fait de multiples loftages croisés et partagés en tranches
horaires, depuis un voisinage direct de mon studio- appartement,
depuis un appartement probablement sous-loué partiellement aux
occupants réguliers.

Prémices

* Il m’est rapidement apparu qu’il est plus que probable que les faits
incriminés concernant fille de qui ont été partiellement au moins
induits si pas totalement fabriqués par manipulation de moi ou de nous
deux, par un ou deux groupes de personnes dont l’un - de ses amis -
aura été l’entremetteur et l’autre aura éré [dvc²], de toute façon
présents et actifs depuis et durant plusieurs mois de façon
subliminale et parcimonieuse;

* [dvc²] �* pris bien garde de me dévoiler son existence en agissant
qu’avec parcimonie, �* ce stade des révélations et analyses - le reste
je l’apprendrai de visu et en privé après ma prison loft, il ne sera
pas relaté - il n’apparaît pas de réponse �* la question de savoir ce
qu’ils projetaient;

* la suggestion d’un gag sous forme de pré tests ne trouve pas mon
approbation, dû au caractère malsain, insultant, de leurs agissements:
il n’apparaît pas autre chose qu’ils ont tenté de me diminuer
psychiquement jusqu’�* me déficienter intellectuellement, difficile
pour eux ensuite de faire valoir �* un gag durant lequel ils se
seraient entraînés �* l’objet et responsable de batailles et non- plus
de jeux durant toute ma séquestration en marge de ma psychanalyse.

=====

Terrain de guerres

* Ma prison fut un lieu de guerres - l’endroit et le moyen étant les
téléconférences, impliquant plusieurs bureaux et auditoires ou salles
de conférences, d’autres intervenant depuis leur domicile; pour partie
des lieux isolés pour partie accédés par un certain public:ou des
groupes de personnes dont on en dit, et j’en ai constaté, de mes amis,
famille, anciennes relations de travail ou autres connaissances, on y
trouve aussi autorités �* l’évidence au moins médicales, des inconnus
protecteurs ou accompagnateurs positivistes, des personnes privées et
des professionnels de la (psych-)analyse;

* ainsi que d’autres ayant appris au fil du temps l’existence de ma
prison et celle de blah ... quand pas suite �* indiscrétion ou sur
invitation. Pour bon nombre [dvc²] prend le dessus sur ma personne,
mais il n’a du échapper �* personne ou pas longtemps que si je suis
comme on le constate contraint de vivre cette situation, elle existe
par et pour le fait de [dvc²] poussé �* un incommensurable point et
niveau de subissance plus tard après psychanalyse.

-- la suite quand ils n'auront pas arrêté.

Abe 1 april 2007 21:29

3) la suite de ce qu'ils m'ont tracé depuis le berceau
 
y'a toujours pas d'acteurs puisque je creve dedans, la suite tant
qu'ils auront pas arrêté LEUR EMETTEUR.

A part ca ils coupent (quoi, la diffusion pirate d'une prison loft
pirate ???????????????? et où ? sur quelle chaine ? C'est endemol
peut-être ? Non c'est LA BELGIQUE et des employes informatique avec
comme QG principal la boite de mon ex employeur QUE QUELQU UN
TRAVAILLE A FAIRE DENONDER - ILS VOUS AIMENT PAS TOUS et de toute
facon ils sont en guerre interne contre qui �* truffé leur entreprise
en 2000-2001 ! ! ! ! !
en 2000-2001 ! ! ! ! !
en 2000-2001 ! ! ! ! !


... donc un doux-animal pretend encore qu'ils coupent que "QUAND JE ME
BRANLE", c'est donc pour que je me branle pas qu'ils me choppent dès
l'ouverture des yeux JUSQU A obtenir SCORE ET DENONCIATION; après quoi
je retourne me coucher ET JE ME BRANLE SI JE VEUX.

Ca fait cinq ans que les enculés qui m'ont fait ca ne sont pas
montrés, MES """""amis""""" qui allaient me faire sortir de cette
merde dans UN FILM. CONNARDS,

ces gens sont des porcs, pervers(doux?) sexuels(beaucoups), leur
entreprise a-t-e-lle été démentelée comme cel�* a été suggestionné
(situationne) en "situa/tionn°-isme" �* tres juste titre ? ?

Il y en a qui continuent JUSQUA obtenir denonciation, tant qu'ils ont
pas ils arretent PAS et de toute facopn J AI PAS A VIVRE DANS UN LOFT
PIRATE DERRIERE DES CAMERAS THERMIQUES CACHEES. OK ? ? ?
OK ? ? ?
OK ? ? ?
OK ? ? ?

PAKI tu dois comprendre ca

et les laisser me sortir de l�*.

Le but de celui qui m'a fait ca était QUE de se faire, sous couvert
d'une prison pirate, UN ACTEUR QUI SE BRANLE DANS UN LOFT et qu'on
sacrifie (merci la secte famille de-chiottes-gelaere) �* l'étude de
l'éléctronique.

Ces SALES MYTHOS ont cru que j'allais les EN SORTIR
apres qu'ils aient constaté
l'ECHEC de la
TENTATIVE de me
REFORMATTER le cerveau !

Sinon bien sur m'y faire laver et finir perché, prendre plaisir �*
croire avoir fait un film lors de ma prison pour pseudo abus d'une
mineure qu'on veut que j'attende pour marriage (si elle veut plus elle
va se venger ... parce qu'elle a été actrice de cul dans le loft
pirate qui a été fait CHEZ ELLE avant chez moi !!! !!!! sinonj on se
barre et on va se marrier �* CUBA, merde in fransse et ailleurs et
qu'on en finisse.

Alors la princesse vous l'avez suicidée ?
Vous vous êtes bien branlé sur la pédographie de l'actrice ?

Faut parfois remettre l'eglise au milieu du village.

Donc j'allais prendre plaisir �* croire avoir fait un film, il faut pas
demander si celui qui m'a fait ca est CON SALE ET PERVERS. pour y
avoir cru, freudoliens et pedo-branlo-graphes allez mourrir svp !

... quelques dutruc totalement extérieurs �* ca se fendant la gueule
en me le disant dans le dos quand ils me croisent dans la rue ..
pauvres gosses de comunistes, que la lecture de ceci vous dissuade de
recommencer et réfléchissez un peu �* votre réaction de fendage de
gueule apres prononcitation des paroles comme celles que vous m'avez
envoyé ... est-ce vraiment naturel ? Pas toujours.

Pourquoi les politiques belges n'arretent-ils pas ca ?
SALOPS.
LEGUMES !

[
QUI vient dire pour la dixieme fois depuis 4 jours: "sales
bougnoules" ? Sale juif sioniste va t'enterrer dans ton kibutz et te
finir au sol-sol ! Cetrel vous allez finir au missile !
+++++++++++++++++++++++++++++++++
Suicidez vous comme HITLER !!!!!! STALINIENS !!!!!!
++c'est pour rire on veut pas vraiment votre mort++
+++++++++++++++++++++++++++++++++
interlude].....

Il y a un juge qui a le doigt dessus, c'est pas MOI dedans et �*
distance de ces gens l�* qui vais faire fermer CA.

DEMERDEZ VOUS BANDE DE LEGUMES pour me sortir de l�*.
++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Il y a qui se marrent, ils m'observent rédiger, ils m'en soufflent la
moitié. mais ils viendraient pas sonner �* ma porte, oh couillons ? ! ?
3); sans résumé de l'épisode précédent parce que c'est pas un
feuilleton pour les neurasthéniques de la rtb--"sa frange
social-communiste la colonne des psychologistes brancardiers d'un coup
détat", nous on tirera sur les ambu.

la 3ieme partie donc ...

3)
ne doit pas être plus précis:
* Dans cette fabrication, dans ce situationnisme de batailles, je suis
le protégé, préservé d’un enfermement judiciaire et �* la fois de qui
aurait (eu) griefs �* mon égard, rapport aux tout premiers qui ont joué
et auront mis du temps �* être découvert, �* s’expliquer pleinement de
leurs activités. Rapport �* qui ensuite aurait induit rencontre
peut-être �* mauvais escient (de me voir finir en prison pour abus sur
mineure) et enfin aux troisièmes, fussent-ils des premiers qu’ils
auront eu d’autant plus de choses �* cacher.

ne doit pas être plus précis:
* Cette tentative voir cet amusement de me déficienter, ajouté / suivi
de loftage actif agressif, et de quelques autres fabrications abjectes
et dégueulasses qu’on aurait ensuite voulu camoufler par une prétendue
activité de cinématographie dont j’aurais été l’acteur, acteur en
termes de cinéma, volontaire ou volontarisé.

* Da ma prison je suis libre - et contraint - de sorties ne fut-ce que
pour mes fournitures et mes formalités administratives, je suis aussi
séquestré dans cette constante permanente et quotidienne depuis
longtemps téléconférence active accompagnatrice de chaque instant des
24 heures de chaque jour, depuis plusieures années au moment de la
rédaction de ce récit, je suis aussi séquestré dans l’organisation ou
le constat de ma paupérisation. Depuis longtemps sans plus de moyens
financiers que pour m’assurer subsistance, je vis du strict minimum.

* Enfin je suis prisonnier du bien fondé de ma relation avec qui alors
mineure dont l’on me soutient depuis que le loftage est effectif que
je pourrais être amené �* la retrouver après ma “libération”; le cas
échéant que j’aurai par cette peine été punis - d’une relation de
quelques jours ou quelques semaines -. Ca a toujours été pour moi non
pas une hypothèse mais une évidente probabilité, peut-être
m’attend-elle injonctionnée �* ne pas se montrer et entourée de qui me
lofte en protection, cette partie des intervenants qui ne font pas de
situationnisme mais qui me font attendre ma sortie et m’aident quelque
peu �* supporter l’ensemble des autres participants non complaisants;

* prisonnier aussi de mes questions auxquelles personne n’a jamais
prétendu s’intéresser encore moins me répondre, concernant �* la fois
qui précitée, et ce loft (ces loftages) dont il m’aura fallu
plusieures années de réflexion pour dater et retrouver les premières
activités et au sujet de laquelle il apparaît aussi qu’on a pas voulu
tout savoir trop vite;

* on a fait durer les chose, ce faisant des événements ont été
oubliés, puis rapportés ou retrouvés par analyses recoupantes, par
hypnose remémorante, par réflexion des mois durant, par des aveux
probablement, ainsi que par étude des backups d’activités et de mon
pistage et manipulations préalables �* ma rencontre incriminée,
complémenté de la cinégraphie plusieurs fois en son domicile plusieurs
fois en le mien alors ma propriété, du temps passé avec qui, incluant
le trouvé réprimandable.

* Et donc est constaté �* charge des premiers observateurs mes suggérés
amis le fait répété de pédo- cinégraphie; d’intrusion domiciliaire, en
résumé de doux- banditisme; on nous a, me permet-on de comprendre,
filmé �* de multiples reprises, ces enregistrements ont été retrouvés
et m’ont été précisément évoqués, relatés par détails des plus précis,
ils contiennent la totalité des faits incriminés; s’ils existent ...

* Assurément c’est pour toutes ces raisons entremêlées que l’on ne m’a
jamais clairement informé de cette réalité qu’est l’existence de ma
prison: �* la fois pour trouver tout et tout le monde, pour faire
passer ma peine ou pour attendre la majorité [non plus sexuelle(cet
humour m’est suggéré)] mais civile de qui, et me faire vivre ce
semblant de guerre au situationnisme, typiquement un jeu militaire
psychologique consistant �* suggestionner une réalité et �* inviter les
participants �* réfléchir et �* s’exprimer, placés quand c’est un jeu en
situation fictive. Mais dans notre contexte nous n’étudions quasiment
que des faits réels et des hypothèses amenant �* recouper, �* trouver, �*
démontrer, �* expliquer, le passé, ajouté du présent.

[si nous jouions au situationnisme l’énoncé en serait: une
téléconférence imposée in situ d’un loft prison pirate]

=====

Staline, stalinisme

* Ma famille �* manqué de me détruire en me déficience par faits de
psychologisme de psychiatrie et de chimiothérapies légumisantes et
lobotomisantes, hypnotisante dans le sens où elles ont aboutis �* me
faire non pas comprendre mais rester - et vivre - sur le constat d’un
dénigrement, d’une quasi garde domiciliaire de ma personne étant
mineur.

* Pour ainsi dire je vivais dans un loft vaquant comme bon me semblait
mais sous la surveillance, plus que en vie commune, de membres
familiaux qui m’ont perpétuellement cherché des maladies et laissé
supposé �* leur entourage que j’en serais porteur, victime; j’étais
prétendument toujours malade ou fatigué, en fait je vivais entouré de
silence et de non-dits, le fait de personnes trouvées plus tard comme
menteurs pathologiques devenus paranoïaques et staliniens, de
personnes qui m’ont depuis cette période toujours considéré pour
déficient psychique ou mental, ne reconnaissant jamais mener / avoir
mené une vie de silences exacerbants.

* Toute ma psychanalyse faite - presque une année durant et quasiment
non-stop, bouclante et redondante - sans plus de complaisance que la
bonne foi ne l’imposait s’est trouvée toujours et sans cesse aboutir
points après points �* ma décharge et souvent �* charge de personnes
historiquement dénigrantes aujourd’hui accablées des faits trouvés et
reprochés. Ils avaient été prévenus qu’il ne fallait pas me la faire,
ils l’ont immiscée et induite en toute cachotterie, ils se seront
ainsi fait faire la leur.

* La fin d’un rébus égrainé et de son analyse progressive, dont la
seconde partie énoncée tout �* la fin, boucle le jeu de piste
psychanalytique qui dure depuis plusieurs années dans ma
séquestration, est l’affirmation métaphorique qui vient suggérer que
mon père ce Stalinien aura refusé de voir naître des jumeaux et que je
serais le rescapé de cette ignome décision, paranoïaque mesquinerie
psychopathe d’un devenu menteur pathologique.

* Le rébus m’a été soumis en ces termes: “il y en avait deux”, suivi
de “il n’en aura qu’un �* la fois”.

* Entre ces deux bribes se sont incrustées plusieurs informations dont
j’avais connaissance de par mes observations, d’attitudes et de bribes
de conversations passées; laissant paraître pour qui membre de ma
famille un manque traduisible par une absence, de quelqu’un dont on
cita même le prénom qu’il n’a pas porté s’il n’est pas né, qu’il porte
ou a porté dans le cas, mais analytiquement trouvé non probable, où il
serait né; bribes de débuts de conversations de suite et abruptement
closes par le père paranoïaque.

* Déj�* supposé cocufié, qui ne serait donc pas mon père il aurait fait
supprimer par soucis matérialiste la moitié résultante de ma
conception: moi surnuméraire je serais en plus le rescapé d’une double
fécondation. Si �* sa mort il n’a toujours pas parlé j’annonce �* qui
l’entend que sur sa tombe je pourrais aller graver la question
“Staline - cocu - a-t-il tué le foetus de mon jumeau, son second
beau-fils ?”

* Mais, comme pour corser, le doute m’a été laissé qu’il eu s’agit
pour la première partie de ce rébus d’une suggestion visant �* me faire
croire ou admettre que sous l’effet d’hypnose et de produits et ce in
situ des circonstances d’alors [dvc²] j’aurais rencontré et pu avoir
relation, en quelque sorte �* mon insu, avec deux personnes
différentes, fille de qui prenant aux premiers faits incriminés la
place de qui d’autre, qui d’autre n’a bien sûr jamais existé, il
s’agit de situationnisme psychanalytique.

* On m’en a suggéré une autre d’acabit non moins grossier, qui était
l’affirmation comme quoi j’aurais, mineur, violé ma soeur. Dans cette
hypothèse on devrait commencer par inverser les rôles et profaner
qu’elle m’aurait abusé, ensuite et pour en finir tout de suite je n’ai
aucune bribes de souvenirs de tels faits, tout ce que je peux dire est
qu’en la période suggérée elle emplissait ses armoires de publications
encyclopédiques sur le sujet du sexe; abonnée �* un mens(tr)uel
littéraire et très photographique détaillant au fil des épisodes tout
le kamasutra, illustré par un couple d’acteurs photographiés dans les
poses sujets d’études, photos qui ne laissaient pour seul doute au
lecteur que de savoir si oui ou non les acteurs pratiquaient
pénétration.

Hystérie, sectarisme, mensonge pathologique et mégalomanie
+++++ �* rédiger court, seconde familles royale (+ loin)

Loft

* En parallèle d’un temps mort passé dans cet appartement durant
lequel on m’a laissé tout seul sans communications, sans loftage actif
ni accompagnement, sans rien d’autre que quelques anormales
manifestations de voisinage qui semblaient quand ils laissaient passer
quelques bribes de conversations, s’intéresser parfois plus �* ma vie
qu’�* la leur, ce que je considérais comme déplacé et l’intérêt d’un
voisinage indiscret. Période durant laquelle je passais le plus clair
de mon temps �* consulter Internet et �* participer sous anonymat �*
quelques conférences technologiques et psychanalytiques avec un
intérêt mesuré mais me doutant que quelques uns tout aussi camouflés
que moi s’adonnaient �* la pratique d’analyser par métaphores, jamais
en clair, ma vie passée, conversations entremêlées de discussions sur
tout et rien comme il en est coutume sur les fora.

* En parallèle �* ce temps mort quelqu’un faisait enquête sur moi,
tracant ma vie de fond en comble, suite �* quoi et durant près d’un an
pour situer grosso modo la durée des discussions psychanalytiques l’on
me présenta méthodiquement, plus ou moins chronologiquement, chaque
fait de vie, chaque personne, chaque situation, que j’ai pu vivre ou
rencontrer tout au fil de ma vie, plusieures décennies ont ainsi été
relatées sans que plus que rarement ce ne soit moi qui amène eau au
moulin de cet interminable et méticuleux déballage de moi et des
personnes rencontrées depuis tout temps.

* En plus du fait qu’un membre proche ou interne �* ma famille �*
remonté �* la façon journalistique ma vie entière il dut y avoir
extériorisation de ma situation pour que autant de gens et de faits
soient évoqués ou relatés, de quelle façon a-t-on fait cela, le plus
probable est que chaque personne contactée aura amené son lot de
relats et de personnes ayant eu �* me côtoyer ou �* me rencontrer durant
les décennies évoquées;

[je ne trouve pas le déclencheur de cet agissement, de ce sauvetage
psychanalytique]

* sans que jamais je ne puisse me rendre compte que par exemple un
appel aurait été lancé �* tout qui m’aurait connu au cours de sa vie
pour être invité �* participer, sans que jamais personne ne me contacte
ni ne m’avoue lorsque moi je contactais quelqu’un ce qu’il en était de
ma situation et de ce que l’on avait pu leur en dire ou les questions
qu’on leur aurait posé, l’invitation qu’ils auraient reçu �*
participer.

* A la façon de journalistes quelqu’un �* donc réussi �* tracer ma vie
sans que jamais je ne m’en appercoive, pendant ce temps l’on me
pistait en extérieur par le truffage de ma voiture; un jour un suiveur
m’a maladroitement révélé sa présence sans se laisser plus identifier
que dans un doute qui ne m’a bien sur jamais quitté. Il s’agissait de
la suite ou de prémices �* un loftage par d’ex-fréquentatiosn qui
m’apprirent plus tard me lofter en vue de me voir revenir en leur
sein, de ceux qui sont trouvés soupsconnés [dvc²] aux tout prémisses.
Sinon s’agissait-il tout simplement de jeunes flics qui auront voulu
me signaler leur existence.

* Je n’en ai jamais beaucoup tenu compte ayant déj�* conclu au
préalable que ma voiture avait été truffée de quelques babioles
électroniques comme, très probablement, un gsm �* réception
automatique, un gps pour me localiser et / ou des caméras radio
endoscopiques ou dôme jamais découvertes dont quelques bribes
d’interventions vocales maladroites ou / puis volontaires m’avaient
laissé supposer la présence; interventions probablement via un gsm
avec ou sans micro-enceinte ou repiquage vers les enceintes de ma
voiture dont le circuit d’autoradio n’a jamais fonctionné correctement
ce qui étayait mes doutes sur un piratage par un sauvage bricoleur.

* Devant cette certitude de truffage de chez moi et de ma voiture j’ai
toujours conclus que je pouvais chercher aussi qu’il me plairait, je
ne découvrirais peut-être jamais le matériel, moi-même bricoleur et
plein d’imagination je devançais toute exploration par la réflexion
que soit j’arriverais trop tard pour mettre la main sur le truffage,
soit il serait si bien caché ou camouflé que je le découvrirais pas. A
refaire je ne désosserais pas ma voiture pour y chercher du matériel
pirate, j’en changerais; d’ailleurs �* l’avenir je me contenterai de
locations pour me faciliter la vie.

* Conclusion, j’ai laissé faire, devinant que quelque chose clochait
dans mon proche passé et qu’il ne pouvait s’agir que du sujet de cette
rencontre avec qui mineure et fille de qui; j’attendais que quelqu’un
se manifeste pour m’expliquer la situation, vivant quotidiennement
aussi lors de chaque déplacement cette certitude d’être au moins
pisté, il s’est avéré que j’étais en plus minutieusement épié.

=====

N’a pas existé

* Ceci n’est pas du vécu, ne doit pas avoir existé, n’a pas le droit
d’avoir existé, ce n’est ni littérature mais analyse, ni roman puisque
tout est vrais, ni science fiction puisque tout est réel et que nous y
sommes, ni délire nous sommes tous normalement constitués et
conscients, même pas drogués ni même pour ma part de simples pétards
que par manque d’argent je ne peux plus me procurer que très
exceptionnellement, ni imagination ni fabulation, ceci était une
guerre mais je ne l’ai pas vécue je l’ai subie. J’étais le prisonnier,
comme un juif dans un ghetto en 1940 �* qui l’on vient en SS casser la
gueule par plaisir ou commenditation, chez qui on vient périodiquement
mettre le feu, qu’on salis et dénonce auprès de son voisinage, qu’on
tortionne pour expérimentation, qu’on séquestre pour mieux
recommencer, ad vitam, comme �* la guerre et sans échappatoire.

Père-Noël

* Ils m’ont lofté par un pièce mitoyenne de mon studio acoustiquement
pas isolé, presque amplifié de facon naturelle par la qualité
excecrable des matériaux de construction et / ou artificielle par le
déjointoyage, ont-ils creusés ou perforé les matériaux pour parfaire
la communication, au début du premier loftage purement pirate et
hostile en voisinnage, aérienne et phonique. Peut-être déj�* visuelle
par leurs intrusions dans les vides techniques.

Expulsion domiciliaire

* C’étaient des malades d’une pathologie inconnue, de ceux que l’on
attrape lors d’une de leurs visites �* la façon du père-noël, que l’on
attrapé pour leur faire le coup de Pulp-Fiction: séquestration et
punition avant de les livrer �* la justice ou �* la psychiatrie, ou
simplement de les abandonner. En réponse trois ans plus tard �* cela et
�* ses suites ce studio �* été entièrement ravagé, taggé et gravé pour y
écrire l’accusatoire contre les membres de la secte, leur chimie et
les pirates m’ayant lofté en hostiles, pour dénonciation de mon
expulsion sans que rien ne me soit divulgué de toute ma prison vécue
l�* jusqu’�* cette date. Dans l’inconnu le plus total, dans la crainte
de ne voir jamais dévoilée ma prison j’ai séquestré l’appartement en
garantie de sa future dénonciation, �* la fois en vendetta du fait que
tout le monde inclus famille savait et que celle-ci purement et
simplement m’expulsait.

* Le serrurier intervenu après mon expulsion - procédure judiciaire �*
mes frais, le fait de père Staline - �* pu constater que le studio
sois disant mis en vente n’allait pas l’être de si tôt; on aurait pu
me demander les clefs, tanpis pour le propriétaire et les salops
m’ayant lofté en prétendus amis mais ne s’étant jamais montré et
n’ayant eu aucunes limites dans la connerie et dans l’abject. Je n’ai
pas d’amis pour me faire ca, des gens pareils n’ont pas d’amis.

* Protégé par l’existence du non- dénoncable ni réparable laissé sur
place, j’attendrai et finirai par savoir de qui il s’agissait, par
aveux, dénonciation ou par constat d’absence de communication le jour
où ma prison, déplacée par ce fait d’expulsion domiciliaire, sera
fermée, en son nouveau local, un studio loué dans le privé. Il doit
parraître évident mais le situationnisme maintenu est que l’on ne me
permet pas de le comprendre, que l’on me sortira d’ici dans peu de
temps pour une destination inconnue, ma vie re- deviendra privée.

* En ce moment de rédaction, déplacé depuis près d’un an vers un autre
logement, mon domicile actuel. A la différence du précédent je paye le
loyer au prix fort du marché, la secte ma famille pensionnée pleine
aux as ne s’émeut pas de ma paupérisation.

=====

Un Avion

* En milieu de nuit un avion petit cargo ou militaire tourne en rond
au dessus de la ville, une dizaine de fois, il est peu probable qu’�*
cette heure il y ait eu engorgement des aéroports civiles ou
militaires de la proximité. Le bruit des réacteurs, le chemin
circulaire parcouru �* la verticale des zones les plus habitées de
l’agglomération, la multitude de ses passages �* une fréquence
régulière, est-ce un avertissement �* une ville �* qui on ferait film
(cf. cette idée de la secte de me faire vivre dans un film) ou est-ce
du sketch, sont-ce comme suggéré des scientologues ou “les américains”
? Humour rapport �* [dvc²]. On ne peut pas ne pas penser �* une
tentative d’intimidation sur la population, par une méthode qui se
rapproche de l’hypnose, on ne peut que penser aux plus faibles, aux
plus impressionnables, ne fut-ce que par le fait de l’heure tardive �*
laquelle presque tout le monde dort, beaucoup auront été réveillé par
ce manège pour le moins étrange. Il est interdit de mener telle
pratique aérienne, les avions en attente ne restent jamais sur la
ville.

Acide neuroleptique, pluie d’ -.

* Le lendemain et les jours suivants, pour faire croire peut-être dans
le contexte de tout le délire situationné d’une guerre des
scientologues et cette idée de pluie de neuroleptique qu’on m’a si
bien suggérée, les pharmaciens et, on ne peut que les supposer tels,
les pères et chef de familles d’enfants turbulents se sont débarrassés
sur leurs trottoirs de leurs fonds de fioles ou de stocks (non, ce
n’est pas de l’avion qu’a été jeté ce produit chimique, imbéciles cons
prétendus cinéastes qui auront voulu (m’)y faire croire) de l’un des
plus terribles produits pseudo pharmaceutiques et chimiques, un acide
neuroleptique - parfois mêlé �* l’eau de lavage des dites officines,
acide connu de moi car utilisé par père Staline lorsque que j’étais
mineur et encombrant.

* Quand il s’agit d’acide l’odeur ne trompe pas, elle est puissante et
reconnaissable entre mille; un autre acide a été utilisé �* mes dépends
peut-être (pas) �* seules fins de tester mes réactions au cours de ce
loft, de l’acide trip, un de ceux qui mettent la claque et speedent
tout �* la fois, lui aussi est repérable, par tout un chacun aussi
facilement qu’un chien détecte la présence de drogue tellement l’odeur
en est forte.

* Ces produits sont très volatiles, une goûte suffit �* ne pouvoir en
rater la présence. La molécule olfactive de (en tout cas de ces deux
l�*) ces acides est la molécule active, en percevoir l’odeur indique
qu’on a inhalé de facto le produit actif et qu’on risque d’en subir
les effets, ici neuroleptique de rigidifier, de rendre comme du carton
les nerfs et les muscles dont les mouvements deviennent saccadés et
non- plus fluides, l’action cérébrale est sensée retirer toute envie
de se mouvoir et amenuise activité cérébrale et réflexion, le blocage,
le figement neuro- musculaire doit être contré avec force et volonté
de la victime (donc en principe la personne médicalisée et
prétendument médicamentée) qui déciderait de ne pas rester fixe au lit
ou dans un fauteuil tel un amorphe légume.

* Quand il est “consommé” comme dans l’exemple vécu cité ici en
terrorisme et dans la rue, de façon générale il convient simplement
d’en avertir et de rester entouré de qui proche ou familiers, au
besoin services de secours ou de protection et de patienter tout en
essayant d’expliquer qu’on est probablement victime d’empoisonnement �*
l’acide, neuroleptique ou autre semblant de trip pseudo
pharmaceutique. Si trop pris par les effets psychiques et physiques
paniquants de se faire assister de services médicaux qui ne devront
amha ne faire que strictement rien, seulement attendre, contrer un
acide par médication me semble erratique, mais c’est un avis personnel
et complément d’aversion �* la médication chimique et l’expérience que
j’en ai qui me fait préférer ne pas l’utiliser sauf stricte nécessité
et certitude du produit.

* J’ai appris �* m’en prémunir, surtout �* le comprendre et ainsi �* être
moins réceptif, suite �* la répétition de ce genre d’agissements
perpétrés autour de moi et souvent décelables m’avoir été destinés, il
en a été ainsi un bon nombre de fois au cours de ma prison - de
véritables tarrés malades et cons ont joué �* en jeter sur les
trottoirs et dans des transports en commun, ou �* proximité de si pas
sur ma voiture durant des temps de parking, doublement salops car
outre moi d’autres personnes en auront fait les frais, en auront subis
quelques désagréments neuro- musculaires ou angoisses, incommodés
qu’ils auront été par l’action de ces produits

* qui modifient, empêchent la bonne expression orale, physique et
psychique - articulation physique jusqu’�* orale (bucales) et
expression dialectique sont corrompues, en clair les nerfs les muscles
et les idées sont plus ou moins niqué(e)s.

* J’ai du me résoudre �* risquer de détruire certains de mes vetements
(en cuir) dans un séche-linge seule solution définitive _conststée �*
chasser les emmanations, toujours actives tant que présence de la
moindre trace. La peur, l’angoisse, liées �* la subissance corporelle
et intellectuele de ces acides sont communément contrée par d’autres
produits psychotropes ou hypnotisants quand le neuroleptique est
prescrit en cocktails par un docteur en médecine, que je me préfere �*
désigner chimiste laborentin ou communiste; les - typiquement -pères
de famille qui ces jours l�* se sont débarrassés de leurs fonds de
fioles en seront épargnés de se voir taxés de staliniens par leurs
enfants consomateurs, qu’ils n’oublient pas de ne pas s’acharner au
mensonge et aux silences.

* cf. ce loft �* ce moment l�* psychanalytique dont on me soutenait, et
presque démontrait par bruits de trottoir qu’il était diffusé �* un
certain public. Donné au public cela peut expliquer aussi bien cet
agissement alors complice de se débarrasser des fonds de fioles et des
stocks d’officines pharmaceutiques comme cela peut expliquer le
terrorisme de saloppards qui en ont maculés une partie de mes
vêtements (très certainement par intrusion chez moi avec des clefs)
doublés de ceux qui en ont jetés le plus souvent de très petites
quantités �* ma proximité, dans la rue, dans les transports, jusqu’�*
l’intérieur de l’un ou l’autre magasin �* plusieurs périodes autres que
celle de cet avion prétendument venu nous faire la pluie.

=====

“ Pluie de neuroleptiques, ce sont les scientologues, tu es en guerre
avec les scientologues” m’a-t-on suggéré Qui a fait ca, qui a voulu
faire peur �* qui ? L’évènement s’est déroulé �* l’échelle de la ville
ou du moins, pour l’odeur, �* celle des lieux que j’ai fréquenté les
jours suivants le manège de cet avion; a-t-on voulu me faire un sketch
situationniste complément de la psychanalyse en cours, en fait on a
parfois mélangé volontairement psychanalyse et situationnisme pour
cacher quelques probables vrais faits proches du criminel, de
peut-être vengeance de qui j’aurai trop bien trouvé et par l�* dénoncé
ou pointé sans vraiment le savoir.

* A-t-on voulu et peut-être réussi �* me faire oublier quelque chose,
a-t-on voulu me mettre en trip; les neuroleptiques peuvent participer
�* faire perdre partiellement conscience de la réalité par la peur
accaparante qu’ils installent chez ceux en ayant consommé. En subir
les conséquences neurologiques n’a rien pour rassurer, pourtant il
faut tenter d’en tirer profit par esprit de prévoyance, comme un
apprentissage �* un risque qu’on doit pourtant refuser de garder �*
l’esprit, il est inacceptable, il est peu probable.

* Même si les effets ne sont pas �* négliger, les avoir déj�* subis doit
faire garder �* l’esprit que l’on constate par la suite qu’ils ne
laissent pas de séquelles, l’état de choc est limité temporellement �*
l’action du produit, plus précisément une fatigue résultante peut-elle
être subie durant l’amenuisement et la disparition alors rapide de
l’effet global; la durée des effets n’est pas très longue (quelques
heures), il n’y a pas plus de demi-vie que celle qu’on peut (qu’on
doit) invoquer �* l’alcool - pour exemple simple. Le raisonnement, les
facultés et la mémoire qui enregistrent le souvenir du vécu présent
sont déficientés par les acides, la peur l’angoisse et les situations
anormales ou stressantes augmentent leur permissivité. Cela en
conclusion mais comparé �* l’alcool ils sont plus désagréables et
incommodants, pas beaucoup plus dangereux, c’est le subis qui diffère.

=====

Sommeils chimiques

(inclu quelques redondances utiles et volontaires)

* Deux décennies plus tard quand je commençais �* me souvenir et �*
accuser pertinemment les injonctionneurs et les prescripteurs de
produits chimio- lavants- thérapeutiques de moi mineur, on a donc
tenté de me faire croire �* une attaque de “scientologues” contre ma
personne, en référence �* qui membre de ma famille dont d’une part on
a tenté de me faire croire ou m’informer qu’il était devenu
scientologue, qui d’autre part est soupsconné de m’avoir empoisonné et
être par l�* responsable du premier des cauchemards en hypnôse trouvée
chimique dont je n’ai pu me réveiller qu’�* grands fracas ..

$ .. de débattements: j’étais conscient mais empêché de me réveiller,
hypnotisé par le cauchemard mais et parce que comme livré ou donné �*
lui par - “probablement” mais nous avons dans ma prison étudié cela et
l’avons trouvé en “certainement” - une chimie bloquante, une chimie
empêchant le réveil malgré mes débattements jusqu’�* devoir frapper les
murs et le meuble du lit pour me faire mal et _ainsi m’éveiller,
stupéfait de n’avoir pu m’éveiller bien que conscient qu’il le fallait
pour quitter mon cauchemard, bien plus inquieté par le fait d’avoir eu
�* me faire mal et conscient que c’est cela qui m’a réveillé ..

$ .. réveillé dans la peur du contenu du cauchemar tout de suite
évacuée sachant pertinemment qu’il ne s’agissait que d’un rêve
désagréable, resté interloqué d’avoir eu tant de difficulté �*
m’extraire de lui / de mon sommeil. Cet étonnement par la suite
immédiate supplanté par le constat, d’après le lever, d’une fatigue
musculaire et généralisée.

$ L’hypnose intra- sommeil est le fait naturel du cauchemar ou du
rêve, typiquement c’est la chimie bloquante qui autorise une
accaparation telle qu’elle devient erronément qualifiable d’hypnose
prenante, de par sa durée elle peut s’auto- alimentér par le contenu
du cauchemar ou du rêve - en réalité c’est le c. ou le rêve qui est
autorisé �* se prolonger, l’hypnôse est une mauvaise apellation de cet
état de fait . la boucle reste fermée et ce n’est pas l’hypnose (mal
nommée) qui s’emplifie mais le cauchemar qui se prolonge et dont
éventuelement le contenu fait monter la peur ou l’angoisse, celle-ci
peut se compléter par celle conséquente du fait de l’impossibilité de
se réveiller, impossibilité dont l’on prend pleine conscience ce qui
rajoute �* l’angoissant contenu du mauvais rêve.

$ Tant qu’on ne surmonte pas jusqu’�* réveil la force qui l’empêche, la
force qui, elle, est le fait de la chimie - il ne s’agit pas de
contrer son cauchemar, il s’agit de se s’attacher �* provoquer le
réveil, tout en subissant le contenu du cauchemar, lui partielement et
faussement désigné hypnotique. Choses que j’ai, depuis, découvert et
comprises par, in situ de ma prison, longue réflexion sur la période
de moi pré- ado.

$ On doit se libérer en force de l’hypnose (mieux dit: de l’angoisse)
d’un cauchemar tout comme on peut se laisse aller �* celle (en fait, au
cocooning) d’un rêve agréable. Si le réveil en force est trop
contrarié il faut suspecter chimie.

$ Encore faut-il avant d’accuser l’entourage (médical par exemple) que
celui-ci soit conscient du mécanisme ici relaté, qu’il pose les bonnes
questions et agisse en conséquence de réponses qui corroboreraient
l’hypothèse. La victime, en l’occurrence moi enfant, ne peut être
affublée de méconnaissance sur le sommeil, le rêve, l’hypnose, la
chimie, etc.

$ Cela amene �* penser �* la boucle induite par une chimiecalisation �*
répétition, �* conséquence d’empêchement de complètes et bonnes
capacités de réflexion.

* L’on peut être accaparé par une hypnose - celle qui est le fait du
contenu d’un rêve ou d’un cauchemar pour exemple le plus commun, mais
celle-l�* �* elle seule ne provoque qu’un blocage léger, dans cette situ
la chimie provoque blocage en force et non hypnose, même si l’hypnose
du rêve / du cauchemar parfois plus _que moins accaparante.

* Cette forme d’hypnose se produit pendant les cauchemars en fin
nuits, typiquement ceux d’enfants d’une dizaine d’années �* qui des
cons racontent des histoires stupides comme celle de loups qui mangent
les enfants de nuit dans des forêts toutes aussi noires; bien sur pas
des loups chiens mais des créatures fantasmagoriques et spectaculaires
se confondant avec les branches d’arbres morts ou effeuillés.

* Ces cauchemars ont été récupérés et m’ont valu d’être soupçonné
porteur de maladie neuro-cérébrale - on a jamais trouvé laquelle et
pour cause. Qui alors pas encore père chimique aura-t-il craint cause
�* effet du suggestionné psychotisme - insensé - sans soupçonner
présence chimique. Cela s’est reproduit sporadiquement, un bon nombre
de fois durant une période de pré adolescence, on a jamais expliqué
pourquoi je ne parvenais pas �* me réveiller.

* On m’en a fait �* nouveau subir au cours de ma prison cette fois plus
que probablement pour me faire étudier cette impossibilité de réveil
que j’avais évoqué demandant quel produit chimique était susceptible
d’avoir fait que je n’ai pu me réveiller du tout premier de ces
cauchemars, ensuite de bon nombre d’autres, accessoirement plus ou
moins répétitifs dans leur contenu ce qui peut - typiquement -
contribuer �* l’exacerbation par le fait du re- vécu et de l’intérêt
qu’on peut y porter �* vouloir y progresser, �* découvrir, �* comprendre
un rêve ou c. répétitif, dérive en hypnose; l’objet de la question
était la présence d’hypnose intra- sommeil rendant le réveil
impossible.

* Comme je le relate ailleurs d’aucuns se seront attardés �* en étudier
le déroulement et les solutions que j’ai trouvé pour y faire face,
cad. jusqu’�* pouvoir m’en réveiller de facon volontaire et consciement
�* force d’expérience de l’hypnôse intra- sommeil. Qui a fait quoi �*
l’origine des épisodes pré-ado, comment quand et pourquoi est évident
et ressort plus ou moins de ce document, ce qui n’y parait pas est
privé mais est de toute facon connu.


=====
imprécis, methode de réveil
=====
=====

* On me situe donc que le trouvé responsable du premier voir de bien
d’autres de ces cauchemars dont je ne me réveillais pas serait passée
de freudien et doltesque, désabusé dépressif, �* scientologue ... en
guerre contre moi du fait que je l’ai trouvé et demandé des comptes
par le loft, alors analytique, interposé, du fait de son passé de
pédologue mis en relation par sa paranoïa et son aversion �* ma
délégumisation �* cette rencontre avec qui mineure, qui je n’aurai eu
le temps de lui présenter avant qu’un événement resté mystérieux
n’interrompe notre relation. Mais dans l’inconnu je ne peux y voir que
du situationnisme: typiquement un stupide et con jeu psychiatrique ou
exercice militaire dangereux lorsque il déborde comme tout au long de
ma vie en loft sur la population; la personne en question �* peut-être
eu ses phases aux conséquences pas très positives mais le croire
addict d’une fausse religion sectariste accaparente et avide d’argent
est un pas que je ne franchis pas,

* De toutes façons il ne m’apparaît pas qu’il puisse être volontaire �*
exercer pour le compte d’une telle organisation, il n’est ni trop
avide d’argent ni n’a profondément vocation �* la manipulation de plus
faibles que lui, pas que je sache en dehors de faits psychanalysés
comme ils se devaient de l’être; ensuite il n’et lui-même ni très fort
ni argenté - même si d’aucuns sont rémunérés pour leurs activités au
sein de l’organisation il est plus le souvent le cas qu’ils y laissent
leurs biens et finances personnel(le)s, chose que son entourage pour
ce que j’en connais ne lui laisserait pas faire, pas plus qu’il ne le
laisserait se faire accaparer outre mesure par des activités ou études
�* caractère en l’occurrence pseudo religieux et psychologiquement
déstabilisateur; ses expériences en rapport �* la psychologie ne m’ont
pas mené bien loin, il est probable qu’il trouvera d’autres secteurs
ou formes d’activités pour assurer �* l’avenir sa subsistance.

* J’en reste �* croire que durant un temps de loftage �* la façon
sectaire voir terroriste on m’aura joué la déstabilisation, pour
tentative expérimentale de me mettre en trip et de me rendre
psychotique / de me faire analyser le psychotisme quitte �* me faire
constater tel par qui étranger �* cette affaire de loft ou par qui
complice, hostile s’il en fut c’est possible, Mais surtout et dans le
contexte d’une (conjointe) garde protectrice apparemment jamais
abandonnée je ne m’en suis et ne m’en émeut pas plus que ca.

* On m’a joué plusieurs semblants de guerres toujours plus vraies que
nature. De personnalité ouverte �* tout, par esprit scientifique et
analytique j’ai préfère m’en tenir �* m’amuser des situations ainsi
fabriquées et �* en extraire pour moi et le public ou les
professionnels participants distants des conclusions et apprentissages
constructifs et partager les conclusions même si issues de faits �*
priori répréhensibles ou aux conséquences potentielles qu’il
déplairait d’évoquer même si cela fut fait pour partie, parfois laissé
au stade de constats et de dénonciations sans plus de suites �* ma
connaissance, les codes de bonnes conduites civils et judiciaires ont
été déchirés dans ce contexte de loftage �* la façon du situationnisme,
j’ai été tant berné, utilisé, durant toute ma vie que je n’attend plus
rien de la part de qui a été trouvé dans toutes les analyses pour ce
qu’il m’a été fait; je ne suis pas le doux déficient qu’une secte aura
tenté de récupérer taxé d’acteur psychotique qu’il faut protéger ad
vitam en son sein, ils sont sectes et je les intitule ainsi pour
toutes les raisons évoquées dans ce document, si’ils parvenaient �*
manipuler qui pour que je retourne les côtoyer re- vivre le mensonge
et leurs faux sentiments je les dénoncerai ouvertement pour secte pure
et dure. Avec plus de cinq ans de retard sur mes projets de quitter
cette vie bourgeoise et capitaliste que je me refuse �* reprendre.

=====

* Suite �* la “pluie de neuroleptiques” évoquée plus haut, voulait-on
mon avis et réactions sur ce produit, quelqu’un voulait-il m’endormir,
m’hypnotiser, me mettre en trip, me déstabiliser par ce sketch et ce
situationnisme rapport aux scientologues que l’on me prétendait “en
guerre” contre ma personne surtout contre mon potentiel et en retour
de dénonciations d’agissements de quelques psychologues aux méthodes
que j’avais trouvé pernicieuses, peut-être ces personnages étaient-ils
scientologues je ne m’en suis jamais que pris, et bien annodinement, �*
leurs méthodes d’observation et d’étude d’autrui, rien de plus.

* Lier mes critiques �* l’encontre de la psychologie, du freudisme et
du doltesque pédologisme que je dénonce comme addiction d’une
bourgeoisie égoïste, �* mon passé de chimiqué psychologisé de force
presque légumisé au moins �* demi hypnotisé, �* des activités
prétendument de scientologues qui auraient pris la mouche contre moi,
�* ma connaissance ils étaient psychologues l’une ou l’autre fois
rencontrés que je n’ai pas désiré fréquenter et que j’aurai heurté par
quelque mensonge cyniques de ma part qui n’avaient d’autre but que de
les éloigner,

n’a �* mon sens d’autre caractère qu’analytique et autre but que
dés-hypnotisaton en me confrontant tout au long du loft �* des
situations extrapolées de ce que l’on m’a fait vivre entre mineur et
jeune adulte, extrapolées au plus haut point par fabriquation de
situations bien réeles même si en quelque sortes scénarisées,

rejoint �* mon sens le situationnisme

* et est partie intégrante de cette fabrication, récupérée par qui en
aura eu vent de par mes analyses dénonciatrices et tout au long du
temps passé sous surveillance. C’est une menace préalable �* ma prison
qui a été maintenue en évocation tout au long de mon loftage, que j’ai
trouvé comme volonté de qui, je ne le sais, de me faire vivre et de me
faire monter dans un trip qui aurait aboutis �* me faire déclarer
handicapé récupéré par de faux cinéastes dans un faux film.

* Le rapport �* l’hypnose de façon générale dans ma séquestration m’�*
été proposé - aura été invoqué par les analysants distants comme un
exutoire, elle aura été utilisée pour me remémorer, pour (me faire)
comprendre et expliquer ma vie passée, surtout mineur, celle-ci ayant
débouché sur ma presque légumisation au cours des deux décennies
durant.

* Rapport bien sur �* ma famille, dans une vie d’incompréhension
entouré de gens qui ne m’ont jamais parlé, que j’ai côtoyé en cercle
familial parfois augmenté d’instances médicales, tous ces gens qui
presque jamais ne se sont adressés �* moi d’autre façon qu’en
indifférence ou que s’ils cotoyaiant un déficient mental; �* savoir
qu’au final ils sont trouvés avoir été déficientaires, handicapeurs.

* Légumisé toujours prétendu malade et fatigué en lieu et place de
potentiel �* des études qui n’ont pu avoir lieu, conséquence directe et
concrète du dénigrement que deux décennies plus tard on m’amene �*
comprendre par l’analyse et �* relater dans le présent récit quitte �*
froisser un entourage disparu, caché depuis le début de ma prison,
ayant pété son dernier câble par mon expulsion domiciliaire d’une de
leurs propriétés immobilières.

* Dans le contexte de ma psychanalyse dont je dois soupçonner qu’elle
était alors via mon loftage donnée �* un certain public, cette famille
trouvée en secte démagogique avait été prévenue que me forcer �* faire
ma psychanalyse ne ferait que extérioriser le fait qu’ils m’ont fait
vivre en un semblant d’hypnose durant plusieures périodes entrecoupées
de prises de conscience prestement cassées par leurs silences et leurs
renvois de moi vers la psychologie et vers la psychiatrie; des gens
qui ne m’ont, passé l’âge d’enfant, plus jamais côtoyé volontairement
mais par contrainte sans jamais n’en avoir d’autre réaction que de
m’observer et de me reléguer au rang de presque handicapé ou
d’encombrant qui ne doit pas apprendre ni comprendre.

* Famille au patriarche menteur pathologique et injonctionneur de tous
les silences, famille qui au fil du temps s’est trouvée �* côtoyer qui
elle n’a plus voulu reconnaître autrement qu’en un légume écervelé.
Situation d’avant loft, plus personne ne s’est montré depuis, ce qui
n’est pas présage mais constat.

$ L’après mort du père de famille pourrait très bien faire reprendre
raison, conscience ou indépendance �* ceux qui ont constaté ma
progressive dégénérescence et trouveront dans la lecture de ces pages
explications et analyse �* ce qui leur est plus trouvé que reproché.

Coupé: Père Staline

Coupé; Déficientage

=====

VIPPO

* Depuis, révélée mineure beaucoup plus jeune que moi, on m’a
conseillé en ce temps de me faire déclarer handicapé, pour me protéger
- sans me le dire - de cette rencontre jugée inacceptable du fait de
son trop jeune âge et de la différence avec le mien bien que cela non
plus n’ai jamais été dit puisque personne ne m’a jamais fait part d’en
avoir pris connaissance mais, et connaissant ou non l’existence de
[dvc²] je ne le sais pas mais les deux prétextes etaient in situ,:
pour faire passer cette rencontre sous le compte d’une fantasmagorique
et prétendue déficience mienne; et ne pas chercher pour ne pas trouver
/ ou le temps de trouver, on me m’en a rien dit avant de me faire ce
loft, par qui et comment cette rencontre avait pu être fabriquée au
moins induite et pour quelles raisons, peut-être mise �* disposition de
[dvc²] et d’une bande de cons ou simplement comme viande taxée du
pire, ni ce que [dvc²] avait déj�* pu faire de moi, peut-être d’elle,
fille de qui, �* son insu obligatoirement, manipulée peut-être, elle
fille d’une personnalité d’une des plus hautes autorités parmis les
plus hautes sphères.

=====

Groupes d’intervenants

* Peut-être sept groupes de personnes augmentés (parfois incluant) des
arrivants en cours de loft sont-ils responsables ou inducteurs de la
création de ma prison loft trouvée par la suite, après enquête non
avouée telle �* moi mais présentée sous le jour de la psychanalyse puis
du situationnisme, d’abord du loft pirate hostile puis protecteur,
tout �* la fois pénitencier et protecteur.

* Les ensembles de personnes sont pour partie �* géométrie variable,
plus ou moins parfois se sont mélangés partiellement rejoints, le
lecteur ne pourra bien souvent s’y retrouver qu’au final de l’étude de
ce récit sachant que l’on ne peut pas divulguer, que je me dois de ne
pas permettre au lecteur de situer précisément, d’identifier, des
intervenants; ils ne seront jamais connus que de leur entourage
activiste ou témoin de leurs interventions dans ce qui nous aura
occupés, ou de �* qui ils décideront de dévoiler leur y présence jusque
l�* camouflée.

* Bien sur certains interviennent dans un contexte d’activités para-
professionnelles et ont collègues et supérieurs, il tient �* l’ensemble
de ces gens de ne pas dévoiler leurs activités, il est évident que
dans un contexte de clandestinité chacun aura pour responsabilité de
ne pas incommoder ses semblables, cela dépassant les rapports
hiérarchiques, débordant en communautaires.

* Si des groupes ou des personnes sont situables de par ce récit,
elles doivent savoir que la rédaction de celui-ci m’est imposée et que
nous aurons veillé �* tenter de ne dénoncer personne, que si le cas
existe de permettre �* des lecteurs de les identifier il n’est pas dans
les intentions de faire publier ce document [tant qu’on ne m’y
obligera pas ou qu’on ne le fera pas �* ma place] ni �* le laisser
circuler, du moins �* destination d’un public autre que celui ayant
déj�* eu vent de l’existence de cette affaire et qui sait tout, qui
sait tout de moi, qui en sait plus moi.

* Le cas échéant c’est une fois de plus la quasi totalité de mon
historique de vie et tout de ma personne qui seraient mise en place
publique. Bien que je commence �* en avoir l’habitude je m’en suis
toujours défendu, je l’ai toujours refusé, je ne désire aucunement
être divulgué. En cas de divulgation de ma part autre que par remise
de ceci �* des (ex-) proches ou autorités, dans ce cas non- censuré des
paragraphes barrés, je ne pourrais le signer en toute raison que de
mon pseudonyme Abekar ...

$ pseudo expliqué plus haut dans ce document, pseudo et document �*
partir duquel seules les personnes ayant déj�* connaissance de (tout)
ceci pourraient faire un rapprochement avec moi, mon identité, mes
ex-relations et ma famille - cela est depuis le premier jours du
premier loft, pirate ou pas pirate.

$ Il est idiot de ne pas comprendre que �* partir du moment ou une
telle situation a été extériorisée, est connue de quelque voisinage
qu’il soit, il est probable qu’elle le soit rapidement - donc depuis
très longtemps - de “Monde”. En évoquation de qui a prétendu me faire
“loft Monde”.

$ Réponse rapide et facile mais réaliste et dé- légumisante �*
l’attention de l’hystérique démagogie qui me voulait acteur. Ils sont
maintenant célèbres, peut-être, je le suis et en toute raison et refus
d’ingérence, de démagogie, de mythomanie, d’injonction surréaliste
devant faits accomplis, je m’y refuse et le dénonce et le dénigre. Je
l’aurais fermement refusé si l’on m’en avait parlé. On avait qu’�* dire
�* “Monde” que j’allais _peut-être_ devenir cette .. chose .. , LEUR
chose. Si c’est trop tard pour moi aussi c’est trop tard, j’aurais et
j’ai toujours refusé cette idée mais je suis célèbre quand même, le
fait est, j’ai été et suis placé devant l’accomplis, je ne m’y soumet
pourtant / donc pas.

=====

° Libre �* qui veut de se complaire de sa célébrité, j’assume la mienne
et ferai ma vie, par définition _Privée_, en privé, me réservant comme
tout le monde ma part d’extériorisation pour relations personnelles et
professionnelles. Je n’ai pas été et ne serai pas cette chose qu’on
nomme l’Acteur, je m’en défend ici et l’on me fait rédiger ceci in
situ pour ne plus avoir �* le faire après. Seuls de vrais amis
pourraient me récupérer pour ayant fait du cinéma ... blah .. blah ..
mais pas en tant qu’acteur. Ca fait quand même six ans qu’on me tourne
autour, quatre si pas bien plus qu’on me lofte, inclus des mois de
cassage de gueule au situationnisme et �* l’étude comportementale
jusqu’�* presque finir handicapé par séquelles du subis dans ce qu’on
voudrait faire passer pour avoir été le tournage d’un film ! On délire
grave chez la secte, mytho-démago toujours par procuration, jamais
capable de s’assumer, toujours �* se décharger et �* fabriquer la vie
des autres.

$ On oubliera pas que mon dernier “sketch” en la propriété familliale
principal lieu de ma prison devrait se bien- nommer “in the wall” si
l’on voulait en faire un film, en hommage �* tout le taggage et le
déchirage de murs derrière lesquels j’ai cherché le matériel ... avant
de me faire jeter, préalablement injonctionné par procédure judiciare
�* quitter les lieux.

$ Je fais aversion depuis toujours et toujours plus �* la divulgation
de ma personne et de ma vie, trouvée �* titre personnel en démagogie de
qui �* mon encontre, en parasitisme récupérateur intrinsequement en
abus - ils se cachent et prétenderaient .. �* récupérer le coup en me
bombardant beau, grand et fort, �* leur profit de stimulateurs alors
qu’ils sont insensibles, et dénonciateurs - fallas puisque sans objet,
de ma personne handicapée. S’ils sont choqués de ceci c’est dans
l’abstract et le progressisme qu’ils trouveront leur salut.

$ Retour de Psychanalyse, une contrée non- républicaine, antipodaire
de l’esprit binaire injonctionnel et colonialiste des ingérents de mon
psychique.

===== Les écritures n’ont pas toutes été séquentielles, l’ordre des
paragraphes et des chapitres pourrait être modifié, des redondances
pourraient être concisées.

$ Jamais on ne m’a fait savoir encore moins montré si j’ai fais
l’objet d’un film, d’une diffusion quelconque; le loft était
protection. Si film il y a eu il ne m’en a rien été dit, si quelque
bénéfice il �* pu rapporter je n’en percevrai le fruit qu’après ma
libération, on ne peut pas omettre de comprendre que personne n’est en
droit de faire bénéfice de l’utilisation cachée d’autrui, que m’avoir
fait ca pour enrichissement post-séquestration ne pourrait que se voir
rétorquer: que si je n’avais survécu aux cinq années passées c’est �*
titre posthume que j’en aurais perçu le bénéfice. Personne n’ayant eu
vent de cette affaire n’a jamais cru ni n’aurait accepté me voir
affublé du sobriquet de simulateur.

$ Cela dans le cas ou le cinéaste aurait vraiment été bandit
injonctionnant qui par sa fabulation situationnsite �* me voir finir
acteur; cela dit pour cet acharnement psychologique �* me faire
admettre que pour mille raisons dans lesquelles faire mon choix il
aurait fallu que je le sois; celle de mon choix se serait traduite en
celle qui m’eut envoyé me faire tuer par le papa de qui mineure qui
m’aurait cru me cachant par la simulation de moi-même ou tentant de
passer pour débile. Le cinéaste, lui, est-il un con ou un salop ?

$ De ce loft protectionniste analytique enquête de ses prémices je
retire satisfaction �* faire aversion aux mots “acteur” et
“situationnisme”, ignominies désignant pour qui légumes, pour qui
légumisants nababs auto- satisfaits, in situ une insulte, une mise
sous pression que j’aurai subis en vie réelle positiviste écolage
analytique mais simulacre cinématographique, exaction drill
psychologique;

$ harassante psychanalyse et analyse policière de ma vraie vie entière
rajoutée de ma question permanente de presque tous les instants de
savoir qui, comment et où se trouvent les coulisses et activistes et
témoins de ma séquestration, et celle de �* chaque instant savoir qui
fait quoi et �* quelles fins, pour qui ou �* la demande / �* l’injonction
/ quand pas et presque constament �* but de réhabilitation de qui;

$ harrassante solitude accompagnée d’invisibles et introuvables
correspondants parfois salops parfois tarrés parfois amis parfois
sketcheurs parfois analystes psychologues ou autorités, ou éminences
de quelles professions je ne peux que intérieurement l’expecter,
l’imaginer, le souhaiter, qui aura duré des années de chaque instant
de chaque jour sans aucune interruption.

Le(s) cinéaste(s) nous feront leur film

$ A charge du cinéaste qui ne mérite plus qu’on s’attarde in situ �* le
(faire) comprendre de (me) dédommager par l’absurde et en nature en
monologuant dans son prochain film sur son entreprise de me voir finir
acteur après ma peine.

$ Des imbécillités aux exactions ayant influencé, détruit et consommé
une partie de ma vie, autant avant que par le fait de cette prison
loft. Je suis en son enceinte �* payer toute la connerie humaine que
j’ai subie, inclus ce que je ne sais pas, inclue celle qui aurait du -
qui �* aboutis �* - me victimiser.

$ Qui �* fabriqué prémices aura quelques difficultés �* faire prendre
pour suffisance toute projection préalable de récupération, il a
induit l’inextricable - délibérément ou par imbécillité / par
inconscience.

=====

Comprendre, pas admettre

$ La constante invocation, par les intervenants constructifs, d’un
contexte psychanalytique sur lequel on a basé mon temps de réclusion
n’a pas pour but comme le dit la définition du terme de faire accepter
quoi que ce soit mais de comprendre et de tenter d’expliquer tout et
tout le monde impliqué inclus les in situ pour qui on se laisse quand
même �* déraper �* quelque psychologie vu le contexte en principal qui
fut ma protection, pimentée de drill, complétée d’écolage, devenue
épreuve dans une impossible subissance, cloturée - il faut l’éspérer -
par la rédaction tout aussi pénible et compliquée que son contenu.

$ Si d’aucuns sont violemment décrits c’est le plus souvent de façon
analytique, ils sont trouvés pour ce qu’ils ont faits et non pour ce
qu’ils sont; �* de très rares exceptions près par quelques
autorisations que je me fais de les insulter, rarement de les
agresser.

Subissance

$ La constante invocation, par les intervenants oppressifs, d’un
contexte accessoire de drill psychologique comme si ne suffisait pas
tout le reste du constant subis. Mettable en relation avec la notion
de punition, mais aussi (c’est une récupération) d’un désir
compréhensible de la part de plein de gens, de faire opportunisme de
ma séquestration �*, même si je n’étais pas faible avant, me voir plus
fort �* ma sortie; plus fort que l’ensemble du stupide, du mesquin, du
situationnisme, de l’hypnotique, de l’agressif, du .. dangereux qui
fut le contenu et le destructeur de ma vie passée;

$ de savoir en moi �* ma sortie un potentiel de résistance, acquis
sérurisant, rassurant, aussi cadeau - mais souvent constat - de ces
multiples écolages;

$ gardée �* l’esprit cette projection de toute potentielle - possible,
pas impossible - union civile avec qui fille de qui par évidence est
considérable d’être justiciable au moins en droit d’exiger pénitence,
par humanisme ou préservation d’accepter /de désirer cette part
d’écolage - ne pas oublier qu’on trouve moult cobayage -, il faut
percevoir et se satisfaire de cette équivalence.

$ Trouvé comme part d’écolage la complémentation de mes aptitudes �* la
dialectique analytique, en plaise aux acharnés participants co-
rédacteurs de ce document tous par évidence en profit, probablement du
résultat puisque tant participé, constamment accompagné, très
certainement de notre pratique du méthodisme aboutissant �* la présente
étude.

Insultes

* La seule insulte et accusation directe que je fais va �* l’encontre
d’un père prétendu mien, rapport �* qui je me suis cherché quelque
point commun qu’il soit sans en trouver aucun, et dont on me fait
comprendre et me soutient et m’explique en me faisant analyser notre
vie commune dans ses moindres détails qu’il aurait choisi avant ma
naissance de ne me faire vivre qu’un(), s’érigeant au summum de
l’abject il aurait choisi de ne pas faire naître mon jumeau; si ca
n’est pas vrais tout le reste l’est, de la chimio- lobotomie �* la
perpétuelle prétention de me chercher des maladies imaginaires,
inexistantes jusque dans quelque livre de médecine soit-il qu’il ai
été donné de lire �* qui que ce soit depuis la nuit des temps modernes,
d’aucuns sales et cons m’en trouveront peut-être dans ceci qui ne se
veut pas en être un.

* Dans le contexte clandestin de ma prison et de son contenu qui
dépasse et balaye les conventions et nombre de codes de bonne
conduite, extériorisé(e) de par leur existence même (le secret d’un
loft pirate n’est pas tenable, celui d’une prison domiciliaire loftée
ne l’est pas dans un contexte de loftage actif hostile non- déclaré �*
moi-même dégénérant en subissances et exactions), et leurs
débordements ne fut-ce que par le nombre d’intervenants et de témoins,
dans un contexte environnemental qui est le monde autour de notre
activité de (pseudo)situationnisme y pratiquée.

* Dans le contexte qui est que ma prison ne m’a jamais été dévoilée,
en contraste �* une vie paisible �* laquelle tout un chacun �* le droit
de prétendre et peut revendiquer sachant que nous ne vivons ni en
communisme, encore moins en stalinisme ni en esclavage ou sous un
régime de ségrégation ou d’oppression, dans un monde qui se veut / que
nous voulons libre et rassurant voir protecteur pour tout un chacun,
cela est dit car notre activité de situationnisme nous a fait vivre
des conflits réels par débordements comme le veut la théorie de ce jeu
psychologique qui se pratique en principe .. �* huis clos et dans des
lieux adaptés, pas �* domicile quand il est sujet �* débordements.

Coupé; *On serait bien �* mal ...

=====

Huit groupes d’intervenants

Dans l’ordre chronologique supposé de leur apparition ou intervention
on trouve:

* 1 des inconnus qui sont venus [dvc²] me tourner autour, chez moi, en
déplacements et au travail du moins �* ses alentours, par la suite ils
se sont situés en cinéastes désirant me voir acteur pour cacher leurs
faits, handicapé mental pour être les sauveurs de ma déficience et de
mon fabriqué ou prétendu passé d’accusé d’abus sur mineure; je n’ai
jamais manqué de les soupçonner pour leurs premières activités suivies
de ces loftages par de jeunes et cons commandités tels que jouant avec
un bout de viande dans son appartement loft pirate;

* 2 des loftants, ex-relations, supposés commandités par père de qui,
mais peut-être étaient-ils déj�* en activité avant leur relation avec
autorité père qui les aura commandités �* lofter ma prison loft;

* 3 ma famille devenue secte avant mon déménagement vers ma première
prison loft, suspecte et menteuse, silencieuse, elle s’est laissé
convaincre par les premiers que j’allais peut-être devenir Acteur, que
j’avais abusé de qui; elle �* donné ou s’est fait voler sans le
dénoncer un exemplaire des clefs de mon domicile puis de leur
propriété que j’allais occuper, elle n’a jamais reconnu ni tenu compte
des évidences que je lui ai présenté ni pris acte des questions et
demandes d’aide ou de conseils que je lui ai formulé; enfin elle m’a
fait expulser par voies judiciaires de sa propriété, ridicule studio
que j’ai occupé plusieures années et dont elle savait pertinemment
qu’il était une prison loftée;

* 4 un cercle d’inconnus dont m&s, m’ayant repéré d’une façon que je
n’ai pas mise �* jour, peut-être contactés, rencontrés, par qui
hystérique familiale aura (me dit-on) été de la suggestion de me
faire vivre une prison loft plutôt que de projeter un procès avec
probable prison �* barreaux �* la clef; Même avec l’aide de fille de
qui, eut-elle été �* mes côté, cela n’aurait suffit �* faire accepter
les faits, l’on aurait non plus pu éclairer les suspicions
d’entremettage et [dvc²] m’était alors inconnue, tout laisse �* penser
que cela aurait tourné très court avec condamnation pénale
probablement. Ce cercle d’inconnus a été concerné semble-t-il au
préalable de mon séjour de repos en milieu hospitalier qui �*
certainement été complémentaire �* l’étude de cette suggestion faite
par, m’a-t-on suggéré, ce membre interne �* ma famille mais qui ne
s’est jamais révélé;

* 5 voisins directs de mon appartement qu’on peut situer remplacés par
une sous-location et par une multitude d’occupants pour des périodes
de durée variables, pour partie des tarrés venus me lofter en
hostiles; ils furent au début, avant le retour de [dvc²], �* états
d’esprit et agissements multiples et se succédant dans une pratique de
lofts croisés, parfois se succédant en tranches horaires; je garderai
le bon ton de ne pas m’étendre en analyse et considérations de
personnes physiques occupants réguliers d’un logement privé qui leur
aura été quelque peu squatté en plus de l’incommodation supplémentaire
par la présence voisine de ma prison séquestration;

* 6 (psych-) analystes, intervenants du médical ou paramédical et
social, observateurs ou impliqués �* ma surveillance et �* ma protection
ou �* titre de témoins, d’observateurs impartiaux;

* complétés des publics inconnus et autres personnes ramenées �* la
concernance du loft par l’enquête “journalistique”, venus participer �*
ma psychanalyse, me réconforter dans l’inconnu total de ma situation
et me faire garder raison dans l’attente interminable d’explications;


* complétés aussi de groupes de personnes ayant pratiqué tests et
développement, études et drill de ma personne et de celle de bien
d’autres concernant [dvc²] et cette inventée méthode psychologique,
ses performances et son potentiel, des méthodes psychologiques qui ont
viré �* exactions de par acharnement �* étudier �* la fois les méthodes
et ma personne;

* dans ce groupe d’analystes on trouve une prétention suggestionnée de
me voir progresser par une sorte d’écolage distant dans mes capacités
d’analyses, mes capacités préalables ont fait que malgré les périodes
de chimio- thérapies et de relations abusives avec la psychiatrie j’ai
pu tout seul me remettre, jeune adulte, mener �* bien de post-études
pour rattraper une quasi inexistante scolarité, laisser des traces
dans les dossiers de l’administration en faisant valoir de mes
convictions et exigeant le remplacement de mes obligations militaires
par une prestation de substitution dans le secteur social, prestation
durement accomplie avant la reprise de mes études;

* on trouve dans ces groupes de personnes ou en marge �* la fois le
public étranger, le familier, l’indifférent et le protecteur, les
autorités mises devant un fait accomplis qui est celui de ma garde
dans cette prison d’un type nouveau en lieu et place d’une vraie
prison ou d’une injonction thérapeutique, on peut y supposer tout le
monde allant des autorités politiques, policières, judiciaires,
médicales, on y trouve la population ayant eu vent de l’existence de
ma personne et/ou de [dvc²], toutes les personnes intervenantes ou
non, �* buts analytiques de moi et de [dvc²] pour mon compte ou leur
compte personnel ou professionnel;

* on peut y trouver tout un chacun en observateur ou en témoin de la
chose que représente cette prison d’un type jamais pratiqué dont on
peut fortement douter qu’il sera reproduit un jour, du moins dans de
telles conditions de clandestinité et de subissance;

* 7 autorité(s) dont père de qui, lui-même de profession de
l’Autorité, accompagné ce n’est que supposé, �* titre inconnu et
strictement confidentiel de ses propres collègues, de ses relations et
plus probablement de groupes de personnes ou institutions ayant eu �*
craindre de l’utilisation qu’il pouvait avoir été faite de [dvc²] en
marge ou en parallèle de celle qu’il en fut faite sur moi;

* ils auront traqué et questionné les premiers utilisateurs, enquêté
sur mon compte concernant les manipulations dont j’ai pu être (par
évidence) victime en ma vie privée ou professionnelle, l’une
obligatoirement proche de l’autre bien que j’ai toujours tenté de
scinder les deux, et de fait mes derniers temps de travail ont été
parsemés de doutes et de constats d’éloignement de la part d’une
partie des membres du personnel de mon employeur;

Coupé: $ le père de qui aura découvert que

* 8 on peut situer un huitième ensemble de personnes: les intervenants
situationneurs, les drilleurs, les développeurs.

* Les situationneurs (me) l’ont joué mais l’ont aussi vécue �* la façon
d’une guerre, ils ont joué le situationnisme de deux façons
entremêlées, tout comme le jeu militaire dont le terme est issu; qui
consiste �* faire croire ou �* suggestionner, �* suggérer aux
participants une situation possible, probable, ou totalement fictive
et imaginative. Dans la vraie vie que nous vivons de par ma prison
loft il y eu moult débordements, de par ma subissance extrême et
extériorisée �* un large public par téléconférences mais aussi par
effets de voisinage.

* D’aucuns du public se sont ainsi attachés �* faire baisser, �* tenter
de stopper la pression qu’il m’était donné de vivre, sans échappatoire
puisque vivant chez moi, seul, menant une vie ordinaire comme tout un
chacun mais sans personne �* qui demander quelque explication qu’il
soit sur ce qu’on me fai(sai)t vivre, prison et situationnisme, drill
�* la psychologie comme recherches de vérités sur mon passé proche ni
mes questions de savoir ce qu’il en est ou en a été si elle ne se sent
plus concernée par moi de qui fille de qui (que je me refuse �*
désigner autrement dans ce récit);

* incluant aussi quelques exacteurs trouvés tels de par leurs abus
limite psychopathes et staliniens dignes d’une psychiatrie
rééducatrice par la lobotomie et l’exaction psychique et
intellectuelle rajoutée d’un accaparement constant occupant chaque
instant perpétuellement ce qui a pour conséquence de quasiment
empêcher toute réflexion non initiée ou accompagnée voir entièrement
menée par les intervenants.

* Les premiers tentaient de penser pour moi, ce qui peut fonctionner
dans une certaine mesure, surtout sur qui ne sait rien de ces
agissements sur sa personne. A la fois imbéciles et sales, ils ont
depuis été rattrapés par les autorités et par la population devenue
témoin.

* Il en est suffisamment pour m’avoir étudié et analysé et d’une
certaine façon côtoyé via cette prison-loft, pour d’autres maintes
fois par voisinage ou dans mes déplacements, pour savoir que je ne
suis que victime d’une machination de petits bandits; voir de gros
nazes de services secrets qui auraient voulu m’enrôler dans des
activités [dvc²], prévisionnant mais on ne peut qu’en douter - de me
les révéler, si fille de qui n’était apparue dans ma vie, cela
contrariant leur projet d’étude sur ma personne mais qui fut perpétué
durant le loftage passif par qui aura découvert, mais comment, leurs
activités �* moins qu’ils ne se soient dénoncés, perpétuer par du
loftage ainsi re- débuté un an plus tard dans un appartement propriété
familiale devenu mon domicile, suite �* une apparemment organisée
chasse de chez moi pour m’éloigner géographiquement, en profitant car
sachant qu’un point de chute m’était disponible en cette propriété
pour me rapprocher d’intervenants de la psychiatrie et de la
psychanalyse, faisant bonne coïncidence avec le fait que je revenais �*
mes origines géographiques quittées pour raisons professionnelles une
petite dizaine d’années auparavant.

la suite dans le 4)


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