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La Libre heeft het eindelijk begrepen

Een merkwaardig hoofdartikel in LLB vandaag schijnt in te zien dat het einde van belgië onvermijdelijk is.
Deze keer geen scheldpartijen tegen de Vlamingen. Enkel de realistische vaststelling dat de gematigde Vlamingen confederalisme willen en de anderen een onafhankelijk Vlaanderen
Verder: de Vlamingen willen vooruit, de Frankofonen hebben schrik.

Wie het hele artikel wil lezen: het staat on line op hun website.

Wel zeer opvallend: zelfs vele Vlaamse dabladen durven de realiteit niet onder ogen zien, zoals de libre het wèl doet.
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Édito
Cherche Belgique désepérément...
Mis en ligne le 10/09/2007
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par Michel Konen

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Au sud du pays, c'est le sauve-qui-peut général et dans le désordre. La seule réponse francophone aux exigences flamandes est de dire non. C'est un peu court, trop court.

Ce que les 93 jours passés ont révélé c'est l'impréparation des francophones face �* une Flandre qui, �* tort ou �* raison, pense, comme le disait crûment Yves Leterme avant les élections, que la Belgique n'a plus de valeur ajoutée.
La Flandre veut prendre son destin en main. Les francophones ont peur de se retrouver face �* leur destin.

http://www.lalibre.be/article.phtml?...&art_id=369411

Citaat:

Cherche Belgique désepérément...
Mis en ligne le 10/09/2007
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par Michel Konen

Un trimestre, trois mois, 93 jours. Depuis le 10 juin 2007, date des élections, jusqu'�* aujourd'hui, 10 septembre, le temps semble avoir suspendu son vol.
D'informateur en démineur, de formateur en explorateur, le pays politique reste figé.
Ces trois mois immobiles ont pourtant été instructifs. Ils ont révélé le fossé qui sépare désormais les Flamands des francophones.
Les moins exigeants, au nord, réclament le confédéralisme : tous les pouvoirs aux Régions et un Etat fédéral croupion. Les autres se situent clairement dans la voie séparatiste ou indépendantiste.
Au sud du pays, c'est le sauve-qui-peut général et dans le désordre. La seule réponse francophone aux exigences flamandes est de dire non. C'est un peu court, trop court.
Ce que les 93 jours passés ont révélé c'est l'impréparation des francophones face �* une Flandre qui, �* tort ou �* raison, pense, comme le disait crûment Yves Leterme avant les élections, que la Belgique n'a plus de valeur ajoutée.
La Flandre veut prendre son destin en main. Les francophones ont peur de se retrouver face �* leur destin.
Le constat est cruel et amer. Il illustre pourtant ce fait politique majeur : les francophones n'ont pas vu venir les revendications flamandes ou, pour le moins, n'ont jamais imaginé qu'elles prendraient de telles proportions. C'est une faute, une grande faute !
La coalition orange bleue, si elle voit le jour, ne sera sans doute pas celle qui mènera au grand soir institutionnel. Les francophones gardent les moyens, cette fois-ci, de bloquer la marche de la Flandre. Mais c'est la dernière fois.
La Belgique a rendez-vous avec l'histoire : si pas cette fois-ci, du moins dans quatre ans. Au plus tard !
Ce que la crise actuelle a révélé, c'est que Flamands, Bruxellois et Wallons ne se connaissent plus; qu'ils n'ont plus de projets communs pour faire exister la Belgique. Pas un pays au monde ne peut résister, �* long terme, �* des volontés si divergentes en matière d'organisation de l'état.
Les citoyens, du nord comme du sud ont le droit de savoir, clairement, quel est l'agenda des partis politiques. Au nord comme au sud, les citoyens doivent être mis en position de choisir leur destin. Les choses sont plus claires côté flamand, elles sont obscures côté francophone.
Nous n'échapperons pas au débat. Il convient dès �* présent de préparer notre futur.

de vlamingen zijn aan tafel gekomen met een (beperkte want niet teruggrijpend op de 5 resoluties van het Vlaams Parlement van 99) lijst 'technische' verbeteringen aan de federale staat

daarop hebben Waalse partijen een unaniem NON te horen gegeven

dynamiek van zulke onderhandelingen en onderhandelingslogica en ervaring leert dat dat momentum van toenadering (window of opportunity) nu voorbij is

logischerwijze zou dus momenteel over confederalisme onderhandelt moeten worden

Ik weet dat het compleet onvruchtbaar is, en dat leedvermaak niet mooi is, maar ik had graag aanwezig geweest aan de ontbijttafel van Hans I als hij deze morgen dit edito in zijn lijfkrant las...

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Kortaf (Bericht 2914583)

Ik weet dat het compleet onvruchtbaar is, en dat leedvermaak niet mooi is, maar ik had graag aanwezig geweest aan de ontbijttafel van Hans I als hij deze morgen dit edito in zijn lijfkrant las...

3 woorden: Vlaemsch media complot

Voila!

Net zoals ik reed schreef : de Vlaamse eisen waren zeer zeker gekend aan Franstalige kant, want ze waren in de Vlaamse regering gestemd als uitgangspunten voor een nationale regering. Heeft men er iets tegenovergesteld? Neen. Ze hebben er niet eens bij stilgestaan en dachten dat hun "NON" voldoende zou zijn om over te gaan tot de orde van de dag.

De Franstaligen zitten dus nu onvoorbereid en zonder echte plannen tegenover een Vlaamse verkozenen die wél een plan hebben. Meer nog : een plan voor België en hoe het te behouden. Maar met hun oogklepjes blijven ze zich vasthouden aan hun "non" omdat ze gewoon bevrozen zijn en met hun verstand er niet bijkunnen dat Vlamingen ook eens NEEN kunnen zeggen...

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door vooruit (Bericht 2914594)

3 woorden: Vlaemsch media complot

In La Libre de Belgique. LOL!

En de arme man schreeuwde gisteren nog in alle Vlaamse steden: 'België unitair!'

Nog een mooie trouwens uit de Libre van vandaag:

Citaat:

Scission ou non ? "Qué waterzooi !"...

Mis en ligne le 10/09/2007
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L'exclamation est venue d'un téléspectateur, �* la fin du "Mise au point" de dimanche.
On ne saurait mieux résumer le débat, sur les risques et coûts d'un divorce.

BELGA

Un scénario plausible, la disparition de la Belgique ? En prélude au "Mise au point" (RTBF) de dimanche remettant sur son métier la bonne [?] question, Marie-Claire Houard elle-même en convient : "Plus j'y pense, moins j'y crois". C'est elle qui, en "simple citoyenne", a lancé une pétition pour l'unité qui dépasse �* ce jour les 82500 signatures...Pour la plupart des signatures francophones, c'est vrai. Il faut dire que le site a été lancé en français. Et ensuite "mal traduit en néerlandais", enchaîne Mathias Storme, politologue �* la KUL dont on sait l'engagement flamand pointu. Il y trouve de quoi fourbir sa grande théorie : "Vous ne parlez pas de la Belgique, mais d'un Etat francophone où on peut rester unilingue, sans respecter les frontières linguistiques, sans réelle réciprocité. Dans ce sens-l�*, ce sont les francophones qui sont des séparatistes".

Mais ces sondages récents qui témoigneraient d'une radicalisation de l'opinion flamande ? Confirmation précieuse : il n'y a pas d'unanimité néerlandophone. Sven Gatz (Open VLD) : "Cette radicalisation est conjoncturelle. Gardons notre sang-froid. L'indépendance, pour quoi faire ? C'est un leurre, un discours romantique. Moi, je suis fédéraliste". À l'inverse, Jean-Marie Dedecker (parti éponyme) : "On n'a pas besoin de sondages. Vous n'avez pas encore compris ? Il n'y a qu'�* voir les résultats des élections : les belgicistes (Open VLD et SP.A) ont perdu. Moi, je dis : la Belgique si possible; pas de Belgique si nécessaire. Et je ne comprends pas les francophones qui sont le seul peuple au monde �* avoir peur de sa propre autonomie". Nous n'avons pas peur, le coupe son presque homonyme (MR) Armand De Dedecker (les accointances, décidément, s'arrêtent l�*). "Si les médias flamands expliquaient les conséquences d'une scission, les citoyens comprendraient qu'elle est un suicide collectif et les sondages seraient tout autres".

Plusieurs francophones abondent, et listent les multiples problèmes qui seraient �* résoudre : délimitation des frontières, identification des collectivités, statut de Bruxelles, répartition de la dette, complications pour les entreprises, reconnaissance internationale, protection des minorités, armée, justice, fiscalité perçue au "pays" du travail, etc.

Clarifier l'agenda nordiste

Serait-ce si évident, pourquoi cela coince-t-il tant ? Au moins deux explications sont apportées sur le plateau. Un : "Le CD & V, rappelle Armand De Decker, a amené une N-VA qui en tame cette négociation comme étant l'avant-dernière avant la liquidation de l'Etat belge". Haut fonctionnaire flamand atypique, Rudy Aernoudt prolonge, avec le sens de la formule que l'on a appris �* lui connaître : "Si la N-VA ne s'intéresse qu'�* la Flandre, qu'elle ne s'intéresse pas �* des négociations belges ! Quand on ne croit pas en Dieu, il ne faut pas vouloir devenir pape". Deux, poursuit De Decker (on parle bien d'Armand, le président du Sénat) : "S'il y a un agenda caché flamand, ça peut durer des mois. S'il y a un projet pour la Belgique, on peut vite avancer dans les négociations".

En constitutionnaliste (Saint-Louis), Hugues Dumont renchérit et résume : "Il y a beaucoup d'ambiguïtés en Flandre. Une partie de l'opinion, qui monte en puissance, est favorable �* la souveraineté. Une autre partie est constituée de fédéralistes loyaux qui veulent réformer le fédéralisme. Nous devons exiger une clarification des objectifs flamands finaux. Tant que ce n'est pas le cas, je comprends que les négociateurs francophones ne veuillent pas faire des concessions".

Waar is Rikske Coolsaet nu? hij zou beter gaan boeren, dan doet hij nog iets nuttig.

Citaat:

Clarifier l'agenda nordiste

Drie woorden die eigenlijk alles zeggen....

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Michel Coonen in de Libre

Le constat est cruel et amer. Il illustre pourtant ce fait politique majeur : les francophones n'ont pas vu venir les revendications flamandes ou, pour le moins, n'ont jamais imaginé qu'elles prendraient de telles proportions. C'est une faute, une grande faute !

Too little, too late.

Dommage!

Het tegengeselde van niet met elkaar praten is wel met elkaar praten.
De duur van de formatie van oranje bleu is te wijten aan het feit dat er in feite niet gepraat wordt. "La libre" doet in feite een oproep om in ieder geval te praten, zonder meteen aan die dialoog de conotatie vast te knopen dat elke dialoog tot een splitsing van België zal leiden. De francofone misvatting is dat erkennen dat de meerderheid "der belgen" nederlandstalig is een "onderwerping" aan de lamingen betekent : dat is zo min waar als dat een opgaan in een franstalige staat een onderwerping zou betekenen van de Walen aan de Fransen /

Idem dito overigens voor de formatie van een "Nieuw Laanglandië" een "onderwerping zou betekenen van Vlamingen enLimburgers aan Hollanders
enz..

Zeer goed stuk van LLB. Bedankt, Luc !

Mijn conclusie na dat debat van Mise au point is dat de franstalige politici werkelijk dachten (en misschien nog steeds denken) dat het communautair programma van de CD&V maar om te lachen was. Dat is idd een "très grande faute". Het is echter nog erger dan dat, want niet alleen hebben de franstalige politici hun Vlaamse collega's totaal verkeerd ingeschat, maar ze hebben ook geen rekening gehouden met het "worst case scenario". Zij weten gewoon niet wat doen indien het fallikant afloopt. Ze hebben er zelfs niet over nagedacht !

De kans is nu reëel dat de franstaligen alles staan te verliezen : België, de faciliteitengemeenten, Brussel, EN hun broek. Wie de zwakste is, moet het slimmer aanpakken, maar wij hebben hier te maken met een zwakke speler die bovendien dommer is dan zijn tegenstander.

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Kaal (Bericht 2914862)

wij hebben hier te maken met een zwakke speler die bovendien dommer is dan zijn tegenstander.

Dommer... ik weet niet. Wel de troetelkinderen van het regime, die al twee eeuwen gewend zijn van elk grilletje ingewilligd te krijgen. En dat heeft hen stekeblind gemaakt voor de realiteit.

Het ontwaken wordt een cold turkey.

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Kortaf (Bericht 2914892)

En ze leren nog niet bij. Of heeft er iemand al een constructief idee gehoord vanuit ons zuidelijk landsgedeelte? Nog steeds hebben ze geen antwoorden op de eisen van de Vlamingen. Alles wat ze blijven bedenken is "non", en dat wordt tot vervelenstoe herhaald, ook al worden ze door enkele wakkeren met de neus op de feiten gedrukt, nog steeds denken ze niet na over wat ze willen, en waarOM ze eigenlijk NON blijven zeggen.:roll:

Mijns inziens hebben de Vlamingen ook ergens een strategische fout gemaakt (achteraf gezien natuurlijk..)

Men had naar de onderhandelingstafel moeten gaan en zeggen : wij willen splitsen, niet BHV maar België!

De verontwaardiging zou groot geweest zijn, maar als je daarna "toegeeft" en zegt, ok, niet dan, maar we willen een confederatie, dan kan je onderhandelen, en kan je art 35 in werking laten treden, zoals eigenlijk voorzien was bij de uitdeling van de financiën aan de gewesten...

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Anna List (Bericht 2914578)

Window of opportunity? Leerling geweest van Filip De Rynck ofzo?
Die heeft het er bij ons ook vaak over.

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Kaal (Bericht 2914862)

De kans is nu reëel dat de franstaligen alles staan te verliezen : België, de faciliteitengemeenten, Brussel, EN hun broek. Wie de zwakste is, moet het slimmer aanpakken, maar wij hebben hier te maken met een zwakke speler die bovendien dommer is dan zijn tegenstander.

Misschien ja, dat ze dommer zijn als ze nog geloven dat ze met de praat van Armand de Decker wegkomen en de Vlamingen dat nog massaal slikken. Dat Vlaanderen verder geradicaliseerd is en niet zo makkelijk meer te overreden is.
Maar de Franstaligen hebben het wel slimmer gespeeld door al jaren de internationale opinie te bewerken, terwijl de Vlamingen domweg dachten dat de 'veldslag' alleen in België gevoerd zal worden.

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Burry (Bericht 2916304)

Is dat wel zo?
Er waren meerdere artikels in fr Franse en Engelstalige pers die de gebeurtenissen vrij objectief (naar ons gevoel) benaderen.