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Oud 7 september 2006, 12:25   #2
Fred
 
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Standaard =?iso-8859-1?q?Re:_Dutroux_veut_recuperer_son_statut_d'handic ap=E9?=


D'Iberville a écrit :

> "Marc Dutroux ne se rendra pas, ce matin, devant la Cour du travail de
> Mons, devant laquelle il a interjeté appel d'une décision du tribunaldu
> travail de Charleroi l'obligeant �* rembourser plus de 35.000 euros
> d'allocations sociales d'handicapé frauduleusement perçues entre 1992et
> 1996. Il ne veut plus sortir de la prison d'Ittre car il ne supporte pas
> le port des lunettes de sécurité dorénavant imposées lors de chaque
> transfert de détenu dangereux.
>
> Marc Dutroux entend, au terme de cette procédure, récupérer son statut
> d'handicapé. Il réclame �* l'Inami et aux Mutualités socialistes le
> paiement rétroactif de ses allocations, injustement interrompues, selon
> lui, parce qu'il avait été identifié comme « travaillant au noir ». Il
> invoque l'article 101 d'une loi de 1994 permettant des dérogations �*
> l'interdiction de travail pour les bénéficiaires d'allocations. Devant
> le tribunal du travail de Charleroi, qui l'avait déj�* condamné au
> remboursement de ces sommes, il avait invoqué « le besoin de cet argent
> pour sa famille ». Il prétend aujourd'hui qu'il pourrait, en outre, en
> faire bénéficier les parties civiles. Mais il oublie qu'en tant que
> détenu, il n'a pas droit �* des allocations d'handicapé. Il y a quelques
> semaines, son ex-épouse Michelle Martin, elle aussi en appel devant la
> Cour du travail de Mons, s'était vue déboutée de ses prétentions.
>
> Ces péripéties « sociales » de Marc Dutroux auraient peut-être permis
> d'éviter les enlèvements des enfants si tous les acteurs judiciaires de
> Charleroi s'étaient interrogés sur les motivations de la propre mère de
> Marc Dutroux, alors en liberté conditionnelle, �* dénoncer son propre
> fils �* l'Inami en janvier 1995, six mois avant les enlèvements de Julie
> et Melissa. L'inspecteur du service provincial d'Inspection médicale du
> Hainaut, Jacques D., avait dû attendre jusqu'en novembre 1995 (et malgré
> deux lettres de rappel) pour avoir accès au dossier judiciaire de
> Dutroux. A cette occasion, il avait eu des contacts avec les gendarmes
> chargés de l'opération Othello, qui lui avaient indiqué que le
> ferrailleur de Marcinelle « traînait pendant la nuit �* la recherched'un
> vol facile ». Ils ajoutaient : « Son butin, il le dissimule dans 6
> maisons lui appartenant »...
>
> Le 7 juin 1996, dix jours après l'enlèvement de Sabine, l'inspecteur
> Jacques D. rencontre Marc Dutroux �* Sars-la-Buissière. Dutroux, les
> mains couvertes de graisse, se voit convoquer pour le 10 juin �* 13 h au
> bureau de l'Inami de Charleroi. Ce jour-l�*, cette audition dure six
> heures. Dutroux se voit opposer ses travaux au noir de ferraillage, de
> terrassement. L'inspecteur Jacques D. note dans son rapport : « cette
> audition se déroule avec des phases dépressives (pleurs) et agressives
> (menaces contre la société). » « Marc Dutroux, note-t-il encore, est
> passé maître dans l'art de découvrir des dysfonctionnements des
> règlements établis par la société. Comme il fait l'objet de nombreuses
> perquisitions, il prétend cacher une arme dans un endroit rempli de
> mitrailles où les détecteurs de métaux sont impuissants. » Il avoue donc
> qu'il dispose d'une cache !
>
> Et Dutroux va plus loin, comme en témoigne le rapport de l'inspecteur de
> l'Inami, qui note : « Il n'accepte pas les extensions d'interprétation
> du Code pénal et relatives au terme viol. Il trouve dès lors normal que
> les personnes sujettes �* des pulsions fassent disparaître leur victime
> plutôt que de courir le risque d'être inculpées pour de simples
> attouchements ! » Il avoue �* ce moment-l�*, incroyable concession, qu'il
> préfère liquider ses proies..."
> http://www.lesoir.be/actualite/belgi...s_469181.shtml
> --
> Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
> sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
> "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".


Faudrait qu'ils apprennent que le "h" de "handicapé" est aspiré.
On dit donc "son statut DE handicapé", "ses allocations DE
handicapé".

Fred
Les zandicapés ont beaucoup mangé des zaricots...