Ils devraient lire l'excellent article de Robert Redeker publié dans le Figaro.
Je cite:
http://www.lefigaro.fr/debats/200609...de_libre_.html
Le Coran est un livre d'inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l'Encyclopédia
Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D'une part,
«Muhammad révéla �* Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de
chef militaire (...) Il recourut �* la guerre privée, institution courante en Arabie (...)
Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes
mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant
un riche butin».
D'autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant
massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu'il accusait d'un
comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve,
bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait �* peine une dizaine
d'années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter
concurremment une dizaine de mariages».
Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et
polygame, tel se révèle Mahomet �* travers le Coran.
De fait, l'Église catholique n'est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée
de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L'Inquisition, la chasse aux sorcières,
l'exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein
XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce
qui différencie le christianisme de l'islam apparaît : il est toujours possible de retourner les
valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l'Église.
Aucune des fautes de l'Église ne plonge ses racines dans l'Évangile. Jésus est non-violent.
Le retour �* Jésus est un recours contre les excès de l'institution ecclésiale. Le recours �*
Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d'amour,
Mahomet un maître de haine.
La lapidation de Satan, chaque année �* La Mecque, n'est pas qu'un phénomène superstitieux.
Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée
est anthropologique. Voil�* en effet un rite, auquel chaque musulman est invité �* se soumettre,
inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.
Cette lapidation, s'accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles,
parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.
Au lieu d'éliminer cette violence archaïque, �* l'imitation du judaïsme et du christianisme, en
la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c'est-�*-dire l'entrée
dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l'islam lui confectionne
un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont
les rites conjurent la violence, la délégitiment, l'islam est une religion qui, dans son texte sacré
même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.
Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme
aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie
�* vocation hégémonique, l'islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI
en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-l�*, il faut appeler l'Occident «le monde
libre» par rapport �* au monde musulman, et comme en ces temps-l�* les adversaires de ce
«monde libre», fonctionnaires zélés de l'oeil du Coran, pullulent en son sein.
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