Ok avec toi l'ami encore une connerie Belge comme d'habitude
son plus fort pour ça que pour aider les citoyens belge qui sont dans la
misère �* cause de leurs connerires
"Pierre Sabbe" <
[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �*
> contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord
> avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles.
>
> Je ne suis pas d'accord.
> Voici pourquoi :
>
> Je suis pour la liberté de l'information.
> Ce qui veut dire que chacun doit pouvoir être informé, gratuitement ou
non.
>
> Google avait rendu accessible l'information aux citoyens via son site en
> affichant une sorte de revue de presse.
> De toute façon, les articles publiés l'étaient sur les sites des journaux
> en question, et la source en était visible.
>
> Copiepresse qui est aux journaux ce que la SABAM est aux CD ne l'a pas
> entendu la sorte.
> Cette société voulait que Google paie le "copiage" des pages web des
> journaux (alors que c'était de la publicité gratuite pour ces mêmes
> journaux !)
> Copiepresse est contre la liberté d'être informé gratuitement.
> Etre au courant gratuitement de l'actualité, qu'elle soit musicale ou
> autre, ça ne plaît pas aux sociétés de droit d'auteur : SABAM en tête...
> (je vois des copains musiciens et organisteurs qui sourient ! ;-)
> pourtant, je suis moi-même inscrit �* la SABAM, mais je suis contre sa
> façon de percevoir �* outrance et de ne redistribuer qu'aux nantis !!!)
>
> Bien sûr, les journalistes et les auteurs doivent vivre : ils ont droit �*
> une juste rétribution.
>
> Mais lorsque l'on voit comment on fait payer l'information au simple
citoyen...
>
> Par exemple, le groupe "Rossel" (et d'autres !) fait payer 1 euro (je sais
> : 0,99 euro !) pour un journal numérique en ligne au format pdf.
> Aucun frais d'impression, de stockage, de distribution... Quel pourçantage
> perçoit le brave journaliste ? Une misère !
>
> Le coupable n'est pas Google qui démocratise l'information.
> Les coupables �* pourchasser, ce sont les groupes de presse qui font payer
> cette presse �* un prix exhorbitant.
>
> Je dis oui �* la presse libre et gratuite.
> Non �* la presse censurée car outrancièrement payante.
> Je veux bien payer le juste prix pour une information juste.
> Pas 1 euro pour un fichier numérique dont les journalistes qui sont les
> seuls �* y avoir travaillé -en plus du metteur en page- ne bénéficient
> quasiment pas...
> On pourrait peut-être s'unir pour faire baisser le prix de l'information
> numérique...
> Comment ? L�*, je sèche !
>
> Voil�*.
> Je l'ai dit.
>