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Tout d'abord, je trouve maladroit de publier des communications
privées, d'autant plus que vous
avez insisté �* ce qu'elle soit privée dès le départ :
Vous rapellez-vous l'entête qui figurait au début de vos mails sur la
nature privée de nos échanges ?

Si vous n'aimez pas être accusé de porter du tort, il faut arrêter
de porter du tort.
Mes accusations sont des faits. Tout le monde peut vérifier que vous
ne cessez
de dire du mal de l'église (et ses membres), lui portant ainsi tort.
Ce sont des faits.

De plus, dans votre discours habituel, un scientologue est forcément
une victime
de la scientologie. Vous m'avez dit que je suis une victime. N'inversez
pas les rôles.
Soit dit en pasant, si je suis une victime comme vous l'affirmez , et
que vous aidez les victimes, comme
vous l'affirmez, veuillez ne pas publier mon nom sur votre site. Cela
n'aide pas les victimes d'afficher publiquement
qu'elles sont victimes. Cela les victimifie.
Rassurez vous je ne suis pas victime. Je suis fier d'être
scientologue. Je suis assez grand pour le
revendiquer moi-même, sans avoir recours �* vos publication web
mensongères.

Avant de laisser tomber quelqu'un, pour cause d'incompatibilité de
tempérament, je tente
toujours de découvrir quelquechose de bien chez lui. Et je tente
toujours de lui faire découvrir
quelque chose de bien chez moi.
Eh bien, avec M. Barbier, après ce jeu de question et réponse, c'est
un échec.
Nous ne sommes pas fait pour discuter ensemble.
Je communique avec des gens qui respectent certaines valeurs. Et il n'y
a pas d'accord entre nous
sur ces valeurs. Ce n'est pas un problème. Chacun est libre de choisir
qui il est.
Ce qui est vrai pour M Barbier, est ce qui est vrai pour lui.
Indépendemment de ce qui est vrai pour moi.

En tout cas, j'ai la réponse �* mes questions : vous maintenez votre
point de vue. C'est votre droit.
Je sais qui vous êtes. Très bien. J'en prends note : Vous pensez que
la scientologie est mauvaise, et il n'y a rien �* rajouter. Donc je ne
rajouterai rien, et ceci termine définitivement notre conversation
"privée".

Sébastien JAMON