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Le Patriote a écrit :
> il est prouvé que la pire drogue pour le cerveau est l'alcool
Euh, surtout pour le foie, non ?
Pour le cerveau on peut penser �* plein d'hallucinogènes bien plus
puissants.
>et pourtant
> c'est tout a fait l'égal.
L'égal de quoi ?
> T'as d'autres sujets stupides comme ça ?
Je signale qu'on a fait des campagnes contre l'abus d'alcool, qu'il y
a des lois strictes sur leur consommation, production et
distributionc. Idem pour la cigarette en passant. Le cannabis par
contre on en rit �* la télé chez les bobos branchés.
Je ne comprends pas très bien où vous voulez en venir : vous voulez
ajouter le cannabis aux drogues acceptées par notre société ?
Toujours plus de drogues ? Petit �* petit ?
-- -- Rappel de quelques faits :
Le n°50 du 13 décembre 2006 de la revue médicale hautement spécialisée
FMS, se fend en page 1128 d'un article intitulé: "Les dommages �* long
terme de la consommation du cannabis - un problème sous estimé ?",
signé par MM. Schaub et Stohler, deux éminences de la clinique
psychiatrique de Zurich, et accrédité par les plus haute institutions.
On y apprend le fort taux de substances cancérigènes, leurs ravages
sur le psychisme des patients schizophrènes, lésions somatiques,
conséquences sur les voies respiratoires et la tumorogénèse, effets
cardiaques, endocriniens, sur la grossesse (fabrique de crétins...
vous
avez un ado blasé dès la naissance), syndrome amotivationnel et
conséquences psychosociales délétères chez les adolescents et les
jeunes adultes, lésions cognitives, troubles psychiques, j'en passe et
des meilleures, la cour des miracles par le grand menu dégustation �*
50 balles.
Des faits scientifiques avérés que l'on trouve moins souvent que les
slogans publicitaires de circonstance �* la bouche, pour ne pas dire au
bec, de ces parlementaires gauchistes coincés, flanqués de quelques
vieux bergers du Larzac fatigués, derniers survivants d'une époque
d'impuissance totale face �* l'ennui d'un monde prétendument libéré et
que la presse s'empresse d'ériger en icône d'une jeunesse festive,
baroque et autrefois brillante, pour ne pas dire en pièces de musée ou
en stèles muettes au cimetière des utopies.
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