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Oud 31 maart 2007, 18:09   #1
situationnisme
 
Berichten: n/a
Standaard 2) la suite viu qu'ils ont pas arrete, apres on recommencera au 0) EN BOUCLE JUSQU A CREVER connard qui a la doigt sur le boutoN LE PRI9SONNIER EST PLUS FORT/ IL VOUS BALNCE? IL VOUS DENONCE - JUSQU A CE QUE VOUS LACHIEZ OU QUE VOUS FINISSIEZ a L ASI

cc: fr.sci psychanalyse ^pour les connards qui croient que ca se passe
l�*.

il y a de plus en plus de gens qui viennent gueueler dans ma rue, ca
me concerne ou ils ont bu ? c'est les vacances scolaires ils ont que
ca �* faire de se bourrer la gueuele on peut pas tout deviner ...

vous n'avez qu'�* vous montrer OU LACHE LE MORCEAU ou vous faire
enfermer et me dire "on t'aime et on veut que tu sois plus fort "
!!!!!!!!!!!!!!!

pauvres crapules, plus fort que quoi ... que de vivre dans un loft
pirate �* perpétuité.

Mon adresse dans le prochainemessage, de toutes facon elle est déj�*
parue, légumes vous averz peur d'intervenir pour me faire évacuer,
vous croyez �* de fausses promesses alors que vous CONSTATEZ qu'ils
jouent le dernier mot depuis quatre pour ne aps arrêter, quand ca va
on en refout jusque ca aille pluqs et rebelotte, etc etc etc.

Crevez, malades de votre radio hyoperfrequences et de votre prison aux
cameras thermiques,

votre bld en est truffé (ca c'est pour tout le monde),

MALADES MENTAUX.

la suite ... deuxiemme partie de la premiere parti e de la
psychanalyse d'une secte::

re: inextricable

* De tous les temps du loftage de ma prison, l’ensemble des prémices
puis du contenu ont été trouvés en inextricable, non- d’énonçable,
non- extériorisable, non- avouable, non- justiciable. Il serait bon
que cette affaire finisse mal pour que nous n’ayons tous �* vivre en
schizophrénie, moi déficiente par le non-dit, handicapé par le
mensonge ambiant, pathologique de chercher réponses, taxé de
psychopathe par des paranoïaques; analytique correct de la situation
où celui qui fait peur fait peur �* qui a peur qu’il ne découvre les
raisons pour lesquelles il fait peur.

+++++++++++
deuxeimme partie:
+++++++++++


Menaces du jour:

* que je ne sorte pas de cette prison tant que [dvc², le secret] y
sera identifiable, puis tant que la famille ne sera pas désignée
autrement que pour une secte, alors elle ne doit pas être citée dans
ce cas ce document ne doit pas éxister, la boucle est faite.

* Il n’est pas possible de dire autre chose qu’elle m’a pendant vingt
ans présenté comme un malade et fatigué �* qui on cherche une pathos
pour justifier de ce qu’on le prétend malade et fatigué - chimiqué et
chimiqué sont les termes exacts. Faits de Staline père menteur
assassin du foetus de mon jumeau, me trouvant surnuméraire et me le
disant en face �* l’âge pré ado, dixit suivi du conseil d’écouter la
petite voix qu’il suggérait se trouver dans ma tête. Père Staline
peut-être cocu il suffit �* qui veut s’en assurer de faire test
génétique de paternité.

* On ne veut peut-être pas que je corrige et précise et rende lisible
ce document - je le posterai sur Usenet si on recommence �* me
situationer en loft publique, en film, ou autres salopperies. On me
garde la pression �* n’en plus pouvoir, ils ne risquent QUE de voir
ceci balancé sur Internet ou sur Usenet, terminé ou pas, corrigé ou
pas. Qu’ils fassent corée-du-nord avec Google et ne manquent pas de
faire savoir �* Monde qu’ils vivent dans / (se) font un Film ... Fous.

* Vu les menaces et pression exactions cras(se) que je reçois tout le
temps que je n’ai pas le doigt sur le clavier ou le bic en main - et
on commence �* m’empêcher de corriger en m’annonçant qu’il va falloir
supprimer de plus en plus de choses, il ne restera plus rien puisque
tout le contenu est interdit et que toutes les analyses famille
aboutissent �* constat dégueulasse sauf pour qui pas citée mais qui
juste avant sa période cortisone en sniffettes pour soigner maladie
osseuse(!) (devenue junkie présénile devant témoin père Staline
approbateur de sa défonce) était devenue sectaire �* parlotte
subliminales de m’annoncer que j’allais être acteur, �* qui on a réussi
�* faire prendre initiative de me dire qu’ils n’avaient “pas de
testament” ...

° On m’en a gardé pour la fin: ... comprenant probablement que ma
garde allait durer trop longtemps; mais se faisant alors, je dois le
conclure, �* l’idée de ne jamais parler. A considérer leurs attitudes
ils avaient peut-être déj�* fait deuil de me revoir - pouvant
prévisionner qu’une psychanalyse de moi ou par moi allait révéler de
l’inadmissible .. �* profusion et pas grand chose d’autre en
récupération. Qui m’aura méchamment glissé l’idée d’en “faire un livre
et de mettre mon prix dessus” l’aura conscientisé de la même façon,
aura comme �* son habitude tracé mon horoscope et placé ses analyses de
ce qu’il sait de moi dans les oreilles de ses parents, fâcheuse
habitude de toujours, aux non moins fâcheuses conséquences de et pour
toujours.

° En outre, le même avait-il connaissance de [dvc²] en termes de
moyens de production, et pensait-il que j’allais inclure tout le relat
de mes connaissances acquises �* ce propos dans ce rapport ? Si oui il
descend dans mon estime �* avoir pu me soupsconner de faire plus de
divulguation que son évocation, ce qui est déj�* trop mais
indispensable �* donner quelque idée de l’insupportable et de
l’injonctionnel que l’on me fait subir. Prend-moi pour un con je ne te
dirai pas qui je suis.

° Tant bien que mal ce document est en lui-même auto- doublé d’une
version barrée incluant [dvd², le secret].

° Pour mettre un frein d’autres passages sont également barrés, ils
sont verve et / ou considérations personnelles �* destination
d’individus.

° On m’en a gardé pour la fin: une autre idée m’a été dialoguée de
façon subliminale, c’était celle de la precription, de quoi, mais
c’est bien sûr, celle des faits d’empoisonnement par abus de
médication chimique �* l’âge ado., pourquoi m’adresser cette idée de
prescription, mais c’est bien sûr, par erreur ou pas c’est un aveux de
leur prise de conscience de son caractère abusif. Cette évocation
supplémentaire en préliminaires et toujours subliminale démontre la
préparation de ma psychanalyse ou le savoir qu’elle allait m’être
faite, mais cette évocation ne pouvait être reçue par moi que comme
dédain de leur part et annonce de non- inquiétude �* l’idée que l’on
pourrait l’évoquer, de tout le potentiel de ma (alors future)
dénonciation qui dans leur esprit préparatoire ne pouvait qu’être
présente, comme risque pour eux ou l’ex- psychiatre; par de l�* (au
del�*) c’est évidemment mon côtoiement de la psychiatrie qui est �* leur
reprocher.

*Je n’ai que foutre de faire un papier sur ce qui - et seulement ce
qui - convient �* qui ne veut rien savoir, il n’y a rien �* dire qui ne
gênera personne.

=====

On me connaît

= Je suis épié au moins depuis fin 2000, je vis en appartement
surveillé depuis fin 2001, devant caméras thermiques depuis une date
que j’ai oublié (vers 2002), lofté activement depuis 2003, même les
témoins passifs cad. la population, le voisinage, ont sûrement oublié
les dates précises; en réalité pisté totalement et partout depuis fin
2001 (par personnes annexes de police, de psychiatrie, de père de qui,
de je ne sais qui d’autres peut-être bandits auto- bombardés
cinéastes).

=On connaît de moi la quasi (je cherche ce qu’on ne sait pas de moi,
j’en trouve peu) stricte totalité de ma vie depuis le berceau en
passant par tous les événements de ma vie, tous les lieux que j’ai
fréquenté, toutes les personnes que j’ai côtoyé de tous temps.

=Tous les gens que j’ai rencontré dans ma vie m’ont été suggéré
témoins actifs ou passifs durant ce loft, ont été interviewés pour
citer / apporter des éléments relatant ma vie; je peux supposer ... je
sais ... que je ne suis pas en mesure de comprendre qui a fait et
comment on a fait ca.

Téhéran

* Si besoin de me protéger je veux bien finir �* Téhéran ou chez
famille Saoud. �* passer le reste de ma vie sous protection, pour
travailler, en aucun cas pour faire nabab - s’attendre �* retour de
bâton par la version complète de tout ce qui est �* dire de tout le
contenu de ce loftage, de famille, hypothèses dgse (humour) des
premiers et de la guerre qu’ils ont foutu au peuple.

* Je reçois menace que je ne sortirai pas tant que [dvc², le secret]
sera évoqué. C’est presque impossible, comment lofter ainsi, comment
rédiger sous cette contrainte. “A moi de trouver”, dixit un emmerdeur.
On me lave la tête et on me lofte depuis l’an débile 2000. Plus
réalistement je dois conclure que l’on désire me voir corriger cet
écrit et le modifier �* fins de le divulguer �* ma sortie Cela instaure
possibilité tout �* la fois crainte de moi pouvoir, ou d’avoir �*, le
divulguer moi-même,

je crains �* nouveau les prolongations, pré- dénoncées hystériques.

* Verve: La merdasse papier qui est en train (mais voir plus bas, il
y en a pour tout le monde) de ressortir de cette dégueulasse prison
loft va finir par correspondre �* cette subliminale et saloppe parole
expectative faite par frère - membre émérite de la secte de son
patronyme - avant le loft de me voir écrire UN LIVRE de la
prison-domiciliaire qu’on allait me faire ou de ce qu’ils (“ils”comme
dans un film communiste et psychologique pas vu de .. 09/2006) ont
saloppé en utilisant des clefs volées / soudoyées au père (Staline):
anxiolytiques, coke et Viagra dans le café en début de loftage actif;
rajouté de la suggestion que je n’aurais plus qu’�* mettre mon prix
dessus - + que je finirai peut-être �* “Charleroi” [NDR le bled le plus
pauvre et le plus �* l’écart] dixit texto de son subliminal,
conversation avec ses copains, compris bien sur qu’il s’agissait
évidemment de moi; pathologique crédule de la psychologie, dépressif
perpétuel, jaloux depuis mon berceau de l’aveu détaillé de sa mère,
pédologue, il est chômeur et fait sa vie ... Qu’il se fasse
scientologue comme on me l’a maintes fois évoqué il sera ré éducateur,
alors pathos descendant spirituel de son père Staline, sera abattu
quand il viendra me visiter handicapé devenu VIPPO dans un hôpital ou
sera attendu invité �* Téhéran s’il ose s’y rendre.

* Aux menaces je rétorque par ma menace de postage sur Usenet,
photocopies et distribution en boites aux lettres, on me bourre le
crâne pour m’amener �* le faire tout �* la fois m’en empêcher, des gens
sont en guerre, celle de la dénonciation qu’il faut pour calmer tous
et clore le tout transformer et limiter en/ �* celle de la divulgation
- de qui, de quoi, chacun son truc; je dois m’attacher �* tout dire
tout en fabriquant confondance cachottière, supplémentaire difficulté.

° Ce document signé de mon pseudonyme Abekar; kar .. parce que, Abe,
homonyme du personnage de Abe’s Exode, jeu video dans lequel sa
destinée est d’organiser libération de (travailleurs) séquestrés,
préparation �* l’exode.

Psychanalyse(s)

= On ne psychanalyse pas ses proches, on ne se fait pas analyser en
public. Durant ce loft il n’aura jamais été question, ou si peu, de la
mienne, mais bien de celle de quelques personnes, pour des points me
concernant directement;

= des gens �* qui j’ai toujours explicitement fait savoir que je
rejetais leur frénésie pour la psychologie, situationniste et
légumisante, conformisante �* des normes fabulatrices, par définition
du frénétique: hypnôtisante.

= Eux et leurs relations, personnages de la psychologie, éminents tout
au plus de la chimie cérébralo- lavante et neuro- engourdissante ont
probablement de tous temps ignoré l’existence de la psychanalyse
qu’ils eurent bien fait d’appliquer �* eux-mêmes pour introspecter leur
positionnement �* mon égard, moi devenu leur sujet d’étude. En
contradiction de quoi ils se sont contentés de me contempler pour
mieux ne pas communiquer.

=====
Ne manque que les références

le patronyme de la famille __________ , secte, salops lobotomistes

sise en principal (______________; ________; ________),

des employés de la société (_______, _________________),

le père de qui j’ai prétendument abusé début 2001 (____________,
______________),

des inconnus __________ premiers propriétaires / fabricants /
importateurs / ... cinéastes, agents secrets, etc.

* Finiront avec eux en la secte qui sera chassée et traquée ad vitam
pour foutage de guerre tout ceux qui prétendront encore �* légumiser le
peuple pour l’injonctionner au silence et le faire vivre sous la
menace;

* située secte dont sans ce document on eu pu que craindre (en
espérant que ceci suffise �* en dissuader quiconque) les voir réitérer
�* fins d’étude et d’abus de potentiellement tout un chacun, par et
dans de nouveaux [dvc²] ainsi que par / augmentée de (pour qui victime
aurait compris) l’instauration du silence qu’ils ont utilisé en
menace �* l’encontre de qui dévoilant serait dit responsable de
divulgation publique;

* gardons pour d’autres, positivistes et progressistes, les
projections purement scientifiques ou médicales protectionnistes du
potentiel acquis et non de manipulation et destruction psychologique
que l’on a appris �* perpétrer en se servant de moi comme cobaye
(périodiquement) depuis six an;

*

* Ils finiront derrière des grilles, derrière un mur entourant leur
domicile, leur rue, leur bled ou le pays qu’ils se créeront, future
république de Psychiatrie, contrée lobotomiste néo- communiste digne
des pires régimes que le monde ai déj�* connu, en plaira �* leur
démagogie et �* leur mysticisme, pathologies dont ils auront prouvé
qu’ils sont porteurs �* n’en démordre quitte �* foutre la guerre, ce
qu’ils ont fait.

* Des tarrés qui sans qu’on s’en émeuve finiront acteurs ad vitam de
ce qu’ils ont fabriqué, instauré, prétendu et injonctionné �* chacun de
considérer pour ce qu’ils appellent un film, des tarrés qu’on
dénoncera et qu’on étudiera pour leur frénésie �* se complaire dans la
pathologie du foutage de merde et de la tentative de lobotomie de
leurs semblables �* qui ils disent qu’ils sont acteurs de cinéma.

* Tout normalement constitué se défendra bien sur de cet attribut et
participera sinon approuvera �* les enfermer dans la vie qu’ils ont
voulu faire vivre, ils prennent ce document en punition d’avoir tenté
de l’instaurer �* tout qui �* eu connaissance de cette affaire, de leurs
pratiques.

* A l’encontre de tout qui �* compris leur pathologie du néo-
stalinisme, presque du post-hitlérisme, pour ne citer la mythologie
qu’ils ne manqueront pas �* l’avenir de nous faire nous remémorer, de
nous rejouer, de reproduire, ils ont installé un climat de guerre, ils
doivent en retour être conscrits �* leur personne, �* leurs
sympathisants.

=====

* Ils ne peuvent admettre ce qu’ils ont fait, ils ont infligé un
climat qui se perpétuera ad vitam de leurs activités, accompagnés de
ceux qu’ils parviendront �* convaincre d’un bien fondé de leur état
d’esprit, de leurs activités, de leurs projets tant qu’ils n’en auront
d’autres que celui de refuser de reconnaître les faits et les
perpétuer.

* Version quelque peu paranoïaque mais réaliste et simples conclusions
considératoires �* des faits réels; nonobstant tout possible revirement
de leurs sentiments qu’on taxera de schizophrénie pour leur rappeler
leur actes, les faits, rappel et non interprétation ni considération
dont ils se complaisent de toutes façon et depuis toujours �* les
contempler puis �* les rejeter pour en demander d’autres, incapables de
les accepter encore moins de les analyser toujours obtus en attente
d’autres dénonciations de leurs agissements;

* salops lobotomistes de ma personne, famille dégénérée et leurs
complices, la part de salops et de fous d’entre les activistes de ma

prison loft

dans laquelle on me fait vivre depuis 2001.

=====

* Ce document est une contribution de multiples intervenants, il est
aussi la retranscription reformulée de notes manuscrites elles même
participées. Contre ma volonté je suis amené pour je ne sais encore
quel usage il en sera fait, �* prendre part �* sa rédaction, �* titre
principal puisque je suis le sujet de ce qui y est relaté, il est
rédigé in situ de son objet: mon domicile prison.

° Les évocations redondantes ne sont pas contradictoires mais
complémentaires et autant que possible leur temporalisation est
indiquée par un signe précédent chaque paragraphe - ils pourront
rester pour simplifier la lecture de l’ensemble. Temporalisation: il
est des analyses, des prises de conscience, pas des revirements de
sentiments mais la prise en compte de préalables �* diffusion, qui
complètent ou précisent au fil du temps de rédaction le contenu de ce
document.

* Si ceci est un accusatoire il l’est �* l’encontre des responsables
d’une guerre que nous avons vécu, que nous vivons encore, semble-t-il
qu’on utilise les derniers jours de ma prison pour me le faire relater
in situ.

* Des gens qui auront tenté le passage en force pour faire passer pour
des acteurs de cinéma une foultitude d’acteurs qui ne le sont qu’an
sens du terme de témoins, de participants, par bonne volonté ou par
implication dans une situation qui leur a été soumise de fait.

* Ni eux ni d’autres ne pourront encore se protéger derrière une
prétendue activité cinématographique car, si telle prétention, ils
sont ici dénoncés pour qui instigateurs, pour qui guerriers au sens
hostile du terme, pour qui encore apprentis �* en instiguer d’autres et
�* les entretenir.

* Accusatoire ceci pourrait le devenir - il suffira d’y mettre le
titre - pour défendre des victimes, pour faire punir des (irr-)
responsables. A charge de qui prétendra �* la farce, de qui prétendra �*
de la pure cinématographie.

* Il est insulte de prétendre de qui ne le revendiquerait pas qu’il
serait acteur d’un film de cinéma que d’aucuns exacteurs l’auront
fabriqué pour non pas les y faire jouer un rôle mais pour les y faire
vivre; remarque générale objet partiel de ce relat.

=======

Il vit / Il vivra dans un trip

La secte - famille de mon patronyme (désolé pour les homonymes)
rajoutée de leurs complices - , est mytho- démago, elle me voulait
acteur pour ce qu’elle allait (constater qu’on allait) me faire, suite
�* ses propres exactions et �* celles d’autres imbéciles et salops
parasites: accusation perpétuelle de déficience mentale, tentative de
rééducation, de re- conditionnement, exaction situationniste �*
prétendre �* ma fausse perception de la réalité tout en prétendant me
faire - et en me sketchant du bon �* faire - un film !, en me faisant
vivre dans leur film - extrême exaction psychologique et destruction
par sectarisme.

=======

* Ceci peut être lu pour un accusatoire, certainement pas pour le
livre qu’attendait qui membre de la secte. Au cas où j’aurais �* le
divulguer je le signerai de son patronyme qui sera encore le mien si
d’ici l�* l’administration ne m’en a pas décrété un autre. J’aurai
existé et tant qu’on ne m’aura pas tué je serai celui qui l’a vécu, en
principal.

* Qu’on me libère de cette prison et qu’on ne vienne plus m’emmerder,
qu’on ne me taxe plus jamais d’acteur ni de déficient ni de quelqu’un
qui vit en trip - je n’apprécie d’autre conso que celle du chanvre
pur.

* Que l’on saisisse �* qui m’a peut-être déj�* fait des films son
matériel de production, que des recettes soit fait usage social et
bien publique, que se défendent en se donnant au public qui m’aura vu
dedans les malfaisants qui m’auront fait ces films pirates qu’on
m’évoque. Qu’ils se servent ensuite de leurs biens propres pour payer
leur procès .. leur psychanalyse.

* Je pourrais tout nier cependant que je pourrais le réécrire en bien
pire et plus complet, ceci devenant base de travail, quand j’aurai
pris connaissance de tout ce que je ne sais pas. Toujours �* charge de
la démagogie, de la perversité et de l’imbécillité, respectant autant
que possible le principe analytique, �* destination du bien publique,
de l’anti- légumisation �* contrario / en parallèle de la psychologie.

* coupé: Au moins depuis fin de l’an 2000,

* Cela ne devait être de leurs aveux ultérieurs qu’un jeu de
découverte de [dvc²], alors qu’ils pratiquaient ni plus ni moins que
manipulations visant �* suggérer, �* induire et contrôler mes faits,
gestes, et activités.

* Ils étudiaient le moyen de régir �* ma place, eux en place de ma
personne, mes modes de pensée et de réflexion.

* �* l’évidence et ce fut le cas, activité apte �* placer quelqu’un dans
un état proche d’une hypnose inconsciente ou inconscientisante,
contrôlé et par définition du fait de l’accaparation, déficienté, voir
pire et pour conclusion en termes justes, �* l’extrême pour qui victime
resterait dans l’inconnu de ces agissements, dans un état proche de
lobotomisé tant que dure cette activité;

* faits que qui ou de leurs complices ou récupérateurs ont ensuite
tenté de camoufler en prétendant �* l’idée d’avoir voulu / de vouloir
me faire un film,

* en fait ou ce qui est devenu de me faire vivre dans un film, taxé
d’handicapé, activité camouflée ou récupérée par celle du
situationnisme, jeu militaire ou psychologique visant �* suggérer et �*
étudier les réactions, ici de me faire vivre et m’étudier, d’analyser
conjointement le tout cela des années durant incluant / précédé de ma
psychanalyse totale et redondante;

* activité pseudo- cinématographique complétée de la prétention par
d’historiques profanateurs de ma personne et de mes facultés
intellectuelles, que, tel que vivant dans un trip, je vivais une
réalité qui m’était propre, comme si je vivais constament sous effet
de trip chimique - ou que je fus victime de retours sporadiques
d’antérieures consommations, ou simplement vivant - ou sporadiquement
- dans la perception tronquée de la réalité de façon naturelle par
débilité ou maladie mentale;

* ci-dessous �* corriger et conciser, lancé de-pierres �* détracteurs
et profanateurs:

* en fait de retours de trips on a trouvé que la prétention �* leur
potentielle existance en moi, potentiel déchiré par l’absurde, par la
démonstration, qui a consisté �* me re- confronter aux produits
incriminés puis �* me mettre en situations de vie réelles puis fictives
(par pur situationnisme) susceptibles de faire partir quiconque en
trip. Il en est ressorti que l’on ne fait pas de retours d’acides
neuroleptiques, il en ressort aussi que les neuroleptiques ne sont pas
des trips mais des produits qui rendent psychotique.

* Il en ressort que qui m’a historiquement taxé d’handicapé m’a en
fait taxé en principal de psychotique, pathologie qui si avérée et
imputable �* consos. aurait été mise �* la charge de lui conseiller
témoin et de son père l’administrateur de ces produits �* moi en âge
d’ado.

* Est laissé �* appréciation: le fondement de cette prétention �*
potentiels retours de ce produit, tout comme celle de moi �* potentiel
de retours de, en supplément car ceci fut déchiré par les mêmes
occasions et tout au long de ma garde prison où l’on a démontré mon
potentiel et ma personnalité - de toujours - �* ne pas céder au
déstabilisant de facon générale - et �* le contrer / le dénoncer quand
il est volontairement induit - ce qui a d’ailleurs autorisé �* moultes
exagérations et débordements le plus souvent par mon contrage et en
dénonciation de ces éxagérations, d’exactions.

* Est enfin laissée �* appréciation libre mais �* charge des feu-
détracteurs et accusateurs, ma non-affectation de facon générale du
point de vue de ma perception de la réalité De consomations faibles
jusqu’�* bien des exces, même au cumul de diverses drogues telles que
nicotine, alcool, chanvre et dérivés opiacés jusqu’�* champignons, coke
et acides neuroleptiques ou trips pseudo- pharmaceutiques, la
normalité est que tout un chacun “fait” ( ) �* ces conso de par sa
volonté ou non n’en est que au fil du temps d’autant moins (dés-)
situationnables, cad. susceptible de perdre le contact avec la
réalité.

* Tout au plus peut-on me reprocher quelques énervements mais il a été
démontré par les mêmes occasions et durant tous les loftages salops
crapuleux et hostiles qu’ils étaient auto- protection et contrage par
la dénonciation jusqu’�* prise sa en compte et arrêt de véritables
ignominies, dont une partie ont été faites pour me mener �* bout,
visiblement pour étudier les conséquences strictement normales du
pousse �* bout. Cela aussi pour démonter les accusations de famille
secte m’ayant historiquement taxé, très contradictoirement, de
nerveux, de fatigué, de dépressif et de psychotique, mon tout étant un
handicapé, suprême dont j’ai du me défendre conscientisant
pertinemment et constamment l’abus et l’agression colonialiste et
ingérente qu’elle représentait, sans avoir personne �* qui ni les
moyens verbaux et dialectiques de dénoncer l’accaparation qu’ils
faisaient de moi.

* Démonstrations donc, en fait quelques faibles empoisonnements visant
�* me faire remémorer et �* extérioriser par observation de moi puis par
mes commentaires leur action in situ et surtout le subie pré-ado, âge
auquel le prétendant �* retours avait au moins induit leur usage abusif
et constaté catastrophiques et crapuleux effets sur ma personne. Le
même est dénoncé de ne s’être émus de voir pré- sénilisé qui devenue
consommatrice de cortisone en toute absurdité pour tous soins médicaux
pour le moins incompréhensibles, c’est de morphine qu’il eu pu s’agir
et non de ce remède de chevaux si le but était de calmer des douleurs
en attente de soins plus pertinents .. ils sont tarrés, rendent des
gens séniles pour leur cacher que pendant ce temps ils font suggestion
�* qui veut l’entendre que d’autres seraient malades - ou restent en
expectative; le mal fait, quand on se contente d’attendre il faut ..
s’attendre �* des retours sur (investissement de) prétentions.

* Tout cela dit pour situer mon aversion, ma répugnance �* la
prétention de recherches en moi de pathologies quelconques, de
faiblesses ou propension.

* Cela pour toute réponse et pour rétorque, pour défense et pour
vengeance, par le seul moyen qui m’est offert et raisonnable.

=====

* Il doit être considéré par tous que aussi grosse la rétorque
puisse-t-elle paraître elle est psychanalytique et théorisante plus
que évocatrice ou dénonciatrice, si elle est extériorisée ce ne sera
que collatéral �* ce que l’on m’a fait vivre depuis toujours et au
subis de ma prison inclue psychanalyse publique - subissance
exacerbante en redondance / et redondante; qui réalise cela
considerera que les proportions sont gardées et que chacun concerné de
près ou de loin ainsi que témoins ou lecteurs le devenant feront le
mieux en intériorisant toutes considérations et réactions.

=====

* Nonobstant le “gag” qu’il me serait obligé de leur faire en cas de
non- ouverture de ma prison qui serait de renommer ceci en un
accusatoire et de leur suggérer de faire encore un film, celui de leur
procès, le vrais, comme ils ont fait celui de ma vraie vie, comme ils
m’ont fait le vrais procès de toute ma vie.

=====

$ Écrire et relater tout ca n’est pas plus agréable que de l’avoir
vécu, il est difficile de sauver le pire autrement qu’en invoquant
encore et toujours l’analytique, le parfois récupérable pour bien
publique par théorisation, cette prison analytique tente de récupérer
tout le monde par l’analyse et donc oblige �* l’expression de tous ses
tenants et contenu.

$ Le mensonge et le non-dit, le faire semblant, l’outrance dans le
laissé- passer est responsable de tout l’évoqué. Il est le fondement
même de la psychanalyse tant invoquée et trouvée seul exutoire pour
tous, que de citer, d’expliquer, de tenter de comprendre, ce qui
n’implique pas de l’accepter, toute et rien que la réalité. Sinon ..
on finira tous schizophrènes et dépressifs, psychotiques ou
psychopathes. Sans faire dans la littérature. A chacun la charge de
trouver psychologie pour assumer, pour s’assumer.

=====

* Quand ce fut le cas de parvenir �* me déstabiliser ce fut bien sûr
uniquement du fait de l’inconnu de ma situation de séquestré - non
informé de vivre tel un prisonnier de droit commun en liberté
surveillée et accompagnée - et pour cause de fabrication d’évènements
que l’on m’a fait vivre sous prétention de situationnisme;

* suggestion de déficience par qui pré- cité avait alors la crainte
que je ne découvre le passé, que je puisse trop me l’expliquer:
utilisateurs de psychiatrie et administrateurs de produits chimiques,
actes auxquels ils cherchent depuis toujours justification dans des
livres nauséabonds de la neuropsychiatrie et de la psychologie,
ceux-l�* même qui les auront amené quand pas protégés, �* me chimiquer.

° Pour en finir avec la déstabilisation il faut évoquer qu’en réponses
�* toutes situ dangereuses pour eux, cad. mettant en péril le silence,
même �* situ de douces pousses humoristiques �* leur suggérer de
retomber de leur pied d’estalle, ils ont toujours répondu par menaces,
par autoritarisme, ou par pétages dialectico- littéraires; allant
jusqu’�* mener ç mon encontre et �* mes frais plusieurs procédures en
justice et conseils / demandes de ma médicalisation, cela dénoncant
leur mauvaise foi �* la fois leur incompétence et manque de savoir
vivre, d’honnêteté, cela dénoncent leur peur panique �* être découverts
et expliqués. En guise de toute fin de non- me re(ce)voir ils ont
induit psychanalyse mais d’abord demandé vie en appartement
thérapeutique ce qui pour des raisons suppléantes �* leur volonté �* été
fait mais sous forme d’une prison loft pirate. Si �* procédure
normalisée j’avais été contraint j’aurais fais exode, exile
psychiatrique, rajouté de procès pour demande de punition et réponses
�* mes questions concernant qui prétendument abusée !

=====

Faits de neuro- chimie, de psychiatrisation
rapide
1989 ?

$ Moi en âge d’adolescence, père Staline induit par son fils alors en
prémices de s’empêtrer dans des études de psychologie, s’est entêté de
me faire psychologiser pour des raisons d’encombrement et de
recherches en moi pour de leurs raisons imaginées (par eux seuls), de
maladies tout aussi inconnues que je ne comprenais cet entêtement �*
m’en supposer.

$ Cette prétention �* aboutis �* ma mise en observation psychiatrique en
milieu hospitalier; pour toute observation il s’est agit de me faire
consommer une quantité faramineuse de psychotropes �* effets multiples
et variés: anti- dépresseurs, anxiolytiques, anti- épileptiques, anti-
parkinson, psychotropes, et autres ignominies de la pseudo- pharmacie
cérébralo- lavante.

$ Après quinze jours de garde et une quantité que j’estime �* quelque
trois cents pilules ou gélules et autres comprimés neuro/psycho-actifs
et talqués j’ai un jour cru mourir de ne plus pouvoir pisser, épris de
douleurs effrayantes je n’ai même pas osé m’adresser au personnel
soignant de peur de me voir médicaliser supplémentairement pour cette
“pathologie mésocomiale” dont le psychiatre prescripteur que je
jugeais déj�* pour ni plus ni moins qu’un laborantin était, sans que je
n’en eu le moindre doute, seul responsable.

=====

2001

* La vraie raison de ma prison loft s’est révélée et progressivement
précisée au cours de son existence, elle était protection de ma
personne en accord commun de plusieurs autorités (je n’en ai pas été
informé, je dois concevoir cette évidence)

* de récupérer une situation, le constat des conséquences de ces
manipulations (cf. rencontre prolongée avec qui mineure), situation au
coeur de laquelle les premiers (doux bandits) n’auront pas stoppé
encore moins dévoilé leurs agissements, outre de l’avoir supervisée
(épiée) ils l’ont activement complémentée par quelques manipulations �*
d’entre mes faits et gestes, même si pas très conséquents.

* situation: �* savoir ma rencontre avec la fille plus que mineure
d’une haute personnalité. Il apparaît que cette rencontre a pu être
fabriquée au moins induite, peu importe de savoir si les précurseurs
de [dvc²] étaient complices ou si cette entremise était le fait ou
l’accident de seules autres personnes désirant si malfaisantes me voir
accusé de faits criminels ou psychiatriques au seul but alors
envisageable de me faire enfermer, dans ce cas probablement �* but de
me donner �* disponibilité .. de prisonniers de droit, sinon
psychiatrisé donné �* [dvc²]; mais cette boucle en hypothèses avec
[dvc²] n’est pas �* faire, sous peine d’en reprendre pour un tour
d’analyses qui ont été menées mais qui n’aboutissent pas, je n’ai pas
d’éléments corroborants, j’ai au contraire pour refuser cette
hypothèse une forte suspicion d’évènements fabriqués mais croisés, les
faits de plusieurs groupes activistes conscients ou pas du potentiel
de conséquences.

* Il ressort de ce que l’on m’a communiqué / il ne parait pas possible
autrement mais trop peu d’éléments me permettent de le certifier
plusieurs années plus tard après tout le vécu et toutes les
manipulations subies rajoutées au fait que l’on réfléchis encore /
qu’on me laisse encore �* réfléchir

* que probablement des caméras pirates auront été placées en mon
domicile avant ma rencontre avec qui mineure, puisque on me relate
notre vie commune dans ses plus stricts détails; a-t-elle sinon relaté
si précisément nos moments communs, cette hypothèse fantasmagorique au
vu des détails évoqués, impartiaux et autres en notre faveur commune,
m’est suggérée par qui de mes correspondants, sans que je ne puisse le
certifier (mieux vaut ne pas pouvoir in situ et ce n’est de toutes
façons qu’un détail);

* cette prison loft pour m’éviter une procédure judiciaire et/ou
psychiatrique; complémentairement permettant la recherche des buts et
des actes et de leurs conséquences, des premiers précurseurs de [dvc²]
ainsi de rechercher comment pourquoi et qui avait induit ma rencontre
avec qui mineure précitée, éventuellement faire le rapprochement ou
découvrir coïncidence;

* si cette rencontre était fortuite il est aussi le constat que plus
que mineure elle a été, fut-ce par inconscience, entraînée �*
fréquenter �* des heures incompatibles avec sa minorité des endroits
inappropriés (boites de nuit jusqu’�* fermeture, afters après fermeture
des boites, activité professionnelle dont j’ai conclus plus tard
qu’elle ne devait exister que le temps de vacances, etc...). [dvc²]
était l�* avant, �* assisté puis �* disparu.

* coupé: Les premières ...

=====

* Je n’ai pas plus fuis �* l’étranger comme me l’a suggéré mon père
sans me dire pourquoi, qu’on ne m’aura jamais mis en prison ni qu’on
ne m’aura informé de quelque procédure qu’il fut, il n’en a pas été
menée d’autre que celle objet du présent récit donc sans implications
administratives, en toute discrétion et en toute clandestinité;
prémisse et parallèle �* ma vie en prison loft, sans qu’elle ne fut
jamais déclarée �* moi autrement que �* distance, non sur papier mais
par dires et jamais en clair ni en face;

* période de vie �* considérer principalement pour des lofts pirates
parfois amis parfois hostiles parfois simulateurs dits du
situationnisme, avérés prison domiciliaire ou encore, et c’est une
constante, présentée sous le jour de la psychanalyse et �* but de ma
protection, probablement aussi celle d’autres, les clandestins
précurseurs;

* qui, dont j’ai appris plus tard que je l’aurais abusé du fait de son
jeune âge, aurait envie de me retrouver lors de sa majorité que cette
quasi séquestration lui évitera de me voir sortir de prison - de l’une
de celles faites de murs et de barreaux; pas plus que n’auront eu lieu
officiellement ni injonction ni prise en charge thérapeutique ou
psychiatrique ni judiciaire de qui que ce soit des précurseurs et
opportunistes ou complices, bien que assurément et pour ma protection,
pour ma défense, j’aurai été suivi de tout temps par des instances
médicales et surtout (psych-)analytiques sans qu’elles ne se soient
identifiées, se laissant deviner et constater;

* j’ai contacté moi-même avant et durant mon temps de garde, des
intervenants sociaux et de la psychiatrie, pour poser des questions et
expliquer quelque peu une situation qui s’était déroulée quelques mois
plus tôt; quelques visites médicales et court séjour en psychiatrie
pour me reposer de subissances physiques plus que psychiques,
concrètement pistages et loftages et faits de drogues de mon insu, me
faire examiner et demander quelques soins médicaux.

* Une rencontre de quelques jours avec qui l’on m’a un jour indiquée
être fille d’une importante autorité, se gardant mais il était de
toute façon trop tard de me dire qu’elle était bien plus jeune que je
ne le pensais, il m’est apparu beaucoup plus tard lors de psychanalyse
que cette rencontre �* peut-être été fabriquée, induite pour se servir
de moi en m’attirant des ennuis, devenu taxable d’abus sur mineure de
plus pas sur n’importe qui ce qui m’a peut-être sauvé; plusieurs
groupes de personnes se sont-ils croisés lors de ces prémices �* ma
prison, d’aucuns soupçonnés de fabrication sont-ils peut-être simples
témoins ou actifs entremetteurs, d’autres placés devant le constat
d’une relation entamée qui n’aurait alors (temporel) pas du exister.

* De toute évidence des instances psy et médicales ont assisté et
participé �* tout ou partie du temps que j’aurai passé en cette prison
loft, sans s’identifier plus que par leurs agissement
(psych-)analytiques poussés jusqu’�* un écolage de moi �* cette
pratique. Cela ressemble �* un semblant de deal - entre un écolage �*
mon profit et un sujet d’études offert ou récupéré, accepté, �* / par
des pratiquants des professions de l’analyse et de la psychologie
jusqu’�* la psychiatrie conjointement de médecine au sens large,
écolage corroborant �* mes pré- dispositions �* l’analyse au sens large
jusqu’alors appliquée concrètement au seul domaine informatique.

=====

* En collaboration via cette instaurée téléconférence fondamentale au
loftage, nous avons dénoué et débusqué presque tous les éléments et
intervenants, �* la fois des prémices et du contenu �* / de ma prison
loft: on trouve avant et pendant du crapuleux et du scénarisé, du
banditisme, du sectarisme, du réel et du situationné, voir de l’auto-
situationnisme suite �* de réels débordements dû �* la durée de ma
séquestration.

* Séquestré en toute clandestinité pour des faits de moeurs
prétendument répréhensibles conscientisés plus tard mon seul passage
en hôpital le fut pour repos suite aux exactions des premiers lofteurs
pirates -des tarrés qui se sont chargés de me faire peur et provoquer
tachycardie (aléas cardiaques) jusqu’�* ce que je quitte provisoirement
mon nouveau logement, propriété familiale, pour aller me reposer d’eux
et des préliminaires interrogatoires subliminaux actes de ma famille
alors secte peut-être manipulé mais pas moins complice, ainsi que de
quelques abus de substances psychotropes et exténuantes, qu’elles
eurent été mélangées �* mes fumes anodines et naturelles par des voyous
invoquant ou suggérant ensuite de peu scrupuleux dealers de beuh ou
qu’elles furent truffées, en plus ou pour tout et comme ce fut le cas
encore plus tard durant le loftage, au contenu de mon moulin �* café -
en clair il s’agissait de coke, speed, viagra et anxiolytiques - . Ils
se faufilaient dans les vides techniques de mon immeuble, certains y
ont pénétrés avec des clefs;

“tu sais bien qui est l�*” dixit le hamster

* plus tard on a placé chez moi du matériel de surveillance: caméras
thermiques et micros, cela apparemment pour le compte et sur la
commenditation de et en la présence du père de qui prétendument abusée
sinon de celle d’un autre meneur de l’épopée du dit placement, alors
le hamster �* qui est attribuée la citation ci-dessus en titre,
pourquoi pas le père a pu être le hamster, visiteur caché en voisinage
les week-ends et travailleur de ses heures fériées �* venir m’examiner;

* hypothèse peu probable et non- décrite ici sur l’identité du hamster
s’il ne fut pas le papa, abandonnée faute d’autres éléments
corroborants �* identifier cet animal terrier - terrier car il
utilisait des locaux et leurs accès aux vides techniques pour
communiquer avec moi par effets de voisinage [a été étudié mais ne
trouve pas confirmation, voir la citation du (hamster), les hypothèses
et analyses �* ce sujet n’aboutissent pas; �* savoir que elle et moi
aurions été cinégraphiés en prémices �* ma prison par quelqu’un d’autre
de son entourage;

* travail de truffage de cet appartement, ma prison loft, exécuté par
qui pour partie et indubitablement identifiés lors de leurs tests du
matériel; ils testaient la première caméra thermique probablement
fixée sur une paroi dans l’intérieur d’un vide technique;

* peut-être l’installateur est-il soupçonné par moi �* tord d’avoir au
préalable du loft prison utilisé �* mauvais escient ce même matériel,
sinon il aura mentis �* ses accompagnateurs de ce jour l�* et / ou ce
groupe de personnes n’était-il pas uni dans ses sentiments et
intentions �* mon égard. Les personnes présentes parfaitement
identifiées ne seront pas citées, leur présence et connivence
m’intrigue encore.

* Au moyen de ce matériel et avant l’arrivée / le retour de [dvc²] on
m’a fait de multiples loftages croisés et partagés en tranches
horaires, depuis un voisinage direct de mon studio- appartement,
depuis un appartement probablement sous-loué partiellement aux
occupants réguliers.

Prémices

* Il m’est rapidement apparu qu’il est plus que probable que les faits
incriminés concernant fille de qui ont été partiellement au moins
induits si pas totalement fabriqués par manipulation de moi ou de nous
deux, par un ou deux groupes de personnes dont l’un - de ses amis -
aura été l’entremetteur et l’autre aura éré [dvc²], de toute façon
présents et actifs depuis et durant plusieurs mois de façon
subliminale et parcimonieuse;

* [dvc²] �* pris bien garde de me dévoiler son existence en agissant
qu’avec parcimonie, �* ce stade des révélations et analyses - le reste
je l’apprendrai de visu et en privé après ma prison loft, il ne sera
pas relaté - il n’apparaît pas de réponse �* la question de savoir ce
qu’ils projetaient;

* la suggestion d’un gag sous forme de pré tests ne trouve pas mon
approbation, dû au caractère malsain, insultant, de leurs agissements:
il n’apparaît pas autre chose qu’ils ont tenté de me diminuer
psychiquement jusqu’�* me déficienter intellectuellement, difficile
pour eux ensuite de faire valoir �* un gag durant lequel ils se
seraient entraînés �* l’objet et responsable de batailles et non- plus
de jeux durant toute ma séquestration en marge de ma psychanalyse.

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Terrain de guerres

* Ma prison fut un lieu de guerres - l’endroit et le moyen étant les
téléconférences, impliquant plusieurs bureaux et auditoires ou salles
de conférences, d’autres intervenant depuis leur domicile; pour partie
des lieux isolés pour partie accédés par un certain public:ou des
groupes de personnes dont on en dit, et j’en ai constaté, de mes amis,
famille, anciennes relations de travail ou autres connaissances, on y
trouve aussi autorités �* l’évidence au moins médicales, des inconnus
protecteurs ou accompagnateurs positivistes, des personnes privées et
des professionnels de la (psych-)analyse;

* ainsi que d’autres ayant appris au fil du temps l’existence de ma
prison et celle de blah ... quand pas suite �* indiscrétion ou sur
invitation. Pour bon nombre [dvc²] prend le dessus sur ma personne,
mais il n’a du échapper �* personne ou pas longtemps que si je suis
comme on le constate contraint de vivre cette situation, elle existe
par et pour le fait de [dvc²] poussé �* un incommensurable point et
niveau de subissance plus tard après psychanalyse.

-- la suite quand ils n'auront pas arrêté.