Eindelijk gaat de N-VA weer een poging doen om de agenda te bepalen, en dat via de enige mogelijke weg: als het federale niet meer werkt, dan gaan de regeringen die wél werken (de Vlaamse en de Waalse) de levensnoodzakelijke bevoegdheden zelf uitoefenen.
Citaat:
http://www.dhnet.be/infos/elections-...s-d-echec.html
LE PLAN DE BART EN CAS D’ÉCHEC
(06/09/2011)
La N-VA "ne souhaite pas d'élections si les négociations échouent"
Dans son interview �* la RTBF, il ne prône pas le retour aux urnes, mais que les Régions reprennent le flambeau
(...)
Le reste de l’interview devrait aussi réserver d’autres petites phrases. “Il explique que si les négociations actuelles échouent, il a un plan ! Il ne s’agit pas d’un retour aux urnes. Son idée, c’est que les deux régions (il ne parle bien sûr pas de Bruxelles) reprennent le flambeau pour aller vers un confédéralisme total et décident ce qui reste commun. On aurait des régions quasiment comme des états indépendants. Et tout cela sans passer par des élections.”
(...)
|
En Philippe Mouraux zegt hoe het praktisch moet gerealiseerd worden:
Citaat:
http://www.dhnet.be/infos/elections-...e-la-main.html
SI LES NÉGOCIATIONS ÉCHOUENT, MOUREAUX VOIT DE WEVER REPRENDRE LA MAIN
(07/09/2011)
(...)
"Ca aurait une logique puisqu'ici, c'est lui qui n'a pas voulu participer �* la négociation. Si échec il y avait, il deviendrait quasi-incontournable".
La Belgique entrerait dans ce cas dans une configuration tout �* fait différente. M. De Wever ne s'en est pas caché dans un entretien accordé �* la RTBF: il veut former une coalition des bonnes volontés ('coalition of the willing') au parlement pour mettre en oeuvre les recommandations de la Commission européenne en matière socio-économique et appliquer l'article 35 de la Constitution, c'est-�*-dire entrer dans une logique confédérale.
Cet article, dont le contenu n'a jamais été concrétisé, prévoit que les compétences de l'Etat fédéral sont énumérées limitativement et que les autres compétences sont exercées par les entités fédérées. En d'autres termes, les partis flamands et francophones devraient s'accorder sur ce qu'ils veulent encore faire ensemble -dans l'interview, M. De Wever ne citait guère que la Défense-, le reste étant laissé aux Communautés et Régions.
"Si cela ne réussit pas ici, je crains que nous soyons dans un autre monde, qui ferait trinquer Wallons et Bruxellois de manière fondamentale", a prédit M. Moureaux.
D'après lui, les conséquences pour les francophones seraient lourdes: chaque Wallon ou Bruxellois verrait ses revenus diminuer de 10 ou 15 pc.
Evoquant Bruxelles-Hal-Vilvorde, le sénateur bruxellois a aussi appelé les partis francophones �* ne pas se concentrer sur les symboles au détriment du fond. "Et c'est un piège que les partis francophones n'ont pas évité ces dernières années", a-t-il ajouté.
(...)
|
Eén bemerking nog: de N-VA zou er imho goed aan doen om deze strategie luidop en met met grote kracht te afficheren naar het Vlaamse kiezerspubliek toe. Dit zou twee voordelen bieden. De N-VA zou weer duidelijk naar voor komen als dé grootste Vlaamse partij die de toekomst van Vlaanderen uitstippelt. En - belangrijker - ze zou de druk opdrijven op de Vlaamse partijen die nog steeds op een anachronistische wijze binnen het Belgicistische kader blijven onderhandelen.