[Nota Bene]

Oorspronkelijk geplaatst door Vanguard

Dito.

Oorspronkelijk geplaatst door H.F.K. Günther in Kleine Rassenkunde des deutschen Volkes

Die zu einem Volke durch gleiche Sprache, durch gleiche Sitten oder gleichen Glauben verbundenen Menschengruppen der Erde stellen mit kaum einer Ausnahme Rassengemische dar, nicht Rassen. Alle abendländischen Völker sind Rassengemische, in welchen in bestimmtem Mengenverhältnis rein und miteinander vermischt alle Rassen Europas oder doch mehrere der Rassen Europas vertreten sind. Was von Volk zu Volk verschieden ist, das ist — rassenkundlich betrachtet — nicht etwa die Rasse, sondern das Mischungsverhältnis der Rassen. Im Rassengemische des einen Volkes ist die eine Rasse oder sind mehrere Rassen stärker vertreten als im Rassengemisch des anderen Volkes.

Oorspronkelijk geplaatst door Otto Strasser in Aufbau des deutschen Sozialismus

So gesehen stellt sich ein Volk als ein Gemisch verschiedener Rassen dar, ähnlich dem Kind, das väterliche und mütterliche ‚Rassen‘-Bestandteile in einem bestimmten Mischungsverhältnis in sich vereinigt. Zu den biologischen Einflüssen dieser Rassenmischung kommen nun die geopolitischen Einflüsse der Lage, des Klimas, der Ernährung usw. und schließlich die historischen Einwirkungen der Auseinandersetzung mit anderen Völkern, der inneren Ausgleichung, der eigenen Reifung usw. Aus diesen dreifachen Bestandteilen von Rasse, Landschaft und Geschichte bildet sich also das ‚Volk‘.

Oorspronkelijk geplaatst door René Guénon in Introduction �* l'étude des doctrines hindoues

Une question se pose cependant ici, que nous ne pouvons pas nous dispenser d’indiquer brièvement : nous avons parlé de la race européenne et de sa mentalité propre ; mais y a-t-il véritablement une race européenne ? Si l’on veut entendre par l�* une race primitive, ayant une unité originelle et une parfaite homogénéité, il faut répondre négativement, car personne ne peut contester que la population actuelle de l’Europe se soit formée par un mélange d’éléments appartenant �* des races fort diverses, et qu’il y ait des différences ethniques assez accentuées, non seulement d’un pays �* un autre, mais même �* l’intérieur de chaque groupement national. Cependant, il n’en est pas moins vrai que les peuples européens présentent assez de caractères communs pour qu’on puisse les distinguer nettement de tous les autres ; leur unité, même si elle est plutôt acquise que primitive, est suffisante pour qu’on puisse parler, comme nous le faisons, de race européenne. Seulement, cette race est naturellement moins fixe et moins stable qu’une race pure ; les éléments européens, en se mêlant �* d’autres races, seront plus facilement absorbés, et leurs caractères ethniques disparaîtront rapidement ; mais ceci ne s’applique qu’au cas où il y a mélange, et, lorsqu’il y a seulement juxtaposition, il arrive au contraire que les caractères mentaux, qui sont ceux qui nous intéressent le plus, apparaissent en quelque sorte avec plus de relief. Ces caractères mentaux sont d’ailleurs ceux pour lesquels l’unité européenne est la plus nette : quelles qu’aient pu être les différences originelles �* cet égard comme aux autres, il s’est formé peu a peu au cours de l’histoire, une mentalité commune �* tous les peuples de l’Europe. Ce n’est pas �* dire qu’il n’y ait pas une mentalité spéciale �* chacun de ces peuples mais les particularités qui les distinguent ne sont que secondaires par rapport �* un fond commun auquel elles semblent se superposer : ce sont en somme comme des espèces d’un même genre. Personne, même parmi ceux qui doutent qu’on puisse parler d’une race européenne n’hésitera �* admettre l’existence d’une civilisation européenne ; et une civilisation n’est pas autre chose que le produit et l’expression d’une certaine mentalité.

Drie verschillende bronnen, één samenhangend verhaal.