Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Jozef Ostyn
Ik stel vast dat de spanningen tussen moslims en niet-moslims in de VS veel kleiner zijn dan in Europa. Het is trouwens opvallen dat internationale moslim-terroristen er quasi niet in slagen om medewerkers te recruteren onder de moslim-gemeenschap in de VS, terwijl ze op dat vlak veel suuccesvoller zijn in Europa. Volgens mij heeft dat te maken met de veel succesvollere integratie en assimilatie van migranten in de VS.
En wat Bush betreft, was dat niet de president die onmiddellijk na 11 september bezoeken bracht aan moskeeën en in niet mis te verstane bewoordingen opriep om als moslims en niet-moslims schouder aan schouder te staan in de strijd tegen het terorrisme.
Het komt mij voor dat Europa hier nog veel te leren heeft van de VS.
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Absoluut correct. Heb dat zelf meegemaakt in de VS.
Trouwens een artikel uit Le Figaro van gisteren bevestigt het falen in Europa.
[font="]http://www.lefigaro.fr/cgi/edition/genimprime?cle=20041217.FIG0094[/font]
Hier een uitreksel ervan (voor deze die geen frans verstaan, ga naar babelfish.com)
Les chiffres sont très frappants : 75% des Suédois estiment que les Européens n'aiment pas voir des musulmans en Europe, c'est le cas de 72% des Hollandais, de 67% des Danois et de 61% des Allemands. Comme si l'Europe du Nord, avec son calvinisme sans Dieu, était la plus fragilisée par la réémergence, au sein d'une société laïque d'une religion marquée par le prosélytisme. Le paradoxe est que d'un pays �* l'autre, le sentiment antimusulman est nourri par des communautés d'origines très diverses. En Allemagne, les trois millions de musulmans sont en majorité venus de Turquie. Aux Pays-Bas, les immigrés turcs sont très bien intégrés, mais ce sont les 300 000 immigrés d'origine marocaine (�* 90% venus du Rif) qui nourrissent la paranoïa contre l'Islam. En Suède, ce sont les musulmans d'origine kurde ou bosniaque qui servent de prétexte �* ce que la journaliste Christina Forsne appelle «une dépression collective, un travail de deuil �* cause de la mort lente de nos rêves d'une société parfaite».
De fait, c'est bien le modèle du «multiculturalime» – la coexistence pacifique de communautés diverses vivant dans le respect des mêmes valeurs – qui a vécu, avec l'échec des sociétés les plus sophistiquées du Vieux Continent �* intégrer les immigrés musulmans de la seconde génération, tentés dans une infinie minorité de cas par le fondamentalisme. «Le malaise de l'islam a émigré en Europe, explique �* Amsterdam le sociologue Paul Scheffer, et l'islam est confronté chez nous �* une adaptation fondamentale : de majoritaire, il doit se définir comme une communauté minoritaire, dans une société sécularisée.» Aucun pays d'Europe n'a jusqu'�* présent réussi complètement cette assimilation. «Beaucoup d'émigrés ont quitté leur pays, mais ne sont pas encore arrivés chez nous», affirme Paul Scheffer.
Mits wat zoeken zal men ook de nederlandse tekst van Scheffer kunnen terugvinden