=?windows-1252?Q?R=E9jean_Laflamme?=
27 augustus 2006, 16:24
dume a écrit :
> Anonymous via the Cypherpunks Tonga Remailer a écrit :
>
>> Ya ka virer les négres, et les arabes de l'équipe de Franceé, on en
>> fera venir d'autres dans 4 ans. CQFD mon Dédé !!!!!!!!
>>
>>
>
>
> 30-06-2006 10:31:00
> Pays : FRA
>
> FRFR
>
> FRS0212 40164 /AFP-JK96
>
> COLMAR (Haut Rhin), 30 juin 2006 (AFP) - Une internaute d'une vingtaine
> d'années a été condamnée jeudi �* quatre mois de prison avec sursis par
> le tribunal correctionnel de Colmar (Haut-Rhin) pour avoir tenu des
> propos racistes sur un forum Internet, a-t-on appris vendredi de source
> judiciaire.
>
> Originaire du Bas-Rhin, la jeune femme comparaissait pour ses écrits
> racistes �* l'encontre des personnes d'origine maghrébine ou africaine,
> tenus �* plusieurs reprises en 2004 sur un forum de discussion Internet.
Comme on ne sait pas ce qu'elle a dit, on peut aussi bien croire qu'elle
a dit : "il y a trop d'étrangers en France" (ce qui pour moi n'est pas
raciste), que "les bougnols forment une race inférieure laide qu'il faut
éliminer" (ce qui l'est).
Lu avec intérêt �* ce sujet :
http://www.vdfr95.com/Journal85/editorial_85.htm
Faut-il une législation antiraciste ?
EDITORIAL
par Henry de Lesquen
Une incrimination très spéciale
Faut-il une législation antiraciste ? On n’en avait pas senti le besoin
avant 1972. On s’en tenait, auparavant, �* la loi de 1881 sur la liberté
de la presse, qui avait fait table rase de tous les délits d'opinion et
qui se bornait �* réprimer l’injure, la diffamation, la provocation �*
certains crimes ou délits. La loi Pleven de 1972 a introduit une
incrimination très spéciale, qui vise la provocation �* “la
discrimination, �* la haine ou �* la violence �* l'égard d'une personne ou
d'un groupe de personnes �* raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non-appartenance �* une ethnie, une nation, une
race ou une religion déterminée”... Pourquoi cette nomenclature
improbable ? Si l’on avait vraiment voulu chasser la haine du coeur des
hommes - noble idéal, projet utopique -, il aurait fallu condamner toute
les formes de provocation �* la haine sociale... et se résigner, en
conséquence, �* dissoudre les partis marxistes, qui appellent �* la lutte
des classes ! La loi Pleven est donc entachée d’un biais qui dénote son
illégitimité : elle est précisément conçue pour atteindre les
adversaires de l’immigration, et eux seuls. Il est permis d’admirer
Staline ou Pol Pot, mais on risque la correctionnelle, si l’on doute des
bienfaits de l’immigration ! Une jurisprudence orientée préserve
jalousement cette intention fondatrice : le racisme anti-français ou
anti-blancs a beau faire bien plus de dégâts que le “racisme”
anti-immigrés, il n’est pour ainsi dire jamais condamné.
Une législation anti-nationale
La vraie justice exige l’abolition de cette législation d’exception, qui
porte atteinte �* la liberté de pensée et au débat démocratique, et qui
n’est donc nullement compatible avec les principes de la République.
Elle l’est d’autant moins qu’elle met sur le même plan la discrimination
“�* raison de la race” et la discrimination “�* raison de la nationalité”.
Or, cet amalgame est inadmissible. Il ne peut pas y avoir de nation sans
un minimum de préférence nationale, ce que traduit, notamment, le fait
que le droit de vote et l’accès �* la fonction publique sont réservés aux
nationaux. Un Français devrait donc pouvoir employer librement un
compatriote, de préférence �* un étranger. La législation dite
antiraciste est anti-nationale, puisque, d’une part, elle vise �* museler
les adversaires de l’immigration et de la société multiculturelle, et
que, d’autre part, elle fait l’amalgame entre le racisme, qui est
illégitime, et la préférence nationale, qui est, au contraire,
intrinsèquement républicaine. Cette législation “antiraciste” est
l’expression juridique avancée de l’utopie égalitaire. Entre ce faux
antiracisme et l’idéal de la République, il faut choisir.
Une intolérable chasse aux sorcières
Le regretté Georges-Paul Wagner, excellent homme et éminent avocat, qui
vient de nous quitter, s’est penché sur le sujet dans un livre du Club
de l’Horloge, "Penser l’Antiracisme". Lui qui avait défendu Jean-Marie
Le Pen dans moult procès, il pouvait mesurer combien cette législation
singulière portait atteinte �* la sérénité du débat démocratique, en
alimentant une intolérable chasse aux sorcières. Et il affirmait avec
force : “Je suis d’avis d’abroger la législation antiraciste, au nom de
la paix civile.” Comment ne pas être d’accord avec sa conclusion ?
http://www.vdfr95.com/livres.htm
> Anonymous via the Cypherpunks Tonga Remailer a écrit :
>
>> Ya ka virer les négres, et les arabes de l'équipe de Franceé, on en
>> fera venir d'autres dans 4 ans. CQFD mon Dédé !!!!!!!!
>>
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> 30-06-2006 10:31:00
> Pays : FRA
>
> FRFR
>
> FRS0212 40164 /AFP-JK96
>
> COLMAR (Haut Rhin), 30 juin 2006 (AFP) - Une internaute d'une vingtaine
> d'années a été condamnée jeudi �* quatre mois de prison avec sursis par
> le tribunal correctionnel de Colmar (Haut-Rhin) pour avoir tenu des
> propos racistes sur un forum Internet, a-t-on appris vendredi de source
> judiciaire.
>
> Originaire du Bas-Rhin, la jeune femme comparaissait pour ses écrits
> racistes �* l'encontre des personnes d'origine maghrébine ou africaine,
> tenus �* plusieurs reprises en 2004 sur un forum de discussion Internet.
Comme on ne sait pas ce qu'elle a dit, on peut aussi bien croire qu'elle
a dit : "il y a trop d'étrangers en France" (ce qui pour moi n'est pas
raciste), que "les bougnols forment une race inférieure laide qu'il faut
éliminer" (ce qui l'est).
Lu avec intérêt �* ce sujet :
http://www.vdfr95.com/Journal85/editorial_85.htm
Faut-il une législation antiraciste ?
EDITORIAL
par Henry de Lesquen
Une incrimination très spéciale
Faut-il une législation antiraciste ? On n’en avait pas senti le besoin
avant 1972. On s’en tenait, auparavant, �* la loi de 1881 sur la liberté
de la presse, qui avait fait table rase de tous les délits d'opinion et
qui se bornait �* réprimer l’injure, la diffamation, la provocation �*
certains crimes ou délits. La loi Pleven de 1972 a introduit une
incrimination très spéciale, qui vise la provocation �* “la
discrimination, �* la haine ou �* la violence �* l'égard d'une personne ou
d'un groupe de personnes �* raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non-appartenance �* une ethnie, une nation, une
race ou une religion déterminée”... Pourquoi cette nomenclature
improbable ? Si l’on avait vraiment voulu chasser la haine du coeur des
hommes - noble idéal, projet utopique -, il aurait fallu condamner toute
les formes de provocation �* la haine sociale... et se résigner, en
conséquence, �* dissoudre les partis marxistes, qui appellent �* la lutte
des classes ! La loi Pleven est donc entachée d’un biais qui dénote son
illégitimité : elle est précisément conçue pour atteindre les
adversaires de l’immigration, et eux seuls. Il est permis d’admirer
Staline ou Pol Pot, mais on risque la correctionnelle, si l’on doute des
bienfaits de l’immigration ! Une jurisprudence orientée préserve
jalousement cette intention fondatrice : le racisme anti-français ou
anti-blancs a beau faire bien plus de dégâts que le “racisme”
anti-immigrés, il n’est pour ainsi dire jamais condamné.
Une législation anti-nationale
La vraie justice exige l’abolition de cette législation d’exception, qui
porte atteinte �* la liberté de pensée et au débat démocratique, et qui
n’est donc nullement compatible avec les principes de la République.
Elle l’est d’autant moins qu’elle met sur le même plan la discrimination
“�* raison de la race” et la discrimination “�* raison de la nationalité”.
Or, cet amalgame est inadmissible. Il ne peut pas y avoir de nation sans
un minimum de préférence nationale, ce que traduit, notamment, le fait
que le droit de vote et l’accès �* la fonction publique sont réservés aux
nationaux. Un Français devrait donc pouvoir employer librement un
compatriote, de préférence �* un étranger. La législation dite
antiraciste est anti-nationale, puisque, d’une part, elle vise �* museler
les adversaires de l’immigration et de la société multiculturelle, et
que, d’autre part, elle fait l’amalgame entre le racisme, qui est
illégitime, et la préférence nationale, qui est, au contraire,
intrinsèquement républicaine. Cette législation “antiraciste” est
l’expression juridique avancée de l’utopie égalitaire. Entre ce faux
antiracisme et l’idéal de la République, il faut choisir.
Une intolérable chasse aux sorcières
Le regretté Georges-Paul Wagner, excellent homme et éminent avocat, qui
vient de nous quitter, s’est penché sur le sujet dans un livre du Club
de l’Horloge, "Penser l’Antiracisme". Lui qui avait défendu Jean-Marie
Le Pen dans moult procès, il pouvait mesurer combien cette législation
singulière portait atteinte �* la sérénité du débat démocratique, en
alimentant une intolérable chasse aux sorcières. Et il affirmait avec
force : “Je suis d’avis d’abroger la législation antiraciste, au nom de
la paix civile.” Comment ne pas être d’accord avec sa conclusion ?
http://www.vdfr95.com/livres.htm