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Pourquoi le VB veut diriger Anvers ?
Anvers, ville du fric et des diamants... Après la Deuxième Guerre mondiale, la Ville a contracté des emprunts pour développer le port. Des entreprises comme BASF, Hessennatie et Opel ont pu faire usage des nouvelles infrastructures portuaires �* un prix relativement bas. Une fois que la Ville a réalisé les investissements nécessaires, le port a été revendu. Le collège précédent, SP, CVP, VLD, Agalev et VU, a confié le port �* une «entreprise autonome». Cette décision unanime de la majorité a reçu l’approbation de la soi-disant opposition d’extrême droite. «Il n’y a pas eu que du négatif,» a dit Filip Dewinter. «Comme opposition, nous devons avoir le courage de le reconnaître. La transformation du port en entreprise autonome était une bonne chose.» A présent, les bénéfices du port vont aux patrons privés, tandis que le remboursement des prêts reste �* la ville. Anvers est réputé paradis fiscal dans les milieux d’entreprises. Comme capitaliste, on n’a qu’une chance en cent ans de voir son imposition contrôlée. L’an dernier, �* peine 0,8% des entreprises portuaires ont subi un contrôle fiscal, 0,2% des banques et 0,0% des diamantaires. (!!!) |
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