[Edina]

Oorspronkelijk geplaatst door luc broes

Volgens jou mag men dus ook niet praten over de moordenaar van Joe Vanholsbeek.
Want die knaap wou enkel een mp3-speler en had (hoogst waarschijnlijk) helemaal niet de bedoeling om Joe te vermoorden. Dat de verwonding de dood tot gevolg had betreurt die knaap wellicht ook.
Je kunt er ook nog aan toevoegen dat we moeten wachten tot alle feiten gekend zijn en het gerecht een uitspraak doet, vooraleer men van moord kan spreken. Of vind je dit onderscheid irrelevant?

Wat een belachelijke vergelijking! De aanklacht tegen Adam G. luidt wel degelijk moord hoor! Maar ook daar is het inderdaad de rechtbank die het uiteindelijke oordeel zal vellen.

Ik veronderstel toch niet dat ik je elementaire rechtsprincipes moet gaan uitleggen?

Natuurlijk verandert de aanklacht niets aan het feit dat er een dode is gevallen. Maar dat geldt in alle opzichten. Het verdriet van de familie wordt ook niet verzacht door de uiteindelijke aanklacht.

Cruciaal is evenwel dat verdachten worden aangeklaagd voor het juiste misdrijf. Anders mist ons recthsysteem haar doel compleet.

Ondertussen lijkt het er op dat er van duwen geen sprake is geweest. Een politieagent die ook gevallen was, maar wel tijdig weg is geraakt, heeft verklaard dat ze gevallen zijn door gedrang dat er was ontstaan. Maar het onderzoek is nog steeds niet afgerond. Het blijft dus vooralsnog afwachten.

Le policier tué �* la Foire du Trône aurait été victime d'un effet de foule, selon les enquêteurs LEMONDE.FR Avec AFP | 11.04.07 | 21h17 • Mis �* jour le 11.04.07 | 21h17

Après l'audition de 37 témoins du drame survenu lundi 9 avril �* la Foire du Trône �* Paris, les enquêteurs privilégient pour l'instant l'hypothèse selon laquelle le policier tué par la nacelle d'un manège pourrait avoir été victime d'un effet de foule. "Majoritairement, les témoignages nous donnent l'image que la chute du policier a été provoquée par ce que l'un de ses collègues a appelé un effet de foule", a expliqué le procureur de Paris Jean- Claude Marin, mercredi 11 avril, lors d'un "point d'étape" après 48 heures d'enquête.

Ce témoin privilégié est un second policier, tombé avec la victime, mais qui a pu se relever et s'écarter avant que la nacelle ne vienne frapper son collègue. Selon le procureur, le policier rescapé a déclaré dans son témoignage ne pas avoir eu "le sentiment d'avoir été poussé avec des membres", bras ou jambes. Par ailleurs, l'autopsie de la victime n'a pas mis en évidence de trace de poussée ou de défense.

Le magistrat a rapporté que les quatre autres policiers présents n'avaient "pas apporté de témoignage direct" mais que "tous privilégient une chute provoquée par l'attroupement lui-même et non pas par un ou des individus" en particulier". Evoquant l'hypothèse d'un acte volontaire avancée par deux hommes, présents dans la file d'attente de l'attraction, le procureur a expliqué que leurs témoignages étaient "plutôt déductifs : vu la foule qu'il y avait, il ne peut s'agir que d'une poussée".

TROIS PERSONNES INTERPELLÉES MISES HORS DE CAUSE
Lundi vers 21 heures, une bousculade �* l'entrée du manège "Le Maxximum" a été provoquée par une bande de jeunes dont certains étaient des resquilleurs. Des policiers se sont alors interposés. L'un d'eux, Reynald Caron, 31 ans, a été tué sur le coup par la nacelle de ce manège qui promet un plongeon dans le vide �* vive allure.

Selon le procureur, le fait qu'un placier du manège ait réprimandé un jeune homme ayant réalisé deux tours avec un seul billet serait �* l'origine des faits. Le jeune serait reparti avec un camarade avant de revenir accompagné d'une quinzaine de personnes de 18 �* 25 ans qui auraient agressé le placier et un autre forain, puis provoqué une échauffourée sur la plate-forme de 4 �* 5 m2 nécessitant l'intervention de cinq policiers en patrouille. "L'enquête de flagrance se poursuit", a déclaré le procureur, en expliquant que les trois personnes interpellées mercredi avaient été mises hors de cause.

Les obsèques solennelles de Reynald Caron ont lieu jeudi 12 avril au matin dans la cour d'honneur de la préfecture de police en présence du ministre de l'intérieur, François Baroin.

Bron: Le Monde