Joden = etnie! Religie is bijkomstig.

[Guderian]

Dat de joden in de eerste plaats een etnische groep zijn wordt nog steeds door velen gecontesteerd. Men gaat er van uit dat het jodendom vooral een religie is en niets meer dan dat. Dat de joodse religie in feite een bijkomstigheid is, toont de onderstaande tekst aan. De tekst wijst er op dat de joden voor dat ze in Jahwe geloofden in feite polytheïstische heidenen waren. De joodse etnie (dus zowel culturele als biologische achtergrond) heeft in de loop der eeuwen haar religie diepgaand gewijzigd. De tekst is jammergenoeg in het Frans, maar voor de meesten wel te begrijpen dacht ik...


Aux origines du judaïsme

1. Le culte polythéiste des premiers Juifs.

Avant de devenir monothéistes, les peuples des royaumes de Juda et de Canaan croyaient �* l’existence de nombreux dieux et déesses agissant sur l’ensemble de la nature et des activités humaines. Leur dieu suprême est El, dieu du ciel, divinité analogue �* l’Allah préislamique, au dieu Il des Babyloniens et au dieu El des Ougarites. Une variante de son nom est Eloha, dans la Torah par exemple, et il est souvent désigné, notamment �* Jérusalem, sous le nom d’El Elyon, « El le Très-Haut ». Mais il apparaît comme un dieu souverain lointain, dieu de la morale mais peu soucieux de rendre service �* l’humanité. Il règne sur le Mont-Lel et est le père des dieux. Il a pour épouse la déesse Elat, féminin d’El, appelée également Asherah, et qui est donc la souveraine du ciel.
Son fils Baal, dieu de l’orage, de la guerre, mais aussi de la fécondité masculine, est le dieu principal des premiers Juifs. Son nom signifie « le Seigneur » mais son nom originel, relativement tabou, est Adad, analogue au dieu akkadien de l’orage, Bel Hadad. Il est accompagné de son épouse, Ashtoreth, déesse de la fécondité, que l’on connaît �* Babylone sous le nom d’Ishtar, mais aussi de sa soeur, la déesse guerrière Anat. C’est avec elle que Baal combat contre ses nombreux ennemis. Son adversaire principal est Lotan, ancêtre du Léviathan, qui représente le serpent du monde, le dragon apportant le chaos. Il finira par le vaincre avec l’aide d’Anat. Son autre adversaire privilégié est Mavet (ougarite Môt), démon semeur de mort. Mavet tuera Baal au combat mais celui-ci renaîtra grâce �* son épouse Ashtoreth, qui ira le chercher au royaume des morts. Il faut rapprocher ces évènements du mythe d’Adonis. Adonis, c’est �* dire Baal Adad, a été tué par un sanglier, qui est en fait le dieu Mavet, mais qui fut interprété par les Grecs comme le dieu guerrier Arès, jaloux de l’amant d’Aphrodite. Dans ce mythe, Aphrodite, déesse grecque de l’aurore, est amalgamée avec Ashtoreth, du fait d’une ressemblance linguistique mais par forcément parce qu’Aphrodite serait une déesse d’origine sémitique. Enfin, Baal doit affronter le cruel dieu de la mer mais aussi dieu du mal, Yam.
Mais il existe de nombreux autres dieux comme Eshmun, dieu de la médecine, Arsay, déesse de la terre, Ishet, déesse du foyer et peut-être avatar juif de l’égyptienne Isis. Les dieux égyptiens d’ailleurs pénètrent en force dans le panthéon des premiers Juifs. Ainsi Osiris apparaît sous le nom d’On et Horus sous celui d’Houroun. On trouve aussi un dieu de la guerre et de la peste, Resheph, un dieu du Soleil du nom de Baal Shams, « Seigneur Soleil », analogue au syrien Baal Shamin, �* l’arabe Chams et au babylonien Shamash, et un « Vulcain » juif, Koshar, qui fournit des armes aux dieux, en particulier �* Baal. A l’exception d’El, les dieux vivent aux côtés de Baal sur le Mont Zaphon, « l’Olympe » juif. Ils sont souvent anthropomorphiques mais parfois également zoomorphiques. Ainsi Ashtoreth est parfois une vache, Baal un taureau, Shams un aigle.

2. Evolution du judéo-paganisme chez les Juifs d’Egypte.

L’Egypte connut, aux environs de 1850 B.C, une invasion sémitique, celle des Hyksôs. Il s’agissait essentiellement de soldats cananéens mais aussi, sans doute, des bandes de pillards assyriens et arabes, les Habiru, d’où viendrait le nom d’Hébreux. Cette armée triomphe de celle des Egyptiens et ces peuples s’installent aux postes de pouvoir. De 1730 �* 1580 B.C, les rois sont donc des Sémites et de même l’est toute l’aristocratie. Le dernier roi sémite sera Apopi III, nom �* rapprocher du serpent du chaos égyptien, Apep (Apophis). Vers 1580, les Egyptiens, ayant reçu vraisemblablement une aide des Libyens, se soulèvent et reprennent le pouvoir. Leurs anciens maîtres Hyksos passent du statut de dominateurs �* celui de soumis.
Entre 1580 et 1250, date �* laquelle les Sémites sont expulsés d’Egypte, la religion des Cananéens d’Egypte évolue profondément. L’élément déterminant est peut-être la religion révolutionnaire du roi Amenhotep III (Akhénaton) introduisant le culte du dieu solaire unique, Aton, et qui règna de 1372 �* 1354. Le personnage de Moshe (Moïse), dont on ne sait s’il est réel ou mythique, aurait peut-être été de la famille d’Akhénaton si l’on accepte le mythe selon lequel il serait égyptien. Mais il faut reconnaître que le premier judaïsme a bien peu de rapports avec le culte d’Aton, dont le nom, même déformé, est inexistant dans les textes religieux juifs.
Quoi qu’il en soit, les dieux cananéens, El, Baal et Ashtoreth notamment, voient leur culte régresser en Egypte au profit d’un culte nouveau, celui d’Elohim. Ce nom, qui signifie mot �* mot « les Dieux », désigne une nouvelle divinité, unique, �* la fois dieu du ciel et de la justice, comme El, et dieu de l’orage et de la guerre comme Baal. Les déesses sont rejetées du fait de l’androcentrie de ce nouveau culte. Il n’y a pas d’épouse d’Elohim alors que le vieux dieu suprême El en avait une. Et tous les dieux fusionnent en un seul, �* l’exception d’Helel, dieu de l’étoile du matin, qui fusionnant avec Baal Seth, devint Sathan. Il y a donc un dieu unique, de nature orageuse et effrayante, le contraire d’un dieu bienveillant comme Baal, �* la tête d’une armée d’anges et ayant pour faire ses basses besognes un ange déchu maléfique, Sathan. Et ce dieu ne se prête pas aux syncrétismes; c’est un culte raciste dans une terre étrangère et au sein d’un peuple qui, pour des raisons historiques et nationales, les hait. Notamment, les Cananéens sont rejetés parce qu’ils aiment sacrifier �* leurs dieux, puis �* leur dieu unique, des béliers. Or le bélier est un animal sâcré des Egyptiens puisqu’il symbolise le dieu du ciel Ammon-Rê. Cette impiété religieuse déplaît profondément aux autorités égyptiennes. De plus, le culte d’Elohim inquiète davantage les Egyptiens, déj�* échaudés par les délires d’Akhénaton. Il semble bien que le nationalisme égyptien de Ramsès II associé �* la colère des prêtres d’Ammon, aient abouti �* une mesure d’expulsion. Les Juifs d’Egypte retournent alors en Canaan où ils retrouvent une population juive demeurée polythéiste. Des guerres de religion s’ensuivent alors et une politique de conversion. Mais pendant plusieurs siècles, les rois juifs demeurent païens. Il semble bien que David comme Salomon aient été polythéistes et que les monothéistes triomphants s’attribuèrent ces personnages historiques en les présentant faussement comme des fidèles d’Elohim, qui sera ensuite appelé Yahweh, du mot araméen yavu, « divinité ».

3. Yawhistes contre Judéo-païens.

En retournant en Canaan, les Juifs monothéistes prennent le nom d’Hébreux, c’est �* dire de fils d’Heber, nom qui provient sans doute de celui des Habiru. Ils s’opposent alors aux Juifs païens qui y habitent. De nombreuses guerres religieuses et des conversions forcées ont dû avoir lieu, comme le montre la Bible. Mais l’opposition biblique entre Hébreux et Cananéens est purement mythique, les Cananéens n’étant pas autre chose que des Juifs. Les dieux se concurrencent alors. Yahweh est intégré par les Juifs païens; il devient alors le messager de Baal. De leur côté, les Yahwistes récupèrent l’imagerie des autres dieux. Ainsi il s’amalgame avec le dieu cananéen El Elyon, le dieu de Jérusalem, et dès lors devient le dieu suprême de la capitale cananéenne. Il devient aussi le protecteur de la Judée, débaptisée pour devenir Israël, « allié du dieu El ». Les ennemis de Baal deviennent les ennemis de Yawheh. Au lieu de voir en Baal le tueur du dragon Lotan et celui qui a vaincu le dieu marin Yam, c’est désormais Yawheh qui accomplit ses exploits. Quant aux déesses, les Yahwistes n’en reconnaissent au départ aucune mais laissent finalement une place cultuelle, modeste, �* la « Grande Reine du Ciel », Elat Asherah, épouse d’El.
Très vite, les rabbins et les prêtres de Baal s’affrontent violemment. Les rabbins veulent également interdire la prostitution sâcrée en l’honneur d’Ashtoreth. Ils se caractérisent par une grande rigueur morale, introduisant la notion de pêché de chair et celle de mal. Ils refusent alors les cultes extatiques des déesses sémitiques, les cultes de la fertilité en l’honneur de Baal. Ils s’opposent également �* l’alcool et voient dans la femme la source du pêché en détournant le mythe polythéiste de la création, Eve donnant la pomme �* Adam et condamnant ainsi l’humanité. Or le mythe originel fait d’El le créateur du monde et la pomme est le symbole de l’immortalité. Ce mythe montrait donc l’ascension mythique d’un héros au rang de dieu, �* l’image d’Héraclès qui mangeat une pomme d’or du jardin des Hespérides. Quant �* l’Eden, il s’agit en réalité des « Champs Elysées » judéo-païens qui s’opposent au Scheol, équivalent de l’Hadès grec. Quant au serpent, il rappelle la déesse babylonienne du chaos, représentée sous la forme d’un serpent, Tiamat, et qui fut tuée par Marduk, c’est �* dire par Bel.
Récupérant en les détournant les mythes cananéens, les Yawhistes progressent dans la société juive comme le feront plus tard les Chrétiens dans l’empire romain. Toute crise leur est profitable. Les rabbins jouent la carte nationaliste et impérialiste et appellent �* la guerre sainte contre les Egyptiens, les Hittites, les Philistins, les Phéniciens et les Assyriens. Babylone triomphe de la Judée et déporte les élites juives en Mésopotamie. Celles-ci deviendront yahwistes et en revenant en Canaan, donneront tout pouvoir aux monothéistes. Il est clair que David et Salomon étaient des rois païens, fervents fidèles de Baal et d’Ashtoreth, et qui furent yahwisés par ceux qui rédigèrent la Bible. Mais au VIème siècle, les rois sont désormais fidèles de Yahweh. Et Baal, assimilé au Bêl de Babylone, ville dont le nom signifie d’ailleurs « porte de Baal », est alors définitivement démonisé. En réalité, son culte ne disparaîtra définitivement que lors de la christianisation de la Palestine. L’empereur Julien rencontrera ainsi des Juifs païens au IVème siècle de notre ère.

[Antoon]

En wat is het nut van dit bericht?

[dagallemaal]

Her brengt niets bij en het staat vol fouten, waaronder:
1. de hypothese dat Habiru=hebreeuws wordt door practisch niemand (ik bedoel echte geleerden!) meer aanvaard.
2. de link met Akhenaton is niet onwaarschijnlijk volgens een paar recente historici
3....

Wat deze "antisémite en herbe", want ik denk dat hij dat frans wel goed zal verstaan, beter zou lezen (als zijn frans van een minimum niveau is) is het boek van J-P Sartre: "reflexions sur la question juive" en dan zal det "en herbe" er wel onmiddelijk afvallen...

Dus aan de moderatoren maar vragen van dit weg te nemen.

[Darwin]

Oorspronkelijk geplaatst door dagallemaal

Her brengt niets bij en het staat vol fouten, waaronder:
1. de hypothese dat Habiru=hebreeuws wordt door practisch niemand (ik bedoel echte geleerden!) meer aanvaard.
2. de link met Akhenaton is niet onwaarschijnlijk volgens een paar recente historici
3....

Wat deze "antisémite en herbe", want ik denk dat hij dat frans wel goed zal verstaan, beter zou lezen (als zijn frans van een minimum niveau is) is het boek van J-P Sartre: "reflexions sur la question juive" en dan zal det "en herbe" er wel onmiddelijk afvallen...

Dus aan de moderatoren maar vragen van dit weg te nemen.

Ben je gek man. Dit is nog zo'n interessante tekst.

Sommige mensen zijn zelfs bang van geschiedkundig onderzoek naar gebeurtenissen van 3 en 4 millennia terug. Hoe is het mogelijk, hoe is het mogelijk.

[dagallemaal]

Oorspronkelijk geplaatst door Darwin

Ben je gek man. Dit is nog zo'n interessante tekst.

Sommige mensen zijn zelfs bang van geschiedkundig onderzoek naar gebeurtenissen van 3 en 4 millenia terug. Hoe is het mogelijk, hoe is het mogelijk.

Dit is geen geschiedkundig onderzoek. Het is gewone zever die hij erger opgepikt heeft. Had het al vroeger gelezen. En wetend wie dat hier post zal het vervolg wel duidelijk op antisemitsime lijken.

[Darwin]

Oorspronkelijk geplaatst door dagallemaal

Dit is geen geschiedkundig onderzoek. Het is gewone zever die hij erger opgepikt heeft. Had het al vroeger gelezen. En wetend wie dat hier post zal het vervolg wel duidelijk op antisemitsime lijken.

Geef beter eens wat gefundeerde kritiek op die tekst met bronnenvermelding. Want jouw gezever leidt veel eerder tot antisemitisme dan die tekst.

[dagallemaal]

Oorspronkelijk geplaatst door Darwin

Geef beter eens wat gefundeerde kritiek op die tekst met bronnenvermelding. Want jouw gezever leidt veel eerder tot antisemitisme dan die tekst.

Her brengt niets bij en het staat vol fouten, waaronder:
1. de hypothese dat Habiru=hebreeuws wordt door practisch niemand (ik bedoel echte geleerden!) meer aanvaard.
Heb geen tijd om hier een dertigal boeken te vermelden. Zoek eerder en serieus boek dat dit niet zegt? Denk dat je er geen meer vindt

2. de link met Akhenaton is niet onwaarschijnlijk volgens een paar recente historici

Messod et Roger Sabbah, Gerard Huber, enz... allen zeer recent

En wat jou beschuldiging betreft zou ik jou plaats eerst eens in de spiegel kijken. Ik schrijf niet zo veel, maar denk wel wat meer te weten

[circe]

Nu we het er toch over hebben, waarop baseert men zich als men praat over "vrijzinnige Joden"?
Rassen bestaan niet.?
Jodendom = een religie.

Wat zijn dan vrijzinnige Joden?

[S.]

Oorspronkelijk geplaatst door Antoon

En wat is het nut van dit bericht?

Simpel: Ook Hitler beweerde dat de Joden inferieur waren op basis van raciale kenmerken. Ook Guddi probeert het ontegensprekelijke feit dat het jodendom een religie is en (getuige daarvan de zwarte joden) niets met ras te maken heeft, te ontkennen.

[Guderian]

Oorspronkelijk geplaatst door S.

Simpel: Ook Hitler beweerde dat de Joden inferieur waren op basis van raciale kenmerken. Ook Guddi probeert het ontegensprekelijke feit dat het jodendom een religie is en (getuige daarvan de zwarte joden) niets met ras te maken heeft, te ontkennen.

De linkse simpelaars aan het werk...

* Nergens heb ik gesproken over inferieure en superiuere rassen.
* Joden zijn in de eerste plaats een etnie, en dat heeft zowel een biologische als een culturele basis. Ik zeg niet dat er zoiets bestaat als een joods ras met strikte fysieke kenmerken. Daarin was de nat.-soc. rassenleer fout en ik heb dat hier al meermaals gezegd. Mensenrassen zijn geen strikte, arbitrair ingedeelde groepen maar eerder polen waarrond men uitzwermt.

[Guderian]

Oorspronkelijk geplaatst door dagallemaal

Dit is geen geschiedkundig onderzoek. Het is gewone zever die hij erger opgepikt heeft. Had het al vroeger gelezen. En wetend wie dat hier post zal het vervolg wel duidelijk op antisemitsime lijken.

Och kijk eens aan, de inhoud staat u niet aan dus wordt meteen de waarde van de tekst in twijfel getrokken...

[Guderian]

Oorspronkelijk geplaatst door dagallemaal

Dus aan de moderatoren maar vragen van dit weg te nemen.

Kortom, leve de censuur, in naam van de Democratie....

[circe]

Joden zijn ook helemaal geen etnie:


The Thirteenth Tribe

The Khazar Empire and its Heritage

Arthur Koestler

[Darwin]

Oorspronkelijk geplaatst door S.

Simpel: Ook Hitler beweerde dat de Joden inferieur waren op basis van raciale kenmerken. Ook Guddi probeert het ontegensprekelijke feit dat het jodendom een religie is en (getuige daarvan de zwarte joden) niets met ras te maken heeft, te ontkennen.

Oh ja?

En de Joden zijn nochtans fier dat mensen als Einstein en Freud tot het "Jodendom" behoren, hoewel ze eigenlijk atheïsten waren en dit toegaven.

Het Jodendom is als een grote familie. Die God (of die Goden) van hen dat behoort gewoon tot hun familietraditie. Zoals dat 2000 jaar geleden (tot aan de komst van het Christendom) zowat bij alle volkeren rond de Middellandse Zee het geval was. Ze vallen er geen andere mensen mee lastig. Het is één van de allerlaatse volkeren op aarde met nog zoiets als een "stamgevoel".

[dagallemaal]

Oorspronkelijk geplaatst door Guderian

Och kijk eens aan, de inhoud staat u niet aan dus wordt meteen de waarde van de tekst in twijfel getrokken...

Niet dat de inhoud me niet aanstaat. Vele elementen zijn fout en ik heb er wetenschappelijke referenties bijgehaald indien je tenminste de moeite had genomen dat eerst te lezen.
Trouwens dat spul heb ik reeds ergens gezien en denk trouwens dat het van een of andere anti-israelier was. Dus geef jij maar eens eerst de referentie dan kan iedereen onmiddellijk al een opinie hebben over de vermeende geloofwaardigheid van je post.

[PollyCorrect]

Oorspronkelijk geplaatst door Guderian

* Nergens heb ik gesproken over inferieure en superiuere rassen.
* Joden zijn in de eerste plaats een etnie, en dat heeft zowel een biologische als een culturele basis. Ik zeg niet dat er zoiets bestaat als een joods ras met strikte fysieke kenmerken. Daarin was de nat.-soc. rassenleer fout en ik heb dat hier al meermaals gezegd. Mensenrassen zijn geen strikte, arbitrair ingedeelde groepen maar eerder polen waarrond men uitzwermt.

Dat is pas wetenschappelijke taal!

Ben jij ook zo'n uitzwermende pool?

[Pascal L.]

Oorspronkelijk geplaatst door PollyCorrect

Dat is pas wetenschappelijke taal!

Ben jij ook zo'n uitzwermende pool?

[Volksstormer]

Oorspronkelijk geplaatst door Guderian

Dat de joden in de eerste plaats een etnische groep zijn wordt nog steeds door velen gecontesteerd. Men gaat er van uit dat het jodendom vooral een religie is en niets meer dan dat. Dat de joodse religie in feite een bijkomstigheid is, toont de onderstaande tekst aan. De tekst wijst er op dat de joden voor dat ze in Jahwe geloofden in feite polytheïstische heidenen waren. De joodse etnie (dus zowel culturele als biologische achtergrond) heeft in de loop der eeuwen haar religie diepgaand gewijzigd. De tekst is jammergenoeg in het Frans, maar voor de meesten wel te begrijpen dacht ik...


Aux origines du judaïsme

1. Le culte polythéiste des premiers Juifs.

Avant de devenir monothéistes, les peuples des royaumes de Juda et de Canaan croyaient �* l’existence de nombreux dieux et déesses agissant sur l’ensemble de la nature et des activités humaines. Leur dieu suprême est El, dieu du ciel, divinité analogue �* l’Allah préislamique, au dieu Il des Babyloniens et au dieu El des Ougarites. Une variante de son nom est Eloha, dans la Torah par exemple, et il est souvent désigné, notamment �* Jérusalem, sous le nom d’El Elyon, « El le Très-Haut ». Mais il apparaît comme un dieu souverain lointain, dieu de la morale mais peu soucieux de rendre service �* l’humanité. Il règne sur le Mont-Lel et est le père des dieux. Il a pour épouse la déesse Elat, féminin d’El, appelée également Asherah, et qui est donc la souveraine du ciel.
Son fils Baal, dieu de l’orage, de la guerre, mais aussi de la fécondité masculine, est le dieu principal des premiers Juifs. Son nom signifie « le Seigneur » mais son nom originel, relativement tabou, est Adad, analogue au dieu akkadien de l’orage, Bel Hadad. Il est accompagné de son épouse, Ashtoreth, déesse de la fécondité, que l’on connaît �* Babylone sous le nom d’Ishtar, mais aussi de sa soeur, la déesse guerrière Anat. C’est avec elle que Baal combat contre ses nombreux ennemis. Son adversaire principal est Lotan, ancêtre du Léviathan, qui représente le serpent du monde, le dragon apportant le chaos. Il finira par le vaincre avec l’aide d’Anat. Son autre adversaire privilégié est Mavet (ougarite Môt), démon semeur de mort. Mavet tuera Baal au combat mais celui-ci renaîtra grâce �* son épouse Ashtoreth, qui ira le chercher au royaume des morts. Il faut rapprocher ces évènements du mythe d’Adonis. Adonis, c’est �* dire Baal Adad, a été tué par un sanglier, qui est en fait le dieu Mavet, mais qui fut interprété par les Grecs comme le dieu guerrier Arès, jaloux de l’amant d’Aphrodite. Dans ce mythe, Aphrodite, déesse grecque de l’aurore, est amalgamée avec Ashtoreth, du fait d’une ressemblance linguistique mais par forcément parce qu’Aphrodite serait une déesse d’origine sémitique. Enfin, Baal doit affronter le cruel dieu de la mer mais aussi dieu du mal, Yam.
Mais il existe de nombreux autres dieux comme Eshmun, dieu de la médecine, Arsay, déesse de la terre, Ishet, déesse du foyer et peut-être avatar juif de l’égyptienne Isis. Les dieux égyptiens d’ailleurs pénètrent en force dans le panthéon des premiers Juifs. Ainsi Osiris apparaît sous le nom d’On et Horus sous celui d’Houroun. On trouve aussi un dieu de la guerre et de la peste, Resheph, un dieu du Soleil du nom de Baal Shams, « Seigneur Soleil », analogue au syrien Baal Shamin, �* l’arabe Chams et au babylonien Shamash, et un « Vulcain » juif, Koshar, qui fournit des armes aux dieux, en particulier �* Baal. A l’exception d’El, les dieux vivent aux côtés de Baal sur le Mont Zaphon, « l’Olympe » juif. Ils sont souvent anthropomorphiques mais parfois également zoomorphiques. Ainsi Ashtoreth est parfois une vache, Baal un taureau, Shams un aigle.

2. Evolution du judéo-paganisme chez les Juifs d’Egypte.

L’Egypte connut, aux environs de 1850 B.C, une invasion sémitique, celle des Hyksôs. Il s’agissait essentiellement de soldats cananéens mais aussi, sans doute, des bandes de pillards assyriens et arabes, les Habiru, d’où viendrait le nom d’Hébreux. Cette armée triomphe de celle des Egyptiens et ces peuples s’installent aux postes de pouvoir. De 1730 �* 1580 B.C, les rois sont donc des Sémites et de même l’est toute l’aristocratie. Le dernier roi sémite sera Apopi III, nom �* rapprocher du serpent du chaos égyptien, Apep (Apophis). Vers 1580, les Egyptiens, ayant reçu vraisemblablement une aide des Libyens, se soulèvent et reprennent le pouvoir. Leurs anciens maîtres Hyksos passent du statut de dominateurs �* celui de soumis.
Entre 1580 et 1250, date �* laquelle les Sémites sont expulsés d’Egypte, la religion des Cananéens d’Egypte évolue profondément. L’élément déterminant est peut-être la religion révolutionnaire du roi Amenhotep III (Akhénaton) introduisant le culte du dieu solaire unique, Aton, et qui règna de 1372 �* 1354. Le personnage de Moshe (Moïse), dont on ne sait s’il est réel ou mythique, aurait peut-être été de la famille d’Akhénaton si l’on accepte le mythe selon lequel il serait égyptien. Mais il faut reconnaître que le premier judaïsme a bien peu de rapports avec le culte d’Aton, dont le nom, même déformé, est inexistant dans les textes religieux juifs.
Quoi qu’il en soit, les dieux cananéens, El, Baal et Ashtoreth notamment, voient leur culte régresser en Egypte au profit d’un culte nouveau, celui d’Elohim. Ce nom, qui signifie mot �* mot « les Dieux », désigne une nouvelle divinité, unique, �* la fois dieu du ciel et de la justice, comme El, et dieu de l’orage et de la guerre comme Baal. Les déesses sont rejetées du fait de l’androcentrie de ce nouveau culte. Il n’y a pas d’épouse d’Elohim alors que le vieux dieu suprême El en avait une. Et tous les dieux fusionnent en un seul, �* l’exception d’Helel, dieu de l’étoile du matin, qui fusionnant avec Baal Seth, devint Sathan. Il y a donc un dieu unique, de nature orageuse et effrayante, le contraire d’un dieu bienveillant comme Baal, �* la tête d’une armée d’anges et ayant pour faire ses basses besognes un ange déchu maléfique, Sathan. Et ce dieu ne se prête pas aux syncrétismes; c’est un culte raciste dans une terre étrangère et au sein d’un peuple qui, pour des raisons historiques et nationales, les hait. Notamment, les Cananéens sont rejetés parce qu’ils aiment sacrifier �* leurs dieux, puis �* leur dieu unique, des béliers. Or le bélier est un animal sâcré des Egyptiens puisqu’il symbolise le dieu du ciel Ammon-Rê. Cette impiété religieuse déplaît profondément aux autorités égyptiennes. De plus, le culte d’Elohim inquiète davantage les Egyptiens, déj�* échaudés par les délires d’Akhénaton. Il semble bien que le nationalisme égyptien de Ramsès II associé �* la colère des prêtres d’Ammon, aient abouti �* une mesure d’expulsion. Les Juifs d’Egypte retournent alors en Canaan où ils retrouvent une population juive demeurée polythéiste. Des guerres de religion s’ensuivent alors et une politique de conversion. Mais pendant plusieurs siècles, les rois juifs demeurent païens. Il semble bien que David comme Salomon aient été polythéistes et que les monothéistes triomphants s’attribuèrent ces personnages historiques en les présentant faussement comme des fidèles d’Elohim, qui sera ensuite appelé Yahweh, du mot araméen yavu, « divinité ».

3. Yawhistes contre Judéo-païens.

En retournant en Canaan, les Juifs monothéistes prennent le nom d’Hébreux, c’est �* dire de fils d’Heber, nom qui provient sans doute de celui des Habiru. Ils s’opposent alors aux Juifs païens qui y habitent. De nombreuses guerres religieuses et des conversions forcées ont dû avoir lieu, comme le montre la Bible. Mais l’opposition biblique entre Hébreux et Cananéens est purement mythique, les Cananéens n’étant pas autre chose que des Juifs. Les dieux se concurrencent alors. Yahweh est intégré par les Juifs païens; il devient alors le messager de Baal. De leur côté, les Yahwistes récupèrent l’imagerie des autres dieux. Ainsi il s’amalgame avec le dieu cananéen El Elyon, le dieu de Jérusalem, et dès lors devient le dieu suprême de la capitale cananéenne. Il devient aussi le protecteur de la Judée, débaptisée pour devenir Israël, « allié du dieu El ». Les ennemis de Baal deviennent les ennemis de Yawheh. Au lieu de voir en Baal le tueur du dragon Lotan et celui qui a vaincu le dieu marin Yam, c’est désormais Yawheh qui accomplit ses exploits. Quant aux déesses, les Yahwistes n’en reconnaissent au départ aucune mais laissent finalement une place cultuelle, modeste, �* la « Grande Reine du Ciel », Elat Asherah, épouse d’El.
Très vite, les rabbins et les prêtres de Baal s’affrontent violemment. Les rabbins veulent également interdire la prostitution sâcrée en l’honneur d’Ashtoreth. Ils se caractérisent par une grande rigueur morale, introduisant la notion de pêché de chair et celle de mal. Ils refusent alors les cultes extatiques des déesses sémitiques, les cultes de la fertilité en l’honneur de Baal. Ils s’opposent également �* l’alcool et voient dans la femme la source du pêché en détournant le mythe polythéiste de la création, Eve donnant la pomme �* Adam et condamnant ainsi l’humanité. Or le mythe originel fait d’El le créateur du monde et la pomme est le symbole de l’immortalité. Ce mythe montrait donc l’ascension mythique d’un héros au rang de dieu, �* l’image d’Héraclès qui mangeat une pomme d’or du jardin des Hespérides. Quant �* l’Eden, il s’agit en réalité des « Champs Elysées » judéo-païens qui s’opposent au Scheol, équivalent de l’Hadès grec. Quant au serpent, il rappelle la déesse babylonienne du chaos, représentée sous la forme d’un serpent, Tiamat, et qui fut tuée par Marduk, c’est �* dire par Bel.
Récupérant en les détournant les mythes cananéens, les Yawhistes progressent dans la société juive comme le feront plus tard les Chrétiens dans l’empire romain. Toute crise leur est profitable. Les rabbins jouent la carte nationaliste et impérialiste et appellent �* la guerre sainte contre les Egyptiens, les Hittites, les Philistins, les Phéniciens et les Assyriens. Babylone triomphe de la Judée et déporte les élites juives en Mésopotamie. Celles-ci deviendront yahwistes et en revenant en Canaan, donneront tout pouvoir aux monothéistes. Il est clair que David et Salomon étaient des rois païens, fervents fidèles de Baal et d’Ashtoreth, et qui furent yahwisés par ceux qui rédigèrent la Bible. Mais au VIème siècle, les rois sont désormais fidèles de Yahweh. Et Baal, assimilé au Bêl de Babylone, ville dont le nom signifie d’ailleurs « porte de Baal », est alors définitivement démonisé. En réalité, son culte ne disparaîtra définitivement que lors de la christianisation de la Palestine. L’empereur Julien rencontrera ainsi des Juifs païens au IVème siècle de notre ère.

Alleen enkele opmerkingen:

- Voorzover ik weet, zijn Bahaal en Astarte wel degelijk Indo-Europese godheden, namelijk verbasteringen van Balder en Ostara. Vast staat dat zij zijn geïntroduceerd door de Filistijnen, ofwel door hun (vermoedelijke) Indo-Europese oorsprong ofwel door hun handelsreizen.

- De Hyksos waren, volgens wat ik al gelezen heb, van Indo-Europese en niet van Semitische oorsprong. (Of althans zoals de Filistijnen en de Hettieten een 'twijfelgeval' met invloeden van beide.)

- De zonnecultus is eveneens typisch Indo-Europees. In de woestijn vereert men (logischerwijze) de maan.

- De joodse (monotheïstische) wereldbeschouwing stamt regelrecht uit de woestijn: desolaat, hard, onvruchtbaar -> autoritaire, bestraffende god naar wie de gelovige zich dient te schikken; een diepgewortelde vijandigheid t.o.v. de natuur, vruchtbaarheid, vrouw enz.

[Turkse Nederlander]

Oorspronkelijk geplaatst door S.

Simpel: Ook Hitler beweerde dat de Joden inferieur waren op basis van raciale kenmerken. Ook Guddi probeert het ontegensprekelijke feit dat het jodendom een religie is en (getuige daarvan de zwarte joden) niets met ras te maken heeft, te ontkennen.

Een aantal jaren geleden weigerden de Israeliers de zwarte Joden uit Ethiopie toe te laten omdat ze niet zouden kunnen aantonen dat ze Joods waren.

[dagallemaal]

Oorspronkelijk geplaatst door Darwin

Geef beter eens wat gefundeerde kritiek op die tekst met bronnenvermelding. Want jouw gezever leidt veel eerder tot antisemitisme dan die tekst.

Nog wat lectuur en dan alleen over een feitje maar:
Uit de CD versie van Jewish Encyclopedia:
Habiru and the Hebrews
Although the problem of the connection between the Babiru and the Hebrews should be discussed from the point of view of the latter, certain points should be made here. The earlier stages of the problem are summarized by M. Greenberg (in bibl., 4–12, esp., 91–96; see R. de Vaux, W. F. Albright, M. P. Gray, J. Weingreen, and E. F. Campbell in bibl.; see also Tell el-Amarna).
There is no basis for identifying the Babiru with the "Hebrews" as basic identities, because it is clear that the Babiru are a social element, while "Hebrews" are the people of Israel. On the other hand (not returning again to the philological problem, because the differences in punctuation cannot help, while the presence of an ayin is definite), it is certain that Abraham was called ivri because he fulfilled certain "pre-biblical" social structure identifications; other parts of the Israelites also could fulfill, for a short time, this traditional identification based on this structure (cf. Campbell, in bibl., 14). It is possible that the negative impact of this structure is felt in the definition of eved ivri (Ex. 21:2) or in the ivrim mentioned in connection with Saul in I Samuel 13–14 (although they may not be Israelites at all). It is impossible to identify the Israelite conquest with that of the Babiru in the Tell el-Amarna letters for various fundamental reasons (including chronological ones); but although the latter is not mentioned in the biblical sources at all, the two conquests are typologically identical in certain respects. It is to be pointed out, however, that the Israelite conquest is a moving dynamic activity while that of the Babiru is a stationary local-social one and its dynamics are social (chain reactions). The term Babiru and also perhaps the traditional pre-biblical term "Hebrew" in this point of comparison is a framework of social transformation or a temporary aberration from order which has nothing to do with the conquest of the Israelites as a people.

En ook een ven de laatste goede boeken (2003) over archeologie en de bijbel van Finkelstein en Silberman: 'la bible dévoilée" wordt uitgelegd dat na analyse van de teksten Habiru/Hapiru/Apiru en sociaal aspect had en niets met een volk te maken heeft en het ook practisch onmogelijk is dat een sociale groep het monotheisme zou uitvinden.

Als ik dus zeg dat de tekst van Guderian zever bevat is dat niet omdat het Guderian is maar omdat het zever bevat!

Ik zal dan nog iets uithalen:
"Les rabbins jouent la carte nationaliste et impérialiste et appellent �* la guerre sainte contre les Egyptiens, les Hittites, les Philistins, les Phéniciens et les Assyriens. " Ten eerste waren er toen geen rabbijnen
Denk ook niet dat de Hebreers ooit rechtstreeks contact gehad hebben met de Hittieten (heb nu even geen tijd daarvoor). En wat voor een zever is "carte impérialiste" dan wel. De impérialisten uit die tijd waren dan toch de egyptenaren, assyriers en babyloniers. Met wie zweerden die niet bestaande rabbijnen toen al samen? Met Bush vader of zoon?
Om dat te kritikeren heb ik niet 1 van mijn echt geschiedkundige boeken nodig (niet door de ene of ander zot of artiest geschreven maar door erkende deskundigen 8) ).

Darwin, ik schreef toch dat ik dergelijke tekst reeds ergens gezien heb. Weet nog niet waar maar als men dit leest:
"Leur dieu suprême est El, dieu du ciel, divinité analogue �* l’Allah préislamique," dat bevestigd mijn vermoeden van waar ik dat ergens gelezen heb