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Staatsinrichting Vlaanderen versus Wallonië? Een unitaire, federale, confederale staat of meteen Vlaanderen onafhankelijk. Dit is het forum bij uitstek voor discussies over de Belgische staatsinrichting.

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Oud 15 maart 2005, 15:46   #1
Patriot!
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Standaard Over Franstalig nationalisme

BUB hakt niet enkel in op Vlaamse nationalisten. Ook het Franstalig nationalisme is gevaarlijk. Dat toont onderstaande tekst aan.

Tekst in het Frans, diegenen die weigeren hem te lezen doen dat maar niet - maar val de mensen die ernstig willen discussieren ook niet lastig met onnozele opmerkingen daarover. Dank.

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=4]Le nationalisme francophone: plus masqué, mais (aussi) dangereux[/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Le nationalisme flamand pose un grand danger �* l’existence de la Belgique car il veut scinder le pays. Mais le nationalisme francophone qui est peut-être si dangereux que son antipode flamand, mais il dispose de quelques « atouts » qui le rendent « acceptable » chez certains gens. Quand on parle de « nationalisme » il est nécessaire de d’abord définir le terme. Nationalisme est une idéologie qui prétend revendiquer des avantages pour certains groupes, qu’elle nie aux autres. Le nationalisme souhaite des avantages pour certains, qu’elle ne veut pas du tout (ou �* peine) pour des autres. Il est donc claire que, comme idéologie, le nationalisme doit posséder (au moins) deux components : la notion de « patrie » (une certaine superficie en terre) et la notion de « peuple » (un certain nombre de gens). Mais le nationalisme est une idéologie très hétérogène (déj�* par pays !) qui se distingue d’abord des autres courants de pensée car elle n’a pas une prétention universaliste. Les libéraux, socialistes, écologistes, Chrétiens-démocrates peuvent espérer �* englober le monde entier dans leur idéologie. Le nationalisme ne peut point aspirer �* ce but. Par sa nature il est fixé sur un ‘peuple’ et un pays[1], des nationalismes peuvent (doivent) même se combattre. En effet il est clair que le paradoxal dans l’idéologie nationaliste est le fait qu’il doit prétendre �* être supérieur �* d’autres adeptes de sa propre idéologie pour pouvoir survivre[2. Le nationalisme ne peut pas exister sans ennemis, souvent dans la forme de peuples hostiles ou des leaders politiques que le nationaliste catégorisera comme non fiables[3]. On peut naturellement se demander si dans ce cas l’antinationaliste ne pourrait pas simplement dire �* son opposant qu’il accuse les dirigeants de l’autre groupe de sa propre maladie, notamment le nationalisme. En effet on ne peut pas accuser comme politicien francophone un politicien flamand de toujours prendre des décisions néfastes pour l’autre partie du pays, si il veut lui-même seulement des lois, mesures, parlements, syndicats, partis etc. où l’autre groupe linguistique est exclu. La conclusion devrait donc être qu’il ne faut pas viser l’autre, mais bien le nationalisme.

Maintenant qu’on a donné quelques caractéristiques générales du nationalisme, quelles sont les formes qu’on peut distinguer aujourd’hui, plus particulièrement en Belgique?1° Le nationalisme flamand qui souhaite une Flandre autonome, peut-être encore dans une confédération[font=Verdana][4][/font] avec la Wallonie (et Bruxelles). Ce nationalisme aspire donc �* un propre état avec ses propres institutions. Le nationalisme flamand connaît des gradations qui vont du fédéralisme vidé [font=Verdana][5][/font] jusqu’au séparatisme ouvert (style VB et N-VA)[6]. C’est un nationalisme classique qui cherche �*2°Le nationalisme francophone. Le terme ‘francophone’, que nous proposons ici , est �* sa place car ce nationalisme �* (presque toujours) des revendications liés �* Wallonie et �* Bruxelles. Importante exception et mutatis mutandis aussi son caractéristique qui le distingue le plus du nationalisme flamand est le fait que le nationalisme francophone refuse le principe de territorialité[7]. Ni les politiciens francophones, ni les francophones mêmes souhaitent un état indépendant[8]. Presque tous les partis francophones souhaitent un statu quo du fédéralisme actuel. En effet, il n’y a jamais existé un nationalisme wallon qui a voulu créer un état indépendant wallon. Dans la première phase de l’existence de la Belgique (1830-1910) il n’y avait même pas de Mouvement wallon. Pour autant qu’un nationalisme francophone existait, elle coïncidait tout �* fait avec la nation belge et francophone. Ce nationalisme bizarre et tout �* fait « sui generis » a été créé comme réaction contre la peur du surcroît de la population néerlandophone en Belgique[9] et comme protection contre les lois linguistiques qui ont mis les deux grandes langues �* pied d’égalité �* partir de 1873. Ainsi on voit que dans la deuxième phase de l’existence de la Belgique (1910-1945) le mouvement francophone abandonner ces positions sur une Belgique francophone. Au moins elle voulait une Flandre bilingue et une Wallonie unilingue. Ainsi les propos de(s) (la plupart des) politiciens flamands qui voulaient une Belgique territorialement bilingue ont été rejetés en 1932 par les politiciens francophones. Après 1945 le nationalisme francophone c’est dispersé, tout comme le nationalisme flamand d’ailleurs. Un aile voulait le « r »attachment de la Wallonie �* la France, comme si la Wallonie était rattaché �* la France comme région �* part entière dans le passé[10]. Un deuxième aile réclamait l’autonomie économique de la Wallonie. Ce courant a été repris par la gauche militante francophone (Renard). Une troisième aile voulait défendre les droits des francophones �* Bruxelles et dans la périphérie (FDF). Enfin la fédéralisation �* partir de 1970 a donné aux nationalistes le plus possible d’autonomie (économique). Paradoxalement, la demande nationaliste d’autonomie �* accéléré le processus de stagnation et de recul économique dans le Sud. C’étaient notamment les grands holdings Bruxellois qui ont laissé tomber l’industrie de charbon et de fer en refusant de la moderniser. Du moment où les nationalistes pouvaient gérer des larges portions de leur économie, ils étaient devenus héritiers d’une société appauvrie. De l’autre côté de la frontière linguistique l’autonomie régionale a non seulement renforcé les revendications autonomistes, mais a aussi créé l’image que l’autonomie au Sud servait �* « gaspiller » l’argent « flamand ». Le système même n’a jamais été remis en cause. Le fédéralisme qui était en effet une espèce de confédéralisme a été renforcé depuis 1980. L’hiérarchie des normes[font=Verdana][11][/font] était rejetée par des nationalistes francophones, qui craignaient �* nouveau la dominance des « flamands » au niveau fédéral. Sur un autre plan les nationalistes francophones n’ont pas cessé �* remettre en cause les lois linguistiques durant les années 80 et 90, tout comme l’intégrité territoriale du Nord du pays.

Aujourd’hui des voix se lèvent –toujours partant d’une position défensive- de préparer l’après-Belgique. Pour tous les partis francophones cette Belgique minus la Flandre consisterait de la Communauté française (Wallonie-Bruxelles). Comme l’a dit Elio Di Rupo : «Mais, bien entendu, si les néerlandophones devaient décider de se passer des francophones, il faudrait bien que nous en tirions toutes les conséquences.
Il faudrait bien que nous prenions entre nous, Bruxellois et Wallons, notre destin plus complètement en mains, avec l’ensemble des attributions d’une nation »
[font=Verdana][font=Verdana][12][/font][/font].Autrement qu’en Flandre les nationalistes francophones n’ont pas choisi du début la voie « identitaire ». Comme l’ancien président du conseil de la Région Wallonne , Robert Collignon l’a dit d’une façon plus cynique : « il n’y a pas de culture wallonne, mais nous sommes en train de fabriquer une »[13] . Néanmoins certains voix se lèvent aussi pour le soi-disant « rattachment » de la Wallonie �* la France. Comme l’a dit Louis Michel (MR) :« Si �* un moment donné, j'ai le choix entre un État wallon replié sur lui-même et la France, je choisirai la France. »[font=&quot][14][/font]
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

Bref, ce que nous avons décrit comme nationalisme francophone a quelques caractéristiques intéressantes :
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]-Il n’y a pas un parti spécifique comme le Vlaams Belang qui défend son idéologie (�* moins le FDF)-Le nationalisme francophone a parti toujours, et part encore, d’une attitude défensive-A cause de son attitude défensive ce nationalisme semble être plus doux. Les nationalistes francophones se disent « régionalistes ». Le mal est mis au sein des partis flamands. Ils oublient d’une façon sélective qu’eux-mêmes ils ont collaboré �* chaque réforme d’Etat, réformes qui ont tour �* tour affaibli l’Etat belge et renforcé les régions-Bien que le nationalisme francophone –hors les rattachistes- ne souhaite en principe pas la fin de la Belgique plusieurs actes peuvent être considérés commes nationalistes : le refus du bilinguisme dans certains hôpitaux bruxellois, l’amalgame fait par les nationalistes entres ‘flamands’ et ‘nationalistes flamands’ (c.a.d. entre néerlandophones et nationalistes flamands), le souhait de franciser des parties de la Belgique, l’attitude de plusieurs partis francophones dans la question de législation du tabac, le souhait de plusieurs partis francophones de régionaliser le trafic d’armes (fait en 2003). [/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

Certes, il ne s’agit pas d’un nationalisme classique, comme le nationalisme flamand. Le nationalisme francophone ne souhaite pas, ou quand même pas en premier lieu, la création d’un état francophone. Elle ne veut donc pas, comme son contre part flamand la congruence d’une culture avec un état. Mais néanmoins tous ces actions sont clairement nationalistes : elles veulent des avantages ou des mesures uniquement pour un groupe (linguistique) visible et pas (ou �* peine) pour des autres.

[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Quand on utilise seulement la définition « classique » du nationalisme (congruence état-culture-nation) le mouvement francophone pourrait être catalogué comme non nationaliste, ce qui ne correspond pas �* la réalité, mais �* l’image qu’un parti comme le FDF souhaite donner d’elle-même. [/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Il est très clair que ces tendances autonomistes et régionalistes sont très menaçants pour l’avenir de la Belgique. Seulement des partis nationaux, comme le BUB, peuvent débloquer le racisme linguistique et le confédéralisme qui est devenu la base de nos institutions, largement bipolarisées. Ceux qui pensent que la lutte de demain sera une entre droite et gauche se trompent. Ni la droite, ni la gauche sont l’ennemi de la démocratie. Le seul ennemi est le nationalisme qui a scindé nos partis et qui fait son travaille dévastatrice dans chaque parti néerlandophone et francophone. Le BUB doit lier non seulement le Nord et le Sud, mais aussi toutes les idéologies démocratiques, belges, européennes et universalistes. Une tâche immense se trouve devant nous.[/size][/font] [font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Bruno YAMMINE[/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]
[/size][/font] [font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][1][/font][/font][font=Verdana] Ce qui n’exclu pas le fait qu’on peut s’imaginer que des nationalistes souhaitent la réussite d’autres mouvements nationalistes dans d’autres pays. Par ex : les révolutions de 1848 en Europe ou le soutien des nationalistes Flamands aux séparatistes Basques.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][2][/font][/font][font=Verdana] Voir : (a) nationalisme allemand↔ nationalisme français[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana](b) vlaams Belang ↔ parti socialiste[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana] [/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][3][/font][/font][font=Verdana] Une analyse du discours du Vlaams Blok que 50% de leur discours communautaire contient des hostilités ouvertes contre les francophones belges. Leur politiciens (mais aussi in extenso la population) seraient « perfides », « impérialistes », « criminels », « fanatiques », « arrogants », « des parasites » etc.[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana](analyse fait par l’auteur d’avril �* oktobre de 2004). A juste titre l’ancien politicien et auteur flamand Ludo Dierickx a constaté que le racisme contre les étrangers est de plus en plus compensé par un racisme anti-francophone par l’extrême-droite flamande, voir De Standaard, 6.12.04 « Dieven, verspillen en parasieten », p. 44-45.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][4][/font][/font][font=Verdana] En certain sens la Belgique forme aujourd’hui déj�* une espèce de confédération avec trois (ou quatre) partis constituantes, équipollentes en matière législative et capables de conclure des traités internationaux. Une confédération est juridiquement vu une fédération d’Etats indépendants.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][5][/font][/font][font=Verdana] Comme l’a invoqué le Premier le 12.10 « il convient de trouver, dans un esprit d'ouverture et de confiance mutuelle, des ensembles de compétences plus homogènes. Parfois, de glissements de compétences restreints peuvent se traduire par une approche beaucoup plus cohérente et efficace. » http://www.premier.be/fr/premier/spe...2004/4201.html et �* nouveau le 20.12 . (Déclaration de politique fédérale)[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana]« (3) Le fédéralisme dont nous fêterons les 25 années d'existence en 2005, conjointement avec les 175 ans de l'indépendance belge, devra être parachevé. Un Forum transformera le Sénat en une Chambre des Régions et Communautés. Les compétences distinctes seront davantage affinées en vue d'obtenir plus de transparence et d'implication de la part des citoyens. »[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana]http://www.presscenter.org/archive/o...FR&prId=105843 (Message au début de la nouvelle année)[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][6][/font][/font][font=Verdana] Bien sûr, ce nationalisme a connu plusieurs phases, et est né d’une simple lutte démocratique pour l’égalité des langues. Ces phases sont assez connus, on ne va pas les répéter ad nauseam ici[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][7][/font][/font][font=Verdana] C.a.d. : langue majoritaire=langue de région ou d’état[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][8][/font][/font][font=Verdana] Seulement 2% des wallons voudrait un état wallon indépendant (contre 5% des flamands qui souhaite un état flamand indépendant), enquête HNB 20.10.04[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][9][/font][/font][font=Verdana] Et donc de sa potentielle dominance politique[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][10][/font][/font][font=Verdana] Ce mouvement fut très réussie pendant le Congrès Wallon, où elle ralliait dans un vote (annulé le lendemain) la majorité des congressistes. Ainsi les « rattachistes » parlent aujourd’hui de deux opportunités manqués pour l’attachement �* la France : 1830 (qui était selon eux une révolution envers la France) et 1945 (comme si 1000 personnes non-élus pourraient décider sur le sort de la Belgique !)[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][11][/font][/font][font=Verdana] C.a.d. : prévalence de la fédération sur les entités fédérées.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][12][/font][/font][font=Verdana] Congrès PS, 14.07.2004[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][13][/font][/font][font=Verdana] Le Soir, 19.10.92[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][14][/font][/font][font=Verdana] Le Soir, 26.08.96[/font][/size][/font]


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Oud 15 maart 2005, 15:53   #2
Jan van den Berghe
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BUB hakt niet enkel in op Vlaamse nationalisten. Ook het Franstalig nationalisme is gevaarlijk. Dat toont onderstaande tekst aan.
Blijkbaar met de lippen, althans als we op de titel mogen voortgaan (al moet ik die tekst nog eens grondig doornemen). In ieder geval niet met daden.

In tegenstelling tot Bplus, heeft de bubbelclub immers geen enkel standpunt ingenomen met betrekking tot de FDF-betoging. Daar werd nochtans meerdere malen naar gevraagd, maar iedere keer weer hield de doorluchtige opperbubbel Hans I le Grand de lippen stijf op elkaar.
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Oud 15 maart 2005, 16:58   #3
Patriot!
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We zeiden reeds dat we tegen beide betogingen waren.
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Oud 15 maart 2005, 17:02   #4
jOOSt
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Hak maar niet te veel op die Franstaligen, want het zou best kunnen, dat jullie maar de helft van de stemmen versieren die jullie nu hebben.
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Oud 15 maart 2005, 17:07   #5
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U kan dat ongetwijfeld staven met statistieken van onze resultaten in Vlaanderen en Wallonië.
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Oud 15 maart 2005, 17:39   #6
Lesane
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U kan dat ongetwijfeld staven met statistieken van onze resultaten in Vlaanderen en Wallonië.
Resultaten?
__________________
If there is going to be any peace on earth, it is going to come in the consequence of our people uniting to defeat US imperialism once and for all!!!

http://www.faithfreedom.org
http://dutch.faithfreedom.org/forum

Forumnar Hans1 over de Vlaamse transfers naar Wallonië: "Bovendien komt er niet voldoende economische steun uit het noorden zoals van West- naar Oost-Duitsland."
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Oud 15 maart 2005, 19:20   #7
Jan van den Berghe
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Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Patriot!
We zeiden reeds dat we tegen beide betogingen waren.
We?

Niets van. Er stond op jullie webstek geen enkele stellingname over de FDF-betoging. Ook werd er geen enkel officieel standpunt ingenomen en daarenboven was het zelfs zo dat Hans van de Cauter, ondanks wat aandringen van verschillende mensen op dit forum, niet wou vertellen welke houding hij nu wel innam over die manifestatie van het FDF.
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Oud 16 maart 2005, 10:23   #8
ossaert
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Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Patriot!
BUB hakt niet enkel in op Vlaamse nationalisten. Ook het Franstalig nationalisme is gevaarlijk. Dat toont onderstaande tekst aan.

Tekst in het Frans, diegenen die weigeren hem te lezen doen dat maar niet - maar val de mensen die ernstig willen discussieren ook niet lastig met onnozele opmerkingen daarover. Dank.

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=4]Le nationalisme francophone: plus masqué, mais (aussi) dangereux[/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Le nationalisme flamand pose un grand danger �* l’existence de la Belgique car il veut scinder le pays. Mais le nationalisme francophone qui est peut-être si dangereux que son antipode flamand, mais il dispose de quelques « atouts » qui le rendent « acceptable » chez certains gens. Quand on parle de « nationalisme » il est nécessaire de d’abord définir le terme. Nationalisme est une idéologie qui prétend revendiquer des avantages pour certains groupes, qu’elle nie aux autres. Le nationalisme souhaite des avantages pour certains, qu’elle ne veut pas du tout (ou �* peine) pour des autres. Il est donc claire que, comme idéologie, le nationalisme doit posséder (au moins) deux components : la notion de « patrie » (une certaine superficie en terre) et la notion de « peuple » (un certain nombre de gens). Mais le nationalisme est une idéologie très hétérogène (déj�* par pays !) qui se distingue d’abord des autres courants de pensée car elle n’a pas une prétention universaliste. Les libéraux, socialistes, écologistes, Chrétiens-démocrates peuvent espérer �* englober le monde entier dans leur idéologie. Le nationalisme ne peut point aspirer �* ce but. Par sa nature il est fixé sur un ‘peuple’ et un pays[1], des nationalismes peuvent (doivent) même se combattre. En effet il est clair que le paradoxal dans l’idéologie nationaliste est le fait qu’il doit prétendre �* être supérieur �* d’autres adeptes de sa propre idéologie pour pouvoir survivre[2. Le nationalisme ne peut pas exister sans ennemis, souvent dans la forme de peuples hostiles ou des leaders politiques que le nationaliste catégorisera comme non fiables[3]. On peut naturellement se demander si dans ce cas l’antinationaliste ne pourrait pas simplement dire �* son opposant qu’il accuse les dirigeants de l’autre groupe de sa propre maladie, notamment le nationalisme. En effet on ne peut pas accuser comme politicien francophone un politicien flamand de toujours prendre des décisions néfastes pour l’autre partie du pays, si il veut lui-même seulement des lois, mesures, parlements, syndicats, partis etc. où l’autre groupe linguistique est exclu. La conclusion devrait donc être qu’il ne faut pas viser l’autre, mais bien le nationalisme.

Maintenant qu’on a donné quelques caractéristiques générales du nationalisme, quelles sont les formes qu’on peut distinguer aujourd’hui, plus particulièrement en Belgique?1° Le nationalisme flamand qui souhaite une Flandre autonome, peut-être encore dans une confédération[font=Verdana][4][/font] avec la Wallonie (et Bruxelles). Ce nationalisme aspire donc �* un propre état avec ses propres institutions. Le nationalisme flamand connaît des gradations qui vont du fédéralisme vidé [font=Verdana][5][/font] jusqu’au séparatisme ouvert (style VB et N-VA)[6]. C’est un nationalisme classique qui cherche �*2°Le nationalisme francophone. Le terme ‘francophone’, que nous proposons ici , est �* sa place car ce nationalisme �* (presque toujours) des revendications liés �* Wallonie et �* Bruxelles. Importante exception et mutatis mutandis aussi son caractéristique qui le distingue le plus du nationalisme flamand est le fait que le nationalisme francophone refuse le principe de territorialité[7]. Ni les politiciens francophones, ni les francophones mêmes souhaitent un état indépendant[8]. Presque tous les partis francophones souhaitent un statu quo du fédéralisme actuel. En effet, il n’y a jamais existé un nationalisme wallon qui a voulu créer un état indépendant wallon. Dans la première phase de l’existence de la Belgique (1830-1910) il n’y avait même pas de Mouvement wallon. Pour autant qu’un nationalisme francophone existait, elle coïncidait tout �* fait avec la nation belge et francophone. Ce nationalisme bizarre et tout �* fait « sui generis » a été créé comme réaction contre la peur du surcroît de la population néerlandophone en Belgique[9] et comme protection contre les lois linguistiques qui ont mis les deux grandes langues �* pied d’égalité �* partir de 1873. Ainsi on voit que dans la deuxième phase de l’existence de la Belgique (1910-1945) le mouvement francophone abandonner ces positions sur une Belgique francophone. Au moins elle voulait une Flandre bilingue et une Wallonie unilingue. Ainsi les propos de(s) (la plupart des) politiciens flamands qui voulaient une Belgique territorialement bilingue ont été rejetés en 1932 par les politiciens francophones. Après 1945 le nationalisme francophone c’est dispersé, tout comme le nationalisme flamand d’ailleurs. Un aile voulait le « r »attachment de la Wallonie �* la France, comme si la Wallonie était rattaché �* la France comme région �* part entière dans le passé[10]. Un deuxième aile réclamait l’autonomie économique de la Wallonie. Ce courant a été repris par la gauche militante francophone (Renard). Une troisième aile voulait défendre les droits des francophones �* Bruxelles et dans la périphérie (FDF). Enfin la fédéralisation �* partir de 1970 a donné aux nationalistes le plus possible d’autonomie (économique). Paradoxalement, la demande nationaliste d’autonomie �* accéléré le processus de stagnation et de recul économique dans le Sud. C’étaient notamment les grands holdings Bruxellois qui ont laissé tomber l’industrie de charbon et de fer en refusant de la moderniser. Du moment où les nationalistes pouvaient gérer des larges portions de leur économie, ils étaient devenus héritiers d’une société appauvrie. De l’autre côté de la frontière linguistique l’autonomie régionale a non seulement renforcé les revendications autonomistes, mais a aussi créé l’image que l’autonomie au Sud servait �* « gaspiller » l’argent « flamand ». Le système même n’a jamais été remis en cause. Le fédéralisme qui était en effet une espèce de confédéralisme a été renforcé depuis 1980. L’hiérarchie des normes[font=Verdana][11][/font] était rejetée par des nationalistes francophones, qui craignaient �* nouveau la dominance des « flamands » au niveau fédéral. Sur un autre plan les nationalistes francophones n’ont pas cessé �* remettre en cause les lois linguistiques durant les années 80 et 90, tout comme l’intégrité territoriale du Nord du pays.

Aujourd’hui des voix se lèvent –toujours partant d’une position défensive- de préparer l’après-Belgique. Pour tous les partis francophones cette Belgique minus la Flandre consisterait de la Communauté française (Wallonie-Bruxelles). Comme l’a dit Elio Di Rupo : «Mais, bien entendu, si les néerlandophones devaient décider de se passer des francophones, il faudrait bien que nous en tirions toutes les conséquences.
Il faudrait bien que nous prenions entre nous, Bruxellois et Wallons, notre destin plus complètement en mains, avec l’ensemble des attributions d’une nation »[font=Verdana][font=Verdana][12][/font][/font].Autrement qu’en Flandre les nationalistes francophones n’ont pas choisi du début la voie « identitaire ». Comme l’ancien président du conseil de la Région Wallonne , Robert Collignon l’a dit d’une façon plus cynique : « il n’y a pas de culture wallonne, mais nous sommes en train de fabriquer une »[13] . Néanmoins certains voix se lèvent aussi pour le soi-disant « rattachment » de la Wallonie �* la France. Comme l’a dit Louis Michel (MR) :« Si �* un moment donné, j'ai le choix entre un État wallon replié sur lui-même et la France, je choisirai la France. »[font=&quot][14][/font]
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

Bref, ce que nous avons décrit comme nationalisme francophone a quelques caractéristiques intéressantes :
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]-Il n’y a pas un parti spécifique comme le Vlaams Belang qui défend son idéologie (�* moins le FDF)-Le nationalisme francophone a parti toujours, et part encore, d’une attitude défensive-A cause de son attitude défensive ce nationalisme semble être plus doux. Les nationalistes francophones se disent « régionalistes ». Le mal est mis au sein des partis flamands. Ils oublient d’une façon sélective qu’eux-mêmes ils ont collaboré �* chaque réforme d’Etat, réformes qui ont tour �* tour affaibli l’Etat belge et renforcé les régions-Bien que le nationalisme francophone –hors les rattachistes- ne souhaite en principe pas la fin de la Belgique plusieurs actes peuvent être considérés commes nationalistes : le refus du bilinguisme dans certains hôpitaux bruxellois, l’amalgame fait par les nationalistes entres ‘flamands’ et ‘nationalistes flamands’ (c.a.d. entre néerlandophones et nationalistes flamands), le souhait de franciser des parties de la Belgique, l’attitude de plusieurs partis francophones dans la question de législation du tabac, le souhait de plusieurs partis francophones de régionaliser le trafic d’armes (fait en 2003). [/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

Certes, il ne s’agit pas d’un nationalisme classique, comme le nationalisme flamand. Le nationalisme francophone ne souhaite pas, ou quand même pas en premier lieu, la création d’un état francophone. Elle ne veut donc pas, comme son contre part flamand la congruence d’une culture avec un état. Mais néanmoins tous ces actions sont clairement nationalistes : elles veulent des avantages ou des mesures uniquement pour un groupe (linguistique) visible et pas (ou �* peine) pour des autres.

[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Quand on utilise seulement la définition « classique » du nationalisme (congruence état-culture-nation) le mouvement francophone pourrait être catalogué comme non nationaliste, ce qui ne correspond pas �* la réalité, mais �* l’image qu’un parti comme le FDF souhaite donner d’elle-même. [/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Il est très clair que ces tendances autonomistes et régionalistes sont très menaçants pour l’avenir de la Belgique. Seulement des partis nationaux, comme le BUB, peuvent débloquer le racisme linguistique et le confédéralisme qui est devenu la base de nos institutions, largement bipolarisées. Ceux qui pensent que la lutte de demain sera une entre droite et gauche se trompent. Ni la droite, ni la gauche sont l’ennemi de la démocratie. Le seul ennemi est le nationalisme qui a scindé nos partis et qui fait son travaille dévastatrice dans chaque parti néerlandophone et francophone. Le BUB doit lier non seulement le Nord et le Sud, mais aussi toutes les idéologies démocratiques, belges, européennes et universalistes. Une tâche immense se trouve devant nous.[/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Bruno YAMMINE[/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][1][/font][/font][font=Verdana] Ce qui n’exclu pas le fait qu’on peut s’imaginer que des nationalistes souhaitent la réussite d’autres mouvements nationalistes dans d’autres pays. Par ex : les révolutions de 1848 en Europe ou le soutien des nationalistes Flamands aux séparatistes Basques.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][2][/font][/font][font=Verdana] Voir : (a) nationalisme allemand↔ nationalisme français[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana](b) vlaams Belang ↔ parti socialiste[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][3][/font][/font][font=Verdana] Une analyse du discours du Vlaams Blok que 50% de leur discours communautaire contient des hostilités ouvertes contre les francophones belges. Leur politiciens (mais aussi in extenso la population) seraient « perfides », « impérialistes », « criminels », « fanatiques », « arrogants », « des parasites » etc.[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana](analyse fait par l’auteur d’avril �* oktobre de 2004). A juste titre l’ancien politicien et auteur flamand Ludo Dierickx a constaté que le racisme contre les étrangers est de plus en plus compensé par un racisme anti-francophone par l’extrême-droite flamande, voir De Standaard, 6.12.04 « Dieven, verspillen en parasieten », p. 44-45.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][4][/font][/font][font=Verdana] En certain sens la Belgique forme aujourd’hui déj�* une espèce de confédération avec trois (ou quatre) partis constituantes, équipollentes en matière législative et capables de conclure des traités internationaux. Une confédération est juridiquement vu une fédération d’Etats indépendants.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][5][/font][/font][font=Verdana] Comme l’a invoqué le Premier le 12.10 « il convient de trouver, dans un esprit d'ouverture et de confiance mutuelle, des ensembles de compétences plus homogènes. Parfois, de glissements de compétences restreints peuvent se traduire par une approche beaucoup plus cohérente et efficace. » http://www.premier.be/fr/premier/spe...2004/4201.html et �* nouveau le 20.12 . (Déclaration de politique fédérale)[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana]« (3) Le fédéralisme dont nous fêterons les 25 années d'existence en 2005, conjointement avec les 175 ans de l'indépendance belge, devra être parachevé. Un Forum transformera le Sénat en une Chambre des Régions et Communautés. Les compétences distinctes seront davantage affinées en vue d'obtenir plus de transparence et d'implication de la part des citoyens. »[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana]http://www.presscenter.org/archive/o...FR&prId=105843 (Message au début de la nouvelle année)[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][6][/font][/font][font=Verdana] Bien sûr, ce nationalisme a connu plusieurs phases, et est né d’une simple lutte démocratique pour l’égalité des langues. Ces phases sont assez connus, on ne va pas les répéter ad nauseam ici[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][7][/font][/font][font=Verdana] C.a.d. : langue majoritaire=langue de région ou d’état[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][8][/font][/font][font=Verdana] Seulement 2% des wallons voudrait un état wallon indépendant (contre 5% des flamands qui souhaite un état flamand indépendant), enquête HNB 20.10.04[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][9][/font][/font][font=Verdana] Et donc de sa potentielle dominance politique[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][10][/font][/font][font=Verdana] Ce mouvement fut très réussie pendant le Congrès Wallon, où elle ralliait dans un vote (annulé le lendemain) la majorité des congressistes. Ainsi les « rattachistes » parlent aujourd’hui de deux opportunités manqués pour l’attachement �* la France : 1830 (qui était selon eux une révolution envers la France) et 1945 (comme si 1000 personnes non-élus pourraient décider sur le sort de la Belgique !)[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][11][/font][/font][font=Verdana] C.a.d. : prévalence de la fédération sur les entités fédérées.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][12][/font][/font][font=Verdana] Congrès PS, 14.07.2004[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][13][/font][/font][font=Verdana] Le Soir, 19.10.92[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][14][/font][/font][font=Verdana] Le Soir, 26.08.96[/font][/size][/font]






... oftewel: "De Kroniek van een aangekondigde verontwaardiging". Het BUB-partijbestuur (ergo de Voorzitter) realiseert zich na talloze beschuldigingen van fransdolheid en fellow traveller te zijn van het FDF, dat de communautaire evenwichten moeten gerespecteerd worden om tenminste de schijn hoog te houden dat de BUB er voor alle Belgen en tegen alle schismatiekers is. Het is nu enkel maar jammer dat de tekst qua timing niet al te geslaagd is (na al die beschuldigingen) en de begeleidende tekst van lakei Patriot! niet al te veel moeite doet om het overduidelijke te camoufleren...
__________________
Ik wil zeggen dat de mens Is, dat de mens Bestaat... welnu, laat hem zijn, laat hem bestaan! En dan zou het bestaan op zichzelf het enige einddoel zijn: de mens zou bestaan, en hij zou er alleen voor zorgen om te blijven bestaan in zo-groot-mate-mogelijk van relatief geluk en relatieve vrijheid. En dan zou het verkeerd zijn, misdadig, de mens zijn relatief geluk en relatieve vrijheid te doen opofferen voor een idee: voor god, de gemeenschap of de Staat.
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Oud 16 maart 2005, 10:33   #9
Patriot!
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Beste vriend, de tekst is al iets ouder hoor.
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Oud 16 maart 2005, 10:33   #10
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... oftewel: "De Kroniek van een aangekondigde verontwaardiging".
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Oud 16 maart 2005, 10:46   #11
ossaert
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Beste vriend, de tekst is al iets ouder hoor.
Et alors? Het is dan ook niet toevallig dat hij net nu, na al die heisa, hier op het forum wordt geplaatst...

- Hans: "Oei, ze denken daar op Politics dat wij Fransdol zijn! Dat kan niet! Bruno!"
- Mr. Y. (*buigt als een knipmes*): "Jawel, Doorluchtige Voorzitter?"
- H.: "Had jouw studiedienst niet wat geschreven over de gevaren van het Franstalig nationalisme?"
- Y. (*nog steeds gebogen*): "Zeker, mijn Voorzitter".
- H.: "Gooi die eens op internet".
- Y. (*idem*): "Dat kan ik niet, mijn Voorzitter".
- H. : "Waarom niet, worm?"
- Y. : "Ik ben geband, mijn Voorzitter, omdat ik een trouwe discipel van uwe Intelligentie ben".
- H. (*verveeld*): "Hmmm, dat is waar ook... Waar zit Bob?"
- B. : "Hier, mijn Voorzitter" (*kruipt onder de voeten van Hans vandaan*).
- H. : "Gooi jij die tekst eens op internet... en schrijf er maar een mooie inleiding bij, zo één waarbij iedereen denkt dat we het menen".
- B. : "Zeker, mijn Voorzitter... Ik vlieg al!"

Zit ik er ver naast?
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Oud 16 maart 2005, 10:47   #12
ossaert
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Dank u, ik ken mijn klassiekers...
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Oud 16 maart 2005, 10:55   #13
garfield
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Et alors? Het is dan ook niet toevallig dat hij net nu, na al die heisa, hier op het forum wordt geplaatst...

- Hans: "Oei, ze denken daar op Politics dat wij Fransdol zijn! Dat kan niet! Bruno!"
- Mr. Y. (*buigt als een knipmes*): "Jawel, Doorluchtige Voorzitter?"
- H.: "Had jouw studiedienst niet wat geschreven over de gevaren van het Franstalig nationalisme?"
- Y. (*nog steeds gebogen*): "Zeker, mijn Voorzitter".
- H.: "Gooi die eens op internet".
- Y. (*idem*): "Dat kan ik niet, mijn Voorzitter".
- H. : "Waarom niet, worm?"
- Y. : "Ik ben geband, mijn Voorzitter, omdat ik een trouwe discipel van uwe Intelligentie ben".
- H. (*verveeld*): "Hmmm, dat is waar ook... Waar zit Bob?"
- B. : "Hier, mijn Voorzitter" (*kruipt onder de voeten van Hans vandaan*).
- H. : "Gooi jij die tekst eens op internet... en schrijf er maar een mooie inleiding bij, zo één waarbij iedereen denkt dat we het menen".
- B. : "Zeker, mijn Voorzitter... Ik vlieg al!"

Zit ik er ver naast?
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Oud 16 maart 2005, 13:23   #14
Stubaf.
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Buiten de 2,1 blinde volgelingen van Hans denk ik niet dat ook maar één zinnig mens deze uitlatingen voor ernst neemt. Tijdens de IJzerbedevaart in Steenstrate klom een of andere belgicistische demonstrant het podium op en begon plots zijn leuzen staan te krijsen.
Nu vraag ik me echter af waar de BUB-infiltrant/tegendemonstratie was te Linkebeek? Ik kan er geen vinden. Misschien heb ik een bril nodig en daarom vraag ik aan Hans om me foto's te tonen van de belgicistische protestant die helfhaftig het FDF-spreekersgestoelte bestormde.

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Oud 16 maart 2005, 14:08   #15
ossaert
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BUB hakt niet enkel in op Vlaamse nationalisten. Ook het Franstalig nationalisme is gevaarlijk. Dat toont onderstaande tekst aan.

Tekst in het Frans, diegenen die weigeren hem te lezen doen dat maar niet - maar val de mensen die ernstig willen discussieren ook niet lastig met onnozele opmerkingen daarover. Dank.

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=4]Le nationalisme francophone: plus masqué, mais (aussi) dangereux[/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Le nationalisme flamand pose un grand danger �* l’existence de la Belgique car il veut scinder le pays. Mais le nationalisme francophone qui est peut-être si dangereux que son antipode flamand, mais il dispose de quelques « atouts » qui le rendent « acceptable » chez certains gens. Quand on parle de « nationalisme » il est nécessaire de d’abord définir le terme. Nationalisme est une idéologie qui prétend revendiquer des avantages pour certains groupes, qu’elle nie aux autres. Le nationalisme souhaite des avantages pour certains, qu’elle ne veut pas du tout (ou �* peine) pour des autres. Il est donc claire que, comme idéologie, le nationalisme doit posséder (au moins) deux components : la notion de « patrie » (une certaine superficie en terre) et la notion de « peuple » (un certain nombre de gens). Mais le nationalisme est une idéologie très hétérogène (déj�* par pays !) qui se distingue d’abord des autres courants de pensée car elle n’a pas une prétention universaliste. Les libéraux, socialistes, écologistes, Chrétiens-démocrates peuvent espérer �* englober le monde entier dans leur idéologie. Le nationalisme ne peut point aspirer �* ce but. Par sa nature il est fixé sur un ‘peuple’ et un pays[1], des nationalismes peuvent (doivent) même se combattre. En effet il est clair que le paradoxal dans l’idéologie nationaliste est le fait qu’il doit prétendre �* être supérieur �* d’autres adeptes de sa propre idéologie pour pouvoir survivre[2. Le nationalisme ne peut pas exister sans ennemis, souvent dans la forme de peuples hostiles ou des leaders politiques que le nationaliste catégorisera comme non fiables[3]. On peut naturellement se demander si dans ce cas l’antinationaliste ne pourrait pas simplement dire �* son opposant qu’il accuse les dirigeants de l’autre groupe de sa propre maladie, notamment le nationalisme. En effet on ne peut pas accuser comme politicien francophone un politicien flamand de toujours prendre des décisions néfastes pour l’autre partie du pays, si il veut lui-même seulement des lois, mesures, parlements, syndicats, partis etc. où l’autre groupe linguistique est exclu. La conclusion devrait donc être qu’il ne faut pas viser l’autre, mais bien le nationalisme.

Maintenant qu’on a donné quelques caractéristiques générales du nationalisme, quelles sont les formes qu’on peut distinguer aujourd’hui, plus particulièrement en Belgique?1° Le nationalisme flamand qui souhaite une Flandre autonome, peut-être encore dans une confédération[font=Verdana][4][/font] avec la Wallonie (et Bruxelles). Ce nationalisme aspire donc �* un propre état avec ses propres institutions. Le nationalisme flamand connaît des gradations qui vont du fédéralisme vidé [font=Verdana][5][/font] jusqu’au séparatisme ouvert (style VB et N-VA)[6]. C’est un nationalisme classique qui cherche �*2°Le nationalisme francophone. Le terme ‘francophone’, que nous proposons ici , est �* sa place car ce nationalisme �* (presque toujours) des revendications liés �* Wallonie et �* Bruxelles. Importante exception et mutatis mutandis aussi son caractéristique qui le distingue le plus du nationalisme flamand est le fait que le nationalisme francophone refuse le principe de territorialité[7]. Ni les politiciens francophones, ni les francophones mêmes souhaitent un état indépendant[8]. Presque tous les partis francophones souhaitent un statu quo du fédéralisme actuel. En effet, il n’y a jamais existé un nationalisme wallon qui a voulu créer un état indépendant wallon. Dans la première phase de l’existence de la Belgique (1830-1910) il n’y avait même pas de Mouvement wallon. Pour autant qu’un nationalisme francophone existait, elle coïncidait tout �* fait avec la nation belge et francophone. Ce nationalisme bizarre et tout �* fait « sui generis » a été créé comme réaction contre la peur du surcroît de la population néerlandophone en Belgique[9] et comme protection contre les lois linguistiques qui ont mis les deux grandes langues �* pied d’égalité �* partir de 1873. Ainsi on voit que dans la deuxième phase de l’existence de la Belgique (1910-1945) le mouvement francophone abandonner ces positions sur une Belgique francophone. Au moins elle voulait une Flandre bilingue et une Wallonie unilingue. Ainsi les propos de(s) (la plupart des) politiciens flamands qui voulaient une Belgique territorialement bilingue ont été rejetés en 1932 par les politiciens francophones. Après 1945 le nationalisme francophone c’est dispersé, tout comme le nationalisme flamand d’ailleurs. Un aile voulait le « r »attachment de la Wallonie �* la France, comme si la Wallonie était rattaché �* la France comme région �* part entière dans le passé[10]. Un deuxième aile réclamait l’autonomie économique de la Wallonie. Ce courant a été repris par la gauche militante francophone (Renard). Une troisième aile voulait défendre les droits des francophones �* Bruxelles et dans la périphérie (FDF). Enfin la fédéralisation �* partir de 1970 a donné aux nationalistes le plus possible d’autonomie (économique). Paradoxalement, la demande nationaliste d’autonomie �* accéléré le processus de stagnation et de recul économique dans le Sud. C’étaient notamment les grands holdings Bruxellois qui ont laissé tomber l’industrie de charbon et de fer en refusant de la moderniser. Du moment où les nationalistes pouvaient gérer des larges portions de leur économie, ils étaient devenus héritiers d’une société appauvrie. De l’autre côté de la frontière linguistique l’autonomie régionale a non seulement renforcé les revendications autonomistes, mais a aussi créé l’image que l’autonomie au Sud servait �* « gaspiller » l’argent « flamand ». Le système même n’a jamais été remis en cause. Le fédéralisme qui était en effet une espèce de confédéralisme a été renforcé depuis 1980. L’hiérarchie des normes[font=Verdana][11][/font] était rejetée par des nationalistes francophones, qui craignaient �* nouveau la dominance des « flamands » au niveau fédéral. Sur un autre plan les nationalistes francophones n’ont pas cessé �* remettre en cause les lois linguistiques durant les années 80 et 90, tout comme l’intégrité territoriale du Nord du pays.

Aujourd’hui des voix se lèvent –toujours partant d’une position défensive- de préparer l’après-Belgique. Pour tous les partis francophones cette Belgique minus la Flandre consisterait de la Communauté française (Wallonie-Bruxelles). Comme l’a dit Elio Di Rupo : «Mais, bien entendu, si les néerlandophones devaient décider de se passer des francophones, il faudrait bien que nous en tirions toutes les conséquences.
Il faudrait bien que nous prenions entre nous, Bruxellois et Wallons, notre destin plus complètement en mains, avec l’ensemble des attributions d’une nation »[font=Verdana][font=Verdana][12][/font][/font].Autrement qu’en Flandre les nationalistes francophones n’ont pas choisi du début la voie « identitaire ». Comme l’ancien président du conseil de la Région Wallonne , Robert Collignon l’a dit d’une façon plus cynique : « il n’y a pas de culture wallonne, mais nous sommes en train de fabriquer une »[13] . Néanmoins certains voix se lèvent aussi pour le soi-disant « rattachment » de la Wallonie �* la France. Comme l’a dit Louis Michel (MR) :« Si �* un moment donné, j'ai le choix entre un État wallon replié sur lui-même et la France, je choisirai la France. »[font=&quot][14][/font]
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

Bref, ce que nous avons décrit comme nationalisme francophone a quelques caractéristiques intéressantes :
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]-Il n’y a pas un parti spécifique comme le Vlaams Belang qui défend son idéologie (�* moins le FDF)-Le nationalisme francophone a parti toujours, et part encore, d’une attitude défensive-A cause de son attitude défensive ce nationalisme semble être plus doux. Les nationalistes francophones se disent « régionalistes ». Le mal est mis au sein des partis flamands. Ils oublient d’une façon sélective qu’eux-mêmes ils ont collaboré �* chaque réforme d’Etat, réformes qui ont tour �* tour affaibli l’Etat belge et renforcé les régions-Bien que le nationalisme francophone –hors les rattachistes- ne souhaite en principe pas la fin de la Belgique plusieurs actes peuvent être considérés commes nationalistes : le refus du bilinguisme dans certains hôpitaux bruxellois, l’amalgame fait par les nationalistes entres ‘flamands’ et ‘nationalistes flamands’ (c.a.d. entre néerlandophones et nationalistes flamands), le souhait de franciser des parties de la Belgique, l’attitude de plusieurs partis francophones dans la question de législation du tabac, le souhait de plusieurs partis francophones de régionaliser le trafic d’armes (fait en 2003). [/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

Certes, il ne s’agit pas d’un nationalisme classique, comme le nationalisme flamand. Le nationalisme francophone ne souhaite pas, ou quand même pas en premier lieu, la création d’un état francophone. Elle ne veut donc pas, comme son contre part flamand la congruence d’une culture avec un état. Mais néanmoins tous ces actions sont clairement nationalistes : elles veulent des avantages ou des mesures uniquement pour un groupe (linguistique) visible et pas (ou �* peine) pour des autres.

[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Quand on utilise seulement la définition « classique » du nationalisme (congruence état-culture-nation) le mouvement francophone pourrait être catalogué comme non nationaliste, ce qui ne correspond pas �* la réalité, mais �* l’image qu’un parti comme le FDF souhaite donner d’elle-même. [/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]

[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Il est très clair que ces tendances autonomistes et régionalistes sont très menaçants pour l’avenir de la Belgique. Seulement des partis nationaux, comme le BUB, peuvent débloquer le racisme linguistique et le confédéralisme qui est devenu la base de nos institutions, largement bipolarisées. Ceux qui pensent que la lutte de demain sera une entre droite et gauche se trompent. Ni la droite, ni la gauche sont l’ennemi de la démocratie. Le seul ennemi est le nationalisme qui a scindé nos partis et qui fait son travaille dévastatrice dans chaque parti néerlandophone et francophone. Le BUB doit lier non seulement le Nord et le Sud, mais aussi toutes les idéologies démocratiques, belges, européennes et universalistes. Une tâche immense se trouve devant nous.[/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]Bruno YAMMINE[/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2]
[/size][/font][font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][1][/font][/font][font=Verdana] Ce qui n’exclu pas le fait qu’on peut s’imaginer que des nationalistes souhaitent la réussite d’autres mouvements nationalistes dans d’autres pays. Par ex : les révolutions de 1848 en Europe ou le soutien des nationalistes Flamands aux séparatistes Basques.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][2][/font][/font][font=Verdana] Voir : (a) nationalisme allemand↔ nationalisme français[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana](b) vlaams Belang ↔ parti socialiste[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][3][/font][/font][font=Verdana] Une analyse du discours du Vlaams Blok que 50% de leur discours communautaire contient des hostilités ouvertes contre les francophones belges. Leur politiciens (mais aussi in extenso la population) seraient « perfides », « impérialistes », « criminels », « fanatiques », « arrogants », « des parasites » etc.[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana](analyse fait par l’auteur d’avril �* oktobre de 2004). A juste titre l’ancien politicien et auteur flamand Ludo Dierickx a constaté que le racisme contre les étrangers est de plus en plus compensé par un racisme anti-francophone par l’extrême-droite flamande, voir De Standaard, 6.12.04 « Dieven, verspillen en parasieten », p. 44-45.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][4][/font][/font][font=Verdana] En certain sens la Belgique forme aujourd’hui déj�* une espèce de confédération avec trois (ou quatre) partis constituantes, équipollentes en matière législative et capables de conclure des traités internationaux. Une confédération est juridiquement vu une fédération d’Etats indépendants.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][5][/font][/font][font=Verdana] Comme l’a invoqué le Premier le 12.10 « il convient de trouver, dans un esprit d'ouverture et de confiance mutuelle, des ensembles de compétences plus homogènes. Parfois, de glissements de compétences restreints peuvent se traduire par une approche beaucoup plus cohérente et efficace. » http://www.premier.be/fr/premier/spe...2004/4201.html et �* nouveau le 20.12 . (Déclaration de politique fédérale)[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana]« (3) Le fédéralisme dont nous fêterons les 25 années d'existence en 2005, conjointement avec les 175 ans de l'indépendance belge, devra être parachevé. Un Forum transformera le Sénat en une Chambre des Régions et Communautés. Les compétences distinctes seront davantage affinées en vue d'obtenir plus de transparence et d'implication de la part des citoyens. »[/font][/size][/font]

[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana]http://www.presscenter.org/archive/o...FR&prId=105843 (Message au début de la nouvelle année)[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][6][/font][/font][font=Verdana] Bien sûr, ce nationalisme a connu plusieurs phases, et est né d’une simple lutte démocratique pour l’égalité des langues. Ces phases sont assez connus, on ne va pas les répéter ad nauseam ici[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][7][/font][/font][font=Verdana] C.a.d. : langue majoritaire=langue de région ou d’état[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][8][/font][/font][font=Verdana] Seulement 2% des wallons voudrait un état wallon indépendant (contre 5% des flamands qui souhaite un état flamand indépendant), enquête HNB 20.10.04[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][9][/font][/font][font=Verdana] Et donc de sa potentielle dominance politique[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][10][/font][/font][font=Verdana] Ce mouvement fut très réussie pendant le Congrès Wallon, où elle ralliait dans un vote (annulé le lendemain) la majorité des congressistes. Ainsi les « rattachistes » parlent aujourd’hui de deux opportunités manqués pour l’attachement �* la France : 1830 (qui était selon eux une révolution envers la France) et 1945 (comme si 1000 personnes non-élus pourraient décider sur le sort de la Belgique !)[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][11][/font][/font][font=Verdana] C.a.d. : prévalence de la fédération sur les entités fédérées.[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][12][/font][/font][font=Verdana] Congrès PS, 14.07.2004[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][13][/font][/font][font=Verdana] Le Soir, 19.10.92[/font][/size][/font]


[font=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif][size=2][font=Verdana][font=Verdana][14][/font][/font][font=Verdana] Le Soir, 26.08.96[/font][/size][/font]





... nu ik deze tekst even 'echt' doorneem: hoe zit het eigenlijk met de individuele tweetaligheid van Mr. Y. (en zijn proefschrift, Patriot!?). Zelfs ik kan er verschillende flagrante fouten uithalen, zowel spelfouten als vormen van nederfrans (ook inhoudelijk trouwens, maar dat is een andere kwestie)...
__________________
Ik wil zeggen dat de mens Is, dat de mens Bestaat... welnu, laat hem zijn, laat hem bestaan! En dan zou het bestaan op zichzelf het enige einddoel zijn: de mens zou bestaan, en hij zou er alleen voor zorgen om te blijven bestaan in zo-groot-mate-mogelijk van relatief geluk en relatieve vrijheid. En dan zou het verkeerd zijn, misdadig, de mens zijn relatief geluk en relatieve vrijheid te doen opofferen voor een idee: voor god, de gemeenschap of de Staat.

Laatst gewijzigd door ossaert : 16 maart 2005 om 14:08.
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Oud 16 maart 2005, 14:11   #16
Patriot!
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Et alors? Het is dan ook niet toevallig dat hij net nu, na al die heisa, hier op het forum wordt geplaatst...

- Hans: "Oei, ze denken daar op Politics dat wij Fransdol zijn! Dat kan niet! Bruno!"
- Mr. Y. (*buigt als een knipmes*): "Jawel, Doorluchtige Voorzitter?"
- H.: "Had jouw studiedienst niet wat geschreven over de gevaren van het Franstalig nationalisme?"
- Y. (*nog steeds gebogen*): "Zeker, mijn Voorzitter".
- H.: "Gooi die eens op internet".
- Y. (*idem*): "Dat kan ik niet, mijn Voorzitter".
- H. : "Waarom niet, worm?"
- Y. : "Ik ben geband, mijn Voorzitter, omdat ik een trouwe discipel van uwe Intelligentie ben".
- H. (*verveeld*): "Hmmm, dat is waar ook... Waar zit Bob?"
- B. : "Hier, mijn Voorzitter" (*kruipt onder de voeten van Hans vandaan*).
- H. : "Gooi jij die tekst eens op internet... en schrijf er maar een mooie inleiding bij, zo één waarbij iedereen denkt dat we het menen".
- B. : "Zeker, mijn Voorzitter... Ik vlieg al!"

Zit ik er ver naast?
Ja.
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Oud 16 maart 2005, 15:52   #17
ossaert
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Ja.
Hm, laat me even denken... Wat kan er fout zijn... Hans1 spreekt zijn discipelen aan in het Frans?
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Ik wil zeggen dat de mens Is, dat de mens Bestaat... welnu, laat hem zijn, laat hem bestaan! En dan zou het bestaan op zichzelf het enige einddoel zijn: de mens zou bestaan, en hij zou er alleen voor zorgen om te blijven bestaan in zo-groot-mate-mogelijk van relatief geluk en relatieve vrijheid. En dan zou het verkeerd zijn, misdadig, de mens zijn relatief geluk en relatieve vrijheid te doen opofferen voor een idee: voor god, de gemeenschap of de Staat.
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Oud 16 maart 2005, 15:59   #18
C uit W
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Le BUB doit lier non seulement le Nord et le Sud, mais aussi toutes les idéologies démocratiques, belges, européennes et universalistes. Une tâche immense se trouve devant nous.
Maar Holland mag niet meedoen zeker?
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Oud 16 maart 2005, 16:07   #19
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Oorspronkelijk geplaatst door ossaert
Hm, laat me even denken... Wat kan er fout zijn... Hans1 spreekt zijn discipelen aan in het Frans?
Hilarisch
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Oud 16 maart 2005, 18:01   #20
driewerf
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We zeiden reeds dat we tegen beide betogingen waren.
Waar? Want er is wel een copy/paste gekomen van B-Plus, maar van de BUB heb ik niet gezien.
nl hier:http://forum.politics.be/showthread.php?t=31085
elders op dit forum betogen jullie dat BUB en B-plus twee verschillende organistaties zijn.
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