Sire, il n'y a plus de monarchistes.

Knorretje · 30 juni 2006, 19:12

[SIZE=3][SIZE=2]Le Vif/l'express voerde onder de parlementsleden een enquête over de rol van het koningshuis. [/SIZE][/SIZE]

[SIZE=2]Dit zijn de opmerkelijkste resultaten :[/SIZE]

[SIZE=3][SIZE=2]Bijna 2/3 van de Nederlandstalige parlementsleden zijn voorstander van een afslanking van de koninklijk functie tot een louter protocollaire rol.[/SIZE] [/SIZE]

[SIZE=2]Bijna 2/3 van de Nederlandstalige parlementsleden wensen op termijn het koningshuis af te schaffen en te vervangen door een republiek. [/SIZE]

Innige deelneming Hans I.

[SIZE=3]L'avenir de la monarchie[/SIZE]

Après 175 ans d'existence, la monarchie est-elle �* un tournant ?Un pays profondément divisé sur le sort de la royauté. Voil�* ce que révèle l'enquête exceptionnelle du Vif/L'Express, menée auprès de 509 élus du peuple. A la veille des 175 ans de la prestation de serment de Léopold Ier, premier roi des Belges, les monarchistes de cœur sont désormais minoritaires. Certes, avec les monarchistes de raison, ils forment une courte majorité opposée �* rouvrir le débat sur la fonction royale, favorable au maintien du statu quo actuel et des prérogatives du souverain telles qu'elles ont été définies en 1830. Mais pour combien de temps encore ? Dans la région la plus peuplée et la plus riche du pays, trois quarts des parlementaires néerlandophones réclament en effet au moins une monarchie light, réduite �* un rôle purement protocolaire ou cérémoniel. Le cocktail est explosif : notre enquête révèle un cliché en négatif par rapport �* la Belgique de la Question royale. Aujourd'hui, les deux tiers des députés et des sénateurs… flamands se disent républicains et veulent supprimer la couronne. Alors que la majorité des francophones sont royalistes, accrochés au trône et �* l'unité du pays. Attention danger !

Voici bientôt 175 ans, le 21 juillet 1831, Léopold Ier jurait de respecter la Constitution et les lois du peuple belge. Quelques mois auparavant, en avril, ce prince de Saxe-Cobourg-Gotha, veuf de l'héritière de la couronne britannique, avait reçu, �* Londres, une délégation du Congrès national en quête d'un roi pour la toute nouvelle Belgique. « Messieurs, vous avez rudement traité la royauté qui n'était pas l�* pour se défendre, leur dit-il, après avoir lu la Constitution belge. Votre charte est bien démocratique. »

Cette réaction est révélatrice d'« un certain esprit libéral, d'aucuns diraient même " républicain " qui avait soufflé sur le Congrès », rappelle Vincent Dujardin, historien �* l'Université catholique de Louvain (UCL), dans un numéro spécial de la Revue générale consacré �* la Belgique de 1830 (juin/juillet 2005). En effet, la monarchie ne fut admise que dans la mesure où le futur roi était amené �* reconnaître la souveraineté nationale. Le 22 novembre 1830, les membres du Congrès national se sont toutefois prononcés massivement pour « la monarchie constitutionnelle représentative », par 174 voix contre 13. Ce dernier chiffre pourrait donner �* penser que le courant républicain était marginal. Mais « les actes du Congrès national conduisent �* nuancer cette impression », poursuit Dujardin. La première assemblée belge comptait en réalité davantage de républicains de coeur.

Le modèle américain

Cependant, les Etats européens avaient déj�* eu des difficultés �* accepter l'indépendance belge. Ils auraient vu d'un mauvais £il que la jeune Belgique se distingue encore davantage en adoptant une Constitution républicaine. « Comme monarchie vous serez une puissance ; comme république vous serez un épouvantail », avait lancé l'un des membres du Congrès, Jean-Baptiste Nothomb. Le royaliste baron de Pélichy van Buerne avait bien fait allusion �* la République française, mais pour faire observer qu'elle s'était « convertie en monarchie absolue ». Même le républicain de c£ur Léopold Zoude avait reconnu que le cas des Etats-Unis d'Amérique n'était pas comparable �* la situation belge.

175 ans plus tard, comment ont évolué les sensibilités ? Pour le savoir, nous avons mené une enquête exceptionnelle auprès des 509 élus du Sénat, de la Chambre et des parlements wallon, bruxellois et flamand. Un bref questionnaire était censé sonder leur fibre monarchiste ou républicaine. Nous avons récolté 308 réponses, ce qui correspond �* un taux de participation de 60.5 % (guide de lecture en pages 38 et 39).

Verdict ? Paraphrasant Jules Destrée et son célèbre « Sire, il n'y a pas de Belges », on pourrait tirer la sonnette d'alarme et lancer : « Sire, il n'y a plus de monarchistes. » Ou plus précisément : « Il n'y a plus de monarchistes de c£ur. » Ou encore : « Il n'y a plus de monarchistes qu'en Wallonie et �* Bruxelles. » En effet, pour l'anecdote, seule une très faible minorité de parlementaires (3,7 %), des marginaux, en quelque sorte, surtout francophones, réclament davantage de pouvoirs pour le roi (tableau 1). Sont-ce l�* les derniers vrais royalistes de c£ur ? Pour le reste, les moyennes nationales dissimulent mal la fracture Nord-Sud. Ainsi, une courte majorité (51,4 %) des élus, toutes assemblées confondues, estiment que la monarchie ne doit pas faire l'objet d'une discussion, qu'il ne faut pas revoir les prérogatives royales (tableau 2). Mais, dans le nord du pays, seul 1 sénateur ou député sur 5 est favorable �* ce statu quo, pour 3 sur 4 au Sud.

Plus inquiétant : près de deux tiers des parlementaires néerlandophones réclament, certes, « �* terme », la suppression de la monarchie au profit d'une république (tableau 4). C'est seulement le cas de 1 francophone sur 5, ce qui n'est néanmoins pas tout �* fait marginal. Le rapport de force s'est inversé entre les régions par rapport �* la Question royale. Pour rappel, en 1950, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la consultation populaire faisait apparaître que 57,68 % des Belges - 72,2 % des Flamands et... 42,32 % des Wallons - étaient favorables au retour de Léopold III en Belgique. Mais l'opposition wallonne au roi l'avait finalement contraint �* déléguer ses prérogatives royales �* son fils Baudouin, avant qu'il n'abdique l'année suivante. Ce n'était en effet pas l'institution monarchique comme telle qui était contestée �* l'époque.

La boîte de Pandore

« Depuis la Question royale, tous les Premiers ministres se sont globalement opposés �* l'ouverture d'une discussion sur le roi, craignant tout toilettage de ses prérogatives », commente Vincent Dujardin. En 175 ans, les articles de la Constitution relatifs �* la monarchie n'ont en effet pratiquement pas été modifiés, sauf pour l'abrogation de la loi salique (1991), permettant �* une femme d'accéder au trône, ou pour réformer le processus de dissolution des chambres (1993). « A la lecture de l'enquête du Vif/L'Express, on comprend pourquoi, aujourd'hui encore, entamer un débat parlementaire sur le sujet reviendrait �* ouvrir la boîte de Pandore », estime l'historien de l'UCL.

Il n'est alors pas tout �* fait sûr que les francophones réussiraient �* faire obstacle �* la volonté néerlandophone d'obtenir une monarchie light �* la suédoise, réduite �* une fonction purement cérémonielle. Le roi n'aurait plus le pouvoir de nommer les ministres du gouvernement fédéral. Il lirait aussi des discours écrits par le Premier ministre, comme la reine de Grande-Bretagne.

Ainsi, tous parlements confondus, il se trouve, dans notre enquête, 51,7 % d'élus pour limiter, « dans un proche avenir », la monarchie belge �* un rôle protocolaire (tableau 3). A la Chambre et au Sénat, les seules assemblées concernées par une éventuelle révision constitutionnelle, il n'y a toutefois plus de majorité sur ce point (47,8 %). Mais le maintien du statu quo risque de faire grincer des dents chez les parlementaires flamands - 77,5 % d'entre eux réclament une monarchie protocolaire. Cela dit, si les francophones sont massivement opposés �* réduire les pouvoirs du roi, c'est sans doute qu'ils y voient une étape intermédiaire �* la suppression pure et simple de la monarchie. Un croisement des questions 3 et 4 de notre enquête montre que deux tiers de républicains se retrouvent parmi les partisans d'une fonction protocolaire.

Evidemment, il faut interpréter ces chiffres : peut-être les élus de Flandre ont-ils voulu profiter de l'occasion pour adresser un signal clair aux francophones, via un de leurs médias. Dans la réalité, après des heures de discussions en commission et de débats parlementaires, les sénateurs et députés, confrontés �* leurs responsabilités, feraient sans doute preuve de davantage de prudence et de sagacité, même au nord du pays.

Retrouvez l'intégralité de ce dossier dans la version papier.

Dorothée Klein
http://www.levif.be/CMArticles/ShowA...62&sectionID=3

30 juin 2006 Le Vif

Silhoutte · 30 juni 2006, 19:26

Wat is dan eigenlijk het probleem? Eerst horen we van Vlaams-nationalisten dat alle traditionele partijen zich verbinden met het Hof en met België en nu zeg je dat 2/3 Vlaamse parlementairen tegen de monarchie is?

Everytime · 30 juni 2006, 19:29

Ik ben ook tegen de monarchie om eerlijk te zijn.

Silhoutte · 30 juni 2006, 19:30

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Everytime

Ik ben ook tegen de monarchie om eerlijk te zijn.

Allez, dan heb je keuze genoeg in al de parlementen die ons land 'rijk' is.

Everytime · 30 juni 2006, 19:35

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Silhoutte

Allez, dan heb je keuze genoeg in al de parlementen die ons land 'rijk' is.

Maar ik wil niet de splitsing van het land. Op lange termijn zal ik toch dit land verlaten en mijn nationaliteit laten veranderen. De vraag is niet meer OF ik het land zal verlaten maar wel WANNEER ik dit land zal verlaten. En geloof mij, België zal ik in elk geval niet missen.

Jan van den Berghe · 30 juni 2006, 19:45

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Silhoutte

Wat is dan eigenlijk het probleem? Eerst horen we van Vlaams-nationalisten dat alle traditionele partijen zich verbinden met het Hof en met België en nu zeg je dat 2/3 Vlaamse parlementairen tegen de monarchie is?

Wie is die "je" waarover u het heeft? Ik lees immers slechts de resultaten van een bevraging onder de volksvertegenwoordigers.

Jaani_Dushman · 30 juni 2006, 19:49

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Oorspronkelijk geplaatst door Everytime

Ik ben ook tegen de monarchie om eerlijk te zijn.

Nogal logisch. Jij wil naar de Franse Republiek.

Knuppel · 30 juni 2006, 20:02

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Everytime

Maar ik wil niet de splitsing van het land. Op lange termijn zal ik toch dit land verlaten en mijn nationaliteit laten veranderen. De vraag is niet meer OF ik het land zal verlaten maar wel WANNEER ik dit land zal verlaten. En geloof mij, België zal ik in elk geval niet missen.

Als je Belgique met zekerheid zult verlaten en nu al weet dat je het niet zult missen, waarom interesseert het jou dan of het wel of niet uiteenvalt?

Knuppel · 30 juni 2006, 20:23

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Silhoutte

Wat is dan eigenlijk het probleem? Eerst horen we van Vlaams-nationalisten dat alle traditionele partijen zich verbinden met het Hof en met België en nu zeg je dat 2/3 Vlaamse parlementairen tegen de monarchie is?

Misschien vindt je hier het antwoord in?

Sire er is een probleem

Het nieuwsblad

,,De verschillen tussen Vlamingen en Walen over Prins Filip worden zo groot dat er een nieuwe koningskwestie in de maak is''
De monarchie wordt in België nog gesteund door 60 procent van de Belgen, blijkt uit een enquête van onze krant. Dat is nog altijd een meerderheid, maar jaar na jaar slinkt het enthousiasme van de Belgen voor het koningshuis. In Vlaanderen kiest zelfs maar 56 procent meer voor de monarchie en opteert ruim een kwart al voor de republiek met verkozen president. In Wallonië is bijna 70 procent nog voor een monarchie. Uit de opiniepeiling blijkt dat er grote verschillen zijn tussen Vlamingen en Walen. Vooral als het over Prins Filip gaat. In Vlaanderen is er zelfs geen meerderheid meer die hem kiest als toekomstige vorst en wordt hij langzaam maar zeker op de hielen gezeten door zijn zus Prinses Astrid. In Wallonië daarentegen is hij nog populair.

Als deze cijfers niet veranderen op korte termijn is dit land op weg naar een nieuwe koningskwestie. Dat maakt het probleem van Koning Albert II - die zelf populairder is in Vlaanderen dan in Wallonië - des te groter. Enerzijds zit hij met de toenemende vraag van de Vlaamse politici en Vlaamse bevolking naar meer gewestelijke bevoegdheden, terwijl de Franstaligen hard op de rem staan. Anderzijds zit hij met een kroonprins die maar bij één landsgedeelte echt aanvaard wordt als staatshoofd.

Bovendien vinden zowat alle toppolitici dat er een probleem met Prins Filip is, ook diegenen die nog voor het behoud van de huidige rol van de koning zijn. Iedereen weet dat de prins niet klaar is om de taak van staatshoofd te vervullen en dat de kans klein is dat hij beter wordt op korte termijn. Een aardige vent maar geen leider met een wervende kracht. Zo is het nu eenmaal. Vroeger werden er grapjes over gemaakt, maar nu het uur van de waarheid nadert, is het pijnlijk.

De Franstalige politici steunen de prins nog openlijk omdat het hen electoraal goed uitkomt. Voorlopig. Maar ze vrezen terecht dat een keer Filip aan het hoofd van het land komt, de prins zo onderuit zal gaan dat hij ongewild de motor zal zijn voor een doorgedreven boedelscheiding.

Daarom zullen ze de komende jaren voorzichtig de bocht maken. De macht van de koning zal worden ingeperkt in ruil voor een (in hoofde van de Franstaligen) redelijke staatshervorming. Er wordt in alle stilte - ook in de geesten - gewerkt aan een Belgisch compromis.

Ook de koning en zijn entourage doen er goed aan om mee te werken. Het spierballengerol van dinsdag heeft Vlamingen en Walen nog meer tegen elkaar opgezet en heeft in feite contraproductief gewerkt. Dat had de entourage van de koning moeten weten. Maar ja, het is niet de eerste keer dat de vorst en kroonprins slecht geadviseerd worden.

Als Prins Filip vandaag niet de kandidaat-vorst is die hij zou moeten zijn, heeft dat ook veel te maken met zijn opleiding en de manier waarop hij al die jaren voorbereid is op zijn taak. In vergelijking met de aanpak in bijvoorbeeld Nederland en nu ook in Engeland loopt onze monarchie hopeloos achterop te hinken. Intussen is het te laat voor deze kroonprins.

Gunther VANPRAET

Silhoutte · 30 juni 2006, 21:36

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Jan van den Berghe

Wie is die "je" waarover u het heeft? Ik lees immers slechts de resultaten van een bevraging onder de volksvertegenwoordigers.

Je is de schrijver van het bericht.

Knuppel · 30 juni 2006, 21:48

Het is nochtans niet de enige schrijver van dit soort berichten.

Tantist · 30 juni 2006, 22:31

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Knuppel

Het is nochtans niet de enige schrijver van dit soort berichten.

Ach ja, de laatste strohalmen moeten toch vastgegrepen worden...

Silhoutte · 30 juni 2006, 23:18

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Tantist

Ach ja, de laatste strohalmen moeten toch vastgegrepen worden...

Helaas is een constitutionele monarchie niet gelegitimeerd door het Congres van Wenen. Laten we het absolutisme herinvoeren8)

Tantist · 30 juni 2006, 23:25

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Silhoutte

Helaas is een constitutionele monarchie niet gelegitimeerd door het Congres van Wenen. Laten we het absolutisme herinvoeren8)

Absolutisme? Ik denk dat dit eerder een term is die op uw denken slaat. Gebrek aan nuance en redelijkheid omtrent deze materie degradeert u toch het niveau van de BUB. En je moet al een Kim zijn om dat te overstijgen

Silhoutte · 1 juli 2006, 00:13

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Tantist

Absolutisme? Ik denk dat dit eerder een term is die op uw denken slaat. Gebrek aan nuance en redelijkheid omtrent deze materie degradeert u toch het niveau van de BUB. En je moet al een Kim zijn om dat te overstijgen

Gebrek aan nuance? U was het die meteen alles wat Belgisch is verkettert. Als men uw posts naleest, lijkt het wel of we leven in Noord-Korea hier.

Hertog van Gelre · 1 juli 2006, 00:14

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Silhoutte

Gebrek aan nuance? U was het die meteen alles wat Belgisch is verkettert. Als men uw posts naleest, lijkt het wel of we leven in Noord-Korea hier.

Er is hier alvast wel iemand die Kim heet!

Silhoutte · 1 juli 2006, 00:18

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Hertog van Gelre

Er is hier alvast wel iemand die Kim heet!

Zitten taalcursussen Nederlands ook al in het basispakket juche?

Supe®Staaf · 1 juli 2006, 01:09

Dé essentiële passage uit de tekst:

Citaat:

Ainsi, tous parlements confondus, il se trouve, dans notre enquête, 51,7 % d'élus pour limiter, « dans un proche avenir », la monarchie belge �* un rôle protocolaire

Vrij vertaald:

Zodoende, in alle parlementen samen, zijn er 51,7 % verkozenen (voorstander) om "onverwijld" de Belgische monarchie te beperken tot een protocollaire rol.

Maak u geen illusies.
Ik maak me niet ongerust.

Keats · 1 juli 2006, 08:44

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Supe®Staaf

Dé essentiële passage uit de tekst:

Vrij vertaald:

Zodoende, in alle parlementen samen, zijn er 51,7 % verkozenen (voorstander) om "onverwijld" de Belgische monarchie te beperken tot een protocollaire rol.

Maak u geen illusies.
Ik maak me niet ongerust.

Uhm, 'onverwijld' is nogal een oud woord... ik zou hier gewoon 'in de nabije toekomst' gebruiken.

Dat staat er ook gewoon letterlijk.

Onverwijld zou ik in het Frans vertalen met 'au plus vite' offuh, 'sans tarder'.

baarle · 1 juli 2006, 09:10

Citaat:

Oorspronkelijk geplaatst door Silhoutte

Wat is dan eigenlijk het probleem? Eerst horen we van Vlaams-nationalisten dat alle traditionele partijen zich verbinden met het Hof en met België en nu zeg je dat 2/3 Vlaamse parlementairen tegen de monarchie is?

De meesten houden terzake nog altijd een 'low profile' aan Je wil niet uit de gratie van het hof vallen, want dan verlies je een heleboel kansen, ondermeer die om minister te worden.

Dat belet niet dat er de voorbije tien jaar een 'landslide' in de geesten gebeurd is: niemand in Vlaanderen wil het koningschap nog echt behouden, op een paar fossielen �* la Decroo na. Ooit komt puntje bij paaltje, en dan zal blijken dat de monarchie in Vlaanderen geen verdedigers meer zal vinden.

30 juni 2006, 19:12	#1
Knorretje Banneling Geregistreerd: 3 maart 2006 Berichten: 1.977	Sire, il n'y a plus de monarchistes. [SIZE=3][SIZE=2]Le Vif/l'express voerde onder de parlementsleden een enquête over de rol van het koningshuis. [/SIZE][/SIZE] [SIZE=2]Dit zijn de opmerkelijkste resultaten :[/SIZE] [SIZE=3][SIZE=2]Bijna 2/3 van de Nederlandstalige parlementsleden zijn voorstander van een afslanking van de koninklijk functie tot een louter protocollaire rol.[/SIZE] [/SIZE] [SIZE=2]Bijna 2/3 van de Nederlandstalige parlementsleden wensen op termijn het koningshuis af te schaffen en te vervangen door een republiek. [/SIZE] Innige deelneming Hans I. [SIZE=3]L'avenir de la monarchie[/SIZE] Après 175 ans d'existence, la monarchie est-elle �* un tournant ?*Un pays profondément divisé sur le sort de la royauté. Voil� ce que révèle l'enquête exceptionnelle du Vif/L'Express, menée auprès de 509 élus du peuple. A la veille des 175 ans de la prestation de serment de Léopold Ier, premier roi des Belges, les monarchistes de cœur sont désormais minoritaires.** Certes, avec les monarchistes de raison, ils forment une courte majorité opposée �* rouvrir le débat sur la fonction royale, favorable au maintien du statu quo actuel et des prérogatives du souverain telles qu'elles ont été définies en 1830. Mais pour combien de temps encore ? Dans la région la plus peuplée et la plus riche du pays, trois quarts des parlementaires néerlandophones réclament en effet au moins une monarchie light, réduite �* un rôle purement protocolaire ou cérémoniel. Le cocktail est explosif : notre enquête révèle un cliché en négatif par rapport �* la Belgique de la Question royale. Aujourd'hui, les deux tiers des députés et des sénateurs… flamands se disent républicains et veulent supprimer la couronne. Alors que la majorité des francophones sont royalistes, accrochés au trône et �* l'unité du pays. Attention danger ! Voici bientôt 175 ans, le 21 juillet 1831, Léopold Ier jurait de respecter la Constitution et les lois du peuple belge. Quelques mois auparavant, en avril, ce prince de Saxe-Cobourg-Gotha, veuf de l'héritière de la couronne britannique, avait reçu, �* Londres, une délégation du Congrès national en quête d'un roi pour la toute nouvelle Belgique. « Messieurs, vous avez rudement traité la royauté qui n'était pas l�* pour se défendre, leur dit-il, après avoir lu la Constitution belge. Votre charte est bien démocratique. » Cette réaction est révélatrice d'« un certain esprit libéral, d'aucuns diraient même " républicain " qui avait soufflé sur le Congrès », rappelle Vincent Dujardin, historien �* l'Université catholique de Louvain (UCL), dans un numéro spécial de la Revue générale consacré �* la Belgique de 1830 (juin/juillet 2005). En effet, la monarchie ne fut admise que dans la mesure où le futur roi était amené �* reconnaître la souveraineté nationale. Le 22 novembre 1830, les membres du Congrès national se sont toutefois prononcés massivement pour « la monarchie constitutionnelle représentative », par 174 voix contre 13. Ce dernier chiffre pourrait donner �* penser que le courant républicain était marginal. Mais « les actes du Congrès national conduisent �* nuancer cette impression », poursuit Dujardin. La première assemblée belge comptait en réalité davantage de républicains de coeur. Le modèle américain Cependant, les Etats européens avaient déj�* eu des difficultés �* accepter l'indépendance belge. Ils auraient vu d'un mauvais £il que la jeune Belgique se distingue encore davantage en adoptant une Constitution républicaine. « Comme monarchie vous serez une puissance ; comme république vous serez un épouvantail », avait lancé l'un des membres du Congrès, Jean-Baptiste Nothomb. Le royaliste baron de Pélichy van Buerne avait bien fait allusion �* la République française, mais pour faire observer qu'elle s'était « convertie en monarchie absolue ». Même le républicain de c£ur Léopold Zoude avait reconnu que le cas des Etats-Unis d'Amérique n'était pas comparable �* la situation belge. 175 ans plus tard, comment ont évolué les sensibilités ? Pour le savoir, nous avons mené une enquête exceptionnelle auprès des 509 élus du Sénat, de la Chambre et des parlements wallon, bruxellois et flamand. Un bref questionnaire était censé sonder leur fibre monarchiste ou républicaine. Nous avons récolté 308 réponses, ce qui correspond �* un taux de participation de 60.5 % (guide de lecture en pages 38 et 39). Verdict ? Paraphrasant Jules Destrée et son célèbre « Sire, il n'y a pas de Belges », on pourrait tirer la sonnette d'alarme et lancer : « Sire, il n'y a plus de monarchistes. » Ou plus précisément : « Il n'y a plus de monarchistes de c£ur. » Ou encore : « Il n'y a plus de monarchistes qu'en Wallonie et �* Bruxelles. » En effet, pour l'anecdote, seule une très faible minorité de parlementaires (3,7 %), des marginaux, en quelque sorte, surtout francophones, réclament davantage de pouvoirs pour le roi (tableau 1). Sont-ce l�* les derniers vrais royalistes de c£ur ? Pour le reste, les moyennes nationales dissimulent mal la fracture Nord-Sud. Ainsi, une courte majorité (51,4 %) des élus, toutes assemblées confondues, estiment que la monarchie ne doit pas faire l'objet d'une discussion, qu'il ne faut pas revoir les prérogatives royales (tableau 2). Mais, dans le nord du pays, seul 1 sénateur ou député sur 5 est favorable �* ce statu quo, pour 3 sur 4 au Sud. *Plus inquiétant : près de deux tiers des parlementaires néerlandophones réclament, certes, « � terme », la suppression de la monarchie au profit d'une république (tableau 4).** C'est seulement le cas de 1 francophone sur 5, ce qui n'est néanmoins pas tout �* fait marginal. Le rapport de force s'est inversé entre les régions par rapport �* la Question royale. Pour rappel, en 1950, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la consultation populaire faisait apparaître que 57,68 % des Belges - 72,2 % des Flamands et... 42,32 % des Wallons - étaient favorables au retour de Léopold III en Belgique. Mais l'opposition wallonne au roi l'avait finalement contraint �* déléguer ses prérogatives royales �* son fils Baudouin, avant qu'il n'abdique l'année suivante. Ce n'était en effet pas l'institution monarchique comme telle qui était contestée �* l'époque. La boîte de Pandore « Depuis la Question royale, tous les Premiers ministres se sont globalement opposés �* l'ouverture d'une discussion sur le roi, craignant tout toilettage de ses prérogatives », commente Vincent Dujardin. En 175 ans, les articles de la Constitution relatifs �* la monarchie n'ont en effet pratiquement pas été modifiés, sauf pour l'abrogation de la loi salique (1991), permettant �* une femme d'accéder au trône, ou pour réformer le processus de dissolution des chambres (1993). « A la lecture de l'enquête du Vif/L'Express, on comprend pourquoi, aujourd'hui encore, entamer un débat parlementaire sur le sujet reviendrait �* ouvrir la boîte de Pandore », estime l'historien de l'UCL. Il n'est alors pas tout �* fait sûr que les francophones réussiraient �* faire obstacle �* la volonté néerlandophone d'obtenir une monarchie light �* la suédoise, réduite �* une fonction purement cérémonielle. Le roi n'aurait plus le pouvoir de nommer les ministres du gouvernement fédéral. Il lirait aussi des discours écrits par le Premier ministre, comme la reine de Grande-Bretagne. Ainsi, tous parlements confondus, il se trouve, dans notre enquête, 51,7 % d'élus pour limiter, « dans un proche avenir », la monarchie belge �* un rôle protocolaire (tableau 3). A la Chambre et au Sénat, les seules assemblées concernées par une éventuelle révision constitutionnelle, il n'y a toutefois plus de majorité sur ce point (47,8 %). Mais le maintien du statu quo risque de faire grincer des dents chez les parlementaires flamands - 77,5 % d'entre eux réclament une monarchie protocolaire. Cela dit, si les francophones sont massivement opposés �* réduire les pouvoirs du roi, c'est sans doute qu'ils y voient une étape intermédiaire �* la suppression pure et simple de la monarchie. Un croisement des questions 3 et 4 de notre enquête montre que deux tiers de républicains se retrouvent parmi les partisans d'une fonction protocolaire. Evidemment, il faut interpréter ces chiffres : peut-être les élus de Flandre ont-ils voulu profiter de l'occasion pour adresser un signal clair aux francophones, via un de leurs médias. Dans la réalité, après des heures de discussions en commission et de débats parlementaires, les sénateurs et députés, confrontés �* leurs responsabilités, feraient sans doute preuve de davantage de prudence et de sagacité, même au nord du pays. Retrouvez l'intégralité de ce dossier dans la version papier. Dorothée Klein http://www.levif.be/CMArticles/ShowA...62&sectionID=3 30 juin 2006 Le Vif

30 juni 2006, 19:26	#2
Silhoutte Banneling Geregistreerd: 29 juni 2006 Berichten: 328	Wat is dan eigenlijk het probleem? Eerst horen we van Vlaams-nationalisten dat alle traditionele partijen zich verbinden met het Hof en met België en nu zeg je dat 2/3 Vlaamse parlementairen tegen de monarchie is?

30 juni 2006, 19:29	#3
Everytime Secretaris-Generaal VN Geregistreerd: 3 februari 2004 Locatie: Bruxelles Berichten: 33.183	Ik ben ook tegen de monarchie om eerlijk te zijn.

30 juni 2006, 21:48	#11
Knuppel Secretaris-Generaal VN Geregistreerd: 21 juni 2002 Locatie: Vlaanderen Berichten: 117.759	Het is nochtans niet de enige schrijver van dit soort berichten.