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![]() (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de la culture grecque. Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : (pp. 169-170) "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, avaient gardé leur langue. En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et largement diffusés. Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en contradiction avec l'enseignement de l'Islam. En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête musulmane. [...] Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses communautés monastiques. [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, d'Alexandre, etc.] Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de tromper. [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil d'avis juridiques de Justinien, etc.] " Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. ----------- http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...UTF8&s=gateway http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) de Jacques Heers # Broché: 269 pages # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) # Langue: Français # ISBN: 2851621750 Description du produit Présentation de l'éditeur Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait écrire. La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des manipulations de l'Histoire. Biographie de l'auteur Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié dernièrement Les négriers en terre d'islam. |
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![]() Réjean Laflamme a écrit : > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle > idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, > le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de > la culture grecque. > > Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études > médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : > > (pp. 169-170) > > "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est > inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité > de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise > volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité desauteurs > musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus > écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des > Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, > avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, > avaient gardé leur langue. > > En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les > musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des > Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit > plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique > notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les > toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions > latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et > les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et > largement diffusés. > > Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on > attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron(auteur > juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les > enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisaitplus > d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était > reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De > plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les > autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui > revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne > présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une > propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les > "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en > contradiction avec l'enseignement de l'Islam. > > En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, > n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des > musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu > d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations > soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement > les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous > convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de > l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie > jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem > ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant > plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de > l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête > musulmane. > > [...] > > Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn > Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers > l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits > ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la > ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les > grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout > particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant > l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des > traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. > > En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes > n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu > d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où > ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus > variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que > l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan > intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, > Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les > Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout > ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et > latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, > dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses > communautés monastiques. > > [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture > antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, > sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, > d'Alexandre, etc.] > > Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et > savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des > habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et > connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs > maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de > tromper. > > [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et > les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de > l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil > d'avis juridiques de Justinien, etc.] > > > " > > Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la > coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. > > > ----------- > http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...UTF8&s=gateway > http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 > > > L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) > de Jacques Heers > # Broché: 269 pages > # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) > # Langue: Français > # ISBN: 2851621750 > > Description du produit > Présentation de l'éditeur > Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de > propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine > n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait > écrire. > > La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout > au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, > les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et > les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, > soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de > moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus > le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et > leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. > > Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des > catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu > paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des > techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte > des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen > Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des > manipulations de l'Histoire. > > Biographie de l'auteur > Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des > lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de > Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du > Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié > dernièrement Les négriers en terre d'islam. Peut être ! Mais en moins de deux siècles , des " gardiens de chameaux " ont été capables d'assimiler , de développer et transmettre tout cet héritage antique ! Mis �* part le Japon de l'ère Meiji , peu de peuples ont été capables d'une telle démarche ..................................... http://www.amazon.ca/exec/obidos/ASIN/2226093583 http://www.amazon.ca/exec/obidos/ASIN/2262013047 http://www.amazon.ca/exec/obidos/ASIN/2262021902 |
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![]() P@lp@tine wrote:
> Réjean Laflamme a écrit : > >> (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la >> nouvelle idéologie dominante, celle qui prône le métissage, >> l'immigrationnisme, >> le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos >> racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé >> comme postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la >> transmission de la culture grecque. >> >> Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études >> médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il >> écrit : >> >> (pp. 169-170) >> >> "On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" >> C'est inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une >> facilité de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute >> une mauvaise volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable >> identité des auteurs musulmans les plus féconds et les mieux connus, >> ceux qui ont le plus écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, >> pour la plupart, des Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, >> soumis par la conquête, avaient adopté la langue et l'écriture des >> maîtres. Les Perses, eux, avaient gardé leur langue. >> >> En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les >> musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi >> des Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années >> 510-520, soit plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, >> celui de la logique notamment, n'a jamais cessé dans les écoles >> cathédrales puis dans les toutes premières universités et l'on se >> servait alors de traductions latines des textes grecs d'origine que >> les érudits, les philosophes et les hommes d'Église de >> Constantinople avaient pieusement gardés et largement diffusés. >> >> Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que >> l'on attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron >> (auteur >> juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous >> les enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela >> faisait plus d'un siècle que la logique, directement inspirée >> d'Aristote, était reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus >> universitaires. De plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut >> pas bien accepté. Les autorités ont interdit ces travaux d'auteurs >> musulmans qui >> revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne >> présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par >> une propagande religieuse que par le respect des textes originaux. >> Les "traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en >> contradiction avec l'enseignement de l'Islam. >> >> En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, >> n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même >> des musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu >> d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les >> populations soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, >> gardaient pieusement les textes et les enseignement. Les lettrés ne >> s'étaient pas tous convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté >> volontiers la langue de l'occupant. Le grec demeura langue >> officielle en Égypte et la Syrie jusque vers l'an 700. Le syriaque, >> parler araméen de la ville d'Édessem ne fut abandonné par les >> lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant plusieurs centaines >> d'années, les grands centres intellectuels de l'Orient, Ninive, >> Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête musulmane. >> >> [...] >> >> Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn >> Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers >> l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits >> ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la >> ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les >> grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout >> particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant >> l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des >> traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. >> >> En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes >> n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu >> d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où >> ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus >> variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que >> l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan >> intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, >> Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les >> Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout >> ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et >> latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, >> dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses >> communautés monastiques. >> >> [Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture >> antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, >> sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, >> d'Alexandre, etc.] >> >> Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et >> savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des >> habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir >> et connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux >> leurs maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par >> volonté de tromper. >> >> [suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et >> les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de >> l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil >> d'avis juridiques de Justinien, etc.] >> >> >> " >> >> Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la >> coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne >> musulmane. >> >> >> ----------- >> http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...UTF8&s=gateway >> http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 >> >> >> L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) >> de Jacques Heers >> # Broché: 269 pages >> # Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) >> # Langue: Français >> # ISBN: 2851621750 >> >> Description du produit >> Présentation de l'éditeur >> Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de >> propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école >> républicaine n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête >> citoyen pouvait écrire. >> >> La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent >> tout au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les >> images, les célébrations nationales, les émissions télévisées, les >> directives et les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, >> en France, >> soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et >> laisse de moins en moins de liberté aux centres de recherche qui >> n'ont même plus >> le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et >> leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. >> >> Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des >> catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où >> l'individu paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* >> l'évolution des techniques, �* l'économie ou même au " sens de >> l'Histoire ". Elle édicte des règles qui ne souffrent ni exceptions >> ni contradictions. Du Moyen >> Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des >> manipulations de l'Histoire. >> >> Biographie de l'auteur >> Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des >> lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de >> Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du >> Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié >> dernièrement Les négriers en terre d'islam. > > Peut être ! > Mais en moins de deux siècles , des " gardiens de chameaux " ont été > capables d'assimiler , de développer et transmettre tout cet > héritage antique ! Pas de gardiens de chameaux. Seulement de dromadaires, dont l'unique bosse leur tient lieu de bosse des maths. Pour les autres bosses, wallou. Quant �* assimiler, développer et transmettre, "t'as qu'�* croire" :o) |
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#4 |
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![]() Colonial a écrit : > Pas de gardiens de chameaux. Seulement de dromadaires, dont l'unique bosse > leur tient lieu de bosse des maths. Pour les autres bosses, wallou. Quant�* > assimiler, développer et transmettre, "t'as qu'�* croire" :o) Remarquez qu' �* peine arrivés sur les rives de la Mediterranée , il ont créé la notion d' " Escadre "* et d' " Amiral " ( amir al bahir ) pour poursuivre , avec succés , leurs conquêtes ! Certains l'oublient encore aujourd'hui ! Tout comme ils ont oublié la crainte qu'inspiraient les flottes arabes , puis turques , du Détroit de Gibraltar ( Dejebel Al Tarik ) �* l'Indonésie ! http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2262011850 Pas mal pour des gardiens de dromadaires ........ Il est vrai qu' être capable de se diriger dans le désert et d'y organiser des armées , ça peut aider sur mer ! * Pour ça , ils ont été aidés par les Syriens , inspirés par les " stratéges " Romains ou grecs ! Rendons �* César .............. |
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#5 |
Berichten: n/a
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![]() P@lp@tine a écrit :
> Réjean Laflamme a écrit : > > >>(Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle >>idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, >>le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos >>racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme >>postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de >>la culture grecque. >> >>Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études >>médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il écrit : >> >>(pp. 169-170) >> >>"On nous dit "sans les Arabes, vous n'auriez pas connu Aristote!" C'est >>inexact, archi faux. Parler d'"Arabes" n'est pas seulement une facilité >>de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise >>volonté, �* savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs >>musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus >>écrit en toutes sortes de domaines. C'étaient, pour la plupart, des >>Syriens, des Égyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, >>avaient adopté la langue et l'écriture des maîtres. Les Perses, eux, >>avaient gardé leur langue. >> >>En tout état de cause, les clercs d'Occident n'ont pas attendu les >>musulmans. Aristote était connu et étudié �* Ravenne, au temps du roi des >>Goths, Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit >>plus d'un siècle avant l'Hégire. Cet enseignement, celui de la logique >>notamment, n'a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les >>toutes premières universités et l'on se servait alors de traductions >>latines des textes grecs d'origine que les érudits, les philosophes et >>les hommes d'Église de Constantinople avaient pieusement gardés et >>largement diffusés. >> >>Les traductions du grec en langue arabe et de l'arabe en latin, que l'on >>attribue généralement �* Avicenne, �* Averroès et �* Avicébron (auteur >>juif) sont apparues tard, pas avant les années 1200, alors que tous les >>enseignements étaient déj�* en place en Occident et que cela faisait plus >>d'un siècle que la logique, directement inspirée d'Aristote, était >>reconnue comme l'un des "arts libéraux" du cursus universitaires. De >>plus, ce que donnaient �* lire les Arabes ne fut pas bien accepté. Les >>autorités ont interdit ces travaux d'auteurs musulmans qui >>revendiquaient pour eux seuls l'héritage antique mais qui ne >>présentaient que des versions "arrangées", inspirées davantage par une >>propagande religieuse que par le respect des textes originaux. Les >>"traducteurs" avaient supprimé tout ce qui pouvait apparaître en >>contradiction avec l'enseignement de l'Islam. >> >>En tout état de cause, ces traducteurs, auxquels nous devrions tant, >>n'étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des >>musulmans. Les conquérants d'après l'hégire n'ont porté que peu >>d'intérêt �* la philosophie des Grecs de l'Antiquité dont les populations >>soumises, em Mésopotamie, en Syrie et en Chaldée, gardaient pieusement >>les textes et les enseignement. Les lettrés ne s'étaient pas tous >>convertis et n'ont pas, loin de l�*, adopté volontiers la langue de >>l'occupant. Le grec demeura langue officielle en Égypte et la Syrie >>jusque vers l'an 700. Le syriaque, parler araméen de la ville d'Édessem >>ne fut abandonné par les lettrés qu'au cours du XIIIe siècle. Pendant >>plusieurs centaines d'années, les grands centres intellectuels de >>l'Orient, Ninive, Damas et Édesse, sont restés ceux d'avant la conquête >>musulmane. >> >>[...] >> >>Dans les années 800, l'un des célèbres savants de Bagdad, Houmane ibn >>Isbak, helléniste distingué qui entreprit de longs voyages �* travers >>l'Asie mineure pour recueillir quantité de manuscrits grecs, traduits >>ensuite dans son atelier d'écriture, était chrétien. En Espagne, la >>ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les >>grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout >>particulièrement pour les traductions de l'antique, bien avant >>l'invasion musulmane et la chute des rois Visigoths. L'école des >>traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus. >> >>En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes >>n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu >>d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où >>ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus >>variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que >>l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan >>intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, >>Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les >>Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout >>ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et >>latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, >>dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses >>communautés monastiques. >> >>[Suit une longue liste d'exemples de la vivacité de cette culture >>antique vivante, exegèse de nombreux auteurs latins par évêques, >>sculptures dans palais impériaux sur les exploits d'Achille, >>d'Alexandre, etc.] >> >>Nos livres de classe disent que [nos hommes d'Église, marchands et >>savants d'Occident] ils ont attendu les années 1450 et la fuite des >>habitants des rives du Bosphore devant les Turcs pour les découvrir et >>connaîtres les savants et les lettrés grecs, pour faire d'eux leurs >>maîtres, mais c'est, l�* encore, pécher par ignorance ou par volonté de >>tromper. >> >>[suit description de l'importance de Byzance en termes économiques et >>les traductions faites par les Italiens négociants des Pères de >>l'Église, des traités de médicine de Gratien et Hippocrate, recueil >>d'avis juridiques de Justinien, etc.] >> >> >> " >> >>Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la >>coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne musulmane. >> >> >>----------- >>http://www.amazon.fr/L-histoire-assa...UTF8&s=gateway >>http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1820996 >> >> >>L'histoire assassinée : Les pièges de la mémoire (Broché) >>de Jacques Heers >># Broché: 269 pages >># Editeur : Editions de Paris (5 avril 2006) >># Langue: Français >># ISBN: 2851621750 >> >>Description du produit >>Présentation de l'éditeur >>Depuis Jules Ferry, l'histoire est la principale arme d'assaut de >>propagande d'Etat. Par les manuels et les leçons, l'école républicaine >>n'a cessé de truquer et de tronquer ce que l'honnête citoyen pouvait >>écrire. >> >>La mise en condition et le " formatage " du citoyen se poursuivent tout >>au long de sa vie par le commun des journaux, les romans et les images, >>les célébrations nationales, les émissions télévisées, les directives et >>les interdits. Ces tout derniers temps, l'Etat veut, en France, >>soumettre la démarche historique �* une étroite surveillance et laisse de >>moins en moins de liberté aux centres de recherche qui n'ont même plus >>le loisir de choisir en toute indépendance leurs sujets d'enquête et >>leurs programmes. L'Histoire s'est dévoyée. >> >>Elle se dit " science humaine " mais n'étudie souvent que des >>catégories, des classes et ordres, des conditions sociales où l'individu >>paraît effacé, inexistant, soumis �* la géographie, �* l'évolution des >>techniques, �* l'économie ou même au " sens de l'Histoire ". Elle édicte >>des règles qui ne souffrent ni exceptions ni contradictions. Du Moyen >>Age �* nos jours, Jacques Heers dresse ici un inventaire des >>manipulations de l'Histoire. >> >>Biographie de l'auteur >>Agrégé d'histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des >>lettres et aux universités d'Aix-en-Provence, d'Alger, de Caen, de >>Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du >>Département d'études médiévales de Paris-Sorbonne. Il a publié >>dernièrement Les négriers en terre d'islam. > > > Peut être ! > Mais en moins de deux siècles , des " gardiens de chameaux " ont été > capables d'assimiler , de développer Hmmm. > et transmettre tout cet > héritage antique ! Mais justement non... À qui ? Lisez. Ce ne sont pas des "gardiens de chameaux" qui transmettent même en pays sous la coupe musulmane (mais des chrétiens et juifs qui faisaient déj�* ce travail avant l'invasion musulmane), ils ne transmettent pas �* l'Occident qui va directement �* la Rome d'Orient et quand ils "transmettent", ils tronquent par peur d'offenser l'Islam. |
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#6 |
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![]() P@lp@tine wrote:
> Colonial a écrit : > > > > Pas de gardiens de chameaux. Seulement de dromadaires, dont l'unique bosse > > leur tient lieu de bosse des maths. Pour les autres bosses, wallou. Quant �* > > assimiler, développer et transmettre, "t'as qu'�* croire" :o) > > Remarquez qu' �* peine arrivés sur les rives de la Mediterranée , il > ont créé la notion d' " Escadre "* et d' " Amiral " ( amir al bahir ) > pour poursuivre , avec succés , leurs conquêtes ! > Certains l'oublient encore aujourd'hui ! > Tout comme ils ont oublié la crainte qu'inspiraient les flottes arabes > , puis turques , du Détroit de Gibraltar ( Dejebel Al Tarik ) �* > l'Indonésie ! > http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2262011850 > Pas mal pour des gardiens de dromadaires ........ > Il est vrai qu' être capable de se diriger dans le désert et d'y > organiser des armées , ça peut aider sur mer ! La facilité avec laquelle s'est répendu les hordes barbares mahométanes initialement s'expliquent qu'elles s'en prenaient �* des peuples n'aspirant qu'�* vivre en paix et donc totalement dépourvus face �* ce genre de déferlement soudain de sauvagerie (razzia). |
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#7 |
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![]() "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]!nnrp1.uunet.ca ... > ............. Ainsi est-il posé comme > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de > la culture grecque............. Je coupe la suite de ce long message, parce que la logique est déj�* défaillante: de toute façon, j'estime que je ne dois rien, même �* ceux qui ont apporté �* l'humanité toute entière. La culture nous apporte une meilleure liberté, ce n'est pas pour la ficeler aussitôt par des pseudo-dettes historiques. |
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#8 |
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![]() "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de
news: [email protected]!nnrp1.uunet.ca > En réalité, ces travaux des chrétiens sous occupation musulmanes > n'étaient, en aucune façon, l'essentiel. Ils ne présentaient que peu > d'intérêt. Les chrétiens d'Occident allaient aux sources mêmes, l�* où > ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus > variés, plus sincères et en plus grand nombre. Chacun savait que > l'Empire romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan > intellectuelm en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, > Constantinople est demeurée, jusqu'�* sa chute et sa mort sous les > Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout > ailleurs. On n'avait nul besoin d'aller chercher l'héritage grec et > latin �* Bagdad ou �* Cordoue: il survivait, impérieux et impérissable, > dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses > communautés monastiques. Et pan dans les gencives de ce Languide crétin minable et menteur qui soutient que nous devons tout �* la "civilisation métissée de Al Andalous" dont nous savons par les témoignages historiques qu'elle fut sectaire et fanatique sous les Almoravides et les Almohades. |
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#9 |
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![]() "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de
news: [email protected]!nnrp1.uunet.ca > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la > nouvelle idéologie dominante, celle qui prône le métissage, > l'immigrationnisme, le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous > couper de nos > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé > comme postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la > transmission de la culture grecque. > > Jacques Heers, célèbre et éminent médiéviste, directeur des études > médiévales de la Sorbonne, a de fortes pages �* ce sujet quand il > écrit : Merci pour ce texte trop court mais ô combien intéressant. J'archive pour le citer �* l'occasion. |
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#10 |
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![]() "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de
news: [email protected]!nnrp1.uunet.ca > Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la > coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne > musulmane. Citations SVP. |
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#11 |
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![]() P@lp@tine a écrit :
> Colonial a écrit : > > > >>Pas de gardiens de chameaux. Seulement de dromadaires, dont l'unique bosse >>leur tient lieu de bosse des maths. Pour les autres bosses, wallou. Quant �* >>assimiler, développer et transmettre, "t'as qu'�* croire" :o) > > > Remarquez qu' �* peine arrivés sur les rives de la Mediterranée , il > ont créé la notion d' " Escadre "* et d' " Amiral " ( amir al bahir ) Vous êtes vraiment sûr que les Grecs (Romains d'Orient) qui leur flanquèrent plusieurs ratatouilles sur mers [le feu grégeois] n'avaient pas de stratège des mers ? Pas confondre invention de mot avec invention du concept. > pour poursuivre , avec succés , leurs conquêtes ! > Certains l'oublient encore aujourd'hui ! > Tout comme ils ont oublié la crainte qu'inspiraient les flottes arabes > , puis turques , Ah, ce n'est plus des Arabes. >du Détroit de Gibraltar ( Dejebel Al Tarik ) �* > l'Indonésie ! Indonésie, Ah, ce n'est plus des Arabes. Vous confondez avec musulmans. Oui, enfin c'étaient surtout des pirates qui vivaient de razzias, de rapt de civils sur les côtes (capture d'esclaves) et en haute mer. En tant que flottes ils étaient assez médciores (battus par les Grecs souvent, c'est par Terre que l'Empire d'Orient fut vaincu, pas par une expédition maritime, battu �* Lépante 1571 de mémoire [je ne pense pas qu'on enseigne cette bataille décisive au collège en France, en tout cas pas trop], battus par les Portugais en mer Rouge en 1558, Portugais qui combattirent avec succès les Musulmans en Mer Rouge, en Somalie, dans le Golfe d'Ormouz et en Inde). ----- En mer, les navires byzantins — tel que le dromon et le chelandion — devinrent redoutables entre tous. Ce qui rendait tous ces navires redoutables aux ennemis, ce qui leur avait fait donner le nom de vaisseaux porte-feu ou « pyrophores », c'était l'appareil spécial dont chacun était muni, appareil propre �* projeter « le feu liquide », l'épouvantable feu grégeois. Un tube en plomb ou en cuivre acheminait le liquide jusqu’�* la proue d’où une gueule de lion ou d’un quelconque animal monstrueux arrosait l’ennemi de flammes. Ce sont l�* les fameux « siphons » mentionnés par les chroniqueurs des guerres du moyen âge oriental. Par une extrémité, ils plongeaient dans de vastes chaudrons tout pleins du mélange infernal; par l'autre, ils crachaient cette pluie enflammée et mortelle sur le front du navire ennemi, incendiant, détruisant quiconque était proche. D'habiles artificiers dirigeaient facilement d'un bord �* l'autre du chandelion ou dromon ce jet terrible, suivant les vicissitudes diverses de ce combat corps �* corps. Parfois on plaçait aussi des siphons �* la poupe et sur les deux flancs du navire ainsi transformé en véritable machine infernale. En l'an du Christ 960, le capitaine Nicéphore Phocas assembla une flotte ainsi équipée pour aller châtier les terribles pirates sarrasins de l'île de Crète. Cette expédition de Crète, en dehors d'une foule d'autres espèces de navires, comptait plus de deux mille « chelandia » armés du feu grégeois. Cette découverte vint �* point nommé pour résister aux Omeyyades lors du siège de Constantinople de 674-678. C’est elle entre autre qui permit �* Constantin IV de repousser l’assaillant et de prolonger la vie de l’Empire de quelques siècles. Les byzantins cachèrent leur secret avec un soin prodigieux. Les empereurs, dans leurs instructions suprêmes, recommandaient �* leurs successeurs de le conserver �* tout prix et formulaient l'anathème contre l'impie assez coupable pour le dévoiler. Lorsqu'un prince étranger ou quelque autre, demandait �* être initié, on lui envoyait des tourtes pleines du meurtrier ingrédient, mais on ne lui livrait �* aucun prix les procédés de fabrication, du reste probablement assez nombreux. [wiki] |
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#12 |
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![]() Réjean Laflamme a écrit : > (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle > idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, > le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos > racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme > postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de > la culture grecque. ça dépend de quelle manière on regarde le tableau : si la culture grecques (européenne) a bien été monopolisée par les arabes dans leurs bibliothèques, celles ci étaient quasiment composées que d'érudiction exotique �* la culture islamique c'est précisément le vecteur de l'élévation de la culture arabe (non pas l'islam, donc)... et comme la culture grecques est de fait européenne se sont les arabes qui doivent tout aux européens ainsi qu'aux hindoux (entre autres) car les chiffres dit arabes (1,2,3,4,5, etc) sont en fait tirés de l'écriture hindoux. |
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#13 |
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![]() SnobMobile a écrit:
> ainsi qu'aux hindoux Mais rien aux caillous, ni aux chous, bijous, pous, joujous, hibous et genous. |
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#14 |
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![]() SnobMobile a écrit :
> Réjean Laflamme a écrit : > > >>(Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la nouvelle >>idéologie dominante, celle qui prône le métissage, l'immigrationnisme, >>le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour nous couper de nos >>racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. Ainsi est-il posé comme >>postulat que nous devrions tout aux Arabes et d'abord la transmission de >>la culture grecque. > > > ça dépend de quelle manière on regarde le tableau : > si la culture grecques (européenne) a bien été monopolisée par les > arabes dans leurs bibliothèques, Bin non, disons que ce la culture grecque a monopolisé les bibliothèques arabes, c'est différent car justement les Arabes ne furent pas les seuls �* y avoir accès, loin de l�* (c'est tout le sens de ces pages de Jacques Heers). > celles ci étaient quasiment > composées que d'érudiction exotique �* la culture islamique c'est > précisément le vecteur de l'élévation de la culture arabe (non pas > l'islam, donc)... et comme la culture grecques est de fait européenne > se sont les arabes qui doivent tout aux européens ainsi qu'aux hindoux > (entre autres) car les chiffres dit arabes (1,2,3,4,5, etc) sont en > fait tirés de l'écriture hindoux. > |
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#15 |
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![]() abourick a écrit :
> "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de > news: [email protected]!nnrp1.uunet.ca > >> Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la >> coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne >> musulmane. > > > > > Citations SVP. > Achetez le livre (surtout méchant avec Saladin dans cette partie montré partout comme pacifique(*) alors qu'il n'avait en fait pas le choix et fut battu plusieurs fois �* plate couture), lien donné sur le livre ("Histoire assassinée"). (*) Voir encore Royaume des cieux [sorti avec un titre anglais en France bien sûr] qui accumule tous les poncifs sur les gentils Arabes [en fait musulmans car Saladin est kurde et la majorité des gens en Palestine et Syrie étaient encore chrétiens d'Orient], les affreux Français, les sages Poulains déj�* arabisés, etc. Il fallait vendre dans le monde entier et c'est pas les Européens qui se rebifferaient, sont mous et souvent incultes en matières médiévales (passés par la moulinette que dénonce Jacques Heers, prof. d'histoire médiévale et directeur dudit centre �* la Sorbonne). |
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#16 |
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![]() "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de
news: [email protected]!nnrp1.uunet.c a > abourick a écrit : >> "Réjean Laflamme" <[email protected]> a écrit dans le message de >> news: [email protected]!nnrp1.uunet.ca >> >>> Forts passages également que ceux qui portent sur la réalité de la >>> coexistence entre les "trois religions du Livre" dans l'Espagne >>> musulmane. >> >> >> >> >> Citations SVP. >> > > Achetez le livre (surtout méchant avec Saladin dans cette partie > montré partout comme pacifique(*) alors qu'il n'avait en fait pas le > choix et fut battu plusieurs fois �* plate couture), lien donné sur le > livre ("Histoire assassinée"). > > > (*) Voir encore Royaume des cieux [sorti avec un titre anglais en > France bien sûr] qui accumule tous les poncifs sur les gentils Arabes > [en fait musulmans car Saladin est kurde et la majorité des gens en > Palestine et Syrie étaient encore chrétiens d'Orient], les affreux > Français, les sages Poulains déj�* arabisés, etc. Il fallait vendre > dans le monde entier et c'est pas les Européens qui se rebifferaient, > sont mous et souvent incultes en matières médiévales (passés par la > moulinette que dénonce Jacques Heers, prof. d'histoire médiévale et > directeur dudit centre �* la Sorbonne). OK j'achèterai son bouquin. |
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#17 |
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![]() "SnobMobile" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]. com > Réjean Laflamme a écrit : > >> (Inspiré de la NRH) Aujourd'hui l'histoire est au service de la >> nouvelle idéologie dominante, celle qui prône le métissage, >> l'immigrationnisme, le cosmopolitisme en un mot. Tout est fait pour >> nous couper de nos racines, pour diminuer le rôle de nos ancêtres. >> Ainsi est-il posé comme postulat que nous devrions tout aux Arabes >> et d'abord la transmission de la culture grecque. > > ça dépend de quelle manière on regarde le tableau : > si la culture grecques (européenne) a bien été monopolisée par les > arabes dans leurs bibliothèques, celles ci étaient quasiment > composées que d'érudiction exotique �* la culture islamique c'est > précisément le vecteur de l'élévation de la culture arabe (non pas > l'islam, donc)... et comme la culture grecques est de fait européenne > se sont les arabes qui doivent tout aux européens ainsi qu'aux hindoux > (entre autres) car les chiffres dit arabes (1,2,3,4,5, etc) sont en > fait tirés de l'écriture hindoux. C'est évident. Il convient de préciser toutefois que les arabo-musulmans ont très vite stérilisé les antiques civilisations et cultures qu'ils ont conquises. En quelques siècles ce qui était �* la pointe de la pensée scientifique ou philosophique est devenu un désert intellectuel, scientifique et culturel. L�* où l'islam passe l'intelligence trépasse. |
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#18 |
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![]() Citations d'un grand historien (c'est vrai, mais redécouvert au XIXe s.
par des orientalistes européens comme le baron G. de Slane), citations donc d'Ibn Khaldoun dont on fête les 600 ans de sa mort cette année. "La philosophie est une science vaine en elle-même, et nuisible dans son application". "Les Noirs du Soudan se caractérisent par la frivolité, l'inconstance et le penchant �* la gaieté". "Les Arabes sont des bédouins invétérés, plus éloignés que quiconque de la civilisation sédentaire" "Sous la domination [arabe] la ruine envahit tout. La civilisation recule." (tiré d'une chronique de Préconcel-Hugoz dans la NRH numéro 26) http://www.n-r-h.net/ |
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#19 |
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![]() Réjean Laflamme wrote:
> Citations d'un grand historien (c'est vrai, mais redécouvert au XIXe s. > par des orientalistes européens comme le baron G. de Slane), citations > donc d'Ibn Khaldoun dont on fête les 600 ans de sa mort cette année. > > "La philosophie est une science vaine en elle-même, et nuisible dans son > application". > > "Les Noirs du Soudan se caractérisent par la frivolité, l'inconstanceet > le penchant �* la gaieté". > > "Les Arabes sont des bédouins invétérés, plus éloignés que quiconque de > la civilisation sédentaire" > > "Sous la domination [arabe] la ruine envahit tout. La civilisation recule.." > > (tiré d'une chronique de Préconcel-Hugoz dans la NRH numéro 26) > > http://www.n-r-h.net/ D'autres citations : "Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d'un vieux sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu'il apprend �* l'école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu'�* ses pensées les plus intimes. L'islam, cette théologie absurde d'un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies." (Mustapha Kémal Atatürk / 1881-1938) "La religion judaïque est une loi d'enfants, la chrétienne une loi d'impossibilité et la mahométane une loi de pourceaux." (Averroès, philosophe arabe / 1126-1198) http://atheisme.free.fr/Citations/Islam.htm |
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#20 |
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![]() Nestor le pingouin pour la France a écrit : > SnobMobile a écrit: > > > ainsi qu'aux hindoux > > Mais rien aux caillous, ni aux chous, bijous, pous, joujous, hibous et > genous. Doux, saindoux, aigre-doux, houx, poux, et enfin le fameux un-doux .... Un-doux est l'icone des dandys anglais des années soixantes |