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Oud 23 september 2006, 18:25   #1
Pierre Sabbe
 
Berichten: n/a
Standaard Google versus Copiepresse

l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �*
contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord
avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles.

Je ne suis pas d'accord.
Voici pourquoi :

Je suis pour la liberté de l'information.
Ce qui veut dire que chacun doit pouvoir être informé, gratuitement ou non.

Google avait rendu accessible l'information aux citoyens via son site en
affichant une sorte de revue de presse.
De toute façon, les articles publiés l'étaient sur les sites des journaux
en question, et la source en était visible.

Copiepresse qui est aux journaux ce que la SABAM est aux CD ne l'a pas
entendu la sorte.
Cette société voulait que Google paie le "copiage" des pages web des
journaux (alors que c'était de la publicité gratuite pour ces mêmes
journaux !)
Copiepresse est contre la liberté d'être informé gratuitement.
Etre au courant gratuitement de l'actualité, qu'elle soit musicale ou
autre, ça ne plaît pas aux sociétés de droit d'auteur : SABAM en tête...
(je vois des copains musiciens et organisteurs qui sourient ! ;-)
pourtant, je suis moi-même inscrit �* la SABAM, mais je suis contre sa
façon de percevoir �* outrance et de ne redistribuer qu'aux nantis !!!)

Bien sûr, les journalistes et les auteurs doivent vivre : ils ont droit �*
une juste rétribution.

Mais lorsque l'on voit comment on fait payer l'information au simple citoyen...

Par exemple, le groupe "Rossel" (et d'autres !) fait payer 1 euro (je sais
: 0,99 euro !) pour un journal numérique en ligne au format pdf.
Aucun frais d'impression, de stockage, de distribution... Quel pourçantage
perçoit le brave journaliste ? Une misère !

Le coupable n'est pas Google qui démocratise l'information.
Les coupables �* pourchasser, ce sont les groupes de presse qui font payer
cette presse �* un prix exhorbitant.

Je dis oui �* la presse libre et gratuite.
Non �* la presse censurée car outrancièrement payante.
Je veux bien payer le juste prix pour une information juste.
Pas 1 euro pour un fichier numérique dont les journalistes qui sont les
seuls �* y avoir travaillé -en plus du metteur en page- ne bénéficient
quasiment pas...
On pourrait peut-être s'unir pour faire baisser le prix de l'information
numérique...
Comment ? L�*, je sèche !

Voil�*.
Je l'ai dit.
 
Oud 23 september 2006, 18:55   #2
gagparti
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Google versus Copiepresse

Ok avec toi l'ami encore une connerie Belge comme d'habitude
son plus fort pour ça que pour aider les citoyens belge qui sont dans la
misère �* cause de leurs connerires


"Pierre Sabbe" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...
> l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �*
> contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord
> avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles.
>
> Je ne suis pas d'accord.
> Voici pourquoi :
>
> Je suis pour la liberté de l'information.
> Ce qui veut dire que chacun doit pouvoir être informé, gratuitement ou

non.
>
> Google avait rendu accessible l'information aux citoyens via son site en
> affichant une sorte de revue de presse.
> De toute façon, les articles publiés l'étaient sur les sites des journaux
> en question, et la source en était visible.
>
> Copiepresse qui est aux journaux ce que la SABAM est aux CD ne l'a pas
> entendu la sorte.
> Cette société voulait que Google paie le "copiage" des pages web des
> journaux (alors que c'était de la publicité gratuite pour ces mêmes
> journaux !)
> Copiepresse est contre la liberté d'être informé gratuitement.
> Etre au courant gratuitement de l'actualité, qu'elle soit musicale ou
> autre, ça ne plaît pas aux sociétés de droit d'auteur : SABAM en tête...
> (je vois des copains musiciens et organisteurs qui sourient ! ;-)
> pourtant, je suis moi-même inscrit �* la SABAM, mais je suis contre sa
> façon de percevoir �* outrance et de ne redistribuer qu'aux nantis !!!)
>
> Bien sûr, les journalistes et les auteurs doivent vivre : ils ont droit �*
> une juste rétribution.
>
> Mais lorsque l'on voit comment on fait payer l'information au simple

citoyen...
>
> Par exemple, le groupe "Rossel" (et d'autres !) fait payer 1 euro (je sais
> : 0,99 euro !) pour un journal numérique en ligne au format pdf.
> Aucun frais d'impression, de stockage, de distribution... Quel pourçantage
> perçoit le brave journaliste ? Une misère !
>
> Le coupable n'est pas Google qui démocratise l'information.
> Les coupables �* pourchasser, ce sont les groupes de presse qui font payer
> cette presse �* un prix exhorbitant.
>
> Je dis oui �* la presse libre et gratuite.
> Non �* la presse censurée car outrancièrement payante.
> Je veux bien payer le juste prix pour une information juste.
> Pas 1 euro pour un fichier numérique dont les journalistes qui sont les
> seuls �* y avoir travaillé -en plus du metteur en page- ne bénéficient
> quasiment pas...
> On pourrait peut-être s'unir pour faire baisser le prix de l'information
> numérique...
> Comment ? L�*, je sèche !
>
> Voil�*.
> Je l'ai dit.
>



 
Oud 23 september 2006, 21:55   #3
Faelan
 
Berichten: n/a
Standaard Re: Google versus Copiepresse

"Pierre Sabbe" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]...

> l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �*
> contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord
> avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles.


Ah bon ? Vous n'avez pas trop lu les forums depuis, alors ?

L'affaire "Google Actualités Belgique" suscite de plus en plus de réactions
sur les forums. Il s'agit en effet d'une décision judiciaire importante qui
risque de faire des émules ailleurs en Europe.

Qu'a fait Google ? Grâce �* un robot et un programme sophistiqué, Google a
rassemblé sur une page web des références d'articles triés par domaine
(Belgique, Monde, Sciences, etc.). Ces références sont composées d'un titre,
d'une source, d'une mention de durée (article paru il y a X heures ou jours)
et les quatre premières lignes du texte complet. Suivent les références de
quelques articles similaires. Le programme est capable de trier
intelligemment les articles par ordre d'importance dans l'actualité : seuls
les sujets les plus fréquemment abordés sont mentionnés. L'utilisateur peut
afficher plus ou moins d'articles dans chaque catégorie. En cliquant sur le
titre, le lecteur est dirigé vers le site web de la source et peut ainsi
lire l'article complet �* l'origine de la référence.

Est-ce de la copie ? Les informations ont-elles été "volées", comme le
mentionnent certains journaux belges ? Logiquement, aller jusque l�* est un
abus. Même si elles sont très réduites, les mentions suffisent clairement �*
préciser au lecteur que l'information ne vient pas de Google mais d'une
autre source. Il est d'autre part certain que cette page de références amène
sur les sites de presse concernés des lecteurs qui n'y viendraient pas
autrement, ce qui signifie que la presse belge se tire aussi une balle dans
le pied en faisant condamner Google. Certains, supporters inconditionnels de
la modernité en viennent �* insinuer que la condamnation décidée par le
tribunal fait la part belle aux tenants du code Napoléon qui ne comprennent
pas que le monde évolue et qu'un outil de communication comme Internet exige
l'adaptation des vieilles lois et ... des vieux réflexes.

Il n'empêche qu'il est patent que Google s'est comporté comme s'il était en
pays conquis et que les règles minimales de fairplay ont été bafouées �*
cause d'une absence totale de communication. Un arrangement préalable aurait
pu être conclu ; un accord sur les mentions �* afficher aurait pu être trouvé
; bref, contacter les éditeurs, leur expliquer la démarche, et leur demander
la permission sont des précautions minimales qui auraient pu éviter une
conclusion aussi abrupte.

Car finalement, la démarche de Google n'est rien d'autre qu'une revue de
presse remise au goût du jour, et adaptée aux technologies modernes. Aucun
éditeur n'a jamais attaqué la RTBF pour sa revue de presse du matin (qui ne
mentionne pas plus d'informations sur la source que les références de
Google). La démarche de Google pourrait aussi être assimilée �* un échange de
bons procédés, dans lequel chaque partie tire son profit : Google en
bénéficiant d'un passage accru de visiteurs et la presse en s'assurant 10 �*
20% au moins de visites supplémentaires sur ses sites. Il est certain que
cette décision du tribunal va �* contre-courant de l'évolution du médium
"Internet" et que, d'une façon ou d'une autre, ce type de page de références
reviendra sur le tapis, même si provisoirement, Google va probablement
devoir s'incliner.

--



F.




 
Oud 27 september 2006, 16:30   #4
Axel Bonaert
Vreemdeling
 
Geregistreerd: 26 september 2006
Berichten: 1
Standaard Google versus CopiePresse

Some considerations on the case Google versus CopiePresse.

That Google does not store in its DB papers from the press agencies seems a reasonable request (and hence does not restitue them if they are gone from the internet site of a press agency).

That google does not index pages where such a request is indicated via a
metatag or better via a password, is also reasonable.

But I do not buy the rest of the arguments presented by Copiepresse.

Indeed, it is allowed without any consent to refer in writing to a
subject that is well developped on page n of book x from writer y
(published by z).

Then, why is the equivalent on Internet not allowed without consent:
On an Internet page, to mention that theme z is well covered on html page n of site x and here is the URL link ?

Inconsistency of our lawmakers or pression of the press that took
advantage of the introduction of a new technology to become more
restrictive ?

If the second hypothesis is true and if Google complies on the 2
aformentioned points, the villain could become the Belgian french
speaking press.

One could see a wave of protests from the public, as that happened in
France against the audio publishers that constrained a pro business
government to recenter its law proposals to avoid back clash included in
the members of its own party.

Further, historically, the Web started to be a free exchange medium
between research centers. It implied free indexing of pages, else the use
of the web is nut.

Consequently that Google.be has suppressed all links to the Belgian
french speaking press (example which Yahoo.be, Msn.be , etc .. will have
to follow since they use practices identical to those of Google) results
from the idiosynchrasis of the Belgian Laws.

That the audience of the Belgian french speaking press may therefore be
weakened is the result of their choices !

But there are long term induced effects of the exagerated complaints
Belgian french speaking press that may become disastrous.

1.
The USA are controling the Web and have clearly stated that they are not going to relinquish its control.
What will happen if Google, Yahoo, Msn lobby to the Congress or to Bush
so that any traffic to or from sites that do not accept the more relax
indexing policies of the anglo saxon world, must be blocked ?

Create a new network (just like a European gsm system is developped to
avoid the US monopoly) ? But who will join it ?

Certainly the anglo-saxon world, the Commonwealth (India
emerging world power, ..), the golf countries and the 'New Europe' will
not leave the current web.

Hence, such a new network will have a reduced audience; that will simply
reinforce the predominance of the media of the aforementioned countries.

2.
The break between the 'New Europe' and the 'Old' will be more obvious.
That will prohibit a common European policy on the matter, since Britain,
the Scandinavian countries, ... will not accept to share all of the
complaints of Belgian french speaking press.

3.
Worst, that break cuts Belgium further between north and south, since the Flemish press has not followed the Belgian french speaking press.
A further reason to regionalize Justice.
It is further fueled by the overreacting of judges Tassin and Hubrich,
who did not sort what was definitely copy right infringement by Gooble
from what was more dubious.

4.
Bilingual belgians will be tempted to look more to the sites of the
flemish press than the french speaking (I have already started moving in
that direction).

5.
Finally, let us smile. On the site of the French paper Le Monde, not
specially in favor of the US business, one find reactions critical of the
extremes of the Belgian french speaking press point of view.

Axel Bonaert
Axel Bonaert is offline  
 



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