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#1 |
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![]() anna Chorett a écrit :
> Est il exact, comme le clame l'extrême droite depuis des lustres, l'Ined aussi, mais l'extr[eme gauche avorteuse refuse de l'entendre depuis des lustres (et essaie même de l'imposer au Bac, mais bon qui croit que l'Éducation nationale n'est pas aux mains d'ultra-gauchistes?) http://news.catholique.org/2440-ivg-...-lejeune-et-la http://www.fondationlejeune.org/Cont...es/bac2005.asp "Alors où est le scandale du Bac de SVT ? C’est que le ministère de l’Éducation nationale lui même, contrairement aux apparences du sujet qu’il a proposé, ne veut pas vraiment parler de l’avortement, ni que les élèves en parlent. Il veut tout juste que les élèvent débitent un catéchisme idéologique en donnant des arguments unilatéraux en faveur de l’avortement. Ce qui n’est pas du tout pareil. " On pouvait fournir les estimations du nombre d’avortements clandestins avant la loi Veil et demander aux candidats de les comparer aux chiffres d’aujourd’hui. Ils auraient dégagé eux-mêmes un résultat scientifique intéressant : le nombre d’avortements a été multiplié par quatre. Ou bien encore, il était possible de présenter aux candidats le taux de grossesses non désirées qui aboutissent �* l’avortement, celui de 1975 et celui d’aujourd’hui. Un simple constat leur aurait permis de relever que cette donnée n’a fait que progresser en passant de 40 % �* 60 %. Une réflexion scientifique aurait pu également être suscitée �* partir du fait qu’il manque 150 000 naissances par an pour assurer le remplacement des générations. Ou que les premières « clientes » de l’IVG sont – contrairement �* ce qu’on proclame – les femmes les plus informées en matière de contraception. En bref, encore une fois, pourquoi n’avoir pas pris les moyens de mesurer la capacité de réflexion scientifique des candidats sur ces bases ? Certaines sources bien informées prétendent - ne le répétez �* personne - que le gouvernement de 1975 aurait fermé les yeux sur l’utilisation de chiffres « arrangés » pour faciliter la légalisation de l’IVG. Horresco referens. Décidemment, pas de chance pour l’aspect démographique qui ne pouvait donc pas être traité non plus… Dès lors, si le ministère ne pouvait – ou ne voulait - aborder la question sous l’angle scientifique, il avait entière liberté de le faire sous l’angle philosophique en demandant aux candidats de développer tous les arguments du débat d’idées, de les critiquer, et de se positionner personnellement. Ainsi l’exigent les règles de l’Education nationale et celles de la démocratie. Et c’est précisément ce que le ministère n’a pas fait non plus. Et ce qu’on lui reproche. Donc ni science, ni philo. Mais �* quoi sert donc le Bac ? Le Bac a servi, cette année, �* extorquer �* des candidats – tenus dans l’ignorance d’une question qui les concerne de plus en plus jeunes – l’aveu que l’avortement est une grande conquête des femmes. Point. Et �* s’en tenir l�*. Aurait-on intérêt �* ce que les jeunes n’en sachent pas trop, �* ce qu’ils ne se posent pas trop de questions ? Certes, il est plus facile de leur faire avaler des slogans éculés. De leur présenter une version expurgée de la réalité. Et de leur donner l’impression qu’ils réfléchissent. Je regrette, monsieur le ministre, mais quand on ne veut pas de réponse, il ne faut pas poser de question. Vous avez pris le risque d’interroger des candidats qui ont des choses �* dire mais que vous ne voulez pas entendre. L�* où vous n’avez pas de chance, c’est que vous trouvez encore de la conscience chez les élèves et de la responsabilité chez les parents. En somme, de la résistance �* la pensée unique. Et si vous êtes surpris d’une contestation qui enfle, écoutez les Français ! J’accuse le ministère de l’Education nationale – par ses mensonges sur l’avortement dans l’énoncé et dans le corrigé – de non assistance �* adolescents en danger. J’accuse ce gouvernement de mépriser une fois encore les Français quand – �* la première occasion après le scrutin du 29 mai – il renonce �* ce qu’il leur avait solennellement promis une semaine plus tôt : être �* leur écoute. J’accuse les plus anciens de l’actuelle majorité de n’avoir pas le courage d’assumer les conséquences de leurs propres turpitudes. Et quand les jeunes veulent prendre appui sur le rocher de la vérité scientifique ou du dialogue raisonné, de leur écraser la main. > qu'il y a un lien entre les 2 ? > Bin, on observe bien la chute de la natalité avec la légalisaton de l'avortement et la pilulle n'a pas fait chuté l'avortement. 1975 : la loi Veil légalise l'interruption volontaire de grossesse. Chaque année il y a plus de 200 000 avortements en France, soit 14 IVG pour mille femmes de 15 �* 49 ans. En 1975, on espérait que le problème se résorberait de lui-même par la connaissance et la diffusion plus grande de la contraception parmi le grand public. Il n'en a rien été : le nombre d'IVG par an est demeuré quasiment constant sur un quart de siècle. Entre 150 000 et 230 000 avortements, soit un avortement pour 3 ou 5 conceptions, sont, selon les estimations, pratiqués chaque année. Le déficit des naissances dû aux avortements correspond quantitativement au creux observable depuis 1975 (repère 5), de l'ordre de 200000 déficits par an. (source : INED) Avortement par 100 naissances au monde Pays / Provinces * Nombre d'avortements pour 100 naissances Russie 62,6 Viet Nâm 43,7 Québec * 42,6 Kazakhstan 41,3 Canada 32,1 États-Unis 25,9 France 17,7 Pays-Bas 10,6 |
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#2 |
Berichten: n/a
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![]() Bel exemple de manipulation... et pas seulement de manipulation des
chiffres, d'ailleurs ! Rajame wrote: > anna Chorett a écrit : > > Est il exact, comme le clame l'extrême droite depuis des lustres, > > l'Ined aussi, mais l'extr[eme gauche avorteuse refuse de l'entendre > depuis des lustres (et essaie même de l'imposer au Bac, mais bon qui > croit que l'Éducation nationale n'est pas aux mains d'ultra-gauchistes?) > > http://news.catholique.org/2440-ivg-...-lejeune-et-la > > http://www.fondationlejeune.org/Cont...es/bac2005.asp > > "Alors où est le scandale du Bac de SVT ? C'est que le ministère de > l'Éducation nationale lui même, contrairement aux apparences du sujet > qu'il a proposé, ne veut pas vraiment parler de l'avortement, ni que les > élèves en parlent. Il veut tout juste que les élèvent débitent un > catéchisme idéologique en donnant des arguments unilatéraux en faveur de > l'avortement. Ce qui n'est pas du tout pareil. " > > On pouvait fournir les estimations du nombre d'avortements clandestins > avant la loi Veil et demander aux candidats de les comparer aux chiffres > d'aujourd'hui. Ils auraient dégagé eux-mêmes un résultat scientifique > intéressant : le nombre d'avortements a été multiplié par quatre.Ou > bien encore, il était possible de présenter aux candidats le taux de > grossesses non désirées qui aboutissent �* l'avortement, celui de 1975 et > celui d'aujourd'hui. Un simple constat leur aurait permis de relever que > cette donnée n'a fait que progresser en passant de 40 % �* 60 %. Une > réflexion scientifique aurait pu également être suscitée �* partir du > fait qu'il manque 150 000 naissances par an pour assurer le remplacement > des générations. Ou que les premières « clientes » de l'IVG sont - > contrairement �* ce qu'on proclame - les femmes les plus informées en > matière de contraception. En bref, encore une fois, pourquoi n'avoir pas > pris les moyens de mesurer la capacité de réflexion scientifique des > candidats sur ces bases ? Certaines sources bien informées prétendent- > ne le répétez �* personne - que le gouvernement de 1975 aurait fermé les > yeux sur l'utilisation de chiffres « arrangés » pour faciliter la > légalisation de l'IVG. Horresco referens. Décidemment, pas de chance > pour l'aspect démographique qui ne pouvait donc pas être traité nonplus... > > Dès lors, si le ministère ne pouvait - ou ne voulait - aborder la > question sous l'angle scientifique, il avait entière liberté de le faire > sous l'angle philosophique en demandant aux candidats de développer tous > les arguments du débat d'idées, de les critiquer, et de se positionner > personnellement. Ainsi l'exigent les règles de l'Education nationale et > celles de la démocratie. Et c'est précisément ce que le ministèren'a > pas fait non plus. Et ce qu'on lui reproche. Donc ni science, ni philo. > Mais �* quoi sert donc le Bac ? > > Le Bac a servi, cette année, �* extorquer �* des candidats - tenus dans > l'ignorance d'une question qui les concerne de plus en plus jeunes - > l'aveu que l'avortement est une grande conquête des femmes. Point. Et �* > s'en tenir l�*. Aurait-on intérêt �* ce que les jeunes n'en sachentpas > trop, �* ce qu'ils ne se posent pas trop de questions ? Certes, il est > plus facile de leur faire avaler des slogans éculés. De leur présenter > une version expurgée de la réalité. Et de leur donner l'impression > qu'ils réfléchissent. > > Je regrette, monsieur le ministre, mais quand on ne veut pas de réponse, > il ne faut pas poser de question. Vous avez pris le risque d'interroger > des candidats qui ont des choses �* dire mais que vous ne voulez pas > entendre. L�* où vous n'avez pas de chance, c'est que vous trouvez encore > de la conscience chez les élèves et de la responsabilité chez les > parents. En somme, de la résistance �* la pensée unique. Et si vous êtes > surpris d'une contestation qui enfle, écoutez les Français ! > > J'accuse le ministère de l'Education nationale - par ses mensonges sur > l'avortement dans l'énoncé et dans le corrigé - de non assistance �* > adolescents en danger. > > J'accuse ce gouvernement de mépriser une fois encore les Français > quand - �* la première occasion après le scrutin du 29 mai - il renonce �* > ce qu'il leur avait solennellement promis une semaine plus tôt : être�* > leur écoute. > > J'accuse les plus anciens de l'actuelle majorité de n'avoir pas le > courage d'assumer les conséquences de leurs propres turpitudes. Et quand > les jeunes veulent prendre appui sur le rocher de la vérité scientifique > ou du dialogue raisonné, de leur écraser la main. > > > qu'il y a un lien entre les 2 ? > > > > Bin, on observe bien la chute de la natalité avec la légalisaton de > l'avortement et la pilulle n'a pas fait chuté l'avortement. > > 1975 : la loi Veil légalise l'interruption volontaire de grossesse. > > Chaque année il y a plus de 200 000 avortements en France, soit 14 IVG > pour mille femmes de 15 �* 49 ans. En 1975, on espérait que le problème > se résorberait de lui-même par la connaissance et la diffusion plus > grande de la contraception parmi le grand public. Il n'en a rien été : > le nombre d'IVG par an est demeuré quasiment constant sur un quart de > siècle. Entre 150 000 et 230 000 avortements, soit un avortement pour 3 > ou 5 conceptions, sont, selon les estimations, pratiqués chaque année. > > Le déficit des naissances dû aux avortements correspond quantitativement > au creux observable depuis 1975 (repère 5), de l'ordre de 200000 > déficits par an. (source : INED) > > Avortement par 100 naissances au monde Pays / Provinces * Nombre > d'avortements pour 100 naissances > Russie 62,6 > Viet Nâm 43,7 > Québec * 42,6 > Kazakhstan 41,3 > Canada 32,1 > États-Unis 25,9 > France 17,7 > Pays-Bas 10,6 |
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chiffres, d'ailleurs ! Rajame wrote: > anna Chorett a écrit : > > Est il exact, comme le clame l'extrême droite depuis des lustres, > > l'Ined aussi, mais l'extr[eme gauche avorteuse refuse de l'entendre > depuis des lustres (et essaie même de l'imposer au Bac, mais bon qui > croit que l'Éducation nationale n'est pas aux mains d'ultra-gauchistes?) > > http://news.catholique.org/2440-ivg-...-lejeune-et-la > > http://www.fondationlejeune.org/Cont...es/bac2005.asp > > "Alors où est le scandale du Bac de SVT ? C'est que le ministère de > l'Éducation nationale lui même, contrairement aux apparences du sujet > qu'il a proposé, ne veut pas vraiment parler de l'avortement, ni que les > élèves en parlent. Il veut tout juste que les élèvent débitent un > catéchisme idéologique en donnant des arguments unilatéraux en faveur de > l'avortement. Ce qui n'est pas du tout pareil. " > > On pouvait fournir les estimations du nombre d'avortements clandestins > avant la loi Veil et demander aux candidats de les comparer aux chiffres > d'aujourd'hui. Ils auraient dégagé eux-mêmes un résultat scientifique > intéressant : le nombre d'avortements a été multiplié par quatre.Ou > bien encore, il était possible de présenter aux candidats le taux de > grossesses non désirées qui aboutissent �* l'avortement, celui de 1975 et > celui d'aujourd'hui. Un simple constat leur aurait permis de relever que > cette donnée n'a fait que progresser en passant de 40 % �* 60 %. Une > réflexion scientifique aurait pu également être suscitée �* partir du > fait qu'il manque 150 000 naissances par an pour assurer le remplacement > des générations. Ou que les premières « clientes » de l'IVG sont - > contrairement �* ce qu'on proclame - les femmes les plus informées en > matière de contraception. En bref, encore une fois, pourquoi n'avoir pas > pris les moyens de mesurer la capacité de réflexion scientifique des > candidats sur ces bases ? Certaines sources bien informées prétendent- > ne le répétez �* personne - que le gouvernement de 1975 aurait fermé les > yeux sur l'utilisation de chiffres « arrangés » pour faciliter la > légalisation de l'IVG. Horresco referens. Décidemment, pas de chance > pour l'aspect démographique qui ne pouvait donc pas être traité nonplus... > > Dès lors, si le ministère ne pouvait - ou ne voulait - aborder la > question sous l'angle scientifique, il avait entière liberté de le faire > sous l'angle philosophique en demandant aux candidats de développer tous > les arguments du débat d'idées, de les critiquer, et de se positionner > personnellement. Ainsi l'exigent les règles de l'Education nationale et > celles de la démocratie. Et c'est précisément ce que le ministèren'a > pas fait non plus. Et ce qu'on lui reproche. Donc ni science, ni philo. > Mais �* quoi sert donc le Bac ? > > Le Bac a servi, cette année, �* extorquer �* des candidats - tenus dans > l'ignorance d'une question qui les concerne de plus en plus jeunes - > l'aveu que l'avortement est une grande conquête des femmes. Point. Et �* > s'en tenir l�*. Aurait-on intérêt �* ce que les jeunes n'en sachentpas > trop, �* ce qu'ils ne se posent pas trop de questions ? Certes, il est > plus facile de leur faire avaler des slogans éculés. De leur présenter > une version expurgée de la réalité. Et de leur donner l'impression > qu'ils réfléchissent. > > Je regrette, monsieur le ministre, mais quand on ne veut pas de réponse, > il ne faut pas poser de question. Vous avez pris le risque d'interroger > des candidats qui ont des choses �* dire mais que vous ne voulez pas > entendre. L�* où vous n'avez pas de chance, c'est que vous trouvez encore > de la conscience chez les élèves et de la responsabilité chez les > parents. En somme, de la résistance �* la pensée unique. Et si vous êtes > surpris d'une contestation qui enfle, écoutez les Français ! > > J'accuse le ministère de l'Education nationale - par ses mensonges sur > l'avortement dans l'énoncé et dans le corrigé - de non assistance �* > adolescents en danger. > > J'accuse ce gouvernement de mépriser une fois encore les Français > quand - �* la première occasion après le scrutin du 29 mai - il renonce �* > ce qu'il leur avait solennellement promis une semaine plus tôt : être�* > leur écoute. > > J'accuse les plus anciens de l'actuelle majorité de n'avoir pas le > courage d'assumer les conséquences de leurs propres turpitudes. Et quand > les jeunes veulent prendre appui sur le rocher de la vérité scientifique > ou du dialogue raisonné, de leur écraser la main. > > > qu'il y a un lien entre les 2 ? > > > > Bin, on observe bien la chute de la natalité avec la légalisaton de > l'avortement et la pilulle n'a pas fait chuté l'avortement. > > 1975 : la loi Veil légalise l'interruption volontaire de grossesse. > > Chaque année il y a plus de 200 000 avortements en France, soit 14 IVG > pour mille femmes de 15 �* 49 ans. En 1975, on espérait que le problème > se résorberait de lui-même par la connaissance et la diffusion plus > grande de la contraception parmi le grand public. Il n'en a rien été : > le nombre d'IVG par an est demeuré quasiment constant sur un quart de > siècle. Entre 150 000 et 230 000 avortements, soit un avortement pour 3 > ou 5 conceptions, sont, selon les estimations, pratiqués chaque année. > > Le déficit des naissances dû aux avortements correspond quantitativement > au creux observable depuis 1975 (repère 5), de l'ordre de 200000 > déficits par an. (source : INED) > > Avortement par 100 naissances au monde Pays / Provinces * Nombre > d'avortements pour 100 naissances > Russie 62,6 > Viet Nâm 43,7 > Québec * 42,6 > Kazakhstan 41,3 > Canada 32,1 > États-Unis 25,9 > France 17,7 > Pays-Bas 10,6 |