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![]() .... dans le Kessel de Stalingrad, chacun se préparait �* hiverner du
mieux qu'il pouvait. "Sur la steppe, ce qui manquait le plus était le bois, tant pour faire du feu que pour étayer les casemates. Les maisons paysannes qui se trouvaient l�*, et dont les habitants avaient été vite chassés, n'avaient pas tardé �* disparaître, les soldats y prélevant planches, poutres, portes et volets pour construire leurs abris. (...) Les officiers apportaient un soin tout particulier �* l'aménagement de leurs abris (...) Un chef de corps de la 16ème Division blindée avait fait prévoir son logement souterrain avec des dimensions lui permettant d'y installer un piano abandonné par une autre unité. Et, sous terre, il jouait sans cesse du Bach, du Haendel, du Mozart et du Beethoven (...) Ses officiers venaient au rapport sans qu'il interrompit son récital" (...) Les conditions d'hygiène les plus déplorables régnaient dans les unités ayant dû prendre position �* l'extrémité ouest du Kessel. "Horriblement gelés la nuit", notait dans son journal un officier d'artillerie. (...) Les soldats n'avaient eu le temps de creuser ni tranchées de communications ni latrines. (...) Dans ces conditions, les maladies infectieuses se répandaient rapidement. La dysenterie avait un effet particulièrement débilitant et démoralisant. Pour se soulager, les soldats, affaiblis, s'accroupissaient dans leurs tranchées au dessus d'une pelle dont ils jetaient ensuite le contenu au-dessus du parapet. (...) "Les poux étaient un épouvantable fléau, notait un caporal, car nous n'avions aucune possibilité de nous laver, de changer de vêtements ou de chasser la vermine. Dans mon casque, j'ai trouvé près de 200 de ces fidèles petites bêtes" (...) Dans ces circonstances, toutes les conversations étaient empreintes de nostalgie. Les soldats de la 376ème Division d'Infanterie ne cessaient de pleurer Angoulême, les cafés, le vin �* bon marché et les filles faciles. On évoquait aussi, en remontant un peu plus loin dans le temps, le retour triomphal en Allemagne durant l'été 1940, sous le soleil et les acclamations de foules en délire" (1) (1) Beevor, pages 383-386 -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |