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Oud 5 april 2007, 20:14   #1
Abe
 
Berichten: n/a
Standaard 4) Putain de mythomanes ! Denonciation du situationnisme


On met pas les gens dans un loft pirate demi-prison demi-crapuleux
(car les propriétaires se bouffent la geule ou se mentent entre eux et
mentent publiquement -tant que ca marche-) pour y faire anti-prison
anti-psychiatrie (en réalité: Frigo) psychanalyse purement policiere
d'une vie d'empoisonnement et de bourrage de crâne, pour elucider des
loftages crapuleux précédents qu'on a d'abord prétendu volontaires
-les gens mentent TANT QUE ca marche tant qu'ils le peuvent - et pour
cause avant d'être une prison mes domiciles ont été loftés par des
crapules par caméras thermiques ou non, radio-transmettrices ou autres
et d'autres trucs éléctroniques audio-récepteurs bien plus pervers
pseudo-hypnôtisants réelement manipulateurs, ceux qui savent savent.

On joue pas avec des clefs subtilisées pour aller fourrer de la coke,
et toutes autres crasses dans la bouffe et dans café des gens pour
prétendre après être copains ou famille bienveillante.

Voil�* pourquoi cette prison protectrice s'est transfomée en crapulerie
_pseudo-analytique, analyse purement et toujours policiere, avec ma
vie dedans qu'on saloppe Qu'on Aggresse et qu'on LABORANTISE tous les
jours pour en remettre sur son compte et venir s'en faire
expliquer/psychanalyser/excuser pour assurer les autorités qu'on va
pas se faire flinguer par �* qui on l'a fait.

Réponse aux autorités: les quelques vraies crapules nomément trouvées
dont on a démontré les crasses et que je et que l'On sais les avoir
faites - pour les autres on verra après quand on me dira qui a fait
quoi du pire du reste- se voient suggérer de balancer leur milice
ainsi formée aux pires des perversités salissantes et manipulatrrices
sur un payx en guerre: ils ont pas JOUé �* la guerre ils me la font
depuis le debut pour que je doive les en accuser, les charger un
maximum d'aggressions et de faits _réels et pires que dingues, et les
assurer qu'ils se feront pas flinguer: ils sont pervers et
colonisateurs, ils n'ont qu'�* aller construire un kibutz en israel et
faire le style guerere qu'ils ont appris �* faire .. aux arabes ou aux
palestioniens, on verra combien de temps ils _survivront, combien de
temps ils leur faudra pour attirer les pires _représailles �* leur
entourrage, par une guerre des pierres une de plus ou enfin des
sol-sol iraniens ... ! Ca n'est pas autre chose que ca cette histoire
de situationnisme, il s'agit de l'intrapolation? (le contraire de
extrapolation) d'une vraie guerre psychologique éléctronqiue �*
multiples clans croisés dont beacoups sont des vrais fous, des malades
pervers répugnants dont ON NE SAIT PAS ce qu'il leur faut: de vraies
guerres TRES CERTAINEMENT pour les calmer, tout comme comme Hitler
qu'on a pas cru -c'était trop gros- quand il a annoncé son _Projet
d'exterminer les juifs - c'étaient pas forcément les mêmes que les
sio^nistes.

Pseudo film tentative de perchage qui dure 24heures durant des années,
qui si elle est dénoncée et trouvée et _démontrée pour ce qu'elle est
pose un problême �* qui la (l'a) fait(e), oui mais ceux qui l'ont fait
sont des crapules et des empoisonneurs aux neuroleptiques et aux
anxioliques, leurs complices de crime qu'ils ont bernés / qui les ont
bernés - tous ces gens qui ont fait bonne opportunité, bien sur ca
part dans tous les sens et ON est sencé trouver tout et tout le monde
CE QUI A ETE FAIT ! sinjon y rester l�* on sait pas pourquoi ... date
de marriage, date de libération de egns qui participent et sont il
faut le croire des prisonniers de droit ciommun ca commence �* aller
ces conneries HEIN ....! On leur �* théorisé la guerre �* l'éléctronqiue
en se la faisant purement et simplement faire �* n'en plus finir: une
guerre ce se fini au sol-sol et aux attentats, il vont finir par le
comprendre.

Guerre et personnages incriminés, instigateurs ou participants
dont ont refuse d'admettre LE CARACTERE STRICTEMENT DELIRANT,
volontaire et dégueulasse, PAS EXPRIMMABLE. Sales et crapuleux dont le
jeu est de se faire expliquer, analyser, sinon menacer de se faire
flinguer pour des faits bien réeles et concrets: aggressions,
schyzophrénie volontaire �* n'en plus finir, lavage de tête, PUR
cassage de gueule �* l'éléctronique.

ON EN A MARRE DE VOTRE ELECTRONIQUE.

ET NON ON VOUS EXPLIQUERA PAS PLUS CE QUE C'EST. C'est le désir des
premiers fransquillons qui ont ramené le truc, c'est de faire balancer
tout le plus loin possible pour repartir après avec un film sous le
bras: un pays naze qui joue la guerre psycho- avec le matos sous le
bras: elect et enregistrements.

On vient pas avec un rebus en debut de psychanalyse pirate �* travers
domicile loft pirate et donc ces gens cachés, autorités psy et/ou
complices d'une famille tarrée bouffée par des connrires qu'elle a lu
dans freud et dans dolto,

[voir message suivant: avis de suicide de l'éducateur d'IPPJ), demain
ou apres-demain ...]

on vient pas avec un rebus dégueulasse qui est de dire

"il y en avait deux"

pour des années plus tard ramener sa crasse et donner le reste: "il
n'en voulait qu'un �* la fois", sous entendu évidemment le pere qui ne
voulait pas de jumeaux ...

BEN IL LES A PAS EU - entk je sais pas ce qui est arrivé �* l'autre./
POINT BARRE, sales psychologistes sales légumes et menteurs
légumisateurs.

Qu'ils arrêtent l'insulte �* me répéter que je serai l'autre et que
sinon c'est MOI qui aurait vécu dans leurs lofts et leur prison pirate
- parce qu'on leur demandera ce qu'ils ont fait du premier, MOI, dans
quel asile ont-il prévu de me faire finir ? Probablement dans des QG
de situationnisme pour analyser le terrorisme et des délirants finis
.... on verra bien quand ils m'auront délivrés.

Jusque l�* on est plusieurs �* se demander

-et il faudrait pas l'écrire car tant que vous ne l'avez pas lu vous
l'avez bien sur pas compris pusiqu'on vous l'aura pas dit

(c'est le fil rouge stupide et sale con de cette merde
pseudo-situationnisme para-analytique : il faut toujours TOUT dire
sans ils refusent de comprendre que Tout le monde a compris !)

dans l'esprit des legumisateurs, je vais vous le dire quand même pour
les r é v e i LLER PUTAIN ! !! ! ! ! -

donc .. �* se demander ce qu'ils en ont fait: ils l'ont étouffé au
berceau ou ils l'ont donné en adoption ...

c'est pas possible de faire trois gosse et de donner le quatriemme, et
de foutre son gosse dans un loft prison pirate pour qu'après il ait
été ACTEUR de sa propre vie, P U T A I N va, il faut les secouer ces
gens,

c'était c'est leur conception de la psychanalyse et leur désignantion
de qui en avait sois-disant beosin salops va, "eux tous sauf moi"
était la bonne réponse qui leur a toujours été donné depuis le
toujours.

Maintenant MANGEZ VOS LIVRES DE FREUD ET DE DOLTO.
Maintenant MANGEZ VOS LIVRES DE FREUD ET DE DOLTO.

Pendant ce temps on (qui le veut, tout qui �* qui on n'a pas dit les
choses) a cru qu'en hypnôse ou sous chimie le prisonnier décrété
handicpapé mental a rencontré deux fille sans s'en rendre compte, deux
soeur, surement dans leur délire y avait-il une mineure et une pas,
bien evidemment que non, c'est bien essayé mais si vous avez suicidé
la princesse il va falloir passer au confessionnal, et comme le reste:
faites �* distances, vous êtes bannis, maudits.

Porte de sortie: tu te mariera avec une autre ! Il faut croire que la
princesse est PAS d'accord ... OK ? Ils auraient pu faire un marriage
blanc avec une autre sinon ... et laisser ceux qui auraient voulu
mentir �* qui ils l'auraient voulu.

Social-communites qui ont __décrété__ quelqu'un ACTEUR et l'ont offert
comme �* des agents qui sont venus faire un film avec une production
démentielle, cad. _innéxistante_ si ce n'est _truffage éléctronique de
ses domiciles (d'ailleurs jeté �* la rue deux fois pour le faire
déménager etc ...): on le regarde, on lui joue situationnisme - mon
cul on lui fait psychanalyse: ET PUIS ON VERRA BIEN. Sales délirants
va.

C'est ca le film qu'on est venu vous faire sous couvert ou récupéré en
situationisme.

Situationisme: étude de la vie et de la guerre au cour de sa pratique:
au cour de la vie et de la gyuerre.

++++++++++++++++++++++++++++++++++
Ca va maintenant ce pays, vous pouvez arrêter le délire !
++++++++++++++++++++++++++++++++++

Je relis plus, j'écrispas pour tout seul, merde il y en a maarre ...
tout le mon,de �* comrpiSa zfhigdgrqesdf:m;,nbvcksd,tjkldblm.


^m
4) ca leur a pas suffit, ils ont refusé tout ca, 4ieme partie:

ne doit pas être plus précis:
* Dans cette fabrication, dans ce situationnisme de batailles, je suis
le protégé, préservé d’un enfermement judiciaire et �* la fois de qui
aurait (eu) griefs �* mon égard, rapport aux tout premiers qui ont joué
et auront mis du temps �* être découvert, �* s’expliquer pleinement de
leurs activités. Rapport �* qui ensuite aurait induit rencontre
peut-être �* mauvais escient (de me voir finir en prison pour abus sur
mineure) et enfin aux troisièmes, fussent-ils des premiers qu’ils
auront eu d’autant plus de choses �* cacher.

ne doit pas être plus précis:
* Cette tentative voir cet amusement de me déficienter, ajouté / suivi
de loftage actif agressif, et de quelques autres fabrications abjectes
et dégueulasses qu’on aurait ensuite voulu camoufler par une prétendue
activité de cinématographie dont j’aurais été l’acteur, acteur en
termes de cinéma, volontaire ou volontarisé.

* Da ma prison je suis libre - et contraint - de sorties ne fut-ce que
pour mes fournitures et mes formalités administratives, je suis aussi
séquestré dans cette constante permanente et quotidienne depuis
longtemps téléconférence active accompagnatrice de chaque instant des
24 heures de chaque jour, depuis plusieures années au moment de la
rédaction de ce récit, je suis aussi séquestré dans l’organisation ou
le constat de ma paupérisation. Depuis longtemps sans plus de moyens
financiers que pour m’assurer subsistance, je vis du strict minimum.

* Enfin je suis prisonnier du bien fondé de ma relation avec qui alors
mineure dont l’on me soutient depuis que le loftage est effectif que
je pourrais être amené �* la retrouver après ma “libération”; le cas
échéant que j’aurai par cette peine été punis - d’une relation de
quelques jours ou quelques semaines -. Ca a toujours été pour moi non
pas une hypothèse mais une évidente probabilité, peut-être
m’attend-elle injonctionnée �* ne pas se montrer et entourée de qui me
lofte en protection, cette partie des intervenants qui ne font pas de
situationnisme mais qui me font attendre ma sortie et m’aident quelque
peu �* supporter l’ensemble des autres participants non complaisants;

* prisonnier aussi de mes questions auxquelles personne n’a jamais
prétendu s’intéresser encore moins me répondre, concernant �* la fois
qui précitée, et ce loft (ces loftages) dont il m’aura fallu
plusieures années de réflexion pour dater et retrouver les premières
activités et au sujet de laquelle il apparaît aussi qu’on a pas voulu
tout savoir trop vite;

* on a fait durer les chose, ce faisant des événements ont été
oubliés, puis rapportés ou retrouvés par analyses recoupantes, par
hypnose remémorante, par réflexion des mois durant, par des aveux
probablement, ainsi que par étude des backups d’activités et de mon
pistage et manipulations préalables �* ma rencontre incriminée,
complémenté de la cinégraphie plusieurs fois en son domicile plusieurs
fois en le mien alors ma propriété, du temps passé avec qui, incluant
le trouvé réprimandable.

* Et donc est constaté �* charge des premiers observateurs mes suggérés
amis le fait répété de pédo- cinégraphie; d’intrusion domiciliaire, en
résumé de doux- banditisme; on nous a, me permet-on de comprendre,
filmé �* de multiples reprises, ces enregistrements ont été retrouvés
et m’ont été précisément évoqués, relatés par détails des plus précis,
ils contiennent la totalité des faits incriminés; s’ils existent ...

* Assurément c’est pour toutes ces raisons entremêlées que l’on ne m’a
jamais clairement informé de cette réalité qu’est l’existence de ma
prison: �* la fois pour trouver tout et tout le monde, pour faire
passer ma peine ou pour attendre la majorité [non plus sexuelle(cet
humour m’est suggéré)] mais civile de qui, et me faire vivre ce
semblant de guerre au situationnisme, typiquement un jeu militaire
psychologique consistant �* suggestionner une réalité et �* inviter les
participants �* réfléchir et �* s’exprimer, placés quand c’est un jeu en
situation fictive. Mais dans notre contexte nous n’étudions quasiment
que des faits réels et des hypothèses amenant �* recouper, �* trouver, �*
démontrer, �* expliquer, le passé, ajouté du présent.

[si nous jouions au situationnisme l’énoncé en serait: une
téléconférence imposée in situ d’un loft prison pirate]

=====

Staline, stalinisme

* Ma famille �* manqué de me détruire en me déficience par faits de
psychologisme de psychiatrie et de chimiothérapies légumisantes et
lobotomisantes, hypnotisante dans le sens où elles ont aboutis �* me
faire non pas comprendre mais rester - et vivre - sur le constat d’un
dénigrement, d’une quasi garde domiciliaire de ma personne étant
mineur.

* Pour ainsi dire je vivais dans un loft vaquant comme bon me semblait
mais sous la surveillance, plus que en vie commune, de membres
familiaux qui m’ont perpétuellement cherché des maladies et laissé
supposé �* leur entourage que j’en serais porteur, victime; j’étais
prétendument toujours malade ou fatigué, en fait je vivais entouré de
silence et de non-dits, le fait de personnes trouvées plus tard comme
menteurs pathologiques devenus paranoïaques et staliniens, de
personnes qui m’ont depuis cette période toujours considéré pour
déficient psychique ou mental, ne reconnaissant jamais mener / avoir
mené une vie de silences exacerbants.

* Toute ma psychanalyse faite - presque une année durant et quasiment
non-stop, bouclante et redondante - sans plus de complaisance que la
bonne foi ne l’imposait s’est trouvée toujours et sans cesse aboutir
points après points �* ma décharge et souvent �* charge de personnes
historiquement dénigrantes aujourd’hui accablées des faits trouvés et
reprochés. Ils avaient été prévenus qu’il ne fallait pas me la faire,
ils l’ont immiscée et induite en toute cachotterie, ils se seront
ainsi fait faire la leur.

* La fin d’un rébus égrainé et de son analyse progressive, dont la
seconde partie énoncée tout �* la fin, boucle le jeu de piste
psychanalytique qui dure depuis plusieurs années dans ma
séquestration, est l’affirmation métaphorique qui vient suggérer que
mon père ce Stalinien aura refusé de voir naître des jumeaux et que je
serais le rescapé de cette ignome décision, paranoïaque mesquinerie
psychopathe d’un devenu menteur pathologique.

* Le rébus m’a été soumis en ces termes: “il y en avait deux”, suivi
de “il n’en aura qu’un �* la fois”.

* Entre ces deux bribes se sont incrustées plusieurs informations dont
j’avais connaissance de par mes observations, d’attitudes et de bribes
de conversations passées; laissant paraître pour qui membre de ma
famille un manque traduisible par une absence, de quelqu’un dont on
cita même le prénom qu’il n’a pas porté s’il n’est pas né, qu’il porte
ou a porté dans le cas, mais analytiquement trouvé non probable, où il
serait né; bribes de débuts de conversations de suite et abruptement
closes par le père paranoïaque.

* Déj�* supposé cocufié, qui ne serait donc pas mon père il aurait fait
supprimer par soucis matérialiste la moitié résultante de ma
conception: moi surnuméraire je serais en plus le rescapé d’une double
fécondation. Si �* sa mort il n’a toujours pas parlé j’annonce �* qui
l’entend que sur sa tombe je pourrais aller graver la question
“Staline - cocu - a-t-il tué le foetus de mon jumeau, son second
beau-fils ?”

* Mais, comme pour corser, le doute m’a été laissé qu’il eu s’agit
pour la première partie de ce rébus d’une suggestion visant �* me faire
croire ou admettre que sous l’effet d’hypnose et de produits et ce in
situ des circonstances d’alors [dvc²] j’aurais rencontré et pu avoir
relation, en quelque sorte �* mon insu, avec deux personnes
différentes, fille de qui prenant aux premiers faits incriminés la
place de qui d’autre, qui d’autre n’a bien sûr jamais existé, il
s’agit de situationnisme psychanalytique.

* On m’en a suggéré une autre d’acabit non moins grossier, qui était
l’affirmation comme quoi j’aurais, mineur, violé ma soeur. Dans cette
hypothèse on devrait commencer par inverser les rôles et profaner
qu’elle m’aurait abusé, ensuite et pour en finir tout de suite je n’ai
aucune bribes de souvenirs de tels faits, tout ce que je peux dire est
qu’en la période suggérée elle emplissait ses armoires de publications
encyclopédiques sur le sujet du sexe; abonnée �* un mens(tr)uel
littéraire et très photographique détaillant au fil des épisodes tout
le kamasutra, illustré par un couple d’acteurs photographiés dans les
poses sujets d’études, photos qui ne laissaient pour seul doute au
lecteur que de savoir si oui ou non les acteurs pratiquaient
pénétration.

Hystérie, sectarisme, mensonge pathologique et mégalomanie
+++++ �* rédiger court, seconde familles royale (+ loin)

Loft

* En parallèle d’un temps mort passé dans cet appartement durant
lequel on m’a laissé tout seul sans communications, sans loftage actif
ni accompagnement, sans rien d’autre que quelques anormales
manifestations de voisinage qui semblaient quand ils laissaient passer
quelques bribes de conversations, s’intéresser parfois plus �* ma vie
qu’�* la leur, ce que je considérais comme déplacé et l’intérêt d’un
voisinage indiscret. Période durant laquelle je passais le plus clair
de mon temps �* consulter Internet et �* participer sous anonymat �*
quelques conférences technologiques et psychanalytiques avec un
intérêt mesuré mais me doutant que quelques uns tout aussi camouflés
que moi s’adonnaient �* la pratique d’analyser par métaphores, jamais
en clair, ma vie passée, conversations entremêlées de discussions sur
tout et rien comme il en est coutume sur les fora.

* En parallèle �* ce temps mort quelqu’un faisait enquête sur moi,
tracant ma vie de fond en comble, suite �* quoi et durant près d’un an
pour situer grosso modo la durée des discussions psychanalytiques l’on
me présenta méthodiquement, plus ou moins chronologiquement, chaque
fait de vie, chaque personne, chaque situation, que j’ai pu vivre ou
rencontrer tout au fil de ma vie, plusieures décennies ont ainsi été
relatées sans que plus que rarement ce ne soit moi qui amène eau au
moulin de cet interminable et méticuleux déballage de moi et des
personnes rencontrées depuis tout temps.

* En plus du fait qu’un membre proche ou interne �* ma famille �*
remonté �* la façon journalistique ma vie entière il dut y avoir
extériorisation de ma situation pour que autant de gens et de faits
soient évoqués ou relatés, de quelle façon a-t-on fait cela, le plus
probable est que chaque personne contactée aura amené son lot de
relats et de personnes ayant eu �* me côtoyer ou �* me rencontrer durant
les décennies évoquées;

[je ne trouve pas le déclencheur de cet agissement, de ce sauvetage
psychanalytique]

* sans que jamais je ne puisse me rendre compte que par exemple un
appel aurait été lancé �* tout qui m’aurait connu au cours de sa vie
pour être invité �* participer, sans que jamais personne ne me contacte
ni ne m’avoue lorsque moi je contactais quelqu’un ce qu’il en était de
ma situation et de ce que l’on avait pu leur en dire ou les questions
qu’on leur aurait posé, l’invitation qu’ils auraient reçu �*
participer.

* A la façon de journalistes quelqu’un �* donc réussi �* tracer ma vie
sans que jamais je ne m’en appercoive, pendant ce temps l’on me
pistait en extérieur par le truffage de ma voiture; un jour un suiveur
m’a maladroitement révélé sa présence sans se laisser plus identifier
que dans un doute qui ne m’a bien sur jamais quitté. Il s’agissait de
la suite ou de prémices �* un loftage par d’ex-fréquentatiosn qui
m’apprirent plus tard me lofter en vue de me voir revenir en leur
sein, de ceux qui sont trouvés soupsconnés [dvc²] aux tout prémisses.
Sinon s’agissait-il tout simplement de jeunes flics qui auront voulu
me signaler leur existence.

* Je n’en ai jamais beaucoup tenu compte ayant déj�* conclu au
préalable que ma voiture avait été truffée de quelques babioles
électroniques comme, très probablement, un gsm �* réception
automatique, un gps pour me localiser et / ou des caméras radio
endoscopiques ou dôme jamais découvertes dont quelques bribes
d’interventions vocales maladroites ou / puis volontaires m’avaient
laissé supposer la présence; interventions probablement via un gsm
avec ou sans micro-enceinte ou repiquage vers les enceintes de ma
voiture dont le circuit d’autoradio n’a jamais fonctionné correctement
ce qui étayait mes doutes sur un piratage par un sauvage bricoleur.

* Devant cette certitude de truffage de chez moi et de ma voiture j’ai
toujours conclus que je pouvais chercher aussi qu’il me plairait, je
ne découvrirais peut-être jamais le matériel, moi-même bricoleur et
plein d’imagination je devançais toute exploration par la réflexion
que soit j’arriverais trop tard pour mettre la main sur le truffage,
soit il serait si bien caché ou camouflé que je le découvrirais pas. A
refaire je ne désosserais pas ma voiture pour y chercher du matériel
pirate, j’en changerais; d’ailleurs �* l’avenir je me contenterai de
locations pour me faciliter la vie.

* Conclusion, j’ai laissé faire, devinant que quelque chose clochait
dans mon proche passé et qu’il ne pouvait s’agir que du sujet de cette
rencontre avec qui mineure et fille de qui; j’attendais que quelqu’un
se manifeste pour m’expliquer la situation, vivant quotidiennement
aussi lors de chaque déplacement cette certitude d’être au moins
pisté, il s’est avéré que j’étais en plus minutieusement épié.

=====

N’a pas existé

* Ceci n’est pas du vécu, ne doit pas avoir existé, n’a pas le droit
d’avoir existé, ce n’est ni littérature mais analyse, ni roman puisque
tout est vrais, ni science fiction puisque tout est réel et que nous y
sommes, ni délire nous sommes tous normalement constitués et
conscients, même pas drogués ni même pour ma part de simples pétards
que par manque d’argent je ne peux plus me procurer que très
exceptionnellement, ni imagination ni fabulation, ceci était une
guerre mais je ne l’ai pas vécue je l’ai subie. J’étais le prisonnier,
comme un juif dans un ghetto en 1940 �* qui l’on vient en SS casser la
gueule par plaisir ou commenditation, chez qui on vient périodiquement
mettre le feu, qu’on salis et dénonce auprès de son voisinage, qu’on
tortionne pour expérimentation, qu’on séquestre pour mieux
recommencer, ad vitam, comme �* la guerre et sans échappatoire.

Père-Noël

* Ils m’ont lofté par un pièce mitoyenne de mon studio acoustiquement
pas isolé, presque amplifié de facon naturelle par la qualité
excecrable des matériaux de construction et / ou artificielle par le
déjointoyage, ont-ils creusés ou perforé les matériaux pour parfaire
la communication, au début du premier loftage purement pirate et
hostile en voisinnage, aérienne et phonique. Peut-être déj�* visuelle
par leurs intrusions dans les vides techniques.

Expulsion domiciliaire

* C’étaient des malades d’une pathologie inconnue, de ceux que l’on
attrape lors d’une de leurs visites �* la façon du père-noël, que l’on
attrapé pour leur faire le coup de Pulp-Fiction: séquestration et
punition avant de les livrer �* la justice ou �* la psychiatrie, ou
simplement de les abandonner. En réponse trois ans plus tard �* cela et
�* ses suites ce studio �* été entièrement ravagé, taggé et gravé pour y
écrire l’accusatoire contre les membres de la secte, leur chimie et
les pirates m’ayant lofté en hostiles, pour dénonciation de mon
expulsion sans que rien ne me soit divulgué de toute ma prison vécue
l�* jusqu’�* cette date. Dans l’inconnu le plus total, dans la crainte
de ne voir jamais dévoilée ma prison j’ai séquestré l’appartement en
garantie de sa future dénonciation, �* la fois en vendetta du fait que
tout le monde inclus famille savait et que celle-ci purement et
simplement m’expulsait.

* Le serrurier intervenu après mon expulsion - procédure judiciaire �*
mes frais, le fait de père Staline - �* pu constater que le studio
sois disant mis en vente n’allait pas l’être de si tôt; on aurait pu
me demander les clefs, tanpis pour le propriétaire et les salops
m’ayant lofté en prétendus amis mais ne s’étant jamais montré et
n’ayant eu aucunes limites dans la connerie et dans l’abject. Je n’ai
pas d’amis pour me faire ca, des gens pareils n’ont pas d’amis.

* Protégé par l’existence du non- dénoncable ni réparable laissé sur
place, j’attendrai et finirai par savoir de qui il s’agissait, par
aveux, dénonciation ou par constat d’absence de communication le jour
où ma prison, déplacée par ce fait d’expulsion domiciliaire, sera
fermée, en son nouveau local, un studio loué dans le privé. Il doit
parraître évident mais le situationnisme maintenu est que l’on ne me
permet pas de le comprendre, que l’on me sortira d’ici dans peu de
temps pour une destination inconnue, ma vie re- deviendra privée.

* En ce moment de rédaction, déplacé depuis près d’un an vers un autre
logement, mon domicile actuel. A la différence du précédent je paye le
loyer au prix fort du marché, la secte ma famille pensionnée pleine
aux as ne s’émeut pas de ma paupérisation.

=====

Un Avion

* En milieu de nuit un avion petit cargo ou militaire tourne en rond
au dessus de la ville, une dizaine de fois, il est peu probable qu’�*
cette heure il y ait eu engorgement des aéroports civiles ou
militaires de la proximité. Le bruit des réacteurs, le chemin
circulaire parcouru �* la verticale des zones les plus habitées de
l’agglomération, la multitude de ses passages �* une fréquence
régulière, est-ce un avertissement �* une ville �* qui on ferait film
(cf. cette idée de la secte de me faire vivre dans un film) ou est-ce
du sketch, sont-ce comme suggéré des scientologues ou “les américains”
? Humour rapport �* [dvc²]. On ne peut pas ne pas penser �* une
tentative d’intimidation sur la population, par une méthode qui se
rapproche de l’hypnose, on ne peut que penser aux plus faibles, aux
plus impressionnables, ne fut-ce que par le fait de l’heure tardive �*
laquelle presque tout le monde dort, beaucoup auront été réveillé par
ce manège pour le moins étrange. Il est interdit de mener telle
pratique aérienne, les avions en attente ne restent jamais sur la
ville.

Acide neuroleptique, pluie d’ -.

* Le lendemain et les jours suivants, pour faire croire peut-être dans
le contexte de tout le délire situationné d’une guerre des
scientologues et cette idée de pluie de neuroleptique qu’on m’a si
bien suggérée, les pharmaciens et, on ne peut que les supposer tels,
les pères et chef de familles d’enfants turbulents se sont débarrassés
sur leurs trottoirs de leurs fonds de fioles ou de stocks (non, ce
n’est pas de l’avion qu’a été jeté ce produit chimique, imbéciles cons
prétendus cinéastes qui auront voulu (m’)y faire croire) de l’un des
plus terribles produits pseudo pharmaceutiques et chimiques, un acide
neuroleptique - parfois mêlé �* l’eau de lavage des dites officines,
acide connu de moi car utilisé par père Staline lorsque que j’étais
mineur et encombrant.

* Quand il s’agit d’acide l’odeur ne trompe pas, elle est puissante et
reconnaissable entre mille; un autre acide a été utilisé �* mes dépends
peut-être (pas) �* seules fins de tester mes réactions au cours de ce
loft, de l’acide trip, un de ceux qui mettent la claque et speedent
tout �* la fois, lui aussi est repérable, par tout un chacun aussi
facilement qu’un chien détecte la présence de drogue tellement l’odeur
en est forte.

* Ces produits sont très volatiles, une goûte suffit �* ne pouvoir en
rater la présence. La molécule olfactive de (en tout cas de ces deux
l�*) ces acides est la molécule active, en percevoir l’odeur indique
qu’on a inhalé de facto le produit actif et qu’on risque d’en subir
les effets, ici neuroleptique de rigidifier, de rendre comme du carton
les nerfs et les muscles dont les mouvements deviennent saccadés et
non- plus fluides, l’action cérébrale est sensée retirer toute envie
de se mouvoir et amenuise activité cérébrale et réflexion, le blocage,
le figement neuro- musculaire doit être contré avec force et volonté
de la victime (donc en principe la personne médicalisée et
prétendument médicamentée) qui déciderait de ne pas rester fixe au lit
ou dans un fauteuil tel un amorphe légume.

* Quand il est “consommé” comme dans l’exemple vécu cité ici en
terrorisme et dans la rue, de façon générale il convient simplement
d’en avertir et de rester entouré de qui proche ou familiers, au
besoin services de secours ou de protection et de patienter tout en
essayant d’expliquer qu’on est probablement victime d’empoisonnement �*
l’acide, neuroleptique ou autre semblant de trip pseudo
pharmaceutique. Si trop pris par les effets psychiques et physiques
paniquants de se faire assister de services médicaux qui ne devront
amha ne faire que strictement rien, seulement attendre, contrer un
acide par médication me semble erratique, mais c’est un avis personnel
et complément d’aversion �* la médication chimique et l’expérience que
j’en ai qui me fait préférer ne pas l’utiliser sauf stricte nécessité
et certitude du produit.

* J’ai appris �* m’en prémunir, surtout �* le comprendre et ainsi �* être
moins réceptif, suite �* la répétition de ce genre d’agissements
perpétrés autour de moi et souvent décelables m’avoir été destinés, il
en a été ainsi un bon nombre de fois au cours de ma prison - de
véritables tarrés malades et cons ont joué �* en jeter sur les
trottoirs et dans des transports en commun, ou �* proximité de si pas
sur ma voiture durant des temps de parking, doublement salops car
outre moi d’autres personnes en auront fait les frais, en auront subis
quelques désagréments neuro- musculaires ou angoisses, incommodés
qu’ils auront été par l’action de ces produits

* qui modifient, empêchent la bonne expression orale, physique et
psychique - articulation physique jusqu’�* orale (bucales) et
expression dialectique sont corrompues, en clair les nerfs les muscles
et les idées sont plus ou moins niqué(e)s.

* J’ai du me résoudre �* risquer de détruire certains de mes vetements
(en cuir) dans un séche-linge seule solution définitive _conststée �*
chasser les emmanations, toujours actives tant que présence de la
moindre trace. La peur, l’angoisse, liées �* la subissance corporelle
et intellectuele de ces acides sont communément contrée par d’autres
produits psychotropes ou hypnotisants quand le neuroleptique est
prescrit en cocktails par un docteur en médecine, que je me préfere �*
désigner chimiste laborentin ou communiste; les - typiquement -pères
de famille qui ces jours l�* se sont débarrassés de leurs fonds de
fioles en seront épargnés de se voir taxés de staliniens par leurs
enfants consomateurs, qu’ils n’oublient pas de ne pas s’acharner au
mensonge et aux silences.

* cf. ce loft �* ce moment l�* psychanalytique dont on me soutenait, et
presque démontrait par bruits de trottoir qu’il était diffusé �* un
certain public. Donné au public cela peut expliquer aussi bien cet
agissement alors complice de se débarrasser des fonds de fioles et des
stocks d’officines pharmaceutiques comme cela peut expliquer le
terrorisme de saloppards qui en ont maculés une partie de mes
vêtements (très certainement par intrusion chez moi avec des clefs)
doublés de ceux qui en ont jetés le plus souvent de très petites
quantités �* ma proximité, dans la rue, dans les transports, jusqu’�*
l’intérieur de l’un ou l’autre magasin �* plusieurs périodes autres que
celle de cet avion prétendument venu nous faire la pluie.

=====

“ Pluie de neuroleptiques, ce sont les scientologues, tu es en guerre
avec les scientologues” m’a-t-on suggéré Qui a fait ca, qui a voulu
faire peur �* qui ? L’évènement s’est déroulé �* l’échelle de la ville
ou du moins, pour l’odeur, �* celle des lieux que j’ai fréquenté les
jours suivants le manège de cet avion; a-t-on voulu me faire un sketch
situationniste complément de la psychanalyse en cours, en fait on a
parfois mélangé volontairement psychanalyse et situationnisme pour
cacher quelques probables vrais faits proches du criminel, de
peut-être vengeance de qui j’aurai trop bien trouvé et par l�* dénoncé
ou pointé sans vraiment le savoir.

* A-t-on voulu et peut-être réussi �* me faire oublier quelque chose,
a-t-on voulu me mettre en trip; les neuroleptiques peuvent participer
�* faire perdre partiellement conscience de la réalité par la peur
accaparante qu’ils installent chez ceux en ayant consommé. En subir
les conséquences neurologiques n’a rien pour rassurer, pourtant il
faut tenter d’en tirer profit par esprit de prévoyance, comme un
apprentissage �* un risque qu’on doit pourtant refuser de garder �*
l’esprit, il est inacceptable, il est peu probable.

* Même si les effets ne sont pas �* négliger, les avoir déj�* subis doit
faire garder �* l’esprit que l’on constate par la suite qu’ils ne
laissent pas de séquelles, l’état de choc est limité temporellement �*
l’action du produit, plus précisément une fatigue résultante peut-elle
être subie durant l’amenuisement et la disparition alors rapide de
l’effet global; la durée des effets n’est pas très longue (quelques
heures), il n’y a pas plus de demi-vie que celle qu’on peut (qu’on
doit) invoquer �* l’alcool - pour exemple simple. Le raisonnement, les
facultés et la mémoire qui enregistrent le souvenir du vécu présent
sont déficientés par les acides, la peur l’angoisse et les situations
anormales ou stressantes augmentent leur permissivité. Cela en
conclusion mais comparé �* l’alcool ils sont plus désagréables et
incommodants, pas beaucoup plus dangereux, c’est le subis qui diffère.

=====

Sommeils chimiques

(inclu quelques redondances utiles et volontaires)

* Deux décennies plus tard quand je commençais �* me souvenir et �*
accuser pertinemment les injonctionneurs et les prescripteurs de
produits chimio- lavants- thérapeutiques de moi mineur, on a donc
tenté de me faire croire �* une attaque de “scientologues” contre ma
personne, en référence �* qui membre de ma famille dont d’une part on
a tenté de me faire croire ou m’informer qu’il était devenu
scientologue, qui d’autre part est soupsconné de m’avoir empoisonné et
être par l�* responsable du premier des cauchemards en hypnôse trouvée
chimique dont je n’ai pu me réveiller qu’�* grands fracas ..

$ .. de débattements: j’étais conscient mais empêché de me réveiller,
hypnotisé par le cauchemard mais et parce que comme livré ou donné �*
lui par - “probablement” mais nous avons dans ma prison étudié cela et
l’avons trouvé en “certainement” - une chimie bloquante, une chimie
empêchant le réveil malgré mes débattements jusqu’�* devoir frapper les
murs et le meuble du lit pour me faire mal et _ainsi m’éveiller,
stupéfait de n’avoir pu m’éveiller bien que conscient qu’il le fallait
pour quitter mon cauchemard, bien plus inquieté par le fait d’avoir eu
�* me faire mal et conscient que c’est cela qui m’a réveillé ..

$ .. réveillé dans la peur du contenu du cauchemar tout de suite
évacuée sachant pertinemment qu’il ne s’agissait que d’un rêve
désagréable, resté interloqué d’avoir eu tant de difficulté �*
m’extraire de lui / de mon sommeil. Cet étonnement par la suite
immédiate supplanté par le constat, d’après le lever, d’une fatigue
musculaire et généralisée.

$ L’hypnose intra- sommeil est le fait naturel du cauchemar ou du
rêve, typiquement c’est la chimie bloquante qui autorise une
accaparation telle qu’elle devient erronément qualifiable d’hypnose
prenante, de par sa durée elle peut s’auto- alimentér par le contenu
du cauchemar ou du rêve - en réalité c’est le c. ou le rêve qui est
autorisé �* se prolonger, l’hypnôse est une mauvaise apellation de cet
état de fait . la boucle reste fermée et ce n’est pas l’hypnose (mal
nommée) qui s’emplifie mais le cauchemar qui se prolonge et dont
éventuelement le contenu fait monter la peur ou l’angoisse, celle-ci
peut se compléter par celle conséquente du fait de l’impossibilité de
se réveiller, impossibilité dont l’on prend pleine conscience ce qui
rajoute �* l’angoissant contenu du mauvais rêve.

$ Tant qu’on ne surmonte pas jusqu’�* réveil la force qui l’empêche, la
force qui, elle, est le fait de la chimie - il ne s’agit pas de
contrer son cauchemar, il s’agit de se s’attacher �* provoquer le
réveil, tout en subissant le contenu du cauchemar, lui partielement et
faussement désigné hypnotique. Choses que j’ai, depuis, découvert et
comprises par, in situ de ma prison, longue réflexion sur la période
de moi pré- ado.

$ On doit se libérer en force de l’hypnose (mieux dit: de l’angoisse)
d’un cauchemar tout comme on peut se laisse aller �* celle (en fait, au
cocooning) d’un rêve agréable. Si le réveil en force est trop
contrarié il faut suspecter chimie.

$ Encore faut-il avant d’accuser l’entourage (médical par exemple) que
celui-ci soit conscient du mécanisme ici relaté, qu’il pose les bonnes
questions et agisse en conséquence de réponses qui corroboreraient
l’hypothèse. La victime, en l’occurrence moi enfant, ne peut être
affublée de méconnaissance sur le sommeil, le rêve, l’hypnose, la
chimie, etc.

$ Cela amene �* penser �* la boucle induite par une chimiecalisation �*
répétition, �* conséquence d’empêchement de complètes et bonnes
capacités de réflexion.

* L’on peut être accaparé par une hypnose - celle qui est le fait du
contenu d’un rêve ou d’un cauchemar pour exemple le plus commun, mais
celle-l�* �* elle seule ne provoque qu’un blocage léger, dans cette situ
la chimie provoque blocage en force et non hypnose, même si l’hypnose
du rêve / du cauchemar parfois plus _que moins accaparante.

* Cette forme d’hypnose se produit pendant les cauchemars en fin
nuits, typiquement ceux d’enfants d’une dizaine d’années �* qui des
cons racontent des histoires stupides comme celle de loups qui mangent
les enfants de nuit dans des forêts toutes aussi noires; bien sur pas
des loups chiens mais des créatures fantasmagoriques et spectaculaires
se confondant avec les branches d’arbres morts ou effeuillés.

* Ces cauchemars ont été récupérés et m’ont valu d’être soupçonné
porteur de maladie neuro-cérébrale - on a jamais trouvé laquelle et
pour cause. Qui alors pas encore père chimique aura-t-il craint cause
�* effet du suggestionné psychotisme - insensé - sans soupçonner
présence chimique. Cela s’est reproduit sporadiquement, un bon nombre
de fois durant une période de pré adolescence, on a jamais expliqué
pourquoi je ne parvenais pas �* me réveiller.

* On m’en a fait �* nouveau subir au cours de ma prison cette fois plus
que probablement pour me faire étudier cette impossibilité de réveil
que j’avais évoqué demandant quel produit chimique était susceptible
d’avoir fait que je n’ai pu me réveiller du tout premier de ces
cauchemars, ensuite de bon nombre d’autres, accessoirement plus ou
moins répétitifs dans leur contenu ce qui peut - typiquement -
contribuer �* l’exacerbation par le fait du re- vécu et de l’intérêt
qu’on peut y porter �* vouloir y progresser, �* découvrir, �* comprendre
un rêve ou c. répétitif, dérive en hypnose; l’objet de la question
était la présence d’hypnose intra- sommeil rendant le réveil
impossible.

* Comme je le relate ailleurs d’aucuns se seront attardés �* en étudier
le déroulement et les solutions que j’ai trouvé pour y faire face,
cad. jusqu’�* pouvoir m’en réveiller de facon volontaire et consciement
�* force d’expérience de l’hypnôse intra- sommeil. Qui a fait quoi �*
l’origine des épisodes pré-ado, comment quand et pourquoi est évident
et ressort plus ou moins de ce document, ce qui n’y parait pas est
privé mais est de toute facon connu.


=====
imprécis, methode de réveil
=====
=====

* On me situe donc que le trouvé responsable du premier voir de bien
d’autres de ces cauchemars dont je ne me réveillais pas serait passée
de freudien et doltesque, désabusé dépressif, �* scientologue ... en
guerre contre moi du fait que je l’ai trouvé et demandé des comptes
par le loft, alors analytique, interposé, du fait de son passé de
pédologue mis en relation par sa paranoïa et son aversion �* ma
délégumisation �* cette rencontre avec qui mineure, qui je n’aurai eu
le temps de lui présenter avant qu’un événement resté mystérieux
n’interrompe notre relation. Mais dans l’inconnu je ne peux y voir que
du situationnisme: typiquement un stupide et con jeu psychiatrique ou
exercice militaire dangereux lorsque il déborde comme tout au long de
ma vie en loft sur la population; la personne en question �* peut-être
eu ses phases aux conséquences pas très positives mais le croire
addict d’une fausse religion sectariste accaparente et avide d’argent
est un pas que je ne franchis pas,

* De toutes façons il ne m’apparaît pas qu’il puisse être volontaire �*
exercer pour le compte d’une telle organisation, il n’est ni trop
avide d’argent ni n’a profondément vocation �* la manipulation de plus
faibles que lui, pas que je sache en dehors de faits psychanalysés
comme ils se devaient de l’être; ensuite il n’et lui-même ni très fort
ni argenté - même si d’aucuns sont rémunérés pour leurs activités au
sein de l’organisation il est plus le souvent le cas qu’ils y laissent
leurs biens et finances personnel(le)s, chose que son entourage pour
ce que j’en connais ne lui laisserait pas faire, pas plus qu’il ne le
laisserait se faire accaparer outre mesure par des activités ou études
�* caractère en l’occurrence pseudo religieux et psychologiquement
déstabilisateur; ses expériences en rapport �* la psychologie ne m’ont
pas mené bien loin, il est probable qu’il trouvera d’autres secteurs
ou formes d’activités pour assurer �* l’avenir sa subsistance.

* J’en reste �* croire que durant un temps de loftage �* la façon
sectaire voir terroriste on m’aura joué la déstabilisation, pour
tentative expérimentale de me mettre en trip et de me rendre
psychotique / de me faire analyser le psychotisme quitte �* me faire
constater tel par qui étranger �* cette affaire de loft ou par qui
complice, hostile s’il en fut c’est possible, Mais surtout et dans le
contexte d’une (conjointe) garde protectrice apparemment jamais
abandonnée je ne m’en suis et ne m’en émeut pas plus que ca.

* On m’a joué plusieurs semblants de guerres toujours plus vraies que
nature. De personnalité ouverte �* tout, par esprit scientifique et
analytique j’ai préfère m’en tenir �* m’amuser des situations ainsi
fabriquées et �* en extraire pour moi et le public ou les
professionnels participants distants des conclusions et apprentissages
constructifs et partager les conclusions même si issues de faits �*
priori répréhensibles ou aux conséquences potentielles qu’il
déplairait d’évoquer même si cela fut fait pour partie, parfois laissé
au stade de constats et de dénonciations sans plus de suites �* ma
connaissance, les codes de bonnes conduites civils et judiciaires ont
été déchirés dans ce contexte de loftage �* la façon du situationnisme,
j’ai été tant berné, utilisé, durant toute ma vie que je n’attend plus
rien de la part de qui a été trouvé dans toutes les analyses pour ce
qu’il m’a été fait; je ne suis pas le doux déficient qu’une secte aura
tenté de récupérer taxé d’acteur psychotique qu’il faut protéger ad
vitam en son sein, ils sont sectes et je les intitule ainsi pour
toutes les raisons évoquées dans ce document, si’ils parvenaient �*
manipuler qui pour que je retourne les côtoyer re- vivre le mensonge
et leurs faux sentiments je les dénoncerai ouvertement pour secte pure
et dure. Avec plus de cinq ans de retard sur mes projets de quitter
cette vie bourgeoise et capitaliste que je me refuse �* reprendre.

=====

* Suite �* la “pluie de neuroleptiques” évoquée plus haut, voulait-on
mon avis et réactions sur ce produit, quelqu’un voulait-il m’endormir,
m’hypnotiser, me mettre en trip, me déstabiliser par ce sketch et ce
situationnisme rapport aux scientologues que l’on me prétendait “en
guerre” contre ma personne surtout contre mon potentiel et en retour
de dénonciations d’agissements de quelques psychologues aux méthodes
que j’avais trouvé pernicieuses, peut-être ces personnages étaient-ils
scientologues je ne m’en suis jamais que pris, et bien annodinement, �*
leurs méthodes d’observation et d’étude d’autrui, rien de plus.

* Lier mes critiques �* l’encontre de la psychologie, du freudisme et
du doltesque pédologisme que je dénonce comme addiction d’une
bourgeoisie égoïste, �* mon passé de chimiqué psychologisé de force
presque légumisé au moins �* demi hypnotisé, �* des activités
prétendument de scientologues qui auraient pris la mouche contre moi,
�* ma connaissance ils étaient psychologues l’une ou l’autre fois
rencontrés que je n’ai pas désiré fréquenter et que j’aurai heurté par
quelque mensonge cyniques de ma part qui n’avaient d’autre but que de
les éloigner,

n’a �* mon sens d’autre caractère qu’analytique et autre but que
dés-hypnotisaton en me confrontant tout au long du loft �* des
situations extrapolées de ce que l’on m’a fait vivre entre mineur et
jeune adulte, extrapolées au plus haut point par fabriquation de
situations bien réeles même si en quelque sortes scénarisées,

rejoint �* mon sens le situationnisme

* et est partie intégrante de cette fabrication, récupérée par qui en
aura eu vent de par mes analyses dénonciatrices et tout au long du
temps passé sous surveillance. C’est une menace préalable �* ma prison
qui a été maintenue en évocation tout au long de mon loftage, que j’ai
trouvé comme volonté de qui, je ne le sais, de me faire vivre et de me
faire monter dans un trip qui aurait aboutis �* me faire déclarer
handicapé récupéré par de faux cinéastes dans un faux film.

* Le rapport �* l’hypnose de façon générale dans ma séquestration m’�*
été proposé - aura été invoqué par les analysants distants comme un
exutoire, elle aura été utilisée pour me remémorer, pour (me faire)
comprendre et expliquer ma vie passée, surtout mineur, celle-ci ayant
débouché sur ma presque légumisation au cours des deux décennies
durant.

* Rapport bien sur �* ma famille, dans une vie d’incompréhension
entouré de gens qui ne m’ont jamais parlé, que j’ai côtoyé en cercle
familial parfois augmenté d’instances médicales, tous ces gens qui
presque jamais ne se sont adressés �* moi d’autre façon qu’en
indifférence ou que s’ils cotoyaiant un déficient mental; �* savoir
qu’au final ils sont trouvés avoir été déficientaires, handicapeurs.

* Légumisé toujours prétendu malade et fatigué en lieu et place de
potentiel �* des études qui n’ont pu avoir lieu, conséquence directe et
concrète du dénigrement que deux décennies plus tard on m’amene �*
comprendre par l’analyse et �* relater dans le présent récit quitte �*
froisser un entourage disparu, caché depuis le début de ma prison,
ayant pété son dernier câble par mon expulsion domiciliaire d’une de
leurs propriétés immobilières.

* Dans le contexte de ma psychanalyse dont je dois soupçonner qu’elle
était alors via mon loftage donnée �* un certain public, cette famille
trouvée en secte démagogique avait été prévenue que me forcer �* faire
ma psychanalyse ne ferait que extérioriser le fait qu’ils m’ont fait
vivre en un semblant d’hypnose durant plusieures périodes entrecoupées
de prises de conscience prestement cassées par leurs silences et leurs
renvois de moi vers la psychologie et vers la psychiatrie; des gens
qui ne m’ont, passé l’âge d’enfant, plus jamais côtoyé volontairement
mais par contrainte sans jamais n’en avoir d’autre réaction que de
m’observer et de me reléguer au rang de presque handicapé ou
d’encombrant qui ne doit pas apprendre ni comprendre.

* Famille au patriarche menteur pathologique et injonctionneur de tous
les silences, famille qui au fil du temps s’est trouvée �* côtoyer qui
elle n’a plus voulu reconnaître autrement qu’en un légume écervelé.
Situation d’avant loft, plus personne ne s’est montré depuis, ce qui
n’est pas présage mais constat.

$ L’après mort du père de famille pourrait très bien faire reprendre
raison, conscience ou indépendance �* ceux qui ont constaté ma
progressive dégénérescence et trouveront dans la lecture de ces pages
explications et analyse �* ce qui leur est plus trouvé que reproché.

Coupé: Père Staline

Coupé; Déficientage

=====

VIPPO

* Depuis, révélée mineure beaucoup plus jeune que moi, on m’a
conseillé en ce temps de me faire déclarer handicapé, pour me protéger
- sans me le dire - de cette rencontre jugée inacceptable du fait de
son trop jeune âge et de la différence avec le mien bien que cela non
plus n’ai jamais été dit puisque personne ne m’a jamais fait part d’en
avoir pris connaissance mais, et connaissant ou non l’existence de
[dvc²] je ne le sais pas mais les deux prétextes etaient in situ,:
pour faire passer cette rencontre sous le compte d’une fantasmagorique
et prétendue déficience mienne; et ne pas chercher pour ne pas trouver
/ ou le temps de trouver, on me m’en a rien dit avant de me faire ce
loft, par qui et comment cette rencontre avait pu être fabriquée au
moins induite et pour quelles raisons, peut-être mise �* disposition de
[dvc²] et d’une bande de cons ou simplement comme viande taxée du
pire, ni ce que [dvc²] avait déj�* pu faire de moi, peut-être d’elle,
fille de qui, �* son insu obligatoirement, manipulée peut-être, elle
fille d’une personnalité d’une des plus hautes autorités parmis les
plus hautes sphères.

=====

Groupes d’intervenants

* Peut-être sept groupes de personnes augmentés (parfois incluant) des
arrivants en cours de loft sont-ils responsables ou inducteurs de la
création de ma prison loft trouvée par la suite, après enquête non
avouée telle �* moi mais présentée sous le jour de la psychanalyse puis
du situationnisme, d’abord du loft pirate hostile puis protecteur,
tout �* la fois pénitencier et protecteur.

* Les ensembles de personnes sont pour partie �* géométrie variable,
plus ou moins parfois se sont mélangés partiellement rejoints, le
lecteur ne pourra bien souvent s’y retrouver qu’au final de l’étude de
ce récit sachant que l’on ne peut pas divulguer, que je me dois de ne
pas permettre au lecteur de situer précisément, d’identifier, des
intervenants; ils ne seront jamais connus que de leur entourage
activiste ou témoin de leurs interventions dans ce qui nous aura
occupés, ou de �* qui ils décideront de dévoiler leur y présence jusque
l�* camouflée.

* Bien sur certains interviennent dans un contexte d’activités para-
professionnelles et ont collègues et supérieurs, il tient �* l’ensemble
de ces gens de ne pas dévoiler leurs activités, il est évident que
dans un contexte de clandestinité chacun aura pour responsabilité de
ne pas incommoder ses semblables, cela dépassant les rapports
hiérarchiques, débordant en communautaires.

* Si des groupes ou des personnes sont situables de par ce récit,
elles doivent savoir que la rédaction de celui-ci m’est imposée et que
nous aurons veillé �* tenter de ne dénoncer personne, que si le cas
existe de permettre �* des lecteurs de les identifier il n’est pas dans
les intentions de faire publier ce document [tant qu’on ne m’y
obligera pas ou qu’on ne le fera pas �* ma place] ni �* le laisser
circuler, du moins �* destination d’un public autre que celui ayant
déj�* eu vent de l’existence de cette affaire et qui sait tout, qui
sait tout de moi, qui en sait plus moi.

* Le cas échéant c’est une fois de plus la quasi totalité de mon
historique de vie et tout de ma personne qui seraient mise en place
publique. Bien que je commence �* en avoir l’habitude je m’en suis
toujours défendu, je l’ai toujours refusé, je ne désire aucunement
être divulgué. En cas de divulgation de ma part autre que par remise
de ceci �* des (ex-) proches ou autorités, dans ce cas non- censuré des
paragraphes barrés, je ne pourrais le signer en toute raison que de
mon pseudonyme Abekar ...

$ pseudo expliqué plus haut dans ce document, pseudo et document �*
partir duquel seules les personnes ayant déj�* connaissance de (tout)
ceci pourraient faire un rapprochement avec moi, mon identité, mes
ex-relations et ma famille - cela est depuis le premier jours du
premier loft, pirate ou pas pirate.

$ Il est idiot de ne pas comprendre que �* partir du moment ou une
telle situation a été extériorisée, est connue de quelque voisinage
qu’il soit, il est probable qu’elle le soit rapidement - donc depuis
très longtemps - de “Monde”. En évoquation de qui a prétendu me faire
“loft Monde”.

$ Réponse rapide et facile mais réaliste et dé- légumisante �*
l’attention de l’hystérique démagogie qui me voulait acteur. Ils sont
maintenant célèbres, peut-être, je le suis et en toute raison et refus
d’ingérence, de démagogie, de mythomanie, d’injonction surréaliste
devant faits accomplis, je m’y refuse et le dénonce et le dénigre. Je
l’aurais fermement refusé si l’on m’en avait parlé. On avait qu’�* dire
�* “Monde” que j’allais _peut-être_ devenir cette .. chose .. , LEUR
chose. Si c’est trop tard pour moi aussi c’est trop tard, j’aurais et
j’ai toujours refusé cette idée mais je suis célèbre quand même, le
fait est, j’ai été et suis placé devant l’accomplis, je ne m’y soumet
pourtant / donc pas.

=====

° Libre �* qui veut de se complaire de sa célébrité, j’assume la mienne
et ferai ma vie, par définition _Privée_, en privé, me réservant comme
tout le monde ma part d’extériorisation pour relations personnelles et
professionnelles. Je n’ai pas été et ne serai pas cette chose qu’on
nomme l’Acteur, je m’en défend ici et l’on me fait rédiger ceci in
situ pour ne plus avoir �* le faire après. Seuls de vrais amis
pourraient me récupérer pour ayant fait du cinéma ... blah .. blah ..
mais pas en tant qu’acteur. Ca fait quand même six ans qu’on me tourne
autour, quatre si pas bien plus qu’on me lofte, inclus des mois de
cassage de gueule au situationnisme et �* l’étude comportementale
jusqu’�* presque finir handicapé par séquelles du subis dans ce qu’on
voudrait faire passer pour avoir été le tournage d’un film ! On délire
grave chez la secte, mytho-démago toujours par procuration, jamais
capable de s’assumer, toujours �* se décharger et �* fabriquer la vie
des autres.

$ On oubliera pas que mon dernier “sketch” en la propriété familliale
principal lieu de ma prison devrait se bien- nommer “in the wall” si
l’on voulait en faire un film, en hommage �* tout le taggage et le
déchirage de murs derrière lesquels j’ai cherché le matériel ... avant
de me faire jeter, préalablement injonctionné par procédure judiciare
�* quitter les lieux.

$ Je fais aversion depuis toujours et toujours plus �* la divulgation
de ma personne et de ma vie, trouvée �* titre personnel en démagogie de
qui �* mon encontre, en parasitisme récupérateur intrinsequement en
abus - ils se cachent et prétenderaient .. �* récupérer le coup en me
bombardant beau, grand et fort, �* leur profit de stimulateurs alors
qu’ils sont insensibles, et dénonciateurs - fallas puisque sans objet,
de ma personne handicapée. S’ils sont choqués de ceci c’est dans
l’abstract et le progressisme qu’ils trouveront leur salut.

$ Retour de Psychanalyse, une contrée non- républicaine, antipodaire
de l’esprit binaire injonctionnel et colonialiste des ingérents de mon
psychique.

===== Les écritures n’ont pas toutes été séquentielles, l’ordre des
paragraphes et des chapitres pourrait être modifié, des redondances
pourraient être concisées.

$ Jamais on ne m’a fait savoir encore moins montré si j’ai fais
l’objet d’un film, d’une diffusion quelconque; le loft était
protection. Si film il y a eu il ne m’en a rien été dit, si quelque
bénéfice il �* pu rapporter je n’en percevrai le fruit qu’après ma
libération, on ne peut pas omettre de comprendre que personne n’est en
droit de faire bénéfice de l’utilisation cachée d’autrui, que m’avoir
fait ca pour enrichissement post-séquestration ne pourrait que se voir
rétorquer: que si je n’avais survécu aux cinq années passées c’est �*
titre posthume que j’en aurais perçu le bénéfice. Personne n’ayant eu
vent de cette affaire n’a jamais cru ni n’aurait accepté me voir
affublé du sobriquet de simulateur.

$ Cela dans le cas ou le cinéaste aurait vraiment été bandit
injonctionnant qui par sa fabulation situationnsite �* me voir finir
acteur; cela dit pour cet acharnement psychologique �* me faire
admettre que pour mille raisons dans lesquelles faire mon choix il
aurait fallu que je le sois; celle de mon choix se serait traduite en
celle qui m’eut envoyé me faire tuer par le papa de qui mineure qui
m’aurait cru me cachant par la simulation de moi-même ou tentant de
passer pour débile. Le cinéaste, lui, est-il un con ou un salop ?

$ De ce loft protectionniste analytique enquête de ses prémices je
retire satisfaction �* faire aversion aux mots “acteur” et
“situationnisme”, ignominies désignant pour qui légumes, pour qui
légumisants nababs auto- satisfaits, in situ une insulte, une mise
sous pression que j’aurai subis en vie réelle positiviste écolage
analytique mais simulacre cinématographique, exaction drill
psychologique;

$ harassante psychanalyse et analyse policière de ma vraie vie entière
rajoutée de ma question permanente de presque tous les instants de
savoir qui, comment et où se trouvent les coulisses et activistes et
témoins de ma séquestration, et celle de �* chaque instant savoir qui
fait quoi et �* quelles fins, pour qui ou �* la demande / �* l’injonction
/ quand pas et presque constament �* but de réhabilitation de qui;

$ harrassante solitude accompagnée d’invisibles et introuvables
correspondants parfois salops parfois tarrés parfois amis parfois
sketcheurs parfois analystes psychologues ou autorités, ou éminences
de quelles professions je ne peux que intérieurement l’expecter,
l’imaginer, le souhaiter, qui aura duré des années de chaque instant
de chaque jour sans aucune interruption.

Le(s) cinéaste(s) nous feront leur film

$ A charge du cinéaste qui ne mérite plus qu’on s’attarde in situ �* le
(faire) comprendre de (me) dédommager par l’absurde et en nature en
monologuant dans son prochain film sur son entreprise de me voir finir
acteur après ma peine.

$ Des imbécillités aux exactions ayant influencé, détruit et consommé
une partie de ma vie, autant avant que par le fait de cette prison
loft. Je suis en son enceinte �* payer toute la connerie humaine que
j’ai subie, inclus ce que je ne sais pas, inclue celle qui aurait du -
qui �* aboutis �* - me victimiser.

$ Qui �* fabriqué prémices aura quelques difficultés �* faire prendre
pour suffisance toute projection préalable de récupération, il a
induit l’inextricable - délibérément ou par imbécillité / par
inconscience.

=====

Comprendre, pas admettre

$ La constante invocation, par les intervenants constructifs, d’un
contexte psychanalytique sur lequel on a basé mon temps de réclusion
n’a pas pour but comme le dit la définition du terme de faire accepter
quoi que ce soit mais de comprendre et de tenter d’expliquer tout et
tout le monde impliqué inclus les in situ pour qui on se laisse quand
même �* déraper �* quelque psychologie vu le contexte en principal qui
fut ma protection, pimentée de drill, complétée d’écolage, devenue
épreuve dans une impossible subissance, cloturée - il faut l’éspérer -
par la rédaction tout aussi pénible et compliquée que son contenu.

$ Si d’aucuns sont violemment décrits c’est le plus souvent de façon
analytique, ils sont trouvés pour ce qu’ils ont faits et non pour ce
qu’ils sont; �* de très rares exceptions près par quelques
autorisations que je me fais de les insulter, rarement de les
agresser.

Subissance

$ La constante invocation, par les intervenants oppressifs, d’un
contexte accessoire de drill psychologique comme si ne suffisait pas
tout le reste du constant subis. Mettable en relation avec la notion
de punition, mais aussi (c’est une récupération) d’un désir
compréhensible de la part de plein de gens, de faire opportunisme de
ma séquestration �*, même si je n’étais pas faible avant, me voir plus
fort �* ma sortie; plus fort que l’ensemble du stupide, du mesquin, du
situationnisme, de l’hypnotique, de l’agressif, du .. dangereux qui
fut le contenu et le destructeur de ma vie passée;

$ de savoir en moi �* ma sortie un potentiel de résistance, acquis
sérurisant, rassurant, aussi cadeau - mais souvent constat - de ces
multiples écolages;

$ gardée �* l’esprit cette projection de toute potentielle - possible,
pas impossible - union civile avec qui fille de qui par évidence est
considérable d’être justiciable au moins en droit d’exiger pénitence,
par humanisme ou préservation d’accepter /de désirer cette part
d’écolage - ne pas oublier qu’on trouve moult cobayage -, il faut
percevoir et se satisfaire de cette équivalence.

$ Trouvé comme part d’écolage la complémentation de mes aptitudes �* la
dialectique analytique, en plaise aux acharnés participants co-
rédacteurs de ce document tous par évidence en profit, probablement du
résultat puisque tant participé, constamment accompagné, très
certainement de notre pratique du méthodisme aboutissant �* la présente
étude.

Insultes

* La seule insulte et accusation directe que je fais va �* l’encontre
d’un père prétendu mien, rapport �* qui je me suis cherché quelque
point commun qu’il soit sans en trouver aucun, et dont on me fait
comprendre et me soutient et m’explique en me faisant analyser notre
vie commune dans ses moindres détails qu’il aurait choisi avant ma
naissance de ne me faire vivre qu’un(), s’érigeant au summum de
l’abject il aurait choisi de ne pas faire naître mon jumeau; si ca
n’est pas vrais tout le reste l’est, de la chimio- lobotomie �* la
perpétuelle prétention de me chercher des maladies imaginaires,
inexistantes jusque dans quelque livre de médecine soit-il qu’il ai
été donné de lire �* qui que ce soit depuis la nuit des temps modernes,
d’aucuns sales et cons m’en trouveront peut-être dans ceci qui ne se
veut pas en être un.

* Dans le contexte clandestin de ma prison et de son contenu qui
dépasse et balaye les conventions et nombre de codes de bonne
conduite, extériorisé(e) de par leur existence même (le secret d’un
loft pirate n’est pas tenable, celui d’une prison domiciliaire loftée
ne l’est pas dans un contexte de loftage actif hostile non- déclaré �*
moi-même dégénérant en subissances et exactions), et leurs
débordements ne fut-ce que par le nombre d’intervenants et de témoins,
dans un contexte environnemental qui est le monde autour de notre
activité de (pseudo)situationnisme y pratiquée.

* Dans le contexte qui est que ma prison ne m’a jamais été dévoilée,
en contraste �* une vie paisible �* laquelle tout un chacun �* le droit
de prétendre et peut revendiquer sachant que nous ne vivons ni en
communisme, encore moins en stalinisme ni en esclavage ou sous un
régime de ségrégation ou d’oppression, dans un monde qui se veut / que
nous voulons libre et rassurant voir protecteur pour tout un chacun,
cela est dit car notre activité de situationnisme nous a fait vivre
des conflits réels par débordements comme le veut la théorie de ce jeu
psychologique qui se pratique en principe .. �* huis clos et dans des
lieux adaptés, pas �* domicile quand il est sujet �* débordements.

Coupé; *On serait bien �* mal ...

=====

Huit groupes d’intervenants

Dans l’ordre chronologique supposé de leur apparition ou intervention
on trouve:

* 1 des inconnus qui sont venus [dvc²] me tourner autour, chez moi, en
déplacements et au travail du moins �* ses alentours, par la suite ils
se sont situés en cinéastes désirant me voir acteur pour cacher leurs
faits, handicapé mental pour être les sauveurs de ma déficience et de
mon fabriqué ou prétendu passé d’accusé d’abus sur mineure; je n’ai
jamais manqué de les soupçonner pour leurs premières activités suivies
de ces loftages par de jeunes et cons commandités tels que jouant avec
un bout de viande dans son appartement loft pirate;

* 2 des loftants, ex-relations, supposés commandités par père de qui,
mais peut-être étaient-ils déj�* en activité avant leur relation avec
autorité père qui les aura commandités �* lofter ma prison loft;

* 3 ma famille devenue secte avant mon déménagement vers ma première
prison loft, suspecte et menteuse, silencieuse, elle s’est laissé
convaincre par les premiers que j’allais peut-être devenir Acteur, que
j’avais abusé de qui; elle �* donné ou s’est fait voler sans le
dénoncer un exemplaire des clefs de mon domicile puis de leur
propriété que j’allais occuper, elle n’a jamais reconnu ni tenu compte
des évidences que je lui ai présenté ni pris acte des questions et
demandes d’aide ou de conseils que je lui ai formulé; enfin elle m’a
fait expulser par voies judiciaires de sa propriété, ridicule studio
que j’ai occupé plusieures années et dont elle savait pertinemment
qu’il était une prison loftée;

* 4 un cercle d’inconnus dont m&s, m’ayant repéré d’une façon que je
n’ai pas mise �* jour, peut-être contactés, rencontrés, par qui
hystérique familiale aura (me dit-on) été de la suggestion de me
faire vivre une prison loft plutôt que de projeter un procès avec
probable prison �* barreaux �* la clef; Même avec l’aide de fille de
qui, eut-elle été �* mes côté, cela n’aurait suffit �* faire accepter
les faits, l’on aurait non plus pu éclairer les suspicions
d’entremettage et [dvc²] m’était alors inconnue, tout laisse �* penser
que cela aurait tourné très court avec condamnation pénale
probablement. Ce cercle d’inconnus a été concerné semble-t-il au
préalable de mon séjour de repos en milieu hospitalier qui �*
certainement été complémentaire �* l’étude de cette suggestion faite
par, m’a-t-on suggéré, ce membre interne �* ma famille mais qui ne
s’est jamais révélé;

* 5 voisins directs de mon appartement qu’on peut situer remplacés par
une sous-location et par une multitude d’occupants pour des périodes
de durée variables, pour partie des tarrés venus me lofter en
hostiles; ils furent au début, avant le retour de [dvc²], �* états
d’esprit et agissements multiples et se succédant dans une pratique de
lofts croisés, parfois se succédant en tranches horaires; je garderai
le bon ton de ne pas m’étendre en analyse et considérations de
personnes physiques occupants réguliers d’un logement privé qui leur
aura été quelque peu squatté en plus de l’incommodation supplémentaire
par la présence voisine de ma prison séquestration;

* 6 (psych-) analystes, intervenants du médical ou paramédical et
social, observateurs ou impliqués �* ma surveillance et �* ma protection
ou �* titre de témoins, d’observateurs impartiaux;

* complétés des publics inconnus et autres personnes ramenées �* la
concernance du loft par l’enquête “journalistique”, venus participer �*
ma psychanalyse, me réconforter dans l’inconnu total de ma situation
et me faire garder raison dans l’attente interminable d’explications;


* complétés aussi de groupes de personnes ayant pratiqué tests et
développement, études et drill de ma personne et de celle de bien
d’autres concernant [dvc²] et cette inventée méthode psychologique,
ses performances et son potentiel, des méthodes psychologiques qui ont
viré �* exactions de par acharnement �* étudier �* la fois les méthodes
et ma personne;

* dans ce groupe d’analystes on trouve une prétention suggestionnée de
me voir progresser par une sorte d’écolage distant dans mes capacités
d’analyses, mes capacités préalables ont fait que malgré les périodes
de chimio- thérapies et de relations abusives avec la psychiatrie j’ai
pu tout seul me remettre, jeune adulte, mener �* bien de post-études
pour rattraper une quasi inexistante scolarité, laisser des traces
dans les dossiers de l’administration en faisant valoir de mes
convictions et exigeant le remplacement de mes obligations militaires
par une prestation de substitution dans le secteur social, prestation
durement accomplie avant la reprise de mes études;

* on trouve dans ces groupes de personnes ou en marge �* la fois le
public étranger, le familier, l’indifférent et le protecteur, les
autorités mises devant un fait accomplis qui est celui de ma garde
dans cette prison d’un type nouveau en lieu et place d’une vraie
prison ou d’une injonction thérapeutique, on peut y supposer tout le
monde allant des autorités politiques, policières, judiciaires,
médicales, on y trouve la population ayant eu vent de l’existence de
ma personne et/ou de [dvc²], toutes les personnes intervenantes ou
non, �* buts analytiques de moi et de [dvc²] pour mon compte ou leur
compte personnel ou professionnel;

* on peut y trouver tout un chacun en observateur ou en témoin de la
chose que représente cette prison d’un type jamais pratiqué dont on
peut fortement douter qu’il sera reproduit un jour, du moins dans de
telles conditions de clandestinité et de subissance;

* 7 autorité(s) dont père de qui, lui-même de profession de
l’Autorité, accompagné ce n’est que supposé, �* titre inconnu et
strictement confidentiel de ses propres collègues, de ses relations et
plus probablement de groupes de personnes ou institutions ayant eu �*
craindre de l’utilisation qu’il pouvait avoir été faite de [dvc²] en
marge ou en parallèle de celle qu’il en fut faite sur moi;

* ils auront traqué et questionné les premiers utilisateurs, enquêté
sur mon compte concernant les manipulations dont j’ai pu être (par
évidence) victime en ma vie privée ou professionnelle, l’une
obligatoirement proche de l’autre bien que j’ai toujours tenté de
scinder les deux, et de fait mes derniers temps de travail ont été
parsemés de doutes et de constats d’éloignement de la part d’une
partie des membres du personnel de mon employeur;

Coupé: $ le père de qui aura découvert que

* 8 on peut situer un huitième ensemble de personnes: les intervenants
situationneurs, les drilleurs, les développeurs.

* Les situationneurs (me) l’ont joué mais l’ont aussi vécue �* la façon
d’une guerre, ils ont joué le situationnisme de deux façons
entremêlées, tout comme le jeu militaire dont le terme est issu; qui
consiste �* faire croire ou �* suggestionner, �* suggérer aux
participants une situation possible, probable, ou totalement fictive
et imaginative. Dans la vraie vie que nous vivons de par ma prison
loft il y eu moult débordements, de par ma subissance extrême et
extériorisée �* un large public par téléconférences mais aussi par
effets de voisinage.

* D’aucuns du public se sont ainsi attachés �* faire baisser, �* tenter
de stopper la pression qu’il m’était donné de vivre, sans échappatoire
puisque vivant chez moi, seul, menant une vie ordinaire comme tout un
chacun mais sans personne �* qui demander quelque explication qu’il
soit sur ce qu’on me fai(sai)t vivre, prison et situationnisme, drill
�* la psychologie comme recherches de vérités sur mon passé proche ni
mes questions de savoir ce qu’il en est ou en a été si elle ne se sent
plus concernée par moi de qui fille de qui (que je me refuse �*
désigner autrement dans ce récit);

* incluant aussi quelques exacteurs trouvés tels de par leurs abus
limite psychopathes et staliniens dignes d’une psychiatrie
rééducatrice par la lobotomie et l’exaction psychique et
intellectuelle rajoutée d’un accaparement constant occupant chaque
instant perpétuellement ce qui a pour conséquence de quasiment
empêcher toute réflexion non initiée ou accompagnée voir entièrement
menée par les intervenants.

* Les premiers tentaient de penser pour moi, ce qui peut fonctionner
dans une certaine mesure, surtout sur qui ne sait rien de ces
agissements sur sa personne. A la fois imbéciles et sales, ils ont
depuis été rattrapés par les autorités et par la population devenue
témoin.

* Il en est suffisamment pour m’avoir étudié et analysé et d’une
certaine façon côtoyé via cette prison-loft, pour d’autres maintes
fois par voisinage ou dans mes déplacements, pour savoir que je ne
suis que victime d’une machination de petits bandits; voir de gros
nazes de services secrets qui auraient voulu m’enrôler dans des
activités [dvc²], prévisionnant mais on ne peut qu’en douter - de me
les révéler, si fille de qui n’était apparue dans ma vie, cela
contrariant leur projet d’étude sur ma personne mais qui fut perpétué
durant le loftage passif par qui aura découvert, mais comment, leurs
activités �* moins qu’ils ne se soient dénoncés, perpétuer par du
loftage ainsi re- débuté un an plus tard dans un appartement propriété
familiale devenu mon domicile, suite �* une apparemment organisée
chasse de chez moi pour m’éloigner géographiquement, en profitant car
sachant qu’un point de chute m’était disponible en cette propriété
pour me rapprocher d’intervenants de la psychiatrie et de la
psychanalyse, faisant bonne coïncidence avec le fait que je revenais �*
mes origines géographiques quittées pour raisons professionnelles une
petite dizaine d’années auparavant.

c'est pas fini la suite dans le 5.
 
 



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