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![]() On met pas les gens dans un loft pirate demi-prison demi-crapuleux (car les propriétaires se bouffent la geule ou se mentent entre eux et mentent publiquement -tant que ca marche-) pour y faire anti-prison anti-psychiatrie (en réalité: Frigo) psychanalyse purement policiere d'une vie d'empoisonnement et de bourrage de crâne, pour elucider des loftages crapuleux précédents qu'on a d'abord prétendu volontaires -les gens mentent TANT QUE ca marche tant qu'ils le peuvent - et pour cause avant d'être une prison mes domiciles ont été loftés par des crapules par caméras thermiques ou non, radio-transmettrices ou autres et d'autres trucs éléctroniques audio-récepteurs bien plus pervers pseudo-hypnôtisants réelement manipulateurs, ceux qui savent savent. On joue pas avec des clefs subtilisées pour aller fourrer de la coke, et toutes autres crasses dans la bouffe et dans café des gens pour prétendre après être copains ou famille bienveillante. Voil�* pourquoi cette prison protectrice s'est transfomée en crapulerie _pseudo-analytique, analyse purement et toujours policiere, avec ma vie dedans qu'on saloppe Qu'on Aggresse et qu'on LABORANTISE tous les jours pour en remettre sur son compte et venir s'en faire expliquer/psychanalyser/excuser pour assurer les autorités qu'on va pas se faire flinguer par �* qui on l'a fait. Réponse aux autorités: les quelques vraies crapules nomément trouvées dont on a démontré les crasses et que je et que l'On sais les avoir faites - pour les autres on verra après quand on me dira qui a fait quoi du pire du reste- se voient suggérer de balancer leur milice ainsi formée aux pires des perversités salissantes et manipulatrrices sur un payx en guerre: ils ont pas JOUé �* la guerre ils me la font depuis le debut pour que je doive les en accuser, les charger un maximum d'aggressions et de faits _réels et pires que dingues, et les assurer qu'ils se feront pas flinguer: ils sont pervers et colonisateurs, ils n'ont qu'�* aller construire un kibutz en israel et faire le style guerere qu'ils ont appris �* faire .. aux arabes ou aux palestioniens, on verra combien de temps ils _survivront, combien de temps ils leur faudra pour attirer les pires _représailles �* leur entourrage, par une guerre des pierres une de plus ou enfin des sol-sol iraniens ... ! Ca n'est pas autre chose que ca cette histoire de situationnisme, il s'agit de l'intrapolation? (le contraire de extrapolation) d'une vraie guerre psychologique éléctronqiue �* multiples clans croisés dont beacoups sont des vrais fous, des malades pervers répugnants dont ON NE SAIT PAS ce qu'il leur faut: de vraies guerres TRES CERTAINEMENT pour les calmer, tout comme comme Hitler qu'on a pas cru -c'était trop gros- quand il a annoncé son _Projet d'exterminer les juifs - c'étaient pas forcément les mêmes que les sio^nistes. Pseudo film tentative de perchage qui dure 24heures durant des années, qui si elle est dénoncée et trouvée et _démontrée pour ce qu'elle est pose un problême �* qui la (l'a) fait(e), oui mais ceux qui l'ont fait sont des crapules et des empoisonneurs aux neuroleptiques et aux anxioliques, leurs complices de crime qu'ils ont bernés / qui les ont bernés - tous ces gens qui ont fait bonne opportunité, bien sur ca part dans tous les sens et ON est sencé trouver tout et tout le monde CE QUI A ETE FAIT ! sinjon y rester l�* on sait pas pourquoi ... date de marriage, date de libération de egns qui participent et sont il faut le croire des prisonniers de droit ciommun ca commence �* aller ces conneries HEIN ....! On leur �* théorisé la guerre �* l'éléctronqiue en se la faisant purement et simplement faire �* n'en plus finir: une guerre ce se fini au sol-sol et aux attentats, il vont finir par le comprendre. Guerre et personnages incriminés, instigateurs ou participants dont ont refuse d'admettre LE CARACTERE STRICTEMENT DELIRANT, volontaire et dégueulasse, PAS EXPRIMMABLE. Sales et crapuleux dont le jeu est de se faire expliquer, analyser, sinon menacer de se faire flinguer pour des faits bien réeles et concrets: aggressions, schyzophrénie volontaire �* n'en plus finir, lavage de tête, PUR cassage de gueule �* l'éléctronique. ON EN A MARRE DE VOTRE ELECTRONIQUE. ET NON ON VOUS EXPLIQUERA PAS PLUS CE QUE C'EST. C'est le désir des premiers fransquillons qui ont ramené le truc, c'est de faire balancer tout le plus loin possible pour repartir après avec un film sous le bras: un pays naze qui joue la guerre psycho- avec le matos sous le bras: elect et enregistrements. On vient pas avec un rebus en debut de psychanalyse pirate �* travers domicile loft pirate et donc ces gens cachés, autorités psy et/ou complices d'une famille tarrée bouffée par des connrires qu'elle a lu dans freud et dans dolto, [voir message suivant: avis de suicide de l'éducateur d'IPPJ), demain ou apres-demain ...] on vient pas avec un rebus dégueulasse qui est de dire "il y en avait deux" pour des années plus tard ramener sa crasse et donner le reste: "il n'en voulait qu'un �* la fois", sous entendu évidemment le pere qui ne voulait pas de jumeaux ... BEN IL LES A PAS EU - entk je sais pas ce qui est arrivé �* l'autre./ POINT BARRE, sales psychologistes sales légumes et menteurs légumisateurs. Qu'ils arrêtent l'insulte �* me répéter que je serai l'autre et que sinon c'est MOI qui aurait vécu dans leurs lofts et leur prison pirate - parce qu'on leur demandera ce qu'ils ont fait du premier, MOI, dans quel asile ont-il prévu de me faire finir ? Probablement dans des QG de situationnisme pour analyser le terrorisme et des délirants finis .... on verra bien quand ils m'auront délivrés. Jusque l�* on est plusieurs �* se demander -et il faudrait pas l'écrire car tant que vous ne l'avez pas lu vous l'avez bien sur pas compris pusiqu'on vous l'aura pas dit (c'est le fil rouge stupide et sale con de cette merde pseudo-situationnisme para-analytique : il faut toujours TOUT dire sans ils refusent de comprendre que Tout le monde a compris !) dans l'esprit des legumisateurs, je vais vous le dire quand même pour les r é v e i LLER PUTAIN ! !! ! ! ! - donc .. �* se demander ce qu'ils en ont fait: ils l'ont étouffé au berceau ou ils l'ont donné en adoption ... c'est pas possible de faire trois gosse et de donner le quatriemme, et de foutre son gosse dans un loft prison pirate pour qu'après il ait été ACTEUR de sa propre vie, P U T A I N va, il faut les secouer ces gens, c'était c'est leur conception de la psychanalyse et leur désignantion de qui en avait sois-disant beosin salops va, "eux tous sauf moi" était la bonne réponse qui leur a toujours été donné depuis le toujours. Maintenant MANGEZ VOS LIVRES DE FREUD ET DE DOLTO. Maintenant MANGEZ VOS LIVRES DE FREUD ET DE DOLTO. Pendant ce temps on (qui le veut, tout qui �* qui on n'a pas dit les choses) a cru qu'en hypnôse ou sous chimie le prisonnier décrété handicpapé mental a rencontré deux fille sans s'en rendre compte, deux soeur, surement dans leur délire y avait-il une mineure et une pas, bien evidemment que non, c'est bien essayé mais si vous avez suicidé la princesse il va falloir passer au confessionnal, et comme le reste: faites �* distances, vous êtes bannis, maudits. Porte de sortie: tu te mariera avec une autre ! Il faut croire que la princesse est PAS d'accord ... OK ? Ils auraient pu faire un marriage blanc avec une autre sinon ... et laisser ceux qui auraient voulu mentir �* qui ils l'auraient voulu. Social-communites qui ont __décrété__ quelqu'un ACTEUR et l'ont offert comme �* des agents qui sont venus faire un film avec une production démentielle, cad. _innéxistante_ si ce n'est _truffage éléctronique de ses domiciles (d'ailleurs jeté �* la rue deux fois pour le faire déménager etc ...): on le regarde, on lui joue situationnisme - mon cul on lui fait psychanalyse: ET PUIS ON VERRA BIEN. Sales délirants va. C'est ca le film qu'on est venu vous faire sous couvert ou récupéré en situationisme. Situationisme: étude de la vie et de la guerre au cour de sa pratique: au cour de la vie et de la gyuerre. ++++++++++++++++++++++++++++++++++ Ca va maintenant ce pays, vous pouvez arrêter le délire ! ++++++++++++++++++++++++++++++++++ Je relis plus, j'écrispas pour tout seul, merde il y en a maarre ... tout le mon,de �* comrpiSa zfhigdgrqesdf:m;,nbvcksd,tjkldblm. ^m 4) ca leur a pas suffit, ils ont refusé tout ca, 4ieme partie: ne doit pas être plus précis: * Dans cette fabrication, dans ce situationnisme de batailles, je suis le protégé, préservé d’un enfermement judiciaire et �* la fois de qui aurait (eu) griefs �* mon égard, rapport aux tout premiers qui ont joué et auront mis du temps �* être découvert, �* s’expliquer pleinement de leurs activités. Rapport �* qui ensuite aurait induit rencontre peut-être �* mauvais escient (de me voir finir en prison pour abus sur mineure) et enfin aux troisièmes, fussent-ils des premiers qu’ils auront eu d’autant plus de choses �* cacher. ne doit pas être plus précis: * Cette tentative voir cet amusement de me déficienter, ajouté / suivi de loftage actif agressif, et de quelques autres fabrications abjectes et dégueulasses qu’on aurait ensuite voulu camoufler par une prétendue activité de cinématographie dont j’aurais été l’acteur, acteur en termes de cinéma, volontaire ou volontarisé. * Da ma prison je suis libre - et contraint - de sorties ne fut-ce que pour mes fournitures et mes formalités administratives, je suis aussi séquestré dans cette constante permanente et quotidienne depuis longtemps téléconférence active accompagnatrice de chaque instant des 24 heures de chaque jour, depuis plusieures années au moment de la rédaction de ce récit, je suis aussi séquestré dans l’organisation ou le constat de ma paupérisation. Depuis longtemps sans plus de moyens financiers que pour m’assurer subsistance, je vis du strict minimum. * Enfin je suis prisonnier du bien fondé de ma relation avec qui alors mineure dont l’on me soutient depuis que le loftage est effectif que je pourrais être amené �* la retrouver après ma “libération”; le cas échéant que j’aurai par cette peine été punis - d’une relation de quelques jours ou quelques semaines -. Ca a toujours été pour moi non pas une hypothèse mais une évidente probabilité, peut-être m’attend-elle injonctionnée �* ne pas se montrer et entourée de qui me lofte en protection, cette partie des intervenants qui ne font pas de situationnisme mais qui me font attendre ma sortie et m’aident quelque peu �* supporter l’ensemble des autres participants non complaisants; * prisonnier aussi de mes questions auxquelles personne n’a jamais prétendu s’intéresser encore moins me répondre, concernant �* la fois qui précitée, et ce loft (ces loftages) dont il m’aura fallu plusieures années de réflexion pour dater et retrouver les premières activités et au sujet de laquelle il apparaît aussi qu’on a pas voulu tout savoir trop vite; * on a fait durer les chose, ce faisant des événements ont été oubliés, puis rapportés ou retrouvés par analyses recoupantes, par hypnose remémorante, par réflexion des mois durant, par des aveux probablement, ainsi que par étude des backups d’activités et de mon pistage et manipulations préalables �* ma rencontre incriminée, complémenté de la cinégraphie plusieurs fois en son domicile plusieurs fois en le mien alors ma propriété, du temps passé avec qui, incluant le trouvé réprimandable. * Et donc est constaté �* charge des premiers observateurs mes suggérés amis le fait répété de pédo- cinégraphie; d’intrusion domiciliaire, en résumé de doux- banditisme; on nous a, me permet-on de comprendre, filmé �* de multiples reprises, ces enregistrements ont été retrouvés et m’ont été précisément évoqués, relatés par détails des plus précis, ils contiennent la totalité des faits incriminés; s’ils existent ... * Assurément c’est pour toutes ces raisons entremêlées que l’on ne m’a jamais clairement informé de cette réalité qu’est l’existence de ma prison: �* la fois pour trouver tout et tout le monde, pour faire passer ma peine ou pour attendre la majorité [non plus sexuelle(cet humour m’est suggéré)] mais civile de qui, et me faire vivre ce semblant de guerre au situationnisme, typiquement un jeu militaire psychologique consistant �* suggestionner une réalité et �* inviter les participants �* réfléchir et �* s’exprimer, placés quand c’est un jeu en situation fictive. Mais dans notre contexte nous n’étudions quasiment que des faits réels et des hypothèses amenant �* recouper, �* trouver, �* démontrer, �* expliquer, le passé, ajouté du présent. [si nous jouions au situationnisme l’énoncé en serait: une téléconférence imposée in situ d’un loft prison pirate] ===== Staline, stalinisme * Ma famille �* manqué de me détruire en me déficience par faits de psychologisme de psychiatrie et de chimiothérapies légumisantes et lobotomisantes, hypnotisante dans le sens où elles ont aboutis �* me faire non pas comprendre mais rester - et vivre - sur le constat d’un dénigrement, d’une quasi garde domiciliaire de ma personne étant mineur. * Pour ainsi dire je vivais dans un loft vaquant comme bon me semblait mais sous la surveillance, plus que en vie commune, de membres familiaux qui m’ont perpétuellement cherché des maladies et laissé supposé �* leur entourage que j’en serais porteur, victime; j’étais prétendument toujours malade ou fatigué, en fait je vivais entouré de silence et de non-dits, le fait de personnes trouvées plus tard comme menteurs pathologiques devenus paranoïaques et staliniens, de personnes qui m’ont depuis cette période toujours considéré pour déficient psychique ou mental, ne reconnaissant jamais mener / avoir mené une vie de silences exacerbants. * Toute ma psychanalyse faite - presque une année durant et quasiment non-stop, bouclante et redondante - sans plus de complaisance que la bonne foi ne l’imposait s’est trouvée toujours et sans cesse aboutir points après points �* ma décharge et souvent �* charge de personnes historiquement dénigrantes aujourd’hui accablées des faits trouvés et reprochés. Ils avaient été prévenus qu’il ne fallait pas me la faire, ils l’ont immiscée et induite en toute cachotterie, ils se seront ainsi fait faire la leur. * La fin d’un rébus égrainé et de son analyse progressive, dont la seconde partie énoncée tout �* la fin, boucle le jeu de piste psychanalytique qui dure depuis plusieurs années dans ma séquestration, est l’affirmation métaphorique qui vient suggérer que mon père ce Stalinien aura refusé de voir naître des jumeaux et que je serais le rescapé de cette ignome décision, paranoïaque mesquinerie psychopathe d’un devenu menteur pathologique. * Le rébus m’a été soumis en ces termes: “il y en avait deux”, suivi de “il n’en aura qu’un �* la fois”. * Entre ces deux bribes se sont incrustées plusieurs informations dont j’avais connaissance de par mes observations, d’attitudes et de bribes de conversations passées; laissant paraître pour qui membre de ma famille un manque traduisible par une absence, de quelqu’un dont on cita même le prénom qu’il n’a pas porté s’il n’est pas né, qu’il porte ou a porté dans le cas, mais analytiquement trouvé non probable, où il serait né; bribes de débuts de conversations de suite et abruptement closes par le père paranoïaque. * Déj�* supposé cocufié, qui ne serait donc pas mon père il aurait fait supprimer par soucis matérialiste la moitié résultante de ma conception: moi surnuméraire je serais en plus le rescapé d’une double fécondation. Si �* sa mort il n’a toujours pas parlé j’annonce �* qui l’entend que sur sa tombe je pourrais aller graver la question “Staline - cocu - a-t-il tué le foetus de mon jumeau, son second beau-fils ?” * Mais, comme pour corser, le doute m’a été laissé qu’il eu s’agit pour la première partie de ce rébus d’une suggestion visant �* me faire croire ou admettre que sous l’effet d’hypnose et de produits et ce in situ des circonstances d’alors [dvc²] j’aurais rencontré et pu avoir relation, en quelque sorte �* mon insu, avec deux personnes différentes, fille de qui prenant aux premiers faits incriminés la place de qui d’autre, qui d’autre n’a bien sûr jamais existé, il s’agit de situationnisme psychanalytique. * On m’en a suggéré une autre d’acabit non moins grossier, qui était l’affirmation comme quoi j’aurais, mineur, violé ma soeur. Dans cette hypothèse on devrait commencer par inverser les rôles et profaner qu’elle m’aurait abusé, ensuite et pour en finir tout de suite je n’ai aucune bribes de souvenirs de tels faits, tout ce que je peux dire est qu’en la période suggérée elle emplissait ses armoires de publications encyclopédiques sur le sujet du sexe; abonnée �* un mens(tr)uel littéraire et très photographique détaillant au fil des épisodes tout le kamasutra, illustré par un couple d’acteurs photographiés dans les poses sujets d’études, photos qui ne laissaient pour seul doute au lecteur que de savoir si oui ou non les acteurs pratiquaient pénétration. Hystérie, sectarisme, mensonge pathologique et mégalomanie +++++ �* rédiger court, seconde familles royale (+ loin) Loft * En parallèle d’un temps mort passé dans cet appartement durant lequel on m’a laissé tout seul sans communications, sans loftage actif ni accompagnement, sans rien d’autre que quelques anormales manifestations de voisinage qui semblaient quand ils laissaient passer quelques bribes de conversations, s’intéresser parfois plus �* ma vie qu’�* la leur, ce que je considérais comme déplacé et l’intérêt d’un voisinage indiscret. Période durant laquelle je passais le plus clair de mon temps �* consulter Internet et �* participer sous anonymat �* quelques conférences technologiques et psychanalytiques avec un intérêt mesuré mais me doutant que quelques uns tout aussi camouflés que moi s’adonnaient �* la pratique d’analyser par métaphores, jamais en clair, ma vie passée, conversations entremêlées de discussions sur tout et rien comme il en est coutume sur les fora. * En parallèle �* ce temps mort quelqu’un faisait enquête sur moi, tracant ma vie de fond en comble, suite �* quoi et durant près d’un an pour situer grosso modo la durée des discussions psychanalytiques l’on me présenta méthodiquement, plus ou moins chronologiquement, chaque fait de vie, chaque personne, chaque situation, que j’ai pu vivre ou rencontrer tout au fil de ma vie, plusieures décennies ont ainsi été relatées sans que plus que rarement ce ne soit moi qui amène eau au moulin de cet interminable et méticuleux déballage de moi et des personnes rencontrées depuis tout temps. * En plus du fait qu’un membre proche ou interne �* ma famille �* remonté �* la façon journalistique ma vie entière il dut y avoir extériorisation de ma situation pour que autant de gens et de faits soient évoqués ou relatés, de quelle façon a-t-on fait cela, le plus probable est que chaque personne contactée aura amené son lot de relats et de personnes ayant eu �* me côtoyer ou �* me rencontrer durant les décennies évoquées; [je ne trouve pas le déclencheur de cet agissement, de ce sauvetage psychanalytique] * sans que jamais je ne puisse me rendre compte que par exemple un appel aurait été lancé �* tout qui m’aurait connu au cours de sa vie pour être invité �* participer, sans que jamais personne ne me contacte ni ne m’avoue lorsque moi je contactais quelqu’un ce qu’il en était de ma situation et de ce que l’on avait pu leur en dire ou les questions qu’on leur aurait posé, l’invitation qu’ils auraient reçu �* participer. * A la façon de journalistes quelqu’un �* donc réussi �* tracer ma vie sans que jamais je ne m’en appercoive, pendant ce temps l’on me pistait en extérieur par le truffage de ma voiture; un jour un suiveur m’a maladroitement révélé sa présence sans se laisser plus identifier que dans un doute qui ne m’a bien sur jamais quitté. Il s’agissait de la suite ou de prémices �* un loftage par d’ex-fréquentatiosn qui m’apprirent plus tard me lofter en vue de me voir revenir en leur sein, de ceux qui sont trouvés soupsconnés [dvc²] aux tout prémisses. Sinon s’agissait-il tout simplement de jeunes flics qui auront voulu me signaler leur existence. * Je n’en ai jamais beaucoup tenu compte ayant déj�* conclu au préalable que ma voiture avait été truffée de quelques babioles électroniques comme, très probablement, un gsm �* réception automatique, un gps pour me localiser et / ou des caméras radio endoscopiques ou dôme jamais découvertes dont quelques bribes d’interventions vocales maladroites ou / puis volontaires m’avaient laissé supposer la présence; interventions probablement via un gsm avec ou sans micro-enceinte ou repiquage vers les enceintes de ma voiture dont le circuit d’autoradio n’a jamais fonctionné correctement ce qui étayait mes doutes sur un piratage par un sauvage bricoleur. * Devant cette certitude de truffage de chez moi et de ma voiture j’ai toujours conclus que je pouvais chercher aussi qu’il me plairait, je ne découvrirais peut-être jamais le matériel, moi-même bricoleur et plein d’imagination je devançais toute exploration par la réflexion que soit j’arriverais trop tard pour mettre la main sur le truffage, soit il serait si bien caché ou camouflé que je le découvrirais pas. A refaire je ne désosserais pas ma voiture pour y chercher du matériel pirate, j’en changerais; d’ailleurs �* l’avenir je me contenterai de locations pour me faciliter la vie. * Conclusion, j’ai laissé faire, devinant que quelque chose clochait dans mon proche passé et qu’il ne pouvait s’agir que du sujet de cette rencontre avec qui mineure et fille de qui; j’attendais que quelqu’un se manifeste pour m’expliquer la situation, vivant quotidiennement aussi lors de chaque déplacement cette certitude d’être au moins pisté, il s’est avéré que j’étais en plus minutieusement épié. ===== N’a pas existé * Ceci n’est pas du vécu, ne doit pas avoir existé, n’a pas le droit d’avoir existé, ce n’est ni littérature mais analyse, ni roman puisque tout est vrais, ni science fiction puisque tout est réel et que nous y sommes, ni délire nous sommes tous normalement constitués et conscients, même pas drogués ni même pour ma part de simples pétards que par manque d’argent je ne peux plus me procurer que très exceptionnellement, ni imagination ni fabulation, ceci était une guerre mais je ne l’ai pas vécue je l’ai subie. J’étais le prisonnier, comme un juif dans un ghetto en 1940 �* qui l’on vient en SS casser la gueule par plaisir ou commenditation, chez qui on vient périodiquement mettre le feu, qu’on salis et dénonce auprès de son voisinage, qu’on tortionne pour expérimentation, qu’on séquestre pour mieux recommencer, ad vitam, comme �* la guerre et sans échappatoire. Père-Noël * Ils m’ont lofté par un pièce mitoyenne de mon studio acoustiquement pas isolé, presque amplifié de facon naturelle par la qualité excecrable des matériaux de construction et / ou artificielle par le déjointoyage, ont-ils creusés ou perforé les matériaux pour parfaire la communication, au début du premier loftage purement pirate et hostile en voisinnage, aérienne et phonique. Peut-être déj�* visuelle par leurs intrusions dans les vides techniques. Expulsion domiciliaire * C’étaient des malades d’une pathologie inconnue, de ceux que l’on attrape lors d’une de leurs visites �* la façon du père-noël, que l’on attrapé pour leur faire le coup de Pulp-Fiction: séquestration et punition avant de les livrer �* la justice ou �* la psychiatrie, ou simplement de les abandonner. En réponse trois ans plus tard �* cela et �* ses suites ce studio �* été entièrement ravagé, taggé et gravé pour y écrire l’accusatoire contre les membres de la secte, leur chimie et les pirates m’ayant lofté en hostiles, pour dénonciation de mon expulsion sans que rien ne me soit divulgué de toute ma prison vécue l�* jusqu’�* cette date. Dans l’inconnu le plus total, dans la crainte de ne voir jamais dévoilée ma prison j’ai séquestré l’appartement en garantie de sa future dénonciation, �* la fois en vendetta du fait que tout le monde inclus famille savait et que celle-ci purement et simplement m’expulsait. * Le serrurier intervenu après mon expulsion - procédure judiciaire �* mes frais, le fait de père Staline - �* pu constater que le studio sois disant mis en vente n’allait pas l’être de si tôt; on aurait pu me demander les clefs, tanpis pour le propriétaire et les salops m’ayant lofté en prétendus amis mais ne s’étant jamais montré et n’ayant eu aucunes limites dans la connerie et dans l’abject. Je n’ai pas d’amis pour me faire ca, des gens pareils n’ont pas d’amis. * Protégé par l’existence du non- dénoncable ni réparable laissé sur place, j’attendrai et finirai par savoir de qui il s’agissait, par aveux, dénonciation ou par constat d’absence de communication le jour où ma prison, déplacée par ce fait d’expulsion domiciliaire, sera fermée, en son nouveau local, un studio loué dans le privé. Il doit parraître évident mais le situationnisme maintenu est que l’on ne me permet pas de le comprendre, que l’on me sortira d’ici dans peu de temps pour une destination inconnue, ma vie re- deviendra privée. * En ce moment de rédaction, déplacé depuis près d’un an vers un autre logement, mon domicile actuel. A la différence du précédent je paye le loyer au prix fort du marché, la secte ma famille pensionnée pleine aux as ne s’émeut pas de ma paupérisation. ===== Un Avion * En milieu de nuit un avion petit cargo ou militaire tourne en rond au dessus de la ville, une dizaine de fois, il est peu probable qu’�* cette heure il y ait eu engorgement des aéroports civiles ou militaires de la proximité. Le bruit des réacteurs, le chemin circulaire parcouru �* la verticale des zones les plus habitées de l’agglomération, la multitude de ses passages �* une fréquence régulière, est-ce un avertissement �* une ville �* qui on ferait film (cf. cette idée de la secte de me faire vivre dans un film) ou est-ce du sketch, sont-ce comme suggéré des scientologues ou “les américains” ? Humour rapport �* [dvc²]. On ne peut pas ne pas penser �* une tentative d’intimidation sur la population, par une méthode qui se rapproche de l’hypnose, on ne peut que penser aux plus faibles, aux plus impressionnables, ne fut-ce que par le fait de l’heure tardive �* laquelle presque tout le monde dort, beaucoup auront été réveillé par ce manège pour le moins étrange. Il est interdit de mener telle pratique aérienne, les avions en attente ne restent jamais sur la ville. Acide neuroleptique, pluie d’ -. * Le lendemain et les jours suivants, pour faire croire peut-être dans le contexte de tout le délire situationné d’une guerre des scientologues et cette idée de pluie de neuroleptique qu’on m’a si bien suggérée, les pharmaciens et, on ne peut que les supposer tels, les pères et chef de familles d’enfants turbulents se sont débarrassés sur leurs trottoirs de leurs fonds de fioles ou de stocks (non, ce n’est pas de l’avion qu’a été jeté ce produit chimique, imbéciles cons prétendus cinéastes qui auront voulu (m’)y faire croire) de l’un des plus terribles produits pseudo pharmaceutiques et chimiques, un acide neuroleptique - parfois mêlé �* l’eau de lavage des dites officines, acide connu de moi car utilisé par père Staline lorsque que j’étais mineur et encombrant. * Quand il s’agit d’acide l’odeur ne trompe pas, elle est puissante et reconnaissable entre mille; un autre acide a été utilisé �* mes dépends peut-être (pas) �* seules fins de tester mes réactions au cours de ce loft, de l’acide trip, un de ceux qui mettent la claque et speedent tout �* la fois, lui aussi est repérable, par tout un chacun aussi facilement qu’un chien détecte la présence de drogue tellement l’odeur en est forte. * Ces produits sont très volatiles, une goûte suffit �* ne pouvoir en rater la présence. La molécule olfactive de (en tout cas de ces deux l�*) ces acides est la molécule active, en percevoir l’odeur indique qu’on a inhalé de facto le produit actif et qu’on risque d’en subir les effets, ici neuroleptique de rigidifier, de rendre comme du carton les nerfs et les muscles dont les mouvements deviennent saccadés et non- plus fluides, l’action cérébrale est sensée retirer toute envie de se mouvoir et amenuise activité cérébrale et réflexion, le blocage, le figement neuro- musculaire doit être contré avec force et volonté de la victime (donc en principe la personne médicalisée et prétendument médicamentée) qui déciderait de ne pas rester fixe au lit ou dans un fauteuil tel un amorphe légume. * Quand il est “consommé” comme dans l’exemple vécu cité ici en terrorisme et dans la rue, de façon générale il convient simplement d’en avertir et de rester entouré de qui proche ou familiers, au besoin services de secours ou de protection et de patienter tout en essayant d’expliquer qu’on est probablement victime d’empoisonnement �* l’acide, neuroleptique ou autre semblant de trip pseudo pharmaceutique. Si trop pris par les effets psychiques et physiques paniquants de se faire assister de services médicaux qui ne devront amha ne faire que strictement rien, seulement attendre, contrer un acide par médication me semble erratique, mais c’est un avis personnel et complément d’aversion �* la médication chimique et l’expérience que j’en ai qui me fait préférer ne pas l’utiliser sauf stricte nécessité et certitude du produit. * J’ai appris �* m’en prémunir, surtout �* le comprendre et ainsi �* être moins réceptif, suite �* la répétition de ce genre d’agissements perpétrés autour de moi et souvent décelables m’avoir été destinés, il en a été ainsi un bon nombre de fois au cours de ma prison - de véritables tarrés malades et cons ont joué �* en jeter sur les trottoirs et dans des transports en commun, ou �* proximité de si pas sur ma voiture durant des temps de parking, doublement salops car outre moi d’autres personnes en auront fait les frais, en auront subis quelques désagréments neuro- musculaires ou angoisses, incommodés qu’ils auront été par l’action de ces produits * qui modifient, empêchent la bonne expression orale, physique et psychique - articulation physique jusqu’�* orale (bucales) et expression dialectique sont corrompues, en clair les nerfs les muscles et les idées sont plus ou moins niqué(e)s. * J’ai du me résoudre �* risquer de détruire certains de mes vetements (en cuir) dans un séche-linge seule solution définitive _conststée �* chasser les emmanations, toujours actives tant que présence de la moindre trace. La peur, l’angoisse, liées �* la subissance corporelle et intellectuele de ces acides sont communément contrée par d’autres produits psychotropes ou hypnotisants quand le neuroleptique est prescrit en cocktails par un docteur en médecine, que je me préfere �* désigner chimiste laborentin ou communiste; les - typiquement -pères de famille qui ces jours l�* se sont débarrassés de leurs fonds de fioles en seront épargnés de se voir taxés de staliniens par leurs enfants consomateurs, qu’ils n’oublient pas de ne pas s’acharner au mensonge et aux silences. * cf. ce loft �* ce moment l�* psychanalytique dont on me soutenait, et presque démontrait par bruits de trottoir qu’il était diffusé �* un certain public. Donné au public cela peut expliquer aussi bien cet agissement alors complice de se débarrasser des fonds de fioles et des stocks d’officines pharmaceutiques comme cela peut expliquer le terrorisme de saloppards qui en ont maculés une partie de mes vêtements (très certainement par intrusion chez moi avec des clefs) doublés de ceux qui en ont jetés le plus souvent de très petites quantités �* ma proximité, dans la rue, dans les transports, jusqu’�* l’intérieur de l’un ou l’autre magasin �* plusieurs périodes autres que celle de cet avion prétendument venu nous faire la pluie. ===== “ Pluie de neuroleptiques, ce sont les scientologues, tu es en guerre avec les scientologues” m’a-t-on suggéré Qui a fait ca, qui a voulu faire peur �* qui ? L’évènement s’est déroulé �* l’échelle de la ville ou du moins, pour l’odeur, �* celle des lieux que j’ai fréquenté les jours suivants le manège de cet avion; a-t-on voulu me faire un sketch situationniste complément de la psychanalyse en cours, en fait on a parfois mélangé volontairement psychanalyse et situationnisme pour cacher quelques probables vrais faits proches du criminel, de peut-être vengeance de qui j’aurai trop bien trouvé et par l�* dénoncé ou pointé sans vraiment le savoir. * A-t-on voulu et peut-être réussi �* me faire oublier quelque chose, a-t-on voulu me mettre en trip; les neuroleptiques peuvent participer �* faire perdre partiellement conscience de la réalité par la peur accaparante qu’ils installent chez ceux en ayant consommé. En subir les conséquences neurologiques n’a rien pour rassurer, pourtant il faut tenter d’en tirer profit par esprit de prévoyance, comme un apprentissage �* un risque qu’on doit pourtant refuser de garder �* l’esprit, il est inacceptable, il est peu probable. * Même si les effets ne sont pas �* négliger, les avoir déj�* subis doit faire garder �* l’esprit que l’on constate par la suite qu’ils ne laissent pas de séquelles, l’état de choc est limité temporellement �* l’action du produit, plus précisément une fatigue résultante peut-elle être subie durant l’amenuisement et la disparition alors rapide de l’effet global; la durée des effets n’est pas très longue (quelques heures), il n’y a pas plus de demi-vie que celle qu’on peut (qu’on doit) invoquer �* l’alcool - pour exemple simple. Le raisonnement, les facultés et la mémoire qui enregistrent le souvenir du vécu présent sont déficientés par les acides, la peur l’angoisse et les situations anormales ou stressantes augmentent leur permissivité. Cela en conclusion mais comparé �* l’alcool ils sont plus désagréables et incommodants, pas beaucoup plus dangereux, c’est le subis qui diffère. ===== Sommeils chimiques (inclu quelques redondances utiles et volontaires) * Deux décennies plus tard quand je commençais �* me souvenir et �* accuser pertinemment les injonctionneurs et les prescripteurs de produits chimio- lavants- thérapeutiques de moi mineur, on a donc tenté de me faire croire �* une attaque de “scientologues” contre ma personne, en référence �* qui membre de ma famille dont d’une part on a tenté de me faire croire ou m’informer qu’il était devenu scientologue, qui d’autre part est soupsconné de m’avoir empoisonné et être par l�* responsable du premier des cauchemards en hypnôse trouvée chimique dont je n’ai pu me réveiller qu’�* grands fracas .. $ .. de débattements: j’étais conscient mais empêché de me réveiller, hypnotisé par le cauchemard mais et parce que comme livré ou donné �* lui par - “probablement” mais nous avons dans ma prison étudié cela et l’avons trouvé en “certainement” - une chimie bloquante, une chimie empêchant le réveil malgré mes débattements jusqu’�* devoir frapper les murs et le meuble du lit pour me faire mal et _ainsi m’éveiller, stupéfait de n’avoir pu m’éveiller bien que conscient qu’il le fallait pour quitter mon cauchemard, bien plus inquieté par le fait d’avoir eu �* me faire mal et conscient que c’est cela qui m’a réveillé .. $ .. réveillé dans la peur du contenu du cauchemar tout de suite évacuée sachant pertinemment qu’il ne s’agissait que d’un rêve désagréable, resté interloqué d’avoir eu tant de difficulté �* m’extraire de lui / de mon sommeil. Cet étonnement par la suite immédiate supplanté par le constat, d’après le lever, d’une fatigue musculaire et généralisée. $ L’hypnose intra- sommeil est le fait naturel du cauchemar ou du rêve, typiquement c’est la chimie bloquante qui autorise une accaparation telle qu’elle devient erronément qualifiable d’hypnose prenante, de par sa durée elle peut s’auto- alimentér par le contenu du cauchemar ou du rêve - en réalité c’est le c. ou le rêve qui est autorisé �* se prolonger, l’hypnôse est une mauvaise apellation de cet état de fait . la boucle reste fermée et ce n’est pas l’hypnose (mal nommée) qui s’emplifie mais le cauchemar qui se prolonge et dont éventuelement le contenu fait monter la peur ou l’angoisse, celle-ci peut se compléter par celle conséquente du fait de l’impossibilité de se réveiller, impossibilité dont l’on prend pleine conscience ce qui rajoute �* l’angoissant contenu du mauvais rêve. $ Tant qu’on ne surmonte pas jusqu’�* réveil la force qui l’empêche, la force qui, elle, est le fait de la chimie - il ne s’agit pas de contrer son cauchemar, il s’agit de se s’attacher �* provoquer le réveil, tout en subissant le contenu du cauchemar, lui partielement et faussement désigné hypnotique. Choses que j’ai, depuis, découvert et comprises par, in situ de ma prison, longue réflexion sur la période de moi pré- ado. $ On doit se libérer en force de l’hypnose (mieux dit: de l’angoisse) d’un cauchemar tout comme on peut se laisse aller �* celle (en fait, au cocooning) d’un rêve agréable. Si le réveil en force est trop contrarié il faut suspecter chimie. $ Encore faut-il avant d’accuser l’entourage (médical par exemple) que celui-ci soit conscient du mécanisme ici relaté, qu’il pose les bonnes questions et agisse en conséquence de réponses qui corroboreraient l’hypothèse. La victime, en l’occurrence moi enfant, ne peut être affublée de méconnaissance sur le sommeil, le rêve, l’hypnose, la chimie, etc. $ Cela amene �* penser �* la boucle induite par une chimiecalisation �* répétition, �* conséquence d’empêchement de complètes et bonnes capacités de réflexion. * L’on peut être accaparé par une hypnose - celle qui est le fait du contenu d’un rêve ou d’un cauchemar pour exemple le plus commun, mais celle-l�* �* elle seule ne provoque qu’un blocage léger, dans cette situ la chimie provoque blocage en force et non hypnose, même si l’hypnose du rêve / du cauchemar parfois plus _que moins accaparante. * Cette forme d’hypnose se produit pendant les cauchemars en fin nuits, typiquement ceux d’enfants d’une dizaine d’années �* qui des cons racontent des histoires stupides comme celle de loups qui mangent les enfants de nuit dans des forêts toutes aussi noires; bien sur pas des loups chiens mais des créatures fantasmagoriques et spectaculaires se confondant avec les branches d’arbres morts ou effeuillés. * Ces cauchemars ont été récupérés et m’ont valu d’être soupçonné porteur de maladie neuro-cérébrale - on a jamais trouvé laquelle et pour cause. Qui alors pas encore père chimique aura-t-il craint cause �* effet du suggestionné psychotisme - insensé - sans soupçonner présence chimique. Cela s’est reproduit sporadiquement, un bon nombre de fois durant une période de pré adolescence, on a jamais expliqué pourquoi je ne parvenais pas �* me réveiller. * On m’en a fait �* nouveau subir au cours de ma prison cette fois plus que probablement pour me faire étudier cette impossibilité de réveil que j’avais évoqué demandant quel produit chimique était susceptible d’avoir fait que je n’ai pu me réveiller du tout premier de ces cauchemars, ensuite de bon nombre d’autres, accessoirement plus ou moins répétitifs dans leur contenu ce qui peut - typiquement - contribuer �* l’exacerbation par le fait du re- vécu et de l’intérêt qu’on peut y porter �* vouloir y progresser, �* découvrir, �* comprendre un rêve ou c. répétitif, dérive en hypnose; l’objet de la question était la présence d’hypnose intra- sommeil rendant le réveil impossible. * Comme je le relate ailleurs d’aucuns se seront attardés �* en étudier le déroulement et les solutions que j’ai trouvé pour y faire face, cad. jusqu’�* pouvoir m’en réveiller de facon volontaire et consciement �* force d’expérience de l’hypnôse intra- sommeil. Qui a fait quoi �* l’origine des épisodes pré-ado, comment quand et pourquoi est évident et ressort plus ou moins de ce document, ce qui n’y parait pas est privé mais est de toute facon connu. ===== imprécis, methode de réveil ===== ===== * On me situe donc que le trouvé responsable du premier voir de bien d’autres de ces cauchemars dont je ne me réveillais pas serait passée de freudien et doltesque, désabusé dépressif, �* scientologue ... en guerre contre moi du fait que je l’ai trouvé et demandé des comptes par le loft, alors analytique, interposé, du fait de son passé de pédologue mis en relation par sa paranoïa et son aversion �* ma délégumisation �* cette rencontre avec qui mineure, qui je n’aurai eu le temps de lui présenter avant qu’un événement resté mystérieux n’interrompe notre relation. Mais dans l’inconnu je ne peux y voir que du situationnisme: typiquement un stupide et con jeu psychiatrique ou exercice militaire dangereux lorsque il déborde comme tout au long de ma vie en loft sur la population; la personne en question �* peut-être eu ses phases aux conséquences pas très positives mais le croire addict d’une fausse religion sectariste accaparente et avide d’argent est un pas que je ne franchis pas, * De toutes façons il ne m’apparaît pas qu’il puisse être volontaire �* exercer pour le compte d’une telle organisation, il n’est ni trop avide d’argent ni n’a profondément vocation �* la manipulation de plus faibles que lui, pas que je sache en dehors de faits psychanalysés comme ils se devaient de l’être; ensuite il n’et lui-même ni très fort ni argenté - même si d’aucuns sont rémunérés pour leurs activités au sein de l’organisation il est plus le souvent le cas qu’ils y laissent leurs biens et finances personnel(le)s, chose que son entourage pour ce que j’en connais ne lui laisserait pas faire, pas plus qu’il ne le laisserait se faire accaparer outre mesure par des activités ou études �* caractère en l’occurrence pseudo religieux et psychologiquement déstabilisateur; ses expériences en rapport �* la psychologie ne m’ont pas mené bien loin, il est probable qu’il trouvera d’autres secteurs ou formes d’activités pour assurer �* l’avenir sa subsistance. * J’en reste �* croire que durant un temps de loftage �* la façon sectaire voir terroriste on m’aura joué la déstabilisation, pour tentative expérimentale de me mettre en trip et de me rendre psychotique / de me faire analyser le psychotisme quitte �* me faire constater tel par qui étranger �* cette affaire de loft ou par qui complice, hostile s’il en fut c’est possible, Mais surtout et dans le contexte d’une (conjointe) garde protectrice apparemment jamais abandonnée je ne m’en suis et ne m’en émeut pas plus que ca. * On m’a joué plusieurs semblants de guerres toujours plus vraies que nature. De personnalité ouverte �* tout, par esprit scientifique et analytique j’ai préfère m’en tenir �* m’amuser des situations ainsi fabriquées et �* en extraire pour moi et le public ou les professionnels participants distants des conclusions et apprentissages constructifs et partager les conclusions même si issues de faits �* priori répréhensibles ou aux conséquences potentielles qu’il déplairait d’évoquer même si cela fut fait pour partie, parfois laissé au stade de constats et de dénonciations sans plus de suites �* ma connaissance, les codes de bonnes conduites civils et judiciaires ont été déchirés dans ce contexte de loftage �* la façon du situationnisme, j’ai été tant berné, utilisé, durant toute ma vie que je n’attend plus rien de la part de qui a été trouvé dans toutes les analyses pour ce qu’il m’a été fait; je ne suis pas le doux déficient qu’une secte aura tenté de récupérer taxé d’acteur psychotique qu’il faut protéger ad vitam en son sein, ils sont sectes et je les intitule ainsi pour toutes les raisons évoquées dans ce document, si’ils parvenaient �* manipuler qui pour que je retourne les côtoyer re- vivre le mensonge et leurs faux sentiments je les dénoncerai ouvertement pour secte pure et dure. Avec plus de cinq ans de retard sur mes projets de quitter cette vie bourgeoise et capitaliste que je me refuse �* reprendre. ===== * Suite �* la “pluie de neuroleptiques” évoquée plus haut, voulait-on mon avis et réactions sur ce produit, quelqu’un voulait-il m’endormir, m’hypnotiser, me mettre en trip, me déstabiliser par ce sketch et ce situationnisme rapport aux scientologues que l’on me prétendait “en guerre” contre ma personne surtout contre mon potentiel et en retour de dénonciations d’agissements de quelques psychologues aux méthodes que j’avais trouvé pernicieuses, peut-être ces personnages étaient-ils scientologues je ne m’en suis jamais que pris, et bien annodinement, �* leurs méthodes d’observation et d’étude d’autrui, rien de plus. * Lier mes critiques �* l’encontre de la psychologie, du freudisme et du doltesque pédologisme que je dénonce comme addiction d’une bourgeoisie égoïste, �* mon passé de chimiqué psychologisé de force presque légumisé au moins �* demi hypnotisé, �* des activités prétendument de scientologues qui auraient pris la mouche contre moi, �* ma connaissance ils étaient psychologues l’une ou l’autre fois rencontrés que je n’ai pas désiré fréquenter et que j’aurai heurté par quelque mensonge cyniques de ma part qui n’avaient d’autre but que de les éloigner, n’a �* mon sens d’autre caractère qu’analytique et autre but que dés-hypnotisaton en me confrontant tout au long du loft �* des situations extrapolées de ce que l’on m’a fait vivre entre mineur et jeune adulte, extrapolées au plus haut point par fabriquation de situations bien réeles même si en quelque sortes scénarisées, rejoint �* mon sens le situationnisme * et est partie intégrante de cette fabrication, récupérée par qui en aura eu vent de par mes analyses dénonciatrices et tout au long du temps passé sous surveillance. C’est une menace préalable �* ma prison qui a été maintenue en évocation tout au long de mon loftage, que j’ai trouvé comme volonté de qui, je ne le sais, de me faire vivre et de me faire monter dans un trip qui aurait aboutis �* me faire déclarer handicapé récupéré par de faux cinéastes dans un faux film. * Le rapport �* l’hypnose de façon générale dans ma séquestration m’�* été proposé - aura été invoqué par les analysants distants comme un exutoire, elle aura été utilisée pour me remémorer, pour (me faire) comprendre et expliquer ma vie passée, surtout mineur, celle-ci ayant débouché sur ma presque légumisation au cours des deux décennies durant. * Rapport bien sur �* ma famille, dans une vie d’incompréhension entouré de gens qui ne m’ont jamais parlé, que j’ai côtoyé en cercle familial parfois augmenté d’instances médicales, tous ces gens qui presque jamais ne se sont adressés �* moi d’autre façon qu’en indifférence ou que s’ils cotoyaiant un déficient mental; �* savoir qu’au final ils sont trouvés avoir été déficientaires, handicapeurs. * Légumisé toujours prétendu malade et fatigué en lieu et place de potentiel �* des études qui n’ont pu avoir lieu, conséquence directe et concrète du dénigrement que deux décennies plus tard on m’amene �* comprendre par l’analyse et �* relater dans le présent récit quitte �* froisser un entourage disparu, caché depuis le début de ma prison, ayant pété son dernier câble par mon expulsion domiciliaire d’une de leurs propriétés immobilières. * Dans le contexte de ma psychanalyse dont je dois soupçonner qu’elle était alors via mon loftage donnée �* un certain public, cette famille trouvée en secte démagogique avait été prévenue que me forcer �* faire ma psychanalyse ne ferait que extérioriser le fait qu’ils m’ont fait vivre en un semblant d’hypnose durant plusieures périodes entrecoupées de prises de conscience prestement cassées par leurs silences et leurs renvois de moi vers la psychologie et vers la psychiatrie; des gens qui ne m’ont, passé l’âge d’enfant, plus jamais côtoyé volontairement mais par contrainte sans jamais n’en avoir d’autre réaction que de m’observer et de me reléguer au rang de presque handicapé ou d’encombrant qui ne doit pas apprendre ni comprendre. * Famille au patriarche menteur pathologique et injonctionneur de tous les silences, famille qui au fil du temps s’est trouvée �* côtoyer qui elle n’a plus voulu reconnaître autrement qu’en un légume écervelé. Situation d’avant loft, plus personne ne s’est montré depuis, ce qui n’est pas présage mais constat. $ L’après mort du père de famille pourrait très bien faire reprendre raison, conscience ou indépendance �* ceux qui ont constaté ma progressive dégénérescence et trouveront dans la lecture de ces pages explications et analyse �* ce qui leur est plus trouvé que reproché. Coupé: Père Staline Coupé; Déficientage ===== VIPPO * Depuis, révélée mineure beaucoup plus jeune que moi, on m’a conseillé en ce temps de me faire déclarer handicapé, pour me protéger - sans me le dire - de cette rencontre jugée inacceptable du fait de son trop jeune âge et de la différence avec le mien bien que cela non plus n’ai jamais été dit puisque personne ne m’a jamais fait part d’en avoir pris connaissance mais, et connaissant ou non l’existence de [dvc²] je ne le sais pas mais les deux prétextes etaient in situ,: pour faire passer cette rencontre sous le compte d’une fantasmagorique et prétendue déficience mienne; et ne pas chercher pour ne pas trouver / ou le temps de trouver, on me m’en a rien dit avant de me faire ce loft, par qui et comment cette rencontre avait pu être fabriquée au moins induite et pour quelles raisons, peut-être mise �* disposition de [dvc²] et d’une bande de cons ou simplement comme viande taxée du pire, ni ce que [dvc²] avait déj�* pu faire de moi, peut-être d’elle, fille de qui, �* son insu obligatoirement, manipulée peut-être, elle fille d’une personnalité d’une des plus hautes autorités parmis les plus hautes sphères. ===== Groupes d’intervenants * Peut-être sept groupes de personnes augmentés (parfois incluant) des arrivants en cours de loft sont-ils responsables ou inducteurs de la création de ma prison loft trouvée par la suite, après enquête non avouée telle �* moi mais présentée sous le jour de la psychanalyse puis du situationnisme, d’abord du loft pirate hostile puis protecteur, tout �* la fois pénitencier et protecteur. * Les ensembles de personnes sont pour partie �* géométrie variable, plus ou moins parfois se sont mélangés partiellement rejoints, le lecteur ne pourra bien souvent s’y retrouver qu’au final de l’étude de ce récit sachant que l’on ne peut pas divulguer, que je me dois de ne pas permettre au lecteur de situer précisément, d’identifier, des intervenants; ils ne seront jamais connus que de leur entourage activiste ou témoin de leurs interventions dans ce qui nous aura occupés, ou de �* qui ils décideront de dévoiler leur y présence jusque l�* camouflée. * Bien sur certains interviennent dans un contexte d’activités para- professionnelles et ont collègues et supérieurs, il tient �* l’ensemble de ces gens de ne pas dévoiler leurs activités, il est évident que dans un contexte de clandestinité chacun aura pour responsabilité de ne pas incommoder ses semblables, cela dépassant les rapports hiérarchiques, débordant en communautaires. * Si des groupes ou des personnes sont situables de par ce récit, elles doivent savoir que la rédaction de celui-ci m’est imposée et que nous aurons veillé �* tenter de ne dénoncer personne, que si le cas existe de permettre �* des lecteurs de les identifier il n’est pas dans les intentions de faire publier ce document [tant qu’on ne m’y obligera pas ou qu’on ne le fera pas �* ma place] ni �* le laisser circuler, du moins �* destination d’un public autre que celui ayant déj�* eu vent de l’existence de cette affaire et qui sait tout, qui sait tout de moi, qui en sait plus moi. * Le cas échéant c’est une fois de plus la quasi totalité de mon historique de vie et tout de ma personne qui seraient mise en place publique. Bien que je commence �* en avoir l’habitude je m’en suis toujours défendu, je l’ai toujours refusé, je ne désire aucunement être divulgué. En cas de divulgation de ma part autre que par remise de ceci �* des (ex-) proches ou autorités, dans ce cas non- censuré des paragraphes barrés, je ne pourrais le signer en toute raison que de mon pseudonyme Abekar ... $ pseudo expliqué plus haut dans ce document, pseudo et document �* partir duquel seules les personnes ayant déj�* connaissance de (tout) ceci pourraient faire un rapprochement avec moi, mon identité, mes ex-relations et ma famille - cela est depuis le premier jours du premier loft, pirate ou pas pirate. $ Il est idiot de ne pas comprendre que �* partir du moment ou une telle situation a été extériorisée, est connue de quelque voisinage qu’il soit, il est probable qu’elle le soit rapidement - donc depuis très longtemps - de “Monde”. En évoquation de qui a prétendu me faire “loft Monde”. $ Réponse rapide et facile mais réaliste et dé- légumisante �* l’attention de l’hystérique démagogie qui me voulait acteur. Ils sont maintenant célèbres, peut-être, je le suis et en toute raison et refus d’ingérence, de démagogie, de mythomanie, d’injonction surréaliste devant faits accomplis, je m’y refuse et le dénonce et le dénigre. Je l’aurais fermement refusé si l’on m’en avait parlé. On avait qu’�* dire �* “Monde” que j’allais _peut-être_ devenir cette .. chose .. , LEUR chose. Si c’est trop tard pour moi aussi c’est trop tard, j’aurais et j’ai toujours refusé cette idée mais je suis célèbre quand même, le fait est, j’ai été et suis placé devant l’accomplis, je ne m’y soumet pourtant / donc pas. ===== ° Libre �* qui veut de se complaire de sa célébrité, j’assume la mienne et ferai ma vie, par définition _Privée_, en privé, me réservant comme tout le monde ma part d’extériorisation pour relations personnelles et professionnelles. Je n’ai pas été et ne serai pas cette chose qu’on nomme l’Acteur, je m’en défend ici et l’on me fait rédiger ceci in situ pour ne plus avoir �* le faire après. Seuls de vrais amis pourraient me récupérer pour ayant fait du cinéma ... blah .. blah .. mais pas en tant qu’acteur. Ca fait quand même six ans qu’on me tourne autour, quatre si pas bien plus qu’on me lofte, inclus des mois de cassage de gueule au situationnisme et �* l’étude comportementale jusqu’�* presque finir handicapé par séquelles du subis dans ce qu’on voudrait faire passer pour avoir été le tournage d’un film ! On délire grave chez la secte, mytho-démago toujours par procuration, jamais capable de s’assumer, toujours �* se décharger et �* fabriquer la vie des autres. $ On oubliera pas que mon dernier “sketch” en la propriété familliale principal lieu de ma prison devrait se bien- nommer “in the wall” si l’on voulait en faire un film, en hommage �* tout le taggage et le déchirage de murs derrière lesquels j’ai cherché le matériel ... avant de me faire jeter, préalablement injonctionné par procédure judiciare �* quitter les lieux. $ Je fais aversion depuis toujours et toujours plus �* la divulgation de ma personne et de ma vie, trouvée �* titre personnel en démagogie de qui �* mon encontre, en parasitisme récupérateur intrinsequement en abus - ils se cachent et prétenderaient .. �* récupérer le coup en me bombardant beau, grand et fort, �* leur profit de stimulateurs alors qu’ils sont insensibles, et dénonciateurs - fallas puisque sans objet, de ma personne handicapée. S’ils sont choqués de ceci c’est dans l’abstract et le progressisme qu’ils trouveront leur salut. $ Retour de Psychanalyse, une contrée non- républicaine, antipodaire de l’esprit binaire injonctionnel et colonialiste des ingérents de mon psychique. ===== Les écritures n’ont pas toutes été séquentielles, l’ordre des paragraphes et des chapitres pourrait être modifié, des redondances pourraient être concisées. $ Jamais on ne m’a fait savoir encore moins montré si j’ai fais l’objet d’un film, d’une diffusion quelconque; le loft était protection. Si film il y a eu il ne m’en a rien été dit, si quelque bénéfice il �* pu rapporter je n’en percevrai le fruit qu’après ma libération, on ne peut pas omettre de comprendre que personne n’est en droit de faire bénéfice de l’utilisation cachée d’autrui, que m’avoir fait ca pour enrichissement post-séquestration ne pourrait que se voir rétorquer: que si je n’avais survécu aux cinq années passées c’est �* titre posthume que j’en aurais perçu le bénéfice. Personne n’ayant eu vent de cette affaire n’a jamais cru ni n’aurait accepté me voir affublé du sobriquet de simulateur. $ Cela dans le cas ou le cinéaste aurait vraiment été bandit injonctionnant qui par sa fabulation situationnsite �* me voir finir acteur; cela dit pour cet acharnement psychologique �* me faire admettre que pour mille raisons dans lesquelles faire mon choix il aurait fallu que je le sois; celle de mon choix se serait traduite en celle qui m’eut envoyé me faire tuer par le papa de qui mineure qui m’aurait cru me cachant par la simulation de moi-même ou tentant de passer pour débile. Le cinéaste, lui, est-il un con ou un salop ? $ De ce loft protectionniste analytique enquête de ses prémices je retire satisfaction �* faire aversion aux mots “acteur” et “situationnisme”, ignominies désignant pour qui légumes, pour qui légumisants nababs auto- satisfaits, in situ une insulte, une mise sous pression que j’aurai subis en vie réelle positiviste écolage analytique mais simulacre cinématographique, exaction drill psychologique; $ harassante psychanalyse et analyse policière de ma vraie vie entière rajoutée de ma question permanente de presque tous les instants de savoir qui, comment et où se trouvent les coulisses et activistes et témoins de ma séquestration, et celle de �* chaque instant savoir qui fait quoi et �* quelles fins, pour qui ou �* la demande / �* l’injonction / quand pas et presque constament �* but de réhabilitation de qui; $ harrassante solitude accompagnée d’invisibles et introuvables correspondants parfois salops parfois tarrés parfois amis parfois sketcheurs parfois analystes psychologues ou autorités, ou éminences de quelles professions je ne peux que intérieurement l’expecter, l’imaginer, le souhaiter, qui aura duré des années de chaque instant de chaque jour sans aucune interruption. Le(s) cinéaste(s) nous feront leur film $ A charge du cinéaste qui ne mérite plus qu’on s’attarde in situ �* le (faire) comprendre de (me) dédommager par l’absurde et en nature en monologuant dans son prochain film sur son entreprise de me voir finir acteur après ma peine. $ Des imbécillités aux exactions ayant influencé, détruit et consommé une partie de ma vie, autant avant que par le fait de cette prison loft. Je suis en son enceinte �* payer toute la connerie humaine que j’ai subie, inclus ce que je ne sais pas, inclue celle qui aurait du - qui �* aboutis �* - me victimiser. $ Qui �* fabriqué prémices aura quelques difficultés �* faire prendre pour suffisance toute projection préalable de récupération, il a induit l’inextricable - délibérément ou par imbécillité / par inconscience. ===== Comprendre, pas admettre $ La constante invocation, par les intervenants constructifs, d’un contexte psychanalytique sur lequel on a basé mon temps de réclusion n’a pas pour but comme le dit la définition du terme de faire accepter quoi que ce soit mais de comprendre et de tenter d’expliquer tout et tout le monde impliqué inclus les in situ pour qui on se laisse quand même �* déraper �* quelque psychologie vu le contexte en principal qui fut ma protection, pimentée de drill, complétée d’écolage, devenue épreuve dans une impossible subissance, cloturée - il faut l’éspérer - par la rédaction tout aussi pénible et compliquée que son contenu. $ Si d’aucuns sont violemment décrits c’est le plus souvent de façon analytique, ils sont trouvés pour ce qu’ils ont faits et non pour ce qu’ils sont; �* de très rares exceptions près par quelques autorisations que je me fais de les insulter, rarement de les agresser. Subissance $ La constante invocation, par les intervenants oppressifs, d’un contexte accessoire de drill psychologique comme si ne suffisait pas tout le reste du constant subis. Mettable en relation avec la notion de punition, mais aussi (c’est une récupération) d’un désir compréhensible de la part de plein de gens, de faire opportunisme de ma séquestration �*, même si je n’étais pas faible avant, me voir plus fort �* ma sortie; plus fort que l’ensemble du stupide, du mesquin, du situationnisme, de l’hypnotique, de l’agressif, du .. dangereux qui fut le contenu et le destructeur de ma vie passée; $ de savoir en moi �* ma sortie un potentiel de résistance, acquis sérurisant, rassurant, aussi cadeau - mais souvent constat - de ces multiples écolages; $ gardée �* l’esprit cette projection de toute potentielle - possible, pas impossible - union civile avec qui fille de qui par évidence est considérable d’être justiciable au moins en droit d’exiger pénitence, par humanisme ou préservation d’accepter /de désirer cette part d’écolage - ne pas oublier qu’on trouve moult cobayage -, il faut percevoir et se satisfaire de cette équivalence. $ Trouvé comme part d’écolage la complémentation de mes aptitudes �* la dialectique analytique, en plaise aux acharnés participants co- rédacteurs de ce document tous par évidence en profit, probablement du résultat puisque tant participé, constamment accompagné, très certainement de notre pratique du méthodisme aboutissant �* la présente étude. Insultes * La seule insulte et accusation directe que je fais va �* l’encontre d’un père prétendu mien, rapport �* qui je me suis cherché quelque point commun qu’il soit sans en trouver aucun, et dont on me fait comprendre et me soutient et m’explique en me faisant analyser notre vie commune dans ses moindres détails qu’il aurait choisi avant ma naissance de ne me faire vivre qu’un(), s’érigeant au summum de l’abject il aurait choisi de ne pas faire naître mon jumeau; si ca n’est pas vrais tout le reste l’est, de la chimio- lobotomie �* la perpétuelle prétention de me chercher des maladies imaginaires, inexistantes jusque dans quelque livre de médecine soit-il qu’il ai été donné de lire �* qui que ce soit depuis la nuit des temps modernes, d’aucuns sales et cons m’en trouveront peut-être dans ceci qui ne se veut pas en être un. * Dans le contexte clandestin de ma prison et de son contenu qui dépasse et balaye les conventions et nombre de codes de bonne conduite, extériorisé(e) de par leur existence même (le secret d’un loft pirate n’est pas tenable, celui d’une prison domiciliaire loftée ne l’est pas dans un contexte de loftage actif hostile non- déclaré �* moi-même dégénérant en subissances et exactions), et leurs débordements ne fut-ce que par le nombre d’intervenants et de témoins, dans un contexte environnemental qui est le monde autour de notre activité de (pseudo)situationnisme y pratiquée. * Dans le contexte qui est que ma prison ne m’a jamais été dévoilée, en contraste �* une vie paisible �* laquelle tout un chacun �* le droit de prétendre et peut revendiquer sachant que nous ne vivons ni en communisme, encore moins en stalinisme ni en esclavage ou sous un régime de ségrégation ou d’oppression, dans un monde qui se veut / que nous voulons libre et rassurant voir protecteur pour tout un chacun, cela est dit car notre activité de situationnisme nous a fait vivre des conflits réels par débordements comme le veut la théorie de ce jeu psychologique qui se pratique en principe .. �* huis clos et dans des lieux adaptés, pas �* domicile quand il est sujet �* débordements. Coupé; *On serait bien �* mal ... ===== Huit groupes d’intervenants Dans l’ordre chronologique supposé de leur apparition ou intervention on trouve: * 1 des inconnus qui sont venus [dvc²] me tourner autour, chez moi, en déplacements et au travail du moins �* ses alentours, par la suite ils se sont situés en cinéastes désirant me voir acteur pour cacher leurs faits, handicapé mental pour être les sauveurs de ma déficience et de mon fabriqué ou prétendu passé d’accusé d’abus sur mineure; je n’ai jamais manqué de les soupçonner pour leurs premières activités suivies de ces loftages par de jeunes et cons commandités tels que jouant avec un bout de viande dans son appartement loft pirate; * 2 des loftants, ex-relations, supposés commandités par père de qui, mais peut-être étaient-ils déj�* en activité avant leur relation avec autorité père qui les aura commandités �* lofter ma prison loft; * 3 ma famille devenue secte avant mon déménagement vers ma première prison loft, suspecte et menteuse, silencieuse, elle s’est laissé convaincre par les premiers que j’allais peut-être devenir Acteur, que j’avais abusé de qui; elle �* donné ou s’est fait voler sans le dénoncer un exemplaire des clefs de mon domicile puis de leur propriété que j’allais occuper, elle n’a jamais reconnu ni tenu compte des évidences que je lui ai présenté ni pris acte des questions et demandes d’aide ou de conseils que je lui ai formulé; enfin elle m’a fait expulser par voies judiciaires de sa propriété, ridicule studio que j’ai occupé plusieures années et dont elle savait pertinemment qu’il était une prison loftée; * 4 un cercle d’inconnus dont m&s, m’ayant repéré d’une façon que je n’ai pas mise �* jour, peut-être contactés, rencontrés, par qui hystérique familiale aura (me dit-on) été de la suggestion de me faire vivre une prison loft plutôt que de projeter un procès avec probable prison �* barreaux �* la clef; Même avec l’aide de fille de qui, eut-elle été �* mes côté, cela n’aurait suffit �* faire accepter les faits, l’on aurait non plus pu éclairer les suspicions d’entremettage et [dvc²] m’était alors inconnue, tout laisse �* penser que cela aurait tourné très court avec condamnation pénale probablement. Ce cercle d’inconnus a été concerné semble-t-il au préalable de mon séjour de repos en milieu hospitalier qui �* certainement été complémentaire �* l’étude de cette suggestion faite par, m’a-t-on suggéré, ce membre interne �* ma famille mais qui ne s’est jamais révélé; * 5 voisins directs de mon appartement qu’on peut situer remplacés par une sous-location et par une multitude d’occupants pour des périodes de durée variables, pour partie des tarrés venus me lofter en hostiles; ils furent au début, avant le retour de [dvc²], �* états d’esprit et agissements multiples et se succédant dans une pratique de lofts croisés, parfois se succédant en tranches horaires; je garderai le bon ton de ne pas m’étendre en analyse et considérations de personnes physiques occupants réguliers d’un logement privé qui leur aura été quelque peu squatté en plus de l’incommodation supplémentaire par la présence voisine de ma prison séquestration; * 6 (psych-) analystes, intervenants du médical ou paramédical et social, observateurs ou impliqués �* ma surveillance et �* ma protection ou �* titre de témoins, d’observateurs impartiaux; * complétés des publics inconnus et autres personnes ramenées �* la concernance du loft par l’enquête “journalistique”, venus participer �* ma psychanalyse, me réconforter dans l’inconnu total de ma situation et me faire garder raison dans l’attente interminable d’explications; * complétés aussi de groupes de personnes ayant pratiqué tests et développement, études et drill de ma personne et de celle de bien d’autres concernant [dvc²] et cette inventée méthode psychologique, ses performances et son potentiel, des méthodes psychologiques qui ont viré �* exactions de par acharnement �* étudier �* la fois les méthodes et ma personne; * dans ce groupe d’analystes on trouve une prétention suggestionnée de me voir progresser par une sorte d’écolage distant dans mes capacités d’analyses, mes capacités préalables ont fait que malgré les périodes de chimio- thérapies et de relations abusives avec la psychiatrie j’ai pu tout seul me remettre, jeune adulte, mener �* bien de post-études pour rattraper une quasi inexistante scolarité, laisser des traces dans les dossiers de l’administration en faisant valoir de mes convictions et exigeant le remplacement de mes obligations militaires par une prestation de substitution dans le secteur social, prestation durement accomplie avant la reprise de mes études; * on trouve dans ces groupes de personnes ou en marge �* la fois le public étranger, le familier, l’indifférent et le protecteur, les autorités mises devant un fait accomplis qui est celui de ma garde dans cette prison d’un type nouveau en lieu et place d’une vraie prison ou d’une injonction thérapeutique, on peut y supposer tout le monde allant des autorités politiques, policières, judiciaires, médicales, on y trouve la population ayant eu vent de l’existence de ma personne et/ou de [dvc²], toutes les personnes intervenantes ou non, �* buts analytiques de moi et de [dvc²] pour mon compte ou leur compte personnel ou professionnel; * on peut y trouver tout un chacun en observateur ou en témoin de la chose que représente cette prison d’un type jamais pratiqué dont on peut fortement douter qu’il sera reproduit un jour, du moins dans de telles conditions de clandestinité et de subissance; * 7 autorité(s) dont père de qui, lui-même de profession de l’Autorité, accompagné ce n’est que supposé, �* titre inconnu et strictement confidentiel de ses propres collègues, de ses relations et plus probablement de groupes de personnes ou institutions ayant eu �* craindre de l’utilisation qu’il pouvait avoir été faite de [dvc²] en marge ou en parallèle de celle qu’il en fut faite sur moi; * ils auront traqué et questionné les premiers utilisateurs, enquêté sur mon compte concernant les manipulations dont j’ai pu être (par évidence) victime en ma vie privée ou professionnelle, l’une obligatoirement proche de l’autre bien que j’ai toujours tenté de scinder les deux, et de fait mes derniers temps de travail ont été parsemés de doutes et de constats d’éloignement de la part d’une partie des membres du personnel de mon employeur; Coupé: $ le père de qui aura découvert que * 8 on peut situer un huitième ensemble de personnes: les intervenants situationneurs, les drilleurs, les développeurs. * Les situationneurs (me) l’ont joué mais l’ont aussi vécue �* la façon d’une guerre, ils ont joué le situationnisme de deux façons entremêlées, tout comme le jeu militaire dont le terme est issu; qui consiste �* faire croire ou �* suggestionner, �* suggérer aux participants une situation possible, probable, ou totalement fictive et imaginative. Dans la vraie vie que nous vivons de par ma prison loft il y eu moult débordements, de par ma subissance extrême et extériorisée �* un large public par téléconférences mais aussi par effets de voisinage. * D’aucuns du public se sont ainsi attachés �* faire baisser, �* tenter de stopper la pression qu’il m’était donné de vivre, sans échappatoire puisque vivant chez moi, seul, menant une vie ordinaire comme tout un chacun mais sans personne �* qui demander quelque explication qu’il soit sur ce qu’on me fai(sai)t vivre, prison et situationnisme, drill �* la psychologie comme recherches de vérités sur mon passé proche ni mes questions de savoir ce qu’il en est ou en a été si elle ne se sent plus concernée par moi de qui fille de qui (que je me refuse �* désigner autrement dans ce récit); * incluant aussi quelques exacteurs trouvés tels de par leurs abus limite psychopathes et staliniens dignes d’une psychiatrie rééducatrice par la lobotomie et l’exaction psychique et intellectuelle rajoutée d’un accaparement constant occupant chaque instant perpétuellement ce qui a pour conséquence de quasiment empêcher toute réflexion non initiée ou accompagnée voir entièrement menée par les intervenants. * Les premiers tentaient de penser pour moi, ce qui peut fonctionner dans une certaine mesure, surtout sur qui ne sait rien de ces agissements sur sa personne. A la fois imbéciles et sales, ils ont depuis été rattrapés par les autorités et par la population devenue témoin. * Il en est suffisamment pour m’avoir étudié et analysé et d’une certaine façon côtoyé via cette prison-loft, pour d’autres maintes fois par voisinage ou dans mes déplacements, pour savoir que je ne suis que victime d’une machination de petits bandits; voir de gros nazes de services secrets qui auraient voulu m’enrôler dans des activités [dvc²], prévisionnant mais on ne peut qu’en douter - de me les révéler, si fille de qui n’était apparue dans ma vie, cela contrariant leur projet d’étude sur ma personne mais qui fut perpétué durant le loftage passif par qui aura découvert, mais comment, leurs activités �* moins qu’ils ne se soient dénoncés, perpétuer par du loftage ainsi re- débuté un an plus tard dans un appartement propriété familiale devenu mon domicile, suite �* une apparemment organisée chasse de chez moi pour m’éloigner géographiquement, en profitant car sachant qu’un point de chute m’était disponible en cette propriété pour me rapprocher d’intervenants de la psychiatrie et de la psychanalyse, faisant bonne coïncidence avec le fait que je revenais �* mes origines géographiques quittées pour raisons professionnelles une petite dizaine d’années auparavant. c'est pas fini la suite dans le 5. |