![]() |
Registreren kan je hier. Problemen met registreren of reageren op de berichten? Een verloren wachtwoord? Gelieve een mail te zenden naar [email protected] met vermelding van je gebruikersnaam. |
|
Registreer | FAQ | Forumreglement | Ledenlijst | Markeer forums als gelezen |
soc.culture.belgium Via dit forum kun je alle berichten lezen die worden gepost op de nieuwsgroep soc.culture.belgium. Je kunt hier ook reageren op deze berichten, reacties worden dan ook in deze nieuwsgroep gepost. Vergeet niet om dit te lezen. |
|
Discussietools |
![]() |
#1 |
Berichten: n/a
|
![]() l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �*
contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles. Je ne suis pas d'accord. Voici pourquoi : Je suis pour la liberté de l'information. Ce qui veut dire que chacun doit pouvoir être informé, gratuitement ou non. Google avait rendu accessible l'information aux citoyens via son site en affichant une sorte de revue de presse. De toute façon, les articles publiés l'étaient sur les sites des journaux en question, et la source en était visible. Copiepresse qui est aux journaux ce que la SABAM est aux CD ne l'a pas entendu la sorte. Cette société voulait que Google paie le "copiage" des pages web des journaux (alors que c'était de la publicité gratuite pour ces mêmes journaux !) Copiepresse est contre la liberté d'être informé gratuitement. Etre au courant gratuitement de l'actualité, qu'elle soit musicale ou autre, ça ne plaît pas aux sociétés de droit d'auteur : SABAM en tête... (je vois des copains musiciens et organisteurs qui sourient ! ;-) pourtant, je suis moi-même inscrit �* la SABAM, mais je suis contre sa façon de percevoir �* outrance et de ne redistribuer qu'aux nantis !!!) Bien sûr, les journalistes et les auteurs doivent vivre : ils ont droit �* une juste rétribution. Mais lorsque l'on voit comment on fait payer l'information au simple citoyen... Par exemple, le groupe "Rossel" (et d'autres !) fait payer 1 euro (je sais : 0,99 euro !) pour un journal numérique en ligne au format pdf. Aucun frais d'impression, de stockage, de distribution... Quel pourçantage perçoit le brave journaliste ? Une misère ! Le coupable n'est pas Google qui démocratise l'information. Les coupables �* pourchasser, ce sont les groupes de presse qui font payer cette presse �* un prix exhorbitant. Je dis oui �* la presse libre et gratuite. Non �* la presse censurée car outrancièrement payante. Je veux bien payer le juste prix pour une information juste. Pas 1 euro pour un fichier numérique dont les journalistes qui sont les seuls �* y avoir travaillé -en plus du metteur en page- ne bénéficient quasiment pas... On pourrait peut-être s'unir pour faire baisser le prix de l'information numérique... Comment ? L�*, je sèche ! Voil�*. Je l'ai dit. |
![]() |
#2 |
Berichten: n/a
|
![]() Ok avec toi l'ami encore une connerie Belge comme d'habitude
son plus fort pour ça que pour aider les citoyens belge qui sont dans la misère �* cause de leurs connerires "Pierre Sabbe" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �* > contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord > avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles. > > Je ne suis pas d'accord. > Voici pourquoi : > > Je suis pour la liberté de l'information. > Ce qui veut dire que chacun doit pouvoir être informé, gratuitement ou non. > > Google avait rendu accessible l'information aux citoyens via son site en > affichant une sorte de revue de presse. > De toute façon, les articles publiés l'étaient sur les sites des journaux > en question, et la source en était visible. > > Copiepresse qui est aux journaux ce que la SABAM est aux CD ne l'a pas > entendu la sorte. > Cette société voulait que Google paie le "copiage" des pages web des > journaux (alors que c'était de la publicité gratuite pour ces mêmes > journaux !) > Copiepresse est contre la liberté d'être informé gratuitement. > Etre au courant gratuitement de l'actualité, qu'elle soit musicale ou > autre, ça ne plaît pas aux sociétés de droit d'auteur : SABAM en tête... > (je vois des copains musiciens et organisteurs qui sourient ! ;-) > pourtant, je suis moi-même inscrit �* la SABAM, mais je suis contre sa > façon de percevoir �* outrance et de ne redistribuer qu'aux nantis !!!) > > Bien sûr, les journalistes et les auteurs doivent vivre : ils ont droit �* > une juste rétribution. > > Mais lorsque l'on voit comment on fait payer l'information au simple citoyen... > > Par exemple, le groupe "Rossel" (et d'autres !) fait payer 1 euro (je sais > : 0,99 euro !) pour un journal numérique en ligne au format pdf. > Aucun frais d'impression, de stockage, de distribution... Quel pourçantage > perçoit le brave journaliste ? Une misère ! > > Le coupable n'est pas Google qui démocratise l'information. > Les coupables �* pourchasser, ce sont les groupes de presse qui font payer > cette presse �* un prix exhorbitant. > > Je dis oui �* la presse libre et gratuite. > Non �* la presse censurée car outrancièrement payante. > Je veux bien payer le juste prix pour une information juste. > Pas 1 euro pour un fichier numérique dont les journalistes qui sont les > seuls �* y avoir travaillé -en plus du metteur en page- ne bénéficient > quasiment pas... > On pourrait peut-être s'unir pour faire baisser le prix de l'information > numérique... > Comment ? L�*, je sèche ! > > Voil�*. > Je l'ai dit. > |
![]() |
#3 |
Berichten: n/a
|
![]() "Pierre Sabbe" <[email protected]> a écrit dans le message de news:
[email protected]... > l'affaire récente opposant Copiepresse �* Google me donne �* réfléchir... �* > contre-courant bien entendu, car il semble que tout le monde soit d'accord > avec le jugement rendu par le tribunal de Bruxelles. Ah bon ? Vous n'avez pas trop lu les forums depuis, alors ? L'affaire "Google Actualités Belgique" suscite de plus en plus de réactions sur les forums. Il s'agit en effet d'une décision judiciaire importante qui risque de faire des émules ailleurs en Europe. Qu'a fait Google ? Grâce �* un robot et un programme sophistiqué, Google a rassemblé sur une page web des références d'articles triés par domaine (Belgique, Monde, Sciences, etc.). Ces références sont composées d'un titre, d'une source, d'une mention de durée (article paru il y a X heures ou jours) et les quatre premières lignes du texte complet. Suivent les références de quelques articles similaires. Le programme est capable de trier intelligemment les articles par ordre d'importance dans l'actualité : seuls les sujets les plus fréquemment abordés sont mentionnés. L'utilisateur peut afficher plus ou moins d'articles dans chaque catégorie. En cliquant sur le titre, le lecteur est dirigé vers le site web de la source et peut ainsi lire l'article complet �* l'origine de la référence. Est-ce de la copie ? Les informations ont-elles été "volées", comme le mentionnent certains journaux belges ? Logiquement, aller jusque l�* est un abus. Même si elles sont très réduites, les mentions suffisent clairement �* préciser au lecteur que l'information ne vient pas de Google mais d'une autre source. Il est d'autre part certain que cette page de références amène sur les sites de presse concernés des lecteurs qui n'y viendraient pas autrement, ce qui signifie que la presse belge se tire aussi une balle dans le pied en faisant condamner Google. Certains, supporters inconditionnels de la modernité en viennent �* insinuer que la condamnation décidée par le tribunal fait la part belle aux tenants du code Napoléon qui ne comprennent pas que le monde évolue et qu'un outil de communication comme Internet exige l'adaptation des vieilles lois et ... des vieux réflexes. Il n'empêche qu'il est patent que Google s'est comporté comme s'il était en pays conquis et que les règles minimales de fairplay ont été bafouées �* cause d'une absence totale de communication. Un arrangement préalable aurait pu être conclu ; un accord sur les mentions �* afficher aurait pu être trouvé ; bref, contacter les éditeurs, leur expliquer la démarche, et leur demander la permission sont des précautions minimales qui auraient pu éviter une conclusion aussi abrupte. Car finalement, la démarche de Google n'est rien d'autre qu'une revue de presse remise au goût du jour, et adaptée aux technologies modernes. Aucun éditeur n'a jamais attaqué la RTBF pour sa revue de presse du matin (qui ne mentionne pas plus d'informations sur la source que les références de Google). La démarche de Google pourrait aussi être assimilée �* un échange de bons procédés, dans lequel chaque partie tire son profit : Google en bénéficiant d'un passage accru de visiteurs et la presse en s'assurant 10 �* 20% au moins de visites supplémentaires sur ses sites. Il est certain que cette décision du tribunal va �* contre-courant de l'évolution du médium "Internet" et que, d'une façon ou d'une autre, ce type de page de références reviendra sur le tapis, même si provisoirement, Google va probablement devoir s'incliner. -- F. |
![]() |
#4 |
Vreemdeling
Geregistreerd: 26 september 2006
Berichten: 1
|
![]() Some considerations on the case Google versus CopiePresse.
That Google does not store in its DB papers from the press agencies seems a reasonable request (and hence does not restitue them if they are gone from the internet site of a press agency). That google does not index pages where such a request is indicated via a metatag or better via a password, is also reasonable. But I do not buy the rest of the arguments presented by Copiepresse. Indeed, it is allowed without any consent to refer in writing to a subject that is well developped on page n of book x from writer y (published by z). Then, why is the equivalent on Internet not allowed without consent: On an Internet page, to mention that theme z is well covered on html page n of site x and here is the URL link ? Inconsistency of our lawmakers or pression of the press that took advantage of the introduction of a new technology to become more restrictive ? If the second hypothesis is true and if Google complies on the 2 aformentioned points, the villain could become the Belgian french speaking press. One could see a wave of protests from the public, as that happened in France against the audio publishers that constrained a pro business government to recenter its law proposals to avoid back clash included in the members of its own party. Further, historically, the Web started to be a free exchange medium between research centers. It implied free indexing of pages, else the use of the web is nut. Consequently that Google.be has suppressed all links to the Belgian french speaking press (example which Yahoo.be, Msn.be , etc .. will have to follow since they use practices identical to those of Google) results from the idiosynchrasis of the Belgian Laws. That the audience of the Belgian french speaking press may therefore be weakened is the result of their choices ! But there are long term induced effects of the exagerated complaints Belgian french speaking press that may become disastrous. 1. The USA are controling the Web and have clearly stated that they are not going to relinquish its control. What will happen if Google, Yahoo, Msn lobby to the Congress or to Bush so that any traffic to or from sites that do not accept the more relax indexing policies of the anglo saxon world, must be blocked ? Create a new network (just like a European gsm system is developped to avoid the US monopoly) ? But who will join it ? Certainly the anglo-saxon world, the Commonwealth (India emerging world power, ..), the golf countries and the 'New Europe' will not leave the current web. Hence, such a new network will have a reduced audience; that will simply reinforce the predominance of the media of the aforementioned countries. 2. The break between the 'New Europe' and the 'Old' will be more obvious. That will prohibit a common European policy on the matter, since Britain, the Scandinavian countries, ... will not accept to share all of the complaints of Belgian french speaking press. 3. Worst, that break cuts Belgium further between north and south, since the Flemish press has not followed the Belgian french speaking press. A further reason to regionalize Justice. It is further fueled by the overreacting of judges Tassin and Hubrich, who did not sort what was definitely copy right infringement by Gooble from what was more dubious. 4. Bilingual belgians will be tempted to look more to the sites of the flemish press than the french speaking (I have already started moving in that direction). 5. Finally, let us smile. On the site of the French paper Le Monde, not specially in favor of the US business, one find reactions critical of the extremes of the Belgian french speaking press point of view. Axel Bonaert |
![]() |