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Binnenland Onderwerpen omtrent de binnenlandse politiek kunnen hier terecht. Let er wel op dat dit subforum enkel over dergelijk algemene zaken gaat die niet thuishoren in de themafora.

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Oud 13 maart 2004, 15:08   #1
Rudi Dierick
Gouverneur
 
Geregistreerd: 16 oktober 2002
Berichten: 1.080
Standaard

In Le Soir van vandaag stond er weer zo'n uitermate leerrijk interview met Elio Di Rupo. Enkele hoogtepunten :
1. De CD&V wordt aangemaand om haar Vlaamse eisen te beperken tot wat in het Vlaamse Parlement besproken wordt, maar om de in de nationale kamer dat luik in te slikken.
2. Voor wat betreft de individuele uitkeringen: die moeten verhoogd worden gezien ze in (sommige) buurlanden hoger liggen.

Dat de globale kost voor sociale uitkeringen (én voor ambtenarij) nu reeds merkelijk hoger liggen dan in onze buurlanden, daarmee wil Di Rupo natuurlijk niet vergelijken. Dat er voor 4 miljoen Franstaligen al half zoveel ambtenaren zijn als voor 16 miljoen nederlanders (en +/- evenveel als voro de 6 m. Vlamingen), daarover dwingt hij héél de pers tot zware censuur. Enz.

Kortom, is Di Rupo de personificatie van de aartskonservatieve, zwarte vleugel in de PS?

----------

La Sécu n’est pas un Titanic!
Le Soir

Le président du PS juge la sérénité revenue dans la majorité. La crise du VLD avait déstabilisé la violette. Pensions et allocations au menu d’Ostende, lors du superconseil des ministres des 20 et 21 mars.

ENTRETIEN - DAVID COPPI, BÉNÉDICTE VAES

Le gouvernement se déplacera �* Ostende les 20 et 21 mars, pour le deuxième super Conseil des ministres. Celui-ci sera consacré essentiellement au social. Le président du PS anticipe et, �* une semaine du rendez-vous, plante le décor politique.

Le parti de Jean-Luc Dehaene, le CD&V vous drague beaucoup en ce moment, non ?

Nous préférons être dragués plutôt que boudés. Je constate que, dans les gazettes flamandes, le CD&V dit du mal du PS, et que, dans les gazettes francophones, il en dit du bien Bon, mais le PS est un parti loyal. Et je ne confonds pas les élections régionales et les élections législatives. En tant que grand parti, nous n’excluons aucune hypothèse, mais celle d’élections anticipées est purement théorique.

Le CD&V en cartel avec la NV-A, ça vous fait peur ? On connaît le programme du parti de Geert Bourgeois : scission de la Sécu, séparatisme

Il ne faut pas avoir peur en politique, mais je l’ai dit �* mes interlocuteurs du CD&V : ils doivent limiter leur alliance �* la Flandre. Ce serait extrêmement dangereux d’épouser les thèses du NV-A au niveau fédéral.


Vous aviez dit en février que le gouvernement devait se ressaisir. C’est fait ?

A l’époque, au VLD, Karel De Gucht avait créé les conditions d’une très grande déstabilisation. J’avais dit, dès octobre, que l’octroi du droit de vote aux non-Européens devait se terminer pour Noël. Il était prévu que le VLD s’oppose. Mais, en insistant, en retardant, en dépassant janvier, le VLD a tout perturbé. Un gouvernement ne peut pas tenir si le parti du Premier ministre ne donne pas des gages de solidité. Il fallait remettre de l’ordre.

Aujourd’hui, je crois que sont revenues les conditions de la sérénité. Avec un peu de bonne volonté des quatre partis, le gouvernement peut agir valablement.

Le super-conseil de Petit-Leez a décidé des avancées en faveur des indépendants. Celui d’Ostende, les 20 et 21 mars, doit améliorer les pensions et autres allocations des salariés. Comment allez-vous financer tout ça ?

Dans l’accord de gouvernement, nous avons prévu une ligne budgétaire pour les indépendants, un autre montant pour les allocations. Petit-Leez était consacré �* l’économie. Ostende sera consacré au social.

Vos priorités ?

Inscrire durablement le principe de la liaison au bien-être des allocations, relever les plafonds salariaux (NDLR : qui servent �* calculer les allocations), augmenter les minima, faire un geste pour les pensions qui ont plus de six ans d’ancienneté, déjouer les pièges �* l’emploi, améliorer les congés parentaux, les allocations des enfants handicapés.

Nous voulons sortir d’Ostende en donnant l’image d’un gouvernement qui favorise la prospérité économique et renforce la protection sociale, notamment celle des plus faibles. Ce super-conseil doit exécuter loyalement l’accord de gouvernement.

Faute de budget, vous ne pourrez pas tout faire.

On va échelonner les mesures sur plusieurs années par étapes. Mais il faut prévoir une liaison des allocations au bien-être. Depuis les années ’80, elles ont décroché du niveau de vie, du revenu des actifs. Le montant de cette liaison sera calculé en fonction des moyens disponibles. On négociera ensuite avec patrons et syndicats pour déterminer quelles allocations revaloriser. Les partenaires sociaux devraient examiner ce décrochage entre les salaires et les allocations. Le comparer aux pays voisins, �* l’instar de ce que fait le Conseil central de l’économie, pour calculer la marge des augmentations salariales.

Les ministres Vande Lanotte, Vanden Broucke, Demotte ont tous laissé entendre, tour �* tour, qu’�* politique inchangée, notre modèle social n’était pas tenable. Un Titanic ?

Je suis totalement opposé �* l’idée selon laquelle le financement de la sécu serait intenable, et partant notre modèle social serait condamné. Il suffit de voir les pays scandinaves.

Ces dernières années, on a considérablement réduit les charges sociales, on a réduit l’impôt, et on a fait tout cela au nom de la compétitivité. Très bien. Mais on se rend compte que les effets réels de ces mesures sur l’activité économique ne sont pas mirobolants. Contrairement �* ce que prédisaient les idéologues de droite. Plutôt que des problèmes de charges sociales, nombre d’entreprises ont en réalité des problèmes de positionnement de leurs produits, de marketing, de capacité d’innovation et de recherche, de simplification des aides �* l’emploi, de management parfois Pas forcément des problèmes de charges salariales ! Lernout et Hauspie, ce n’était pas un problème de charges sociales quand même !

Si l’on soutient l’activité d’une part, et si l’on fait bien rentrer les sous dans les caisses de l’Etat de l’autre, sans taxer �* l’excès, le modèle social peut tenir.

J’ajoute que pour y parvenir, il faut aussi se défendre efficacement au niveau européen contre les poussées ultra-libérales. Dire non, par exemple, �* la libéralisation des services que propose la Commission. La Belgique vient de le faire, �* la demande du PS. C’est vrai qu’il n’est pas facile de refermer aujourd’hui la vanne de l’ultralibéralisme ouverte dans les années 1980 par Margaret Thatcher.

L’extrême droite monte dans les sondages. Comment endiguer cette marée de mécontentement ?

De trois manières. Un : créer les conditions de la prospérité, par l’activité économique et l’emploi. Deux : rapprocher les élus des gens, les rendre plus attentifs, �* l’écoute. L�*, je réfute l’argument selon lequel les permanences sociales sont de mauvaises choses. Au contraire. C’est un contact utile entre politiques et citoyens. Trois : exécuter sans délai ce qu’on a prévu dans le domaine de la sécurité. Il faut 2.500 policiers de plus dans les rues. Montrer �* nos concitoyens qu’il y a des policiers dans les quartiers, �* pied, en vélo !

Sur ces trois points, le bilan des dix dernières années n’est donc pas satisfaisant

En effet. La preuve.

Vous trouvez normal que des hommes politiques figurent sur des listes électorales mais ne siégeront pas l�* où ils concourent ?

L’essentiel, c’est d’assumer des responsabilités politiques. Que l’on soit au parlement régional, fédéral ou européen, l’homme politique doit avoir une connaissance de tous les enjeux.

Je plaide ardemment la cause des partis. Je sais qu’il n’est pas bon de dire que les partis sont importants, mais dans un pays comme le nôtre, avec trois Communautés, trois Régions etc., si on n’avait pas les formations politiques, le pays serait en morceaux. Les partis, ce sont les seuls lieux d’inclusion. Où l’on a une vision globale des choses.

Le poste de commissaire européen est-il négociable après le 13 juin ?

Ce n’est pas exclu. Mais la politique de Philippe Busquin porte ses fruits. M. Busquin, c’est « the right man in the right place ». Si on devait changer, la Belgique pourrait perdre de l’influence �* la Commission. Cela aussi, il faut en tenir compte.

Le président du PS juge la sérénité revenue dans la majorité. La crise du VLD avait déstabilisé la violette. Pensions et allocations au menu d’Ostende, lors du superconseil des ministres des 20 et 21 mars.

ENTRETIEN - DAVID COPPI, BÉNÉDICTE VAES

Le gouvernement se déplacera �* Ostende les 20 et 21 mars, pour le deuxième super Conseil des ministres. Celui-ci sera consacré essentiellement au social. Le président du PS anticipe et, �* une semaine du rendez-vous, plante le décor politique.


Le parti de Jean-Luc Dehaene, le CD&V vous drague beaucoup en ce moment, non ?

Nous préférons être dragués plutôt que boudés. Je constate que, dans les gazettes flamandes, le CD&V dit du mal du PS, et que, dans les gazettes francophones, il en dit du bien Bon, mais le PS est un parti loyal. Et je ne confonds pas les élections régionales et les élections législatives. En tant que grand parti, nous n’excluons aucune hypothèse, mais celle d’élections anticipées est purement théorique.

Le CD&V en cartel avec la NV-A, ça vous fait peur ? On connaît le programme du parti de Geert Bourgeois : scission de la Sécu, séparatisme

Il ne faut pas avoir peur en politique, mais je l’ai dit �* mes interlocuteurs du CD&V : ils doivent limiter leur alliance �* la Flandre. Ce serait extrêmement dangereux d’épouser les thèses du NV-A au niveau fédéral.

Vous aviez dit en février que le gouvernement devait se ressaisir. C’est fait ?

A l’époque, au VLD, Karel De Gucht avait créé les conditions d’une très grande déstabilisation. J’avais dit, dès octobre, que l’octroi du droit de vote aux non-Européens devait se terminer pour Noël. Il était prévu que le VLD s’oppose. Mais, en insistant, en retardant, en dépassant janvier, le VLD a tout perturbé. Un gouvernement ne peut pas tenir si le parti du Premier ministre ne donne pas des gages de solidité. Il fallait remettre de l’ordre.

Aujourd’hui, je crois que sont revenues les conditions de la sérénité. Avec un peu de bonne volonté des quatre partis, le gouvernement peut agir valablement.

Le super-conseil de Petit-Leez a décidé des avancées en faveur des indépendants. Celui d’Ostende, les 20 et 21 mars, doit améliorer les pensions et autres allocations des salariés. Comment allez-vous financer tout ça ?

Dans l’accord de gouvernement, nous avons prévu une ligne budgétaire pour les indépendants, un autre montant pour les allocations. Petit-Leez était consacré �* l’économie. Ostende sera consacré au social.

Vos priorités ?

Inscrire durablement le principe de la liaison au bien-être des allocations, relever les plafonds salariaux (NDLR : qui servent �* calculer les allocations), augmenter les minima, faire un geste pour les pensions qui ont plus de six ans d’ancienneté, déjouer les pièges �* l’emploi, améliorer les congés parentaux, les allocations des enfants handicapés.

Nous voulons sortir d’Ostende en donnant l’image d’un gouvernement qui favorise la prospérité économique et renforce la protection sociale, notamment celle des plus faibles. Ce super-conseil doit exécuter loyalement l’accord de gouvernement.

Faute de budget, vous ne pourrez pas tout faire.

On va échelonner les mesures sur plusieurs années par étapes. Mais il faut prévoir une liaison des allocations au bien-être. Depuis les années ’80, elles ont décroché du niveau de vie, du revenu des actifs. Le montant de cette liaison sera calculé en fonction des moyens disponibles. On négociera ensuite avec patrons et syndicats pour déterminer quelles allocations revaloriser. Les partenaires sociaux devraient examiner ce décrochage entre les salaires et les allocations. Le comparer aux pays voisins, �* l’instar de ce que fait le Conseil central de l’économie, pour calculer la marge des augmentations salariales.

Les ministres Vande Lanotte, Vanden Broucke, Demotte ont tous laissé entendre, tour �* tour, qu’�* politique inchangée, notre modèle social n’était pas tenable. Un Titanic ?

Je suis totalement opposé �* l’idée selon laquelle le financement de la sécu serait intenable, et partant notre modèle social serait condamné. Il suffit de voir les pays scandinaves.

Ces dernières années, on a considérablement réduit les charges sociales, on a réduit l’impôt, et on a fait tout cela au nom de la compétitivité. Très bien. Mais on se rend compte que les effets réels de ces mesures sur l’activité économique ne sont pas mirobolants. Contrairement �* ce que prédisaient les idéologues de droite. Plutôt que des problèmes de charges sociales, nombre d’entreprises ont en réalité des problèmes de positionnement de leurs produits, de marketing, de capacité d’innovation et de recherche, de simplification des aides �* l’emploi, de management parfois Pas forcément des problèmes de charges salariales ! Lernout et Hauspie, ce n’était pas un problème de charges sociales quand même !

Si l’on soutient l’activité d’une part, et si l’on fait bien rentrer les sous dans les caisses de l’Etat de l’autre, sans taxer �* l’excès, le modèle social peut tenir.

J’ajoute que pour y parvenir, il faut aussi se défendre efficacement au niveau européen contre les poussées ultra-libérales. Dire non, par exemple, �* la libéralisation des services que propose la Commission. La Belgique vient de le faire, �* la demande du PS. C’est vrai qu’il n’est pas facile de refermer aujourd’hui la vanne de l’ultralibéralisme ouverte dans les années 1980 par Margaret Thatcher.

L’extrême droite monte dans les sondages. Comment endiguer cette marée de mécontentement ?

De trois manières. Un : créer les conditions de la prospérité, par l’activité économique et l’emploi. Deux : rapprocher les élus des gens, les rendre plus attentifs, �* l’écoute. L�*, je réfute l’argument selon lequel les permanences sociales sont de mauvaises choses. Au contraire. C’est un contact utile entre politiques et citoyens. Trois : exécuter sans délai ce qu’on a prévu dans le domaine de la sécurité. Il faut 2.500 policiers de plus dans les rues. Montrer �* nos concitoyens qu’il y a des policiers dans les quartiers, �* pied, en vélo !

Sur ces trois points, le bilan des dix dernières années n’est donc pas satisfaisant

En effet. La preuve.

Vous trouvez normal que des hommes politiques figurent sur des listes électorales mais ne siégeront pas l�* où ils concourent ?

L’essentiel, c’est d’assumer des responsabilités politiques. Que l’on soit au parlement régional, fédéral ou européen, l’homme politique doit avoir une connaissance de tous les enjeux.

Je plaide ardemment la cause des partis. Je sais qu’il n’est pas bon de dire que les partis sont importants, mais dans un pays comme le nôtre, avec trois Communautés, trois Régions etc., si on n’avait pas les formations politiques, le pays serait en morceaux. Les partis, ce sont les seuls lieux d’inclusion. Où l’on a une vision globale des choses.

Le poste de commissaire européen est-il négociable après le 13 juin ?

Ce n’est pas exclu. Mais la politique de Philippe Busquin porte ses fruits. M. Busquin, c’est « the right man in the right place ». Si on devait changer, la Belgique pourrait perdre de l’influence �* la Commission. Cela aussi, il faut en tenir compte.

Le président du PS juge la sérénité revenue dans la majorité. La crise du VLD avait déstabilisé la violette. Pensions et allocations au menu d’Ostende, lors du superconseil des ministres des 20 et 21 mars.

ENTRETIEN - DAVID COPPI, BÉNÉDICTE VAES

Le gouvernement se déplacera �* Ostende les 20 et 21 mars, pour le deuxième super Conseil des ministres. Celui-ci sera consacré essentiellement au social. Le président du PS anticipe et, �* une semaine du rendez-vous, plante le décor politique.

Le parti de Jean-Luc Dehaene, le CD&V vous drague beaucoup en ce moment, non ?

Nous préférons être dragués plutôt que boudés. Je constate que, dans les gazettes flamandes, le CD&V dit du mal du PS, et que, dans les gazettes francophones, il en dit du bien Bon, mais le PS est un parti loyal. Et je ne confonds pas les élections régionales et les élections législatives. En tant que grand parti, nous n’excluons aucune hypothèse, mais celle d’élections anticipées est purement théorique.

Le CD&V en cartel avec la NV-A, ça vous fait peur ? On connaît le programme du parti de Geert Bourgeois : scission de la Sécu, séparatisme

Il ne faut pas avoir peur en politique, mais je l’ai dit �* mes interlocuteurs du CD&V : ils doivent limiter leur alliance �* la Flandre. Ce serait extrêmement dangereux d’épouser les thèses du NV-A au niveau fédéral.

Vous aviez dit en février que le gouvernement devait se ressaisir. C’est fait ?

A l’époque, au VLD, Karel De Gucht avait créé les conditions d’une très grande déstabilisation. J’avais dit, dès
Rudi Dierick is offline   Met citaat antwoorden
Oud 13 maart 2004, 17:49   #2
Bruno*
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Citaat:
Le CD&V en cartel avec la NV-A, ça vous fait peur ? On connaît le programme du parti de Geert Bourgeois : scission de la Sécu, séparatisme

Il ne faut pas avoir peur en politique, mais je l’ai dit �* mes interlocuteurs du CD&V : ils doivent limiter leur alliance �* la Flandre. Ce serait extrêmement dangereux d’épouser les thèses du NV-A au niveau fédéral.

VIVE LE PS
Bruno* is offline   Met citaat antwoorden
Oud 13 maart 2004, 19:21   #3
Rudi Dierick
Gouverneur
 
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Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Bruno*
Citaat:
Le CD&V en cartel avec la NV-A, ça vous fait peur ? On connaît le programme du parti de Geert Bourgeois : scission de la Sécu, séparatisme

Il ne faut pas avoir peur en politique, mais je l’ai dit �* mes interlocuteurs du CD&V : ils doivent limiter leur alliance �* la Flandre. Ce serait extrêmement dangereux d’épouser les thèses du NV-A au niveau fédéral.

VIVE LE PS
Geen enkel inhoudelijk argument. Dat lijkt me echt iets op het typische nivo van de (konservatieve) belgicisten.
Rudi Dierick is offline   Met citaat antwoorden
Oud 13 maart 2004, 19:25   #4
marijke
Burger
 
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Oorspronkelijk geplaatst door Rudi Dierick
In Le Soir van vandaag stond er weer zo'n uitermate leerrijk interview met Elio Di Rupo. Enkele hoogtepunten :


A l’époque, au VLD, Karel De Gucht avait créé les conditions d’une très grande déstabilisation. J’avais dit, dès octobre, que l’octroi du droit de vote aux non-Européens devait se terminer pour Noël. Il était prévu que le VLD s’oppose. Mais, en insistant, en retardant, en dépassant janvier, le VLD a tout perturbé.

Il ne faut pas avoir peur en politique, mais je l’ai dit �* mes interlocuteurs du CD&V : ils doivent limiter leur alliance �* la Flandre. Ce serait extrêmement dangereux d’épouser les thèses du NV-A au niveau fédéral.
mais enfin..Nu weten we meteen, voor wie we niet moeten stemmen..want het is geweten, de CD&Vis met alles en iedereen akkoord..En dus weten ze nu al dat de vlaamse belangen onder in de schuif moeten gestopt worden.
__________________
achter de wolken schijnt altijd de zon..
marijke is offline   Met citaat antwoorden
Oud 13 maart 2004, 19:29   #5
Bruno*
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Zo hoort het. Leve DiRupo, de beste nep-Belg ooit.
Bruno* is offline   Met citaat antwoorden
Oud 13 maart 2004, 21:07   #6
fernand
Europees Commissaris
 
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Locatie: ertvelde/evergem
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Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Bruno*
Zo hoort het. Leve DiRupo, de beste nep-Belg ooit.
Eigen Walen-volk eerst.
Zulke politiekers missen we in Vlaanderen!
fernand is offline   Met citaat antwoorden
Oud 14 maart 2004, 04:37   #7
Hilde Dillen
Partijlid
 
Geregistreerd: 24 januari 2004
Berichten: 206
Standaard

Citaat:
Oorspronkelijk geplaatst door Bruno*
Zo hoort het. Leve DiRupo, de beste nep-Belg ooit.

En de beste nep-globalistische salon-socialist ook.
Je zou hem kunnen laten verbroederen met Paul Rosenmüller...
Hilde Dillen is offline   Met citaat antwoorden
Oud 14 maart 2004, 04:44   #8
Herman Desmedt ©HD
Minister-President
 
Herman Desmedt ©HD's schermafbeelding
 
Geregistreerd: 5 maart 2004
Locatie: Beersel (Halle-Vilvoorde dus)
Berichten: 5.801
Standaard

Di Rupo stookt graag vuurtjes, maar hij zou zich nog eens kunnen verbranden.

Na 13 Juni zouden we met een overwegend rechts blok kunnen zitten in Vlaanderen, Europa en met een blokeringsminderheid (VB) in Brussel.

Benieuwd wat hij dan gaat piepen.
__________________
Er zijn altijd 3 kanten aan een medaille ... en soms is die waar je eindeloos in de zelfde richting kan gaan zelfs nog de interessantste. ©HD
Herman Desmedt ©HD is offline   Met citaat antwoorden
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