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#1 |
Burger
Geregistreerd: 12 november 2005
Berichten: 192
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![]() Charleroi: peur sur la ville
Francis Van de Woestyne Mis en ligne le 07/06/2006 - - - - - - - - - - - La ville est entre les mains d'une poignée de personnes. Les gentils, les obligés se taisent. Les rénovateurs relèvent la tête malgré les menaces et les intimidations. "Salopes! Vl'a les salopes...!" Ce soir-l�*, les militants de l'Union socialiste communale de Charleroi accueillent �* leur manière les journalistes de la RTBF. Pour accéder au local, il faut se frayer un chemin entre les amis du député permanent Jean-Pierre De Clercq, dont le sort doit être discuté entre les camarades. De Clercq a mis en doute la compétence et l'impartialité de la juge France Baekeland qui l'a inculpé dans le cadre de ses activités de curateur. Dès lors, De Clercq a rameuté ses hommes et ses femmes qui frôlent et bousculent les invités jugés hostiles �* sa cause. Les injures fusent. Franchissant difficilement cette haie d'honneur, Jean-Pierre Van Gompel, le bourgmestre de Charleroi, n'échappe pas aux insultes. Il s'installe, furieux, sur l'estrade de la salle où se tient la réunion. Mais sa colère s'estompe vite: Van Cau lui fait ravaler ses velléités d'en découdre avec De Clercq, son ami. D'ailleurs, tout le scénario de cette soirée a été réglé d'avance par Van Cau lui-même: Van Gompel s'occupera des problèmes communaux. Il se réservera les problèmes provinciaux, �* savoir le sort de Jean-Pierre De Clercq. Le seul vote portera sur le fait de savoir si De Clercq doit faire l'objet d'un blâme. Ceux qui souhaitaient son exclusion en sont réduits �* voter pour le blâme... Entre parvenus, on se soutient. ON VOTE À MAIN LEVÉE POUR MIEUX REPÉRER LES TRAÎTRES... ET LES RÉNOVATEURS Le résultat du vote est stalinien. Mais il a été acquis grâce �* la terreur que le camp Van Cau fait régner depuis toujours sur Charleroi. Car l'USC, c'est quoi? Des mandataires en place, des gentils, des sages, et les obligés de Jean-Claude Van Cauwenberghe, ceux qui lui doivent leur élection. Leur point commun? Leur soumission �* Van Cau. Leur silence. Leur dévouement total. Ceux-l�* ferment les yeux et les oreilles quand il le faut, battent des mains quand on le leur demande et lèvent le carnet de militant au signal du vote. Car ici, la plupart des votes «démocratiques» se font �* main levée, histoire de mieux repérer les traîtres, les vendus, les rénovateurs. Les quoi? «La rénovation est le cache-sexe des ambitieux», a dit Van Cau. Tout est dit. Ici, les rénovateurs (Isabelle Minsier, présidente des jeunes socialistes, Ingrid Colicis, Paul Ficheroulle, députés wallons et Eric Massin député fédéral) ne sont que des emmerdeurs, des empêcheurs d'arranger en rond, des gens qui parlent «valeurs» �* ceux qui ne comprennent que le mot «argent». Au départ, les rénovateurs ont été utilisés pour démontrer qu'�* côté des indélicats, il y avait aussi quelques blanches colombes. Mais très vite, ces colombes ont rué dans les brancards et aujourd'hui, ils et elles ont peur. A Charleroi, tout est entre les mains d'une poignée de personnes qui ont mis le grappin sur une ville. Forts, il faut bien l'admettre, d'une majorité acquise d'élection en élection, ils décident seuls du destin de la ville quitte �* faire passer leurs intérêts et ceux de leurs obligés avant tout le reste. Certains ont été plus maladroits que d'autres. Ils tombent devant la justice les uns après les autres. Comment ont-ils pu agir pendant des lustres en toute liberté, sans contrôle? Les 15 sections locales sont aux mains, pour la plupart, d'amis de Jean-Claude Van Cauwenberghe. Quand l'USC doit voter, ce sont ces hommes et ces femmes qui participent au scrutin, en fonction de l'importance respective de leur section. Tel président a 15 voix, tel autre 20. Mais in fine, le militant n'a que peu souvent voix au chapitre. L'établissement des listes électorales est aussi un simulacre de démocratie: on choisit, par vote, les têtes de listes �* la commune et �* la province. Puis c'est le règne de l'arbitraire, du savant dosage entre les échevins sortants, les fils de (Van Cau, De Clercq, Wilgaut). Les autres se partagent les miettes du gâteau. Quand on hésite entre deux femmes, par exemple, c'est la photo qui sert �* choisir. Les mignonnes gagnent toujours. Mais globalement, les femmes, on ne les aime guère. Soit, «parce que ce sont de jeunes pucelles sans expérience», soit «parce qu'elles ont déj�* vécu». Le rapport des hommes politiques socialistes avec les femmes mériterait, �* lui seul, une vaste étude. La plupart de ces potentats locaux ont délaissé l'épouse d'antan pour s'afficher avec la dernière conquête qui parfois, passe de l'un �* l'autre. Car la première qualité d'une femme, pour eux, est qu'elle se couche. Pas nécessairement qu'elle couche. Mais qu'elle SE couche, qu'elle dise oui merci, qu'elle soit jolie, qu'elle porte de jupes courtes. Elle ne doit pas trop parler, pas trop penser, pas trop vouloir. Juste faire tapisserie. L'une d'elles avait eu le courage de dénoncer le machisme du collège: elle a été traduite devant le tribunal de ses pairs. LA PREMIÈRE QUALITÉ D'UNE FEMME EST QU'ELLE (SE) COUCHE Bien sûr, tous les socialistes de Charleroi ne sont pas comme cela. Les purs, les vrais, les audacieux, il y en a. Mais soit ils sont réduits au silence, soit ils sont menacés. Menacés? Oui. En paroles, en gestes, en actions. Que dire de celle-ci qui ne dort plus chez elle depuis une semaine, parce qu'un de ses voisins est un homme �* De Clercq? Parano? Elle a peur, tout simplement, parce que, de temps �* autre, mue par son idéal, elle ose affronter les éléphants locaux. Et que dire de cette autre dont la porte d'entrée a déj�* été aspergée d'essence? Elle a déj�* reçu un fumigène dans sa boîte aux lettres et elle n'ose plus laisser son enfant aller seul �* l'école ou �* la garderie? Parano elle aussi? Ce climat de menaces n'est pas toujours visible, tangible, démontrable. Après les réunions où les rebelles se font entendre, des «amis qui leur veulent du bien» viennent toujours leur dire: «Tu as été trop loin, tu vas le regretter.» Qui sont-ils? Des hommes de main «limite Front national». En dire plus, ce serait mettre en péril ceux et celles qui ont le courage de parler. Et encore: �* demi-mots, cachés, en demandant de tout faire pour qu'on ne les reconnaisse pas trop. Les interviews sont systématiquement épluchées et tout propos jugé «anticonfraternel» entraîne une comparution de son auteur. Mardi soir encore, le nouveau comité de vigilance, chargé non pas de traquer les fauteurs mais les traîtres, devait entendre Isabelle Minsier, Ingrid Colicis et Eric Massin pour leur «dérapage verbal», c'est-�*-dire de simples critiques sur l'establishment local. L'avenir? Sur place, les anciens font le gros dos. Van Gompel, qui a reçu des mains d'Elio Di Rupo et de l'ensemble du bureau du PS, les clés de la rénovation, a tôt fait de trahir la confiance qu'on lui avait donnée en s'agenouillant une fois encore (une fois de trop?) devant Van Cau, lequel s'est baptisé, quatre jours plus tard, le pape de la rénovation? Il est comme cela, Van Gompel, on ne le refera pas. Honnête. Oui. Mais tellement mou, mou, mou. Et il change d'avis trois fois par jour. Le matin, il se lève rénovateur. Il ne l'est plus quand il prend son petit-déjeuner avec Van Cau. Il le redevient quand Di Rupo l'appelle. Comment rénover le parti et l'ouvrir? C'est quasiment impossible. Quand on dit «ouverture aux chrétiens», la moitié de l'USC frise l'apoplexie. Ouverture aux Ecolos? L'autre moitié hurle. A l'associatif? Personne ne sait ce que c'est... Ils disent qu'ils ont tout fait pour la ville. Faux. Le bilan est catastrophique. Un jeune sur deux est au chômage. Charleroi perd ses cerveaux parce qu'il n'y a pas d'université et pas beaucoup de travail qualifié. La population se paupérise. Les uniques débats au niveau local portent sur la création des centres commerciaux et sur le point de savoir si l'on y installera un Delhaize ou un Mestdagh. Le pire, sans doute, c'est que l'influence néfaste des éléphants se fera encore sentir même quand ils seront partis. Car Van Cau a tissé des liens partout et son système féodal, même s'il se lézarde, a encore une influence considérable. Tout ceci, diront-ils, n'est que mensonges, exagérations, calomnies. Hélas, non, trois fois non: ce serait bien plus simple si tout cela était romancé. Charleroi attend seulement qu'on la libère du joug socialo-totalitaire dans laquelle elle se meurt. Le pire serait qu'il ne se passe rien. © La Libre Belgique 2006 Ik weet het, het is geen kleine inspanning om deze tekst helemaal uit te lezen, maar a.u.b. wie een klein beetje Frans kent, doe het, u zal uw ogen niet geloven. Commentaar vanuit Vlaanderen wordt overbodig. Misschien heeft iemand wel tijd genoeg om de tekst te vertalen? |
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#2 |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 19 april 2006
Locatie: Zele
Berichten: 44.678
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![]() straffe taal, hopelijk komt er een klik in Wallonië.
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#3 |
Perm. Vertegenwoordiger VN
Geregistreerd: 3 oktober 2003
Locatie: Zou ik ook graag weten
Berichten: 14.746
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![]() as hetgeen daarin staat waar is dan moet die PS dadelijk afgezonderd worden in een cordon sanitaire of zo...
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#4 |
Partijlid
Geregistreerd: 22 mei 2006
Berichten: 227
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![]() Het toont de PS van Charleroi in al haar perverse glorie, le fief de van Cau.
Het is wel fantastisch dat een dergelijk artikel k�*n geschreven en gepubliceerd worden in een franstalige krant. Dit is een kritiek, harder en scherper dan gelijk welke Vlaming had kunnen of willen formuleren, en dat is met inbegrip van het Vlaams Belang. Hopelijk staat Wallonië aan de vooravond van zijn bevrijding uit de socialistische verknechting. Van Cau staat voor de "oude" PS, die de SP(a) steeds een zusterpartij genoemd heeft. Mooie familie hebben die. Het is ook dezelfde oude PS die de regeringen Verhofstadt schraagt, de nieuwe PS (als ze er ooit komt) is immers nog een ongeboren kind. |
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#5 | |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 8 juni 2005
Locatie: Brussel
Berichten: 21.945
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![]() Citaat:
![]() Ik weet niet of LLB juist is, maar het artikel komt wel overeen met de algemene perceptie.
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Met democratie maak je van een paard, een Romeinse consul. |
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#6 |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 23 augustus 2002
Berichten: 47.308
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![]() Ik denk dat er achtereen wel ies ne journalist van de libre, achter een ander job kan gaan zoeken, ... ofwel hebben ze de toestemming van Il Duche Die Rupette natuurlijk...
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#7 | |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 8 juni 2005
Locatie: Brussel
Berichten: 21.945
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![]() Citaat:
Langs Franstalige kant bestaat er nu eenmaal een traditie van "erin vliegen".
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Met democratie maak je van een paard, een Romeinse consul. |
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#8 |
Perm. Vertegenwoordiger VN
Geregistreerd: 6 september 2004
Locatie: Hoofdstad der holbewoners waar de Schelde op z'n mooist is en de gevangenen nog vrij rondlopen
Berichten: 13.284
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![]() De stad is tussen de handen van een handvat van personen. Aardig, de debiteuren verzwijgt zich. Vernieuwend stelt het hoofd ondanks de bedreigingen en de intimidaties vast.
„Salopes! Vl' heeft salopes…!“ Deze avond, ontvangen de militanten van de socialistische GemeenteUnie van Charleroi op hun manier de journalisten van RTBF. Om het lokaal te bereiken, moet men een weg tussen de vrienden van de permanente afgevaardigde Jean-Pierre van Clercq zich banen, van wie het lot besproken moet worden tussen de kameraden. Van Clercq hebben de bevoegdheid en de onpartijdigheid van de rechter Frankrijk Baekeland in twijfel getrokken die het in verband met zijn activiteiten van curator heeft beschuldigd. Derhalve van Clercq rameuté zijn mannen en zijn vrouwen die de gasten geacht gekant tegen zijn oorzaak licht aanraken en in de war brengen. De scheldwoorden barsten los. Moeilijk overschrijdend deze haag van eer, Jean-Pierre Van Gompel, de burgemeester van Charleroi, ontsnapt niet aan de beledigingen. Hij installeert, zich woedend, op estrade van de zaal waar de vergadering plaatsvindt. Maar zijn woede vervaagt zich snel: Van Cau laat hem zijn besluiteloosheid van in découdre met een Clercq, zijn vriend verlagen. Trouwens werd het heel scenario van deze avond van tevoren door Van Cau zelf geregeld: Van Gompel zal zich met de gemeenteproblemen bezighouden. Hij zal de provinciaalse zich problemen reserveren met name het lot van Jean-Pierre van Clercq. De enige stemming zal op het feit betrekking hebben om te weten of van Clercq moet doen het onderwerp van een afkeuring. Degenen die zijn uitsluiting wensten zijn verminderd erover om voor de afkeuring te stemmen… Tussen bereikt, ondersteunt men zich. MEN STEMT AAN OPGEHEVEN HAND OM BETER DE VERRADERS TE VINDEN… EN VERNIEUWEND. Het resultaat van de stemming is stalinistisch. Maar hij is dank zij de ontzetting verkregen die het kamp Van Cau sinds op Charleroi laat altijd regeren. Want USC, is het die? Gevolmachtigden bestaand, aardig, wijze, en de debiteuren van Jean-Claude Van Cauwenberghe, degenen die hem hun verkiezing moeten. Hun punt van overeenkomst? Hun indiening aan Van Cau. Hun stilte. Hun totale toewijding. Die sluiten de ogen en de oren wanneer men het nodig heeft, slaan handen wanneer men het hun vraagt en het boekje van militant aan het signaal van de stemming opheffen. Want hier, komt het merendeel van „de democratische“ stemming aan opgeheven hand, geschiedenis tot stand om beter de verraders te vinden, verkochte ze, vernieuwend. Wat? „De renovatie is het dekblad-geslacht van ambitieus“, Van Cau gezegd. Alle wordt gezegd. Hier is vernieuwend (Isabelle Minsier, voorzitster van de jonge socialisten, Ingrid Colicis, Paul Ficheroulle, Waalse afgevaardigden en federale Eric afgevaardigde Massin) slechts een emmerdeurs, empêcheurs in cirkel, van de mensen te rangschikken die „waarden“ met degenen spreken die slechts het woord „geld“ omvatten. In het begin, werd vernieuwend gebruikt om uit te wijzen dat naast onkies, er eveneens enkele witte duiven waren. Maar zeer snel, hebben deze duiven straat in de draagbaren en vandaag, zij en zij vrezen. IN Charleroi, is alles tussen de handen van een handvat van personen die de haak hebben gezet op een stad. Sterk, moet men goed het toestemmen, van een verkregen verkiezingsmeerderheid in verkiezing, zij besluiten enig tot het lot van de stad op gevaar af hun belangen en die van hun debiteuren te laten voorbijgaan vooral de rest. Sommige zijn onhandiger geweest dan anderen. Zij vallen voor de rechtvaardigheid de één na de ander. Hoe zij gedurende glanzen in alle vrijheid, zonder controle hebben kunnen handelen? De 15 plaatselijke afdelingen zijn aan de handen, voor het merendeel, van vrienden van Jean-Claude Van Cauwenberghe. Wanneer USC moet stemmen, zijn het deze mannen en deze vrouwen die aan de stemming, in functie van het respectieve belang van hun afdeling deelnemen. De dergelijke voorzitter heeft 15 stemmen, zoals ander 20. Maar aan het slot, heeft de militant slechts niet vaak stemmen aan het hoofdstuk. Het opstellen van de kiezerslijsten is eveneens een nabootsing van democratie: men kiest, per stemming, de hoofden van lijsten aan de gemeente en de provincie. Vervolgens is het de regering van willekeurig, van de geleerde doseren tussen de aftredende wethouders, de draden van (Van Cau, Van Clercq, Wilgaut). De anderen delen zich de kruimels van de taart. Wanneer men tussen twee vrouwen, bijvoorbeeld aarzelt, is het de foto die dient om te kiezen. Knap wint altijd. Maar over het geheel genomen, de vrouwen, houdt men van ze nauwelijks. Ofwel, „omdat het jonge maagden zonder ervaring“ zijn, ofwel „omdat zij reeds“ hebben geleefd. Het verslag van de socialistische politici met de vrouwen zou, alleen, een uitgebreide studie waard zijn. Het merendeel van deze plaatselijke potentaten heeft de echtgenote van antan verlaten om zich met de laatste verovering aan te geven die soms, van een aan de andere voorbijgaat. Want de eerste kwaliteit van een vrouw, voor hen, is dat zij naar bed gaat. Niet noodzakelijkerwijs die zij legt. Maar dat zij naar bed gaat, dat zij ja bedankt zegt, dat zij mooi is, dat zij van korte rokken draagt. Zij moet niet te veel spreken, niet te veel, niet te veel denken te willen. Net tapijtwerk doen. Één van hen had de moed gehad om machisme van het college aan te geven: zij werd voor de rechtbank van haar paren vertaald. De EERSTE KWALITEIT van een VROUW OOSTEN DIE ZIJ () LEGT Natuurlijk zijn alle socialisten van Charleroi niet als dat. Zuiver, het ware, dapper, er in a. maar ofwel zijn er verminderd tot de stilte, ofwel worden zij bedreigd. Bedreigd? Jawoord. In woorden, in gebaren, in acties. Wat van deze zeggen die niet meer bij haar sinds een week slaapt, omdat een van zijn buren een man aan een Clercq is? Parano? Zij vreest, doodeenvoudig, omdat, van tijd aan ander, bewogen door haar ideaal, zij durft de plaatselijke olifanten te trotseren. En dat van deze ander zeggen waarvan de deur van toegang reeds van benzine werd besproeid? Zij heeft reeds een rookverwekker in zijn mank gaat ontvangen - aan - brieven en zij durft niet meer haar kind te laten enig op school of de kleutercrèche gaan? Parano eveneens? Dit klimaat van bedreigingen is niet altijd zichtbaar, tastbaar, aantoonbaar. Na de vergaderingen waar de opstandelingen zich laten horen, „vrienden die hun van het goed“ zullen altijd hun zeggen willen: „Jij is te ver geweest, jij gaat het betreuren.“ Wie zijn zij? Handlangers „grens nationaal Voorhoofd“. In meer zeggen, zou het die in gevaar brengen en degenen zijn die de moed hebben om te spreken. En nog: aan half-woorden, verborgen, door om alles te vragen te doen opdat men ze niet te veel erkent. De interviews worden systematisch gepeld en elk geoordeeld woord „anticonfraternel“ heeft een comparitie van zijn auteur tot gevolg. Dinsdag avond nog, moest het nieuwe comité van waakzaamheid, niet verzocht om de aanstichters te achtervolgen maar de verraders, Isabelle Minsier, Ingrid Colicis en Eric Massin voor hun „mondelinge afwijking horen“, dat wil zeggen van eenvoudige kritiek op plaatselijke establishment. De toekomst? Ter plaatse doet oud de grote rug. Van Gompel, dat handen van Elio Di Rupo en van het geheel van het kantoor van PS heeft ontvangen, heeft de sleutels van de renovatie, vroeg gedaan om het vertrouwen te verraden dat men hem had gegeven door zich te knielen eens nog (eens van te veel?) voor Van Cau, dat zich, vier dagen later, de paus van de renovatie heeft gedoopt? Hij is als dat, Van Gompel, men zal het niet opnieuw maken. Eerlijk. Jawoord. Maar zo mou, mou, mou. En hij verandert drie keer per dag van mening. 's ochtends, staat hij vernieuwend op. Hij is het niet meer wanneer hij zijn ontbijt met Van Cau neemt. Hij wordt het weer wanneer Di Rupo het noemt. Hoe de partij vernieuwen en het openen? Het is bijna onmogelijk. Wanneer men „opening aan de christenen“ zegt, krult de helft van USC apoplexie. Opening aan Ecolos? De andere helft brult. AAN associatief? Niemand weet wat het… is Zij zeggen dat zij alles doen voor de stad hebben. Vervalsing. De balans is rampzalig. Een jongeman op twee is aan de werkloosheid. Charleroi verliest zijn hersenen omdat er geen universiteit en niet veel gekwalificeerd werk is. De bevolking verarmt zich. De enige debatten op plaatselijk niveau hebben betrekking op de oprichting van de winkelcentra en het punt om te weten of men er een Delhaize of een Mestdagh zal plaatsen. Slechtere, waarschijnlijk, het is dat de schadelijke invloed van de olifanten nog zelfs merkbaar zal zijn wanneer zij zullen vertrokken zijn. Want Van Cau heeft een band overal geweven en zijn feodaal systeem, zelfs als hij de spleet, zich nog een aanzienlijke invloed heeft. Dit alles, zullen zeggen is slechts leugens, overdrijvingen, laster. Helaas niet, drie keer niet: het zou veel eenvoudiger zijn als dat alles in romanvorm werd geschreven. Charleroi wacht alleen maar op dat men het van hettotalitaire juk bevrijdt waarin zij meurt. Het meest ergste zou zijn dat hij niets gebeurt. |
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#9 |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 23 augustus 2002
Berichten: 47.308
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![]() Da is door nen automatischen vertaler gedaan zeker, ...
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#10 |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 19 april 2006
Locatie: Zele
Berichten: 44.678
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#11 |
Perm. Vertegenwoordiger VN
Geregistreerd: 6 september 2004
Locatie: Hoofdstad der holbewoners waar de Schelde op z'n mooist is en de gevangenen nog vrij rondlopen
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#12 |
Partijlid
Geregistreerd: 22 mei 2006
Berichten: 227
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![]() Dit is ook een goeie :
Wat? „De renovatie is het dekblad-geslacht van ambitieus“, Van Cau gezegd. Alle wordt gezegd. Hier is vernieuwend (...) slechts een emmerdeurs, empêcheurs in cirkel, van de mensen te rangschikken die „waarden“ met degenen spreken die slechts het woord „geld“ omvatten. In het begin, werd vernieuwend gebruikt om uit te wijzen dat naast onkies, er eveneens enkele witte duiven waren. Maar zeer snel, hebben deze duiven straat in de draagbaren en vandaag, zij en zij vrezen. Compris ? |
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#13 | |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 9 november 2002
Berichten: 20.910
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#14 |
Staatssecretaris
Geregistreerd: 14 augustus 2002
Berichten: 2.701
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![]() In La Libre Belgique (07-06-06) is onder de titel "Charleroi: peur sur la ville een buitengewoon artikel verschenen van Libre-journalist Francis Van de Woestyne. Ik vind dit artikel belangwekkend omdat het licht werpt op een minder bekend aspect van het waalse socialisme, namelijk de cultuur van fysieke bedreiging waarmee de PS-top alles onder controle poogt te houden. Hier een uitgebreid uittreksel. Het is van groot belang om zich te realiseren dat Vlaanderen geregeerd worden door deze partij, hoewel Vlamingen door de wonderen van de Belgische 'democratie' geen elektorale greep hebben op de PS.
http://www.lalibre.be/article.phtml?...&art_id=290071 "Salopes! Vl'a les salopes...!" Ce soir-l�*, les militants de l'Union socialiste communale de Charleroi accueillent �* leur manière les journalistes de la RTBF. Pour accéder au local, il faut se frayer un chemin entre les amis du député permanent Jean-Pierre De Clercq, dont le sort doit être discuté entre les camarades. De Clercq a mis en doute la compétence et l'impartialité de la juge France Baekeland qui l'a inculpé dans le cadre de ses activités de curateur. Dès lors, De Clercq a rameuté ses hommes et ses femmes qui frôlent et bousculent les invités jugés hostiles �* sa cause. Les injures fusent. Franchissant difficilement cette haie d'honneur, Jean-Pierre Van Gompel, le bourgmestre de Charleroi, n'échappe pas aux insultes. Il s'installe, furieux, sur l'estrade de la salle où se tient la réunion. Mais sa colère s'estompe vite: Van Cau lui fait ravaler ses velléités d'en découdre avec De Clercq, son ami. D'ailleurs, tout le scénario de cette soirée a été réglé d'avance par Van Cau lui-même: Van Gompel s'occupera des problèmes communaux. Il se réservera les problèmes provinciaux, �* savoir le sort de Jean-Pierre De Clercq. Le seul vote portera sur le fait de savoir si De Clercq doit faire l'objet d'un blâme. Ceux qui souhaitaient son exclusion en sont réduits �* voter pour le blâme... Entre parvenus, on se soutient. ON VOTE À MAIN LEVÉE POUR MIEUX REPÉRER LES TRAÎTRES... ET LES RÉNOVATEURS Le résultat du vote est stalinien. Mais il a été acquis grâce �* la terreur que le camp Van Cau fait régner depuis toujours sur Charleroi. Car l'USC, c'est quoi? Des mandataires en place, des gentils, des sages, et les obligés de Jean-Claude Van Cauwenberghe, ceux qui lui doivent leur élection. Leur point commun? Leur soumission �* Van Cau. Leur silence. Leur dévouement total. Ceux-l�* ferment les yeux et les oreilles quand il le faut, battent des mains quand on le leur demande et lèvent le carnet de militant au signal du vote. Car ici, la plupart des votes «démocratiques» se font �* main levée, histoire de mieux repérer les traîtres, les vendus, les rénovateurs. Les quoi? «La rénovation est le cache-sexe des ambitieux», a dit Van Cau. Tout est dit. Ici, les rénovateurs (Isabelle Minsier, présidente des jeunes socialistes, Ingrid Colicis, Paul Ficheroulle, députés wallons et Eric Massin député fédéral) ne sont que des emmerdeurs, des empêcheurs d'arranger en rond, des gens qui parlent «valeurs» �* ceux qui ne comprennent que le mot «argent». Au départ, les rénovateurs ont été utilisés pour démontrer qu'�* côté des indélicats, il y avait aussi quelques blanches colombes. Mais très vite, ces colombes ont rué dans les brancards et aujourd'hui, ils et elles ont peur. A Charleroi, tout est entre les mains d'une poignée de personnes qui ont mis le grappin sur une ville. Forts, il faut bien l'admettre, d'une majorité acquise d'élection en élection, ils décident seuls du destin de la ville quitte �* faire passer leurs intérêts et ceux de leurs obligés avant tout le reste. Certains ont été plus maladroits que d'autres. Ils tombent devant la justice les uns après les autres. Comment ont-ils pu agir pendant des lustres en toute liberté, sans contrôle? Les 15 sections locales sont aux mains, pour la plupart, d'amis de Jean-Claude Van Cauwenberghe. Quand l'USC doit voter, ce sont ces hommes et ces femmes qui participent au scrutin, en fonction de l'importance respective de leur section. Tel président a 15 voix, tel autre 20. Mais in fine, le militant n'a que peu souvent voix au chapitre. L'établissement des listes électorales est aussi un simulacre de démocratie: on choisit, par vote, les têtes de listes �* la commune et �* la province. Puis c'est le règne de l'arbitraire, du savant dosage entre les échevins sortants, les fils de (Van Cau, De Clercq, Wilgaut). Les autres se partagent les miettes du gâteau. Quand on hésite entre deux femmes, par exemple, c'est la photo qui sert �* choisir. Les mignonnes gagnent toujours. Le rapport des hommes politiques socialistes avec les femmes mériterait, �* lui seul, une vaste étude. La plupart de ces potentats locaux ont délaissé l'épouse d'antan pour s'afficher avec la dernière conquête qui parfois, passe de l'un �* l'autre. Car la première qualité d'une femme, pour eux, est qu'elle se couche. Pas nécessairement qu'elle couche. Mais qu'elle SE couche, qu'elle dise oui merci, qu'elle soit jolie, qu'elle porte de jupes courtes. Elle ne doit pas trop parler, pas trop penser, pas trop vouloir. Juste faire tapisserie. L'une d'elles avait eu le courage de dénoncer le machisme du collège: elle a été traduite devant le tribunal de ses pairs. Bien sûr, tous les socialistes de Charleroi ne sont pas comme cela. Les purs, les vrais, les audacieux, il y en a. Mais soit ils sont réduits au silence, soit ils sont menacés. Menacés? Oui. En paroles, en gestes, en actions. Que dire de celle-ci qui ne dort plus chez elle depuis une semaine, parce qu'un de ses voisins est un homme �* De Clercq? Parano? Elle a peur, tout simplement, parce que, de temps �* autre, mue par son idéal, elle ose affronter les éléphants locaux. Et que dire de cette autre dont la porte d'entrée a déj�* été aspergée d'essence? Elle a déj�* reçu un fumigène dans sa boîte aux lettres et elle n'ose plus laisser son enfant aller seul �* l'école ou �* la garderie? Parano elle aussi? Ce climat de menaces n'est pas toujours visible, tangible, démontrable. Après les réunions où les rebelles se font entendre, des «amis qui leur veulent du bien» viennent toujours leur dire: «Tu as été trop loin, tu vas le regretter.» Qui sont-ils? Des hommes de main «limite Front national». En dire plus, ce serait mettre en péril ceux et celles qui ont le courage de parler. Et encore: �* demi-mots, cachés, en demandant de tout faire pour qu'on ne les reconnaisse pas trop. Les interviews sont systématiquement épluchées et tout propos jugé «anticonfraternel» entraîne une comparution de son auteur. Mardi soir encore, le nouveau comité de vigilance, chargé non pas de traquer les fauteurs mais les traîtres, devait entendre Isabelle Minsier, Ingrid Colicis et Eric Massin pour leur «dérapage verbal», c'est-�*-dire de simples critiques sur l'establishment local. L'avenir? Sur place, les anciens font le gros dos. Van Gompel, qui a reçu des mains d'Elio Di Rupo et de l'ensemble du bureau du PS, les clés de la rénovation, a tôt fait de trahir la confiance qu'on lui avait donnée en s'agenouillant une fois encore (une fois de trop?) devant Van Cau, lequel s'est baptisé, quatre jours plus tard, le pape de la rénovation? Il est comme cela, Van Gompel, on ne le refera pas. Honnête. Oui. Mais tellement mou, mou, mou. Et il change d'avis trois fois par jour. Le matin, il se lève rénovateur. Il ne l'est plus quand il prend son petit-déjeuner avec Van Cau. Il le redevient quand Di Rupo l'appelle. Comment rénover le parti et l'ouvrir? C'est quasiment impossible. Quand on dit «ouverture aux chrétiens», la moitié de l'USC frise l'apoplexie. Ouverture aux Ecolos? L'autre moitié hurle. A l'associatif? Personne ne sait ce que c'est... Ils disent qu'ils ont tout fait pour la ville. Faux. Le bilan est catastrophique. Un jeune sur deux est au chômage. Charleroi perd ses cerveaux parce qu'il n'y a pas d'université et pas beaucoup de travail qualifié. La population se paupérise. Les uniques débats au niveau local portent sur la création des centres commerciaux et sur le point de savoir si l'on y installera un Delhaize ou un Mestdagh. Le pire, sans doute, c'est que l'influence néfaste des éléphants se fera encore sentir même quand ils seront partis. Car Van Cau a tissé des liens partout et son système féodal, même s'il se lézarde, a encore une influence considérable. Tout ceci, diront-ils, n'est que mensonges, exagérations, calomnies. Hélas, non, trois fois non: ce serait bien plus simple si tout cela était romancé. Charleroi attend seulement qu'on la libère du joug socialo-totalitaire dans laquelle elle se meurt. Le pire serait qu'il ne se passe rien."
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#15 |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 9 november 2002
Berichten: 20.910
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![]() Dubbel post.
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#16 |
Partijlid
Geregistreerd: 22 mei 2006
Berichten: 227
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![]() Weet ik. De vraag is of er nu wél echt iets op gang gaat komen dan wel of het (weeral) bij een onschuldige speldeprik blijft waar de PS in geen tijd van herstelt.
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#17 |
Staatssecretaris
Geregistreerd: 14 augustus 2002
Berichten: 2.701
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![]() Dit bericht is erg belangrijk, vooral omdat er wordt verwezen naar de fysieke bedreigingen en het fysiek geweld dat de PS-top gebruikt om zijn positie te handhaven. De moord op Cools en nog enkele elementen laten wel vermoeden wat voor soort partij in België de plak zwaait, maar de info is op dit punt toch erg schaars.
Noteer ook de nefaste rol van de niet-geheime stemming die toelaat om dissidenten meteen te localiseren zodat men direct tot intimidatie kan overgaan. Het gaat hier natuurlijk om kieshandelingen binnen de partij; maar de hier geschetste praktijken maken zeer aannemelijk dat zich precies hetzelfde voordoet wanneer een PS-er een dissidents stem aflevert in een gemeenteraad of een parlement. Ik herhaal dus nog maar eens mijn pleidooi voor volledig geheieme stemmingen in alle gemeenteraden en parlementen (gecombineerd met het referendum op burgerinitiatief, natuurlijk).
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#18 |
Eur. Commissievoorzitter
Geregistreerd: 17 april 2006
Locatie: waar mijn stella staat
Berichten: 8.427
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![]() Wat hebben die PS-koppelbazen toch altijd met minirokjes?
Laatst gewijzigd door baarle : 8 juni 2006 om 09:55. |
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#19 | |
Provinciaal Gedeputeerde
Geregistreerd: 8 september 2005
Berichten: 832
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"The best argument against democracy is a five minute conversation with the average voter." Winston Churchill |
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#20 | |
Secretaris-Generaal VN
Geregistreerd: 21 juni 2002
Locatie: Vlaanderen
Berichten: 117.759
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