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#1 |
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![]() .... Hitler n'avait jamais été un chaud partisan d'une invasion des îles
britanniques, ce pourquoi il s'était facilement laissé convaincre de laisser la Luftwaffe de Goering tenter de gagner la guerre �* elle seule. Mais celle-ci ayant lamentablement failli �* sa tâche, le Führer n'eut plus d'autre choix que d'annuler l'opération "Lion de Mer" et de renoncer ainsi �* toute idée de débarquer en Grande-Bretagne. Restait maintenant �* savoir ce qu'il convenait de faire face �* ces Britanniques décidément fort peu coopératifs. Pour Hitler, la Grande-Bretagne combattrait tant et aussi longtemps qu'elle entretiendrait l'espoir de voir les Etats-Unis et/ou l'URSS finalement entrer �* ses côtés dans le conflit. Le Congrès américain était farouchement isolationniste, mais Roosevelt poussait �* la roue. Le 3 septembre 1940, les USA avaient notamment accepté de céder �* la Grande-Bretagne une cinquantaine de vieux destroyers. Un geste avant tout symbolique mais qui en préfigurait d'autres. En vérité, Hitler ne doutait pas une seconde du ralliement final de l'Amérique de Roosevelt �* la Grande-Bretagne de Churchill : c'était simplement une question de temps. D'un autre côté, le Führer n'avait aucun pouvoir d'influence �* cet égard, ni la moindre possibilité de déclencher une "guerre préventive" contre les USA. Restait l'URSS de Staline (http://photos1.blogger.com/blogger/5...00/stalin.jpg). En août 1939, celle-ci avait signé un "pacte de non-agression" avec l'Allemagne. Mais Hitler était resté d'autant plus convaincu que Staline finirait par renier sa signature qu'il n'avait jamais eu lui-même la moindre intention de la respecter. De son point de vue, il était donc vital que l'Allemagne attaque l'URSS avant que l'URSS ne soit en mesure d'attaquer l'Allemagne. Les circonstances semblaient favorables : l'armée allemande était au faîte de sa puissance tandis que l'armée rouge souffrait encore des gigantesques purges que Staline lui avait infligée au milieu des années 1930. Pour Hitler, mais aussi - et on l'oublie souvent - pour la quasi-totalité de l'État-major général, le Russe était de toute manière un sous-homme et un combattant de piètre valeur, aussi mal commandé que mal équipé, comme la campagne de Finlande venait d'ailleurs de le démontrer. S'en prendre �* l'URSS constituait de toute manière la seule possibilité de procurer �* l'Allemagne le "lebensraum" dont Hitler n'avait cessé de proclamer l'impérieuse nécessité depuis la parution de Mein Kampf, en 1925. Mais cette opportunité qui se présentait �* présent �* �* l'Allemagne ne durerait pas éternellement. Il fallait la saisir au plus vite, et donc envahir l'URSS dès le début du printemps de 1941. -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |