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#1 |
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![]() C'est donc sans témoins que doit se dérouler le massacre des civils libanais. La FINUL avait déj�* été bombarbée le 19 juillet, �* deux reprises. Le bombardement d'une seule base de l'ONU aurait pu passer pour un «dommage collatéral». Mais le bombardement de deux bases distinctes le même jour, ça ne pouvait être qu'un «message». Message que, le lendemain, les Israëliens faisaient expliciter par le très complaisant quotidien libanais L'Orient-Le Jour dans un article qui ne cite que des sources israéliennes (ce qui, pour un quotidien arabe d'un pays bombardé par Israël, est tout de même assez exemplaire): les Israéliens ne veulent pas de l'ONU sur le terrain, contre laquelle ils auraient une «méfiance tenace». Hier, ce sont quatre observateurs de la FINUL qui ont été tués par un bombardement israélien, dans ce qui est, pour Kofi Annan, un raid qui a – «apparemment délibérément» – visé la position de Khiam. On est passé, nettement, au-del�* de l'expression d'une «méfiance tenace»... Je ne vois guère que deux explications �* ces attaques répétées contre la FINUL et �* l'assassinat de ses observateurs. – Éloigner les observateurs internationaux de la zone des combats. Ne pas avoir de témoins «officiels» directs des méthodes de meurtre utilisées par Tsahal. Encore hier: Par ailleurs, des ONG dénoncent l’emploi par les forces israéliennes d’armes prohibées contre les populations civiles. Un responsable de la mission de Médecins du monde en Palestine, Régis Garrigues, a constaté la gravité inhabituelle des blessures infligées lors des dernières attaques israéliennes �* Gaza. Sur 180 victimes rapporte-t-il, 35 présentaient des amputations, des membres inférieurs surtout. Toutes les parties découvertes du corps de certains blessés sont brûlées. D'autres présentent des membres très délabrés comme s’ils avaient été déchiquetés par des mines. Tout cela ressemble �* des effets de bombes �* fragmentation tirées par des drones avec des sous-munitions �* retardement, des armes sophistiquées. De son côté, Handicap International, une ONG française, alerte aussi la communauté internationale sur la possible utilisation de ce type d’arme ces derniers jours, en particulier dans la banlieue sud de Beyrouth. Les sous-munitions sont des mini-bombes regroupées par dizaines ou centaines dans des conteneurs. Dispersées au moment de leur largage, elles bafouent les règles du droit international qui, rappelle Handicap international, impose aux belligérants de faire la distinction entre cibles militaires et zones civiles. Or, cette question des bombes interdites devient un sujet gênant pour la propagande israélienne. Depuis quelques jours, les propagandistes les plus historiques de la violence anti-libanaise se concentrent sur ce point. Menahem Macina, spécialistes des textes négationnistes (Sabra et Chatilla: «Aucun Chrétien libanais ne fera des excuses pour avoir tué des assassins et des meurtriers», «Israël n'a eu aucune responsabilité directe dans le massacre des Palestiniens qui a été perpétré par la principale milice chrétienne du Liban, les Forces Libanaises», etc.) se charge de cette tache peu glorieuse. D'abord: dénoncer le «syndrome du massacre de Jénine» (traduction d'un texte de Sever Plocker). Menahem Macina ajoute �* la traduction cet élégant commentaire personnel: Mais, d'ores et déj�*, un chiffre devrait mettre la puce �* l'oreille : 360 morts, c'est une tragédie certes, mais �* l'échelle de l'ampleur des bombardements effectués, cela tient du miracle. Surtout, désamorcer le scandale des bombes interdites. M. Macina tente l'impossible dans «Nouvelle calomnie mortelle: Israël utiliserait des bombes au phosphore». L'article dénonce avant tout les commentaires du «site altermondialiste “Le Grand Soir”», cible qui, évidemment, ne risque pas d'emporter la sympathie des lecteurs de ce site de la droite de la droite patronale (Union des patrons juifs de France). Les autres sources, crédibles, sont évidemment ignorées. Explication (tenez-vous bien): Il n’est pas venu �* l’idée de ces «journalistes» diabolisateurs d’Israël, que les victimes, apparemment brûlées au phosphore (pour peu que la chose soit avérée), puissent l’avoir été suite �* des explosions, provoquées par des bombes israéliennes, de caches d’armes du Hezbollah, qui elles, �* n'en pas douter, contiennent de telles armes prohibées! Donc: c'est le Hezbollah qui stocke des armes prohibées, les bombardements israéliens sur les dépôts d'armes du Hezbollah les font exploser, d'où les dégâts constatés. Voil�* qui n'a rigoureusement aucun sens, et on aimerait connaître les conditions d'emploi pour que de telles armes ravagent des zones civiles. Certainement pas stockées au fond d'un bunker. D'autant que, outre les bombes au phosphore, les rapports parlent de bombes avec des sous-munitions �* retardement; armes qui ne peuvent être utilisées que dans des conditions de largage précises. On comprend tout de même qu'il devient vital d'éloigner tout observateur impartial (et crédible – donc occidental) des zones où Tsahal utilise ces armes . – L'autre possibilité est de vouloir interdire une présence future de l'ONU, et ainsi de forcer une occupation, comme cela a déj�* été évoqué, par l'OTAN. Ce qui concluerait de superbe façon l'agression israélienne, avec une occupation du Liban chapeautée par les États-Unis. -- Micha |
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#2 |
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![]() Micha a écrit :
> C'est donc sans témoins que doit se dérouler le massacre des civils libanais. Vous avez une curieuse conception du massacre... -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |