Rambo au Liban

"«Nous sommes en pleine installation, explique le major Hast comme pour
s'excuser. Nous aurons fini aux environs du 15 octobre, mais d'ici l�*,
nous ne pouvons laisser entrer personne. C'est la consigne. » C'est donc
dans un restaurant en plein air, �* deux minutes de marche, que les
officiers s'installent, accueillis �* bras ouverts par le patron qui
côtoie la Finul depuis 1978. En effet, c'est dans un ancien camp de la
force multinationale �* Tebnine au Sud-Liban, que seront basés les
quelque 400 soldats belges qui, du 27 septembre au 9 octobre, arrivent
par vagues successives d'une centaine d'hommes chacune. « Nous sommes
un peu �* l'étroit, concède de Leenheer. Mais quand on voit que certains
détachements arrivent sans avoir de point de chute, nous sommes bien
contents. »

Pour l'heure, les 200 militaires déj�* sur place logent sous la tente ou
dans des hangars et s'attellent activement aux travaux d'aménagement. «
Dès que nous avons pris le petit déjeuner, nous nous mettons au
travail et nous n'arrêtons pas avant le soir, raconte Hast. Ensuite, une
douche, et nous allons nous coucher ! » Une unité spécialisée dans
l'installation des troupes, la FAU (field accomodation unit) monte des
tentes pour trois personnes, parfaitement équipées : douches,
sanitaires, électricité, eau courante et même air conditionné. Mais il
faut aussi aménager les terrains, effectuer des travaux de terrassement,
chercher de nouveaux espaces de stockage pour le matériel, déployer
l'hôpital qui fournira une assistance médicale aux soldats de la Finul.

De plus, il s'agit de s'adapter �* une situation, un climat et un
environnement nouveaux. Pour faciliter les choses et préserver le moral
des troupes, un contrat a été signé dès samedi avec un boulanger
beyrouthin, si bien que dimanche matin, une cargaison de pains au
chocolat tout frais était livrée aux heureux soldats. « Aussi bons qu'�*
la maison ! », assure de Leenheer. D'ici une semaine, l'indispensable «
communication sociale », c'est-�*-dire la possibilité pour les soldats de
téléphoner en Belgique, devrait être assurée. Une liste des besoins du
contingent a aussi été adressée au commandement de la Finul �* Naqoura, �*
une heure de route de l�*. Par exemple, une bonne intégration �*
l'environnement étant considérée comme une priorité, l'envoi
d'interprètes - de préférence libanais - a été demandé.
http://www.lesoir.be/actualite/monde...s_478192.shtml


--
Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...",
sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/
"Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau".

On Mon, 02 Oct 2006 06:34:30 -0400, D'Iberville <[email protected]>
wrote:

>"«Nous sommes en pleine installation, explique le major Hast comme pour
>s'excuser. Nous aurons fini aux environs du 15 octobre, mais d'ici l�*,
>nous ne pouvons laisser entrer personne. C'est la consigne. » C'est donc
>dans un restaurant en plein air, �* deux minutes de marche, que les
>officiers s'installent, accueillis �* bras ouverts par le patron qui
>côtoie la Finul depuis 1978. En effet, c'est dans un ancien camp de la
>force multinationale �* Tebnine au Sud-Liban, que seront basés les
>quelque 400 soldats belges qui, du 27 septembre au 9 octobre, arrivent
>par vagues successives d'une centaine d'hommes chacune. « Nous sommes
>un peu �* l'étroit, concède de Leenheer. Mais quand on voit que certains
>détachements arrivent sans avoir de point de chute, nous sommes bien
>contents. »
>
>Pour l'heure, les 200 militaires déj�* sur place logent sous la tente ou
>dans des hangars et s'attellent activement aux travaux d'aménagement. «
> Dès que nous avons pris le petit déjeuner, nous nous mettons au
>travail et nous n'arrêtons pas avant le soir, raconte Hast. Ensuite, une
>douche, et nous allons nous coucher ! » Une unité spécialisée dans
>l'installation des troupes, la FAU (field accomodation unit) monte des
>tentes pour trois personnes, parfaitement équipées : douches,
>sanitaires, électricité, eau courante et même air conditionné. Mais il
>faut aussi aménager les terrains, effectuer des travaux de terrassement,
>chercher de nouveaux espaces de stockage pour le matériel, déployer
>l'hôpital qui fournira une assistance médicale aux soldats de la Finul.
>
>De plus, il s'agit de s'adapter �* une situation, un climat et un
>environnement nouveaux. Pour faciliter les choses et préserver le moral
>des troupes, un contrat a été signé dès samedi avec un boulanger
>beyrouthin, si bien que dimanche matin, une cargaison de pains au
>chocolat tout frais était livrée aux heureux soldats. « Aussi bons qu'�*
>la maison ! », assure de Leenheer. D'ici une semaine, l'indispensable «
>communication sociale », c'est-�*-dire la possibilité pour les soldats de
>téléphoner en Belgique, devrait être assurée. Une liste des besoins du
>contingent a aussi été adressée au commandement de la Finul �* Naqoura, �*
>une heure de route de l�*. Par exemple, une bonne intégration �*
>l'environnement étant considérée comme une priorité, l'envoi
>d'interprètes - de préférence libanais - a été demandé.
>http://www.lesoir.be/actualite/monde...s_478192.shtml

L'all in n'a pas de pareil, merci au GO .