![]() |
Registreren kan je hier. Problemen met registreren of reageren op de berichten? Een verloren wachtwoord? Gelieve een mail te zenden naar [email protected] met vermelding van je gebruikersnaam. |
|
Registreer | FAQ | Forumreglement | Ledenlijst |
soc.culture.belgium Via dit forum kun je alle berichten lezen die worden gepost op de nieuwsgroep soc.culture.belgium. Je kunt hier ook reageren op deze berichten, reacties worden dan ook in deze nieuwsgroep gepost. Vergeet niet om dit te lezen. |
|
Discussietools |
![]() |
#1 |
Berichten: n/a
|
![]() http://www.ledevoir.com/2006/10/06/119834.html Michel Paillé Démographe et chercheur associé�* la chaire Hector-Fabre d'histoire du Québec de l'Université du Québec �* Montréal Édition du vendredi 6 octobre 2006 En examinant les aspects démographiques abordés par Jacques Godbout (Le Devoir, 23 septembre 2006), l'avenir du Québec apparaît plutôt gris. Qu'on le veuille ou non, 35 ans de sous-fécondité profonde conduisent immanquablement �* des lendemains qui déchantent. Outre un vieillissement généralisé de la population, il s'ensuit également une réduction du nombre de femmes en âge d'avoir des enfants, ce qu'on est porté �* oublier. À l'affirmation de Jacques Godbout voulant que le Québec de demain sera «ce que les gens qui y seront voudront qu'il soit», il faudrait se demander ceci : pourront-il faire ce qu'ils voudront ? En effet, la force d'inertie en ce domaine est telle que même si les couples des années 2070 haussaient et maintenaient leur fécondité au-dessus du seuil de 2,1 enfants, il leur faudrait beaucoup de temps pour mettre fin au déficit des naissances sur les décès, déficit dont ils auront été témoins depuis quelques décennies déj�*. Puisqu'il a fallu une longue période de sous-fécondité [merci l'hédonisme, le gauchisme et l'athéisme] pour nous amener l�* où nous en sommes aujourd'hui, il s'ensuit que nous devrons atteindre et maintenir suffisamment longtemps un niveau de sur-fécondité avant d'en observer les effets bénéfiques. Même si notre fécondité remontait substantiellement dès l'an prochain, nous connaîtrions prochainement, pendant quelques années, plus de décès que de naissances. L'immigration ne compensera pas Devant cette situation quasi généralisée �* l'ensemble du monde industrialisé, le recours �* l'immigration internationale a été préconisé. L'immigration peut compenser une fécondité légèrement inférieure au seuil requis pour assurer le remplacement des générations. Mais lorsque le manque �* naître est �* la fois important et chronique, une immigration compensatrice soutenue n'est plus possible [d'autant plus que ces immigrants adoptent les moeurs hédonistes et féministes et vite ne font plus assez d'enfants pour se remplacer eux-mêmes !] Nombreux sont nos concitoyens qui croient que les immigrants que nous accueillons sont depuis longtemps en nombre suffisant. Non seulement nous sommes loin d'un tel objectif, pourtant jamais envisagé, mais il faut encore rappeler qu'au moins 20 % des immigrés repartent du Québec. Par-del�* une immigration compensatrice mythique, encore faut-il tenir compte de la société québécoise où les étrangers sont accueillis. Contrairement �* l'Ontario, où des villes de taille moyenne comptent jusqu'�* 15 ou 20 % d'immigrés, le Québec n'a que Montréal et ses environs immédiats pour les attirer. Territoire de plus en plus excentrique au nord-est de l'Amérique du Nord, le Québec ne compte que fort peu d'immigrés �* l'est du Richelieu. Nous partageons cette situation avec les quatre provinces de l'Atlantique, le Maine, le New Hampshire et le Vermont. Ainsi placée dans son environnement géo-démographique, notre politique d'immigration �* destination des régions apparaît bien timide, voire utopique sans développement économique majeur. À elle seule, l'île de Montréal reçoit plus des trois quarts des ressortissants étrangers que nous accueillons. Quand M. Godbout fait remarquer que nous recevons «chaque année, de l'étranger, l'équivalent de Rimouski» (environ 48 000 personnes), il faudrait préciser que nous cherchons aussi �* intégrer, bon an, mal an, l'équivalent de Boucherville (environ 36 000 personnes) dans quelques arrondissements de l'île de Montréal. Or, contrairement �* Boucherville, francophone �* plus de 98 %, l'immigration internationale est majoritairement composée de personnes dont la langue maternelle n'est pas le français. Lors d'un séminaire sur l'intégration des immigrants tenu �* Montréal en 1994, le professeur Raymond Breton (université de Toronto) a traité de la réaction des populations d'accueil �* l'arrivée de nouveaux venus. Si le rapport est faible, ces derniers seront vite socialisés. Par contre, si le rapport est trop élevé, il y aura des réactions, dont un éventuel départ d'un segment de la population d'accueil. C'est le cas de l'étalement des Montréalais vers la couronne métropolitaine, où les francophones sont surreprésentés. Bien qu'elle n'explique pas tout, l'immigration internationale trop concentrée y serait pour quelque chose. Quoi qu'en disent ceux qui misent sur les travailleurs des banlieues se rendant chaque jour �* Montréal, l'intégration des immigrés repose essentiellement sur une population francophone montréalaise en baisse relative. Les contacts entre personnes de langues différentes, ainsi que les occasions de métissage que Jacques Godbout a évoquées, sont réduits d'autant. Compter sur les travailleurs de la couronne pour compenser l'étalement urbain, c'est dire implicitement, sans oser l'avouer, qu'ils devront être, année après année, de plus en plus nombreux ! Des trous dans la politique linguistique Reste qu'il faut enseigner le français aux adultes immigrés. Le gouvernement du Québec s'est engagé, par «contrat moral», �* leur assurer des «services adéquats» d'apprentissage du français, soutenus par «un effort concerté de promotion de l'usage du français» (Au Québec pour bâtir ensemble, 1990). Au temps des COFI, on enseignait jusqu'�* 600 heures de français aux immigrés adultes. De nos jours, le site Internet du ministère fait état de 11 semaines de 30 heures, soit 330 heures. Outre que de nombreux immigrés doivent attendre le début des cours, on dénote plusieurs abandons. En l'absence d'une évaluation concrète des effets de notre programme de francisation des immigrés adultes, il serait temps de répondre �* la question suivante : alors qu'�* l'époque des COFI certains professeurs avaient l'impression de labourer la mer, avons-nous fait mieux avec moins de ressources ? Du fait que des Montréalais ont récemment créé le «Mouvement Montréal français», peut-on au moins avancer l'hypothèse que tout ne va pas pour le mieux dans notre métropole ? En somme, les tendances lourdes de notre démographie auraient dû, depuis longtemps, nous mener �* instaurer une politique de population articulée et arrimée �* notre politique linguistique. Depuis les années 70, nos gouvernements se sont pourtant penchés périodiquement sur cette question (rapports Bonin, Johnson, French, etc.). Il est vrai qu'une politique cherchant �* aider les couples �* avoir les enfants qu'ils désirent serait onéreuse, comme d'ailleurs une francisation plus rapide et plus intensive des immigrés. Mais plus nous tardons �* agir, plus le prix �* payer sera élevé, car les dommages �* notre démographie s'aggravent. Que seront le Québec et Montréal dans 70 ans, voire dans 100 ans ? Impossible �* dire �* si long terme. Bien que je n'irai pas aussi loin que Jacques Godbout en ce qui concerne l'ensemble du Québec -- les Canadiens français de jadis ne seraient plus qu'«une minorité parmi d'autres», prévoit-il --, les projections démographiques indiquent clairement que si les tendances se maintiennent, les francophones de Montréal ne formeront plus une majorité absolue bien avant les années 2070. Au fur et �* mesure que cette majorité simple s'érodera davantage, il faudra des doses de plus en plus massives d'optimisme ou de naïveté pour prétendre que le français deviendra et restera «la langue normale et habituelle du travail, de l'enseignement, des communications, du commerce et des affaires», tel que souhaité depuis 30 ans dans le préambule de la loi 101. |
![]() |
#2 |
Berichten: n/a
|
![]() > Puisqu'il a fallu une longue période de sous-fécondité [merci > l'hédonisme, le gauchisme et l'athéisme] pour nous amener l�* où > nous en sommes aujourd'hui, La "sous fécondité" occidentale est moins le fait de l'hédonisme, du gauchisme ou de l'athéisme que la conséquence tout �* fait prévisible de l'érection du commerce en mode de vie et de pensée, voire en philosophie. Depuis trente ans, les jeunes loups du marketing jouent de manière malsaine avec les sentiments les plus vils de la population : satisfaction immédiate des plaisirs les plus superficiels, rejet des contraintes sociétales, prééminence de la jouissance sur le vécu, primauté de l'image par rapport �* la valeur, priorité absolue de l'individu sur le groupe... Analysez, étudiez ces techniques commerciales et vous comprendres (peut-être) que les "commerciaux" modernes ont une part de resposnabilité écrasante dans la dénatalité occidentale ! C'est même un lieu commun : la courbe de "dénatalité" est étroitement liée �* celle du niveau de vie. |
![]() |
#3 |
Berichten: n/a
|
![]() Bamako sur Seine a écrit :
> > > En examinant les aspects démographiques abordés par Jacques Godbout > (Le Devoir, 23 septembre 2006), l'avenir du Québec apparaît plutôt > gris. Qu'on le veuille ou non, 35 ans de sous-fécondité profonde > conduisent immanquablement �* des lendemains qui déchantent. Outre un > vieillissement généralisé de la population, il s'ensuit également > une réduction du nombre de femmes en âge d'avoir des enfants, ce > qu'on est porté �* oublier. En Italie, il y a aujourd'hui deux fois moins de femmes en âge d'avoir des enfants qu'en 1960. On voit mal comment l'Italie redressera sa démographie... > Puisqu'il a fallu une longue période de sous-fécondité [merci > l'hédonisme, le gauchisme et l'athéisme] Ah, chez vous aussi... Il y aussi les petits écolos et malthusiens (parfois hypocrites) qui trouvent dans l'explosion démographique mondiale (désormais très menacée en fait) un prétexte pour ne pas faire leur part. > Devant cette situation quasi généralisée �* l'ensemble du monde > industrialisé, le recours �* l'immigration internationale a été > préconisé. L'immigration peut compenser une fécondité légèrement > inférieure au seuil requis pour assurer le remplacement des > générations. Mais lorsque le manque �* naître est �* la fois > important et chronique, une immigration compensatrice soutenue n'est > plus possible [d'autant plus que ces immigrants adoptent les moeurs > hédonistes et féministes et vite ne font plus assez d'enfants pour se > remplacer eux-mêmes !] Oui, c'est vrai pour les immigrés que les gauchistes aiment bien : les laïcs, les musulmans non islamistes ou les Chinois qui font en général peu d'enfants. Ils ne résolvent rien au déséquilibre de la pyramide des âges, ils épaississeront simplement toutes les cohortes : la pyramide aura la même forme en sapin de Noël, mais il sera plus grand. Mais tous les immigrés n'adoptent pas ces comportements démographiques suicidaires, les musulmans les plus conservateurs ont et conservent une natalité bien supérieure (ils profitent d'ailleurs en France des mesures natalistes dans ce sens). > Au fur et �* mesure que cette majorité simple s'érodera davantage, il > faudra des doses de plus en plus massives d'optimisme ou de naïveté > pour prétendre que le français deviendra et restera «la langue > normale et habituelle du travail, de l'enseignement, des > communications, du commerce et des affaires», tel que souhaité depuis > 30 ans dans le préambule de la loi 101. Cela me semble évident, la démographie est la base de tant de choses, de l'utilisation des langues (il faut bien des locuteurs!), aux lois linguistiques ou autres (en démocratie en tout cas, c'est le nombre qui compte) ou �* l'économie (une population vieillissante ou en déclin ne dépense plus, n'achète plus, c'est le déclin économique, suffit de voir comme le Japon plafonne depuis 10 ans). |
![]() |
#4 |
Berichten: n/a
|
![]() dreads a écrit :
>>Puisqu'il a fallu une longue période de sous-fécondité [merci >>l'hédonisme, le gauchisme et l'athéisme] pour nous amener l�* où >>nous en sommes aujourd'hui, > > > La "sous fécondité" occidentale est moins le fait de l'hédonisme, du > gauchisme ou de l'athéisme que la conséquence tout �* fait > prévisible de l'érection du commerce en mode de vie et de pensée, > voire en philosophie. ???? > > Depuis trente ans, les jeunes loups du marketing jouent de manière > malsaine avec les sentiments les plus vils de la population : > satisfaction immédiate des plaisirs les plus superficiels, Euh, cela s'appelle l'hédonisme. S'ils réussisent �* agir sur ce sentiment c'est que ce sentiment est vu positivement, sinon les vendeurs choisiraient un autre argument de vente (personne n'ose vendre en faisant la promotion de la pureté aryenne, cela fut le cas en Allemagne nazie), donc qu'il y a déj�* une base hédoniste valorisée. Maintenant cela ne signifie pas que la pub ne peut pas renforcer un sentiment ou une mode, mais le résultat est simplement une société plus hédoniste. On revient au point de départ. L'hédonisme et j'ajouterais le malthusianisme écolo-con et féminisme, ces idéologies ont tué la vitalité des peuples occidentaux. Bien plus que les guerres par exemple (plus de bébés avortés que de victimes des nazis et des communistes ensemble). |
![]() |
#5 |
Berichten: n/a
|
![]() Pourquoi faut-il que les pensions de retraite des vieux soient payées par
les générations suivantes qui travaillent ? Et les cotisations que ces vieux ont payées pendant 30 ou 40 ans, où sont-elles passées ??? Si on avait géré ces cotisations (capitaux + intérêts) en fonction de leur destination, et non pour en faire autre chose, chaque génération aurait pu financer sa propre pension de retraite, ce qui aurait été plus logique, le nombre de "vieux" restant alors proportionnel au nombre de cotisants, et la part des morts étant redistribuée entre les survivants. Avec les systèmes actuels, où il faudrait de plus en plus de jeunes pour payer les pensions des vieux, ça ne peut marcher que si la démographie explose, mais vous oubliez que cette explosion entraînerait d'autres inconvénients : catastrophes climatiques, épidémies, etc. etc. c'est ça que vous voulez ? |
![]() |
#6 |
Berichten: n/a
|
![]() neunzehn a écrit :
> Pourquoi faut-il que les pensions de retraite des vieux soient payées par > les générations suivantes qui travaillent ? Et les cotisations que ces > vieux ont payées pendant 30 ou 40 ans, où sont-elles passées ??? Si on > avait géré ces cotisations (capitaux + intérêts) en fonction de leur > destination, et non pour en faire autre chose, chaque génération aurait pu > financer sa propre pension de retraite, ce qui aurait été plus logique, le > nombre de "vieux" restant alors proportionnel au nombre de cotisants, et la > part des morts étant redistribuée entre les survivants. Gros malin. C'est exactement ce qui a été fait avant la création du système de retraite par répartition, et ça c'est terminé par l'évaporation totale des pensions. C'est la faillite frauduleuse de la Capitalisation, qui a entraîné la création de la répartition. > Avec les systèmes actuels, où il faudrait de plus en plus de jeunes pour > payer les pensions des vieux, ça ne peut marcher que si la démographie > explose, mais vous oubliez que cette explosion entraînerait d'autres > inconvénients : catastrophes climatiques, épidémies, etc. etc. c'est ça que > vous voulez ? Poncif malthusien. Les gains de productivité ont infiniment plus d'importance que la soit-disant baisse du nombre des actifs. Baisse, qui en passant est de l'idéologie pure, d'année en année la date prévue du point de basculement est reculée par les "statisticiens", elle était fixée �* 2010, il y a 20 ans, 2010 approchant dangereusement, elle est aujourd'hui fixée �* 2050. |
![]() |
#7 |
Berichten: n/a
|
![]() < Poncif malthusien.
Quand on dit la vérité, c'est qu'on est malthusien. O.K. va pour Malthus alors. D'ailleurs si les gens réfléchissaient avec leur cerveau, au lieu de penser avec leur système reproducteur, ils seraient tous malthusiens. |
![]() |
#8 |
Berichten: n/a
|
![]() neunzehn a écrit :
> < Poncif malthusien. > > Quand on dit la vérité, c'est qu'on est malthusien. O.K. va pour Malthus > alors. > D'ailleurs si les gens réfléchissaient avec leur cerveau, au lieu de penser > avec leur système reproducteur, ils seraient tous malthusiens. > > > Tu ne dis aucune espèce de "vérité", mais un empilement de conneries. Le plus étonnant d'ailleurs, c'est qu'il se trouve encore des naïfs pour piquer �* ce genre de trucs, alors que TOUTES les prévisions de ce genre depuis 100 ans se sont avérées FAUSSES. |
![]() |
#9 |
Berichten: n/a
|
![]() Le Sat, 07 Oct 2006 09:38:51 +0200, neunzehn a écrit�*:
> Et les cotisations que ces > vieux ont payées pendant 30 ou 40 ans, où sont-elles passées ??? Vous été juste idiot ? |
![]() |
#10 |
Berichten: n/a
|
![]() neunzehn a écrit :
> Pourquoi faut-il que les pensions de retraite des vieux soient payées par > les générations suivantes qui travaillent ? Et les cotisations que ces > vieux ont payées pendant 30 ou 40 ans, où sont-elles passées ??? Ah ah ah ah ! Le naïf ! On les a dépensées illico : il fallait bien payer les pensions dès l'instauration du système et pas attendre 35 ans de travail après l'annonce de la mise en place des pensions. >Si on > avait géré ces cotisations (capitaux + intérêts) en fonction de leur > destination, et non pour en faire autre chose, Pour pensions en grande partie, enfin au début cela a également servi, car on récoltat plus de cotisations qu'on ne dépensait sur les retraites en général (dépend des pays), aux systèmes de santé généreux qui ne sont pas abordables sans une forte démographie. L'État-Providence a besoin d'une forte natalité, mais il conduit les gens qui pense que l'État pourvoira �* tout �* ne pas avoir une nombreuse descendance ! > chaque génération aurait pu > financer sa propre pension de retraite, ce qui aurait été plus logique, le > nombre de "vieux" restant alors proportionnel au nombre de cotisants, et la > part des morts étant redistribuée entre les survivants. Cela n'est même pas vrai : sans une forte démographie, il n'y a pas de marché pour payer les intérêts de vos placements en bourse, la plus-value de vos investissements immboliers. > Avec les systèmes actuels, où il faudrait de plus en plus de jeunes pour > payer les pensions des vieux, ça ne peut marcher que si la démographie > explose, Explose est un grand mot, une petite augmentation suffit, de toute façon on va simplement revenir au bon vieux temps : faire travailler de plus en plus tard les vieux, la pension pendant 20 ans en moyenne n'aura duré que pendant la génération d'une forte natalité (normal). > mais vous oubliez que cette explosion entraînerait d'autres > inconvénients : catastrophes climatiques, épidémies, etc. etc. c'est ça que > vous voulez ? Ouah ! ah ah ah ! Mort de rire ! Encore un disciple de Malthus, ce pasteur anglais a tort depuis 3 siècles et c'est pas l'implosion démographique qui lui donnera raison. Vous êtes décidément très amusant. Vous êtes encore �* l'école ? C'est votre instituteur qui vous a parlé d'explosion démographique et d'épidémies et de catastrophes climatiques. Trop tordant. |
![]() |
#11 |
Berichten: n/a
|
![]() "neunzehn" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Pourquoi faut-il que les pensions de retraite des vieux soient payées par > les générations suivantes qui travaillent ? Et les cotisations que ces > vieux ont payées pendant 30 ou 40 ans, où sont-elles passées ??? =============== répartition c'est tu ce que ça veut dire,**? Ella Si on > avait géré ces cotisations (capitaux + intérêts) en fonction de leur > destination, et non pour en faire autre chose, chaque génération aurait pu > financer sa propre pension de retraite, ce qui aurait été plus logique, le > nombre de "vieux" restant alors proportionnel au nombre de cotisants, et > la > part des morts étant redistribuée entre les survivants. ======================= tu pense vraiment que les retraites des morts son redistribué aux retraités vivants, tu pense vraiment que l'argent des retraités n'est pas placé pour rapporté des intérêts, voyons ce n'est que des fantasmes des jeunes générations dont la mienne je croyais aussi cela, ou de ceux qui veulent tué les retraites part répartitions, les caisses on pue prendre en compte les vielles générations qui n'avaient pas cotisé avant la mise en place des retraites. l'argent des retraite a servie a pleins d'autres choses aussi , maisons de retraite, maisons de vacance, maisons pour les vieux en fin de vie, des aides pour les plus démunis des retraités, de ceux plus jeunes dans la misère, le chaumage qui a fais perdre 15% de revenue aux caisse de retraites, et toutes ses caisses qui non plus de gents qui cotise, la solidarité a pris la suite en remodelant les caisses de retraites en institutions, la retraite n'est plus celle des année 80 pour le privé,, ils paye très chers le manque de vision des créateur de ses caisses de retraites part répartition. je crois savoir qu'a l'époque il y avais qu'un seul syndicat *CGT* qui etais contre les caisse de retraites, et qui prônais une seul caisse de retraite, la caisse de la SS avec un taux de cotisation plus élevé. les salaires des dirigeant de ses caisses etais faramineuses, les employés etais très bien payé, avec l'argent des retraites, de la gadji ni plus ni moins, je sais pas combien de caisses professionnel existais mais bien plus de 150, chaque corporation avais la sienne, aujourd'hui il doit resté 4 ou 5 groupes qui son en faite des grosse compagnies d'assurances. les retraités du privé qui partent aujourd'hui avec 20% en moins de retraite eux savent que leurs retraite ce réduira a peaux de chagrin en quelques années. si une refonte complète des retraites n'est pas faite, la répartition seras morte, et qui payeras les retraités qui en passant ni son pour rien de ce cataclysme qui ce pointe a horizon 2020. quand a dire que la retraite part capitalisation est le panacée ça ses une autres histoire. ou dire que les travailleur ferons leurs retraite tout seul ça aussi c'est faste connerie. la France avais choisie l'entraide entre générations était il souhaitable de le faire? la retraite part capitalisation elle ne choisie pas l'entraide, et on continueras des délocalisations sauvages pour que les retraités touche toujours plus. ceux qui pourrons payé aurons des retraites pour un certains temps de bonne qualité, les plus démunis aurons rien. le pays ou il y a le plus de vieux dans la rue, les USA. misé que sur la retraite part capitalisation pourrais bien laissé un goût amère aux future retraité, c'est déjas arrivé.encore maintenant ça arrive souvent. la retraite part répartition a fais c'est preuve, aurons t'ils le courage politique pour réformé la retraite, je n'en sais rien, le seul qui en parle aujourd'hui est Sarko, aurai je le courage pour voter pour lui et vivre cette remise en cause profonde de l'age de la retraite, du temps de cotisation, des régimes spéciaux, du temps de travail, je sais vraiment pas si ça vaut le coût, celui la me fais peur, moins que Le PEN ça c'est sur. Ella |
![]() |
#12 |
Berichten: n/a
|
![]() neunzehn a écrit : > > Pourquoi faut-il que les pensions de retraite des vieux soient payées par > les générations suivantes qui travaillent ? Et les cotisations que ces > vieux ont payées pendant 30 ou 40 ans, où sont-elles passées ??? Pense seulement qu'en 1969 la fonction publique québecoise en son entier est allée en grève pour s'assurer d'un salaire de 100$ par semaine. Ca répond �* ta question? L.G.R. Si on > avait géré ces cotisations (capitaux + intérêts) en fonction de leur > destination, et non pour en faire autre chose, chaque génération aurait pu > financer sa propre pension de retraite, ce qui aurait été plus logique, le > nombre de "vieux" restant alors proportionnel au nombre de cotisants, et la > part des morts étant redistribuée entre les survivants. > Avec les systèmes actuels, où il faudrait de plus en plus de jeunes pour > payer les pensions des vieux, ça ne peut marcher que si la démographie > explose, mais vous oubliez que cette explosion entraînerait d'autres > inconvénients : catastrophes climatiques, épidémies, etc. etc. c'est ça que > vous voulez ? |
![]() |
#13 |
Berichten: n/a
|
![]() dreads wrote: > > Puisqu'il a fallu une longue période de sous-fécondité [merci > > l'hédonisme, le gauchisme et l'athéisme] pour nous amener l�* où > > nous en sommes aujourd'hui, > > La "sous fécondité" occidentale est moins le fait de l'hédonisme, du > gauchisme ou de l'athéisme que la conséquence tout �* fait > prévisible de l'érection du commerce en mode de vie et de pensée, > voire en philosophie. Ou plutot du manque d'éection :) |
![]() |
#14 |
Berichten: n/a
|
![]() dreads wrote: > > Puisqu'il a fallu une longue période de sous-fécondité [merci > > l'hédonisme, le gauchisme et l'athéisme] pour nous amener l�* où > > nous en sommes aujourd'hui, > > La "sous fécondité" occidentale est moins le fait de l'hédonisme, du > gauchisme ou de l'athéisme que la conséquence tout �* fait > prévisible de _l'érection -du commerce en mode de vie et de pensée, > voire en philosophie. Plutot le manque D'ÉRECTION loooooooooool :) > resposnabilité écrasante dans la dénatalité occidentale ! > > C'est même un lieu commun : la courbe de "dénatalité" est > étroitement liée �* celle du niveau de vie. |