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#1 |
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![]() D'Iberville a écrit :
> "Un enfant, des enfants ? Elle n'en a jamais voulu. Pas une seconde. > Aussi loin qu'elle s'en souvienne. Jamais joué �* la poupée et, quand > elle recevait des peluches, elle préférait s'imaginer vétérinaire plutôt > que mère de famille. Un choix qu'Emilie Devienne, journaliste, > consultante et coach franco-québécoise, assume pleinement, comme elle > s'en explique dans "Etre femme sans être mère, le choix de ne pas avoir > d'enfant" (Robert Laffont, 18 €). Vraiment besoin de cette propagande stérilisante ? Franchement. > Quoi qu'elle se défend d'avoir �* se > justifier. "Les gens qui ont des enfants ne se justifient pas, alors > pourquoi, nous, devrions-nous le faire ?" Non elle n'est pas malade, > elle n'a pas de problème. Non elle n'est pas égoïste, pas immature. Et > oui, elle aime les enfants. Comme d'autres femmes, elle a tout > simplement fait le choix de ne pas avoir d'enfant. "C'est clair, c'est > net, je ne veux pas rajouter un petit sac de globules sur cette planète." Toujours la même antienne : pas ajouter de gens �* cette pauvre planète, juste jouir. Au mur ! Enfin version moderne : il faut hyperimposer les stériles surtout volontaire. > Et l'instinct maternel dans tout ça ? "C'est du pipeau, mais alors du > pipeau allègrement. C'est un conditionnement social pour qu'on reste > dans nos cuisines, tranquilles, peinardes..." > Il y a des déviants dans toutes les sociétés... Si ce comportement maternel (et paternel) n'existaient pas les sociétés mourraient (ou sont déj�* mortes). Vous cherchez visiblement �* justifier votre choix égoïste et stérile, "D'Iberville". |
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#2 |
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![]() "Un enfant, des enfants ? Elle n'en a jamais voulu. Pas une seconde.
Aussi loin qu'elle s'en souvienne. Jamais joué �* la poupée et, quand elle recevait des peluches, elle préférait s'imaginer vétérinaire plutôt que mère de famille. Un choix qu'Emilie Devienne, journaliste, consultante et coach franco-québécoise, assume pleinement, comme elle s'en explique dans "Etre femme sans être mère, le choix de ne pas avoir d'enfant" (Robert Laffont, 18 €). Quoi qu'elle se défend d'avoir �* se justifier. "Les gens qui ont des enfants ne se justifient pas, alors pourquoi, nous, devrions-nous le faire ?" Non elle n'est pas malade, elle n'a pas de problème. Non elle n'est pas égoïste, pas immature. Et oui, elle aime les enfants. Comme d'autres femmes, elle a tout simplement fait le choix de ne pas avoir d'enfant. "C'est clair, c'est net, je ne veux pas rajouter un petit sac de globules sur cette planète." Ses raisons ? "Petite fille, c'était tout �* fait irraisonné et inconscient. J'ai eu une enfance plutôt difficile et je n'avais pas envie de prolonger. En grandissant, j'ai été confortée dans cette idée. Je trouve que la vie n'est pas facile et je ne voulais pas rajouter un enfant dans ce contexte. En plus, il ne me semblait pas indispensable de transmettre mon moi-même." Pères ou mères, les gens qui se refusent �* la parentalité ont des raisons. "En ce qui concerne les femmes que j'ai pu rencontrer, poursuit Emilie Devienne, soit elles sont issues d'une famille nombreuse, et elles se sont dit, plus jamais; certaines ont eu une enfance difficile et redoutent de reproduire des traumatismes, elles préfèrent donc s'abstenir; il y a celles qui veulent s'éclater dans une carrière qui semble incompatible avec l'éducation d'un enfant; celles qui ont une vie amoureuse tellement dissolue..." Et l'instinct maternel dans tout ça ? "C'est du pipeau, mais alors du pipeau allègrement. C'est un conditionnement social pour qu'on reste dans nos cuisines, tranquilles, peinardes..." Pour vous, l'enfant semble essentiellement associé �* des contraintes, des contrariétés, des soucis, il n'y a pas que cela pourtant... "C'est en tout cas la partie que je vois le plus. Il y a des joies, oui, mais je vis très bien sans la pâte �* sel, il y a d'autres joies dans la vie." Et qu'on ne vienne surtout pas lui dire qu'elle n'aime pas les enfants, il n'y a pas plus horripilant. "Ce n'est pas parce que l'on n'en a pas qu'on ne les aime pas. A la limite, c'est parce qu'on les aime trop, qu'on a peur de rater, qu'on ne les fait pas." Autre exemple dans le registre réflexions agaçantes : "Pourtant mes filles t'aiment beaucoup..." "Tant mieux, mais ce n'est pas pour autant que je vais concevoir un enfant. Il faut questionner le désir. Qu'y a-t-il derrière ? Le besoin d'un couple de donner vie lui-même pour avoir ce lien avec l'enfance. Il existe plein de bonnes raisons de faire des enfants comme il en existe de ne pas en faire. Comme je n'ai personnellement pas pu toucher �* l'essentiel en interrogeant ce désir-l�*, je me suis abstenue." Sujet longtemps demeuré tabou, les femmes qui ont fait le choix de ne pas avoir d'enfants semblent, d'après l'auteur, malgré tout mieux acceptées de nos jours et ce, pour plusieurs raisons. "Parce que nous nous trouvons dans une société où les femmes ont pris plus de place, où la pilule et le féminisme ont joué et où l'on a plus de liberté de parole. En plus, nous nous trouvons dans une culture où il y a plus de compréhension les uns des autres, de respect mutuel... Nous sommes regardées avec plus de tolérance même si, derrière ce sourire ou ce "mais je comprends tout �* fait", cela reste un sujet qui dérange et qui intrigue. Cela dit, cela passe d'autant mieux que l'on est épanouie. Les gens qui n'ont pas d'enfant sont dans l'obligation d'être heureux, plus que les autres, car sinon, tant qu'�* faire, autant faire des enfants." http://www.lalibre.be/article.phtml?...&art_id=338546 -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |
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#3 |
Berichten: n/a
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![]() dlink a écrit :
> D'Iberville a écrit : >> "Un enfant, des enfants ? Elle n'en a jamais voulu. Pas une seconde. >> Aussi loin qu'elle s'en souvienne. Jamais joué �* la poupée et, quand >> elle recevait des peluches, elle préférait s'imaginer vétérinaire >> plutôt que mère de famille. Un choix qu'Emilie Devienne, journaliste, >> consultante et coach franco-québécoise, assume pleinement, comme elle >> s'en explique dans "Etre femme sans être mère, le choix de ne pas >> avoir d'enfant" (Robert Laffont, 18 €). > > > Vraiment besoin de cette propagande stérilisante ? Franchement. Je savais que ça vous ferait plaisir ;-) -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |
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#4 |
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![]() D'Iberville wrote:
> Et l'instinct maternel dans tout ça ? "C'est du pipeau, mais alors du > pipeau allègrement. Évidemment. L'instinct maternel force, chez les animaux, les mères �* manger leurs enfants imparfaits. |
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#5 |
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![]() D'Iberville wrote:
> dlink a écrit : >> D'Iberville a écrit : >>> "Un enfant, des enfants ? Elle n'en a jamais voulu. >> Vraiment besoin de cette propagande stérilisante ? Franchement. > Je savais que ça vous ferait plaisir ;-) :-))) dlink, lui, ne fait *jamais* dans la propagande débilisante, lui. |
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#6 |
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![]() Anne wrote:
> D'Iberville wrote: > >> Et l'instinct maternel dans tout ça ? "C'est du pipeau, mais alors du >> pipeau allègrement. > > > Évidemment. > L'instinct maternel force, chez les animaux, les mères �* manger leurs > enfants imparfaits. Maternelle comme je te sens, tu as bien dû finir par en manger un ou deux :) T'es bien sûre que tu ne veux pas me dire ce que tu penses de la beauté de Michel Auger? Cf.: <http://groups.google.com/group/soc.culture.quebec/msg/c639e3457093e9d1?hl=fr> |
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#7 |
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![]() D'Iberville wrote:
"C'est clair, c'est net, je ne veux pas rajouter un petit > sac de globules sur cette planète." on voit qu'elle les aime beaucoup en effet -- Les années ne se comptent pas dans le coeur humain même si le temps l’use «Extrait de Sous-Bois d'A.G. |
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#8 |
Berichten: n/a
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![]() Anne wrote:
> D'Iberville wrote: > >> Et l'instinct maternel dans tout ça ? "C'est du pipeau, mais alors du >> pipeau allègrement. > > Évidemment. > L'instinct maternel force, chez les animaux, les mères �* manger leurs > enfants imparfaits. lesquels? -- Les années ne se comptent pas dans le coeur humain même si le temps l’use «Extrait de Sous-Bois d'A.G. |
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#9 |
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![]() On 22-Mar-2007, "Victal" <[email protected]> wrote: > Évidemment. > > L'instinct maternel force, chez les animaux, les mères �* manger leurs > > enfants imparfaits. > > > > lesquels? C'est plutôt l'instinct de survie. Chez certaines espèces, le mâle devient un prédateur pour ses petits. Heureusement, la femelle veille au grain. L'instinct maternel existe aussi chez les humains femelles. Chez les animaux dénaturés que nous sommes, c'est facile de déclencher une querelle de mots dont chacun prête le sens qu'ils leur veux bien. -- Tibert |
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#10 |
Berichten: n/a
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![]() Tibert wrote:
> On 22-Mar-2007, "Victal" <[email protected]> wrote: > >> Évidemment. >>> L'instinct maternel force, chez les animaux, les mères �* manger >>> leurs enfants imparfaits. >> >> >> >> lesquels? > > C'est plutôt l'instinct de survie. haaaaaa voil�*! Faut pas mélanger les choses -- Les années ne se comptent pas dans le coeur humain même si le temps l'use «Extrait de Sous-Bois d'A.G. |
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#11 |
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![]() "dlink" <[email protected]> a écrit dans le message de news: [email protected]... > Vraiment besoin de cette propagande stérilisante ? Franchement. Attends, l'Occidental n'est pas du bétail, non plus ! Si l'idée est de contrer la natalité muzz grandissante, moi je préfère coupler l'immigration choisie avec la natalité choisie ! Parce qu'obliger des femmes �* être mères (voire de mauvaises mères, génitrices de délinquants potentiels) dans le seul but de concurrencer la natalité muzz, c'est quand même plus que limite !!! |
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#12 |
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![]() Oreste Hétoudabord a écrit :
> "dlink" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > [email protected]... > >>Vraiment besoin de cette propagande stérilisante ? Franchement. > > > Attends, l'Occidental n'est pas du bétail, non plus ! Si l'idée est de > contrer la natalité muzz grandissante, moi je préfère coupler l'immigration > choisie avec la natalité choisie ! Habituellement ça marche pas : on n'ajoute que la natalité choisie (subventions etc) et la natalité subie (les traditions familiales des Africaines et jeunes immigrées), comme l'immigration choisie �* l'immigration subie. > Parce qu'obliger des femmes �* être mères Qui parle d'obliger ? Mais ici il s'agit de pression sociale pour que les occidentales ne fassent pas d'enfant, en les déculpabilisant et leur disant que la stérilité c'est très bien même si elles auraient fait d'excellentes mères. |
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#13 |
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![]() On 22 mar, 16:14, dlink <[email protected]> wrote:
> Oreste Hétoudabord a écrit : > > > "dlink" <[email protected]> a écrit dans le message de news: > > [email protected]... > > >>Vraiment besoin de cette propagande stérilisante ? Franchement. > > > Attends, l'Occidental n'est pas du bétail, non plus ! Si l'idée estde > > contrer la natalité muzz grandissante, moi je préfère coupler l'immigration > > choisie avec la natalité choisie ! > > Habituellement ça marche pas : on n'ajoute que la natalité choisie > (subventions etc) et la natalité subie (les traditions familiales des > Africaines et jeunes immigrées), comme l'immigration choisie �* > l'immigration subie. Surtout cette propagande ne marche le plus souvent qu'avec les femmes occidentales ou occidentalisées, souvent bien formées et relativement riches, donc elle déprime la natalité de celles qu'on devrait encourager �* avoir des enfants et n'a pas d'effet sur la natalité des "muzzz" comme dirait Oreste. > > Parce qu'obliger des femmes �* être mères > > Qui parle d'obliger ? Mais ici il s'agit de pression sociale pour que > les occidentales ne fassent pas d'enfant, en les déculpabilisant et > leur disant que la stérilité c'est très bien même si elles auraient fait > d'excellentes mères. |
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#14 |
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![]() dlink wrote:
> Oreste Hétoudabord a écrit : >> Parce qu'obliger des femmes �* être mères > Qui parle d'obliger ? Mais ici il s'agit de pression sociale pour que > les occidentales ne fassent pas d'enfant, en les déculpabilisant Vous ne voulez pas les obliger, mais les culpabiliser de faire ce qu'elles pensent bien pour elles. En fait, elles seraient juste un peu idiotes, et il suffirait de les influencer en leur disant qu'elles sont de méchantes filles, quoi... |
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#15 |
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![]() On Mar 22, 10:09 pm, Anne <[email protected]> wrote:
> dlink wrote: > > Oreste Hétoudabord a écrit : > >> Parce qu'obliger des femmes �* être mères > > Qui parle d'obliger ? Mais ici il s'agit de pression sociale pour que > > les occidentales ne fassent pas d'enfant, en les déculpabilisant > > Vous ne voulez pas les obliger, mais les culpabiliser de faire ce > qu'elles pensent bien pour elles. > Et keski est "bien pour elles"? Vivre égoistement toute leur vie? |
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#16 |
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![]() "D'Iberville" <[email protected]> wrote in message news:[email protected]... > "Un enfant, des enfants ? Elle n'en a jamais voulu. Pas une seconde. > Aussi loin qu'elle s'en souvienne. Tous les humains n'ont pas envie d,avoir des enfants, surtout dans le contexte mondial actuel. > Jamais joué �* la poupée et, quand > elle recevait des peluches, elle préférait s'imaginer vétérinaire plutôt > que mère de famille. C'est un style de personnalité qui existe, oui. Et c'est tout aussi respectable. > Un choix qu'Emilie Devienne, journaliste, > consultante et coach franco-québécoise, assume pleinement, comme elle > s'en explique dans "Etre femme sans être mère, le choix de ne pas avoir > d'enfant" (Robert Laffont, 18 €). Quoi qu'elle se défend d'avoir �* se > justifier. "Les gens qui ont des enfants ne se justifient pas, alors > pourquoi, nous, devrions-nous le faire ? Parfaitement d'accord. Le sentiment maternel, bien que génétiquement codé chez la très grande majorité des femmes, n'est pas chez TOUTES les femmes. De même, il y a des hommes qui ont la fibre que l'on pourrait qualifier de "maternelle". > " Non elle n'est pas malade, > elle n'a pas de problème. > Non elle n'est pas égoïste, pas immature. Bien d'accord. > Et oui, elle aime les enfants. Comme d'autres femmes, elle a tout > simplement fait le choix de ne pas avoir d'enfant. "C'est clair, c'est > net, je ne veux pas rajouter un petit sac de globules sur cette planète." Comme je les comprend ces femmes. > Ses raisons ? "Petite fille, c'était tout �* fait irraisonné et > inconscient. J'ai eu une enfance plutôt difficile et je n'avais pas > envie de prolonger. En grandissant, j'ai été confortée dans cette idée. > Je trouve que la vie n'est pas facile et je ne voulais pas rajouter un > enfant dans ce contexte. En plus, il ne me semblait pas indispensable de > transmettre mon moi-même." Exact. Le sentiment parental est une vocation, pas une obligation. > Pères ou mères, les gens qui se refusent �* la parentalité ont des > raisons. "En ce qui concerne les femmes que j'ai pu rencontrer, poursuit > Emilie Devienne, soit elles sont issues d'une famille nombreuse, et > elles se sont dit, plus jamais; certaines ont eu une enfance difficile > et redoutent de reproduire des traumatismes, elles préfèrent donc > s'abstenir; il y a celles qui veulent s'éclater dans une carrière qui > semble incompatible avec l'éducation d'un enfant; celles qui ont une vie > amoureuse tellement dissolue..." > > Et l'instinct maternel dans tout ça ? "C'est du pipeau, mais alors du > pipeau allègrement. C'est un conditionnement social pour qu'on reste > dans nos cuisines, tranquilles, peinardes..." Faux. Le sentiment maternel est bel et bien quelque chose de programmé génétiquement chez la femme. C'est d'ailleurs une condition essentielle �* la survie d'une espèce. Il faut que la mère protège ses petits et ressente la pulsion de combler ses besoins. Mais cette tendance naturelle ne s'exprime pas également chez tous. C'est comme pour l'orientation sexuelle. L'espèce est programmée pour être hétérosexuelle. Mais celui n'est qu'une tendance et non une réalité chez tous. > Pour vous, l'enfant semble essentiellement associé �* des contraintes, > des contrariétés, des soucis, il n'y a pas que cela pourtant... C'est pourtant beaucoup cela �* la base. Et il faut que la pulsion maternelle soit très forte pour qu'elle contrebalance les contrainte anticipées et assumées. Et cette pulsion maternelle, c'est chez les femmes qu'elle se manifeste, pas chez les hommes. Encore une fois, ceci est un trait caractéristique de la différenciation des sexes. mais il existe toujours des exceptions, comme dans toute règle. > Et qu'on ne vienne surtout pas lui dire qu'elle n'aime pas les enfants, > il n'y a pas plus horripilant. Bien d'accord. C'est comme dire �* une personne qui ne joue pas d'un instrument qu'elle n'aime pas la musique. On peut aimer la musique sans pour autant avoir envie d'en faire. On peut aimer les enfants sans pour autant avoir envie d'en faire un projet de vie. "Ce n'est pas parce que l'on n'en a pas > qu'on ne les aime pas. A la limite, c'est parce qu'on les aime trop, > qu'on a peur de rater, qu'on ne les fait pas." Ça peut aussi. À contrario, il y a tellement de parents qui maltraitent leurs enfants et qui auraient du ne jamais enfanter! Les journaux sont plein de ces exemples afligeants. > Autre exemple dans le registre réflexions agaçantes : "Pourtant mes > filles t'aiment beaucoup..." "Tant mieux, mais ce n'est pas pour autant > que je vais concevoir un enfant. Il faut questionner le désir. Qu'y > a-t-il derrière ? Le besoin d'un couple de donner vie lui-même pour > avoir ce lien avec l'enfance. Il existe plein de bonnes raisons de faire > des enfants comme il en existe de ne pas en faire. Parfaitement d'accord. > Comme je n'ai > personnellement pas pu toucher �* l'essentiel en interrogeant ce > désir-l�*, je me suis abstenue." Bel élan de sagesse. > Sujet longtemps demeuré tabou, les femmes qui ont fait le choix de ne > pas avoir d'enfants semblent, d'après l'auteur, malgré tout mieux > acceptées de nos jours et ce, pour plusieurs raisons. "Parce que nous > nous trouvons dans une société où les femmes ont pris plus de place, où > la pilule et le féminisme ont joué et où l'on a plus de liberté de > parole. En plus, nous nous trouvons dans une culture où il y a plus de > compréhension les uns des autres, de respect mutuel... Aussi, il existe ici une culture du respect des besoins sexuels des femmes. Le sexe, pour une femme, sert d'abord �* combler ses besoins libidineux. Ensuite, et seulement ensuite, les besoins de l'espèce. > Nous sommes regardées avec plus de tolérance même si, derrière ce > sourire ou ce "mais je comprends tout �* fait", cela reste un sujet qui > dérange et qui intrigue. Le plaisir sexuel, surtout celui des femmes, c'est un tabou judéo-chrétien. |
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#17 |
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![]() Sitting Bull a écrit :
> On Mar 22, 10:09 pm, Anne <[email protected]> wrote: >> dlink wrote: >>> Oreste Hétoudabord a écrit : >>>> Parce qu'obliger des femmes �* être mères >>> Qui parle d'obliger ? Mais ici il s'agit de pression sociale pour que >>> les occidentales ne fassent pas d'enfant, en les déculpabilisant >> Vous ne voulez pas les obliger, mais les culpabiliser de faire ce >> qu'elles pensent bien pour elles. >> > > Et keski est "bien pour elles"? Vivre égoistement toute leur vie? Faire comme leur mari ? se décharger de tout ce qui concerne les enfants sur leur conjoint et boire de la bière en regardant le CH ? -- Quotidiennement updatés, et avec photos, les "Saviez-vous que...", sont enfin disponibles en ligne : http://diberville.blogspot.com/ "Davon geht die Welt nicht unter, sieht man sie manchmal auch grau". |
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#18 |
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![]() "Marc Chapleau" <[email protected]> wrote in message news:RUWMh.18546 > C'est comme dire �* une personne qui ne joue pas d'un instrument qu'elle > n'aime pas la musique. On peut aimer la musique sans pour autant avoir > envie > d'en faire. On peut aimer les enfants sans pour autant avoir envie d'en > faire un projet de vie. Je m'autorise �* nuancer, pour moi il n'est pas possible d'aimer quelque chose sans en ressentir le besoin de le faire, de savoir le faire, on ne peut pas aimer la musique sans désirer en faire, on ne peut pas aimer les enfants sans en désirer en faire ou en avoir. Maintenant on peut être cela tout en décidant de ne pas le faire car conscient que le faire n'apportera pas plus de bonheur �* soi même, �* la sociéte, �* l'enfant. Heureusement on est encore capable de vivre heureux même avec des frustrations. -- Laxa |
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#19 |
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![]() Laxa wrote:
> on ne peut pas aimer les > enfants sans en désirer en faire ou en avoir. N'importe quoi. |
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#20 |
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![]() "Anne" <[email protected]> wrote in message news:YM%[email protected]... > Laxa wrote: > > > on ne peut pas aimer les >> enfants sans en désirer en faire ou en avoir. > > N'importe quoi. Mais encore ? Ce désir vous semble si étrange �* votre nature ? Je n'ai pas connu une seule vieille fille au crépuscule de leur vie ne regrettant pas de laisser derrière elle une trace de leur amour de la vie. Les aigries regrettant et vivant leurs frustrations faisant semblant d'être heureuse, j'en connais encore plus. Les pères ne sont pas épargnés. Mourir seul n'est jamais un idéal de vivre. -- Laxa |